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𝐷2
= √1 −
𝑙2
On a donc :
𝐹
𝑇=
𝐷2
2√1 − 2
𝑙
Exercice 3 :
Exercice 2 :
Exercice 4 :
1) D’après le PFD :
𝑝 = Σ𝐹𝑒𝑥𝑡
On sait que :
𝐺𝑚𝑀
𝐹=
𝑟2
Comme 𝐹 est la seule force qui s’exerce sur 𝑝 :
𝐺𝑚𝑀
𝑝=
𝑟2
Donc :
𝐺𝑚𝑀
||𝑝|| = || 2 ||
𝑟
2) D’après le PFD :
𝑝 = 𝑚𝑎
On a donc :
𝐺𝑚𝑀
𝑚𝑎 =
𝑟2
𝐺𝑀
⇔𝑎= 2
𝑟
𝐺𝑀
Donc, comme 𝑔 = 𝑎 : 𝑔 = 2 .
𝑟
3) On a :
(6,7 × 10−11 × 6 × 1024 )
𝑔=
(6,4 × 103 )2
= 9,81 × 106 𝑁
FAUX
II. Dynamique :
Exercice 1 :
D’après le PFD
𝑚𝑎 = Σ𝐹𝑒𝑥𝑡
⇔ 𝑚𝑎 = 𝐹 ⃗⃗⃗⃗𝐹 , car 𝑃⃗ et 𝑅⃗ s’annulent lorsqu’on les additionnent.
⃗⃗⃗⃗𝐹
𝐹
⇔𝑎=
𝑚
On déduit :
⃗⃗⃗⃗𝐹
𝐹
𝑣 = 𝑡 + 𝑣0
𝑚
Si le véhicule freine en 2 minutes :
⃗⃗⃗⃗
𝐹𝐹
120 + 𝑣0 = 0
𝑚
⃗⃗⃗⃗
𝐹 1
⇔ 120 ( 𝐹 + ) = 0, car on a les vitesses en 𝑚. 𝑠 −1
𝑚 3,6
⃗⃗⃗⃗
𝐹𝐹 1
⇔ =−
𝑚 3,6
𝑚
⇔ ⃗⃗⃗⃗
𝐹𝐹 = −
3,6
1600
⃗⃗⃗⃗
𝐹𝐹 = − 𝑁
3,6
⃗⃗⃗⃗
𝐹𝐹 = −444𝑁
Il faut donc appliquer une force de freinage de 444 newtons pour arrêter le
véhicule en 2 minutes.
Exercice 2 :
Pour s’entrainer au contrôle, faire pour l’autre pente, on est censé retrouvé
les mêmes formules.
c) On a :
𝑣𝑥 (𝑡) = 𝑔 sin(𝛼 ) 𝑡
𝑣𝑦 (𝑡)
b) On a:
𝑣𝑥 (𝑡) = 𝑔 sin(𝛼 ) 𝑡
𝑡𝐴2
𝑥 (𝑡) = ∫ 𝑣𝑥 (𝑡) = 𝑔 sin(𝛼 )
2
La constante est nulle comme on choisit l’abscisse du point de départ
comme origine. On note 𝑡𝐴 car on cherche le moment où 𝑡𝐴 arrive en A. On
continue :
𝐻
𝑥𝐴 =
sin(𝛼 )
D’où :
𝐻 𝑡𝐴2
= 𝑔𝑠𝑖𝑛 (𝛼 )
sin(𝛼 ) 2
2𝐻
⇔ 𝑡𝐴2 =
𝑔 sin2 (𝛼 )
c) On a :
2𝐻 𝑔2 sin2 (𝛼 ) 2𝐻
𝑣𝐴 = 𝑔 sin(𝛼 ) 𝑡𝐴 = 𝑔 sin(𝛼 ) √ =√ = √2𝑔𝐻
𝑔 sin2 (𝛼 ) 𝑔 sin2 (𝛼 )
2𝐻 𝑔2 sin2 (𝛽 ) 2𝐻
𝑣𝐵 = 𝑔 sin(𝛽 ) 𝑡𝐵 = 𝑔 sin(𝛽 ) √ = √ = √2𝑔𝐻
𝑔 sin2 (𝛽 ) 𝑔 sin2 (𝛽 )
Exercice 4 :
1) Le poids et la force de freinage sont les seule force qui agit sur l’objet. En
effet, la vitesse initiale n’est pas une force. Dans cet exercice, on néglige les
frottements. D’après le PFD :
𝑚𝑎 = Σ𝐹𝑒𝑥𝑡 = 𝑚𝑎 = 𝐹 + 𝑃⃗ = 𝑃⃗ − 𝑘𝑉
⃗ = −𝑘𝑉
⃗ − 𝑚𝑔𝑗
2) Le mouvement a lieu dans le plan formé par ⃗⃗⃗ 𝑉0 et 𝑃⃗ . Aucune force n’agit
⃗⃗⃗0 , 𝑃⃗ ), donc 𝑚 reste tout le temps dans ce plan.
dans la direction normale à (𝑉
La 2ième équation est une équation différentielle du 1er ordre avec second
membre (−𝑔). Les solutions de la 2ième ligne sont de la forme : 𝑉𝑧 (𝑡) =
𝑉𝑧𝐻 (𝑡) + 𝑉𝑍𝑃 avec : 𝑉𝑍𝑃 une solution particulière ; 𝑣𝑍𝐻 : la soltuion de l’équation
𝑑𝑉 𝐻 𝑉𝐻
homogène associée à (𝑧): 𝑧 + 𝑧 = 0
𝑑𝑡 𝜏
On cherche une solution particulière sous la forme du 2 nd membre 𝐶 = 𝑐𝑠𝑡𝑒 :
𝑃
𝑣𝑍𝑃
𝑉 = 𝑐𝑠𝑡𝑒 ⇒ = −𝑔 ⇒ 𝑉𝑍𝑃 = −𝑔𝜏
𝜏
On résout l’équation homogène :
𝑑𝑉𝑧𝐻 𝑉𝑧𝐻 𝑑𝑉𝑧𝐻
+ = 0 ⇒ 𝐻 = −𝜏𝑑𝑡
𝑑𝑡 𝜏 𝑉𝑧
𝐻
𝑑𝑉𝑧 𝑑𝑡 𝑡
∫ 𝐻 = − ∫ ⇒ ln(𝑉𝑧𝐻 ) = − + 𝐶𝑉𝑧
𝑉𝑧 𝜏 𝜏
𝑡
⇔ 𝑉𝑧𝐻 (𝑡) = 𝑒 −𝜏+𝐶𝑉𝑧
𝑡
𝑉𝑧𝐻 (𝑡) = 𝐵𝑒 −𝜏
L’ensemble des solutions de la deuxième équation est donc :
𝑡
𝑉𝑧 (𝑡) = 𝐵𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏
À 𝑡 = 0, on sait que ⃗⃗⃗
𝑉0 = 𝑉0 sin(𝛼 ) 𝑗 + 𝑉0 cos(𝛼 ) 𝑖. Donc :
𝑉𝑧 (0) = 𝐵 − 𝑔𝜏 = 𝑉0 sin(𝛼 )
⇔ 𝐵 = 𝑉0 sin(𝛼 ) + 𝑔𝜏
Ainsi :
𝑡
𝑉𝑧 (𝑡) = (𝑉0 sin(𝛼0 ) + 𝑔𝜏)𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏
4) On a :
𝑡
−𝜏
𝑉𝑥 = 𝑉0 (𝑒 − 1)
𝑉 (𝑡) = { }
𝑡
−𝜏
𝑉𝑧 = (𝑉0 sin(𝛼0 ) + 𝑔𝜏)𝑒 − 𝑔𝜏
𝑡
𝑉𝑥 = 𝑉0 cos(𝛼0) 𝑒 −𝜏
𝑉 (𝑡) = { 𝑡 }
𝑉𝑧 = (𝑉0 sin(𝛼0 ) + 𝑔𝜏)𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏
Commençons par déterminer 𝑉𝑥 :
𝑡 𝑡
𝑥 (𝑡) = −𝑉0 𝜏𝑒 −𝜏 − 𝑉0 𝑡 = −𝑉0 (𝜏𝑒 −𝜏 + 𝑡)
𝑡
𝑥 (𝑡) = −𝜏𝑉0 cos(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏 + 𝐶𝑥
On sait que 𝑥(0) = 0. Donc, pour 𝑡 = 0 :
𝑡
−𝜏𝑉0 cos(𝛼0) 𝑒 −𝜏 + 𝐶𝑥 = 0
⇔ 𝐶𝑥 = 𝜏𝑉0 cos(𝛼0 )
Déterminons ensuite 𝑉𝑧 :
𝑡 𝑡
𝑉𝑧 = 𝑉0 sin(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏 + 𝑔𝜏𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏
On déduit :
𝑡 𝑡
𝑧(𝑡) = (𝑉0 sin(𝛼0 ) (−𝜏)𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏 2𝑒 −𝜏 − 𝑔𝑡𝜏 + 𝐶𝑧
𝑡 𝑡
= −𝜏 (𝑉0 sin(𝛼0) 𝑒 −𝜏 + 𝑔𝜏𝑒 −𝜏 + 𝑔𝑡) + 𝐶𝑧
On sait que pour 𝑡 = 0 :
𝑡 𝑡
−𝜏 (𝑉0 sin(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏 + 𝑔𝜏𝑒 −𝜏 + 𝑔𝑡) + 𝐶𝑧 = 0
⇔ 𝐶𝑧 = 𝜏(𝑉0 sin(𝛼0) + 𝑔𝜏)
Ainsi :
𝑡
𝑥 (𝑡) = −𝜏𝑉0 cos(𝛼0) 𝑒 −𝜏 + 𝜏𝑉0 cos(𝛼0 )
𝑂𝑀 = { 𝑡 𝑡 }
𝑧(𝑡) = −𝜏 (𝑉0 sin(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏 + 𝑔𝜏𝑒 −𝜏 + 𝑔𝑡) + 𝜏(𝑉0 sin(𝛼0) + 𝑔𝜏)
𝑡
𝑥 (𝑡) = 𝜏𝑉0 cos(𝛼0) (1 − 𝑒 −𝜏 )
𝑂𝑀 = { 𝑡 }
−
𝑧(𝑡) = 𝜏(𝑉0 sin(𝛼0 ) + 𝑔𝜏) (1 − 𝑒 𝜏 ) − 𝑔𝑡𝜏
5) On a :
𝑡
−𝜏
lim 𝑉0 (𝑒 − 1) = −𝑉0 si 𝜏 > 0. Rq : on peut avoir des ±∞ si 𝜏 ∈ [−1,1].
𝑥→+∞
𝜏 est un temps, il est toujours positif.
𝑡
lim 𝜏𝑉0 cos(𝛼0) (1 − 𝑒 −𝜏 ) = 𝜏𝑉0 cos(𝛼0)
𝑡→+∞
𝑡 𝑡
lim 𝑉0 sin(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏 + 𝑔𝜏𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏 = −𝑔𝜏
𝑡→+∞
On a une trajectoire parabolique asymptotique.
𝑉𝑥 (0) = 0
𝑉𝑥 (𝜏) = 𝜏𝑉0 cos(𝛼0 ) (1 − 𝑒 −1)
𝑉𝑥 (2𝜏) = 𝜏𝑉0 cos(𝛼0) (1 − 𝑒 −2)
𝑉𝑥 (3𝜏) = 𝜏𝑉0 cos(𝛼0) (1 − 𝑒 −3)
Graphiquement, on devrait obtenir un logarithme.
Exercice 7 :
Correction :
1) Allongement :
(𝑙 − 𝑙0 ) = 5𝑐𝑚
||𝐹 || = |𝑘(𝑙 − 𝑙0 )|
À l’équilibre : 𝑃⃗ + 𝐹 = 0
𝑚𝑔
𝑚𝑔 − 𝑘𝑧 = 0 → 𝑧𝑒𝑞 =
𝑘
En mouvement : 𝑚𝑔 − 𝑘𝑧 = 𝑚𝑧̈
𝑘 𝑘
𝑧̈ + 𝑧 = 𝑚𝑔 ⇒ 𝜔2 =
𝑚 𝑚
2𝜋
𝑧̈ + 𝜔2 𝑧 = 𝑔 ⇒ 𝜔 =
𝑇
Donc, 𝑘 = 𝑚𝜔2 = (2𝜋𝜐)2 𝑚
𝐹 = (2𝜋𝜐) 2𝑚(𝑙 − 𝑙0 )
A.N : 𝐹 = (2𝜋 × 5)2 × 100 × 10−3 × 5 × 10−2
−2
𝑀𝐿𝑇 −2
[𝑎] = 𝐿𝑇 − 𝐿 = 𝐿𝑇 −2 − 𝐿2 𝑇 −2
𝑀
−2
𝑀𝐿𝑇 −2
[𝑣 ] = 𝐿𝑇 𝑇− 𝐿𝑇 = 𝐿𝑇 −1 − 𝐿𝑇 −2𝑇𝐿 = 𝐿𝑇 −1 − 𝐿2 𝑇 −1
𝑀
Ainsi :
𝑘
(𝑔𝑡 − 𝑙𝑡) 𝑔𝑡 𝑘𝑙𝑡
𝑙= 𝑚 = −
5 5 5𝑚
𝑘𝑙𝑡 𝑔𝑡
⇔𝑙− =
5𝑚 5
⇔ 5𝑚𝑙 − 𝑘𝑙𝑡 = 𝑔𝑡𝑚
⇔ 𝑙 (5𝑚 − 𝑘𝑡) = 𝑔𝑡𝑚
𝑔𝑡𝑚
⇔𝑙=
5𝑚 − 𝑘𝑡
[𝑙] = 𝐿𝑇 −2𝑀𝑇𝑀−1𝑇 −1(𝑀𝐿𝑇 −2)−1 = 𝐿−1𝑇 2𝑀−1𝐿𝑇 −2 = 𝑀 −1
Correction :
𝑚𝑔
Voir Q1 : 𝑧𝑒 = (𝑙 − 𝑙0 ) =
𝑘
3) On a :
𝑧0 = 1𝑐𝑚
Mouvement après l’avoir lâché en 𝑧0 :
PFD : 𝑃⃗ + 𝐹 = 𝑚𝑎
𝑚𝑔 − 𝑘 (𝑙 − 𝑙0 ) = 𝑚𝑎
𝑚𝑔 − 𝑘(𝑙𝑒𝑞 + 𝑧 − 𝑙0 ) = 𝑚𝑧̈
𝑚𝑔 − 𝑘(𝑙𝑒𝑞 − 𝑙0 ) − 𝑘𝑧 = 𝑚𝑧̈
𝑘
Donc : −𝑘𝑧 = 𝑚𝑧̈ ⇒ 𝑧̈ + 𝑧 = 0
𝑚
Allongement au cours du temps signifie qu’on cherche (𝑙 − 𝑙0 ) au cours
du temps, c’est-à-dire 𝑧(𝑡).
On intègre l’équation différentielle (1). Les solutions sont de la forme :
𝑧(𝑡) = 𝐴 cos(𝜔𝑡) + 𝐵 sin(𝜔𝑡)
𝑘
Avec : 𝜔 = √ .
𝑚
On doit déterminer A et B :
À 𝑡 = 0, 𝑧 = 𝑧0 . Donc :
𝐴 cos(0) = 𝑧0 ⇒ 𝐴 = 𝑧0
Pour avoir B :
𝑧̇ = −𝐴𝜔 sin(𝜔𝑡) + 𝐵𝜔 cos(𝜔𝑡)
À 𝑡 = 0, 𝑧 = 0 ⇒ 𝐵 = 0
Donc, l’allongement est :
Δ𝑙(𝑡) = [(𝑙0 + 𝑧𝑒 + 𝑧0 cos(𝜔𝑡))] − 𝑙0
= 𝑧𝑒 + 𝑧0 cos(𝜔𝑡)
4)
𝑧0 = 0𝑐𝑚
Mouvement après l’avoir lâché en 𝑧0 :
PFD : 𝑃⃗ + 𝐹 = 𝑚𝑎
⇔ 𝑚𝑔 − 𝑘𝑙𝑒𝑞 = 𝑚𝑎
𝑘
⇔ 𝑎 = 𝑔 − 𝑙𝑒𝑞
𝑚
⇔ 𝑚𝑔 − 𝑘(𝑙𝑒𝑞 + 𝑧) = 𝑚𝑧̈
⇔ 𝑚𝑔 − 𝑘𝑙𝑒𝑞 − 𝑘𝑧 = 𝑚𝑧̈
𝑘
Donc : −𝑘𝑧 = 𝑚𝑧̈ ⇒ 𝑧̈ + 𝑧 = 0
𝑚
On intègre l’équation différentielle (1). Les solutions sont de la forme :
𝑧(𝑡) = 𝐴 cos(𝜔𝑡) + 𝐵 sin(𝜔𝑡)
𝑘
Avec : 𝜔 = √ .
𝑚
On doit déterminer A et B :
À 𝑡 = 0, 𝑧 = 𝑧0 . Donc :
𝐴 cos(0) = 𝑧0 ⇒ 𝐴 = 𝑧0
Pour avoir B :
𝑧̇ = −𝐴𝜔 sin(𝜔𝑡) + 𝐵𝜔 cos(𝜔𝑡)
À 𝑡 = 0, 𝑧 = 0 ⇒ 𝐵 = 0
Donc, l’allongement est :
Δ𝑙(𝑡) = [(𝑙0 + 𝑧0 cos(𝜔𝑡))] − 𝑙0
= 𝑧0 cos(𝜔𝑡)
5) Pour cela, il faut que :
𝑧̇ ′ = 𝑧0 cos(𝜔𝑡)
On sait également que :
𝑧̇ (0) = 𝑣0
Ainsi, il faut que 𝑣0 = 𝑧0.
Exercice 2.1 :
Exercice 2.2 :
c) On a :
𝑣𝑥 = ∫ 𝑎𝑥 = 𝑔𝑐𝑜𝑠 (𝛼 )𝑡 + 𝐶
𝑅
𝑣𝑦 = ∫ 𝑎𝑦 = −𝑔𝑠𝑖𝑛 (𝛼 )𝑡 + 𝑡+𝐶
𝑚
Comme on a aucune condition initiale sur la vitesse, on a donc :
𝑣𝑥 = 𝑔 cos(𝛼 ) 𝑡
{ 𝑅 }
𝑣𝑦 = −𝑔 sin(𝛼 ) 𝑡 + 𝑡
𝑚
b) On a :
𝑔 cos(𝛼 ) 2
𝑥 (𝑡) = ∫ 𝑣𝑥 = 𝑡 +𝐶
2
𝑔 sin(𝛼 ) 2 𝑅 2
𝑦(𝑡) = ∫ 𝑣𝑦 = − 𝑡 + 𝑡 +𝐶
2 2𝑚
Avec ℎ la hauteur de O, on a :
𝑔 cos(𝛼 ) 2
𝑥 (𝑡) = 𝑡
{ 2 }
𝑔 sin(𝛼 ) 2 𝑅 2
𝑦 (𝑡 ) = − 𝑡 + 𝑡 +ℎ
2 2𝑚
On déduit que pour que la bille arrive en A, il suffit que 𝑦(𝑡) = 0. On cherche
à résoudre :
𝑔 sin(𝛼 ) 2 𝑅 2
− 𝑡 + 𝑡 +ℎ =0
2 2𝑚
𝑔𝑠𝑖𝑛 (𝛼 ) 2 𝑅 2
⇔− 𝑡 + 𝑡 = −ℎ
2 2𝑚
2 2𝑚
⇔ 𝑡 2 = −ℎ (− + )
𝑔𝑠𝑖𝑛 (𝛼 ) 𝑅
2ℎ 2𝑚ℎ
= −
𝑔𝑠𝑖𝑛 (𝛼 ) 𝑅
2ℎ 2𝑚ℎ
⇔𝑡=√ −
𝑔𝑠𝑖𝑛 (𝛼 ) 𝑅
b) On a donc :
𝑣𝑥 = ∫ 𝑎𝑥 = 𝑔 cos(𝛼 ) 𝑡
𝑔
𝑥 (𝑡) = ∫ 𝑣𝑥 = cos(𝛼 ) 𝑡 2
2
On cherche 𝑡 tel que, avec 𝐴 l’abscisse du point A :
𝑥 (𝑡) = 𝐴
𝑔
⇔ cos(𝛼 ) 𝑡 2 = 𝐴
2
⇔ 𝑔 cos(𝛼 ) 𝑡 2 = 2𝐴
2𝐴
⇔ 𝑡2 =
𝑔 cos(𝛼 )
2𝐴
⇔𝑡=√
𝑔 cos(𝛼 )
Or :
𝐻 𝐻 𝐻 𝑂𝐴
𝐴= , 𝑐𝑎𝑟 cos(𝛼 ) = 𝑒𝑡 =𝐻× = 𝑂𝐴
cos(𝛼 ) 𝑂𝐴 𝐻 𝐻
𝑂𝐴
Donc :
2𝐻
𝑡=√
𝑔𝑐𝑜𝑠 2(𝛼 )
c) On a :
𝑅
𝑣𝑦 = ∫ 𝑎𝑦 = −𝑔 sin(𝛼 ) 𝑡 + 𝑡
𝑚
Ainsi, lorsque la bille aura atteint le point A, la vitesse sera de :
⃗ ||
||𝑉
2 2
2𝐻 2𝐻 𝑅 2𝐻
= √(𝑔 cos(𝛼 ) × √ ) + (−𝑔 sin(𝛼 ) × √ + × √ )
𝑔𝑐𝑜𝑠 2 (𝛼 ) 𝑔𝑐𝑜𝑠 2(𝛼 ) 𝑚 𝑔𝑐𝑜𝑠 2(𝛼 )
2
2𝐻𝑔2 𝑔𝑠𝑖𝑛 (𝛼 )√2𝐻 𝑅√2ℎ
=√ + (− + )
𝑔 √𝑔 cos(𝛼 ) 𝑚𝑐𝑜𝑠(𝛼 )√𝑔
2
(√2𝐻 (−𝑚𝑔 sin(𝛼 ) + 𝑅 ))
= √2𝐻𝑔 + ( )
𝑚𝑐𝑜𝑠(𝛼 )√𝑔
4𝐻𝑅𝑠𝑖𝑛 (𝛼 ) 2𝐻
= √2𝐻𝑔 + 2𝐻𝑔 tan2 (2𝛼 ) + + √
𝑚𝑔 cos 2(𝛼 ) 𝑔𝑐𝑜𝑠 2(𝛼 )
Or, le calcul est très simple si on omet la résistance.
Exercice 2.3 :
1) S’il n’y a pas de frottement solide, la seul force qui s’exerce sur le skieur
est son poids. Ainsi, sans ce frottement, le skieur dévalerait la pente.
3)a) Les forces qui s’exercent sur le skieur sont les frottements 𝑓 , la
résistance 𝑅⃗ et le poids 𝑃⃗ .
3)b) On a dans notre système d’axe qui a pour centre le point de masse 𝑚,
où l’axe 𝑥 est la pente et l’axe 𝑦 est normal à la pente. Leurs vecteurs
respectifs sont 𝑖 et 𝑗 :
𝐹 = −𝑓𝑖 − 𝑃𝑐𝑜𝑠(𝛼 )𝑖 + 𝑅𝑗 − 𝑃𝑠𝑖𝑛 (𝛼 )𝑗, − cos(𝛼 ), car le cosinus est négatif.
= −𝑓𝑖 + 𝑅𝑗 − 𝑃 (cos(𝛼 ) 𝑖 + sin(𝛼 ) 𝑗)
Exercice 2.4 :
1) Les forces qui s’exercent sur la balle sont le poids et la force de freinage.
On a, d’après le PFD :
𝑃⃗ + 𝐹 = 𝑚𝑎
𝑘
⇔𝑎=− 𝑉 ⃗ −𝑔
𝑚
2) Car la balle se déplace en 2 dimensions.
3) On projette nos équations dans un axe 𝑂𝑥𝑦 ayant pour centre le point de
départ de la balle. On a :
𝑘 𝑘 𝑑𝑣𝑥
𝑎𝑥 = − 𝑣𝑥 ⇔ − 𝑣𝑥 =
𝑚 𝑚 𝑑𝑡
𝑘 𝑑𝑣𝑥 𝑘
𝑎𝑦 = − 𝑣𝑥 − 𝑔 ⇔ = − 𝑣𝑥 − 𝑔
𝑚 𝑑𝑡 𝑚
On a donc deux équations différentielles à résoudre.
𝑘
La première est sous la forme 𝑦 ′ = 𝑎𝑦. Donc, en posant 𝜏 = , comme 𝜏 est
𝑚
de dimension 𝑇 −1. Notre équation ressemble à :
1 𝑑𝑉𝑥
𝑉𝑥 = − ×
𝜏 𝑑𝑡
Donc, la solution est :
𝑡
𝑉𝑥 (𝑡) = 𝐶𝑒 −𝜏
On sait que 𝑉𝑥 (0) = 𝑉0 cos(𝛼0 ). Donc :
𝑡
𝑉𝑥 (𝑡) = 𝑉0 cos(𝛼0) 𝑒 −𝜏
La deuxième équation est sous la forme :
𝑦 ′ = 𝑎𝑦 + 𝑏
𝑘
On pose 𝜏 = . Ainsi, l’équation à résoudre est :
𝑚
1 𝑑𝑉𝑦
𝑉𝑦 = − × −𝑔
𝜏 𝑑𝑡
Donc, la solution est :
𝑡 𝑡 𝑠
−𝜏
𝑉𝑦 (𝑡) = 𝑒 (∫ −𝑔𝑒 𝜏 𝑑𝑠 + 𝐶)
0
𝑡 𝑠
−𝜏
=𝑒 (−𝑔𝜏𝑒 𝜏 + 𝑔𝜏 + 𝐶)
𝑡 𝑡
= −𝑔𝜏 + 𝑔𝜏𝑒 −𝜏 + 𝐶𝑒 −𝜏
On sait que :
𝑉𝑦 (0) = 𝑉0 sin(𝛼0 )
Or :
𝑉𝑦 (0) = −𝑔𝜏 + 𝑔𝜏 + 𝐶 = 𝐶
Donc :
𝑡 𝑡
𝑉𝑦 (𝑡) = −𝑔𝜏𝑒 −𝜏 + 𝑉0 sin(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏
4) On sait que :
𝑡
𝑉𝑥 (𝑡) = 𝑉0 cos(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏
{ 𝑡 }
−
𝑉𝑦 (𝑡) = (𝑉0 sin(𝛼0 ) − 𝑔𝜏)𝑒 𝜏 − 𝑔𝜏
Ainsi :
𝑡 𝑡
𝑥 (𝑡) = ∫ 𝑉0 cos(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏 𝑑𝑡 = −𝜏𝑉0 cos(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏 + 𝐶
Comme 𝑥 (0) = 0. On déduit que :
𝐶 = 𝜏𝑉0 cos(𝛼0 )
𝑡 𝑡 𝑡
𝑦(𝑡) = ∫ ((𝑉0 sin(𝛼0) − 𝑔𝜏)𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏) 𝑑𝑡 = 𝑔𝜏 2 𝑒 −𝜏 − 𝜏𝑉0 sin(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏𝑡
Donc :
𝑡
𝑥 (𝑡) = −𝜏𝑉0 cos(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏 + 𝜏𝑉0 cos(𝛼0 )
{ 𝑡 𝑡 }
2 −𝜏 −𝜏
𝑦(𝑡) = 𝑔𝜏 𝑒 − 𝜏𝑉0 sin(𝛼0) 𝑒 − 𝑔𝜏𝑡
Exercice 1.4 :
Exercice 2.7 :
Exercice 1.1 :
1) D’après le PFD :
𝐹+𝑇 ⃗⃗⃗1 + ⃗⃗⃗
𝑇2 = 0
En projetant sur un repère (𝑖, 𝑗), les forces exercées sur le système sont :
𝛼 𝛼
𝑖: −𝑇1 sin ( ) + 𝑇2 sin ( )
{ 2 2 }
𝛼 𝛼
𝑗: 𝐹 − 𝑇1 cos ( ) − 𝑇2 cos ( )
2 2
On remarque que :
𝛼 𝛼
𝑇1 sin ( ) = 𝑇2 sin ( )
2 2
⇔ 𝑇1 = 𝑇2
Pour se simplifier la vie, on nommera ces 2 valeurs 𝑇. Donc :
𝛼
𝐹 − 2𝑇𝑐𝑜𝑠 ( ) = 0
2
𝛼
⇔ 2𝑇𝑐𝑜𝑠 ( ) = 𝐹
2
𝐹
⇔𝑇= 𝛼
2 cos ( )
2
𝐹
=
𝑂𝐷
2( )
𝑂𝐵
Or :
𝑙
𝑂𝐷 2
=
𝑂𝐵 2 2
√( 𝑙 ) − (𝐷 )
2 2
𝑙
= 2
2 2
√𝑙 − 𝐷
4
𝑙 4
= ×√
2 (𝑙 − 𝐷 )2
𝑙2 4 4
= √ × ( 2 − 2)
4 𝑙 𝐷
𝑙2
= √1 − 2
𝐷
Donc :
𝐹
𝑇=
𝑙2
2√1 − 2
𝐷
2) On a :
500
1000 = 𝛼
2 cos ( )
2
500
⇔ 𝛼 =1
2000 cos ( )
2
1
⇔ 𝛼 =1
4 cos ( )
2
𝛼
⇔ 4 cos ( ) = 1
2
𝛼 1
⇔ cos ( ) =
2 4
𝛼 1
⇔ = arccos ( )
2 4
1
⇔ 𝛼 = 2 arccos ( )
4
= 151°
Exercice 4 tentative 2 :
1) Les forces qui s’exercent sur la balle sont la force de freinage 𝐹 et le
poids 𝑃⃗ . D’après le PFD :
𝑃⃗ + 𝐹 = 𝑚𝑎
⇔ −𝑚𝑔 − 𝑘𝑉 ⃗ = 𝑚𝑎
4) On a :
𝑥 (𝑡) = ∫ 𝑣𝑥 (𝑡)
𝑡
= ∫ (𝑣0 cos(𝛼0) 𝑒 −𝜏 ) 𝑑𝑡
𝑡
= −𝜏𝑣0 cos(𝛼0 ) 𝑒 −𝜏 + 𝐶
Comme 𝑥 (0) = 0, on a 𝐶 = 𝜏𝑣0 cos(𝛼0). On déduit :
𝑡
𝑥 (𝑡) = −𝜏𝑣0 cos(𝛼0) 𝑒 −𝜏 + 𝜏𝑣0 cos(𝛼0)
Et :
𝑦(𝑡) = ∫ 𝑣𝑦 (𝑡)
𝑡
= ∫ ((𝑔𝜏 + 𝑣0 sin(𝛼0))𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏) 𝑑𝑡
𝑡
= (−𝑔𝜏 2 − 𝑣0 sin(𝛼0) 𝜏)𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏𝑡 + 𝐶
On sait qu’à l’instant 𝑡 = 0, 𝑦(𝑡) = 0. Donc, 𝐶 = 𝑔𝜏 2 + 𝑣0 sin(𝛼0 ) 𝜏. On a :
𝑡
𝑦(𝑡) = (−𝑔𝜏 2 − 𝑣0 sin(𝛼0 ) 𝜏)𝑒 −𝜏 − 𝑔𝜏𝑡 + 𝑔𝜏 2 + 𝑣0 sin(𝛼0 ) 𝜏
Exercice 1 de l’annale :
2)a) On a :
⃗⃗⃗
𝐹𝑟 = −𝑘(𝑙 − 𝑙0 )
Avec, 𝑘 la constante de raideur, 𝑙 la longueur du ressort et 𝑙0 la longueur au
repos. Attention, il faut préciser la signification des variables.
2)b) Lorsque 𝑚1 est à l’équilibre, la somme des forces extérieures est nulle,
ainsi :
𝑃𝑥 + 𝐹𝑥 = 0
⇔ 𝑚𝑔 sin(𝛼 ) − 𝑘 (𝑙 − 𝑙0 ), attention, il ne faut pas oublier de créer ses
propres variables pour se faciliter la tâche. Où 𝛼 est l’angle entre le poids et
la pente. On peut d’ailleurs exprimer 𝛼 en fonction de 𝜑. En effet : 𝛼 = 90 −
𝜑
⇔ 𝑘(𝑙 − 𝑙0 ) = 𝑚𝑔 sin(𝛼 )
𝑚𝑔 sin(𝛼 )
⇔ 𝑙 − 𝑙0 =
𝑘
𝑚𝑔 sin(𝛼 )
⇔𝑙= + 𝑙0
𝑘
3)a) Vérifions l’homogénéité :
[𝑥 (𝑡)] = 𝐿 ; [𝑥0 ] = 𝐿 ; [Θ] = 1 ;[𝑚1 ] = 𝑀 ; [𝐾 ] = 𝑀𝑇 −2 ; [𝑡] = 𝑇
Ainsi :
𝐾 𝑀𝑇 −2 K
[√ ]=√ = 𝑇 −1 ; [ 𝑡] = 𝑇 −1 × 𝑇 = 1. Donc :
𝑚1 𝑀 m1
𝐾
[𝑥0 cos (√ 𝑡 + 𝛩)] = 𝐿
𝑚1
Donc, l’expression est homogène.
𝐾 𝐾 𝐾
⇔ 𝑥0 cos (√ 𝑡 + 𝛩) = 𝑥0 cos (√ 𝑡 + √ 𝑇 + 𝛩)
𝑚1 𝑚1 𝑚1
𝐾 𝐾 𝐾
⇔ √ 𝑡 + Θ + 2π = √ 𝑡 + √ 𝑇 + Θ
𝑚1 𝑚1 𝑚1
𝐾
⇔ √ 𝑇 = 2𝜋
𝑚1
2𝜋
⇔𝑇=
𝐾
√
𝑚1
4) Avec :
𝑣(𝑡) = 𝑥 ′ (𝑡)
Car le mouvement a uniquement lieu dans l’axe ox. Avec :
(𝑢𝑣 )′ = 𝑢′ 𝑣 + 𝑢𝑣 ′
𝑢 = 𝑥0 ⇒ 𝑢′ = 0
𝐾 𝐾 𝐾
𝑣 = cos (√ 𝑡 + 𝛩) ⇒ 𝑣 ′ = −√ sin (√ 𝑡 + 𝛩)
𝑚1 𝑚1 𝑚1
Donc :
𝐾 𝐾
𝑣(𝑡) = −√ 𝑥0 sin (√ 𝑡 + 𝛩)
𝑚1 𝑚1
On déduit que :
𝐾 𝐾
||𝑣 || = |−√ 𝑥0 sin (√ 𝑡 + 𝛩)|
𝑚1 𝑚1
5) On a :
𝑎(𝑡) = 𝑣̇ (𝑡)
Avec :
(𝑢𝑣 )′ = 𝑢′ 𝑣 + 𝑢𝑣 ′
𝐾
𝑢 = −√ 𝑥0 ⇒ 𝑢′ = 0
𝑚1
𝐾 𝐾 𝐾
𝑣 = sin (√ 𝑡 + 𝛩) ⇒ 𝑣 ′ = √ cos (√ 𝑡 + 𝛩)
𝑚1 𝑚1 𝑚1
On déduit que :
𝐾 𝐾
𝑎(𝑡) = − 𝑥0 cos (√ 𝑡 + 𝛩)
𝑚1 𝑚1
Exercice 2 :
⃗⃗⃗1 + 𝑇
1)b) L’équilibre est vérifié pour 𝑚1 si 𝑃 ⃗⃗⃗1 = 0 ⇔ ⃗⃗⃗ 𝑃1 = −𝑇⃗⃗⃗1. L’équilibre
est vérifié pour 𝑚2 si ⃗⃗⃗⃗
𝑃2 + ⃗⃗⃗
𝑇2 = 0 ⇔ ⃗⃗⃗⃗
𝑃2 = −𝑇 ⃗⃗⃗2. On a, lorsque le système est
à l’équilibre :
⃗⃗⃗
𝑃 +𝑇 ⃗⃗⃗1 = 0
{ 1 }
⃗⃗⃗⃗2 + 𝑇
𝑃 ⃗⃗⃗2 = 0
−𝑚1𝑔 + 𝑇1 = 0
⇔{ }, car les propriétés précisées sur le fil : « inextensible,
−𝑚2𝑔 + 𝑇2 = 0
de masse négligeable » entendent que 𝑇1 = 𝑇2
⇔ −𝑚1𝑔 + 𝑇 = −𝑚2𝑔 + 𝑇
⇔ 𝑚1 = 𝑚2
Donc, en condition d’équilibre 𝑚1 = 𝑚2 .
2)a) Le fil est inextensible, donc il ne peut pas y avoir des accélérations
différentes sur sa longueur. Ainsi : ||𝑎 ⃗⃗⃗⃗2 || = 𝑎. Encore une fois, il faut
⃗⃗⃗⃗1|| = ||𝑎
penser à lire l’énoncé avant de faire bêtement un PFD.
2)b) Comme le fil est inextensible, les deux forces se compensent, donc :
𝑎1 = −𝑎2
Dans le corrigé, il est écrit : « Au cours du mouvement, le fil se translate
continument ».
Exercice 3 :