Vous êtes sur la page 1sur 3

Delf Junior Scolaire B2 – édi�on 2023

ÉPREUVE BLANCHE

Corrigé

Compréhension de l’oral
Dans les épreuves de compréhension écrite et orale, l’orthographe et la syntaxe ne sont pas prises en
compte, sauf si elles altèrent gravement la compréhension. Le correcteur acceptera les réponses
données ci-dessous et tout reformula�on ou réponse cohérente avec la ques�on posée.

Exercice 1, p. 154
1. C. Reprend une idée fausse. (1,5 point)
2. C. Répondre aux envies d’agir des jeunes. (1 point)
3. A. Faire un portrait de la jeunesse d’aujourd’hui. (1 point)
4. A. Multiple. (1 point)
5. A. Une cause collective. (1,5 point)
6. C. En être conscients. (1,5 point)
7. A. La liberté de choisir leur mission. (1,5 point)

Exercice 2, p. 155
1. A. L’émission a lieu le même jour. (1 point)
2. C. Responsable d’un restaurant. (1 point)
3. B. Une tradition familiale. (1,5 point)
4. B. Contribue à l’économie agricole de proximité. (1,5 point)
5. A. Attirer de nouveaux salariés dans la restauration. (1,5 point)
6. C. Qui mettent en œuvre des pratiques culinaires en faveur de l’environnement. (1,5 point)
7. A. Influer sur la qualité de leurs lieux de restauration. (1 point)

Exercice 3, p. 156
1. B. Se méfier du thème du livre. (1 point)
2. A. Avouent leur passion pour leur animal. (1 point)
3. A. Supprimer la tradition du 1er avril. (1,5 point)
4. B. Continueront à se rencontrer autour du 1er avril pour s’amuser. (1 point)
5. B. Promotion de l’art de la bande dessinée. (1,5 point)
6. A. Participer à la conception d’une BD. (1 point)

Compréhension des écrits


Exercice 1, p. 157
1. A. Sont dépendantes les unes des autres. (1,5 point)
2. C. Un lien de prédateur à proie. (1 point)
3. A. Car certaines espèces sont interdépendantes. (1,5 point)
4. A. Les méthodes de surconsommation. (1 point)
5. B. Une relation particulière avec l’environnement. (1,5 point)
6. A. La variété des organismes. (1,5 point)
7. A. La vie sur la planète Terre. (1 point)
Exercice 2, p. 159
1. A. Cela a un effet sur le développement corporel. (1 point)
2. A. Une baisse des capacités intellectuelles. (1 point)
3. C. Les particules chimiques extérieures peuvent toucher le fœtus. (1,5 point)
4. A. À cause d’un développement industriel particulier. (1 point)
5. B. Ils sont presque irremplaçables. (1,5 point)
6. A. Restreindre drastiquement leurs utilisations. (1,5 point)
7. A. Mettre en place plus de contrôles. (1,5 point)

Exercice 3, p. 161
1. A. Aminata. (1 point)
2. C. Stefano. (1 point)
3. B. Ryad. (1,5 point)
4. A. Aminata. (1 point)
5. B. Ryad. (1 point)
6. C. Stefano. (1,5 point)

Produc�on écrite

Exercice 1, p. 164
Proposi�on de corrigé :
Monsieur le proviseur,
Comme vous le savez depuis le début du mois d’octobre, nous recevons dans notre lycée Anne Royer,
une élève française qui passera trois mois dans notre classe. C’est une personne très sympathique et,
en tant que déléguée de classe, j’aimerais organiser une sor�e pour qu’elle connaisse mieux la ville et
les autres élèves. Permetez-moi de vous présenter mon projet et les avantages qu’il présente pour la
classe.
La sor�e que j’envisage, et que je vous présente avec l’accord de notre professeur principal, M. Roux,
consisterait en une visite guidée des monuments de la ville. Notre ville possède un patrimoine
culturel très intéressant et il me semble important qu’Anne puisse le découvrir. Il s’agirait d’une sor�e
d’une journée qui ne nécessiterait pas de dépenses importantes. En effet, nous pourrions tout faire à
pied et apporter notre déjeuner pour pique-niquer dans le jardin des beaux-arts. Il nous faudrait
simplement réserver et payer les billets d’entrée pour les monuments. Je sais que nous avons dans la
classe un élève dont la mère travaille à la mairie, peut-être serait-il possible d’obtenir un financement
ou une réduc�on ?
J’ajoute enfin que la classe organiserait tout le programme de la journée, que cete sor�e permetrait
d’accueillir chaleureusement Anne, de renforcer les liens entre les élèves et de mieux faire connaître
notre ville. Peut-être pourrions-nous ensuite envisager d’organiser une pe�te exposi�on pour le
lycée ?
J’espère avoir pu retenir votre aten�on et vous remercie par avance de votre appui.
Très cordialement,
Marie Froment

Produc�on orale

Sujet 1, p. 163
Proposi�on de corrigé :
Dans ce texte, les journalistes de Radio-Canada parlent d’une situa�on nouvelle, liée au
développement des nouvelles technologies : la sensibilisa�on à la vie privée en ligne, en par�culier
celle des jeunes, pas toujours informés des risques de ce phénomène mondial. L’ar�cle présente
l’émission de radio Empreinte numérique. Déjà très suivie au Canada, ce podcast pose des ques�ons
directes aux adolescents dans le but de les accompagner dans la protec�on de leurs données
numériques. Dans un premier temps, je pense qu’on peut dire que les jeunes ne se soucient pas
beaucoup de ce sujet. C’est pourtant très important car lorsqu’ils voudront candidater pour un pe�t
boulot, il est possible que leur futur employeur vérifie leurs traces numériques. Les chiffres
contradictoires cités au début de l’ar�cle montrent combien cela ressemble à un jeu pour eux. Ils
accepteraient d’être géolocalisés et en même temps, cachent leur iden�té grâce aux contournements
que l’informa�que permet. Par ailleurs, je crois u�le de signaler que tous les adultes ont un rôle
majeur à jouer, et pas uniquement les parents. A l’école, par exemple, les enseignants devraient
parler du problème, à travers des textes ou des débats, de façon à aver�r les jeunes des risques
encourus. La société en�ère a une responsabilité, et des spots vidéo gouvernementaux pourraient
être conçus et diffusés à des fins pédagogiques. En conclusion, je dirais que, à mon avis, il faudra
atendre une ou deux généra�ons avant de voir une prise de conscience et la mise en place d’ac�on.
La généra�on actuelle ne réalise pas les inconvénients de la diffusion de données personnelles en
ligne.

Sujet 2, p. 163
Proposi�on de corrigé :
Ce texte parle d’un phénomène qui concerne plutôt la jeunesse du monde occidental : se faire percer
le corps pour l’embellir. L’auteur cite l’exemple d’une adolescente, Nathalie, qui s’est fait faire, contre
l’avis de ses parents, des piercings sur plusieurs par�es de son corps : le sourcil, le nez et la langue.
Sur ce sujet, elle a une vision très différente de celle de ses parents avec qui elle est en conflit. Le
problème qui se pose ici est lié au choc des généra�ons : les adolescents sont souvent a�rés par ce
que leurs parents leurs interdisent ou désapprouvent. Tout d’abord, je vais exposer les inconvénients
des piercings. Personnellement, cela ne m’intéresse pas du tout. C’est peut-être lié au fait que, dans
mon pays, c’est plutôt rare de voir des jeunes tatoués ou avec des piercings. Je pense que la peur de
souffrir au moment de percer le trou, ainsi que les conséquences sanitaires sur le corps découragent
certaines personnes, comme moi. Selon moi, c’est facile d’atraper une infec�on à cause des aiguilles,
par exemple. Par ailleurs, dans ma culture, les personnes qui possèdent des piercings sont souvent
perçues comme des gens en marge de la société. En même temps, et je voudrais en parler dans une
seconde par�e, je pense que vouloir un piercing ou un tatouage est un passage obligé pour la plupart
des jeunes. À 15-16 ans, c’est normal de vouloir tester ses limites, braver des interdits et s’opposer à
ses parents. Et selon son caractère, on peut aller plus ou moins loin dans cete recherche. À mon avis,
le plus important est de conserver un dialogue parent/jeune pour discuter des nouvelles envies qui
naissent à cet âge. Même si mon corps m’appar�ent, j’ai envie que mes parents soient à mes côtés
pour me conseiller et m’éviter de faire une bê�se irrémédiable, comme un tatouage. Pour conclure,
je dirais que les parents doivent respecter ce phénomène caractéris�que de cete période de la vie,
prévenir leur adolescent des dangers qui y sont liés et surtout se rappeler que, eux aussi, ils ont été
jeunes !

Vous aimerez peut-être aussi