Devoir Maison Français

1) Pour moi le titre parle du sujet d’un matinée qui est brun qui peut potentiellement être une
métaphore en parlant de tous les animaux tués non-brun.

2) Sur la première de couverture on peut apercevoir deux traits noir qui forme une croix.

3) Dans la première partie du texte, on peut identifier les informations suivantes sur le narrateur
et son ami :
1. Activité commune : Les deux personnages passent du temps ensemble à discuter, à
échanger des pensées et à siroter un café.
2. Discussion sur les animaux de compagnie : Le narrateur et Charlie parlent de leurs
animaux de compagnie respectifs, notamment du chien de Charlie qu'il a dû faire piquer et
du chat du narrateur qu'il a dû se débarrasser.
3. Réactions face à la perte d'animaux de compagnie : Ils réagissent différemment à la perte
de leurs animaux, avec le narrateur semblant moins affecté par la situation, peut-être en
raison de la compréhension de la nature inévitable de la vie des animaux.
4. Discussion sur la couleur des animaux : Il y a une discussion sur la couleur des animaux
de compagnie, avec une référence aux animaux bruns qui semblent être favorisés en raison
d'une mesure nationale.
En résumé, le narrateur et Charlie semblent être des amis qui partagent des moments agréables,
discutent de leurs expériences avec leurs animaux de compagnie et réagissent différemment face à
la perte de ces animaux.
4) D'après le texte, l'histoire semble se dérouler dans une ville, mais l'emplacement précis n'est
pas spécifié. En ce qui concerne le moment précis, la temporalité de l'histoire reste vague. On ne
sait pas exactement quand ces événements se produisent.
L'imprécision dans l'endroit et le moment peut servir à créer une atmosphère intemporelle et
universelle, permettant aux lecteurs de se concentrer davantage sur les thèmes et les idées explorés
dans le texte plutôt que sur des détails spécifiques. Cela peut également ajouter une dimension
allégorique à l'histoire, la rendant applicable à différentes époques et situations.
L'auteur peut délibérément choisir de ne pas spécifier ces détails pour rendre le récit plus abstrait,
soulignant ainsi l'importance des thèmes sociaux et politiques abordés, tels que les lois
discriminatoires liées à la couleur des animaux.
5) Le monde des personnages dans le texte présente des similitudes avec le nôtre, notamment
dans la manière dont la société gère les animaux de compagnie. Voici quelques points de
similitude :
1. Règles et réglementations : Comme dans notre société, le texte décrit des règles et des
réglementations concernant les animaux de compagnie. Les personnages doivent se
conformer à des normes spécifiques, en particulier en ce qui concerne la couleur des
animaux.
2. Réactions sociales : Les personnages réagissent socialement à ces règles, discutent de leurs
expériences avec leurs animaux et partagent des opinions sur les décisions prises par la
société en matière d'animaux de compagnie.
 3. Médias et censure : Les médias, représentés par le journal "Le Quotidien de la ville", sont
soumis à la censure en raison de leur opposition à une mesure nationale. Cela reflète des
éléments de censure et de contrôle des médias qui peuvent être présents dans notre propre
société.
4. Impact sur la vie quotidienne : Les règles liées aux animaux de compagnie ont un impact
direct sur la vie quotidienne des personnages, notamment avec la suppression de journaux et
la nécessité de se conformer à des normes strictes concernant la couleur des animaux.
Ces similitudes servent à créer une résonance avec le lecteur, en soulignant comment des éléments
de contrôle social et de régulation peuvent être présents même dans des contextes qui semblent
familiers à notre propre expérience de vie
6) En lisant le passage du début jusqu'à "puis on oublie vite", on peut observer que les
personnages s'expriment d'une manière assez informelle, proche de la langue parlée. Voici quelques
expressions et tournures de phrases qui illustrent cela :
1. Tournures informelles :
• "on ne parlait pas vraiment avec Charlie"
• "on échangeait des pensées"
• "on laissait filer le temps"
• "ça m'a surpris, mais sans plus"
• "C'est toujours triste un clebs qui vieillit mal"
2. Langage quotidien :
• "Lorsqu'il m'a dit"
• "Tu comprends"
• "Ben, un labrador, c'est pas trop sa couleur"
• "C'est pas la question"
• "Mince alors, comme pour les chats, maintenant ?"
3. Expressions familières :
• "Mon cœur s'était serré, puis on oublie vite"
• "Ça me tracassait"
• "Ben mon vieux"
• "Il paraît que côté courses et sports, il tient la route"
• "Tu parles d'une coïncidence !"
4. Niveau de langue : Le niveau de langue est principalement informel, utilisant des
expressions familières et des tournures de phrases simples. Cela correspond à un langage
parlé, ce qui crée une proximité avec le lecteur et donne l'impression que les personnages
s'expriment de manière authentique et quotidienne.
7) En lisant le passage du début jusqu'à "puis on oublie vite", plusieurs éléments dans leur société
peuvent sembler assez "étranges". Voici quelques points notables :
1. Élimination des animaux non bruns : La société a mis en place une mesure draconienne
qui implique la suppression des animaux de compagnie qui ne sont pas de couleur brune.
Cette idée de discrimination basée sur la couleur des animaux est inattendue et singulière.
2. Distribution d'arsenic pour éliminer les chats : Les milices de la ville distribuent
gratuitement des boulettes d'arsenic pour éliminer les chats non conformes. Cette méthode
 brutale de contrôle de la population des animaux de compagnie est choquante et peut
sembler extrême.
3. Censure des médias : Le journal "Le Quotidien de la ville" est interdit en raison de son
opposition à la mesure nationale concernant la couleur des animaux. La censure des médias,
en particulier pour des raisons liées aux animaux de compagnie, est un élément étrange dans
la société décrite.
4. Influence sur les courses et les sports : Les Nouvelles Brunes sont le seul journal restant
dans la ville, et on dit qu'il tient la route en matière de courses et de sports. L'idée que la
couleur des animaux puisse influencer les domaines sportifs et de divertissement est
inhabituelle.
5. Préoccupation pour la couleur des animaux : La préoccupation générale pour la couleur
des animaux de compagnie, au point de créer des lois et des réglementations strictes, semble
étrange et souligne un niveau élevé de contrôle social basé sur des critères inhabituels.
Ces éléments contribuent à créer une atmosphère dystopique et étrange dans la société décrite par le
texte, mettant en lumière des normes et des pratiques qui dévient significativement de ce qui est
considéré comme normal dans notre propre réalité.