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Bataille d'Elhri
La bataille d'Elhri (en amazighe : ⴰⵎⵜⵡⵉ ⵏ
ⵍⵀⵔⵉ - Ametwi en Lehri), appelée en France
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Bataille d'Elhri
affaire de Khénifra ou combat d'El-Herri ,
est une bataille qui a opposé l'armée française et
la tribu amazighe des Zayanes près du village
d'Elhri (ou Lehri) à environ 15 km au sud de
Khénifra au cours de la « pacification du
Maroc ».
indépendantes de la montagne.
Contexte historique
(Voir situation sur carte : Maroc)
Plan d'action dans le cadre de la (Voir situation sur carte : Afrique)
pacification
L'Europe embrasée par la guerre, les autorités coloniales se trouvent devant le problème de
soumettre le protectorat marocain pour compenser la supériorité du Reich. La France voyait dans
le Maroc un pays contributeur à la guerre, mais insoumis. Une grande partie du pays menant une
lutte acharnée contre l'occupant, le gouvernement de Paris décide d'envoyer toutes les troupes
stationnées au Maroc dans les ports atlantiques ; ce qui implique à la fois l'abandon des postes
avancés répartis dans le territoire marocain et de garder les axes stratégiques qui mènent au
Moyen et au Haut Atlas.
Cette opération entre dans le cadre de la politique militaire dite de « jonction » entre le nord et le
sud du Maroc.
Cette décision du gouvernement de Paris peut mettre en péril les troupes restantes au Maroc et
fragiliser la présence française. L'inquiétude de Lyautey l'oblige à s'exprimer ainsi : « Si nous
commençons à évacuer, nous sommes fichus, si nous lâchons la moindre partie du front (...) ce sera
la boule de neige », avec 20 bataillons il continuera sa conquête du Maroc dans une situation quasi
périlleuse. Lyautey s'engage à mener une guerre contre les redoutables tribus berbères (Zayanes,
Ichikirne, Aït Atta, les Aït Seghrouchens (Sidi Rehou), les Ait Attas (Assou Oubasslam);, Ait
Hdiddous, Aït Sadden, Aït Ndhirs (Beni M’Tir) sous le commandement de Mohand N'hamoucha,
les Ait Ouirra dont le chef est Mouha Ou Saïd Ouirra (El Ksiba), Sidi M'Ha Ahansali fameux chef
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marabout de la zaouïa d'Ahansal (Région d'Azilal : tribu des Aït Messat) etc., sensibilisés par la
propagande de Constantinople (alliance turco-germanique) qui prêche la guerre contre les roumis
(chrétiens).
Cependant l'aide aux rebelles par les services secrets allemands et espagnols ne tarde pas à faire
effet par l'approvisionnement en armes.
Les bastions de résistance tombent les uns après les autres : Mediouna, le 27 septembre ; Oued
Zem le 14 novembre; Tadla ; Beni Mellal. Elkssiba tombe aussi le 8 avril 1914, devant les forces du
colonel Gueydon de Dives malgré les attaques de Mouha Ou Said et Mouha Ou Hammou Zayani.
La défaite des rebelles, avec 400 morts, le 10 juin devant Khénifra, puis la prise de la ville le 13,
semble avoir seulement marqué la défaite de la résistance au Moyen Atlas. Les tribus Zayanes, bien
qu'engagées n'ont pu empêcher Mangin d'atteindre ses objectifs, et la prise de Tadla et de Boujaad
les laissent isolées au sein de leurs montagnes. « Notre offensive a vivement impressionné les
tribus de la montagne » déclare le colonel Mangin et il félicite les hommes du 1er régiment
d’artillerie de montagne, par ce télégramme : « no 139 - Bravo ! Toute ma satisfaction :
Campagne de Khénifra
Première phase
Cette opération entre dans le cadre de politique militaire dite de "jonction" entre le nord et le sud
du Maroc. L'offensive est appuyée par les moyens du 1er régiment d'artillerie de montagne
débarqué à Casablanca le 13 septembre 1913 et semble irrésistible. L'armée française déploie toute
la panoplie des nouvelles armes à sa disposition : mitrailleuse, artillerie, aviation, … opérations
menées par le général Charles Mangin venant de Tadla et comme poste d'appui la garnison de Sidi
Lamine, l'autre venant de Meknès commandée par Henrys et comme postes d'appuis : camp du
caid Itto près d'Azrou, camp de Timahdite et de Aïn Leuh. L'occupation de Khénifra est imminente,
l'assaut fut prévu le 10 juin 1914.
La prise de Khénifra (1914) est signalée par la poésie dans ces vers :
Mouha Ou Hammou quitta Khénifra pour s'installer à Elhri.
Deuxième phase
La prise définitive de Khénifra, le 20 août 1920, par Henrys et ses collaborateurs est marquée par
la soumission du futur Pacha Hassan Amahzoune et ses frères au général Poeymirau.
La bataille d'Elhri
Préparatifs de la bataille
Le 12 septembre 1914
▪ 3 bataillons :
▪ 1 bataillon d'infanterie coloniale (1er bataillon d'infanterie coloniale du Maroc (1er
BICM)),
▪ 1 bataillon de tirailleurs sénégalais (5e bataillon de tirailleurs sénégalais (5e BTS)),
▪ 1 bataillon de tirailleurs algériens (3e bataillon du 5e régiment de tirailleurs algériens
(5e RTA)) ;
▪ 1 escadron de spahis (4e régiment de spahis tunisiens (4e RST));
▪ 1 batterie de 75 ;
▪ 1 batterie de 65 ;
▪ 1 section de munitions ;
▪ 1 ambulance et divers services ;
▪ 1 Goum ;
▪ 1 Makhzen.
Khénifra est soumise quotidiennement aux attaques des tribus Zayanes avec pertes en hommes des
deux côtés. Le ravitaillement va en outre se faire plus rare. La garnison va dès lors être strictement
rationnée. Le colonel Laverdure commandait le territoire Zayan et exerçait en même temps la
fonction de commandement de la garnison de Khénifra.
Déroulement de la bataille 10
La bataille d'Elhri commence par une attaque imprudente du colonel Laverdure, commandant du
territoire de Khénifra, contre le campement de Mouha Ou Hammou Zayani (installé à Elhri à
quelques km de Khénifra après l'occupation de la ville en juin 1914). À la tête d'une colonne de 43
officiers et 1 230 hommes, venue de Khénifra, il attaque le campement rebelle à l'aube vers 6
heures, malgré les ordres qui lui interdisent formellement toute sortie [...]. Cette décision semble
avoir été inspirée au colonel Laverdure par un mokhazni zayan, récemment passé du côté colonial
et désireux de se venger de Mouha Ou Hammou.
Surpris et désorganisés, ces derniers n'opposent qu'une faible résistance. Alors que les troupes
coloniales se livrent au pillage, Mouha ou Hammou Zayani échappe de peu à la capture en se
faisant passer pour un serviteur noir, grâce à sa femme berbère, Zayania Itto, qui prit l'initiative de
mettre du charbon sur le visage de son mari afin de lui assurer le camouflage escompté, des
femmes de Mouha Ou Hammou furent enlevées : Zahra Taarabt, Yamna Atta, Mhjouba et
Tihihhit ; une tuée dans son lit Mimouna Nhmad, lui ont été rendues par Henrys quelques jours
après leur enlèvement.
Événement exprimé poétiquement dans cet extrait du "chant de guerre" traduit par l'officier
interprète le capitaine Mohamed Ben Daoud. "Je frissonne à la seule idée de chanter cette grande
et malheureuse journée de vendredi. C’est pour toi, Ô gracieuse Zahra au sourire si délicat, c’est
pour Yammna Atta à la taille de guêpe". La contre-attaque immédiate des contingents Zayanes
accourus d'Adekhsal, d'Arouggou, les Aït Bouhaddous, les Ichkirns dévalent du jbel Bouguergour et
du jbel Bououzzal (Montagne de fer) surprend les assaillants. Les Imazighens attaquent avec
fougue les derniers débris de la colonne.
Le capitaine Pierre Kroll, resté avec trois compagnies pour défendre la garnison de Khénifra, ayant
réussi à informer Lyautey de la sanglante bataille d'Elhri, le général Henrys sera déterminé à
frapper fort pour venger cette défaite subie face aux Zayanes qui a touché l'orgueil de l'armée
coloniale en Afrique du nord. Des colonnes de secours et le général Henrys accompagné du général
Lyautey viennent le 5 octobre en toute hâte rétablir la situation tandis que, de Tadla et de Meknès,
arrive respectivement le colonel Garnier du Plessis et le lieutenant-colonel Derigoin. Les morts
sont alors recueillis sans la moindre réaction des Zayans.
Cependant, malgré cette victoire, les Zayanis n'ont pu repousser l'assaillant, déjà aux confins de
leur territoire. À la suite de cette défaite, les Français révisent leur politique de colonisation contre
les Zayans, et profitent, en plus de l'inégalité de l'armement, de l'anarchie Siba qui règne entre les
tribus du fait des luttes intestines. Ils attisent les intrigues consistant à diviser les Zayanes au sein
même de la famille de Mouha pour finir de soumettre celles-ci. Il est à noter que Mouha Ou
Hammou a été trahi par ses fils (Bouazza, Pacha Hassan Amahzoune, Amahrok et son neveu Oul
Aidi). Seul le fils de Mouha ou Hammou... Miaami ould Fassia est resté en rébellion contre
l'autorité du Makhzen... C'est pour cette raison qu'en 1928 Sa Majesté le Sultan Sidi Mohammed
ben Youssef (Mohammed V) a ordonné la saisie de ses biens et leur incorporation au domaine de
l'État chérifien soit, en tout, cinq propriétés d'une superficie totale de 35 hectares....
Un poème zayan l'atteste :
Causes de la défaite
La bataille d'Elhri est, de l’aveu même des Français, le plus grand désastre connu par leur armée
dans toute sa campagne en Afrique du Nord. Dans la littérature militaire coloniale, le général
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Théveney expliquait dans son rapport intitulé le drame d'Elhri les motifs qui ont abouti à la
défaite.
Selon le service du renseignement, plusieurs facteurs sont à l'origine de ce désastre :
▪ Officiers supérieurs notamment le colonel Laverdure trop confiant, plus habitué aux théâtres
asiatiques et africains, et méconnaissant la pugnacité du combattant zayani.
▪ Erreurs dans la conception de la manœuvre :
-a positionnement de l'artillerie (qui n'a pas permis de l'utiliser pleinement et qui a été très vite en
manque de munitions sans possibilité de recompléter)
-b gros trop aventuré dans le dispositif (ce qui a eu pour conséquence de nombreuses pertes lors du
décrochage)
▪ Retard dans l'exécution qui a permis le ralliement de plusieurs milliers d'hommes des tribus
avoisinantes.
▪ Le maréchal Lyautey exprimait son mécontentement sur la défaite : "Si le colonel
LAVERDURE n'avait pas trouvé la mort dans l'affaire d'Elhri, il méritait d'être traduit devant
un conseil de guerre et d'être condamné au châtiment le plus sévère."
Bilan chiffré
Le 13/11 :
Le 20/11 :
▪ 33 officiers
▪ 200 hommes de troupe français
Hommages
« A pris une part glorieuse au combat d’El Herri, le 13 novembre 1914, où il a perdu
14 de ses officiers sur 15 et 240 hommes ; a donné le plus bel exemple d’abnégation
en luttant jusqu’à l’épuisement complet de ses munitions pour couvrir la retraite de
la colonne et en se sacrifiant ensuite dans des combats à la baïonnette pour protéger
le convoi de blessés. »
— Citation à l'ordre de l'Armée du 3e bataillon du 5e régiment de tirailleurs algériens
(5e RTA), ordre général n° 7 du 14 décembre 1915, journal officiel du 14 janvier 1917
munitions et en subissant des pertes considérables pour aider au repli des groupes
avancés de la colonne et pour protéger le convoi de blessés serré de très près par
l'ennemi ; avec une de ses compagnies restée à Khénifra, a réussi en prenant position
en avant du poste à assurer la rentrée des blessés et à protéger la place contre les
tentatives d'assaillants très nombreux et très audacieux. »
— Citation à l'ordre de l'Armée du 1er bataillon d'infanterie coloniale du Maroc (1er
BICM), ordre général n° 7 du 14 décembre 1915, journal officiel du 14 janvier 1917
Après la prise des villes côtières atlantiques, le colonisateur avance comme en témoigne ce vers qui
nous renseigne sur la prise des grandes villes du Maroc central :
La plaine du Saïss est ainsi « soumise » et la machine de guerre française s’attaque à la montagne.
Comme en témoignent ces vers :
La même désolation est traduite dans ce vers qui réfère à la soumission d'Elhri(le 20 juin 1920),
petite bourgade située à une dizaine de kilomètres de Khénifra.
La progression des troupes coloniales se fait par étapes. Après Elhri et Khénifra, le colonisateur
escalade la montagne. Parti de Khénifra, il prend Alemsid Haut Atlas, puis Aghbala et ses environs.
Et après la bataille de Tazizawt, il réussit à accéder au col devant lui offrir un passage vers le sud
Est. Il s’agit du col de Bab n Wayyad, frontière naturelle séparant la confédération des Ait
Les attaques françaises se déroulent aussi sur la frontière maroco-algérienne. C’est ce que ce vers
nous révèle sur la prise du village de Boubnib au Sud Est.
Ainsi, la poésie reste une source d’informations inestimables sur la résistance à la colonisation
durant les premières décennies du XXe siècle.
La mémoire collective garde toujours vivace cette poésie. Une poésie qui assume plusieurs
fonctions : témoigner pour les générations futures et exprimer la déroute d’une population qui a
subi le feu de l’artillerie et de l’aviation françaises. Texte : (Moha Moukhlis).
Notes et références
1. Affaire de Khénifra (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62762962/f50.item.r=pacha%20de%
20Kh%C3%A9nifra.zoom)
2. Grandeur et servitudes marocaines page 827 (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k415202s/f86
9.item.r=AVIATION%20KHENIFRA.zoom)
Annexes
Articles connexes
▪ Mouha Ou Hammou Zayani (?-1921)
▪ Eugène Regnault (1857-1941)
▪ Bataille d'Anoual (1921)
▪ Bataille de Tazizaoute (1932)
Bibliographie
▪ « Souvenirs de l'épopée marocaine » du général Theveney (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/b
pt6k106563k.image.r=bulletin+de+la+soci%C3%A9t%C3%A9+de+g%C3%A9ographie.f404.l
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▪ Abes, M, Les izayanes d’Oulmès, Archives Berbères, 1915.
▪ Aspignon, R, Étude sur les coutumes des tribus zayanes, éd. Moynier, 1946, Casa.
▪ Basset, A, La littérature Berbère, La Pléiade, 1955.
▪ Ben Daoud, O i, Notes sur le pays zayan, archives berbères, 1917.
▪ Berger, F, Moha Ouhammou le zayani, éd. Atlas, 1929.
▪ Bernie, G, Moha Ou Hammou, guerrier berbère, éd. Gautey, Casa, 1945.
▪ Chafik, M, Trente trois siècles de l’histoire des imazighen, Boukili éd. 2000(3e éd.).
▪ Chafik, M, La poésie amazighe et la résistance armée dans le Moyen Atlas et l’Est du Haut
Atlas, revue de l’Académie du Royaume, no4,1987.
▪ Camps, G, Berbères aux marges de l’histoire, éd. Espérides, 1980
▪ Guennoun, S, La montagne berbère, OU LES AIT Oumalou, éd.Oumnia, Rabat, 1933
▪ Guennoun, S, La voix des monts, Mœurs de guerres berbères, éd. Oumnia, Rabat, 1934.
▪ Guillaume, A, (Général), Les berbères marocains et la pacification de l’Atlas
Central(1912-1933), Julliard, 1946
▪ J. Drouin, Un cycle hagiographique dans le moyen-atlas marocain, publication de la
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▪ Jean Pichon, Le Maroc au début de la Guerre mondiale, El-Herri (vendredi 13 novembre
1914) Préf. du général Henrys. Paris, Lavauzelle, 1936, ix-188 p. lire en ligne (https://gallica.
bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3345313m) sur Gallica
▪ [1] (https://books.google.co.ma/books/about/La_r%C3%A9sistance_marocaine_%C3%A0_la
_p%C3%A9n%C3%A9tra.html?id=zohaXwAACAAJ&redir_esc=y)La résistance marocaine à
la pénétration française dans le pays Zaian (1908-1921)
▪ Sur les traces glorieuses des pacificateurs du MAROC, du colonel L. VOINOT, CHARLES-
LAVAUZELLE et Cie, éditeurs, 1939.
▪ Biographie du Maréchal Lyautey (http://www.19e.org/biographies/L/lyautey.htm)
▪ Journal des marches et opérations de la 2e batterie du 1er Régiment d'Artillerie de Montagne
pour la période du 6 septembre 1912 au 16 octobre 1913 (http://vinny03.perso.neuf.fr/gg/lesh
istos/1RAM13.htm), Charles Mangin.
▪ Souvenir de l’épopée Marocaine- Général Théveney Quelques épisodes de la Pacification
des Zaians- drame d'El Herri le 13 novembre 1914.
▪ Georges Bernie, La bataille d'El Hri publié en 1945 (Éditions Gauthey.
Liens externes
▪ « Archives Berbères (https://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:8rsOU5xYWzAJ:bnm.bn
rm.ma:86/ClientBin%255Cimages%255Cbook872975%255Cdoc.pdf+&hl=fr&gl=ma&pid=bl&
srcid=ADGEEShmO4fYDmcCxV72JlbCF7WIxeWLC5LruT-QD39Oz5zyzwxj_vpk2JfFXNYFn
0c90YilekBdM3aeBKuSEGsEW9ydU4UL6f6ek47GrPLXEEltoY6fJUpuYNL_vneC_CMKdh6S
nDUN&sig=AHIEtbRS6ZUtENdQGt_r1Kpiho9x0Im1nA) »
▪ « La poésie de la résistance amazighe au Maroc central (http://www.maghress.com/fr/lematin
/49369) », Moha Moukhlis
▪ « Moha Ouhammou Azayi (http://www.amazighworld.org/history/personalities/Moha%20Ouha
mmou%20Azayi.php) » : martyr, héros et symbole de la résistance amazighe au Maroc
▪ « LA RENAISSANCE DU MAROC (https://archive.org/stream/larenaissancedum00raba/laren
aissancedum00raba_djvu.txt) » Dix ans de Protectorat 1912-1922
▪ « Pacification des Zayans: Le drame d'Elhri (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k106563k.im
age.r=bulletin+de+la+soci%C3%A9t%C3%A9+de+g%C3%A9ographie.f404.langFR.tableDes
Matieres) »
▪ « Une tradition de résistance et de lutte : la poésie berbère kabyle, un parcours poétique. (htt
p://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/remmm_0997-1327_1989_num_51_1_2
266) »
▪ « Introduction à la poésie Amazigh (http://www.francopolis.net/vues/presentationpoesieamazi
gh.htm) »