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soit 270, Valo, on pose :

+a
Ila) = éteint + t'at

on pose fin,t) = éteint + "

• t ↳ e- teint pdt est Cpm ar IR + , et est intégrable ar Rt


(elle est égale à f- α-'to (R1) lorsque + → o) (/éteint t'1re")

• fa (nit) = it éteint + α-i


- i éteint + α

lie-teint +4 (et intégrable sur Rt.

D'après le tn de dérivation sous le signe intégrale, I est


dérivable et Vu EIR+, t'(a) = if éteint +" dit

* ◦
- i I'in)= ! éteint Hdt

Ipp : on pose µ = et" " n'= (in-1) elin-1)t

v'- t" V = ¥2

I (n) = clin-1k¥/! - (in-1) [elin-Ht t'dt

I (n) -(in-1)
α L-I I ' (n))

I (n) = -a-i I '(n)


α
on a / du = x-i du = /¾ du -i/¥, du
ita n'+1

= 1- km + 1) -iarctan (a) + k
D'où I (a) = Ce-α (11^471)-iarctanin))

= C /n(n'+ 1) -& eidarctanin)

or I (o) - C - r (L)

Donc ∀a ∈ /Rt, I (a) = T (2) Inch)-½ eidarctan (a) .

+A
2) Ila) = e-teint t'-'et

Changement de variable u = at

I (a) =
+ " e-frein "du
n
ta
e- En ein na-l
= 1

0
Lorsque se → tu, on a é"> 1 et on s'attend à ce que
la dernière intégrale tende vers Jtn). C'est le dernier pt que nous
allons montrer. On ne peut pas ici utiliser directement le thon de
continuité sous le signe intégral sur tout le domaine d'intégration.
Définissons :

I : IR + ¢
tu
9H ! e-"ein" du.

Pour 970, l'existence de Ily) est immédiate.


Pour y ⇒ , existe d'après Abel. Pour montrer la continuité en 0,
on va mg I est limite uniforme de fut continues. On considère
la suite de fer (In) définie par.
Un EIN *, ∀ y 70 , In (y) = j"e- "J e""et" du
Un
La seconde formule de la moyenne donne

∀n E IN *, ∀ 970, ∀ ✗ In, ∃ a, b) n, b

{e-"ein"du = e-" (J cosu n' "du + i /sinn u"du)


n

donc ∀ ne IN * et ∀ g) 0,
t
1Înly)-Icy)/≤ Ju" du + sup loser n'" du/t HP/J sinn n' "de/

Hn
on en déduit que (In) " "I sur IR. Le thm de continuité sous
le signe intégral assure la continuité en 0 Un EIN *, donc I, limite uniform
de fonctions continues sur IR+, est continue sur 1kt. En particulier, I
est continue en ot ce qui s'écrit aussi
Ems n'Ica) = 5/α)

D'après le résultat précédent

J (2) = FIL) e "Ê

kf+02" Il N

= à'-M> + un" r (d) In(n'+ 1)-½ eitarctan (a)

= Lift (L) eidarctan (n)

= r(α) et
soit 4, la fonction 2T-périodique définie par are ¾t
Vu ∈]-IT ; T], ou'JE ¢1 Litz.

4 est C'par morceaux su IR tes coeff de fournir tout :

1 (e? e-in)"
Ca/4) = ¼ § Et e-"""du = ¼- zut-ni -t

- ^ (Ei"-Ée:")
3- 2in
= 1-11" ((¾-e- ¾)
3- 2in
le thon de Dirichlet permet d'affirmer que sa série de Fourier
cug en tout point vers 114 int) + Yin-1) .

on va appliquer le thon à un pt de discontinuité, par ex T :

½ le"+ e-¾) = (ê"-é") [C-1) ein'


HEIN 3"- Litta

½ (ez + 1) = (es-1) Σ 3 +2in


NEIN 32+41742
z
½ te¼-⅓ + 2E
4=1 32 + 4Th?

finalement, on obtient ∀ z E ¢1217 :

= 1- ? + 2E 5
f13) =Lê-1
nil 37411m²

Il reste à développer cette somme en série entière.


Pour cela, on se place sur le disque 13152T (pour avoir/¾,{a)4)

3" = 32 1 32 . [C- 1)"8ᵗʰ


J'+ 4Th 4th "1- 3ᵉ 41T'n' K-O (4Th)
4Th?
= ET 4)"'z"
(2/Tn) 2k

On cherche à inverser l'ordre des séries ci - dessus, et pour u


on prouve la convergence normale par rapport à k :

[131
(LT a)⅔
2k est Une série géométrique de raison 41, CV (Ig/(LT)

Donc, on peut changer l'ordre de sommation et, au DCO, 2H10 :

32k
A) = 1- ? + 2E ET 1-1)"
(2 Tn) 2k

" "pr
→ -¾ + 2 Ent (ut " (En ¼)8ᵗʰ

Pour conclure, il reste à remarquer que et-1=3+013) en 0.


donc j admet un prolongement sur continuité fco 1=1, et l'égalité
précédente reste valable en 0. On en déduit que le dulpt est
valable N DCO, 2T) et on ne peut pas espérer mieux, vu que
f. → a en LIT

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