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Çağla Yıldız

19300871

1. Définir brièvement ce que les axes de clivage territorial et fonctionnel représentent


pour la Turquie.

La politique électorale turque devient de plus en plus fragmentée et les partis politiques
déterminent leurs stratégies en tenant compte de ces préférences divergentes des électeurs.
Cela conduit à une volatilité accrue des électeurs et accroît l'instabilité politique en Turquie.
Cependant, comme l'a mentionné Kalaycığlu, les tendances politiques dans notre pays sont
divisées en aspects territorial ou fonctionnels. Dans la région de l'Est et du Sud-Est de
l'Anatolie, le groupe de soutien aux partis de "gauche" est dominant dans l'axe du
nationalisme kurde ou de la solution du problème kurde. Dans la région de Karadeniz, les
partis d'extrême droite de centre-droit sont mis en avant.

D'autre part, la division fonctionnelle peut être associée au statut social, au statut socio-
économique, à la profession ou même au sexe, appartenant à des individus ou à des groupes.
Un exemple peut être donné par le fait que les électeurs très instruits votent pour les partis de
gauche en Turquie, et les électeurs peu instruits votent pour les partis conservateurs, bien
qu'avec certaines exclusions.

C'est un exemple que la vision de gauche soutient les droits des femmes envers les personnes
LGBT, comme les femmes soutiennent les partis de gauche, ou bien personnes vivent rurales
soutiennent les partis conservateurs nationalistes comme vous savez en 1990’s. Cette
polarisation s'observe également entre les partis. Alors que certains partis adoptent des
politiques plus nationalistes et conservatrices, d'autres tendent vers des politiques plus
libérales et de gauche. Cette polarisation est efficace pour déterminer les préférences
partisanes des électeurs et entraîne des différences dans les résultats des élections.

2. Expliquer la transformation des rapports centre-périphérie en particulier à partir des


années 1980 du point de vue du facteur religieux.

Après le coup d'État de 1980, le facteur religieux est très dominant. Le régime militaire met
l'accent sur l'unité religieuse et ces choses religieuses sont devenues cömme une identité. C'est
la partie conservatrice , traditionnelle religieuse des gens et “le Parti Refah” reçoit d'ici un
soutien pour que ces gens s'expriment. Il représente les conservateurs traditionalistes. Ce
groupe, qui opprimé est encore plus se différencie du groupe aux styles séculaires et
modernes, et la séparation centre-périphérie dont nous parlions est encore plus grande. Ceux
qui sont la voix des conservateurs et adoptent la « vision nationale » arrivent au pouvoir
(refah partisi).

Tous ces changements ont augmenté la population des partis de “droites” et le nombre de
partisans droit en Turquie.

Avec l'islam, les partis de droite se sont également renforcés. Dans ce processus, comme l'a
déclaré Kalaycıoğlu, les taux de vote des partis de gauche ont commencé à diminuer. De plus,
“la polarisation” parmi les électeurs en Turquie s'est accrue au cours de cette période
Cependant la religion a continué à être un facteur important dans la transformation des
relations centre-périphérie en Turquie dans les années 1990. La crise économique et les
evennement terroristes a donné à la religion une place encore plus importante dans la vie
sociale et politique. L'influence d'idéologies telles que le conservatisme et l'islamisme a
augmenté, et le nombre de partisans a aussi augmenté. Des personnes vivant dans les rurales
vers les villes modernes a fait que ces idéologies se sont répandues partout. Pour donner un
exemple personnel, il y avait beaucoup de gens qui étaient des partisans de gauche à Kocaeli
parce qu'ils étaient ouvriers mais l'immigration vers la ville de Kocaeli a augmenté et le parti
de droite . Cependant, cet environnement conflictuel s'est encore accru comme la création et
l'arrivée au pouvoir du parti AKP, sa montée en tant que parti islamiste et le soutien des
électeurs conservateurs ont rendu le facteur religieux encore plus important dans l'arène
politique.
Et aussi, le problème kurde à l'est et au sud-est du pays est vu comme une autre situation de
relations centre-périphérie, et là encore le facteur religieux est important.

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