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GENERALITES SUR LA PATHOLOGIE
GENERALITES : Les ouvrages sont construits pour assurer une ou plusieurs fonctions. Il
importe que la ou les fonctions puissent être remplies en permanence sans mettre en
danger la sécurité des exploitants. Aussi, les conditions d’exploitation doivent rester
optimales sur le plan confort, esthétique, facilité d’accès,… Dès sa mise en service, un
ouvrage subit diverses dépréciations résultant de son utilisation et de l'environnement. Sa
valeur commerciale et/ou son aptitude au service diminue alors plus ou moins rapidement
suivant sa qualité initiale et l'entretien qui lui est apporté. Un ouvrage peut également après
un certain temps ne plus satisfaire les besoins ou attentes de ses utilisateurs. Il peut encore
subir des dommages plus ou moins importants suite à une utilisation non appropriée
(surcharge, …) ou des conditions environnementales exceptionnelles (inondations, incendie,
tremblement de terre, choc,..). Le domaine d'activité de la maintenance (rénovation ou
conservation) des ouvrages englobe toutes les opérations conduites sur un ouvrage dès sa
mise en service et jusqu'à sa démolition visant à maintenir, rétablir, rénover ou améliorer sa
valeur d'utilisation. Chronologiquement les divers types d'interventions sur un ouvrage
durant son existence et leur effet sur sa valeur d'utilisation sont présentés à la figure 1. A ces
interventions, il faut également ajouter les activités de surveillance d'un ouvrage qui sont
aussi de ce domaine. 2. NOTION DE DUREE DE VIE DE L’OUVRAGE : Les ouvrages sont
construits pour assurer une ou plusieurs fonctions. Il importe que la ou les fonctions puissent
être remplies en permanence sans mettre en danger la sécurité des exploitants. Aussi, les
conditions d’exploitation doivent rester optimales sur le plan confort, esthétique, facilité
d’accès,… Or, comme toute construction humaine, les ouvrages vieillissent. Le vieillissement
peut être normal ou rapide. Cela dépend de plusieurs facteurs tels que : Vieillissement sans
entretien Maintien de la valeur d’utilisation Transformation Maintien de la capacité de
fonctionnement Modernisation Rénovation Etat initial Valeur d’utilisation (qualité) Entretien
Standard initial Remise en état Démolition Vieillissement avec entretien A U G M E N T A TIO
N M AIN TIE N D E L A VA L E U R Durée (ans) Figure 1 : Processus chronologiques des
mesures d'entretien, de réhabilitation et de rénovation des constructions Pathologie Page 4
sur 45 - y a-t-il des malformations d’origine : défauts de conception ou d’exécution ? - y a-t-il
un entretien normal de l’ouvrage ou non ? - l’ouvrage est-il normalement exploité ? - dans
quel environnement se trouve l’ouvrage ? - y a-t-il des interventions quelconques sur
l’ouvrage ? - y a-t-il un changement d’affectation du local ? - y a-t-il des phénomènes
naturels exceptionnels qui ont affecté l’ouvrage (séisme, inondation,…) ? - quelle est la durée
de vie prévue pour l’ouvrage ? - etc… Un ouvrage vieillit normalement s’il a été bien conçu,
bien construit, bien entretenu, bien exploité et se trouvait dans un environnement non
agressif. Toutefois, espérer la pérennité de l’ouvrage serait utopique. Un ouvrage peut être
conçu pour 5, 10, 20, 50, 100,… ans mais jamais pour une durée illimitée. Dans tous les cas,
la sécurité doit être garantie.
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L'ouverture: les plus petites ne sont pas les moins graves
Première caractéristique des fissures : son ouverture. Trois types de fissures se distinguent
en fonction de leur ouverture (distance maximale entre les deux bords de la fissure).
Tout d’abord, la micro-fissure. Elle fait moins de 0,2 mm d’ouverture et elle est difficilement
repérable pour un oeil non habitué. Ce qui est dommage puisqu’elle est le signe du
démarrage de la pathologie et qu’il est important d’établir un diagnostic le plus tôt possible.
En général elle inquiète peu, puisqu’elle est souvent confondue avec une fissure esthétique
ou superficielle.
Finalement, ouverte au delà des 2 mm, il s’agit d’une lézarde. Dans ce cas de figure, il n’est
pas trop tard, mais il faut passer à l’action rapidement.
La longueur est une des caractéristiques des fissures qu’il convient de prendre en compte.
Plus une fissure sera longue, plus elle sera jugée inquiétante. Mais ce n’est
malheureusement pas toujours le cas. Certains considèrent qu’en dessous de 20 centimètres
de longueur, une fissure n’a pas lieu d’inquiéter; au mieux, elle doit être surveillée. La taille
d’une fissure n’est pas proportionnelle au risque qu’elle fait courir à l’ouvrage qui en subit
les conséquences. Parfois, une multitude de petites fissures peut, après analyse complète,
être plus dangereuse qu’une très longue fissure sur un mur.
En cas de tassement différentiel lié à un terrain instable, l’orientation des fissures sera
généralement oblique ou en escalier.
Verticale, la fissure a souvent pour origine un défaut de chaînage qui mérite d’être
investigué.
Enfin, un profil en étoile doit orienter les réflexions sur un phénomène de poussée
horizontale sous enduit voire même de flambement de la structure verticale. Comme
lorsque l’on presse sur le haut d’un bout de bois et que celui-ci se courbe avec de se briser
soudainement.
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Leurs localisations: les points de faiblesse de la structure
Une fois que les caractéristiques comme l’ouverture, la longueur et la forme ont été
étudiées, il faut prendre du recul pour examiner la localisation des fissures sur l’ouvrage
sinistré. Elles peuvent concerner le gros-oeuvre mais aussi le second-oeuvre.
Si seul le second-oeuvre présente des fissures, même si cela est moins impressionnant, il ne
faut pas attendre pour établir un diagnostic précis. Plus fragiles, les matériaux du second-
oeuvre résisteront moins aux contraintes et se briseront en premier. Par exemple,
l’apparition de fissures sur les doublages ou les plafonds est bien souvent le signe de
tensions sur les murs et les fondations d’une maison.
En appliquant cette méthode d’observation par prise de recul, on relève souvent d’autres
désordres comme des déformations de toiture, des signes d’humidité ou le développement
d’un faux aplomb sur un mur. N’oubliez pas que même si c’est au pied du mur qu’on voit le
mieux le mur, c’est en se reculant que l’on constate que le mur penche et qu’il risque de
nous tomber dessus.
Analyser les variations des caractéristiques des fissures en fonction du temps et des
événements climatiques permet de jauger leur potentiel d’évolution restant.
Une fissure, même stabilisée, représente une fragilité dans la structure du bien. Il faut donc
s’assurer de réaliser les bons travaux de réparation pour rattraper le monolithisme de la
structure.
Une alternance d’ouverture et de fermeture d’une fissure doit classifier celle-ci comme
évolutive et fragilisant la structure au fil des cycles comme pourrait se fragiliser un stylo que
l’on tord régulièrement dans un sens puis dans l’autre. L’issue la plus probable est que le
stylo finira par se rompre.
Enfin, si quelque soit la période d’observation, la fissure ne fait que s’ouvrir, il est urgent de
comprendre l’origine de cette-ci pour intervenir rapidement et la réparer durablement avant
que la ruine de l’ouvrage n’intervienne.
Parce que la théorie ne remplacera jamais l’expérience, faites appel à un expert fissure pour
vous aider à analyser les caractéristiques des fissures. Ne vous trompez pas de diagnostic.
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2- pathologie causés par les matériaux :
Les matériaux ont de tous temps défini le niveau de développement de nos civilisations, en
même temps que leur suprématie ou leur disparition. Ils ont même servi a définir certaines
périodes de l'histoire : l'âge de la pierre, du bronze et du fer ont vu se succéder des
civilisations qui ont vécu des mutations technologiques au sein desquelles les matériaux
jouent un rôle déterminant.
Dans certaines circonstances, les pathologies du bâtiment peuvent avoir pour cause des
événements qui se seraient produits en cours de chantier, sans que les conséquences aient
été prévues comme des températures extrêmes lors du bétonnage etc…
Le diagnostic d’un ouvrage au sens large du terme permet d’évaluer dans quelles mesures il
remplit ses fonctions structurelles et de service, c'est-à-dire de vérifier qu’il satisfait aux
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conditions de sécurité et d’utilisation qui sont définies par la réglementation et par les
besoins de son propriétaire ou usagé. Le vieillissement d’un ouvrage est marqué par
l’apparition de désordres spécifiques. Dans le cadre d’un diagnostic, deux types de missions
peuvent être réalisées :
Sur un ouvrage sain, il peut vouloir estimer, vérifier ou contrôler les caractéristiques
de la construction, c’est notamment le cas des ouvrages à « caractère exceptionnel »
(grand ponts…etc.) ou des structures innovantes dont il souhaite connaître le
comportement en service ;
Sur un ouvrage supposé endommager : l’inspection visuelle ou l’auscultation peut
alors être utilisée pour détecter l’endommagement ;
Sur un ouvrage visiblement endommagé dont les désordres sont susceptibles ou non
de s’aggraver ou demettre en cause la sécurité : il peut faire appel à l’auscultation
pour caractériser l’endommagement (gravité de l’endommagement, étendue
spatiale…etc.).
Le diagnostic peut avoir principalement deux finalités. Dans un premier temps, il peut être
demandé de suivre l’évolution des différentes pathologies dans le temps, que ce soit à court,
moyen ou long terme. Cela permet d’évaluer le comportement de l’ouvrage sous l’effet de
ces troubles, de voir s’il y a une stagnation du phénomène ou s’il y a une dégénérescence,
auquel cas il est important de prévoir des réparations. L’autre finalité d’un diagnostic c’est
de répertorier tous les désordres, mais aussi la constitution de chaque élément, en vue d’un
traitement immédiat.
L'étude des pathologies de bâtiment est une opération à titre préventif. Le but étant
d'instaurer rapidement des mesures réparatrices et d'optimiser la qualité de la construction.
Le diagnostic d'une pathologie de bâtiment requiert des compétences techniques optimales
et un matériel de pointe. Il s'agit d'une tâche strictement réservée aux professionnels de la
construction et aux experts en bâtiments.
La détection et la résolution des pathologies restent avant tout le travail des professionnels
et spécialistes. N'hésitez donc pas à contacter nos experts pour disposer d'une opinion, un
devis et une intervention de qualité.
3- Respect de mode opératoire :
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La réglementation dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail concernant le
secteur du BTP découle pour l'essentiel du code du travail et des directives européennes
transposées dans notre législation nationale.
L'employeur est responsable:
• De la santé et de la sécurité des salariés de son entreprise. Il est donc chargé de préserver
leur santé physique et mentale et leur sécurité,
• des dommages causés à des tiers par sa faute, du fait de ses salariés ou des choses qui sont
sous sa garde,
• du respect des préconisations des bureaux d'études techniques et de contrôle concernant
la réalisation des ouvrages à sa charge,
Sur ces points, l'employeur a une obligation de résultat. C'est-à-dire qu'il doit non seulement
prendre les mesures de préventions qui s'imposent, mais sera également tenu responsable
en cas de non respect de celles-ci.
Un bon équipement est primordiale en matière de sécurité. Il s’agit autant de s’assurer que
les ouvriers disposent des EPI (équipements de protection individuel) nécessaires, que de
veiller à ce que les outils et machines à leur disposition ne puissent représenter un danger.
Les Equipements de protection Individuels (EPI)
Les équipements de protection individuelle (EPI) sont destinés à protéger les travailleurs
contre les risques d’accidents sur chantier. L’ obligation légale de porter certains EPI
dépendra des risques spécifiques associés au travail à effectuer.
Le casque
Le casque est sans doute l’équipement de sécurité le plus emblématique du secteur du BTP.
Mais n’est pas un bon casque de chantier qui veut : pour être considéré comme EPI, il doit
répondre à certaines normes, déterminées par le contexte du travail.
L’ essentiel est de bien choisir son casque de chantier en fonction de la situation : casque
d’usage courant, casque électriquement isolant, casque anti-heurt, etc.
Les chaussures de sécurité
Porter des chaussures de sécurité ne protège pas uniquement contre les chocs. Certaines
chaussures sont également fabriquées pour protéger de risques plus spécifiques, tels que
des agents agressifs, des produits chimiques, le feu, etc.
Travaux de soudage, de découpe ou autre… encore une fois, le choix de la bonne paire de
chaussure dépendra du chantier et du travail à effectuer.
Les protections auditives
Sur chantier, le bruit est omniprésent. Sans protection auditive, impossible de lui échapper.
Le risque auditif est désormais reconnu et encadré.
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facile d’utilisation et également compatible avec le port d’autres EPI (casques de chantier,
lunette de protection, masque de protection respiratoire, etc.).
Les lunettes
En France, les protections de l’oeil doivent à minima répondre à la norme NF EN 166. Cette
norme garantit un certain niveau de résistance des lunettes, pour une protection efficace du
travailleur. D’autres normes peuvent s’ajouter en fonction du contexte de travail.
Les gants
Véritable barrière contre les coupures, le feu ou les produits chimiques, les gants doivent
eux aussi être choisi selon les risques en présence. Ils peuvent protéger des risques
mécaniques (coupures…), thermiques (flamme, chaleur…), chimiques (agents corrosifs…), ou
encore électriques.
Les vêtements de travails
Sur chantier, un travailleur peut être exposé à une multitude de risques simultanément. Son
uniforme de travail doit être adapté à ces dangers, tout en permettant au travailleur une
liberté de mouvement.
Il existe aujourd’hui des vêtements de travail spécifiquement adapté aux femmes, leur
permettant d’exercer leur métier avec le même niveau de sécurité et de confort que leurs
homologues masculins.
Masques, gilets et autres EPI
La liste des équipements de protection individuel ne s’arrête pas là. Les masques
garantissent la protection des voies respiratoires. Les gilets garantissent la bonne visibilité du
travailleur par autrui. Les baudriers garantissent la sécurité du travailleur en hauteur.
Quel que soit le chantier, les EPI devront répondre aux normes de sécurité spécifiques aux
risques en présence.
L’entretien des outils et machines
Chaque travailleur doit être en mesure d’exécuter une tâche à l’aide d’un équipement
parfaitement adapté et en bon état. L’entreprise a la responsabilité de fournir un
équipement adapté à la tâche et de veiller à ce qu’il soit bien entretenu.
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Étape 1: Liste des exigences
Vous devez d’abord énumérer ce qui doit être rénové dans la maison et les besoins
nécessaires pour les travaux de rénovations a engager.
Faites un inventaire chronologique des travaux à entreprendre. Lorsqu’’il s’agit d’important
travaux de rénovation, il faut donner la priorité aux travaux de sauvegarde (réfection du toit
par exemple), puis aux améliorations (aménagements divers, comme la cuisine ou un salon
multimédia) et enfin aux finitions (peinture).
Avant de commencer les travaux, veuillez confirmer les divers devis et préparer des emplois
de respect des horaires.
Choisissez l’offre la plus détaillée, indiquant non seulement le prix, mais indique également
les conditions de paiement (ne payez pas tous les travaux ou services à l’avance), et spécifiez
le calendrier d’intervention.
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En fonction de votre budget, certains postes peuvent devoir être priorisés. Afin d’apporter
tout le confort nécessaire à votre maison, la priorité doit être donnée à l’hygiène, à
l’isolation et aux mises à niveau électriques.
Veuillez consulter le service municipal pour connaître les règlements liés à votre lieu de
résidence.
Obtenir tous les permis requis.
Contactez l’entreprise. Deux ou trois citations vous feront apprécier leur sérieux et
choisir le meilleur. Assurez-vous qu’ils ont les assurances nécessaires.
En principe, si vous refaites complètement la toiture, aucune déclaration n’est requise.
Cependant, si vous changez le matériau de la toiture, vous devez faire une déclaration
préalable à la mairie. Si vous vous trouvez dans une zone classée, vous devez approuver les
monuments historiques.
Étape 6: Commencer les gros travaux
La première phase du projet de rénovation sera l’ingénierie structurelle (le cas échéant):
fondations, murs extérieurs, charpentes, toitures, systèmes sanitaires, menuiseries
extérieures.
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- dérasement,
- découpage,
Effondrement ou écroulement,
- dislocation ou fragmentation,
- abattage d'éléments horizontaux ou verticaux,
- foudroyage ou semi-foudroyage.
Ces procédés (ou méthodes de démolition) suppo- sent une combinaison de moyens à
mettre en œuvre dont les plus utilisés sont :
Les outils portatifs : marteau de démolisseur, pioche, masse, pelle, marteau-piqueur,
chalumeau...
Ils peuvent être utilisés quel que soit le procédé employé.
Le cric permet l'abattage par poussée.
Le câble permet l'abattage par traction d'éléments
Verticaux limités; il est également utilisé dans les méthodes d'effondrement par traction ou
par sciage.
L'élément de traction peut être un tels que pelle, bouteur, chargeur engin mécanique ..., ou
un treuil mo manuellement ou mécaniquement (dans ces derniers cas, l'élément à abattre
doit être ceinturé par une "cravate" à laquelle est fixé le câble).
Les engins mécaniques visés ci-dessus agissent également avec leur godet pour provoquer
l'écroulement de tout ou partie de la construction.
- La boule ou boulet équipant un engin est utilisé dans le procédé d'écroulement.
Le brise-roche hydraulique ou pneumatique, les crocs et pics, montés en bout de bras d'une
pelle, permettent la dislocation et la fragmentation des éléments compacts et résistants de
la construction.
- Les cisailles ou pinces équipant une pelle hydraulique, utilisées dans un souci de réduire les
nuisances provoquées par les marteaux brise-roche, permettent de réaliser:
le cisaillement ou découpage du béton armé ou non armé,
le broyage ou "cloquage du béton afin de le dissocier de sa structure en acier,
Écaillement de l'acier.
Les mortiers et appareils agissant par expansion,
les explosifs, les cartouches à détente de gaz, peu- vent être utilisés pour abattre ou
effondrer une construction. Ils servent essentiellement à disloquer et fragmenter les
éléments très compacts et très résistants de la construction.
- Les explosifs sont également utilisés pour le foudroyage et le semi-foudroyage de
bâtiments.
La lance thermique, les outils dédorage et de sciage permettent le découpage d'une partie
de la construction en éléments transportables par les moyens usuels.
- Les robots équipés de lances d'eau à jet calibré d'une pression supérieure à 1000 bars ,
sont utilisés dans la technique de l' hydro démolition Celle- ci est employée surtout dans la
maintenance et la réhabilitation des ouvrages en béton.
- Le laser, le chalumeau à plasma ont servi expérimentalement au découpage de certains
éléments d'ouvrages.
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