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INTRODUCTION

L’Office National des Routes est une entreprise publique de la République Démocratique du Congo. Il est
actif dans l’entretien et l’amélioration des routes, ponts et bacs du pays. Dans le cadre du cours de
Géotechnique, étant un ensemble des applications et des connaissances concernant les propriétés des
sols, des roches et des ensembles géologiques, que le professeur RAPHAEL MATAMBA s’en occupe,
nous avons effectué une visite dans le Laboratoire National des travaux Publics (LNTP). Le Laboratoire
National des travaux Publics a œuvré essentiellement dans les domaines ci-après :

- Contrôles géotechniques sur les chantiers routiers ;

- Essai mécaniques et chimiques (Service de Chimie des Bitumes); malheureusement on avait pas eu
la chance de visiter cet atelier

- Etudes géotechniques (Atelier des Fondations);

- Etudes des sols par sondage et forage (Service des Sols et Matériaux).

La grande partie des activités de Laboratoire National des Travaux Publics s’est concentrée dans la ville
de Kinshasa. Les provinces ci-après : Bas-Congo, Bandundu, Nord-Kivu, Sud-Kivu, Kasaï Occidentale et
Katanga ont pu bénéficier des services de Laboratoire dans le cadre essentiellement de mise à
disposition de son dans des travaux des chantiers routiers pour le contrôle géotechnique.

I. Contrôles géotechniques sur les chantiers routiers

Dans le service de contrôles géotechniques sur les chantiers routiers, il y a des opérations qui
s’effectuent là-dedans. Il s’agit de :

Ø Prélèvement

C’est un échantillon (de matière) destiné à l’analyse. En supposant qu’on nous envoie d’aller faire un
prélèvement en surface d’un matériau qu’on appelle un 0/31,5 (un zéro trente et un point cinq), c’est-à-
dire qu’un matériau comprenant des éléments allant de 0 jusqu’à 31,5mm de diamètre. Ceci est un
segment ou longueur d’un segment de droite qui va d’un point d’un cercle ou d’une sphère au point
opposé en passant par le centre. Mais dans la vie courante, on considère le diamètre comme étant la
plus grande largeur d’une chose ronde ou arrondie. Aussitôt prélevé, à l’aide d’une pelle, on prend un
sac qu’on appelle le ‘’sac de jute’’, on met le matériau dedans, on prend un bout de papier appelé
‘’étiquette’’. Sur l’étiquette, on mentionne la date du prélèvement, la provenance, le diamètre, la
profondeur si ce n’était pas en surface, le Pk (Point kilométrique) s’il s’agit d’une route en étant
véhiculé. Car, un échantillon sans étiquette est nul. Il n’a donc pas de valeur au Laboratoire. Tout
échantillon en provenance d’une carrière ou d’un chantier se trouve à l’état humide. Même si à l’œil nu,
on voit que c’est sec, mais en réalité, c’est humide. En effet, pour que l’étiquette ne s’abîme pas, elle
doit être munie d’un sachet. On n’évite surtout que l’échantillon soit imbibé d’eau.

Un bon prélèvement s’effectue à plus ou moins 70Kg de poids. Car, il y aura beaucoup d’essais à
effectuer. Admettons qu’un essai nécessite 10Kg, alors qu’il faut réaliser 5 essais. Mais on amène 20Kg
d’échantillon, c’est un mauvais travail. S’il s’agit d’un prélèvement en profondeur, on doit réaliser des
puits. Le puits de 2m que l’on fait chez nous est un sondage. Un puits a quatre parois (surfaces
intérieures).

Quand on fait un sondage pour prélever l’échantillon, on mesure à l’aide d’une règle la hauteur à partir
de la terre végétale jusqu’aux différentes couleurs des parois. Car, la terre change des couleurs. On doit
donc dégager la terre végétale laquelle est relative à l’horizon A. C’est la terre qui contient les matières
organiques où les plantes puisent leur nourriture. Pour faire un prélèvement, on doit dépouiller toute la
terre végétale. On prélève en grattant de la terre végétale jusqu’à tel ou telle profondeur où nous y
sommes. On gratte les 1ère, 2ème, 3ème et 4ème parois. Si le puits est de 2,50m, on écrira 0,00-2,50m
sur l’étiquette. Après le prélèvement, il doit y avoir le dépouillement.

Ø Dépouillement

Le dépouillement est le fait de faire sortir l’échantillon du sac de jute en commençant par enlever
l’étiquette. On prélève le matériau à l’aide d’une truelle, on le met dans un bac. Il y a deux types de bac :

a) Bac à étuvage

Le bac à étuvage est un petit bac. A l’aide d’une truelle, on prend l’échantillon, on le met dans le bac à
étuvage. On le met ensuite dans l’étuve réglable entre 105 et 110°C pendant 24 heures.

b) Bac à essai

Le bac à essai est un grand bac. C’est le bac dont on va mettre l’échantillon pour le compacter. On sait
que tout échantillon en provenance d’une carrière ou d’un chantier vient à l’état humide. On va le
rendre à l’état sec. Après le dépouillement, il y a l’étuvage.

Ø Etuvage

C’est une déshydratation partielle dans un espace clos à chaleur et à taux d’hygrométrie contrôlés. C’est
donc le fait de mettre l’échantillon dans une étuve entre 105 et 110°C pendant 24 heures. . L’appareil
qui sert à sécher le matériau entre 105 et 110°C pendant 24 heures s’appelle ‘’étuve’’.

L’étuve n’est pas un appareil mécanique, mais électrique. Dans cet appareil, il y a le thermomètre ainsi
que des boutons pour régler le degré. Un échantillon séché à l’étuve, même si ça dépasse 24 heures, il
restera toujours intact ; il n’y aura pas d’inconvénient. Si nous nous retrouvons là où il n’y a pas des
courants électriques, sans groupes électrogènes ni paneaux solaires, alors que nous avons l’étuve, on
doit sécher les matériaux par des braises. Au cas où celles-ci ne sont présentes, on utilise des bois. Si l’on
a assez de moyens, on peut utiliser le produit chimique qu’on appelle ‘’alcool à brûler’’. C’est le
détuvage qui va suivre cette opération.

Ø Détuvage

C’est le fait de faire sortir l’échantillon de l’étuve après 24 heures. Aussitôt 24 heures, on détuve, c’est-
à-dire qu’on fait l’échantillon de l’étuve. Les matériaux fins, tels que les sables, ont aussi besoin d’être
homogénéisés parce que lors du transport tous les sables ne se réunissent pas. On les homogénéise en
faisant l’opération qu’on appelle ‘’quartage’’ ou celle appelée ‘’échantillonnage’’.

a) Quartage

Cette opération consiste à jeter l’échantillon par terre sur une surface plane. On aménage un bon
endroit. On divise l’échantillon en quatre parties. On prend deux côtés opposés, on les mélange ; on
prend deux autres côtés opposés, on les mélange aussi. Ensuite, on mélange le tout. Ou alors, si l’on ne
veut point faire le quartage, on fait dans ce cas l’échantillonnage à l’aide d’un échantillonnaire.

b) Echantillonnage

L’échantillonnage est une méthode ou opération qui permet au même résultat que le quartage
d’homogénéiser les matériaux fins. Ces deux opérations, on peut les faire avant tout comme après
l’étuvage. Ça dépend des travailleurs.

Aussitôt que notre échantillon est fait, on l’amène à la surface, et on programme les essais. En dehors de
l’essai de teneur en eau in situ ou teneur en eau naturelle, tous les échantillons doivent passer à l’étuve.
Seulement si dans l’étiquette, on avait demandé un peu de teneur en eau naturelle, on ne passe pas
l’échantillon à l’étuve. Dans ce cas, on peut voir quelques essais :

Essai de teneur en eau in situ W

L’essai de teneur en eau naturelle est un essai d’identification qui sert à connaître la quantité de l’eau
naturelle se trouvant dans un matériau. Dans ce cas, on ne passe pas l’échantillon à l’étuve, on le met
directement avec son humidité sur des pèse-filtres. On le pèse sur la balance.

On déduit juste de Pth le Pts pour avoir le Pw. Connaissant la tare, on déduit de Pts la tare pour avoir le
Ps de l’échantillon. Enfin, pour avoir la teneur en eau naturelle, on fait le rapport suivant :

Admettons que l’on est chef d’un chantier quelconque, si l’on nous demande de prendre ce matériau et
d’aller le mettre sur une route. On va au chantier, on trouve les matériaux mouillés puisqu’il pleuvait
hier. Or, c’est prévu aujourd’hui, ce travail. On doit d’abord connaître la teneur en naturelle. On ne va
pas peser avec la balance toute la quantité de matériaux, mais un échantillon représentatif. On sait que
la teneur en eau naturelle est de 6 ou 28%, ce que l’eau qui se trouve dans ces matériaux est de 20% par
exemple.

Analyse granulométrique AG

C’est un essai d’identification servant à classifier les grains selon leur dimension à l’aide de tamis. On
prend le matériau sec, s’il s’agit d’un matériau fin, on prend 500g (en pesant). Chaque tamis a sa
dimension. En tamisant le matériau, on constate qu’il y aura des particules qui vont passer à travers le
tamis, et d’autres resteront dedans. Les particules qui passent à travers le tamis sont des passants et
celles qui restent des refus. On doit peser le refus de chaque tamis sur la balance (fig. 1). Le refus de
plusieurs tamis est dit ‘’refus cumulé’’. Il s’agit de refus cumulé en gr, pour trouver le refus cumulé en %,
on doit multiplier le refus cumulé en gr par 100, puis on divise le résultat par le Pts de matériau. Après,
on va chercher les passants en %. Pour les trouver, on déduit de 100% le refus cumulé en %.

Ensuite, on passe par la courbe granulométrique ou la granulométrie des granulats. Là, on tient d’abord
compte de l’ouverture de tamis. Car, on peut utiliser un tamis de système ASTM ou AFNOR. On
commence par localiser, dans chaque ligne du tableau d’analyse granulométrique, l’ouverture de tamis
utilisé en se référant sur la même ouverture dans le tableau de la granulométrie des granulats, puis on
pointe la valeur correspondante de passant en % dans ce dernier tableau. En pointant pour toutes les
données requises, on trace maintenant la courbe granulométrique. Enfin, on doit observer s’il s’agit des
sables, gravillons ou cailloux.

En plus, on passe par les deux coefficients dont le coefficient d’uniformité Cu et le coefficient de
courbure Cc pour déterminer le type de granulométrie existe-t-il. On va parler brièvement de la notion
de granulométrie.

v Granulométrie

La granulométrie est le classement d’un produit pulvérulent en pourcentage de grains de différentes


grosseurs qui le composent. C’est la distribution massique des grains suivant leur dimension. C’est donc
une technique d’obtention différente selon le type de sol.

Types de Granulométrie : On détermine une granulométrie par les coefficients d’uniformité et de


courbure. => , et

Granulométrie étalée : C’est une granulométrie disposée dans toute la surface. Là, Cu et Cc > 2.
Granulométrie uniforme : C’est une granulométrie cohérente. Là, Cu et Cc < 2.

Granulométrie discontinue ou serrée : C’est une granulométrie diminuée. Là, Cu > 2 mais Cc < 2.

Là, on pourra dire que tel ou tel matériau est de 8/15, 10/15, 15/25, etc. Donc, la courbe
granulométrique permet de déterminer la dimension des grains. On peut connaître le nom d’un
matériau à partir de traçage de la courbe granulométrique. S’il s’agit d’un 2/8, on verra que la courbe
commence de 2mm jusqu’à 8mm. S’il s’agit d’un matériau fin, on ne verra qu’une pointe.

3. Limites d’Atterberg LA

On arrange l’échantillon avec la spatule.

Aussitôt l’échantillon se partage à deux lèvres.

On trace le sillon à l’aide de l’outil à rainure.

Nous sommes toujours dans les essais d’identification. Tout échantillon en provenance d’une carrière ou
d’un chantier se trouve à l’état humide. Aussitôt l’échantillon est sec, on le met dans le bac à essai pour
commencer les essais.

En parlant des limites d’Atterberg, on ne cesse pas au fond de parle des limites de liquidité et de
plasticité. Mais, Atterberg a pu ajouter d’autres limites telles que les limites de retrait, d’absorption et
d’adhérence.

La limite de liquidité est la teneur en eau qui correspond à la limite conventionnelle entre les états de
consistances plastique et liquide. La limite de plasticité est la teneur en eau qui correspond à la limite
conventionnelle entre les états de consistances plastique et solide. Il existe deux états solides dont l’état
solide avec retrait et l’état solide sans retrait. On parle d’état solide avec retrait lorsque l’eau se trouve
encore dans le matériau. Quand l’eau s’expulse complètement du matériau, on parle d’état solide sans
retrait. Le retrait est la diminution de volume de l’eau.

On parle de limite de retrait lorsqu’un sol perd de l’eau, mais ne baisse pas de volume. Quand l’eau ne
pénètre plus dans un matériau, et qu’elle peut ruisseler si ce matériau était en pente, on parle de limite
d’absorption. Mais lorsque l’échantillon n’adhère plus fortement ou ne reste plus collé sur une spatule,
on parle de limite d’adhérence.
Aussitôt notre échantillon est sec, on prélève une partie, on passe au tamis n° 40. On tamise en prenant
le passant. Lorsqu’on détuve l’échantillon, ceci sort avec des mottes. On doit consumer ces amas à l’aide
d’un pilon. On met une quantité dans le mortier, avec le pilon, on homogénéise le matériau.

Aussitôt homogénéisé, on prend le passant de tamis, on met le dans un pèse-filtre. C’est 100 ou 150 g.
On prend la quantité de l’eau voulue ; on imbibe l’eau dans l’échantillon. A l’aide de la spatule, on
tourne, et on laisse l’échantillon dans l’eau pendant 2 heures.

Comme notion d’appareillage, on a quatre pèse-filtres pour WL, quatre autres pour WP, un appareil de
casagrade (à coupelle lisse pour les argiles et à coupelle rugueuse pour les sables), une spatule, un outil
à rainure, un morceau de marbre ou de verre, une balance de précision (fig.1 et fig. 1.2).

4. Essai d’équivalent de sable

v Objet

L’essai d’équivalent de sable a pour objet l’évaluation de la proportion relative d’éléments fins dans un
matériau.

v Domaine d’application

Le domaine d’application de l’essai d’équipollent de sable est dans la détermination de pourcentage de


sable dans un sol.

5. Essai de compactage

En parlant de l’essai de compactage, on ne cesse pas de parler de l’essai Proctor. Il existe deux types
d’essai Proctor :
- Essai Proctor normal PN : où l’on utilise soit la grande dame et le grand moule, soit la petite dame
et le petit moule.

- Essai Proctor modifié PM : où l’on utilise soit la grande dame et le petit moule, soit le grand moule
et la petite dame.

Comme appareillage, on utilise la dame Proctor, le moule Proctor ou CBR, le bac à essai ainsi que la lame
à araser.

II. Essai mécaniques et chimiques (Service de Chimie des Bitumes [produits noirs])

III. Etudes géotechniques (Atelier des Fondations)

Quelques soient ponts, barrages, bâtiments, etc. Il y a des essais caractéristiques de détermination. Il
s’agit de l’essai de cisaillement direct ou rectiligne et de l’essai œnométrique.

1. Essai de cisaillement direct ou rectiligne

C’est un essai le plus appliqué en mécanique des sols, il est utilisé pour la rupture des sols.

v Objet

L’essai de cisaillement direct a pour objet la résistance d’un sol.

v Domaine d’application

Le domaine d’application de cet essai est dans l’étude de stabilité des pentes et des talus. Mais aussi
pour calculer la portance des fondations.
v Principe d’utilisation

Le principe d’utilisation de cet essai consiste au cisaillement direct d’un échantillon soumis à une
contrainte normale.

v Appareillage

L’essai se réalise dans l’appareil qu’on appelle la boîte de casagrande qui comporte aussi un système de
mesure.

v Mode opératoire

Il consiste à placer dans la boîte de casagrande un échantillon de sol qui est soumis à une contrainte
normale et cisaillé à l’ordre de 1,5mm/min.

2. Essai œnométrique

v Objet

Cet essai a pour objet la détermination des paramètres de consolidation des sols argileux et le
tassement d’un sol.

v Domaine d’application

Le domaine d’application de cet essai est dans l’étude de la consolidation, de la perméabilité et du


tassement d’un sol.
v Principe d’utilisation

Le principe d’utilisation de cet essai consiste à une compression uniaxiale d’un échantillon de sol
maintenu latéralement par une paroi rigide.

v Appareillage

On utilise un odomètre. C’est un appareil qui permet de réaliser sur un échantillon de sol saturé un essai
de consolidation unidimensionnelle.

IV. Etudes des sols par sondage et forage (Service des Sols et Matériaux).

Dans ce service, on étudie la quantité des ciments, des matériaux étant à la confection des bétons. On
étudie également la résistance des barres de fer.

La composition des bétons obéit à des règles collectives. Au Laboratoire de l’Office des Routes,
précisément le Laboratoire National des Travaux Publics (LNTP), on se base sur la méthode de Drex
Goris. A partir de cette méthode, on arrive à déterminer la composition des bétons.

On procède par fabriquer des éprouvettes. Après cette tâche, l’éprouvette est mise à l’opération qu’on
appelle la mesure de résistance à l’écrasement. Celle-ci se fait à l’aide de la machine appelée la presse à
bétons.

Quand on a les matériaux (ciments, sables, concassés, etc.), on doit les identifier. Ils doivent répondre
aux critères d’acceptabilité. Lorsqu’on constate que ces matériaux répondent à ces critères, on peut
maintenant les dispatcher en composition. Et dans cette composition, on va déterminer les proportions
en poids de chaque composant. Les éprouvettes confectionnées au Labo peuvent être de formes
cubiques ou cylindriques. Un béton confectionné doit répondre à une résistance pour laquelle on l’a
composé. Car, un béton est destiné à un élément d’un ouvrage.
Quand on parle de bonnes qualités de matériaux, on veut juste dire que pour chaque type de matériaux,
les critères de tolérance ou d’acceptabilité doivent être remplis.

A titre illustratif, pour le sable, il doit être propre, il ne doit pas avoir la WP, IP doit être nul. Pour le
ciment, il doit être bon en jouant son rôle de liant hydraulique.

CONCLUSION

Enfin, l’Office National des Routes est une entreprise publique de la République Démocratique du
Congo. Il est actif dans l’entretien et l’amélioration des routes, ponts et bacs du pays.

Dans les contrôles géotechniques sur les chantiers routiers, on procède par prélèvement,
dépouillement, étuvage, détuvage, quartage ou échantillonnaire, pour enfin finir par des essais
d’identification. Il s’agit de la teneur en eau in situ ou naturelle, de l’analyse granulométrique, des
limites d’Atterberg ainsi que d’essai d’équivalent de sable.

Dans l’essai mécaniques et chimiques ou Service de Chimie des Bitumes, on réalise quelques essais
importants. Il s’agit de :

- L’essai de bitumes ;

- L’essai de ramollissement bille et agneau (l’objet est la déformation des bitumes);

- L’essai de pointe d’éclair (l’objet est le point d’inflammabilité);

- L’essai de viscosité (l’objet est la détermination de la viscosité);

- L’essai d’enrobé, et de

- L’essai de plaque (l’objet est l’ajout des couches de matériaux).

Dans les études géotechniques ou Atelier des Fondations, on réalise deux essais caractéristiques dont
l’essai de cisaillement direct et l’essai œnométrique.

Dans les études des sols par sondage et forage ou Service des Sols et Matériaux, on étudie la quantité
des ciments, des matériaux étant à la confection des bétons. On étudie également la résistance des
barres de fer. La composition des bétons obéit à des règles collectives. M’enfin, Le LNTP ne s’occupe
plus des constructions des routes.

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