INTRODUCTION..................................................................................................................

PARTIE I. HISTORIQUE ET LA SITUATION GEOGRAPHIQUES DU CEG

SAHANDAHATRA................................................................................................................3

I. MATERIELS ET METHODOLOGIE DE RECHERCHE...................................3

II. HISTORIQUE DU CEG SAHANDAHATRA.....................................................3

III. SITUATION GEOGRAPHIQUE.........................................................................4

PARTIE II. LES CAUSES ET LES CONSEQUENCES DE PROBLEME DE

L’EDUCATION A MADAGASCAR.....................................................................................5

PARTIE III. LES SOLUTIONS APPORTEES.............................................................10

CONCLUSION GENERALE..............................................................................................14

Figure 1. Photo du CEG SAHANDAHATRA.................................................................................5

Figure 1. Photo du CEG SAHANDAHATRA.................................................................................5

Figure 2 Carte indiquant la quartier Sahandahatra......................................................................6

Figure 3 Photo de l'entrée du CEG Sahandahatra.........................................................................7

Figure 4 l'évolution des effectifs des élèves entre 2015 et 2019...................................................13

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INTRODUCTION

L’éducation est l’un des facteurs la plus importante pour le développement d’un
pays. Comme Madagascar est un pays sous-développé, le domaine de l’éducation est pris en
difficulté. Dans ce travail de mémoire de fin d’étude pour l’obtention de diplôme de License
en ENS Tamatave. On a choisi le cas du CEG Sahandahatra.

Le CEG Sahandahatra est un collège dans la circonscription scolaire de Toamasina II

et il se situe dans la zone administrative et pédagogique de Toamasina Ambanivohitra. Il est
fondé en 2008. Du point de vue général, on peut remarquer qu’il y a beaucoup de problèmes
au sein de cet établissement. C’est pour cela que notre sujet affirme : « le problème éducatif
au CEG Sahandahatra ». Quels sont les problèmes qui empêchent l’éducation dans ce CEG ?
Pour répondre à cette question nous allons utiliser une méthode active. Dans notre analyse
nous allons voir dans la première partie les causes de ces problèmes et dans la deuxième
partie, nous allons voir les conséquences de ces problèmes et pour terminer on va voir les
solutions apportées.

2
 PREMIERE PARTIE :

MATERIELS ET METHODES,

La situation géographique, historique de

CEG Sahandahatra

3
 PARTIE I. HISTORIQUE ET LA SITUATION GEOGRAPHIQUES
DU CEG SAHANDAHATRA

Pour bien comprendre cette partie, nous allons aborder les matériels et méthodes en
montrant le résultat de notre recherche et puis l’historique et la situation géographique du
CEG Sahandahatra.

I. MATERIELS ET METHODOLOGIE DE RECHERCHE

Notre recherche est basée sur le centre de documentation (IERP), ce centre de

ressources est créé depuis 2003, et rattaché à la direction de l’enseignement secondaire.
Ensuite, elle se basée sur les enquêtes que nous avions faites sur les anciens parents d’élèves.
Et puis sur les archives du même établissement. Et enfin, d’après les documents qu’on a vus
sur le site internet (Dix-sept heure trente minute de zéro virgule cinq méga octet)

II. HISTORIQUE DU CEG SAHANDAHATRA

Le CEG Sahandahatra est fondé en 2008, Il est un collège qui fait partie de la
circonscription scolaire Toamasina II et dans la zone administrative pédagogique Toamasina
Ambanivohitra. Il est devenu CEG pilote de Tamatave II en 2016. Auparavant, la première
année scolaire se fait au SOANIMIANATRA à Antsiramandroso, puisque la salle de classe
n’est pas plus en charge des élèves, C'est-à-dire la fondation n’est pas encore terminée. Les
chefs d’établissements qui se succédé sont : en 2008 jusqu’à 2012 : Monsieur
RAZAFITSALAMA, en 2012 jusque 2017 Madame MARIE Hortence Aimé, en 2017 jusque
2012 Monsieur RAKOTOARITODY George Maxime et en 2021 jusqu’à nos jours BE
MANANA Jean Prosper.
Figure 1. Photo du CEG SAHANDAHATRA

Source : Photo prise sur site

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 III. SITUATION GEOGRAPHIQUE

Fokontany Sahandahatra est un village qui appartient à la commune de Toamasina

Ambanivohitra district de Toamasina II. Il est entouré de deux rivières comme l’Ivoloina et
Sahandahatra. Les trois fokontany voisins de Sahandahatra sont Ampangarinantelo,
Ambodimandresy et Antseranambe. Il est accessible de voiture et la motocyclette. Les
dirigents sont représentés par le Tangalamena, le vavan-jaka et le chef de fokontany.

Figure 3 Carte indiquant la quartier Sahandahatra

Source : Google Map

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 Figure 4 Photo de l'entrée du CEG Sahandahatra

Source : Photo prise sur site

Pour conclure, cette partie nous montre la méthode qu’on utilise pour analyser
notre devoir et puis nous montre l’existence de CEG Sahandahatra et leur historique.

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 DEUXIEME PARTIE :

Les causes et les conséquences de

problème de l’éducation à Madagascar

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 PARTIE II. LES CAUSES ET LES CONSEQUENCES DE
PROBLEME DE L’EDUCATION A MADAGASCAR
A. Causes de ces problèmes
I. La pauvreté

Le contexte général de l’éducation au CEG Sahandahatra. Le système éducatif est

lourdement affecté par la situation sociale et économique. Le budget de l’éducation reste
faible, les disparités régionales sont grandes. Les cyclones et les inondations sont fréquents et
affaiblissent encore les conditions de vie. Les enfants de moins de quatorze ans représentent
presque la moitié de la population malgache. De nombreuses familles vivent en dessous du
seuil de pauvreté. Les parents ont généralement des difficultés à financer la scolarisation de
leurs enfants. Et puis la sous-alimentation touche certain enfant de ce fokontany, c'est-à-dire la
plupart des enfants en âge d’être scolarisés en collège vont à l’école cependant, un peu plus de
la moitié seulement achève le cycle entier. Les élèves mettent six années en moyenne pour
terminer le cycle secondaire dont la durée normale est de quatre ans à cause de la fatigue due
à la malnutrition, cela veut dire donc, les élèves dans la campagne ne mangent que du manioc
et de la patate douce.

Tableau récapitulatif de pourcentage des enfants non-scolarisés par niveau de la zone

administratif pédagogique de Toamasina Ambanivohitra

Niveau Pourcentage Nombre

Préscolaire 40% 138

Primaire 27% 448

1er cycle du secondaire 30% 8. 789

2nd cycle du secondaire 60% 12.298

Source : Archive des données statistiques de Chef ZAP année 2020

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 II. Encadrement et activité pédagogique

Sans formation initiale à l’origine les enseignants ne sont pas formés pour la tâche.
Cependant, chaque année les enseignants doivent bénéficier d’une formation d’une quinzaine
de jours. D’une part, nous voyons que l’encadrement pédagogique des enseignants est
insuffisant, car ils ne bénéficient dans la meilleure des cas que d’une formation courte. Les
documentalistes sont généralement d’anciens enseignants, il n’y a pas de recrutement
spécifique, ni de statut attaché à cette profession. Donc, leurs conditions de travail sont
souvent difficiles : locaux très exigus ne permettant pas de recevoir les élèves, mobilier
vétuste, inadapté et disparate. Les fonds sont généralement insuffisants, toujours limités, le
plus souvent à des temps de travail des personnels et presque exclusivement consacré à des
tâches de gestion de prêt et de statistique. C'est-à-dire les responsabilités ne sont pas partagées
et organisé par des grands secteurs. Ensuite, les documents sont insuffisants, C'est-à-dire les
documentalistes sont à la recherche de formation, de documents professionnels sur le métier,
ses techniques, son évolution. Ils ont besoin de plan de classement, de fourniture de
bibliothèque, de matériel informatique. Et puis il n’y a pas de document audio-visuel ou
numérique pas de presse généraliste ou spécialisée et pas d’accès à internet. En 2010, un
« manuel de prise en main d’une petite bibliothèque » publié par la direction de
l’enseignement scolaire, donne les conseils essentiels en ce qui concerne le traitement de
document et l’équipement de locaux. Le document fournit un ensemble de fiches techniques
assorties de schémas pour réaliser du mobilier de bibliothèques.

III. Les compétences professionnelles des enseignants

Sahandahatra fait face à un taux élevé de la pauvreté d’apprentissage ; Quatre-vingt

pour cent des enfants au CEG Sahandahatra ne sont pas capable de lire un texte en français
adapté à leur âge. Nous savons que les enseignants ont une influence cruciale sur l’éducation
des élèves. En 2019 Seulement 15% des enseignants secondaires Malagasy avaient la
qualification nécessaire. Actuellement, la technologie s’évolue toujours donc la recherche de
documentation est basée sur internet cela veut dire donc, l’utilisation des technologies qui
peuvent aider les communautés mais l’accès au réseau est faible. Malgré ladite existence de
connexion à très haut débit, le faible taux de pénétration d’internet montre que seul 2,1 % des
enseignants au CEG Sahandahatra ont accès à l’internet. Les initiatives de développement
professionnel des enseignants dans les environnements est faible. Nous avons travaillé avec le
Ministère de l’Education Nationale, l’Institut National de Formation Pédagogique et l’Agence

9
Française de Développement du projet AQUEM a pour un but d’améliorer les résultats des
élèves en lecture et en calcul. Les plans initiaux de la formation prévoyaient l’achat en grande
quantité d’ordinateur et de tablettes. Nous travaillons actuellement sur l’élaboration d’une
enquête pour étudier l’accès, bien que nous ayons des données sur les ménages sur la
propriété de certaines technologies puisque l’accès des enseignants à la technologie et son
utilisation ne sont pas disponibles

IV. Les différentes erreurs

D’abord les erreurs relevant de la compréhension des consignes de travail données en

classe, dans la mesure où les termes employés pour introduire les exercices et les problèmes
ne sont pas « transparents » qu’on l’imagine, et où la compréhension du lexique de chaque
discipline est semée d’embûches. Nous voyons en premier lieu, les erreurs résultant
d’habitudes scolaires ou d’un décodage des attentes, lesquelles jouent un rôle essentiel dans
l’activité quotidienne de la classe. Ensuite, les erreurs témoignant des conceptions alternatives
des élèves, dont on a vu à quel point elles perdurent tout au long de la scolarité et affleurent
dans les productions et les réponses de façon inattendue ; en outre, les erreurs portant sur les
démarches adoptées, celles- ci se relevant très diverses alors que le professeur s’attend à
l’emploi d’une procédure canonique peut ne pas comprendre le cheminement ou l’intention de
l’élève ; et puis, les erreurs dues à une surcharge cognitive, en cours d’exercice, les limites de
la mémoire de travail étant drastiques et la charge cognitive de l’activité souvent sous-estimé ;
enfin, les erreurs causées par la complexité propre au contenu, laquelle n’est pas toujours
perçue comme telle par les analyses disciplinaires habituelles ni dans les progressions
disciplinaires adoptées.

B. Conséquences de ces problèmes

I. Le taux d’abandon scolaire très élevé

Les proportions des garçons non scolarisés restent supérieures à celles des filles dans
les groupes d’âge des treize à quinze ans, mais les filles sont plus susceptibles d’être non
scolarisées une fois âgée de plus de seize ans. Dans toutes les dimensions d’exclusion, les
enfants non scolarisées sont plus généralement issus de ménages les plus pauvres, des
orphelins, des enfants en situation d’handicap, et habitent loin des écoles. Ce sont des
facteurs qui peuvent expliquer l’exclusion scolaire. Au niveau des ménages, les difficultés
économiques du ménage, la faible perception des avantages directs de l’éducation combinée
avec le besoin de main d’œuvre dans les activités agricoles ou dans le gardiennage des

10
troupeaux, particulièrement pour les garçons, explique une partie importante du phénomène
de non scolarisation des enfants. Les mariages précoces sont par contre des sources
d’abandon scolaire pour les jeunes filles. Du côté des écoles, le coût des études, l’éloignement
de l’école et l’existence des écoles à une infrastructure incomplète avec une discontinuité
d’offre éducative, la faible qualification des enseignants, et l’existence des enseignants
communautaires payés par les parents influencent une part importante de la non-scolarisation
et des abadons scolaires.

II. La diminution des effectifs des élèves scolarisé

Nous voyons que le nombre des élèves au collège dépend de nombres des élèves
admis en classe de sixième ; si le résultat d’est bon, cela veut dire donc il y a un pourcentage
fort en sixième donc l’effectifs des élèves au collège s’évolue mais par contre le cas du CEG
Sahandahatra est tout à fait différent à un autre établissement puisqu’il y a une situation
décroissante. Nous voyons cet effectif dans des cinq dernières années. Nous analyserons
l’évolution des effectifs des élèves au collège Sahandahatra entre deux mille quinze et deux
mille dix-neuf : en deux mille quinze le nombre des élèves atteint jusqu’à trois cent
cinquante ; et en deux mille dix-huit il est diminué en cent cinquante et en deux mille dix-neuf
malheureusement il est diminué jusqu’à cent.

11
 Figure 5 l'évolution des effectifs des élèves entre 2015 et 2019

Source : Descente sur terrain

Interprétation

La nature de courbe obtenue est une ligne qui représente la diminution des effectifs
des élèves des années successives.

III. Mauvais résultat

Le résultat à l’examen officiel au niveau des zones d’administration et pédagogique

(ZAP), des trois dernières années, a été catastrophique, au niveau de plusieurs établissements
scolaires. « Seul trente-huit pour cent des candidats dans notre ZAP ont eu leurs diplôme
BEPC », livre un responsable d’une ZAP dans la Circonscription Scolaire (CISCO)
Toamasina II. Les sujets d’examens n’étaient pourtant pas difficiles, selon des enseignants. «
Si on arrive à ce résultat, c’est en grande partie, à cause des problèmes familiaux. Dans notre
établissement, par exemple, pour la plupart, les élèves appartiennent à une famille
monoparentale. Ils sont élevés ou par leur père ou par leur mère. Ces derniers n’ont pas de
temps pour les accompagner dans leurs études. Au contraire, une fois l’école terminée, ils les

12
obligent à les aider dans leurs activités. Les études sont délaissées ». D’autres soulignent que
les retards d’apprentissage, générés par les mauvais temps ne sont pas encore rattrapés, donc
entrainent une grande lacune de ces promotions, indique une source. Le faible niveau de
certains enseignants, dont la plupart n’a pas suivi la formation requise pour enseigner est
avancé par d’autres sources, comme le Français, la bête des candidats. « Il est urgent de faire
des rattrapages, si on veut améliorer ce taux de réussite ».

IV. Les mauvais comportements des jeunes

Sahandahatra est aujourd’hui un des villages de District de Toamasina II où la misère

ou le désespoir se font cruellement ressentir par la population. Cette dernière souffre autant de
carences alimentaires, sanitaires, médicales et sociales que du faible développement
économique du village. Développement freiné par une instabilité éducative récurrente. Le
village voit affluer de plus en plus de gens ou des jeunes qui cherchent du travail et qui
finissent par être des vagabonds ; cela veut dire, il n’y a pas de travail conforme à leur niveau
d’étude puisqu’ils n’ont pas eu l’école. Donc ils deviennent des bandits et des délinquants ils
prennent le tabac et l’alcool et surtout la violation. Selon l’étude que nous allons fait « quatre-
vingt-dix pourcent de la population vit sous le seuil de pauvreté ».

Conclusion de la troisième partie :

En guise de conclusion, d’abord, le mauvais résultat, le taux d’abandon scolaire très

élevé, la diminution des effectifs et les mauvais comportements des jeunes sont des
conséquences de ces problèmes qui entrainent les obstacles du système éducatif au CEG
Sahandahatra. Bref, nous pensons qu’il y a beaucoup des solutions pour résoudre ces
problèmes.

13
TROISIEME PARTIE :

Les solutions apportées

14
 PARTIE III. LES SOLUTIONS APPORTEES

L’éducation transforme notre existence. L’éducation éclaire chaque pas accompli vers
une vie meilleure, surtout pour les pauvres et les plus vulnérables. Elle doit viser au plein
épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de
l’homme et des libertés fondamentales. Il y a beaucoup de solutions pour résoudre le
problème de l’éducation.

I. La normalisation aux activités pédagogiques

A l’heure actuelle, elles consistent essentiellement en conseils individuels aux élèves

pour la recherche documentaire et pour le prêt à domicile. Les personnels connaissant le fond
de leur mode de classement, peuvent donc diriger les élèves qui ne disposent ni de fichier
manuel, ni de fichiers informatisés vers les documents dont ils ont besoin. La mise en place
d’un club « Scrabble » a pour objectif de renforcer l’usage des dictionnaires de conjugaison et
d’orthographe par les élèves. Proposé par les documentalistes, il fonctionne sur la base du
volontariat et avec la collaboration des professeurs de français et d’anglais. Il a un grand
succès auprès des élèves qui s’entrainent avant de participer aux compétitions organisées entre
classes. La révision des
programmes scolaires. Gérer et exploiter un fonds documentaire renouvelé et actualisé pour le
mettre à disposition des élèves. Il serait utile de mettre en réseau différents CDI afin que des
mécanismes d’entraide et de Co-formation puissent voir le jour. Et pourquoi ne pas faire des
réseaux de professionnels dans les pays plus favorisés pour que les compétences des uns
soient mises à la disposition des autres. Des documentalistes qui enverraient des cartons de
livres en ayant pris soin de les trier en fonction des programmes, de les inventorier et de les
coter faciliteraient leur exploitation. Il y aurait une valeur ajoutée au simple don.

II. Amélioration de la qualité de l’éducation

Le processus relatif à l’amélioration de la qualité de l’éducation suit son cours. Dans

le cadre du projet d’Appui d’urgence à l’éducation pour tous / programmas d’appui d’urgence
aux services essentiels d’éducation. Le ministère propose une séance de renforcement de la
capacité des enseignants. Cette formation vise tous les acteurs de développement dans la
professionnalisation des pratiques des enseignants. Elle permet également de faire
comprendre aux enseignants l’importance de la formation dans le processus d’amélioration de
la qualité de l’éducation et l’enseignement et les encourager à poursuivre les formations et à

15
exploiter les acquis pour leur développement professionnel. Dans le cadre de la mise en œuvre
de l’amélioration de la qualité de l’éducation à Madagascar suivant le plan intérimaire de
l’éducation (PIE), le ministère de l’éducation nationale a déjà effectué en 2016 des formations
au profit des projets paquet. En dehors de ces plans relatifs à l’éducation à Madagascar, il
existe de nombreux projets concernant l’éducation qu’ont été réalisé à Madagascar. C’est le
cas du projet PERFORM en 2019, ce projet a pour but de « d’améliorer la qualité
d’apprentissage des élèves du post-fondamental général et technique ».
Autre exemple le projet AQUEM ou Amélioration de l’éducation, commencé en 2014, ce
projet de l’Agence Française de Développement avait prévu d’apporter son soutien au plan
intérimaire de l’éducation de 2013 et au PSE 2018.

III. Consultation d’une aide internationale

Des associations de solidarité internationale interviennent régulièrement à

Madagascar, dont l’objectif est de permettre aux populations de mieux-vivre. Par exemple
Colorie ma vie, elle est une association de solidarité internationale basée à Nancy, crée en
2010, pour soutenir les populations malgaches. L’association a pour vocation d’agir sur
l’éducation. L’objectif est d’améliorer la qualité de l’enseignement des sciences,
spécifiquement pour le niveau secondaire et de renforcer les capacités de planification, de
pilotage et de gestion des ressources humaines dans le système éducatif.

Enfin, ce projet a pour but de doter les pays d’infrastructures de qualité dans la mise
en œuvre de programmes en faveur de l’éducation. Et puis, un partenariat avec la fondation
webhelpshared au programme d’accompagnement des lycéens et collégiens vise à permettre
aux jeunes d’accéder à des études universitaires et ou / des écoles supérieures.

En effet, l’association accueille des enfants dès leur plus jeune âge et au-delà de leur
majorité. La philosophie de l’association est de ne pas « abandonner » à leur majorité, mais de
leur permettre d’assurer leur avenir. L’association veut donner aux enfants les moyens de
suivre les études dont ils rêvent. Les études coutent extrêmement cher à Madagascar et la
majorité des écoles / facultés ne peuvent être accessibles que sur concours. Le programme
permet donc aux enfants de suivre des cours particuliers pour leur donner un maximum de
chances.

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 IV. L’enseignant doit avoir des bons comportements

Adapté son attitude en fonction des personnalités : est « relaxe » ou « relax » avant
d’entrer en classe. Voici quelques idées concernant ce point : Rassure, encourage, confie des
responsabilités, rappelle les règles, soulage les tensions, crée de la détente, plaisante, rit,
montre de la satisfaction, valorise les interventions des élèves pour avoir un renforcement
positif. Respecte les idées des élèves, c'est-à-dire en renvoyant les questions au groupe sans y
répondre soi-même et sans prendre parti. Et puis, reconnait et apprécie les efforts des élèves,
même quand ces efforts ne sont pas couronnés des succès, cela veut dire donc utiliser des
questions embarrassantes ou difficiles, l’empêcher de monopoliser la parole. En outre, varie
ses méthodes d’enseignement (rémue –méninges, tour de table, équipes, recherche etc…) et
varie les routines et les techniques d’enseignement. Enfin, privilégie de multiples activités de
courte durée plutôt que des activités de longue durée et augmente l’interaction avec les élèves
en posant des questions ouvertes qui font appel au sens critique et à la créativité.

Conclusion à la quatrième partie

Pour terminer notre analyse, il y a beaucoup des solutions pour résoudre ces
problèmes comme en premier lieu, la normalisation sur les activités pédagogiques et puis
l’amélioration de la qualité de l’éducation, ensuite la consultation d’une aide internationale,
enfin les bons comportements des enseignants.

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 Discussions et recommandation

Grâce aux divers plans nationaux de développement, les plans sur l’éducation, de
nombreux projets ont vu le jour pour améliorer l’éducation à Madagascar. L’éducation occupe
une place primordiale de la vie de tous en chacun et apporte des nombreux avantages comme
la réalisation d’un rêve d’un individu, découverte d’un lieu à caractère intellectuel pour les
élèves, un centre d’apprentissage et d’éducation pour les parents.

Cependant l’accès à l’éducation à Madagascar rencontre des problèmes notamment

le manque de moyens financiers et d’autres pour les parents des élèves, le manque
d’équipement et d’infrastructure scolaire, le décrochage scolaire des élèves.

L’amélioration du niveau de vie des parents des élèves, la réhabilitation et la

normalisation des infrastructures et la création de nouvelles infrastructures proches des élèves
semble une solution adéquate pour résoudre divers problèmes de l’éducation. Celle solution
permettra d’augmenter le taux de scolarisation et le taux d’inscription à un établissement
d’éducation.

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CONCLUSION GENERALE

En guise de conclusion, l’éducation est une action d’élever et de faire sortir une
personne de son état premier. Elle est un acte de transmission de savoir. Il y a des problèmes
qui empêchent l’éducation en voyant le cas du CEG Sahandahatra, ces problèmes sont des
obstacles du système éducatif de ce collège qui entrainent des inconvénients. En effet, il y a
des solutions pour résoudre ces problèmes. Bref, une bonne éducation doit permettre à
l’individu d’utiliser ses possibilités au maximum pour faire face aux difficultés qu’il rencontre
inévitablement dans la vie et de s’adapter à l’évolution.

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REFERENCE BOBLIOGRAPHIQUE

I. Ouvrage de base
-RANDRIANARISON Tsiory « REFESIMANDIDY » Gestions des ressources
humaines dans le système éducatif.
II. Autres ouvrage
III. Articles
-Article Quartz, Lijadu, 2019
-Banque mondiale 2019, sur données PPASEC 2015
IV. Webographie
-CIA World factbook : « Plan d’Action Madagascar » (10/08/2023 ; 16h 6 mn)

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