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LES RAYONS X
I - GENERALITES
C’est ensuite, que William Henry Bragg et son fils William Lawrence
ont formalisé et développé la diffraction des rayons X par les cristaux
comme méthode d’étude de leur structure. Ils obtinrent eux aussi le
prix Nobel de physique, en 1915, c'est-à-dire un an après Max Von
Laue. Les figures de diffraction peuvent fournir en effet des
informations précieuses sur la nature et la structure de l’objet
responsable de la diffraction. Depuis cette date, la diffraction des
rayons X est devenue le principe de base de la radiocristallographie,
c’est-à-dire une méthode permettant l’étude de l’organisation des
atomes au sein de la matière solide.
4.1 Introduction
Figure :………………….
2 λ kα 1 + λ Kα 2
λ Kα= 3
Les anticathodes les plus utilisées ainsi que leurs caractéristiques sont
indiquées dans le tableau ci-dessous :
En fait, il existe des règles de sélection qui font que toutes les
transitions ne sont pas permises. Les plus importantes qui
correspondent aux intensités les plus grandes sont représentées
sur la figure 7.
I (Raie K) = B. i ( V - VK)1,5
Où : B = Constante
i = débit électronique du tube
V = Tension appliquée.
Au-delà de cette valeur, l’intensité globale sera plus grande, mais le
rapport I raie K / I fond continu ne sera pas amélioré.
5.5 La Résolution
5.6 Absorption
ANOD
E UTILISATION
Adapté à la plupart des examens diffractométriques -
Cu principalement pour les enregistrements photographiques- en
liaison avec un monochromateur arrière ou un détecteur Si(Li)
Les tubes Mo sont utilisés quand une faible absorption est
souhaitée par ex. pour des analyses par transmission et examens
de monocristaux. Les réflexions les plus importantes se situent
Mo(Ag) vers les angles 2θ relativement petits pour lesquels le facteur de
polarisation de Lorentz conduit à une intensité plus forte que
pour les angles moyens.la résolution angulaire est faible. Le
rayonnement Mo est utilisé de préférence pour les études des
aciers et les alliages avec des éléments dans la plage Ti(Z-22) à
environ Zn(Z-30).
Souvent utilisé avec des échantillons contenant du fer et pour
Co lesquels le rayonnement de fluorescence gênant du Fe ne peut
pas être éliminé par d’autres moyens.
Examens d’échantillons contenant du Fe. Utilisation également
Fe pour des minéraux pour les quels les tubes Co et Cr ne peuvent
être utilisés.
Les tubes de Cr fournissent des diagrammes clairs, pauvres en
raies et séparent très bien les réflexions les unes des autres. Pour
Cr des substances organiques complexes avec beaucoup de
réflexions et de fortes valeurs de d, les interférences ne se
manifestent que vers les grands angles. Utilisé de préférence
pour des mesures de contraintes sur des aciers.
Les tubes W sont avant tout utilisés si l’on ne désire pas
W travailler avec le rayonnement caractéristique, mais plutôt avec
un spectre blanc intense, par exemple des enregistrements de
LAUE sur des monocristaux.
6.1 Introduction
D= I.S.t
On en trouve :
- les détecteurs à ionisation de gaz : compteur Geiger-
Muller, compteur proportionnel ;
- les détecteurs solides : détecteurs à scintillation (cristal
NaI), détecteur à semi-conducteur Si (Li)
- les détecteurs à localisation linéaire.
Constitution et fonctionnement :
Fonctionnement
7.1 Définition
- Les photons peuvent avoir été déviés de leur trajet sans perte
d’énergie (rayonnement diffusé sans changement de longueur d’onde
ou diffusion élastique ou Rayleigh) ou avec une légère perte d’énergie
(effet COMPTON) et éventuellement la création d’une paire électron-
trou.
- Les photons peuvent avoir été absorbés par les atomes ou effet
photoélectrique. L’atome excité réémet alors deux sortes de
rayonnement secondaires : des électrons (Auger et secondaires) et des
rayons X « de fluorescence » dont la longueur d’onde n’a pas de
rapport avec la longueur d’onde primaire mais est caractéristique de
l’atome excité.
IO Intensité Incidente
I Intensité transmise
I0 dx I
- dI = μ I. dx
∫ dII =−μ∫ dx
I 0
Log I – Log I0 = - μ x
I
log = - μ.x
Io
I = I0e− μ .x (1)
μ
I = I0e− ρ( ρ )x = I0e− ρ μ x
m
Le coefficient d’absorption
μ = σ1/p + σ2 /p
μm(Alliage) = ∑ α i μm i
i
μ(λ) = k.Z4.λ3
a) b)
Exercice N° 02
Exercice N° 03
Exercice N° 04
Exercice N° 05
Elément Z λ kα Ǻ
Ca 20 3.359
Sc 21 3.031
Ti 22 2.749
Zr 40 0.786
Mo 42 0.709
Exercice N° 07
Exercice N° 08
μ
)Ni pour Cu Kα = 49.2 Z=28, ρ Ni= 8.9 ANi = 58.94
ρ
μ
)Co pour Cu Kα = 354 Z=27, ρ Co= 8.9 ACo = 58.71
ρ
SOLUTIONS
Solution01 :
λM =(3/2) λ min
λmin λM λ
Solution: 02
c
L’énergie d’un photon X est lié à la longueur d’onde par : E= h λ
Connaissant la valeur des constantes universelles h, c
Solution 03
h.c
λ
a) Le potentiel min W LIII(min) = e . V LIII (min) = LIII
hc
V =
e. λ LIII = 708 Volts
LIII
hc
λ
Pour la série des raies K → W k = e . Vk = k
Solution 04
On désigne par –WK, -WL et – WM les valeurs des énergies sur les
différentes couches. On possède les renseignements suivants :
a. Le potentiel critique d’excitation du fer est égal à 7.1 keV.
Les7.1 keV représentent l’énergie que doit posséder au moins
un électron venant frapper l’anticathode de fer pour transporter
un électron atomique du niveau K (énergie –WK) à l’infini
(énergie zéro). D’où WK = 7.1 keV
De même :
WM = WK - hνKβ = WK – (hc/eλKβ) = 7100 - 7068 = 32 eV
hc
∆W = = 2.5 eV
eλ
Solution 05
La loi de Moseley √ ν = AZ – Aσ = A( Z – σ )
Z= 0 donne Aσ
La pente de la droite ???????????????
1,5.109
1,0.109
a Sc Ti Zr Mo
Solution 06
Concentration de l’élément j Cj = A j / M
(µ/ )BaTiO3 = (µ/ )j . Cj = 255,79 g .cm2
-1
Solution 07
ln (I/I0) = - (µ/ )j . j . X ½
Pb → X ½ (Pb) = 0,000442 cm
Solution 08
en t =¿ + ¿)Co] ρ ξ A VERIFIER
log t = - 0.43429 . 8.9 .10-3 .2 [-305 x +354]
log t = (+1.17888 x - 1.36828) x 2