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Rapport des métaux

SAMADI Weam
BERTHELOT Tom N3 Chimie
TP1
Depuis des décennies, le plomb et ses dérivés ont trouvé leur place dans une multitude
d'applications industrielles, allant des peintures aux tuyauteries, en passant par d'autres
utilisations diverses. Cependant, cette utilisation prolifique a été entravée par les risques
inhérents à la toxicité du plomb. En effet, une exposition excessive à ce métal peut
engendrer le saturnisme, une forme d'intoxication grave qui présente des conséquences
dévastatrices, notamment chez les enfants et les femmes enceintes. Les dommages se
manifestent principalement au niveau du système nerveux, de la moelle osseuse et des
reins. De plus, la contamination potentielle de l'eau du robinet par le plomb provenant des
tuyauteries constitue une préoccupation majeure pour la santé publique.

Dans ce contexte, ce rapport se focalise sur l'étude approfondie des oxydes de plomb. Notre
objectif principal est d'explorer les différentes variétés de ces composés, en mettant en
œuvre une démarche expérimentale rigoureuse. Pour cela, nous avons entrepris une série
d'analyses, débutant par le dosage précis du plomb et du cuivre dans un alliage de laiton par
électrogravimétrie.

Cette première partie présente une étude approfondie de l’oxyde de plomb (IV), composé
largement utilisé dans diverses applications industrielles et commerciales, par un dosage du
plomb dans un laiton par électrolyse.
Les laitons sont des alliages principalement composés de cuivre et de zinc, présentant une
teinte jaune, une malléabilité et une ductilité élevées, ainsi qu'une couleur dorée ou
argentée. Ils sont classés parmi les métaux non ferreux.
Aujourd'hui, le laiton est largement employé dans l'industrie, principalement pour la
production en série de pièces usinées. Les laitons contenant du plomb (habituellement entre
1 et 3 %) sont favorisés pour leur facilité d'usinabilité et la réduction des copeaux lors de
l'usinage. L'ajout de plomb améliore donc la capacité à être usiné, ce qui en fait un choix
privilégié dans diverses applications, Les applications des laitons sont diverses, incluant la
bijouterie, la décoration, la plomberie, la serrurerie, la ferronnerie, la fabrication
d'instruments de musique.Il est sensible à la corrosion atmosphérique en raison de sa
concentration en cuivre, développant rapidement une patine vert-de-gris en surface.
Manipulation
Une quantité de laiton subit une corrosion totale dans une solution d'acide nitrique concentré
(HNO3). On observe l’apparition d’un gaz brun tout au long de la corrosion, correspondant
aux vapeurs d'oxyde d'azote (NO2) les vapeurs de NO sont instantanément oxydés en NO2
de par le dioxygène de l’air et la chaleur dégagé Voici le bilan de cette réaction :

Pour le cuivre: Cu + 4 HNO3-> Cu(NO3)2 + 2 NO2 + 2 H2O


Pour le Zinc: 3Zn + 8 HNO3 -> 3Zn(NO3)2 + 2 NO + 4 H2O
Pour le Plomb: 3Pb + 8 HNO3 -> 3Pb(NO3)2 + 2 NO + 4 H2O
Soit le bilan total:
3Pb+Cu+3Zn+ 20 HNO3 -> 3Pb(NO3)2 + Cu(NO3)2 + 3Zn(NO3)2 + 2 NO2 + 4NO + 10
H2O

On réalise ensuite une électrolyse de la solution produite :

A l’anode la demi-réaction réalisée est :


Pb2+ + 2H2O ⇆ PbO2 + 4 H++2 e–
D’où la production de dioxyde de plomb par l’oxydation du Pb
(II) en Pb (IV)
A la cathode la demi-réaction réalisée est :
Cu2+ + 2 e- -> Cu (s)
D’où la production du Cu(s) par la réduction de Cu2+

Ce n’étaient pas les seules réactions observables, en


effet, à la cathode, on retrouvait aussi la réduction de l’eau :
H2O+ 2 e– -> H2 + 2OH-
Clairement observable par le dégagement du dihydrogène
gazeux.

La masse finalement déposée de cuivre est de 0,6263 g pour une masse de laiton de 1,000
g
Soit un pourcentage massique de cuivre :
𝑚(𝑐𝑢𝑖𝑣𝑟𝑒) 0,6263
𝑚(𝑙𝑎𝑖𝑡𝑜𝑛)
x100= %mcu 1,000
x100= 62,63%

Totalement en accord avec les %mass qu’on retrouve dans la plupart des laitons.

Pour le dioxyde de plomb la masse déposée est de 0,0701 g, soit une masse de plomb :

𝑀(𝑝𝑙𝑜𝑚𝑏)
m(plomb)= m(dioxyde de plomb)x 𝑀(𝑑𝑖𝑜𝑥𝑦𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑜𝑚𝑏)
(facteur de conversion)

m(plomb)= 0,0701 x 0,86


Donc:
𝑚( 𝑝𝑙𝑜𝑚𝑏)
𝑚(𝑙𝑎𝑖𝑡𝑜𝑛)
x100= %mPb x 0,86x100=6,03%

Le pourcentage en plomb obtenu semble légèrement supérieur au %mass du laiton mis sur
le marché
Partie 2
Sans surprise, l'analyse des pics de diffraction de rayons X confirme que le produit identifié
est effectivement PbO2.
La fiche cristallographique de PbO2 indique qu'il cristallise dans un système quadratique,
avec des paramètres de maille a = b =/= c et des angles égaux à 90°. Le nombre de motifs
par maille, noté Z, est de 2.

Pour déterminer les valeurs des paramètres de maille, nous pouvons consulter la base de
données cristallographique Christallography Open Database. Les valeurs trouvées
sont a = b = 4,9578 Å et c = 3,3878 Å. Ce qui est en accord avec les valeurs calculées
Avec ces informations, nous pouvons calculer la masse volumique de PbO2.
Le volume de la maille, noté V, est égal à a^2 * c = (4,9578 * 10^-10)^2 * 3,3878 * 10^-10 =
8,327 * 10^-29 m^3.
La masse volumique de PbO2 peut alors être calculée comme suit : ρ = (M * Z) / (NA * V) =
(239,2 * 2) / (6,022 * 10^23 * 8,327 * 10^-29) = 9,54 * 10^6 g/m^3 = 9,54 g/cm^3.
Dans la littérature, on trouve une masse volumique pour le dioxyde de plomb égale à 9,38
g/cm^3, ce qui est proche de celle déterminée par calcul. Ainsi, nous pouvons valider ce
dernier.
Le thermogravimétrie est un instrument utilisé pour mesurer les changements de masse d'un
échantillon en fonction de la température. Dans le cas de la décomposition de PbO2 en
Pb3O4 puis en PbO, cette technique peut être très informative pour comprendre les réactions
chimiques impliquées et les températures auxquelles elles se produisent.

1. Décomposition de PbO2 en Pb3O4 :


- Lorsque PbO2 est chauffé, il subit une décomposition thermique, libérant de l'oxygène et
conduisant à sa réduction par la formation de Pb3O4, deux plombs sont en D.O (+II) et l’autre
est en D.O (+IV.) Cette réaction peut être représentée comme suit :
3PbO2​→ Pb3​O4​+ ​O2​

-On observe une perte de masse correspondant à la libération d'oxygène et à la formation


de Pb3O4. Cette perte de masse est détectée comme une diminution du poids de
l'échantillon à une certaine température.
2. Décomposition de Pb3O4 en PbO :
- En continuant à chauffer l'échantillon de Pb3O4, subit une autre décomposition, cette
fois-ci produisant du PbO de degrés d’oxydation (+II) en libérant une nouvelle fois de
l'oxygène. La réaction est la suivante :
1
Pb3​O4​→ 3PbO + 2
​O2​

- Cette réaction se produira à une température plus élevée que la première décomposition,
et elle se manifestera également par une perte de masse dans le thermogravimètre.

En analysant les courbes obtenues à partir du thermogravimètre, on peut déterminer les


températures exactes auxquelles chaque décomposition et réduction se produisent.
Lors de l'observation des propriétés des différents oxydes de plomb, plusieurs
caractéristiques distinctes émergent. Pour le PbO2, le précipité noir reste au fond du tube à
essai sans aucune particule flottante apparente, aucune réaction ne se produit ce qui
semble logique, au vu de la première partie, ou le composé est resté sur l’anode après
l’électrolyse dans la solution aqueuse d’acide nitrique.
En revanche, le Pb3O4 produit un précipité de couleur orange intense dans le fond du tube,
avec une teinte marron sur ses bords.
Quant au PbO, il se dissout complètement dans la solution.
Les réactions des oxydes de plomb Pb3O4 et PbO avec l'acide nitrique génèrent le même
composé, le nitrate de plomb, comme le montrent les équations suivantes :

PbO + 2HNO3 🡪 Pb(NO3)2 + H2O


Pb3O4 + 4HNO3 🡪 2Pb(NO3)2 + PbO2+ 2H2O

Il est intéressant de noter que malgré des intensités différentes, les diffractogrammes des
composés D et E correspondent au même composé, confirmé comme étant Pb(NO3)2 grâce
aux fiches cristallographiques, ces différences d’intensités de pics dans les diffractogramme
D correspondes à la présence des pics de PbO2 qui se superposant aux autres pics de
Pb(NO3)2
Dans le tableau ci-dessous, plusieurs caractéristiques des oxydes de plomb sont
répertoriées :

Formule Nombre de motif Degré d'oxydation Solubilité dans Domaine de stabilité


chimique par maille du plomb Couleur l'eau (à 20°C) thermique

PbO2 2 +IV Noire Insoluble 293 °C

Pb3O4 4 1 en +IV 2 en +II Rouge Insoluble 515 °C

PbO 4 +II Orange 0,0702 g/L 600 °C (α) 800 °C (β)

Pb(NO3)2 4 +II Blanc 0,0702 g/L 600 °C (α) 800 °C (β)

On constate que le PbO est soluble à température ambiante, contrairement au PbO2 et au


Pb3O4. Cette différence peut s'expliquer par l'augmentation de la solubilité avec la
température. Ainsi, les tests effectués dans les tubes à essais ont permis de dissoudre le
PbO, tandis que les deux autres oxydes sont restés insolubles ou très peu solubles, même à
haute température.
Pour la séparation du des différentes phases obtenus à partir de Pb3O4, une simple filtration
pourrait suffire à séparer PbO2 précipité insoluble dans l’eau à Pb(NO3)2 totalement
solubilisé
Conclusion

Pour conclure, outre les domaines industriels qui utilisent ces procédés électrolytiques à des
fins de production, la recherche en termes de dépollution est également en avance. Les
oxydes de plomb et leurs équilibres dans l'eau ont été étudiés dans le cadre de ce rapport
sur le développement d'un procédé électrochimique innovant pour la dépollution des eaux
chargées en métaux lourds.
Les résultats obtenus démontrent l'efficacité de ce procédé électrochimique pour éliminer les
métaux lourds tels que le plomb, le cuivre et le nickel dissous en solution. En effet, ce
procédé permet d'obtenir des taux d'élimination allant jusqu'à 99,99 % pour le plomb,
ouvrant ainsi la voie à des concentrations acceptables pour l'environnement et l'eau potable.
De plus, cette méthode permet de séparer facilement plusieurs métaux lourds contenus
dans une même solution, ce qui en fait une approche prometteuse pour le traitement des
complexes.
En résumé, ce procédé électrochimique innovant offre une solution efficace, respectueuse
de l'environnement et économiquement viable pour la dépollution des eaux chargées en
métaux lourds. Ces travaux ouvrent la voie à de futures applications dans le domaine de la
gestion environnementale et de la protection de la santé publique.

TP2
Le but de ce TP est de nous familiariser avec le logiciel CES EDUPACK de Granta et de
comparer la corrosion des métaux mis à notre disposition dans des milieux alcalins et
acides. En effet, ce logiciel répertorie tous les matériaux et est utilisé afin de comparer les
propriétés et caractéristiques des matériaux.

Chaque exercice correspond à un niveau :

Exercice 1 :
Cette première étapes nous permet d’obtenir fiches produits sur différents matériaux (ici
l’acier inoxydable) elle nous informe des caractéristiques techniques de résistances, de
propriétés de celle-ci en fonction de leur utilisation industriel.
Exercice 2 et 3 :
La deuxième étape elle nous permet de directement accéder aux méthodes de productions
industriels, par une description détaillés du composés ainsi que les matériaux pouvant être
obtenu, tout en décrivant les aspect utiles pour l’industriel tel que le cout, les propriétés
obtenus, les dimensions surfaces, les avantages et qualités de tel procédés etc…

Exercice 4 : Diagrammes et propriétés


Le module de Young est une mesure de contrainte qu’on applique au matériau, plus celui-ci
est faible plus il est élastique,
On remarque par ce diagramme à bulle que la masse volumique d’un matériau semble
directement proportionnel à son non-élasticité on observe bien évidement quelques
exceptions
Comme pour les élastomères silicone qui ne suivent pas cette proportionnalité étant des
matériaux plutôt lourds ils conservent de bonnes propriétés élastiques.
Elles peuvent être attribuées à plusieurs facteurs, notamment la Structure moléculaire et
plus précisément la Réticulation des chaines , car bien évidement la masse volumique n’est
pas le seul facteur des propriétés élastiques des matériau mais reste cependant une bonne
indication.
Exercice 5 :

Les matériaux qui remplissent les trois critères suivants :


● Une température maximale d'utilisation supérieure à 200°C
● Une conductivité thermique excédant 25 W/m.°C
● Une bonne capacité d'isolation d'après les résultats de l'analyse de niveau 1,
comprennent l'alumine et le nitrure d'aluminium et de silicium.
Exercice 6 :

En matière de matériaux légers et résistants, deux types de mousses se distinguent : les


mousses métalliques et les mousses polymériques. Les mousses métalliques, constituées
de métaux comme l'aluminium ou le titane, offrent une excellente résistance et une bonne
conductivité thermique, mais elles sont généralement plus lourdes que les mousses
polymériques. Ces dernières, fabriquées à partir de polymères comme le polystyrène ou le
polyuréthane, sont plus légères, mais souvent moins résistantes mécaniquement. En
fonction des besoins spécifiques d'une application, on choisira donc entre ces deux types de
mousses pour obtenir le meilleur compromis entre légèreté et résistance.

Exercice 7:

Au final, plus de 39 matériaux peuvent etre moulés.

Ainsi que 16 procédés permettant d’assembler les aciers,


qui sont des alliages ferreux.

Exercice 8 :
Nous avons identifié sept matériaux répondant aux critères suivants :
● Ils ont une masse volumique inférieure à 2000 kg/m³.
● Leur limite élastique est supérieure à 60 MPa.
● Leur conductivité thermique est inférieure à 10 W/m.°C.
● Ils sont aptes au moulage.
Il est à noter que le polyétheréthercétone (PEEK) se distingue par un prix au kilogramme
nettement plus élevé que celui de tous les autres matériaux répertoriés. Parmi ces
matériaux, qui sont principalement des polymères thermoplastiques à l'exception des
époxydes qui sont des thermodurcissables, le PEEK se distingue en tant que
thermoplastique haute performance. Cette caractéristique explique son coût plus élevé,
puisque le PEEK offre une rigidité ainsi que des résistances thermique et mécanique
exceptionnellement élevées par rapport aux autres thermoplastiques.

Exercice 9:

La fiche nous donne un apercu des propriétés du polyéthylène téréphtalate, ou PET, qui
est un polymère thermoplastique couramment employé, notamment dans la fabrication
des bouteilles de boissons gazeuses. Sa popularité dans ce domaine s'explique par sa
capacité à résister à la pression interne, sa légèreté par rapport au verre, ainsi que par
sa recyclabilité.

Exercice 10:

Nous avons identifié 4 procédés de mise en forme qui respectent les critères suivants :

● Leur poids se situe entre 10 et 12 kg.


● Les épaisseurs de section sont inférieures à 4 mm.
● Ils adoptent une forme de tôle bombée.
● La taille de la série est supérieure à 1000.
● Ils sont fabriqués à partir de polymères thermoplastiques.

Partie 2:
En milieu basique avec NaOH, après une immersion de 45 minutes, un dégagement gazeux
est rapidement observé pour l'aluminium, tandis qu'aucun changement visible n'est constaté
pour les autres métaux utilisés [voir Figure 1]. La réaction qui se produit entre l'aluminium et
la solution aqueuse concentrée de soude est la suivante :

2𝑁𝑎𝑂𝐻(l)+2𝐴𝑙(𝑠)+𝐻2𝑂(𝑙) → 2𝑁𝑎𝐴𝑙𝑂2 (𝑠)+𝐻2 (𝑔) + 2 NaOH(l) + 2Al(s)+H2​O(l)→2 NaAlO2​(s) +H2​(g)

Le dégagement gazeux observé est donc du dihydrogène, et on obtient une perte de masse
de 15,23 % de notre échantillon.

Pour le reste des matériaux on peut tout de meme noter une perte de masse, de 4,5% pour
le cuivre, 7,3% pour le Nickel, et enfin seulement de 0,34% pour l’inox

En milieu acide avec HNO₃, après une immersion de 39 minutes, on observe une disparition
instantanée du cuivre à l'état solide. La solution incolore devient bleu-verte, et un bref
dégagement gazeux roux est également remarqué. La réaction qui se produit est la suivante
:
8𝐻𝑁𝑂3 (𝑙) + 3𝐶𝑢(𝑠)→3𝐶𝑢(𝑁𝑂3)2 (𝑙) +4𝐻2𝑂(𝑙)+2𝑁𝑂(𝑔)
En présence d'acide nitrique, le cuivre se transforme, formant ainsi le nitrate de cuivre II qui
donne sa couleur verte à la solution. De plus, la réaction produit également du monoxyde
d'azote (un gaz incolore) et de l'eau.
Le monoxyde d'azote s'oxyde rapidement au contact du dioxygène présent dans l'air, ce qui
génère les vapeurs rousses observées :
2𝑁𝑂(𝑔)+𝑂2(𝑔)→2𝑁𝑂2(𝑔) + 2NO(g)+O2​(g)→2NO2​(g)
Concernant l'aluminium et l'inox, aucun changement n'est observé. En revanche, la solution
contenant du nickel prend une teinte jaune pâle.
Ni + 4HNO3 → Ni(NO3)2 + 2H2O + 2NO2
On obtient alors une perte de masse de 4,5%.

Pour le reste des matériaux on peut tout de même noter une perte de masse, de 0,2% pour
l’inox, et enfin seulement de 0,01% pour L’Al.

Conclusion et comparaison avec les données CES EDUPACK.


Les essaies expérimentaux nous on permit d’établir un aspect purement pratique des
applications et de conclure directement sur la qualité du matériau testé,
Pour les industriels, le critère rapport qualité prix est essentiel et sera la base de
l’industrialisation de tel matériaux, tout en répondant à de nombreuses exigences par la
réglementation notamment en matières d'environnement et de dangerosité lié à la toxicité,ce
qui nous fait éliminer d’office le cuivre pour l’acide et l’aluminium pour la base pour les
réactions qui se sont produit.
Pour ce qui est de la base et de l’acide on remarque que l’acier inoxydable et le zinc
possèdent une plutôt bonne résistance à ces deux solutions, on retrouve d’après
EDUPACK l’acier inoxydable à un prix très abordable comparés aux autres métaux
disponibles ce qui en fait un candidat de choix pour de tels application
Tp3 : Etude de deux complexes du cobalt

L’objectif de ce tp est de se familiariser avec la chimie des complexes du cobalt en mettant


en oeuvre une synthèse par voie d'oxydoréduction en milieu aqueux. et enfin nous
utiliserons la spectroscopie UV-visible et la conductimétrie afin d’identifier notre complexe.

I - Solution aqueuse du complexe hexamine de cobalt

On souhaite une solution à 0,01 mol/L dans une fiole de 100mL :


C=n/V = m/(MV) ⇔ m = C.M.V = 0,01. 0,1. 236,54 = 0,2365g

On obtient le spectre UV suivant :

On remarque alors la présence de deux pics d’absorption un à 338 nm et un à 476nm. On


remarque alors que le pic à 338 nm appartient au domaine de l'ultraviolet et que le pic à 476
nm appartient au domaine du visible. A cette longueur d’onde nous sommes normalement
censé observer une couleur violette/bleu or notre complexe était orangé. Cela est tout à fait
normal car on a enfaite observé la couleur complémentaire du bleu/violet qui s’avère être le
orange d’après le cercle chromatique.

Dans le fascicule on nous à fournit un spectre Uv-visible de 3 complexes de cobalt, cela


nous permet de vérifier quels complexes de cobalt nous avons obtenu. On remarque qu’un
spectre possédent la même allure et quasiment les mêmes valeurs d’absorptions
maxiamales soit 338nm et 476nm. On peut donc dire que l’on a obtenu le complexe
[Co(NH3)6]3+ .
b) Conductimétrie

On va diluer notre solution à 0,01 mol/L pour créer une nouvelle solution à 0,001 mol/L. On a
un facteur de dilution de 10, ce qui fait que l’on va prélever 10ml de la solution mère que l’on
met dans une fiole de 100ml pour créer notre solution à 0,001 mol/L.

On mesure σkcl = 2,87 mS/cm et on nous donne L : la conductivité spécifique de KCL à 0,02
mol/L qui vaut 0,002768 Ω-1. On cherche à connaître la valeur du facteur géométrique K :
K = Lkcl/σkc = 0,002768/ 0,00287 = 0,964 cm/S.
On nous donne la relation pour trouver la conductivité équivalente : Λ = 1000L / M avec M la
concentration molaire de la solution soit 0,001 mol/L.
et on a L = K.σ , On à mesuré σ de notre solution qui vaut σ = 0,48 mS/cm.

On a donc Λ = 1000.K.σ/ M = (1000X0,964X0,00048)/ 0,001 = 462,72 Ω-1.cm-3.eq-1 , en


comparant notre résultat avec les données du fascicule nous pouvons dire que notre
complexe [Co(NH3)6]Cl3 se compose de 4 ions au total qui sont [Co(NH3)6]3+ et on a 3 ions
Cl-.

c) Questions à traiter

Question 1 : Le cobalt central est lié à 4 ligands NH3 et 2 ligands donneur de chlore, On a
donc une structure octaédrique pour le cobalt selon AX6E0.
Concernant l’isomérie, il existe effectivement deux types d’isomères un isomeres cis ou les
chlore sont du même coté et un isomère trans ou les 2 chlores sont opposés.

Question 2 :

Etape 1 : Dissolution de chlorure de cobalt hexahydrate dans de l’eau distillée :

CoCl2-H2O(s) -> CoCl2 (aq) + 6H2O

Etape 2 : Ajout chlorure d’ammonium et d’ammoniac concentré :

CoCl2(aq) + 6NH3(aq) -> [Co(NH3)6]Cl2 (aq)

Etape 3 : Oxydation du complexe [Co(NH3)6]Cl2 en complexe [Co(NH3)6]Cl3 :

[Co(NH3)6]Cl2 + H202 (aq) -> [Co(NH3)6]Cl3 + 2OH-

il existe deux types de ligands en solution, les ions Cl- et les ions OH-, ils peuvent tous les
deux se complexer avec notre complexe.
Question 3 :

On peut doser le cobalt de manière quantitative par iodométrie. Cette méthode consiste à
réduire l'ion cobalt III en ion cobalt II par des ions iodure en milieu acide.
On a le réaction suivante : 2 I- = I2 + 2e- , la couleur du diiode est jaune, c’est un indicateur qui
va nous permettre de savoir quand notre complexe aure réagit.
On pourra ensuite titrer l’iode libéré par une solution de thiosulfate de sodium, on pourra par
la suite à l’aide d’un tableau d’avancement remonter à la concentration de diiode.

La gravimétrie est également une technique qui permet de doser les ions cl et caractériser le
complexe. Elle permet de séparer les ions d’une solution grâce au phénomène de
précipitation. Dans notre cas si on met en présence notre complexe avec des ions chlorures
on aura une précipitation. A partir de la masse du précipité ainsi que que l'équation de
réaction on pourra remonter à la concentration des ions chlorure dans le complexe.

Question 4 :

La conductimétrie va permettre de savoir si le complexe est capable de conduire le courant


électrique. On peut donc en conclure les ion présents en solutions à partir de la conductivité
équivalente de la solution. ( voir plus haut)

Question 5 : Réponse au début du tp

Question 6 :
Question 8 :
TP4 : Traitement électrolytiques des métaux

L’objectif de ce tp est de faire et comprendre deux procédés de traitement électrolytique des


métaux : le nickelage et l’anodisation de l’aluminium.

Partie A : Dépot électrolytique de Nickel

Le but de cette partie va être de déposer une couche de nickel sur une surface métallique,
souvent utilisé pour des raisons de résistance à la corrosion.

a) Manipulation

Dans 100ml d’eau nous avons mis 6,2g de H3BO3 , 6,04g de NiCl2 et 29,93g de NiSO4. Nous
avons effectué une électrolyse à 50°C et à 2V. Notre montage est composé d’une cathode en
aluminium et une anode en nickel.

Afin de lancer l'électrolyse nous avons poncé notre électrode d’aluminium afin d'éliminer tout
type de dépôt notamment l'alumine car nos plaques d’aluminium peuvent s’oxyder en
présence d’air.

Au niveau de l’anode le nickel s’oxyde : Ni(s) -> Ni2+ + 2 e-


Au niveau de la cathode on a un dépôt, c'est le lieu de la réduction Ni2+ + 2e- -> Ni(s)

Nous effectuons deux électrolyses, une à 15 minutes et une à 30 minutes.

b) Résultat et interprétations

Temps de l’électrolyse Taille du dépôt (en μm) Vitesse de dépôt (μm/min)

15 minutes 6.3 0.42

30 minutes 9.56 0.318


Tableau regroupant nos valeurs expérimentales

Les tailles de dépôts ont été effectuées par microscopies. Pour trouver la vitesse de dépôts,
on sait que V = D/t avec D la distance et T le temps.

On remarque que nos résultats sont plutôt cohérent en effet on obtient un dépôt plus
important à t= 30 min par rapport à t = 15 min, cependant si on double le temps on s’attend à
avoir un dépôt 2 fois plus important, or ce n’est pas notre cas, on s’est rendu compte en
analysant nos électrodes qu’il y avait la présence de bulles pour notre électrodes laissé 30
minutes, ceci peut s'expliquer par un manque d’agitation de notre solution ce qui fait que nos
électrolytes avaient du mal à trouver la surface de notre électrode.
Image au microscope de notre dépôt à 15 min

Image au microscope de notre dépôt à 30 min

c ) questions

1) En l’absence de nickel, la réaction suivante se produit à la cathode :


2H2O + 2e- -> H2 (g) +2OH-

C’est la réaction de réduction de l’eau produisant du dihydrogène gazeux, on


n'observe pas de dépôt dans ce cas la.

2) En augmentant le pH, la solution devient basique en effet la concentration en ion OH-


augmente. Les ions oh- agissent comme des bases et réagissent avec les cations en
solution formant des hydroxydes insolubles. De part ces réactions, la concentration
en cations métalliques dans la solution diminue et donc on aura pas le phénomène
qui devrait se passer à la cathode soit la réduction, ceci explique le fait que la courbe
des potentiels se déplace vers des potentiels plus bas.

3) L’introduction des ions Ni2+ dans la solution à un pH donné : la quantité d’ions en


solution augmente entraînant l’augmentation du courant et de la conductivité. On
aura donc un flux d’électrons à la cathode favorisant le phénomène de réduction.

4) La vitesse à été calculée plus haut.


II. Anodisation de l’aluminium

Le but de cette partie va être de former une couche d'oxyde d'aluminium (Al2O3) plus
épaisse, qui est importante pour la protection contre la corrosion.

a) Manipulation

Dans un premier temps on à décaper votre lame pour éliminer les impuretés et les couches
de surface.
Ensuite on à dégraisser la lame avec de l’acétone, c’est pour enlever toutes traces de
graisses. On a plongé la lame dans une solution d’hydroxyde de sodium concentrée pour
éliminer les traces d’acides ou d’oxydes. Et enfin on a plonger la lame dans une solution
d’acide nitrique pour éliminer les oxydes et donc avoir une surface métallique propre et
réactive.

On avait un courant I = 1,5 A/dm² , une largeur d’électrode de 3 cm et une hauteur de 1.5 cm :
S = h.L = 3X 1.5 = 4.5 cm² = 0.045dm²
On a 1.5 A pour 1dm² , en faisant un produit en croix on trouve que l’on doit appliquer un
courant de 0.0675 A.

b) Résultats et réponses aux questions

On avait un courant I = 1,5 A/dm² , une largeur d’électrode de 3 cm et une hauteur de 1.5 cm :
S = h.L = 3X 1.5 = 4.5 cm² = 0.045dm²
On a 1.5 A pour 1dm² , en faisant un produit en croix on trouve que l’on doit appliquer un
courant de 0.0675 A.

1) L’eau est une molécule polaire alors que les graisses sont non polaires. Les graisses
vont repousser l’eau ce qui provoque l’incapacité des graisses de se dissoudre dans
l’eau.
L’acétone est un composé non polaire, elle va entourer les graisses en affaiblissant
leurs liaisons.
Les graisses vont se dissoudre dans l'acétone, ce qui va faciliter par la suite le lavage
à l'eau.

2) Equation de lavage à l’hydroxyde de sodium :

2 Al + 2 OH- + 6H2O -> 2[Al(OH)4]- + 3H2

3) Schéma Du montage électrique :


4) Demi-équation d’oxydation de l’aluminium :

2 Al(s) + 3H2O -> Al2O3 + 6H+ +6 e- : Réaction ayant lieu à l’anode

5) Demi équation de réduction des ions H+ :

2H+ +2e- -> H2 : Réaction ayant lieu à la cathode

6) Equation bilan de l’électrolyse :

2Al + 3H2O -> Al2O3 + 3H2

7) Soit Q la charge électrique totale. Q = I.t

Plus haut on à vue qu’on devait appliquer un courant i = 0.0675A, la durée de


l'électrolyse à durée 30 min = 1800 secondes.

Q = 0.0675*1800 = 121.5 C

8) n(e-) = Q/ (Na*e) = 121.5/(6,02.1023. 1,6.10-19) = 1,26.10-3 mol

9)

nAl2O3 = Q / ( n(e-)*F) = 121.5 / ( 96485* 2) = 0.000629 mol


mAl2O3 = nAl2O3 * MAl2O3 = 0.000629 * 102 = 0.0641g

10) On sait que V =S*e et que V = m / ρ


avec e : l'épaisseur en cm
e = m/(ρ*S) = 0.0641/ (4*4.5) = 0.00356 cm = 35.6 μm

Dans les données, on nous dit qu’on peut atteindre une épaisseur jusqu’à 25 μm,
nous obtenons une épaisseur un peu plus importante.

11) En frottant la lame avec un chiffon on se rend compte que la couleur rouge est
impossible à enlever.
12) L'aluminium anodisé peut présenter plusieurs avantages, elle peut offrir une
résistance à la corrosion grâce à la couche d'oxyde que l'on va former. L’anodisation
de l'aluminium permet également d'augmenter la durée de vie de la surface
d'aluminium en la rendant plus résistante. Ce phénomène est utilisé dans l'ingénierie
mécanique. En effet, les ingénieurs vont créer les poignées des portières en
aluminium, pour qu'elles soient esthétique et résistante à l'usure quotidienne et aux
conditions météo.
TP5 : Spectrophotométrie infra-rouge

L’objectif de ce tp va être de synthétiser le complexe tétrachlorocuprate II de


diéthylammonium. Après avoir synthétisé ce composé l’objectif va être d’observer comment
changer sa couleur en fonction d’une variation de température. Et enfin nous allons mettre
en évidence l’influence de la température sur la structure du complexe par spectroscopie IR
et Visible.

Partie A : Thermochromisme d’un complexe de cuivre

Dans le tp il est dit que le complexe tetrachlorocuprate II, peut prendre deux formes
géométriques une structure plan carré ou une structure tétraédrique et différentes couleurs
en fonction de la température à laquelle est chauffée le complexe.

Nous avons donc pu observer ce changement de couleur expérimentalement, en effet à


température ambiante le complexe avait une couleur verte vive, en placant ce complexe sur
une lame en verre puis sur une plaque chauffante en augmentant petit à petit on a pu
observer l’appparition d’un changement de couleur à partir de 55°C, le complexe a donc une
couleur jaune/marron.

a) spectre uv-visible

Nous avons observé les spectre uv-visible suivant :

spectre uv du complexe froid spectre uv du complexe Chaud


Dans le domaine du visible donc [400-800] nm, on remarque que lorsque le complexe est
chaud il possède un λ max = 580nm qui correspond bien a une couleur jaune contre un λmax =
540nm qui correspond bien a une couleur verte quand le complexe est à température ambiante.

Le phénomène de changement de couleur peut s’expliquer par la théorie du champ cristallin.


C’est un modèle électrostatique qui permet notamment de comprendre les propriétés optiques
des complexes.
Le métal de transition de notre complexe est le cuivre de configuration électronique 3d9 4s2, on
à donc 9 électrons qui participent aux interactions.

Éclatement du champ cristallin du complexe tétraédrique

Éclatement du champ cristallin du complexe plan carré


On remarque alors que les écarts d'énergies de l'éclatement du champ cristallin du complexe
plan carré sont plus faibles que celle de la géométrie tétraédrique. Il faut donc apporter plus
d'énergie pour passer d’une configuration plan carrée a tétraédrique. D'où la nécessité de
chauffer le complexe pour passer sous forme tétraédrique.

La couleur des complexes s’explique par une transition électronique type d-d au cours duquel un
électron passe d’un niveau e a t2 pour une symétrie tétraédrique.

b) Spectre IR

Dans le fascicule il nous ai donné le spectre ir du complexe a chaud et à froid.

On remarque que pour le composé froid il y a deux bandes caractéristiques de la liaison N-H
alors que pour le composé à chaud on observe qu’un seul pic d'élongation de la liaison NH. Cela
peut se traduire par une possible création de liaison Hydrogène entre le N-H et le composé
CuCl4. En fonction de la température, les liaisons hydrogènes peuvent être faibles ou fortes.

Partie B : Autour de l’ion de cuivre II

Le but de cette partie va être de montrer les différentes couleurs des ions complexes du cuivre II
et des différents ligands.
Et enfin nous allons déterminer la constante globale de formation de l’ion tetraamine cuivre II par
potentiométrie.

Nous avons commencé par effectuer le dosage d’une solution concentrée en ammoniaque par
de l’acide chloridrique à 0.100 mol/L.
Pour ce faire nous avons préparé une solution concentrée d'ammoniaque (100mL)
en diluant 10 fois la solution commerciale. En parallèle nous avons préparé une deuxième
solution.
On a par la suite mesurer la différence de potentiel d’une solution contenant du sulfate de cuivre
et de l’eau ainsi qu' une solution avec du sulfate de cuivre et une solution d'ammoniaque. On
mesure respectivement : ∆E1 = 83,7 mv et ∆E2 = 23,4 mv. Les ions cuivres en solutions peuvent
créer des complexes avec la molécule d'eau dans un premier temps puis avec de l'ammoniac
pour la deuxième solution. On remarque que lorsque les ions cuivres créés un complexes avec
les molécules d'eau on observe une ddp de 83,7mv contre 23,4 mv pour le cuivre complexé avec
de l'ammoniac. On peut donc en déduire que le complexe avec les ligands d'eau est moins
stable que celui avec les ligands d'ammoniac car il possède une ddp plus importante. Car un
complexe plus stable nécessite moins d'énergie pour être dissocier.

Partie C : Complexation du cobalt

L’objectif de cette partie va être de mettre en évidence la formation des complexes en fonction
du milieu, notamment la concentration des ions chlorure et la température sur l’équilibre de
complexation.

a) influence de la température

L’équilibre étudié est celui réalise entre le complexe co(H2O)2+6 (rose) et le CoCl42- de couleur
bleu.

Afin de visualiser l’influence de la température sur cet équilibre, on prépare 50 mL de solution de


nitrate de cobalt. On pèse donc 2,91 g de nitrate de cobalt que l’on va dissoudre dans une fiole
de 50mL.
On place la solution dans un bécher, on observe une couleur rose/violet ce qui signifie que le
complexe le plus stable est le co(H2O)2+6 .

Ensuite on ajoute de l’acide cholridrique concentrée, on observe un changement de couleur


important en effet on passe dune couleur rose/violet à du bleu foncé => formation du complexe
CoCl42-. Cela s’explique par le fait qu'il y a eu un échange de ligands on passe de 6 molécules
d’eau à 4 ligands Cl. On passe d’un complexe octaédrique avec les 6 ligands D’eau contre un
complexe tétraédrique avec 4 ligands Cl.

Ensuite on crée 3 solutions :

La première va être mise dans un bain un de glace , la seconde restera à température ambiante
et la dernière sera mise sur une plaque chauffante.

On peut voir que la solution qui à été mise dans le bain de glace passe d’une couleur bleu à
rose. La solution placée à température ambiante vire vers le violet. Et aucun changement n’est
observé pour la solution positionner sur la plaque chauffante.

On en déduit que le complexe le plus stable à haute température et à température ambiante et le


CoCl42- . Dans le fascicule on nous donne la réaction d’équilibre : avec nos observations on en
déduit que l’équilibre tend dans le sens à former CoCl42-- . La variation d’enthalpie sera positive.

A basse température on a une couleur rose , on en déduit donc qu’à basse température c’est le
complexe co(H2O)2+6 qui est plus stable. La variation d'enthalpie est négative .À température
ambiante la solution est violette au bout d'un temps T on à donc un équilibre des deux
complexes. La variation d’enthalpie est donc nulle.

b) Influence de la concentration en ions cl

On verse de l’acide chloridrique dans la solution de de nitrate. On obtient une solution bleu
foncé.

Dans une premier temps on prend la solution que l’on a crée et on ajoute de l’eau on observe
une solution de couleur rose pêche, l’équilibre est déplacé vers la gauche avec la formation du
complexe co(H2O)2+6 .

Ensuite dans un autre bécher on a mélangé la solution de nitrate et d’acide chlorhydrique avec
du nitrate d’argent on obtient une solution trouble rose saumon.

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