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• Plan
• Introduction
• I-Problématique de la cohérence textuelle
I-1- Première Tendance
I-2- Seconde Tendance
• II-Aspects de la cohérence textuelle
II-1-Problème de typologie
II-2-Quelques distinctions
II-3-Textes et séquences
II-4-L’analyse des séquences
II-5-L’éspace du texte
II-6-La progression thématique
II-7-Inférence
II-8-Phénomènes anaphoriques
II-9-Une catégorisation implicite
• Conclusion
• Introduction
• Nul ne peut ignorer que « l’analyse de discours »
est devenue au cœur de l’ensemble des sciences
humaines et sociales. Son objet est le discours. Ce
dernier n’est rien d’autre que le langage lui-
même, considéré comme activité en contexte,
construisant du sens et du lien social.
• En effet, l’AD s’occupera des phrases avant
d’élargir son champ d’étude pour s’intéresser au
texte. Quels sont donc les aspects et les règles
d’enchainements auxquelles obéissent « la
cohérence textuelle »?
• I-Problématique de la cohérence textuelle
• Première tendance :
• Cette tendance reprend la notion chomskyenne de
« compétence » postulant l’existence « d’une
compétence textuelle» permettant de déterminer si
une séquence de phrases constitue ou non un texte
bien formé. Aussi a-t-on vu apparaitre par exemple
des projets de « grammaire narrative ».
• Seconde tendance
• Cette tendance plus directement linguistique, étudie
les connections inter phrastiques (connecteurs,
reprises anaphoriques, phénomènes de progression
thématique, enchainement des marques
temporelles...).
• II-Aspects de la cohérence textuelle
• M. Bakhtine a beaucoup insisté sur ce
point : « Nous apprenons à mouler notre
parole dans les formes du genre et, entendant
la parole d’autrui, nous savons d’emblée, aux
tous premiers mots, en pressentir le genre, en
deviner le volume, la structure
compositionnelle donnée, en prévoir la fin,
autrement dit dès le début nous sommes
sensibles au tout discursif ».
• I-1-Problème de typologie
• A. Petit jean en étudiant ces classifications a
distingué trois grandes « démarches
classificatrices » : homogène, intermédiaire,
hétérogène. Il distingue ainsi les typologies
énonciatives, communicationnelles, et
situationnelles.
• J –P. Bronkart parle de quatre archétypes :
discours en situation, récit conversationnel,
discours théorique, narration. Ces archétypes
sont la base sur laquelle se développent les
multiples types effectifs de discours.
• M. Bakhtine a proposé un partage entre des
genres premiers dans notre vie, à savoir ceux
de la vie quotidienne, qui seraient en prise
immédiate sur les situations d’énonciation
(conversation, lettres…) et des genres seconds
davantage codifiés, liés à des échanges
complexes (littéraires, science…), qui
intégraient et transformaient ces genres
premiers.
•
•
• II-2-Quelques distinctions
• La notion de « types » ou de « genres » étant très
floue, on distinguera :
• -Les types de discours : catégorisation
élémentaire et instable, mais inévitable qui
permet de distinguer par exemple le discours
journalistique, le discours publicitaire ou le
discours littéraire …
• -Les genres de discours spécifient ces « types de
discours ». Ce n’est pas au discours politique ou
religieux en général qu’à affaire le destinataire,
mais à des textes qui relèvent de genres
particulier, historiquement définis, rapportables
à des lieux d’énonciation déterminés.
• -Les types de séquences ont des contraintes en
quelque sorte transversales aux multiples types et
genres de discours. La narration, l’argumentation, par
exemple, peuvent être l’œuvre aussi bien dans un
discours électoral que dans un guide touristique. J.M.
Adam distingue ainsi :
• - la séquentialité narrative
• - la séquentialité injonctive-instructionnelle,
• - la séquentialité descriptive,
• -la séquentialité argumentative
• -la séquentialité explicative-ex positive
• -la séquentialité dialogale-conventionnelle
• -la séquentialité poétique-autotélique.
• II-3-Textes et séquences
• Cette hétérogénéité est contrainte par le genre
de discours concerné. Il existe essentiellement
deux manières pour un texte d’articuler ces types
de séquences que J. M. Adam
appelle « l’insertion de séquence » comme
l’insertion d’un dialogue dans un récit: une
description dans une argumentation, etc.
Chaque fois se posent d’inévitables problèmes
de transitions ; et « la dominante séquentielle »
dans laquelle on a affaire à une relation plus
complexe, une sorte de mélange de séquences.
• II-4-L’analyse des séquences
• Comme unité constituante , la séquence est une
composante de T ( = le texte) ; comme unité
constituée , la séquence est une composante de
propositions( macro-propositions) qui jouent un
rôle déterminant dans le développement du récit ;
et des propositions élémentaires( micro-
propositions) .
• A la suite des travaux du sociolinguiste
américain w. Labov , on analyse généralement les
récits à travers une structure canonique de
macro-propositions successives :
• Situation initiale (ou orientation)
Complication Action Résolution
Situation finale Morale.
• La complication correspond au
déclenchement de l’action et la résolution à
sa fin. La séquentialité narrative peut avoir
aussi comme dans des genres de discours
variés du roman policier la forme suivante :
• « Pourquoi ou comment ? + Parce que +
Evaluation »
• II-5- L’espace du texte
• Le texte n’est pas seulement une hiérarchie
de constituants, il constitue aussi une certaine
disposition matérielle. Le problème ne se
pose cependant pas de la même manière à
l’oral et à l’écrit : à l’oral on peut en particulier
réitérer certains segments , ou encore
recourir à des éléments (
« d’abord »… « puis ») à valeur démarcative.
A l’écrit les auteurs ont essentiellement à leur
disposition le découpage en paragraphes.
• Ces éléments sont appelés : « les marqueurs
d’intégration linéaire ». Il s’agit de :
• D’abord puis ensuite enfin.
• Mais on trouve aussi :
• D’une part d’autre part soit parfois
parfois , d’un côté de l’autre coté en
premier lieu en second lieu etc.
• Les marqueurs de l’ouverture (le premier, l’un en
premier lieu…) ; le relais (le second, l’autre, en
second lieu , mais aussi, un autre, plusieurs,
certains ensuite, etc.) ; la fermeture (enfin, pour
terminer, en dernier lieu..)
• II-6-La progression thématique
• La continuité d’un texte résulte d’un équilibre
variable entre deux exigences fondamentales :
une exigence de progression et une exigence
de répétition.
• Nous allons commencer par envisager une
question à travers la progression thématique
l’incessante transformation des informations
nouvelles en informations acquises, lesquelles
servent de points d’appui pour l’apport de
nouveaux éléments.
• Dans cette perspective « fonctionnelle » de la
progression thématique, on parle de la
structure syntaxico-sémantique . Un même
élément va donc jouer un rôle sur le plan
syntaxique ( on parlera par exemple de Sujet,
COD, Attribut …) ; et sur le plan thématique ,
on parlera dans ce cas de » Thème » le
groupe qui porte l’information déjà acquise ;
le « Rhème », le groupe qui porte
l’information nouvelle ,
• Ainsi dans, dans la phrase :
• « La justice appartient au peuple »
• Placée au début d’un texte, on peut considérer
« la justice » comme le thème, le point de départ,
l’élément supposé acquis; et « appartient au
peuple » comme le rhème. Une fois introduit
dans le texte pour, le rhème , ou une partie du
rhème, peuvent devenir thème pour une autre
phrase :
• « Il ne peut l’aliéner »
• Ou le pronom, qui reprend « le peuple »,
constitue le nouveau thème.
• La progression thématique a une incidence
importante sur l’organisation textuelle. Le
thème y assure la continuité entre les phrases
par la répétition de certains éléments.
F.Danes a ainsi mis en évidence trois grands
types de progression thématique:
• La progression linéaire ou le thème de la
phrase antérieure devient le rhème de la
phrase qui suit, selon le schéma suivant :
• Phrase 1: Th 1 ………..Rh 1
• Phrase 2: Th 2 (Rh 1) ......Rh 2
• Phrase 3: Th 3 (Rh 2) …….Rh3, etc.
• Schéma qu’on peut illustrer avec cet exemple :
• « Le secrétaire d’état est arrivé à Paris (thème 1). Là
(thème 2, il a rencontré M. Rocard (rhème 3). Celui –ci
(thème 3) lui a fait part des vives préoccupations de la
France. »
• La progression à thème constant : le plus
élémentaire, répond un même élément en position
thématique :
• phrase 1 : Th 1,,,,,Rh1 phrase 2: Th1,,,,Rh2 phrase3:
Th1,,,,Rh3,,,etc
• Ainsi ce texte, le thème de la première phrase est
repris deux fois sous une forme pronominale : Le
premier ministre a rencontré son homologue
canadien, il a eu un entretien avec lui, il a ensuite signé
le livre d’or de la ville,
• La progression à thème éclaté est plus
complexe. Les divers thèmes y sont dérivés d’une
hypertonie initiale grâce à une relation
d’inclusion référentielle plus au moins lâche. Ainsi
dans une description, l’hyperothème « la
France » peut-il donner des thèmes comme
« l’économie » ,« la culture », « la défense », »
le sport »,,,
• La progression à thème éclaté est plus complexe.
Les divers thèmes y sont dérivés d’une hypertonie
initiale grâce à une relation d’inclusion
référentielle plus au moins lâche. Ainsi dans une
description, l’hyperothème « la France » peut-il
donner des thèmes comme « l’économie » ,« la
culture », « la défense », » le sport »
• II-7-Inférences
• Considérons l’exemple suivant, emprunté à l’article
fondateur d’I. Bellert :
•
• 1- Le fils le plus âgé d’Anne a quitté Varsovie pour
étudier à la Sorbonne
•
• L’auteur peut en tirer un ensemble de conclusions, par
exemple :
•
• a- Anne a un fils.
• b- Anne a plus de deux enfants
• c- Le fils le plus âgé était à Varsovie auparavant
• d- Le fils le plus âgé est allé en France
• On constate qu’un premier type de règles d’inférence
peut être inclus dans la description de la langue et les
conclusions seraient tirées pour être déduction
(rigoureuse), par exemple a , b, c, d…
•
• II-8- Phénomènes anaphoriques
•
• Il s’agit des relations de reprise d’un élément par
un autre dans la chaine textuelle. Le cas d’anaphore le
plus simple. C’est la pronominalisation. Mais il existe
d’autres types de reprise, particulièrement
intéressantes pour AD. On considèrera uniquement les
reprises nominales, de loin les plus importantes. On
peut les ranger en trois catégories :
• La répétition pure et simple du groupe nominal
(« César……César … »)
• - La pronominalisation (« César….Il….. ») et l’anaphore
fidèle, c’est-à-dire la reprise de l’unité lexicale avec un
changement de déterminant « une jeune fille…la jeune
fille… ».
• - L’anaphore infidèle, c’est –à-dire la substitution lexicale :
« la jeune fille… la pauvre enfant ».
•
• II-9- Une catégorisation implicite
•
• L’AD s’intéresse tout spécialement aux phénomènes
d’anaphore avec substitution lexicale. Aucune substitution
n’est en effet innocente, car elle repose sur une
présupposition d’identification référentielle, implicite
comme tout présupposition.
• Considérons cette dictée extraite d’une
grammaire française de 1900 ou coexistent des
reprises avec des éléments anaphoriques
référant au même objet « notre première
ville »:
• La reprise peut avoir un rôle beaucoup plus
idéologique que fonctionnel. Après par exemple :
• « Les soldats ont tué un adolescent qui lançait
des pavés », la reprise peut se faire d’une foule
de manières : « cet assassinat », « cette
nouvelle bavure », « ce regrettable incident »…A
chaque fois, le groupe nominal oriente la
trajectoire du texte.
• Conclusion
•
• Il faut dire en fin que le « discours »
montre d’une part, aux énonciateurs la
légitimité des substitutions lexicales qu’il met
en évidence dans son texte, dans une
dimension interlocutive ; et d’autre part, il
permet de partager une énonciation et la
faire assumer par le co-énonciateur. C’est ce
passage de l’énonciation qui sera développé
par la suite dans des textes argumentatifs.
Support 2
• Zellig S. Harris, « Analyse du discours », in Langages,
• Introduction
• Les problèmes
• Distribution à l’intérieur du discours
• Combinatoire avec la grammaire
• Nature et méthode
• Aperçu général de la méthode
• Monde opératoire
• Segmentation
• Techniques auxiliaires
• Résultats
• Conclusion
• Introduction
• Cet article de Zellig S. Harris, traduit par Françoise
Dubois-Charlier, fait partie d’un numéro thématique
relatif à l’analyse de discours. Il présente une méthode
formelle d’analyse de l’énoncé suivi, oral ou écrit,
fondé sur l’occurrence des morphèmes en tant
qu’éléments isolables.
• Une analyse de l’occurrence des éléments dans le texte
particulier; c’est-à-dire en fonction des autres éléments
de ce même texte et non en fonction de ce qui existe
ailleurs dans la langue.
• Ce faisant, nous découvrirons sa structure, ou son
contenu. Il se peut que nous ne sachions pas
exactement ce que dit le texte, mais nous pouvons
déterminer comment il le dit.
• Les deux problèmes
• En effet, l’analyse peut être envisagée de deux types
de problèmes liés. Le premier concerne le
prolongement de la linguistique descriptive au-delà
d’une seule phrase ; alors que le second, est celui du
rapport entre la culture et la langue. Autrement dit :
Quelle est la relation qui peut exister entre le verbal
et le non verbal ?
• Le premier problème se pose dans le fait que la
Linguistique descriptive s’arrête généralement
aux limites de la phrase . C’est le cas des adjectifs
anglais se trouvant avant ou après le verbe dans
la même phrase :
• The dark clouds ; the future seems bright
• La linguistique descriptive étudie les occurrences
d’éléments dans tout énoncé quel que soit sa
longueur. La grammaire expose la structure des
phrases; le locuteur construit chaque phrase
particulière conformément à cette structure, et
produit sa propre séquence de phrase.
• Le deuxième problème est celui de du rapport entre la
langue et le comportement ou la situation sociale; la
linguistique descriptive ne s’intéresse pas aux sens des
morphèmes mais à la situation sociale dans laquelle
l’énoncé est produit.
• Les résultats montraient que, dans une certaine langue,
un certain groupe de sens s’exprime par le même
morphème. Pour cette raison il faut considérer le sens
global des syntagmes et non la somme des sens des
morphèmes qui le constituent. Par exemple
• How are you ? est une formule de politesse plutôt
qu’une question sur la santé de l’interlocuteur. Cet
exemple illustre la corrélation entre le discours et la
situation sociale.
• 2-Distribution à l’intérieur du discours
• Faire une analyse distributionnelle à l’intérieur
d’un discours considéré comme un tout est
fructueux car cela permet de dépasser les
limites de la phrase. La langue ne se présente
pas en mots ou phrases indépendantes, mais
en discours suivi.
• 3-Combinatoire avec la grammaire
• La méthode utilisée est la méthode
distributionnelle de la linguistique à un
discours considéré comme un tout. Cette
méthode est efficace dans la mesure où elle
permet d’établir l’occurrence relative aux
morphèmes.
• Pour ce faire, il faut utiliser les règles de la
grammaire de la langue en question qui sont
vraies pour toute phrase ayant une forme
donnée, par exemple :
• Le chasseur tue le lion…… Le lion est tué par le
chasseur
• N1 + V + N2
• N2 + V + N1
• Ainsi on obtient un autre ordre inverse de
cette phrase. Le recours donc à la grammaire
permet de pousser plus loin l’application de la
méthode d’analyse de discours.
• 4- Nature et méthode
•
• La question qui se pose est donc la suivante :
Quel genre d’analyse faudrait-il utiliser pour
découvrir les rapports distributionnelles entre
les phrases d’une part, et la corrélation entre
la langue et la situation sociale d’autre part ?
• 5-Aperçu général de la méthode
• 5- 1- Eléments dans des environnements
identiques
• Dans l’analyse de discours comme en
linguistique descriptive, on regroupe les
éléments qui ont des distributions semblables
en une classe ; et à partir de là, on parle de
distribution de la classe considérée comme
un tout plutôt que celle de classes prise
séparément.
• 5-2- Les éléments à environnements
équivalents
• En analyse de discours, on pourrait avoir deux
parties de l’énoncé qui ont le même
environnement à un endroit qui sont
équivalentes même en un autre endroit où elles
n’ont pas le même environnement.
• 5-3 -Ordre de phrase
• Le seul ordre considéré en linguistique
descriptive est de décrire l’ordre par exemple de
l’article et du nom en disant que le premier
précède le second dans la chaine du syntagme
nominal, ce même ordre est employé aussi en
analyse de discours.
• Résumé
• Généralement, des éléments ( ou des morphèmes
ou encore des séquences de morphèmes ) sont
équivalents entre eux s’ils se présentent dans
l’environnement d’autres éléments identiques ou
équivalents entre eux s’appelle « une classe
d’équivalence ».
•
• 6- Monde opératoire
• Ici on parle des éléments à considérer comme des
équivalents placés dans les mêmes colonnes. Faut-il
chercher les mots répétées qui sont souvent des mots
clés du texte ?
• En fait, c’est en utilisant ainsi les répétitions, que nous
en venons à construire des chaines d’équivalences.
6-1-Segmentation-
• La classe d’équivalence expérimentée dans le texte
permet de le deviser en segments successifs qui
comprennent des occurrences semblables des mêmes
classes d’équivalences. L’appartenance d’un élément
à une classe particulière dépend de l’appartenance de
son environnement.
• 6-2- Séries de segments semblables
• Un texte peut contenir des segments appartenant
aux mêmes classes d’équivalence, mais qu’ on ne peut
pas diviser ; ou encore des phrases qui ne contiennent
pas ces classes ( des phrases d’interrogation).
• Donc la recherche des segments contenant les mêmes
classes nous pousse à découvrir les limites de cette
appartenance à une même classe.
• 7- Techniques auxiliaires
• 7-1- Occurrence indépendante
• La distribution des éléments dépend de leur occurrence .
Autrement dit certains éléments ne se trouvent dans un
environnement donné qu’en présence d’un autre élément :
Both entraine toujours And
• Both Said and I ….
• Autre type d’ occurrence est lié dans des expressions
réciproques comme : each other et together
Les formations
Domaniales Transverses Les parcours discursives
unifocale non
-
foca
le
-Types/Genres de -Registres linguistiques
discours -Registres
-Champs/ communicationnels
positionnement
• On pourrait dire qu’il ne faut pas exagérer l’écart
entre les unités topiques et non topiques, d’une
part, les unités topiques posent au chercheurs
des multiples problèmes de d’élimination,
comme toujours dans les sciences humaines et
sociales. D’autre part, les unités non topiques à
savoir les formations discursives et les parcours
ne sont pas soumises aux caprices des chercheurs
a cause de développement des recherches en
terme de discours. C’est à dire l’existence des
principes et des règles de l’art, qui sont souvent
acquises par imprégnation.
• Dans ce cas on ne peut pas limiter la recherche
en analyse de discours dans les unités topiques,
ou dans l’exclusion de ces unités. La réalité de
discours met en relation permanente le discours
et l’inter discours.
• L’interdiscours travaille le discours, qui en retour
redistribue perpétuellement cet interdiscours qui
le domine.
• C’est de cette impossible clôture que passait la
résistance de la notion de formation discursive. Et
dans ce cas l’analyse de discours a besoin de ces
unités topiques et non topiques pour observer la
discursivité des toutes complexités.
• Conclusion