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Apologia pro vita mea
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1 — Nous remercions François Thouvenin d’avoir bien voulu assurer cette traduction. Quelques
passages ont été omis, surtout dans les paragraphes traitant du judaïsme et de la franc-maçonnerie. Ils
sont, selon l’usage, signalés par des points de suspension entre crochets.
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G. Kurth, historien belge que le pape Léon XIII avait fait venir à Rome, et Les
Sociétés secrètes et la société, du père Deschamps, jésuite 1.
Deux livres-phares
Le premier, qui compte parmi les plus beaux ouvrages jamais écrits, montre
comment le Corps mystique du Christ a transformé la société païenne de l’Empire
romain et préparé la reconnaissance croissante du programme de Notre-Seigneur
Jésus-Christ, prêtre et roi. Le second montre que les révolutions du monde mo-
derne ne sont « qu’un simple épisode qui se rattache à un plan arrêté d’avance, et
qui se traduit en actes sur un théâtre de plus en plus large afin de multiplier les
ruines que nous avons énumérées précédemment » (Léon XIII, lettre apostolique
Parvenu à la vingt-cinquième année, 19 mars 1902 2). Je compris que toutes les
révolutions conduisaient à l’élimination de l’autorité du Christ-Roi dans le but ul-
time d’éliminer la messe et la vie surnaturelle du Christ, suprême grand prêtre.
Ces deux livres furent les phares de mes études de théologie et d’histoire, et, de-
puis lors, j’ai toujours suivi leur lumière.
1 — Sur le père Deschamps S.J. (1797-1873), voir Le Sel de la terre 28, p. 71, n. 1. (NDLR.)
2 — Lettres apostoliques de Léon XIII, Paris, Bonne Presse, s.d., t. 6, p. 288.
de ses prétentions au titre de roi, même s’ils n’avaient pas sous les yeux tous les
points de son programme positif tels que nous pouvons les trouver aujourd’hui
exposés dans les encycliques des papes. Peu à peu, par l’union avec le Christ-
Prêtre réalisée à la messe, l’Europe occidentale du treizième siècle fut amenée à
reconnaître le programme du Christ-Roi. Cette reconnaissance était imparfaite,
mais réelle. Depuis lors, il y a eu un déclin régulier, qui s’est accéléré depuis la
Révolution française sous l’action de ces forces secrètes organisées que
dénoncent les papes Léon XIII et Pie XI ; le pape Léon XIII, par exemple, dans
son encyclique Humanum genus – relative à la franc-maçonnerie –, signale que
celle-ci, animée de l’« incorrigible perfidie et ruse du démon 1 », œuvre directe-
ment contre cinq des six principaux points du programme de Notre-Seigneur.
— Mais cette question sera développée plus loin, et j’en reviens pour l’instant à
mes études et à mes méditations.
1 — Léon XIII, Humanum genus (20 avril 1884), conclusion ; Lettres apostoliques de Léon XIII,
Paris, Bonne Presse, s.d., t. 1, p. 277.
2 — Voir à ce sujet l’article de l’abbé Nicolas PINAUD , « Saint Pie X et le cardinal Pie » dans Le Sel
de la terre 42, p. 206-221. (NDLR.)
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Le programme du Christ-Roi
Dans mes livres, par exemple dans The Kingship of Christ and Organized
Naturalism et The Tragedy of James Connolly, j’ai exposé, à partir des encycliques
papales, le programme du Christ-Roi. Ce programme comprend six points, dont
cinq sont les suivants :
— 1. le Corps mystique de Notre-Seigneur – l’Église catholique, surnaturelle et
supranationale – que tous les États et nations sont appelés à reconnaître comme
unique voie tracée par Dieu pour un retour ordonné à lui ;
— 2. le pouvoir indirect de cette seule authentique Église ;
— 3. l’unité et l’indissolubilité du mariage ;
— 4. l’éducation des enfants comme membres du Christ ;
— 5. la large diffusion de la propriété.
Les textes des encycliques papales relatifs à ces points sont inclus dans mes
ouvrages The Mystical Body of Christ and the Reorganisation of Society et The
Kingship of Christ and Organized Naturalism, de sorte que je n’ai pas besoin de
préciser qu’en parlant des points en question, je me borne à reproduire ce que
les souverains pontifes ont enseigné à leur sujet. Le sixième point demande à être
développé, car les textes y afférents sont moins familiers. Tout d’abord, les cin-
quième et sixième points traitent tous deux de la production, de la distribution et
de l’échange des biens matériels dont les personnes humaines ont normalement
besoin en quantité suffisante pour mener une vie vertueuse. Les papes Léon XIII
et Pie XI insistent sur eux dans Rerum novarum et Quadragesimo anno, respec-
tivement. Le sixième point se résume à ceci : de même que, dans la hiérarchie
des arts, celui de la manipulation de l’argent est moins élevé que les arts indus-
1 — Documents pontificaux de Sa Sainteté Pie XII, t. VIII (1946) Saint-Maurice (Suisse), éd. Saint-
Augustin, 1964, p. 345. — En sens contraire, le concile Vatican II vantera « les bienfaits de
l’industrialisation et de l’urbanisation » (Gaudium et spes n. 6 § 6). Voir Le Sel de la terre 42, p. 170.
(NDLR.)
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Dans le cours d’introduction à l’histoire que je donne au début de
chaque année ou presque, j’essaie – à l’attention de mon auditoire – de juger en
fonction des six points du programme de Notre-Seigneur les époques et mouve-
ments historiques, les programmes des hommes politiques, ainsi que les idées
des auteurs placés dans les mains des élèves pour l’étude des langues et de l’his-
toire. Tout ce qui est en harmonie avec le plan divin est porteur d’un réel pro-
grès ; tout ce qui s’y oppose annonce la ruine et la mort. Ainsi, je m’efforce d’ha-
bituer mes élèves à faire de Notre-Seigneur le centre de leur vie dans chaque
domaine.
Après avoir précisé qu’en parlant de la domination désordonnée de l’argent, je
me borne à employer le langage des souverains pontifes, je me tourne à présent
vers les déclarations papales sur la nation juive et la franc-maçonnerie.
La nation juive
J’ai étudié une soixantaine de lettres, de bulles et de décrets des conciles gé-
néraux publiés sur les juifs entre 1159 et 1755. On distingue deux courants dans
ces déclarations officielles, ainsi que je le signale dans mon ouvrage The Mystical
Body of Christ and the Reorganisation of Society. D’un côté, dans plusieurs do-
cuments, les souverains pontifes s’efforcent de protéger les juifs de la violence
physique ainsi que d’assurer le respect de leur vie de famille et de leur culte. De
l’autre, dans la majorité de leurs écrits, ils cherchent à protéger la vie surnaturelle
des catholiques de la contamination du naturalisme juif, et ils essayent d’empê-
cher les juifs de dominer les catholiques. Je me suis procuré, aux fins d’étude et
de méditation, six des principaux documents papaux : ceux de Jules III (Cum si-
cut nuper, 1554), Paul IV (Cum Nimis absurdum, 1555), saint Pie V (Hebræorum
gens, 1569), Grégoire XIII, Clément VIII (Cæca et obdurata, 1593) et Benoît XIV
(A quo Primum, 1751). J’en ai traduit quatre [en anglais] : ceux de saint Pie V,
Grégoire XIII, Clément VIII et Benoît XIV. Dans les documents promulgués par
les papes au long de six siècles, extrayons à présent quelques exemples du souci
qu’a l’Église de protéger la vie du Corps mystique du Christ contre la haine juive
du surnaturel. Ce souci n’a pas varié d’un âge à l’autre. La lutte contre le natura-
lisme en général – et donc, implicitement, contre le naturalisme organisé de la
nation juive – nous est imposée, entre autres, par le pape Léon XIII (Tametsi,
1900) et le pape Pie XI (Quas primas, 1925, et Quadragesimo anno, 1931). Toute
une série de documents papaux nous met en garde explicitement contre le natu-
ralisme juif. […] En 1581, le pape Grégoire XIII a averti les catholiques que l’atti-
tude des juifs vis-à-vis de Notre-Seigneur n’avait pas changé :
[…] Les souverains pontifes toujours anxieux de voir se convertir les Juifs, les
ont accueillis aimablement, leur ont permis gracieusement de s’installer parmi leurs
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sujets et se sont toujours efforcés, avec un zèle pieux, de les amener à la lumière de la
vérité. En outre, ils les ont aidés à s’assurer les biens indispensables à la vie, ont in-
terdit à tous de les molester ou de les insulter et, dans leur bienveillance, leur ont ac-
cordé de nombreux privilèges en vue de leur protection. Les Juifs, cependant, ne
sont adoucis en rien par ces avantages, et leur attitude antichrétienne demeurant in-
changée […] 1.
[…]
Enfin, dans l’encyclique Studiorum ducem, le pape Pie XI écrit que saint
Thomas est « notre source de science économique et politique 2 ». Or, dans son
commentaire de l’Épître aux Galates 4, 29, saint Thomas avertit ses lecteurs que
« dès le début de l’Église primitive, les Juifs ont persécuté les chrétiens, ainsi qu’il
apparaît dans les Actes des Apôtres, et ils agiraient de même aujourd’hui encore
s’ils le pouvaient 3. »
[…]
La franc-maçonnerie
[…] J’ai étudié et médité les lettres de Léon XII (Quo graviore, 1825), Pie IX
(Exortae in ista ditione, 1876, et allocution Multiplices inter, 1865), Léon XIII
(Humanum genus, 1884, et Parvenu à la vingt-cinquième année, 1902), Pie XI
(La persécution de l’Église en Espagne, 1938, et Divini redemptoris sur le commu-
nisme athée, 1937). J’ai traduit en anglais l’encyclique Humanum genus, après
l’avoir parcourue à quatre reprises, et des parties importantes d’autres ency-
cliques. Aussi bien dans mes livres que dans mes rares allusions à la franc-ma-
çonnerie en classe, je me suis efforcé de faire ressortir le naturalisme et l’anti-sur-
naturalisme de cette association. […]
La secte des francs-maçons, écrit le pape Léon XIII dans son encyclique
Humanum genus, « n'a pas le droit de se dire étrangère à leurs attentats [ceux
des associations communistes et socialistes], puisqu'elle favorise leurs desseins et
que, sur le terrain des principes, elle est entièrement d'accord avec elles. » Il
existe des preuves convaincantes selon lesquelles les agents des deux révolutions
russes étaient des maçons. Ces preuves sont exposées dans mes ouvrages, ainsi
que le texte du pape Pie XI dont il ressort que les révolutions de Russie, du
Mexique et d’Espagne ont été l’œuvre des sociétés secrètes.
[…]
contemporaine, il est sûr que, sans elle, cette histoire contemporaine resterait une
énigme, et les pères ne seraient pas en mesure de combattre comme ils le
doivent pour les droits du Christ-Roi.
Dans son encyclique du 26 janvier 1923, publiée à l’occasion du troisième
centenaire de la mort de saint François de Sales, le pape Pie XI exhorte les au-
teurs catholiques à « étudier avec le plus grand soin la doctrine catholique et la
posséder dans la mesure de leurs forces ; éviter soit d’altérer la vérité, soit de
l’atténuer ou de la dissimuler, sous prétexte de ne pas blesser les adversaires ».
étudiants doués à constater par eux-mêmes les ravages des idées mauvaises, sur
lesquels insiste le pape Léon XIII, j’ai écrit une série d’articles à ce sujet dans The
Irish Rosary. Les deux tiers de ces articles consistent en un examen de la philo-
sophie de Locke par opposition à celle de saint Thomas ; dans l’autre tiers, je
démontre l’application de cette philosophie à l’argent. N’est-ce pas exactement
cela que le pape Léon XIII veut que fassent les professeurs de philosophie, afin
que les futurs prêtres soient armés pour réfuter l’erreur ?
Que des maîtres, désignés par votre choix éclairé – écrit-il dans Æterni Patris –
s'appliquent à faire pénétrer dans l'esprit de leurs disciples la doctrine de saint
Thomas d'Aquin, et qu'ils aient soin de faire ressortir combien celle-ci l'emporte sur
toutes les autres en solidité et en excellence. Que les académies, que vous avez insti-
tuées ou que vous instituerez par la suite, expliquent cette doctrine, la défendent et
l'emploient pour la réfutation des erreurs dominantes.
Je puis dire qu’après avoir étudié la question de l’argent pendant six ou sept
ans, je perçus clairement le lien entre le caractère désordonné de l’art de manipu-
ler l’argent et la philosophie de Locke. Je me procurai alors les ouvrages de
Locke, en particulier ceux relatifs à l’argent, et en fis un examen minutieux.
1 — ARISTOTE, III Met. II, c. 2 n. 2 (lect. 4 n. 375 dans le commentaire de saint Thomas). Cité en
I, q. 5, a. 3, obj. 4. (NDLR.)
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sûr que Sir Albert Howard n’a jamais lu le Docteur commun. Comme les engrais
artificiels font remonter à Liebig, j’ai examiné la carrière de Liebig pour voir s’il
avait subi l’influence des cartésiens, et je me suis aperçu qu’il avait suivi une par-
tie de ses études à Paris. Depuis lors, j’ai étudié Descartes pour me faire une idée
exhaustive de la question. J’ai d’ailleurs l’intention d’écrire ultérieurement un ou
plusieurs articles à ce sujet, et de les mettre à la disposition de mes étudiants afin
d’accroître leur intérêt pour la philosophie. Ainsi, je m’efforce de suivre les ins-
tructions que le pape Léon XIII donne dans son encyclique Aeterni Patris :
Aussi, les sciences physiques elles-mêmes, si appréciées à cette heure, et qui, il-
lustrées de tant de découvertes, provoquent de toute part une admiration sans
bornes, ces sciences, loin d'y perdre, gagneraient singulièrement à une restauration de
l'ancienne philosophie. Ce n'est point assez pour féconder leur étude et assurer leur
avancement, que de se borner à l'observation des faits et à la contemplation de la na-
ture ; mais les faits constatés, il faut s'élever plus haut, et s'appliquer avec soin à re-
connaître la nature des choses corporelles et à rechercher les lois auxquelles elles obéissent,
ainsi que les principes d'où elles découlent et l'ordre qu'elles ont entre elles, et l'unité dans
leur variété, et leur mutuelle affinité dans la diversité. On ne peut s'imaginer combien
la philosophie scolastique, sagement enseignée, apporterait à ces recherches de force,
de lumière et de secours.
Mes lecteurs savent que les mêmes firmes – Imperial Chemical Industries, par
exemple – se servent des mêmes substances pour fabriquer des explosifs en
temps de guerre et des engrais chimiques en temps de paix. Pour illustrer la
domination désordonnée de l’argent, dénoncée par les papes Pie XI et Pie XII,
j’ai eu l’occasion de signaler, dans mes cours d’histoire, les pressions exercées sur
les agriculteurs afin qu’ils utilisent des engrais durant les années mauvaises pour
Imperial Chemical, c’est-à-dire entre les guerres. Dans le numéro du printemps
1947 du journal The Farmer, on lit ceci :
J’ai été choqué d’apprendre, il y a peu, qu’une des personnes qui s’adressent le
plus régulièrement aux agriculteurs sur la BBC est un employé à plein temps d’Im-
perial Chemical Industries […]. La faible fertilité d’une grande partie des terres
d’Irlande du Sud – ou de l’esprit des hommes qui les cultivent, je ne sais trop – ap-
paraît lorsqu’on sait que le sulfate d’ammonium coûte chez nous entre 30 et 40
livres sterling. En Angleterre, le même produit coûte entre 10 et 20 livres sterling ;
cela permet de penser que l’agriculteur anglais est doué de bon sens dans cette
mesure-là du moins, quoique le fait, pour quiconque, de payer ne serait-ce que 10
livres sterling l’acre le privilège de surexploiter sa terre n’indique guère un excès de
santé mentale.
Je n’ai pas cité ces exemples de désordre. En fait, je n’ai pas parlé des engrais
artificiels pendant plusieurs années, sauf à un certain endroit de mon cours de
philosophie et, en passant, pour plaisanter mes propres efforts visant à diviser le
Conseil de l’agriculture du comté de Carlow entre thomistes et cartésiens. […]
Conclusion
Entre 1909 et 1912, ainsi que nous l’avons vu, j’ai promis plusieurs fois au di-
vin Seigneur, sur le tombeau de saint Pierre, que j’œuvrerais pour l’intégralité des
droits qui lui reviennent en tant que roi. Dans la mesure où cette œuvre a exigé
l’étude des forces naturalistes ou anti-surnaturelles qui travaillent à éliminer la
royauté de Notre-Seigneur pour réduire à néant l’influence de ses prêtres, beau-
coup de gens la disent hostile aux juifs ou à la maçonnerie plutôt que favorable
au Christ-Roi. Or, c’est là une erreur de perspective due à la connaissance insuffi-
sante du programme d’ordre de Notre-Seigneur. Étant roi, il doit non seulement
conquérir de nouveaux territoires par l’intermédiaire de Ses missionnaires, mais
aussi défendre les terres sur lesquelles il règne depuis des siècles. Ces deux types
d’action sont complémentaires. Dans son Traité de la vraie dévotion, saint Louis-
Marie Grignon de Montfort souligne les deux fonctions de notre sainte Mère :
celle, positive, qui consiste à faire connaître Notre-Seigneur, et celle, négative, qui
consiste à livrer bataille à ses ennemis. Mes lecteurs devraient méditer sur les
passages suivants de cet ouvrage :
Marie doit éclater, plus que jamais, en miséricorde, en force et en grâce dans les
derniers temps :
– En miséricorde, pour ramener et recevoir amoureusement les pauvres pé-
cheurs et dévoyés qui se convertiront et reviendront à l'Église catholique.
– En force contre les ennemis de Dieu, les idolâtres, schismatiques, mahomé-
tans, juifs et impies endurcis, qui se révolteront terriblement pour faire tomber, par
promesses et menaces, tous ceux qui leur seront contraires.
– Et enfin elle doit éclater en grâce, pour animer et soutenir les vaillants soldats
et serviteurs de Jésus-Christ qui combattront pour ses intérêts.
Enfin Marie doit être terrible au diable et à ses suppôts comme une armée ran-
gée en bataille principalement dans les derniers temps 1, parce que le diable, sachant
bien qu'il a peu de temps, et beaucoup moins que jamais pour perdre les âmes, re-
double tous les jours ses efforts et ses combats.
Il suscitera bientôt de cruelles persécutions, et mettra de terribles embûches aux
serviteurs fidèles et aux vrais enfants de Marie, qu'il a plus de peine à surmonter que
les autres 2.
Saint Louis-Marie ne parle pas des francs-maçons, car il est mort en 1716, et la
société maçonnique n’a été organisée qu’en 1717 pour mener son action anti-
surnaturelle (elle s’est introduite en France quelques années plus tard seulement).
[Signé] Denis Fahey C.S.Sp.