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Objectif de cette matière : être à l’aise avec une liasse fiscale. On cherche d’abord à
répondre aux questions au plus gros coefficient. 3 points sur les chiffres et 5 points sur les
commentaires faire de belles phrases.
1. Définition
Les données sont classées pour être enregistrées sur des supports adéquats et ces données
sont chiffrées (balance générale/balance auxiliaire).
Elles doivent représenter la réalité : montrer ce dont dispose l’entreprise et ce qu’elle doit,
elle doit donc montrer le résultat (bénéfice ou perte).
Sur des comptes de comptabilité générale où il y a trop d’écriture on fait une balance.
Comptabilité auxiliaire : sur les comptes de classes 4 il y a tellement de comptes qu’on fait
des sous-ensembles car ils sont très importants.
B. La normalisation comptable
Les utilisateurs peuvent avoir des besoins différents : ils n’utilisent pas tous les mêmes
supports il faut que tous les utilisateurs parlent le même langage. D’où l’harmonisation car
les utilisateurs peuvent être internes ou externes.
Image fidèle :
Régularité et sincérité : Il faut des écritures comptables régulières et sincères, c’est le
reflet de la réalité.
Continuité d’activité : Supposons que l’on ait une machine plus contemporaine faite
par la même entreprise. Les anciennes ne vaudront plus rien, cela veut dire que la
machine qui vaut 123 en cout historique ne vaut plus que 10 sur le marché de
l’occasion. Ici on est déjà sur une comptabilité qui prend en compte l’évolution de
marché. On mettra dans nos compte 123 euros car on est sur un principe de
continuité d’activité. On gère tout en coût historique. On ne prend malheureusement
pas en compte les fluctuations etc…
Découpage dans le temps et indépendance des exos : chaque année (1er janvier au 31
décembre) on forme des exercices comptables, des périodes de 12 mois et qui sont
toujours du 1er janvier au 31 décembre. Il y’a des exceptions, on peut parfois changer
les dates de fin de clôture des exercices (ex Altiflore)
Non compensation de l’actif et du passif et des charges et produits :
Ex : j’achète maintenant pour 100 euros à un fournisseur, ce dernier fait un prix. D’un
côté compte de charge (100€) compte 6 et de l’autre côté un compte de classe 7
compte 709. Dans ma comptabilité je mets 100 en charge et 2 dans le compte
ristourne.
La permanence des méthodes : on ne change pas les méthodes d’écritures
comptables d’une année sur l’autre. Sinon pas de comparabilité possible entre actif
et passif.
Comptabilisation en coût historique : Par exemple en compte de classe 2 : il y a
plusieurs types d’immobilisations il faut les comptabiliser au coût historique : les
biens acquis à titre onéreux sont enregistrés à leur coût d’acquisition, les biens acquis
à titre gratuit à leur valeur vénale ou d’usage et les produits sont enregistrés à leur
coût de production ou de construction. Amortissement idée de prendre en compte
le vieillissement de la machine pour acheter la même machine. La dotation aux
amortissements prend en compte le cout historique.
Le principe de prudence est de considérer que notamment en matière d’actif, qu’il
est bien liquide. Donc toutes les créances qu’on essaye de recouvrir il faut les évaluer
au titre des créances recouvrables Ex : compte 411 un client nous doit 100 000
supposons qu’on apprenne que ce client est au tribunal et en procédure de
sauvegarde… on va dire que 100 000 euros oui il nous la doit (compte 411) mais pour
autant compte tenu de sa situation on ne retient pas 100 000 euros mais on
considère moins.
Le code de commerce :
Organe décisionnel créé en 1998 qui détient le monopole d’établissement des règles
comptables françaises validé par un arrêté ministériel.
Pour les autres sociétés, le commissaire aux comptes est obligatoire en cas de dépassement
de 2 seuils sur 3, en termes de chiffre d’affaires, total bilan et effectif.
Dans un objectif de réduction des frais des PME l’article 20 de la loi PACTE rehausse ces
seuils pour toutes les sociétés. Désormais ces seuils sont également applicables aux formes
de sociétés pour qui la désignation était obligatoire quel que soit le niveau des seuils (SA et
SCA) La loi PACTE a été publiée au JO du 23 mai 2019
Les nouveaux seuils de certification sont ainsi alignés sur ceux préconisés par la directive
européenne comptable.
Nomination d’un CAC SA ; SCA SAS et SASU Autres sociétés Selon l’art 20 de la
seuils d’obligation. loi Pacte.
Chiffre d’affaires 2 millions d’€ 3,1 millions d’€ 8 millions d’€
Total du bilan AUCUN SEUIL 1 million d’€ 1,55 millions d’€ 4 millions d’€
Effectif 20 salariés 50 salariés 50 salariés.
La mission du CAC : conduit à la certification des comptes il s’agit d’une mission légale
(mandat de 6 ans)
Si le CAC découvre des fraudes qui constituent des faits délictueux, il est tenu sous peine de
mise en cause de sa responsabilité pénale de les révéler au procureur de la République.
18 920 CAC en France.
2,6 milliards de CA
61 % des clients des CAC sont des SAS.
I- LE COMPTE DE RÉSULTAT ET SON ANALYSE
Avec le bilan et l’annexe comptable, le compte de résultat fait partie des documents des
comptes annuels obligatoires.
Les charges et produits sont enregistrés dans un journal comptable, opération par opération
jour par jour et synthétiser dans une balance générale.
Le livre journal peut être détaillé en un ou plusieurs journaux auxiliaires dont les opérations
sont récapitulées une fois par mois dans le journal comptable.
Tout enregistrement comptable doit être appuyé par une pièce justificative
- Qui peut être externe (facture, fournisseur, relevé bancaire)
- Qui peut être interne (facture clients, feuille de paie…)
Les logiciels en comptabilité : SAGE, CEGID, QUICKBOOKS, ZOHO. Permettent d’organiser des
bases de données comptable avec une saisie unique des lignes d’écritures et qui donnent :
- Un journal comptable quand on trie les écritures chronologiquement
- Un tri analytique par numéro de compte (balance générale et auxiliaire)
COMPTE DE RÉSULTAT
CHARGES PRODUITS
Tout ce que paie l’entreprise Tout ce que gagne l’entreprise
Charges d’exploitation :
Compte 60 (achats)
Compte 61 et 62 (charges externes)
Compte 63 (Impôts et taxes hors TVA)
Compte 64 (charges de personnel) : salaires et charges sociales.
Compte 65 (autres charges de gestion courante) : redevances, pertes sur créances
irrécouvrables.
Charges financières :
Compte 66 : les intérêts débiteurs du compte bancaire, l’escompte.
Intérêts facturés par une banque / Commissions bancaires.
Charges exceptionnelles :
Compte 67 : charges exceptionnelles sur opérations de gestion.
Participation des salariés aux résultats et impôt sur les bénéfices (obligatoire dans les
entreprises d’au moins 50 salariés.
2. Les produits
Achat de marchandises
Variation des stocks
Autres achats
Autres charges externes
Impôts et taxes
Rémunération du personnel
Charges sociales
Dotations aux amortissements
Autres charges.
Coût d’achat des marchandises vendues = achat de marchandises + les charges accessoires
1. Les charges accessoires d’achat.
COUT d’achat des marchandises vendues : Prix d’achat + frais accessoires d’achat externes
- L’achat de marchandises
- + Transport
- + commission
- + prime d’assurance.
Trois solutions possibles pour enregistrer en comptabilité les frais accessoires d’achat :
Tout est intégré : le cout des achats apparaît distinctement dans le compte « achat » du
journal
B. En compte de charges externes (616,622,624) tout est détaillé ne fait pas ressortir
le cout d’achat.
A. Frais de port
B. Départ usine
C. Départ usine
Exercice :
Exercice sur le compte de résultat : Marge brute = produits – charges = 200 000 euros car
600 000 – 400 000.
Hypothèse n°2 : Il n’y avait aucun stock de marchandise au début de l’exercice. Il reste un
stock de marchandise à la fin de l’exercice de 100 000 euros (coût d’achat)
Charges Produits
CHARGES D’EXPLOITATION PRODUITS D’EXPLOITATION
Achat de marchandises 400 000 Vente de marchandises 600 000
Variation stock marchandises - 100 000
(SI 0 – SF 100000)
Bénéfices 300 000
TOTAL 600 000 TOTAL 600 000
REMARQUE : Hausse des stocks => On retranche des achats l’augmentation du niveau des
stocks (les achats non vendus)
Stock initial – stock final => pour calculer la variation des stocks. Ici augmentation du stock
de 100 000 euros. L’entreprise a réussi à faire 600 000 euros de chiffre d’affaires avec moins
de matière.
Hypothèse n°3 : Il restait un stock de 150 000 euros au début de l’exercice. Il reste un stock
de 100 000 euros à la fin de l’exercice
Cout d’achat de marchandises vendues en N : Achat + (SI – SF) = 400 000 + (150 000 – 100
000) = 450 000
La variation du stock de marchandise est égale à SI – SF = 150 000 – 100 000 = 50 000
En termes de facture d’achat
La marge brute = 600 000 – 400 000 + 50 000 = 250 000 euros.
Charges Produits
CHARGES D’EXPLOITATION PRODUITS D’EXPLOITATION
Achat de marchandises 400 000 Vente de marchandises 600 000
Variation stock marchandises 50 000
(SI 0 – SF 100000)
TOTAL 450 000 TOTAL 600 000
REMARQUE : Baisse des stocks => on ajoute aux achats ce qui est prélevé sur les stocks.
Corrigé : il nous faut plus de matière ici pour produire les 600 000 euros, on est moins
performant que sur l’exercice précédent.
Hypothèse 4 : Il restait un stock initial de 50 000 euros il reste un stock final de 100 000
euros
Cout d’achat des marchandises vendues : 400 000 + 50 000 – 100 000 = 350 000.
Charges Produits
CHARGES D’EXPLOITATION PRODUITS D’EXPLOITATION
Achat de marchandises 400 000 Vente de marchandises 600 000
Variation stock marchandises - 50 000
(SI 0 – SF 100000)
Bénéfices 250 000
TOTAL 600 000 TOTAL 600 000
La variation du stock : 50 000 – 100 000 = - 50 000.
REMARQUE : Hausse des stocks => On retranche des achats l’augmentation du niveau des
stocks (les achats non vendus)
Une entreprise a vendu des produits finis au prix de 500 000 euros. Les consommations de
matières premières et les autres frais de production se sont élevés à 300 000 euros pour la
même période
Hypothèse 1 : au début de l’exercice, il n’y avait aucun stock de produits finis et toute la
production a été vendue.
Charges Produits
CHARGES D’EXPLOITATION PRODUITS D’EXPLOITATION
Achat de marchandises Vente de marchandises 500 000
Variation stock marchandises 300 000
(SI 0 – SF 100000)
Autres frais de production
TOTAL 300 000 TOTAL 500 000
Bénéfice : 200 000 euros
Hypothèse 2 : Au début de l’exercice il n’y avait aucun stock de produits finis. A la fin de
l’exercice le stock de produits finis est de 70 000 euros (coût de production)
Charges Produits
CHARGES D’EXPLOITATION PRODUITS D’EXPLOITATION
Achat de marchandises Vente de marchandises 500 000
Variation stock marchandises 300 000 Production stockée 70 000
(SI 0 – SF 100000) (SF 70 000 – SI 0)
Autres frais de production
Un grand pourcentage de marge brute (78% par exemple) => une fois qu’on a payé tout ce
qu’on a pour pouvoir vendre il nous reste encore 78% pour payer le reste du compte de
résultat. C’est un bon chiffre.
La marchandise : produit créé par quelqu’un d’autre que l’entreprise achète pour revendre
contrairement aux produits qui sont créés par l’entreprise pour être vendus.
Les tiers sont les comptes de classes 4 mais dans le compte de résultat les tiers sont dans les
comptes de classe 6.
Pour obtenir le résultat net, on soustrait toutes les charges au chiffre d’affaires
Si on améliore la marge brute cela veut dire qu’on a peut-être augmenté nos prix de ventes :
- Soit on augmente le chiffre d’affaires
- Soit on réduit les charges : pour qu’on ait moins de charge on peut essayer de
renégocier les prix avec les fournisseurs. Cela peut être aussi la baisse des matières
premières.
La production vendue est celle vendue aux clients, la production stockée est qu’on a un
certain nombre de biens qu’on garde en stock peut être le temps d’une homologation par
l’État ou car le produit n’est pas complètement finalisé.
Soldes intermédiaires de gestion = Regroupement de comptes comptables pour traduire les
chiffres comptables en réalité économique.
Il s’agit d’agrégations de comptes du compte de résultat en cascade agrégat
1. La production de l’exercice
2. La marge commerciale
La marge commerciale est utilisée pour les entreprises de négoce et la marge de production
pour les entreprises qui produisent. C’est un indicateur de pilotage primordial pour le chef
d’entreprise.
La marge commerciale s’obtient en retirant du CA l’ensemble des coûts directs générés par
la vente du produit. (Frais de commercialisation et de distribution)
Exemple : Une entreprise achète et revend des marchandises. Voici un extrait de sa balance
comptable :
Compte 707 : créditeur de 100 000 euros.
Compte 607 : débiteur de 50 000 euros.
Compte 6087 : débiteur de 5 000 euros.
Compte 6097 : créditeur de 2 000 euros
Voici le calcul de la marge commerciale : 100 000 – (50 000 + 5 000 + 2 000) = 47 000 euros.
3. La valeur ajoutée.
La valeur ajoutée est la richesse générée par une entreprise ou un agent économique au
cours d’un exercice. Elle est définie comme la différence entre le chiffre d’affaires et la valeur
des biens / Services consommés (consommations intermédiaires)
Calcul de la Valeur ajoutée : Chiffre d’affaires – coûts directs intervenants dans la création du
produit ou service.
DONC Valeur ajoutée (VA) = Marge commerciale + Production de l’exercice – Achats
d’approvisionnements (compte des stocks d’approvisionnement 6031 et 6032) – Frais
accessoires d’achat d’approvisionnement (compte ristournes sur achats
d’approvisionnements Compte 609 sauf 6097) – autres charges externes.
Valeur ajoutée = marge brute (Compte 70, 71, 72 et compte 60) – consommation de
provenance des tiers (comptes 61 et 62)
Si ce ratio est faible cela montre que l’entreprise fait appel à beaucoup de sous-traitance
(industrie automobile)
La valeur ajoutée dégagée par l’entreprise au cours d’un exercice comptable sert à
rémunérer :
- Les salariés
- Les apporteurs de capitaux
- Les administrations (impôts, taxes, cotisations sociales)
Mesure le résultat généré par le cycle d’exploitation SANS tenir compte de la manière dont il
a été obtenu (avec des machines achetées avec emprunt ou à partir des fonds de
l’entreprise.
Mesure le résultat économique AVEC prise en compte des moyens de production propres à
l’entreprise (avec main d’œuvre ou avec machines, autrement dit, avec une masse salariale
forte ou avec une dotation aux amortissements importantes)
Pour l’évaluation de la performance de l’entreprise, on retiendra ce REX qui pourra être
comparé au REX de ses concurrents.
Dans le REX on retrouve l’EBE mais on enlève la dotation aux amortissements : charge
calculée que l’on ne décaisse pas, en tenant compte éventuellement de la perte de la valeur.
Dans quel cas la dotation aux amortissements baissent-elle ? Supposons qu’on revienne sur
cette histoire d’investissement, supposons qu’on les a amortis trop vites, que les machines
durent plus longtemps, on aura une année ou il ne se passera rien car on va continuer
d’utiliser les machines fonctionnelles et on changera de machine uniquement l’année
d’après cela crée une baisse de dotation aux amortissements. Dotations aux amortissements
et provisions ne sont pas décaissés. On ne peut pas en cours de route changer la dotation
aux amortissements cela ne respecterait pas le principe de continuité des exercices.
Si c’est plus d’un exercice on parle d’un investissement si c’est moins d’un exercice on parle
de charge.
6. Résultat financier
7. Résultat exceptionnel
8. Résultat net.
C’est tout simplement la valeur que l’on ajoute à l’ensemble des coûts extérieurs.
Résultat d’exploitation + résultat financier + résultat exceptionnel – impôts sur les bénéfices.
Le résultat net figure au compte de résultat et est remonté au bilan (passif / fonds propres)
Est- ce que le résultat net de l’entreprise provient de son exploitation (EBE ou REX) ou de son
résultat financier ou de son résultat exceptionnel ? Si le résultat net de l’exercice est le fruit
d’un fort produit exceptionnel alors il n’est pas vraiment représentatif de l’activité de
l’entreprise.
9. Capacité d’autofinancement
Résultat net + dotation aux provisions + dotation aux amortissements – reprises sur
provisions – reprises sur amortissement + valeur comptable d’éléments d’actif cédés –
produits de cession d’éléments d’actif – quote-part des subventions d’investissement virées
au résultat de l’exercice.
Ces % permettent d’analyser la capacité de l’entreprise à dégager des profits à partir de son
CA.
Si on avait un CA mensuel.
Délai moyen de paiement des fournisseurs = 100,94 jours d’achat (environ 3 mois)
116091/414036 x 360
BFR 2018 = 247 280 + 123 648 – 139 309 = 231 619 €.
L’an dernier en 2017, on avait pour 49 000 euros de stock cette année pour 123 000 euros
de stocks. Que peut-on déduire ? On a pas mal de stock est-il valable ? Prenons le cas
d’Altiflore, les stocks ne se conservent pas.
- Niveau du stock : est-ce peu ou beaucoup
- Si le stock tourne
Possibilité de mettre une dépréciation de stock, pour les stocks qui ne tournent pas.
Stock = 123 648 euros / achats = (167 597 euros +ou- variation des stocks 10 148
= 0,78 x 360 = 282,7 jours de consommations de matières premières de l’année.
Conso de l’année = 157 449 euros (167 597 – 10 148)
Le bon niveau de stock dans une entreprise est 0. Idem pour les créances clients. Pour
réduire le BFR il ne faut plus acheter de matières premières tant que le stock n’est pas
écoulé.
Plan de financement.
Les ressources => ce qui rentre dans la caisse. En général on fait des plans de financement et
des comptes de résultat prévisionnels. Généralement plan d’affaires sur 3 ou 4 ans.
Le résultat d’exploitation se lit en direct dans une liasse idem pour le résultat net après
impôt.
► Après avoir étudié la performance de l’entreprise au cours de l’exercice (SIG – compte de résultat)
► Puis avoir étudié le financement pendant cette même période (tableau emplois – ressources)
FR + BFR + Trésorerie = 0
Grande croissance des immo brutes sur l’année N par rapport à N-1 de 66 500 notamment immo
corporelles, alors que les ressources stables évoluent de 32 000 sous l’influence des dettes financières.
Cette différence de 34 900 s’explique par la croissance des emplois stables 2 fois plus que les
ressources stables.
Forte croissance du stock de MP (+35%) pour anticiper les augmentations de prix à venir ou la
pénurie, forte croissances du stock de MP pour livrer en une fois le marché export.
Forte croissance des créances clients (+162%) pour cause de la multiplications de litiges
commerciaux, pour cause de mise en règlement judiciaire d’un grand compte, pour cause
d’augmentation des ventes aux administrations publiques, pour cause d’attente de RRR en fin d’année
Baisse des dettes fournisseurs (-10%) : consentie par l’entreprise en échange de livraisons express ou
consentie par les fournisseurs en échange d’un escompte en cas de paiement comptant.
Les retraitements
Retraitement actif :
- Supprimer le capital souscrit non appelé
- Supprimer les frais d’émission des emprunts (charge à répartir) de l’actif et réduire d’autant les
fonds propres