Vous êtes sur la page 1sur 2

Devoir cinéma Prépas, Marc MAGNI, 1er semestre 2023

Dossier à déposer AVANT le 4 janvier 2024, via : https://forms.gle/HGEHG59G4AD5XeRaA


Merci de noter votre nom et prénom dans l’intitulé du document

NOM PRENOM

Partie I 10 pts
Dans les questions suivantes, entourez la bonne réponse : 1 points par bonne réponse
1) Riciotto Canudo est l’inventeur de l’expression « 7ème art. » oui non

2) La 1ère séance cinématographique était payante oui non

3) Les Frères Lumière pensaient que le cinéma était un art. oui non

4) Les œuvres des frères Lumière sont des films de fiction. oui non

5) La sortie des usines Lumière est un documentaire oui non

6) Georges Méliès n’aimait pas les effets spéciaux. oui non

7) Voyage dans la lune est un documentaire oui non

8) Georges Méliès pensait que le cinéma n’avait aucun avenir oui non

9) Georges Méliès est l’inventeur de l’effet de « surimpression » oui non

10) Georges Méliès est le précurseur du cinéma fantastique oui non

Partie II 10 pts
Expliquez à partir de votre plus belle expérience cinématographique comment le montage expressif ou
narratif ou peut-être même les deux a produit sur vous les effets attendus par ce qui constitue le
fondement même du langage filmique. (10 pts)
Soignez l’orthographe et pensez à vous relire !
Quand on parle du montage, il faut admirer le premier tome de The Godfather réalisé par le
cinéaste Francis Ford Coppola. Dans un extrait de cette œuvre, les deux types de montage se
mélangent pour faire avancer la narration d’une histoire. Je suis fascinée par l’atmosphère et la
tension créées par le génie cinématographique dans le premier coup d’œil.

Michael, le chef successif de la famille Corleone, participe à la cérémonie de baptême de l’enfant


de sa sœur et est désigné comme parrain, tout en se préparant à éliminer les ennemis de sa
famille. Coppola adopte le montage expressif et le montage narratif pour souligner le
changement intérieur du personnage-clé, Michael.

Des prières résonnent dans l’église sainte, débutant par une vue d’ensemble de la cérémonie de
baptême, puis se focalisant sur le rituel lui-même, où le saint prêtre récite sérieusement des
passages de la Bible en italien. La scène se déplace aux images de plusieurs tueurs se préparant.
Le son d’arrière-plan reste celui des prières dans l’église. Les séquences alternent entre les morts
des opposants et les mouvements du prêtre. À la fin de cette séquence, les deux combinent et la
scène se fige sur le visage du nouveau chef. D’un autre côté, le montage expressif n’est pas
présenté assez clairement que celui-là. Mais à mon avis, la scène du baptême dans l’église
symbolise la renaissance, tandis que la scène d’assassinat des tueurs représente la mort. Les
deux forment un contraste frappant. Michael fait des promesses de foi en Dieu et rejette Satan,
tandis qu’il commet des actes criminels en tuant pour les opposants. Il n’a pas rejeté Satan, mais
au contraire, s’en rapproche de manière infiniment.

Au-delà des montages scéniques, le réalisateur doué de mettre le son en scène comme un indice
caché à l’intérieur. Tout au long de l’extrait, il n’y a que des sons provenant de l’église. Cela peut
créer une atmosphère contrastée et connecter la conversation entre les deux scénarios.

C’est tout ce que je comprends à propos de l’utilisation du montage dans l’extrait de ce grand
film. À partir de cela, les expressions et les incarnations d’acteurs sont très impressionnantes,
surtout celui qui joue le rôle de Michael.

Vous aimerez peut-être aussi