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Estimation des sources de NOx à l'échelle globale (en TgN/an). D'après IPCC 2001.
Combustion de fuel fossile 33,0 (65%)
Aviation 0,7
Combustion de biomasse 7,1 (14%)
Emission des sols 5,6 (11%)
Eclairs 5,0 (10%)
Transport depuis la stratosphère <0,5
dCO3 C C J (1)
= J1CNO2 − k2CNOCO3 = 0 ⇒ NO O3 = 1 = 4.1011cm-3 NO2
dt CNO2 k2 NO + O3
(2)
Application (20 min) :
Si à l’état initial la concentration de NO2 est C0=2,7.1012 cm-3 (100 ppb), et si x est la
concentration de O3 (ou NO) à l’équilibre, quelle est la concentration de NO2 à
l’équilibre ? En déduire, l’équation du second ordre en x et la résoudre pour trouver x
à l’équilibre.
Réponse :
Si la concentration initiale de NO2 est C0, à l’équilibre elle sera de C0-x.
On peut donc écrire : x2 11 2
= 4.10 = γ ⇒ x + γ x − γ C0 = 0
C0 − x
qui a comme solution :
−γ + γ 2 + 4γ C0 γ # C0 & # 2, 7.1012 &(
11
x= = % 1+ 4 %
−1( = 2.10 % 1+ 4 11
−1( = 8, 6.1011 cm −3
2 2$ γ ' $ 4.10 '
soit 32 ppb
Le radical OH et oxydation de CO
Les oxydants les plus abondants dans l’atmosphère sont O2 et O3. Toutefois, les
énergies de liaison de ces oxydants sont élevées ; ils sont donc peu réactifs. A
quelques exceptions près, l’oxydation par O2 et O3 d’espèces non radicalaire peut
être ignorée.
CO est un gaz « inerte » et son seul puits notable est la réaction avec OH :
CO+OH→CO2 +H (lent)
H + O2 → HO2 (rapide)
-------------------------------------------------------
Bilan : CO + OH (+O2) → CO2 + HO2 (4)
Milieux riche en NOx
Dans les milieux riches en NOx, l’oxydation va se poursuivre avec les équations :
CO + OH (+O2) → CO2 + HO2
HO2 + NO → NO2 + OH (1)
NO2 +hν(+OInterprétation
2 )→NO+O 3
qualitative du bilan NO2
------------------------------------------- La conversion de NO en NO2 par HO NO2 + O3
Bilan : CO + 2 Orapide
1 conduit à « perturber » (2)
l’équilibre en
2 → CO22 + O (5)+ O3
NO (+ O2) NO
3 2 consommant NO (qui devient alors en déficit)
et en produisant NO2 (qui devient alors en
excès) La position d’équilibre
excès). d équilibre est rétablie par
L’oxydation du CO en préOHsence de NOx
HO2
conduit donc à lade«l’équilibre
déplacement production » dele O3.
chimique dans
sens 1, donc dans le sens de la production
La conversion de NO en NO2 par l’intermédiaire d’ozone.
lent
de HOLe2 système
va donc perturber
NO, NO2, O3 reste donc
l’équilibre entre NO2, NO et O3, en consommant dudansNOun étatet en produisant
proche de l’état d’équilibredu NO2
CO CO malgré une production nette de O3
(sens (2)). L’équilibre va donc être rétabli 2
par un déplacement de l’équilibre
chimique dans le sens opposé, ce» des
« Caractéristiques quidifférents
crée de l’ozone. On a donc un nouvel équilibre
chaînons
mais qui crée de l’O3. CO CO2
Remarque : il ne peut y avoir O3+ h (+H2O)
L’initiation est faitequantité
par laproduite
accumulation photolyse
de O 3 que si la
(par conversion initiation
cycle catalytique
de O3 (qui produit OH).
de NO en LaNO2) est supérieure à OH HO2 des HOx -
la quantité consommée (par
terminaison se fait par la production
photolyse) pour l’initiation de la HNO3
propagation
p p g
41 supérieur au nombre
êtred’initiation
supérieur au nombre
d’initiations. 42
=> O3 s’accumule !! O3
41 d’initiations.
O3
O2 O3
0-11 cm3.molecule-1.s-1
43
Transition entre production et
consommation de O3
On a une production net de O3 si la production > à la consommation :
Production : HO2 + NO → NO2 + OH lent (7)
(NO2 +hν(+O2)→NO+O3) rapide
Perte : HO2 + O3 → 2 O2 + OH (8)
-------------------------------------------
Application 30 min :
Ecrire la vitesse de production et de perte de O3 et en déduire la concentration de
NOx à partir de laquelle se fait la transition vers une production net de O3.
Sachant que k7 = 8,3.10-12 cm3.s-1 et k8 =2,0.10-15 cm3.s-1 calculer à partir de quel
concentration en NOx cette transition a lieu (utiliser les données du pécédent exo)
Réponse :
La transition se produit donc quand : v prod > v perte ⇒ k7CHO2CNO > k8CHO2CO3
v perte = k8CHO2CO3 kC
⇒ CNO > 8 O3
v prod = k7CHO2CNO k7
=> CNO > 2,4.10 -4 C
O3
Soit, pour un CO3=40 ppb => CNO > 10 ppt. Ce qui correspond à une
concentration de NOx, de : CNOCO3 11 CNOCO3 2, 7.108 ∗1.1012
= 4.10 ⇒ CNO2 = 11
= 11
= 6,8.108 cm −3
CNO2 4.10 4.10
⇒ CNOX = CNO2 + CNO = 9, 5.108 cm −3 soit 35ppt
Ozone troposphérique
Colonne troposphérique moyenne en O3 pour les mois de juin,
juillet et août (observations satellitales)
Sources
apport stratosphérique
HO2+NO 1
CH3O2+NO
total 2
puits
Colonne troposphé
Colonne riquemoyenne
troposphérique moyenne en O3 en
pourOles
3 mois de juin, dépôt 1
juillet et août (observations satellitales)
pour juillet et août (observations satellitales) O3+h 2 OH
((HO2, OH)) + O3
total 2
49
51
• L’imagerie radar permet de sonder la surface : Surface peu cratérisée, volcans, plaines,
montagnes,…
Atmosphère de Vénus
Température et pression
HCl HF
La quantité d’H2O sur Venus est très faible au dessus des nuages de l’ordre de 1
is 3346 km; 82!N), 356 (dotted line, 12 April 2007; distance
3325 km; to83!N),
the limb462is(dotted
3298 km; line,84!N),
27 Julyand 366distance to the limb is 1864 km; 88!N), and 484 (dashed
2007;
(dashed line, 22 April 2007; distance to the limb is 3898line,
km;1873!N).
August 2007; distance to the limb iswith
For comparison, the solid line 2670 km; 70!N). For comparison, the solid line with dots
dots corresponds to a profile of constant volume mixing ratio (vmr)
corresponds to a(0.5 ppm).
profile The vmrvmr
of constant in this plot Error bars correspond to the fitting error on the single
(5 ppb).
ppm. L’eau deutérée est par contre étonnamment abondante. Le rapport D/H est
correspond to the ratios of the HCl densities to the totalfitted
pressures of the VENUSREF model. Error bars correspond
air densities
parameter, i.e., the density (vmr) in theand
errors ontothe
obtained
thedensities
from
fitting error
the temperatures
(vmr)onin the
corresponding layer, and does not take into account the
the single-fitted
upper layers. The following values from the literature are also
parameter, i.e., the density in the corresponding layer, indicated:
and does not take into account the errors on the
150 fois plus élevé que sur Terre où il est de 1,5e-4. ceci est du à l’échappement
Connes et al. [1967] (circles) and Bjoraker et al. [1992] (inverted triangles).
densities in the upper layers.
On observe aussi d’autres molécules comme HCl (0.1 ppm) et HF qui participent à
Venus is the photodissociation of CO2 by solar UV [at
altitudes higher than 120 km. The mixing ratio of CO where
measured by the Pioneer Venus gas chromatograph [Oyama
38] Spectra
was some
were recordedofinmore
tudinal enhancement
key constituents
the poles.
atmosphere
Observations
different
for the
than spectral
10% when
by chemistry
the VIRTIS-M
intervals
going toward
of the instrument
Venus 4.6.on Error Analysis
Venushave prominent
Express [Irwinabsorption features.
et al., 2008] have However,
shown that there[40] The most critical parameters influencing the retriev
la chimie dans la haute atmosphère. et al., 1980] at different altitudes in the lower atmosphere
some of
(between 22 and 62 ppm at 52 km, 30 ± 18 ppm at 42atmosphere
wasthose
little gases
km (approximately
spatialaredistribution
and only upper
only present
65– 70limits
of COas traces in the
just above
km) atofmidlatitudes,
detection could
are related to the definition of the AOTF function: i
the cloud
be
with!1 formulation, the position of its maximum, and its extensio
abundan-
and 20 ± 3 ppm at 22 km). The gas chromatographderived. on ces As of
an the
example,
order OCS
of 40absorbs in the with
± 10 ppm, 2900–2950 values atinthe
higher cm wave numbers (number of orders taken into account i
Venera 12 [Gel’man et al., 1980] confirmed the low valuerange, corresponding
poles, consistent to the
withorder
rapid130, but spectrabringing
downwelling recordedCO-rich
the forward model). To test the sensitivity of our retriev
Dynamique atmosphérique sur Venus
La sonde spatiale
Venus Express a
permis de faire de
observations couplées
IR/UV. Ceci permet
de suivre la
dynamique
atmosphérique du
coté jour où la lumière
est diffusée par les
nuages et du coté nuit
par son émission dans
l’infrarouge.
Vénus à la particularité d’avoir une période de révolution de 224.70 jours et une période
de rotation de -247 jours. La rotation est donc extrême . Cette planète possède d’autre
part une couche nuageuse entre 60 et 70 km qui recouvre toute la surface et absorbe la
majeur partie du rayonnement solaire. Il se crée alors sur Venus un système de
circulation très particulier qui est différent en dessous et au dessus des nuages. En
dessous des nuages on observe des cellules de Hadley avec des vents à plus de 300
km/h. C’est la super-rotation de l’atmosphère. Au dessus des nuages, on a une
circulation du coté jour vers le coté nuit.
OH et O2 sur Venus
Fig. 2. Latitude-local time distribution of the limb observations of the O2 ða1 DÞ (in black) and OH Meine
Spectre de VIRTIS sur Venus Express 2006 -> 2014 nightside OH Meinel (a) and O2 ða1 DÞ (b) emissions observed at the limb
with VIRTIS-M. The vertical dotted line shows the mean value of the
distribution.
observed at the limb with VIRT
mean value of the distribution.
des atomes d’O, créés du coté jour par dissociation de CO2 et transportés du coté nuit :
2 (CO2 + hν(<200 nm) → CO + O )
O + O (+M) → O2*
O2* (+M)→ O2 + hν(1.3 et 1.6 µm)
Couplage chimie-transport
Sondage sous les nuages
En dessous des
Author's personal copy nuages
Composition
Chemical model for lower atmosphere of Venus 31
Surface :
Composés
upper boundary Abondances
conditions for these species in our model
CO2. Here K is the eddy diffusion
city V = K/2H 96,5 %coefficient
) and H is the
N2scale height. To balance3,4
the %
oxidation state
2 and SO2 , the following relationships between fluxes at
per boundarySO 2
hold: 130 ppm
H212O 3012ppm
4 = −2.2 × 10
OCS , Φ SO2 = 2.2 × 10 ppm
27 + fs,
= 2.2 × 1012CO− [H2 S]47 km V , 15 ppm
−fs − [OCS] 47 km V − [H2 S]47 km V ,0,5 ppm
HCl
12
= −2.2 × 10HF + 2fs − [OCS]47 km V − 5 [Hppb
2 S]47 km V ,
= 2.2 × 1012 NO− 2fs + [H2 S]47 km V . 5.5 ppb
xes are in cm−2 s−1 . Here fs is the photochemical pro-
n of free sulfur from SO2 in the middle atmosphere. We
s = 5 × 1011 cm−2 s−1 for our basic model, and the lim-
Etant données les températures et les pressions
ases fs = 0 and 1.1 × 1012 cm−2 s−1 will be considered Fig. 2.qui règnent
Profiles dansinla
of major species the basse atmosphère,
model. The HCl mixing ratio les
is constant
espèces vont être soumises à un équilibre
l. CO2 is the major constituent, and its flux is too small thermochimique.
−7
at 5 × 10 and not shown. Au dessus de 35 km H 2SO 4 issu du
ct the nuage vadistribution
hydrostatic se décomposer en SOZero
of this species. 3 et H 2O. SO3 réagit alors avec OCS pour former CO, SO2 et S2 :
fluxes
H2SO4at+the
ther species are assumed 2OCS→ H2O + SO2 + S2 +CO + CO2
upper boundary.
l species are given by their fluxes at the upper boundary,
he number of parent species given by their densities at
Chimie sur Vénus
Volcanisme sur Vénus
Volcans de Vénus
=> Une surface jeune (< 500 millions d’années), qui a subit une forte tectonique
Volcanisme sur Vénus
NATURE GEOSCIENCE DOI: 10.1038/NGEO1650 LETTE
800 shown in Supplementary Fig. S2. SO2 column densities in excess of 10 µm-at
found to be quite robust with respect to any miscalculation of the mean ultra
brightness factor, as expected from the distinctive spectral shape of SO2 abso
SO2 abundance at 70 km (ppbv)
provided there is enough SO2 . Below 10 µm-atm, this remains valid only fro
600 statistical point of view.
Simple model of SO2 abundance above the clouds. To strengthen our qual
interpretation of SO2 latitudinal profiles, we developed a crude model to est
400 the typical timescales for the destruction process with respect to supply fro
the lower atmosphere. A single hemisphere from the equator to the pole w
divided into 32 zonal cells extending along parallels—only meridional and v
? circulation are considered.
200
A single underlying cell represents the atmosphere below the clouds, act
a source and/or sink for SO2 . SO2 abundance is considered uniform within a
cell, and kept constant below the clouds at 2 ppmv (representative of its me
mixing just below the upper clouds). An ideal, day-side average circulation i
0
prescribed
Deux imagesto account for SOà2 advection.
prises 2=jours Meridional wind speed v is assume
1 d’intervalle
1980 1985 1990 1995 2000 2005 2010
Year vary with latitude ⌦ following v 12 m s · sin(2⌦ ), picturing the mean Had
montrent
circulation atune variation
cloud-top de l’intensité
level25 . Vertical wind speed w isinfrarouge.
then computed assu
Variations
Figure dethirty
3 | More than l’abondance de SO2 au dessus
years of SO2 measurements at Venus’sdescloud Laatempérature
null divergence of thedu wind vector chaud
point field (conservation
a augmentéof mass within
de cells)
yields upwards winds below 45 in latitude and downwards winds above 45
nuages.
top. Est-ce
Black stands du a des
for previously épisodes
published volcaniques
measurements 26 ? for 300SOK.in Serait-ce
. Red stands une
each of the cells irruption
is assumed volcanique
to be depleted ? solar flux
by the ultraviolet
2
the 8-month moving average of the retrievals also shown in Fig. 1. Solid red subsequent chemical reactions, following a exponential decrease with a lifet
error bars represent 1 random uncertainty, and dotted red error bars ⌧ = 5 ⇥ 104 s/cos(⌦), where ⌦ should be understood as a proxy for the mean
represent measurement dispersion in each temporal bin. zenithal angle—for optically thin layers, we expect the dissociation rate to b
proportional to the ultraviolet flux.
Results are shown in Supplementary Movies S3 and S4. Assuming no S
originates from intrinsic dynamical variability in the ascending above the clouds at the start of the first simulation, a steady state with qualit
sub-solar branch of the global circulation at cloud-top level on correct abundances and latitudinal gradient is established in less than 12 Eart
Les preuves semblent s’accumuler en faveur d’un volcanisme encore actif
a decennial timescale rather than from an external forcing such (see Supplementary Movie S1). The fair agreement with observations (comp
as extra buoyancy caused by volcanic eruptions, but we cannot with Fig. 2) indicates that the main processes governing the SO2 distributio
dismiss a volcanic forcing through our study alone. Observations during the SO2 -rich episodes are identified. Furthermore, the short timesca
involved allows for relatively fast changes (at least at lower latitudes) at the
Mars
Planète Terre Mars
Planètes tellurique :
• Proche du Soleil
• Petite
• Surface dense
• Faites de roches et de fer
Atmosphère de Mars
Composition :
Atmosphère de Mars
Température et pression
Les profils de température de Mars ont pour la première fois été mesurés in situ par les sonde
Viking 1 et 2 (1976). Mais celui ci est très variable en fonction du jour, de la latitude et de la
saison.
Température la nuit
Figure 3. Examples of (top) three typical SPICAM CO density profiles and (bottom)the corresponding
Les variations saisonnières de l’eau
Variabilité de la quantité d’eau dans l’atmosphère en fonction des saisons
(début en mars 2005). L’eau s’évapore du pôle nord à la fin du printemps et
condense au pôle sud. Puis, c’est le phénomène inverse qui se produit. La
quantité d’eau dans l’atmosphère varie donc beaucoup en fonction des
saisons et de la latitude : maximale aux pôles à l’été.
HO2 + O3 → 2 O2 + OH
------------------------------------------- O2 O3
1,4.10 cm .molecule-1.s-1
-11 3
Bilan : CO + O3 → CO2 + O2
43
Variabilité de la quantité
d’ozone dans
l’atmosphère est fonction
des saisons et de
l’altitude. L’ozone est
anticorrélé avec la vapeur
d ‘eau dans l’atmosphère.
et les maxima de
concentration sont obtenu
proche de la surface et
autour de 30 km.
Tempête de poussières
Les tempêtes de poussière se développent principalement lorsque Mars est au plus près du
Soleil. A cette époque de l'année, il existe alors un fort contraste entre la température de la
calotte (150 K) et les zones environnantes chauffées par le soleil. Ce phénomène va donner
naissance à des vents violents qui injectent dans l'atmosphère de grandes quantités de
poussières. Les particules de poussière absorbent la lumière solaire et provoqueraient un
réchauffement local. Le contraste de température augmente entretenant les vents violents, qui
soulèveraient encore plus de poussière, ce qui, en retour, réchaufferait un peu plus
l'atmosphère. L'augmentation de la pression atmosphérique par sublimation du CO2
contribue également à une amplification du phénomène, car l'air peut supporter plus de
particules. Grâce à ces mécanismes de rétroaction positive, la petite tempête locale prend de
plus en plus d'ampleur, et finit par recouvrir la planète toute entière.
Une fois la planète entièrement couverte, les gradients de température diminuent faisant
tomber le vent et les poussière sédimentent.
Nuages de haute altitude
406 F. Montmessin et al. / Icarus 183 (2006) 403–410
La température peut baisser énormément à haute altitude (100 K), CO2 peut alors
condenser pour former des nuages. A plus basse altitude (15-20 km) la vapeur d’eau
peu aussi condenser, la nucléation étant favorisée par la présence de poussières qui
jouent le rôle de noyaux de condensation.
Topographie de Mars
Topographie de Mars mesuré par MOLA sur MGS : altimètre laser. On peut y voir de
grandes plaines au Nord et une région volcanique proche de l’équateur avec un grand
canyon. Un terrain très cratérisé donc ancien au sud. C’est la planète rêvée pour les
géologues.
Google Mars
Olympus Mons
Le plus grand volcan du
système solaire :
26 km d'altitude
Caldeira de ~ 70 km de
diamètre
et 3 km de profondeur
Valles Marineris
Le plus grand canyon du système solaire :
4000 km de long, 700 km de large,
profondeur jusqu’à 7 km.
Pour comparaison :
Le grand Canyon s'étend sur environ 450
km de long.
Sa largeur varie de 5,5 km à 30 km.
Sa profondeur moyenne est de 1.3 km avec
un maximum de plus de 2 km.