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1 Introduction ........................................................................................................................................................3
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2 Le marché des ERP ............................................................................................................................................4
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2.1 Evolution du marché..................................................................................................................................4
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2.2 Les éditeurs du marché français des progiciels ERP...............................................................................5
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2.3 La clientèle des ERP par secteur d’activités. ...........................................................................................5
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2.4 La clientèle des ERP par taille. .................................................................................................................6
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2.5 Les modules ERP les plus vendus ............................................................................................................7
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3 La solution SAP .................................................................................................................................................8
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3.1 Présentation de l’entreprise .......................................................................................................................8
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3.2 La solution R/3...........................................................................................................................................9
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3.3 Modules du R/3 ..........................................................................................................................................9
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3.3.1 Module logistique. .............................................................................................................................. 10
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3.3.2 Module Gestion de la Production ...................................................................................................... 10
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3.3.3 Module Gestion des Ventes ............................................................................................................... 10
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3.3.4 Module Qualité ................................................................................................................................... 11
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3.3.5 Module Maintenance .......................................................................................................................... 11
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1 Introduction
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L’ERP est un progiciel gérant les flux internes de l’entreprise autour d’un élément
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central qui généralement est une base de données. Par conséquent, une solution ERP se
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définit comme un progiciel de gestion qui peut être appliquer aux différe nts domaines de
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l’entreprise. C’est pourquoi il existe différents modules ERP dits « solutions ERP » qui
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techniquement repose sur le même principe mais qui n’ont pas la même fonction. Il existe
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donc des modules dédiés à la gestion de la production (GPAO), à la gestion des ressources
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humaines, à la gestion commerciale....
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Cette notion a fait émerger l’idée que l’ERP pouvait être la colonne vertébrale du
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ERP offrent des solutions ERP clés en main, qui couvrent tous les domaines de l’entreprise.
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Pour comprendre ce que cache les solutions ERP, nous allons d’abord nous
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marché des ERP. Ensuite, nous nous attacherons à décrire les solutions ERP proposées par
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les grands éditeurs de ce type de progiciel. Nous pourrons alors voir comment les acteurs
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du marché vendent les solutions ERP. Enfin, nous consacrerons la dernière partie à
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d’information de l’entreprise.
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2 Le marché des ERP
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2.1 Evolution du marché
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Après deux années record, le marché de l'ERP connaît un ralentissement de s a
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croissance en 1999, +17,6%, portant les revenus licences à 1 991 millions de francs. Les
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éditeurs d'ERP ont pu compenser le tassement de leurs performances côté licences par un
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fort développement de leur activité de services. Ils affichent une croissance de l'ensemble
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de leurs revenus de 31,6% (licences, maintenance et services) à 4,5 milliards de francs.
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Les résultats en retrait enregistrés en 1999 sur le marché des licences ERP sont
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largement imputables à la proximité de l'échéance du passage à l'an 2000. Le faible niveau
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de la demande du marché, qui a décliné tout au long de l'année, a affecté les résultats de
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l'ensemble des éditeurs durant les trois premiers trimestres. Le marché a repris de la vigueur
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au quatrième trimestre 1999. Tous les éditeurs affichent un redressement de leur situation,
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Néanmoins, les éditeurs ont aujourd'hui à faire face à une profonde mutation des
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modèles commerciaux et marketing qui ont soutenu leur développement les années
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comptes qui a fait son succès, est arrivé dans une phase de maturité. Au vu des premières
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q L'opportunité du MidMarket
q La généralisation de l'offre étendue.
Le marché français des progiciels ERP 1998 et 1999, revenus des licences en millions de Francs.
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2.2 Les éditeurs du marché français des progiciels ERP.
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Les éditeurs du marché français de progiciel ERP, avec en gras les “big five” :
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Adonix, ASI Informatique, Baan France, Computer Associates, Concept Agresso,
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Deal Informatique, Exact Software France, Geac France, Générix, GTI Industrie, IBS
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France, IFS France, Intentia Consulting, Interlogiciel, JBA Présys, J.D. Edwards, Lawson
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Software, Mapics France, Navision Software France, Oracle France, PeopleSoft France,
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Prios Software, Prisme, ProAlpha France, Pyra France, QAD France, Qualiac Inférence,
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Ross Systems France, Sage France, SAP France, SATTI Informatique, Scala Business
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Solutions France, Sigal Informatique, Silverprod, Symix France, Systems and Computer
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Technology International, Vignon Informatique France.
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2.3 La clientèle des ERP par secteur d’activités.
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En 1999, l'industrie est restée le principal client des éditeurs de progiciels ERP. Les
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entreprises du secteur industriel ont absorbé 62,3% du marché des revenus licences.
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Cependant, les "industries" de Services ont été les plus dynamiques en 1999.
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Début 2000, 14% des entreprises industrielles avaient un ERP en projet, contre
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Les ventes de licences vers le secteur des Services aux Entreprises ont fortement
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augmenté en 1999 pour atteindre 8,7% du chiffre d'affaires licences du marché ERP. Les
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meilleures positions sur ce secteur sont détenues par JD Edwards, SAP, Intentia Consulting
et Oracle
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Les majors du marché ont compris la nécessité de se tourner vers le réservoir beaucoup
plus large des petites et moyennes entreprises. Les stratégies en direction du "MidMarket"
impliquent le développement d'une offre verticalisée pré-paramétrée, l'organisation d'une
équipe commerciale dédiée au MidMarket, et la création d'un réseau de distribution
indirect.
En 1999, le marché des très grands comptes a généré la plus grande part, en vale ur, de
l'activité des éditeurs de progiciels de gestion intégrés, soit 29,7% du chiffre d'affaires
licences du marché. Mais la plupart des grandes entreprises industrielles, elles sont 135 en
France à employer plus de 2 000 salariés, sont aujourd'hui équipées d'ERP. Les projets en
direction de cette cible de marché sont le plus souvent tournés vers la mise en place de
modules complémentaires (CRM, SCM, Business Intelligence, ressources Humaines).
Limité par le nombre total de Grands Comptes sur le marché français (535 en 1999), le
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nombre de projets en cours début 2000 sur cette frange de marché ne représente que 4.7%
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de l’ensemble des projets ERP initialisés.
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La frange haute et le cœur du MidMarket (entreprises de 500 à 2000 personnes) sont les
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segments les plus porteurs. Avec 22,3% des projets ERP en cours début 2000, cette frange
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du marché a représenté 46,4% du chiffre d'affaires licences en 1999. Le cœur du
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MidMarket (500 à 1000 personnes) est aujourd'hui le segment stratégique sur lequel les
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éditeurs leaders du marché ERP tentent de se positionner. Ils doivent compter avec des
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éditeurs de plus petite taille parfois positionnés sur des niches de marché.
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Le diagramme suivant donne la répartition du marché de l’ERP selon la taille des
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entreprises clientes :
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Une étude menée par IDC France début 2000 montre que, parmi les entreprises
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françaises aujourd'hui équipées d'un ERP (CA supérieur à 500 millions de francs), 40%
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d'entre elles ont d'ores et déjà intégré une solution de Business Intelligence à leur progiciel
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de gestion intégré. D'ici deux ans, les trois quarts de ces entreprises devraient disposer
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d'une solution ERP étendue à la Business Intelligence. L'extension de l'ERP vers les
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solutions de Supply Chain Management et de Customer Relationship Management devrait
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suivre la même tendance : 71% des entreprises auront intégré une solution de SCM à leur
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ERP d'ici deux ans contre 40% aujourd'hui, tandis que les deux tiers disposeront d'une
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solution ERP étendue au CRM contre moins d'un quart en 2000.
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Le diagramme suivant donne la ventilation du marché des ERP par modules
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applicatifs an 1999.
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3 La solution SAP
3.1 Présentation de l’entreprise
Parmi les 10 plus grandes compagnies américaines, 8 utilisent le progiciel SAP. Sur
les 10 compagnies américaines réalisant les bénéfices les plus élevés, 8 également ont
choisi SAP. SAP est cotée à la bourse de Francfort et de New York (NYSE).
En France, SAP est également leader sur le marché français des éditeurs de
progiciels de gestion intégrés avec 33,7% de parts de marché (Source IDC France - 2000 )
et un chiffre d'affaires 99 de 203,5 millions d'euros en progression de 44%. SAP France,
filiale fondée en 1987, emploie 560 personnes et compte plus de 650 clients parmi les
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sociétés françaises les plus prestigieuses. Il faut souligner le fort engagement de SAP
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France depuis 1997 sur le marché des moyennes entreprises qui représentent plus du tiers
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de sa clientèle.
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3.2 La solution R/3
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R/3 est un progiciel destiné à optimiser les processus de gestion d'une entreprise. Il
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est composé d'applications standard et couvre trois grands domaines : la Finance, la
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Logistique et la Gestion du Personnel. Pour chacun d'entre eux, R/3 offre des
fonctionnalités complètes qui permettent à l'entreprise de reproduire l'ensemble des flux de
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valeurs et de marchandises.
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Le système R/3 bénéficie d'une technologie parmi les plus avancées. Conçu de
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manière globale, il permet une mise en œuvre modulaire et progressive. Sa souplesse
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l'amène à s'adapter aux besoins spécifiques de chaque entreprise, son architectu re ouverte
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permet l'intégration facile de produits complémentaires tels que des applications Internet,
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SAP R/3 est multi-fonctionnel. Ses modules couvrent l'ensemble des fonctions de
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SAP R/3 est flexible. On peut installer tous les modules fonctionnels, ou seulement
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quelques-uns. SAP R/3 est entièrement paramétrable et s'adapte ainsi aux besoins et à la
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3.3.1 Module logistique.
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Le module MM (Material Management) concerne la gestion des articles d'un point
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de vue achats et gestion des stocks.
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Y sont intégrées des notions telles que :
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• Le calcul des besoins, des réapprovisionnements
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La gestion des achats
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o contrats, demandes d'achats, etc.
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o commandes de biens, de services
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• Mouvements de stocks
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réception de marchandises ve
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Inventaire
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• La planification de la production
• Le calcul des besoins (MRP I)
• PIC, PDP, MRP II
o Plan Industriel et Commercial : prévision des ventes (au niveau
entreprise)
o Plan Directeur de Production : prévision de la production (au niveau
usine)
o Calcul des besoins et des ressources (hommes et machines)
• Planification des capacités
• Contrôle de la fabrication
• Suivi de la production
• Calcul du coût de revient
• Gestion des nomenclatures
• Gestion des gammes
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• Les offres
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Les commandes clients
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• Les expéditions et livraisons
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La facturation
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• Système d'information commerciale
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3.3.4 Module Qualité
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Le module QM est dédié à la gestion de la qualité (Quality Management). Il inclus :
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o Planification de la qualité
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o Plan d'inspection
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o Contrôle qualité, documentation
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Le module FI (Financial) contient toutes les écritures des ventes et achats, lesquelles
se déversent dans la comptabilité générale via la comptabilité client ou fournisseur.
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3.3.8 Module Gestion des projets
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Le module PS concerne la gestion des projets. Il intégre :
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• Suivi de coûts et budgets
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Structuration des projets
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• Planning et calendrier
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• Intégration avec PM, PP et CO
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Système d'information
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• interface avec MS Project et Excel
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3.3.9 Module ressources humaines
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Le module HR (Human Resources) permet :
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3.4 Architecture de SAP
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SAP R/3 est composé d’une architectures à 3 niveaux. Le système SAP est constitué
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de l'ensemble des serveurs affectés à une seule et même base de données.
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une seule machine physique. C'est à ce niveau que s'effectue la gestion du d ictionnaire
physique de données, c'est-à-dire :
Pendant une transaction, les données sont stockées dans un buffer et c'est seulement en
fin de transaction que la mise à jour physique est effectuée. On dit alors que la validation
des données s'effectue par blocs.
Sur une machine SAP, au niveau applicatif, il existe 7 types de tâches correspondantes à
un service applicatif particulier. Ces tâches sont réparties sur un ou plusieurs serveurs et
gérées sous forme d'instances (ensembles des process d'un serveur).
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q B (Batch) Traitements en lot : tâche de gestion des traitements lancés en batch.
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M (Message) Message : tâche de communication intra-serveurs (sur une même
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machine).
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G (Gate) Passerelle CPIC : tâche de communication entre différentes machines
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distantes SAP.
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q S (Spool) Gestion des impressions : gestion du spool (file d'attente des impressions).
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Les tâches de type D,V,E,B,S donnent lieu à un ou plusieurs processus de travail.
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Chacun de ces processus est activé par le dispatcher (répartiteur) lorsqu'une requête
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utilisateur ou système a lieu.
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Le dispatcher analyse le type de tâche à effectuer et l'affecte au processus qui doit le
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traiter.
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• SAPGUI est en charge de dire quels sont les écrans et menus à afficher.
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4 La solution Oracle
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4.1 Présentation de l’entreprise
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Fondée en 1977 et basé à Redwood Shores en Californie, Oracle Corporation est le
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premier fournisseur mondial de logiciels pour la gestion d'information, et le numéro deux
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mondial du logiciel. Avec un chiffre d'affaires de plus de 10,9 milliards de dollars, Oracle
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propose ses bases de données, outils et progiciels applicatifs, ainsi que les services associés
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de conseil, de formation et de support, dans plus de 145 pays à travers le mond e a travers de
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43.000 collaborateurs.
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En France, le chiffre d’affaires de 2001 était de 2,4 milliards de FF. Oracle a un
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effectif de 1400 personnes à l’hexagone.
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gestion interne de l'entreprise (ERP). Les domaines couverts sont la Finance, les
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par projets.
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5 People Soft
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5.1 Présentation de l’entreprise
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PeopleSoft a été créé en 1987 en Californie USA. Présent dans la plupart des grandes
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villes du monde, notamment en Europe et en Asie, PeopleSoft est également coté en
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bourse (NASDAQ).
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Aujourd’hui, la société compte plus de 8000 salariés et plus de 4600 clients dans le
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monde entier.
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En l'an 2000, la société a connu trois grandes transformations : celle de l'industrie, celle
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de la société et celle des produits. Chiffre d'affaires groupe 2000: 1,7 milliard de dollars.
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PeopleSoft, solution "pur internet" couvre tous les domaines de la Gestion de l'Entreprise,
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depuis la Gestion de la Relation Client (CRM) à la Supply Chain, en passant par la Gestion
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A ce jour, plus de 4700 entreprises, réparties dans 107 pays, utilisent les applications
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eBusiness de PeopleSoft
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5.2 La solution
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5.2.1 Solutions pour les clients : PeopleSoft CRM
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PeopleSoft 8 CRM est la première solution CRM à fournir une intégration
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immédiate et parfaite entre les applications financières, les applications de gestion de la
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relation clients, de la chaîne logistique et des ressources humaines. Peo pleSoft 8 CRM est
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basé sur une architecture pur internet, sans aucun code sur le poste client nécessitant
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uniquement un navigateur web. De plus, seul PeopleSoft 8 CRM fournit des applications
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analytiques intégrées pour piloter en permanence toute les données de l'entreprise, et mettre
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en évidence les relations entre clients, produits, et canaux.
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5.2.2 Solutions pour les fournisseurs : PeopleSoft eProcurement, Financials.
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S’appuyant sur une architecture purement internet, facilitant l’interopérabilité
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apllicative et l’inter-connectivité entre places de marché, les solutions de gestion de la
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relation fournisseurs (SRM) permettent :
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et de taxonomies :
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- Agrégation du contenu
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- Catégorisation
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type
- Enrichissement de propriétés
- Support de règles spécifiques aux organisations d’achat
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La structure même de l'application permet de partager l'utilisation et les
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informations entre différentes entités, l'ensemble des règles de gestion étant stocké dans des
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référentiels partageables.
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Des fonctions telles que le workflow couplées aux outils de reporting intégrés,
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permettent une diffusion automatique et pertinente de l'information auprès des acteurs de
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l'entreprise.
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5.2.3 PeopleSoft Gestion des Ressources Humaines
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La solution PeopleSoft 8 SIRH (Système d'information Ressources Humaines) est
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destinée aux entreprises qui considèrent la gestion de leurs effectifs comme un avantage
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concurrentiel. C’est la synthèse de 14 années d’expérience dans le domaine des systèmes de
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gestion des ressources humaines.
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6 JD Edwards
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J.D. Edwards est une société cotée en bourse qui compte plus de 6000 clients.
L'effectif mondial est de 4500 personnes répartis dans 48 filiales et plus de 100 pays.
Fondée en 1977 à Denver (Colorado, Etats-Unis), propose une solution intégrée de gestion
d'entreprise B2B couvrant les domaines du CRM, de la Supply Chain, du Business
Intelligence, de l'ERP, une couverture internationale avec 48 filiales dans plus de 114 pays
et compte plus de 300 partenaires commerciaux au niveau mondial. A fin 2001, le chiffre
d'affaires atteint 874 millions de dollars. L'effectif total est aujourd'hui de 4900 personnes.
La compagnie attribue son succès à sa culture d'entreprise son engagement envers la qualité
de ses produits et son approche centrée sur le client.
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Maintenant, quelques données sur le produit :
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Nombre de clients : France : 360 Europe : 2100 Monde : 5800
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Exemple de clients en France : Lafarge, Carbone Lorraine, Stepan Europe,
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Hediard, CEVA santé animale.
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q Etendue du support : Support européen multi-langues basé en
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Angleterre pour la hot Line.
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q Prestation de services en France. Serveurs web utilisés : Microsoft IIS, iPlanet Web
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Server.
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Serveurs d'application utilisés : Websphere d'IBM, iPlanet Sun/Netscape,
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Environnement Microsoft.
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Systèmes de gestion de base de données : Oracle, Microsoft SQL Server.
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Systèmes d'exploitation supportés : Windows NT, Unix.
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7 La réalité du terrain : nécessité des EAI
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Durant des années, la communication au sein du système d’information a été
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réalisée en point à point pour aboutir au « modèle spaghetti » décrié par le Gartner Group.
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Pour sortir de ce modèle, les urbanistes de SI se sont orientés vers une structuration par les
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données du système d’information ce qui a abouti à la vague des progiciels de gestion. Le
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concept d’ERP est donc né de la nécessité de structurer les processus de l’entreprise et
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d’homogénéiser les transferts d’informations. Le concept, qu’on peut qualifier de
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« théorique », est de standardiser et de normaliser les échanges de données intra- et inter-
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organisationnels.
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Très vite un nouveau dilemme est apparu, l’ERP ne suffisait pas ou plus à tous les
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besoins des entreprises. En réalité les entreprises se lient rarement à un seul éditeur, c’est
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une règle économique primordiale. Une entreprise pourrait, par exemple, s’adresser à
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répondant à des besoins fonctionnels précis. Certaines de ces applications ont fait l'objet
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d'un développement spécifique, et d'autres sont des solutions packagées (SCM, solution
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CRM, etc.). En général, celles-ci ont nécessité des investissements importants. Les
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réorganisations d'entreprises sont des facteurs qui accentuent cette tendance. Cette
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hétérogénéité est inéluctable, et les DSI doivent composer avec cette réalité.
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De nombreux consultants pensaient que l’ERP serait «l’épine dorsale» des systèmes
d’information et que des applications, comme le Customer Relationship Management
(CRM) ou l’e-procurement, allaient graviter autour. Aujourd’hui, les points de vue
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commencent à différer. Les ERP sont encore – plus que jamais – des éléments essentiels du
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système d’information, mais ils n’en sont plus forcément la colonne vertébrale. Les
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différents outils doivent devenir de plus en plus intégrés et communicants.
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Les investissements des principaux éditeurs se portent vers des solutions métier et
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sur les technologies, en particulier sur les outils d’intégration et de communication, les EAI
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(Enterprise Application Integration). Nous assistons à l’émergence de plates-formes
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d’intégration de commerce collaboratif.
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En effet, depuis quelques années, une majorité de progiciels ne permettent plus à
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des programmes d'accéder directement à leurs tables internes stockées dans des SGBD. En
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contrepartie, ils proposent des APIs, des tables d'interface, des programmes d'injection et
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d'extraction, ce qui nécessite le développement de connecteurs (appelés aussi adaptateurs,
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extracteurs ou injecteurs), propres à chaque progiciel.
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On peut néanmoins classer les EAI en deux grandes catégories suivant le besoin
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d'intégration :
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1. ceux qui permettent d'alimenter une application à partir de données provenant d'une autre
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application que l'on regroupe sous la dénomination « Integration Server » ; ce sont plutôt
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2. ceux qui permettent la définition de nouveaux processus dans l'entreprise, que l'on
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capacités de « couplage fort » et donc synchrones. Ce sont des solutions pour lesquelles la
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Le schéma suivant illustre le processus de prise de commande client :
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3- Détermination du délais de livraison suivant le stock dans l’ERP et une gestion back-
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Une solution de type "tout intégré" entend se suffire à elle -même pour satisfaire
l'essentiel des besoins d'une entreprise. Un logiciel tout intégré cherche donc moins à se
distinguer sur la performance de l'ensemble de ses fonctions que sur l'exhaustivité de sa
couverture fonctionnelle. C'est entre autres avec cette promesse que les progiciels de
gestion intégrés d'éditeurs tels que SAP se sont imposés. En revanche une offre qui s'in scrit
dans une logique "best of breed" cherche à offrir la meilleure réponse technologique à une
problématique précise. Pour s'intégrer dans le système d'information existant de l'entreprise,
les logiciels de type "best of breed" doivent naturellement faire preuve d'ouverture. En
revanche, les logiciels conçus dans une perspective "tout intégré" se soucient moins de leur
aptitude à s'intégrer avec d'autres.
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Dans les faits, les grandes entreprises tentent de profiter des deux approches: beaucoup
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d'entre elles ont opté pour un grand progiciel intégré, ce qui ne les empêchent pas de retenir
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une solution spécialisée pour traiter un problème pointue ou critique pour leur activité. Il
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faut aussi noter que le souci croissant des entreprises pour la relation client a relancé ce
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débat entre "tout intégré" et "best of breed". En effet, dans le domaine de la gestion de la
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relation client, peu d'éditeurs peuvent se targuer de tout faire correctement.
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Puisque le système d'information des entreprises reste hétérogène, les défenseurs du
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"tout intégré" revoient leur position, c'est surtout le cas de SAP qui reconnaît désormais
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qu'il n'a pas le monopole des systèmes d'information des entreprises qui ont retenu ces
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solutions. L'éditeur, notamment via sa filiale SAP Portals en charge de l'élaboration des
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solutions de portails d'entreprise, travaille sur les aptitudes de ses logiciels à intégrer
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d'autres offres.
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9 Quelques idées pour conclure.
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Grainger, un grand distributeur américain d’équipements pour les chaînes de
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fabrication et de pièces détachées a installé un ERP de la gamme SAP R/3. Le distributeur a
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vu ses bénéfices chutés de 45%. Le porogiciel installé n’était pas adapté à la complexité de
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l’entreprise.
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Le Gartner Group prédit la fin des ERP : le modèle traditionnel des ERP serait déjà
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mort face à l’émergence d’un nouveau modèle, le c-commerce ou collaborative commerce.
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JD Edwards est moins catégorique : le gestion des flux internes de l’entreprise peut
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s’appliquer à la gestion des flux externes (clients, fournisseurs), le tendance étant orientée
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l’ERP doit ou pas être au centre de celui-ci, il faudra attendre 2004 pour en avoir la
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confirmation.
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