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HGGSP : THEME 5 : Analyser les relations entre Etats et

religions
Introduction :
La théocratie : Gouvernement exercé par une autorité religieuse ou par un
souverain appuyant sa légitimité sur une religion
La religion officielle : reconnaissance d’une religion par l4etat qui lui accorde
un statut préférentiel sur le plan légal.
La liberté religieuse : Liberté fondamentale de pouvoir choisir et pratiquer une
religion.
La laïcité : Cadre institutionnelle établissant une séparation entre l’Eglise te
l’Etat, et une ,neutralité vis-à-vis des religions garantissant libertés et religion
de conscience.
De la double étymologie « relegere » qui veut dire rassembler et « religare »
qui veut dire relier, le terme religion désigne un système de croyance et de
pratique relative au sacré. Une religion n’a d’existence que si elle obtient une
forme de reconnaissance officiel par l’Etat ou une communauté. Les relations
entre les Etats et les religions sont très variés dans le monde contemporain.
Montré que la religion reste encore liée au pouvoir politique :
Lors de guerre les pays mêlent souvent la religion a leurs combats, créant de
plus gros conflits et tension du au oppositions et des différences des religions.
La religion est toujours liée au pouvoir politique dans la mesure lors de crises
le pays se retourne le plus souvent vers la religion comme un sorte
d’échappatoire cela va être le contexte qui va créer ce retour. Les pays étant
des démocraties se reposent sur la religion et ses bases et prennent appuie
dessus. Les fêtes Nationals partent d’une seule et même religion tel que Noel,
Pâques la Toussaint sont tous des jours chrétiens.
Le statut de la religion dans un pays est lié à l’Etat par son histoire, c’est le
chef d’Etat qui décide, car les cultes vont dépendre financièrement de l’Etat.

1. Des relations de nature différentes entres Etats et Religions :


Comparer les Etas Unis, la Russie et l’Allemagne pour montrer qu’il y a la 3
formes de cohabitation entre la religion et l’Etat. :
En Russie l’Etat est laïque est donc aucune religion n’est obligatoire et il n’y
en a pas une en particulier pour l’Etat. Là-bas il est autorisé de pratiquer sa
religion sans aucun souci et en toute liberté. Tout comme en Allemagne ou la
liberté de culte est autorisée. L’Allemagne cohabite avec la religion dans la
mesure où elle accorde la pouvoir a la religion de lever des impôts, même si
l’Etat fixe tout de même une limite avec des règles. Au Etas Unis la et les
religions sont complètement séparées de l’Etat. Elles ne sont pas prises en
compte dans le domaine du travaille ou elle n’est absolument pas nécessaire.
Dans un pays où il y’a une religion officielle, elle est intimement liée à l’Etat.
Certains dans ces pays vont distinguer clairement le pourvoir temporelle et le
pouvoir spirituel. Le pouvoir temporelle c’est le gouvernement civil d’un état
tout ce qui va être de rapport entres relations humaine Le pouvoir spirituel est
reconnue au domaine religieux et qui s’étend à tout ce qui concerne le foie et
la conscience. Certains pays ont adopté la séparation de l’Eglise de l’Etat,
dans ce cas-là on va respecter certaines modalités. Certains vont adopter une
stricte séparation comme la France et qui sont alors classé dans la « centaine
de pays » que l’on dit indifférent sur le plan religieux. ( forcément l’Eglise
séparer de l’Etat.) On a une dizaine de pays qui pratique ce qu’on appelle
athéisme d’Etat.

2. Une diversité religieuse dans le monde :


- Où sont localisé les principaux groupes religieux et les mouvements ?
Les principaux groupes se situent pour le catholicisme en Europe de l’Ouest,
en Amérique Latine et un peu dans le centre de l’Afrique sur les côtes Ouest
et Est. Pour l’Eglises orthodoxes elle uniquement présente en Russie. Le
protestantisme lui est localisé en Amérique du Nord et dans le Sud de l’Afrique
ainsi qu’en partie en Australie. Le mormon lui n’est présent que dans une
petite zone en Amérique du Nord cote Ouest. Les mouvements religieux tel
que le bouddhisme il se situe principalement en Asie. L’hindouisme se situe
en Inde

- Quels sont les principaux facteurs de transformation ?


La migration est l’un des facteurs importants de la transformation comme en
Amérique par exemple. La sacralisations et l’influence de l’Eglise en Asie et
en inde créer aussi des transformations.
L’Iran, un régime théocratique : Comment les fondements du régime
politique iranien contribuent-ils à limiter les libertés ?
Présence de la religion officielle ce qui est une reconnaissance de l’Etat. Les
libertés religieuses sont restreintes du a la religion officielle. Etat qui est
profondément marqué par le religieux donc toute une transformation de la
société de son fonctionnement par la religion. Les non musulmans sont exclus
des post public. Il y a de plus en plus dans la jeunesse des révoltes.
Concernant l’omniprésence :
Pas de séparation entre les pouvoirs religieux, judiciaires et législatifs. Le
guide suprême choisit par des religieux est à la fois chef spirituel, chef de
l’armée et chef du pouvoir judiciaire.
La justice est fondée sur la charia (loi religieuse) :
Le guide suprême nomme les gardiens de la constitution qui ont un droit de
regard sur les candidatures aux élections, les scrutins et peuvent mettre leurs
vetos sur les projets de loi.
Les minorités religieuses ont une liberté de culte mais elles sont fortement
discriminées mais elles n’ont que quelques sièges au parlement et elles sont
exclus de la fonction publique. Et enfin on ne peut pas changer de religion
pour les musulmans
La contestation :
La contestation est portée par la jeunesse qui support de plus en plus mal le
control des religieux sur leurs vies quotidienne. La contestation est de deux
natures, il y a une jeunesse aisée qui est davantage politisé et qui utilise les
réseaux sociaux comme moyen de contestation. Il y a une population qui est
déçus du régime théocratique (fraude aux élections) d’où l’émergence de la
question de la séparation du religieux et du politique
La laïcité :
Dénonciation des formes extrêmes de la laïcité. La loi de 1905 garantie la
laïcité. La laïcité connait des applications différentes lies à l’intensité ou à
l’absence de lutte entre pouvoir politique et pouvoir religieux. En France la loi
de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat fut en grande partie dirigé
contre l’Eglise catholique. Aux Etats Unis la sécularisation c’est effectué sans
affrontement entre la sphère public et la sphère religieuse
Bilan :
Depuis la plus haute antiquité, la vie politique et la vie religieuse sont
étroitement liés. Si la laïcité française peut offrir un exemple où sphère
politique et sphère religieuse sont strictement séparées c’est finalement un
cas assez particulier. En effet, de nombreux pays entretiennent des relations
très différentes depuis les états théocratiques, comme l’Iran ou l’Arabie
Saoudite, les Etats qui possèdent une religion d’Etat, comme le Royaume Uni
ou la Grèce ou les pays constitutionnellement laïque mais ou les relations
entre les mondes religieux et politiques sont très étroites comme en Inde.

AXE 1 : Pouvoir et religion : des liens historiques traditionnels :


Introduction :
Il s’agit d’étudier le haut Moyen Age, en fondant la réflexion sur la
comparaison entre trois gouvernements qui associent étroitement mais
différemment, pouvoir religieux et pouvoir temporel (pouvoir inscrit dans le
temps). Ainsi la figure de Charlemagne mobilisé à travers son couronnement
de même que son comparé les Califes et les Byzantins à la tête de véritable
théocratie. La cohérence historique et géographique est forte : Il s’agit
principalement des pourtours du bassin méditerranéen entre le 8e et le 10e
siècles. L’Eglise chrétiennes, divisées entres chrétiens latin et orthodoxe et
solidement structuré tandis que le monde musulman connait une forte
expansion. L’articulation des deux pouvoirs religieux et politiques est à la fois
très similaire, la religion ayant une place particulièrement importante dans les
gouvernements des sociétés, mais aussi très différentes, les religions étant
structurés de façons distincts.
Problématique : Quels sont les liens entre pouvoirs et religions ?
Jalon 1 : le pape et l’empereur deux figures de pouvoir le couronnement de
Charlemagne :
p.370-371 :
Le couronnement de Charlemagne entant qu’empereur est un évènement
considérable à l’échelle de l’Occident latin. C’est le premier sacre d’un
empereur depuis la chute de l’empire romain d’Occident. Il consacre un lien
particulier entre le pouvoir temporelle et le pouvoir spirituel : l’empereur voit
son autorité légitimée par Dieu, par l’intermédiaire de la cérémonie à Rome
tandis qu’il devient le défenseur de l’Eglise. La question de la supériorité du
pape et de l’empereur c’est posé lors de la cérémonie du sacre de
Charlemagne le 25 décembre 800. Le roi des Francs aurait ainsi été très irrité
par le fait que le pape n’est pas respecté le rite franc des couronnements. En
effet, le pape a déposé la couronne sur la tête de Charlemagne mais n’a pas
fait acclamer le souverain par la foule et ne s’est prosterné devant lui que
plus tard. Charlemagne au contraire aurait voulu que le pape s’agenouille
d’abord avant de le couronner et la faire acclamer. D’ailleurs, en 813,
l’empereur fait changer le protocole de couronnement dans ce sens.
Recherche sur le Palais de Aix la Chapelle (date de construction et quels sont
les éléments qui montre le mélange du spirituel :
Aix la Chapelle est un lieu qui permet de comprendre la concentration des
pouvoirs politiques et religieux aux mains de l’empereur. En effet, le palais
impérial est construit selon un axe comportant d’un coté la salle de l’assemblé
et de l’autre la Chapelle Palatine. De même toute l’architecture est organisée
pour mettre en scène l’autorité universel du souverain. Tandis que l’élévation
de la Chapelle le lien entre le ciel et la terre, le trône de Charlemagne donne
une place centrale au représentant central du christ sur terre.
Jalon 2 : Pouvoir politique et magistère religieux : le calife et l’empereur
byzantin au IXe-Xe siècles :
La Calife est au sommet de la hiérarchie musulman :
Dans le monde musulman, le calife représente l’autorité du prophète
Mahomet. C’est une distinction politique suprême , mais aussi un titre
religieux. Le « calife de Dieu » concentre donc tous les pouvoirs, politiques,
religieux et militaire. Depuis l’assassinat du troisième calige, Uthman, en 656,
plusieurs familles prétendent au califat. Il y a donc au même moment plusieurs
califes en terres d’Islam.
La terre du sultan désigne celui qui détient le pouvoir. A partir du Xie siècle, ce
titre est utilisé par différents souverains.
Hérite du califat de Dama, l’émir est le gouverneur d’une province à qui sont
délégués de larges pouvoirs administratifs, religieux, financier, judiciaire et
militaire. Il bénéficie des mêmes prérogatives que le calife à l’échelle de
province. En terre d’Islam, le souverain possède donc des pouvoirs religieux
en tant que guide spirituel.
La théocratie Byzantine :
L’Empire byzantin est une véritable théocratie. L’empereur est le « pieux élu
de Dieu », le lieutenant de dieu sur Terre. Il occupe dans la cité terrestre la
même place qui Dieu dans la cité céleste. Ainsi les pouvoirs politiques et
religieux sont étroitement associés. Il est dans la nature même du pouvoir
impérial d’intervenir dans la vie de l’Eglise. Cependant l’empereur est
accompagné de son rôle religieux par les patriarches. Les premiers d’entre
eux, le patriarche de Constantinople est la plus haute autorité religieuse de la
région chrétienne orthodoxe.
En 395, à la mort de l’empereur Romain Théodose I, l’Empire romain est
séparé en deux. Constantinople devient la capitale de l’Empire romain d’Orient
et les Empereurs byzantins se considèrent les héritiers direct des empereurs
Romain. A partir du 7e siècle, l’Empire Byzantin subit la poussé du Califat
Abbasside et perd ses territoires au proche Orient. L’empereur est reconnue
comme le représentant ou le messager du Christ. Cependant le patriarche de
Constantinople est également une autorité religieuse de premier plan. Il
dispose de son administration propre mais il est nommé par l’empereur. Les
deux pouvoirs sont complémentaires peuvent aussi susciter des rivalités.
L’expansion de l’islam à partir du 7e siècles, est extrêmement rapide toutes
autour de la méditerranée. Les premiers Califes s’imposent comme des
souverains mais aussi des chefs spirituels. Cependant la succession du
pouvoir après Mahomet créer des tensions : dés les premières décennies qui
suivent sa mort en 632, deux courants s’opposent, le sunnisme et le chiisme
eux même divisé en plusieurs mouvements. Le Calife et le souverain suprême
appelé chez les sunnites « le commandeur des croyants ». Au Moyen Age, on
distingue 3 principaux Califats :
- Celui des Omeyades, fondé en 661dont la capital, Damas est transférée
à Bagdad sous la dynastie des Abbaside (califat Sunnites)
- Celui des Chiites des Fatimides, fondée en 909, il installe sa capital au
Caire mais il va être renversé par Saladin en 971.
- Celui de Cordoue en Espagne, qui est proclamé en 929 mais démembré
en 1031
Les Terres d’Islam sont composées de nombreux Etats concurrents de même
que de nombreux courants religieux existent aux sein même de l’islam. Le
pouvoir Califal est donc concurrencé par d’autres formes d’autorités, celle des
Sultans ou celle des Emirs.
CHAPITRE 2 : Etats et Religions : une inégale sécularisation
Introduction :
La sécularisation désigne un phénomène historique par lequel une séparation
s’instaure progressivement entre le domaine religieux et le domaine publique
avec l’abandon par les églises de fonctions quelles remplissaient dans la
société civile ou politique. Ce processus de perte d’influence social de la
religion dans les sociétés contemporaines est particulièrement observable en
Europe notamment en France où toutes les statistiques constatent la baisse
de la pratique religieuse mais se vérifie moins aux Etats Unis par exemple.

Problématiques : Comment la question de la place de la religion dans


l’espace publique est-elle différemment envisagée selon les états ?
Jalon 1 : La laïcité en Turquie : L’abolition du Califat en 1924 par Mustafa
Kemal.

Jalon 2 Etats et religions dans la politiques intérieur des Etats Unis depuis
1945 :
Bible belt est un terme utilisé pour décrire une zone, une région géographique
et sociologique du Sud des Etats Unis comportant le Mississipi, Alabama,
Louisiane, Arkansas, Caroline du Sud etc… Elle relevé donc une zone ou
vivent de nombreux protestantisme conservateur qui joue un rôle important
dans la société et la politique
Aux Etats Unis le sécularisme est inscrit dans les textes fondateurs de 1787 et
1791 qualifiés de murs de séparation par le président Jefferson en 1802. LA
liberté religieuses est fondamentale, cela fait partis de l’identité américaine.
Donc il y a une sécularisation spécifique aux Etas Unis et donc les religions
sont aux cœur des libertés individuel. Aujourd’hui il y a la Bible Belt avec
l’émergence d’Eglises comme l’Eglise Evangélistes et on observe donc un
conservatisme religieux qui adopte certains thèmes de prédilections, comme
la révision de la loi sur l’avortement, l’insertion des théories créationnistes
dans les programmes scolaires ou alors le refus des droits homosexuelle.
Tout cela va devenir un marqueur politique. Via une institution qui se charge
de vérifie que tout se passe bien, c’est la cour suprême.
Résumer :
Billy Graham est pour beaucoup d’Américains, un homme très influent ayant
un lien particulier avec le sauveur mais aussi avec les deux présidents
américains M. Nixon et George W. Bush. Il c’est associes avec eux alors
qu’ils étaient républicains et lui démocrates.
On peut en déduire que le pouvoir de Billy Graham a été renforcé par les deux
président et leurs affluences mais aussi dans l’autre sens . Les présidents ont
joués de l’affluence du pasteur. Avec Billy Graham l’idée de la séparation
stricte entre l’Etat et religion au états Unis est revus et nuancer.
Bilan :
Contrairement à la méditerranéen médiéval, la places des religions est très
différentes dans les société contemporaine. Cependant il y a une forte
diversité des situations qui caractérises ce monde contemporain puisque le
degré de sécularisation de sociétés varient fortement. Il n’en demeure pas
moins que c’est cette mutation du rapport des sociétés a la sphère religieuses
qui a rendu possible l’émergence de la notion de laïcité. Enfin, depuis une
quarantaine d’année on observe un retour du religieux, retour qui a des
conséquences politiques.

ETATS ET RELIGIONS EN INDE :


Caste : groupe social homogène ayant le plus souvent une profession
héréditaire et qui occupe un rang déterminé dans la hiérarchie d’une société.
Fondamentaliste : conception radicale et intransigeant d’une religion, excluant
toute autre croyance et s’exprimant par la promotion pacifique des pratiques
liées à cette religion mais aussi parfois a la violence.
Hindouïté : terme inventée dans les années 1920 qui désigne le projet
politique nationaliste visant à transformer l’Inde en Etat hindou. Ce terme
s’oppose à ceux de « sécularisme » et de « multiculturalisme ».
Multiculturel : se dit une population ou d’un Etat reposant sur une pluralité de
cultures.
Sécularisme : de l’anglais « secularism ». Dans le cas de l’Inde, principe de
respect de la diversité religieuse.
A partir de son indépendance en 1947, l’Inde se construit sur la partition entre
l’Etat Indien hindou et les deux Etats voisins musulmans (le Paquistant et le
future Bangladesh) les institutions de l’Etat indien se sécularisent. Mais le
pays abrite de nombreuses religions et le fait religieux, accompagné de
tensions prend de plus en plus d’importance dans la vie politique indienne.
Problématiques : Quelle est la place des religions dans la vie politique
indienne ?
Jalon 1 : Sécularisme et dimension politique de le religion en Inde.
pages 416-417 :
Prélèvement des Complément et nuance
informations dans les pouvant être apporté :
documents :
Origines et principes du Commence avec empereur Ce compromis il doit tenir
« sécularisme » indien bouddhiste Asheka. IIIe compte des héritages
siècles, longue tradition de cultuelles et historiques de
multiculturalisme + l’Inde, mais c’est un pays
tolérance religieuse + très majoritairement
Ghandi et Nehru hindouiste. Les minorités
>laïcité + égalité entre sont localisées
majorités et minorités géographiquement et elles
confessionnelles peuvent être mis en
La sécularisme question dans un tel
accompagne la naissance contexte. Officiellement
de l’union indienne en l’Inde est un Etat
1947 et la partition des républicain et séculariste.
indes britanniques va se Chacun a le droit d’exercer
doubler de tensions son culte sans
ethniques et religieuses et discrimination y compris
l’Inde souhaite ne dans l’espace est les lieux
privilégier aucunes publiques. L’Etat doit
religions, tout en favorisant protéger toutes les
la liberté de culte et de communauté. On le sait
croyance et que ce car il y a plusieurs tensions
compromis devait entre hindouistes est
permettre la coexistence musulmans. Le respect de
pacifique entre les ce sécularisme quotidien
communautés c’est complique car il y a
une majorité hindou car
elle peut inquiéter les
minorités et on observe
donc le fondamentalisme
hindou.
L’Etat garant du Coexistence des religions
sécularisme en Inde dans l’armée indienne =>
chaque religion est
représentée
Bilan : un compromis
laïque toujours à affirmer
>sécularisme principe constitutionnel défendue et garantie par l’état fédéral
Jalon 2 : Les minorités : A l’aide des documents proposés préparer une
présentation oral de 5 mins a partir du sujet suivant : Comment et pourquoi le
nationalisme Hindou remet il en question le sécularisme indien ?
L’indépendance de l’Inde en 1947 s’accompagne de vives tensions entres les
communautés hindoue et musulmane. L’Etat Indien invente un modèle original de
régulation des religions et du politique pour tenter d’apaiser les tensions : le
sécularisme. L’Inde est un pays multiculturel, multiconfessionnel et pluri religieux
peuplé d’environ, 1,3 milliards d’habitants, qui a longtemps fait preuve d’un grand
esprit de tolérance. Cependant, depuis l'arrivée de la Bharatiya Janata Party (BJP) au
pouvoir, le nationalisme Hindou semble remettre en cause cette tradition séculière.
Comment et pourquoi le nationalisme Hindou remet-il en question le sécularisme
indien ? Le nationalisme Hindou provient d'une idéologie qui s'inspire des principes
de l'Hindouisme et défend la domination majoritaire des Hindous sur les autres
groupes religieux. Cette idéologie se caractérise par une opposition à tout ce qui est
étranger, notamment à l'islam et aux musulmans, qu'elle considère comme une
menace pour sa culture et sa civilisation. En outre, le nationalisme Hindou cherche à
rétablir les valeurs traditionnelles de l'hindouisme et est hostile à toute forme de
modernité ou d'occidentalisation. Ainsi donc, le nationalisme hindou remet
directement en question le sécularisme indien, une doctrine dans laquelle les
religions ne jouent pas un rôle important dans la définition des politiques publiques.
Les partisans du nationalisme hindou rejettent l’idée que toutes les religions doivent
être traitées de manière égale et préfèrent plutôt promouvoir la primauté de
l’hindouisme. Ils mettent également en avant un certain nombre de valeurs
conservatrices qui se distinguent nettement des principes modernes du sécularisme.
Les minorités religieuses indiennes sont nombreuses. Elles subissent une
discrimination croissante. Si l’Inde est majoritairement hindouiste, les minorités
religieuses représentent environ un quart de la population du pays. Dans certains
Etats fédérées, les minorités religieuses sont les plus importante. Certaines religions
sont nées en Inde comme l’hindouisme ou le sikhisme. D’autres sont extérieures au
pays comme le christianisme ou l’islam. Si la coexistence religieuse prévaut dans les
années 1950-1970, les dernières décennies se traduisent par des discriminations
croissantes à l’égard des minorités. Les religions sont de plus en plus
instrumentalisées a des fins politiques électoralistes et minorités revendiquent leur
identité religieuse face à la majorité hindoue et parfois les revendications prennent le
forme de violence extrême Par ailleurs, il convient de noter que le nationalisme
hindou n’est pas sans conséquences géopolitiques : il a contribué à renforcer les
tensions entre l’Inde et ses voisins musulmans (Pakistan et Bangladesh). De plus, ce
mouvement peut même conduire à des conflits armés si certains groupes radicaux
réussissent à imposer leur vision radicalisée de l’identité nationale indienne. Les
conflits sont nombreux depuis, la religion semble être un facteur essentiel. Toutefois,
ces rivalités se cristallisent au Cachemire, qui est une région stratégique sur le plan
géopolitique. Inclus dans l’empire Britannique, avec le statut d’Etat princier, le
Cachemire devient dès 1947 un facteur aggravant les tensions géopolitiques entre
l’Inde et du Pakistan. Les deux pays revendiquent le territoire pour des questions
religieuses. Les guerres et tensions ne cessent de secouer la région depuis 1947 . Et si
le Cachemire continue de nourrir des tensions, ce n’est pas uniquement pour des
questions religieuses, les raisons sont aussi géopolitiques. Le cachemire est un point
stratégique sur le plan géopolitique. En conclusion, on peut dire que le nationalisme
hindou remet en question le sécularisme indien par sa foi inaltérable en une identité
nationale fondée sur la primauté hinduiste. Il peut avoir des conséquences
géopolitiques graves telles que des conflits armés entre l’Inde et ses voisins
musulmans si certaines factions radicales parviennent à imposer leur vision
radicalisée du patriotisme nationaliste hindouiste.
Jalon 3 : Des enjeux géopolitiques : l’Inde et le Pakistan : Le Cachemir l’un des plus
vieux conflit du monde
Au Cachemire, c’est une course entre Pakistan et l’Inde pour s’approprier l’eau. Il a
premièrement le problème du a la construction de central électrique sur le même
court d’eau, la rivière Neelum et du coup une compétition de celui qui finira son projet
de central électrique en premier mais aussi premier, cela est confirmé par un
ingénieur pakistanais « Nous espérons finir avant les indiens » . Il y a une réelle
tension dans le répartition de l’eau entre les deux pays qui en ont tout les deux
besoins afin d’irriguer leurs cultures.
Bilan : Le conflit indo-pakistanais est souvent présenté comme un conflit dont le
moteur principal est depuis 1947 une opposition entre le Pakistan musulman et
l’Inde a majorité hindou. La facteur religieux est bien une donnée de conflit
ancienne. Toutefois au-delà des faits religieux, c’est plutôt une lutte d’influence entre
puissance qui se jouent entre le Pakistan, l’Inde est la Chine. C e conflit au Cachemire
relève donc également d’une dynamique plus politique de relations entre ces
puissances internationales sur lequel le religieux vient se greffer. Il concerne aussi
l’accès à l’eau. En effet, l’Indus et ses affluents sont frontaliers et traverse
indistinctement les deux pays. La situation géographique est à l’origine de tensions
puisque le Pakistan pays d’amont craint que l’Inde, pays d’avale ne vienne tarir la
ressources en eaux en raison de ses aménagements. Enfin ce conflit peut aussi
apparaître comme un problème interne dans lequel le facteur religieux (sans être
absent puisque le Cachemire est une région majoritairement musulmane) est
secondaire. Aussi les populations Cachemiries notamment la jeunesse supporte de
plus en plus mal la présence de l’armée indienne et se considèrent et état
d’occupation. Depuis les années 80-90, les tensions sont récurrentes contre la
présence indienne dans ses régions.

Inde-Pakistan, conflit inachevé, paix improbable ?


La région peut être et est considérer comme une zone conflictuel du aux très
nombreux affrontements militaires a quatre reprises et les multiples attaques
terroristes qui ont qui on touché l’Inde comme le très tragiquement célèbre attenta de
Mumbai le 26 novembre 2008. La menace nucléaire qui pèse sur les deux pays ne fait
qu’aggraver la situation qui est déjà extrêmement tendu. Les deux pays cherche aussi
à se nuire et le Pakistan en se reliant a la Chine ne fait que augmenter les tensions
avec l’Inde. L’intervention des Etats Unis dans ce conflit montre aussi l’ampleur que
les tensions on prit.
Bilan : Il semble compliqué d’envisagé une sortie rapide du conflit au Cachemire. A
l’échelle locale, les populations offrent quelques pistes en faveur de la paix. Ainsi les
communautés Sikh qui envisagent la création du corridor de Kartarpur entre l’inde et
le Pakistan afin de faciliter les déplacements de parte et d’autre de la frontière lors
des pèlerinages. A l’échelle régional, l’Inde et le Pakistan peuvent parfois eux même
apaisé les tensions afin d’envisager une coopération économique et commercial. Une
tel perspective est importante pour le développement économique équilibrer et
durable de l’ensemble de la région du sous-continent dont le potentiel est
considérable. Enfin a l’échelle international, l’intervention de puissance comme les
Etats Unis peut aussi être un élément de sortie du conflit. Mais tout ses éléments ne
semblent pas être réunis aujourd’hui pour entrevoir rapidement une tel issue
favorable.

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