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CEAU.E.

[FALLAIT PAS L'INVITER]

[Racim LONGOU]

Animateur : RADI selma


Scribe : BENAZIZ Rayane
Secrétaire : DOUDOU MANIL
Gestionnaire : HALAOUA Sidali

 22-11-2023 – Groupe 2
1. Mots clés :

 système d'acquisition audio.


 un signal dans les hautes fréquences.
 un fichier volumineux.
 erreur à la réception.
 synchrone.
 sous quelle forme le message sera transmis.

2. Mots à définir :
 Erreur à la réception : Une altération des données lors de leur réception,
causée par des interférences ou des problèmes techniques.
 Fanion : Un marqueur de début et de fin dans une transmission de données,
permettant de délimiter les trames.
3. Contexte :
- L'agent Leblanc a posé des questions au chef de projet Georges sur la
viabilité de la solution, la sécurité, la synchronicité et le débit de
transmission.

4. La problématique :

Comment est-t-il possible de prendre en considération toutes les demandes


du responsable LEBLANC, et de les intégrer dans la solution actuelle.

5. Les contraintes :

 Le schéma.
 Le temps limité.

6. Plan d’actions:

- Etudier les types de transmission (synchrone et asynchrome, simplex,


half-duplex, full duplex) :
- Transmission synchrone :
- La transmission synchrone implique l'envoi de données en blocs ou en
trames à intervalles réguliers, synchronisés avec une horloge commune.
L'émetteur et le récepteur sont synchronisés temporellement, utilisant
généralement une horloge intégrée ou des signaux de synchronisation.
- Synchronisation temporelle : Les données sont envoyées à un rythme
régulier, aligné sur une horloge commune. Chaque bloc de données est
transmis à des moments précis déterminés par cette horloge partagée.
- Fiabilité accrue : Grâce à cette synchronisation stricte, la transmission
synchrone offre une fiabilité supérieure, réduisant les erreurs de
transmission sur de longues distances et à des vitesses élevées.
- Efficacité : En minimisant les intervalles entre les données et en
synchronisant l'émetteur et le récepteur, ce mode est plus efficace pour
les transferts massifs de données sur de grandes distances.

- Transmission asynchrone :
- La transmission asynchrone, à l'inverse, transmet les données de
manière individuelle sans relation temporelle fixe entre elles. Chaque
caractère ou octet est envoyé indépendamment et encadré par des
signaux de départ et d'arrêt.
- Absence de synchronisation temporelle : Contrairement à la
synchronisation stricte de la transmission synchrone, les données sont
envoyées sans alignement sur une horloge partagée. Chaque caractère
est envoyé indépendamment des autres.
- Début et fin de trame signalés : Chaque octet est encadré par des
signaux de départ (start bit) et d'arrêt (stop bit), indiquant le début et la
fin de chaque transmission. Un bit de parité peut être utilisé pour la
détection d'erreur.
- Flexibilité : La transmission asynchrone est plus flexible pour des
transferts de petites quantités de données ou des vitesses variables, ne
nécessitant pas une synchronisation stricte entre l'émetteur et le
récepteur.
Simplex :
Le mode de transmission simplex permet le transfert unidirectionnel
des données, autorisant la transmission dans une seule direction à la
fois. Ce mode ne permet pas la communication bidirectionnelle
directe. Un appareil envoie les données et l'autre les reçoit sans
possibilité de réponse directe. Par exemple, les émissions de radio FM
ou les diffusions télévisuelles classiques utilisent ce mode, où les
données sont transmises d'une source vers plusieurs récepteurs sans
interaction directe.

Half Duplex :
Le half duplex offre une communication bidirectionnelle, mais les
échanges ne peuvent pas se faire simultanément. Les appareils
peuvent envoyer et recevoir des données, mais pas en même temps.
Lorsqu'un appareil envoie des données, il ne peut pas recevoir
simultanément et doit alterner entre les modes d'émission et de
réception. Par exemple, les talkies-walkies utilisent souvent ce mode,
où un utilisateur doit appuyer sur un bouton pour parler et relâcher
ce bouton pour écouter.

Full Duplex :
À l'inverse, le full duplex permet la transmission simultanée dans les
deux directions. Les deux appareils peuvent envoyer et recevoir des
données en même temps, ce qui offre une communication plus fluide
et un débit plus élevé. Cela se traduit par la possibilité de parler et
d'écouter en même temps lors d'une conversation téléphonique ou
lors de l'utilisation d'une connexion Internet haut débit. Cette
méthode permet une interaction bidirectionnelle continue et
simultanée entre les parties communicantes.
- Étudier le format de la trame donnée :
- Voici la tramme qui nous est donnée

o Nous pouvons voir qu’elle se compose de :

- 2 Fanions : Cruciales dans la transmission asynchrone, ils servent à


marquer le début et la fin de chaque trame

- Adresse : La section adresse contient l'information sur le destinataire de


la trame. Cela permet au réseau de diriger la trame vers la bonne
destination, en s'assurant que les données atteignent le périphérique ou
le nœud correct.
- Contrôle : La section de contrôle joue un rôle essentiel dans la gestion
des aspects opérationnels de la transmission. Elle peut inclure des
informations telles que le type de trame, des indicateurs de contrôle de
flux ou d'autres mécanismes de gestion de la communication.
- Protocole : Cette partie spécifie le protocole utilisé pour formater et
interpréter les données contenues dans la trame. Cela peut inclure des
informations sur la manière dont les données doivent être traitées,
décodées et présentées une fois qu'elles atteignent leur destination.
- Données : Composée d’un nombre arbitraire d’octets qui varie en
fonction du type et nombre de données transmises, elle
- représente le message lui-même
- FCS (Frame Check Sequence) : Les trames sont généralement
accompagnées d’un code ou clé, qui sert au récepteur comme outil de
vérification d’erreur, elle peut être un ou plusieurs bits de parité, le reste
d’un division polynomiale…ect
- Variable : Cette section est réservée à des informations variables,
pouvant être utilisées pour diverses fins en fonction des exigences du
système ou du réseau. Cela pourrait inclure des champs optionnels ou
des informations supplémentaires nécessaires pour une communication
particulière.
-
- Faire des recherches sur les différentes méthodes de détection
d’erreurs :
o Il existe plusieurs méthodes de vérification d'erreur de trame,
chacune ayant ses propres mécanismes et avantages. Voici
quelques-unes des méthodes les plus couramment utilisées :
- 1. Checksum :
o Fonctionnement : Cette méthode consiste à ajouter un champ de
contrôle à la trame, généralement un ensemble de bits calculés en
fonction de la somme des valeurs des octets de données. Le
récepteur calcule à nouveau la somme et vérifie si elle correspond
à celle reçue. Si elles diffèrent, une erreur est détectée.
- 2. CRC (Cyclic Redundancy Check) :
o Fonctionnement : La CRC est une méthode plus avancée où un code
de redondance cyclique est ajouté à la trame. Un polynôme
générateur est utilisé pour créer ce code à partir des données. Le
récepteur utilise le même polynôme pour recalculer le code et
détecter toute altération des données.
- 3. Parité :
o Fonctionnement : La parité est une méthode simple où un bit de
parité est ajouté à la trame pour rendre le nombre total de bits
égaux à un nombre pair ou impair. Le récepteur vérifie la parité
pour détecter les erreurs simples dans la trame.
- 4. Checksum Internet (IPv4) :
o Fonctionnement : Dans les protocoles Internet comme IPv4, un
champ de checksum est inclus dans l'en-tête IP pour vérifier
l'intégrité des données de la trame. Le récepteur utilise ce champ
pour vérifier s'il y a eu des altérations lors de la transmission.
- 5. Codes de Hamming :
o Fonctionnement : Ces codes détectent et corrigent les erreurs dans
les données en ajoutant des bits de redondance aux données. Ils
peuvent non seulement détecter, mais aussi corriger les erreurs,
ce qui les rend très utiles pour des transmissions plus fiables.
- 6. Codes de Reed-Solomon :
o Fonctionnement : Principalement utilisés dans les supports de
stockage numérique et les transmissions sans fil, ces codes
détectent et corrigent les erreurs en ajoutant une redondance
substantielle aux données, ce qui les rend robustes face aux
perturbations.
- Chaque méthode a ses propres capacités en termes de détection et, dans
certains cas, de correction des erreurs. Le choix dépend souvent des
exigences spécifiques de la communication et des ressources disponibles
pour l'implémentation.

- Étudier les différentes méthodes qui permettant de transmettre les


données selon leur quantité :
o La transmission de données selon leur quantité peut être optimisée
grâce à une variété de méthodes et de technologies :
- Transmission série et parallèle :
o La transmission série implique l'envoi bit par bit sur un canal
unique, idéale pour les longues distances.
- En parallèle, les données sont transmises simultanément sur plusieurs
voies, efficace pour les courtes distances.
- Technologies de communication (Half-Duplex, Full-Duplex, Simplex) :
o Le mode Half-Duplex permet une communication dans les deux
sens mais pas simultanément, comme avec un talkie-walkie.
o Le Full-Duplex autorise la communication simultanée dans les deux
sens, utilisé dans les appels téléphoniques ou sur Internet.
o Le Simplex permet une communication dans un seul sens, par
exemple dans la diffusion télévisée.
- Transmission synchrone et asynchrone :
o La transmission synchrone se base sur une horloge partagée,
adaptée aux communications à haut débit.
o À l'inverse, la transmission asynchrone se fait sans référence à une
horloge commune, couramment utilisée dans les communications
série comme les transmissions UART.
- Modes de transmission en rafale et en continu :
o En rafale, les données sont envoyées en blocs, suivis d'une pause,
bénéfique pour économiser de l'énergie.
o La transmission en continu implique un flux ininterrompu de
données, idéale pour la diffusion en continu de médias.
- Multiplexage temporel (TDM) et fréquentiel (FDM) :
o TDM permet à plusieurs signaux de partager un même support
physique en utilisant des intervalles de temps dédiés.
o FDM, lui, utilise différentes fréquences pour partager le même
support physique entre plusieurs signaux.
- Compression de données :
o La compression sans perte réduit la taille sans perdre d'information,
exemples : ZIP, gzip.
o À l'inverse, la compression avec perte diminue la taille en sacrifiant
une certaine quantité d'information, exemples : JPEG, MP3.
- Modes de transmission (rafale et streaming) :
o La transmission en rafale se fait en blocs discrets, tandis que la
transmission en streaming est continue.
- Protocoles de communication adaptatifs :
o Ces protocoles ajustent dynamiquement la méthode de
transmission en fonction des conditions du réseau et de la
quantité de données à transmettre.
-
- Répondre aux questions de Mr. LEBLANC :
o Il semble que l'Agent Leblanc a soulevé des questions cruciales
auxquelles il faut répondre pour garantir la fiabilité et le succès du
projet:

- Concernant la transmission de fichiers volumineux :


o Nous devons mettre en place une méthode pour découper les
fichiers volumineux en paquets de données gérables. Cela
permettra d'assurer un envoi progressif et fiable, garantissant ainsi
l'intégrité des données.

- Format de transmission des données :


o Nous devons définir un format standardisé pour les données
transmises, incluant des informations d'identification, de contrôle
d'intégrité et de validation des données. Cela garantira
l'authenticité et l'intégrité du message à la réception.

- Garantir l'intégrité, la complétude et l'authenticité des données :


o Nous devons mettre en place des techniques de vérification
d'erreur telles que les codes de hachage ou les signatures
numériques pour garantir que les données reçues sont complètes,
non altérées et authentifiées.

- Protocole de communication :
o Nous devons examiner la possibilité de mettre en place un
protocole de communication asynchrone pour une transmission
plus fiable, permettant la gestion des erreurs et des accusés de
réception.

- Débit de transmission :
o Nous devons effectuer des tests pour évaluer le débit de
transmission réel que notre solution peut atteindre, en tenant
compte des contraintes de l'environnement et des systèmes en
place.

- Vérification de la faisabilité technique :


o Nous devons approfondir les tests techniques pour confirmer la
faisabilité de notre approche synchronisée, en prenant en compte
les ressources disponibles et les spécificités de l'environnement.

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