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Etablissement : ESTO
Spécifications Géométriques
I. GENERALITES
II. DIFFERENTS TYPES DE SPECIFICATIONS
2.1. Inscription des tolérances
2.2. Classification des tolérances géométriques
2.3. Les différentes spécifications mesurées
a) Les spécifications géométriques de formes (Tolérances de formes)
b) Les spécifications géométriques d’orientation
c) Les spécifications géométriques de position
2.4. Spécification d’état de surface (la rugosité)
2.4.1. Généralité
2.4.2. Rugosité
2.5. Exemples de contrôles géométriques
2.6. Contrôle des états de surface
Objectifs :
I. GENERALITES :
Les tolérances dimensionnelles ne suffisent pas pour définir avec exactitude la forme
géométrique d’un objet. Les tolérances géométriques permettent de corriger ces insuffisances
et précisent les variation spermises.
Le tolérancement normalisé définit des grandeurs mesurables sur des pièces réelles et
leurs limites à l’aide :
- des cotes
- des tolérances dimensionnelles (diamètres, cotes longueur, cotes angulaires.)
- des tolérances géométriques (forme, orientation, position.)
- d’indications d’états de surfaces (rugosité.)
Remarque :
Rectitude
Planéité L’élément
tolérancé
Tolérance de forme
Ne dépend pas d’un
Circularité
élément de référence.
cylindricité
Parallélisme
Tolérances
d’orientation Perpendicularité
Tolérances Localisation
De position
Symétrie
Lorsqu’on réalise une pièce mécanique, les surfaces obtenues présentent toujours des défauts
géométriques, classés par ordre de grandeur.
(bombé)
ème ème
3 et 4 ordre : Stries ou sillons
Arrachements ou fentes
Défauts de 1er ordre : Ce ne sont pas des défauts d’état de surface mais des défauts
géométriques de forme.
Défauts de 2ème ordre : Ils ne se traduisent pas une ondulation due, par exemple, aux
vibrations de la machine qui a usiné la surface.
Défauts du 3ème et 4ème ordre : Ce sont, par exemple, les stries et les sillons dus à
l’usinage de la surface. Ils caractérisent la rugosité de la surface.
2.4.2. Rugosité
L'importance des irrégularités sur le rôle
fonctionnel des surfaces est indiscutable. Cette
exigence fonctionnelle est spécifiée à partir d'un critère
de rugosité. Le plus couramment utilisé est le Ra.
Exemple :
a) Abréviation de la fonction :
c) Le procédé d'élaboration :
Ces étalons sont des échantillons reproduisant le relief de surfaces réelles. Ils constituent la
référence de l'état de surface.
La méthode consiste à comparer visuellement (œil nu ou loupe) et tactilement (toucher avec
doigt) l'état de surface de la pièce usinée à celui de l'étalon.
À chaque procédé de fabrication correspond un étalon de rugosité.
profil étudié.