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Rapport
Le tube de Venturi classique est le plus ancien des débitmètres à pression différentielle, employé
pour la première fois en 1887. Placé sur une canalisation cylindrique de section S1, le venturi
comporte successivement un premier tube tronconique, le convergent, suivi d’un tube cylindrique
de section réduite S2 puis d’un deuxième tube tronconique assez long, le divergent. Le fluide
circulant dans la conduite passe dans un convergent avant d’atteindre un col de section inférieure
à celle de la conduite ; la vitesse de l’écoulement augmente dans ce convergent. Cette augmentation
de vitesse correspond à une diminution de pression. En mesurant cette variation de pression, on
peut donc déduire la valeur du débit de l’écoulement en appliquant le théorème de Bernoulli. Après
le col, le fluide passe dans un divergent, où il perd de sa vitesse et remonte en pression.
2 But
Dans ce TP, la mesure des débits par le système Venturi a pour but de :
-Etudier les caractéristiques d’un Venturi ;
-Mesurer le débit d’eau dans le cas d’un écoulement en charge en utilisant le Venturi et le
diaphragme
-Comprendre et savoir appliquer l’équation de Bernoulli
Il est constitué d'un tronc de cône convergent, d'un col cylindrique et d'un tronc de cône divergent.
Le dispositif offre une bonne précision, mais reste coûteux et encombrant. Il dispose d'un bon
comportement du point de vue perte de charge, usure et encrassement. Comme avec le diaphragme,
les mesures de pression différentielle sont converties en débit volumique. Au niveau du venturi, Il
y a une diminution suivi d’une augmentation de la section. On qualifie d’ailleurs souvent un venturi
de « convergent-divergent ». Ici on se concentre seulement sur la partie décroissante de la section
ou convergente, la partie croissante n’intervient pas dans le calcul du débit mais permet notamment
de calculer les pertes de charges de ce système. Cette réduction de section, provoque donc une
dépression, qui se traduit par une augmentation de la vitesse du fluide et une diminution de la
pression. Deux prises de pression, une en amont et une en aval, vont permettre de calculer le débit.
En effet, la pression sera plus importante avant le Venturi qu’à la sortie. Cela va se traduire par
une différence de hauteur d’eau dans les tubes reliés aux deux prises de pression. C’est cette
différence de hauteur engendrée par la différence de pression, qui va permettre de calculer le débit
du fluide; le débit ne change pas au passage de ce système.
Il s'agit d'un disque percé en son centre, réalisé dans le matériau compatible avec le liquide utilisé.
Le diaphragme concentrique comprime l'écoulement du fluide, ce qui engendre une pression
différentielle de part et d'autre de celui-ci. Il en résulte une haute pression en amont et une basse
pression en aval, proportionnelle au carré de la vitesse d'écoulement. C'est le dispositif le plus
simple, le moins encombrant et le moins coûteux. De même, deux prises de pression, en amont et
Elle est considérée comme une variante du tube de VENTURI. L'orifice de la tuyère constitue un
étranglement elliptique de l'écoulement, sans section de sortie rétablissant la pression d'origine.
Les prises de pression sont situées environ ½ diamètre de la conduite en aval et 1 diamètre la
conduite en amont.
la tuyère La perte de charge se situe entre celle d'un tube de VENTURI et celle d'un diaphragme.
3.4 Le rotamètre
Ce dernier débitmètre étudié est constitué d’un flotteur, qui est placé dans un tube vertical gradué
et transparent, dont la section varie, le diamètre étant croissant vers le haut du tube. Le déplacement
du flotteur est proportionnel au débit et donc la position du flotteur indiquée par les graduations
du tube va correspondre à un débit bien précis. Le rotamètre fait partie des débitmètres à section
4 Théorie
4.1 Démonstration du débit volumique théorique
Comme pour la masse, la loi de conservation de l’énergie exprime le principe que l’énergie ne peut
être ni créée ni anéantie. Elle ne peut qu’être transformée d’une forme à une autre. Le théorème de
Bernoulli exprime la conservation d’énergie dans un écoulement permanent, unidimensionnel,
incompressible. Giovanni Venturi a déterminé que la pression d'un liquide mobile chute lorsqu’il
passe au travers d’un conduit comprenant un rétrécissement. A peu près à la même époque, le
mathématicien Daniel Bernoulli a effectué des études en dynamique des fluides conduisant au
principe de Bernoulli. Ce principe indique qu'un changement de la vitesse du fluide est directement
lié à un changement de sa pression (ou de son énergie potentielle). Le théorème de Daniel Bernoulli
énonce que l’énergie mécanique totale d’un fluide en écoulement demeure constante en l’absence
des pertes d’énergie par frottement. En d’autres termes, ceci peut être littéralement formulé d’une
manière analytique comme suit :
Soit :
On pose :
On obtient à la fin :
10 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
Débit volumique Qv en fonction √ΔH Venturie
(Théorique)
1400
1200
1000
Qv (l/h)
800
600
400
200
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8
√(ΔH) (mm)½
4.3 Le diaphragme
Le diaphragme
√∆(𝐻6 𝐻7 ) Q (l/h)
H6 H7
162 160 1.414214 211.4811
11 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
Débit volumique Qv en fonction √ΔH Diaphragme
(Théorique)
1600
1400
1200
1000
Qv (l/h)
800
600
400
200
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
√(ΔH) (mm)½
∆(H4;H5)
800
600
400
200
0
0 2 4 6 8 10
√(ΔH) (mm)½
Dans la pratique la valeur expérimentale du débit est inférieure à celle calculée par la théorie, et
cela est dû aux pertes de charge entre les deux points 1 et 2 qui n’ont pas nécessairement la même
vitesse, par la suite l’expression du débit devient :
12 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
Avec « C » est le coefficient du débit, qui est dû aux frottements et aux coefficients d’énergie
cinétique.
5 Protocole expérimental
1. Vérifier l’horizontalité des appareils (le venturi et le diaphragme) ;
2. Vérifier que le bac d’alimentation est rempli ;
3. Vérifier que le banc d’essais est branché à l’électricité ;
4. Mettre en marche la pompe d’alimentation ;
5. Procéder à la purge du multi-manomètre ;
6. Régler le débit en fixant la vanne du contrôle a 14 valeurs ;
7. Pour chaque valeur de débit, Notez sur les tableaux ci-dessous (tableau de venturi et
tableau du diaphragme) ;
8. Relever l’ensemble des hauteurs manométriques pour les différentes prises de pression
13 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
6.1 Le tube de Venturi
Tableau 4:Résultats expérimentaux du variation de la hauteur pour le tube de Venturi
Le tube de Venturi √∆(𝐻1 𝐻2 ) √∆(𝐻2 𝐻3 ) √∆(𝐻1 𝐻3 ) Q (l/h)
H1 H2 H3
374 358 368 4 3.162278 2.44949 600
378 360 372 4.242641 3.464102 2.44949 650
380 356 372 4.898979 4 2.828427 700
382 358 374 4.898979 4 2.828427 750
386 362 378 4.898979 4 2.828427 800
392 360 382 5.656854 4.690416 3.162278 850
396 362 386 5.830952 4.898979 3.162278 900
398 362 388 6 5.09902 3.162278 950
402 362 390 6.324555 5.291503 3.464102 1000
406 362 394 6.63325 5.656854 3.464102 1050
412 364 400 6.928203 6 3.464102 1100
416 366 404 7.071068 6.164414 3.464102 1150
Figure 14:Qv en fonction de √ΔH tube de Venturi (expérimental)
800
600
400
200
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8
(ΔH) (mm)½
14 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
6.2 Le diaphragme
Le diaphragme
H6 √∆(𝐻6 𝐻7 ) Q (l/h)
H7
162 160 1.414214 600
162 152 3.162278 650
162 144 4.242641 700
160 138 4.690416 750
160 136 4.898979 800
158 122 6 850
158 116 6.480741 900
156 102 7.348469 950
156 98 7.615773 1000
154 88 8.124038 1050
154 78 8.717798 1100
156 68 9.380832 1150
Tableau 5:Résultats expérimentaux du variation de la hauteur pour le diaphragme
800
600
400
200
0
0 2 4 6 8 10
√(ΔH) (mm)½
∆(H4;H5)
15 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
6.3 Comparaison de débit de Venturi et de diaphragme
800
600
400
200
0
0 2 4 6 8 10
√(ΔH) (mm)½
Dans chaque système on peut mettre en évidence des pertes de charge. Ces pertes de charges
correspondent à une perte d’énergie du fluide par frottement. C’est ce phénomène qui est à
l’origine des différences de pression observées dans le Venturi et le diaphragme. Or c’est grâce à
la mesure de ces différences de pression que nous pouvons calculer le débit du liquide Ainsi, il
apparaît que les systèmes de débitmètres à pression différentielle étudiés, reposent sur ces pertes
de charges
On sait que :
16 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
Regroupons les résultats dans un tableau :
Le tube de Venturi Q
C𝑣1−2 C𝑣2−3 C𝑣1−3
H1 H2 H3 (l/h)
374 358 368 4 150 3.162278 189.736639 2.44949 244.948949 600
378 360 372 4.242641 153.206458 3.464102 187.638817 2.44949 265.361361 650
380 356 372 4.898979 142.886916 4 175 2.828427 247.487384 700
382 358 374 4.898979 153.093124 4 187.5 2.828427 265.165055 750
386 362 378 4.898979 163.299332 4 200 2.828427 282.842725 800
392 360 382 5.656854 150.260198 4.690416 181.2206 3.162278 268.793572 850
396 362 386 5.830952 154.348724 4.898979 183.711749 3.162278 284.604959 900
398 362 388 6 158.333333 5.09902 186.310311 3.162278 300.416345 950
402 362 390 6.324555 158.113891 5.291503 188.982223 3.464102 288.675103 1000
406 362 394 6.63325 158.293446 5.656854 185.615538 3.464102 303.108858 1050
412 364 400 6.928203 158.771329 6 183.333333 3.464102 317.542613 1100
416 366 404 7.071068 162.634555 6.164414 186.554634 3.464102 331.976368 1150
Tableau 6:Résultats expérimentaux du coefficient de débit pour le tube de Venturi
Le diaphragme
Cd6−7 Q (l/h)
H6 H7
162 160 1.414214 424.263937 600
162 152 3.162278 205.548026 650
162 144 4.242641 164.99157 700
160 138 4.690416 159.900529 750
160 136 4.898979 163.299332 800
158 122 6 141.666667 850
158 116 6.480741 138.873009 900
156 102 7.348469 129.278629 950
156 98 7.615773 131.306435 1000
154 88 8.124038 129.246072 1050
154 78 8.717798 126.178652 1100
156 68 9.380832 122.590406 1150
Tableau 7:Résultats expérimentaux du coefficient de débit pour le diaphragme
17 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
Coéfficient de débit C en fonction de débit Qv
450
400
350
300
250
C
200
150
100
50
0
0 200 400 600 800 1000 1200 1400
Qv (l/h)
Venturi Diaphragme
800
600
400
200
0
0 2 4 6 8 10
√(ΔH) (mm)½
Δ(H1,H2) théo Δ(H2,H3) théo Δ(H1,H3) théo Δ(H6,H7) théo
Δ(H1,H2) Exp Δ(H2,H3) Exp Δ(H1,H3) Exp Δ(H6,H7) Exp
7.1 Interprétation
On remarque tout de suite que le débit qui nous est donné par le venturi est très proche
Théoriquement, et le diaphragme en est plus éloigné. De plus, notre hypothèse est confirmée car
les inexactitudes liées aux erreurs sont Par rapport au débit lui-même, la mesure devient
négligeable, bien qu'il y ait encore incertitude.
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En effet, pour le venturi, on constate une diminution et une augmentation de la section transversale
Elle se fait sur une canalisation suffisamment large, la perte de charge peut être ignorée. Notre
hypothèse est donc vérifiée. Par contre, pour le diaphragme, on utilise le coefficient de débit
Atteindre la chute de pression. Par conséquent, l'approximation du coefficient entraînera des
erreurs nous avons. Enfin, pour le bac, on peut penser qu'il peut y avoir des erreurs mesure
imprécise, notamment pour les petits débits et les difficultés rencontrées mesure de gros débit.
7.2 Calcule d’erreur
On a pour le coefficient kv la relation :
On a 𝐸𝑟𝑟𝑀𝑜𝑦 = 9.72 % ce qui explique que les résultats théorique sont proches des résultats
expérimentaux, ce qui signifie la validité de la théorie de Bernoulli
On a 𝐾𝑣 𝑚𝑜𝑦 = 0.90 < 1 ce qui explique que notre fluide (eau) n’est pas parfait, a cause des forces
de frottement entre les particules.
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8 Conclusion
On vient de voir la précision du système de mesure de débit à l'étude Plus adapté aux trafics dits
"forts". Cependant, nous avons plus ou moins tort Nos résultats sont incohérents. Pour une mesure
de débit très fine et A faible valeur, il faut des moyens plus professionnels et mettre en place un
Accord très strict. De plus, nous devons mieux comprendre Mécanique des fluides pour minimiser
toutes les imprécisions et approximations Théorique et expérimental.
Pour la partie expérimentale, ces erreurs proviennent notamment de nos mesures et de nos lectures.
Ceci explique les grandes différences pour les petits débits. Ce qui est compréhensible car plus le
débit est fort et moins les erreurs de mesures influent sur le résultat. Le débit augmentant, ce type
d’erreur s’est fait moins handicapant. En revanche, pour la partie théorique nous nous sommes
basés sur plusieurs hypothèses afin de s’approcher d’un modèle assez simple pour que nous
puissions l’étudier. Le théorème central de notre projet utilise lui aussi de nombreuses hypothèses
que nous avons vu ne pas être la réalité. Ces approximations ont donc un impact constant sur nos
mesures et calculs et expliquent une erreur « minimum ». Pour aller plus loin il aurait été
intéressant d’étudier, sur les mêmes systèmes un autre fluide. Un fluide non parfait où la
compressibilité ou la viscosité auraient eu un impact dans les calculs. Pour ce faire il nous aurait
fallu aller plus loin dans le cours de mécanique des fluides et pouvoir réaliser des mesures avec
cet autre fluide.
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Partie II: Expérience de
Reynolds
21 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
1 Introduction
Lorsqu'un fluide s'écoule dans une conduite, il s'exerce une résistance visqueuse qui crée une perte
d'énergie. La chute de pression le long de la conduite s'appelle la perte de charge. Pour des
conditions aux limites constantes imposées à l'écoulement, O. Reynolds a montré en 1883 qu'il
existe deux sortes d'écoulements suivant la valeur d'un nombre sans dimension appelé nombre de
Reynolds et noté Re:
2 Domaine d’application
Le nombre de Reynolds a de nombreuses applications pratiques, car il fournit aux ingénieurs des
informations immédiates sur l'état de l'écoulement dans les tuyaux, les ruisseaux et les sols, l’aidant
à appliquer les relations appropriées pour résoudre le problème à résoudre. Il est également utile
pour l'analyse dimensionnelle et la similitude. Par exemple, si les forces agissant sur un navire
doivent être étudiées en laboratoire à des fins de conception, le nombre de Reynolds du flux
agissant sur le modèle en laboratoire et sur le prototype sur le terrain devrait être le même.
3 But
Ce TP va nous permettre d’étudier deux types d’écoulements auxquels sont soumis les fluides:
l’écoulement laminaire puis l’écoulement turbulent. Il faut donc vérifier la loi dite de Poiseuille
dans le cas du régime laminaire et de trouver expérimentalement la valeur du nombre de Reynolds
pour laquelle l'écoulement change de régime.
22 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
4 Théorie
En utilisant divers fluides à viscosités différentes, en faisant varier le débit et le diamètre de la
canalisation, Reynolds a montré que le paramètre qui permettait de déterminer si l'écoulement est
laminaire ou turbulent est un nombre sans dimension appelé nombre de Reynolds donné par
l’expression suivante:
23 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
La vitesse étant constante, la ligne piézométrique et la ligne de charge sont parallèles. La variation
de hauteur piézométrique, évaluée en hauteur de liquide est égale à la perte de charge linéaire entre
les deux points de mesure. Les pertes de charge linéaires sont proportionnelles à la longueur L de
la conduite, inversement proportionnelles à son diamètre d, proportionnelle au carré de la vitesse
débitante V du fluide. Les pertes de charge linéaires sont données par la formule suivante :
5 Matériel utilisées
• Le banc Hydraulique
• Chronomètre
• Eprouvette graduée
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6 Description de l’installation
Le FME-07 est une unité à l'échelle de laboratoire conçue pour mesurer les chutes de pression
générées dans un tuyau pour différents débits et conditions laminaires et turbulentes
25 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
7 Protocole expérimental
1. Choisir le type d’écoulement laminaire ;
2. En variant le débit, on verse l’eau issue du tuyau dans l’éprouvette ;
3. On mesure le temps du versement à l’aide du chronomètre ;
4. Noter le volume d’eau ;
5. Répéter l’essai pour les 3 fois restantes ;
6. Changer le type d’écoulement vers le turbulent ;
7. Répéter les étapes 2, 3,4 et 5 ;
8 Résultats expérimentaux
Les résultats sont regroupés dans le tableau suivant :
Régime volume (ml) Temps(s) Débit(ml/s) Vitesse(m/s) D (mm) Viscosité
52 6.15 8.4553 0.6732 4 10-6
47 5.38 8.7361 0.6955 4 10-6
laminaire 38 5.48 6.9343 0.5521 4 10-6
13 5.78 2.2491 0.1791 4 10-6
18 14.27 1.2614 0.1004 4 10-6
172 3.39 50.7375 4.0396 4 10-6
182 3.65 49.8630 3.9700 4 10-6
Turbulant 136 3.93 34.6056 2.7552 4 10-6
59 3.85 15.3247 1.2201 4 10-6
23 3.78 6.0847 0.4844 4 10-6
Tableau 13:Résultats expérimentaux pour le régime laminaire et turbulent
Vérifiant maintenant le type d’écoulement en se basant sur la relation théorique de Reynolds, les
résultats sont regroupés ainsi dans le tableau suivant :
26 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE
Les résultats correspondants aux essais (1,2et3) (5) ne remplissent pas les conditions de Reynolds.
En effet, l’échec de ces deux essais est du essentiellement au diamètre de la canalisation qui
influence la vitesse et donc affecte le débit.
Par la suite, on calcule les pertes de charges linéaires en se basant sur la formule de Poiseuille pour
le cas laminaire et la formule de Blausis pour le cas turbulent lisse. Les résultats sont regroupés
dans le tableau suivant :
9 Conclusion :
L’étude du nombre de Reynolds effectué dans ce TP nous permet de vérifier sa validité ainsi de
bien comprendre les pertes de charges d’un écoulement laminaire et d’autre turbulent.
27 | P a g e FILIERE GC 3ANNEE