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f: R!2 −→ R
1
x xy sin x2 +y 2
si M 6= (0,0)
M= 7−→ f (M ) =
y 0 si M = (0,0)
∗
#aaa
# a
p1 p2 sin
+
#c
# c
•2 •2
p1 p2
(x,y) (x,y)
et la continuité de f découle des théorèmes de continuité habituels.
∀M ∈ R2 , |f (M )| ≤
|xy|
x2 + y 2
≤1
(rem : on peut faire mieux en passant en polaire, on arrive alors à majorer par 1/2.)
3. L’arbre déjà obtenu à la question 1 montre aussi que f est différentiable sur 2 \ {(0,0)}. R
R
4. Sur 2 \ {(0,0)}, on calcule df par les formules habituelles.
∂f ∂f
df = dx + dy
∂x ∂y
!
1 2x2 y 1
= y sin − 2 cos dx
x + y2
2 2
(x + y ) 2 x + y2
2
!
1 2xy 2 1
+ x sin − 2 cos dy
x + y2
2 2
(x + y ) 2 x + y2
2
1
5. Au point M0 = √1 , √1 , la différentielle vaut
π π
1 1
df (M0 ) = √ dx + √ dy
π π
et cette application linéaire prend les valeurs suivantes aux points (0,0) et (1,1).
df (M0 )(0,0) = 0
2
df (M0 )(1,1) = √
π
6. On obtient directement l’équation du plan tangent au point A = √1 , √1 ,f (M0 ) à la surface
π π
d’équation z = f (x,y) à l’aide de df (M0 ).
f (x,0)−f (0,0)
∀x 6= 0, x = 0
f (0,y)−f (0,0)
∀y 6= 0, y = 0
On en déduit que
∂f
(0,0) = 0
∂x
∂f
(0,0) = 0
∂y
φF · rot F = 0
En supposant que φ ne s’annule pas, ceci traduit le fait que F est orthogonal à son rotationnel.
2. Soit F = y 2 z 2~i + x2 z 2~j + y 2 x2~k un champ de vecteurs défini sur 3 . R
(a)
2x2 (y − z)
rot F = 2y 2 (z − x)
2z 2 (x − y)
n’est pas identiquement nul donc F ne dérive pas d’un potentiel scalaire sur R3 .
2
(b) F · rot F = 2x2 y 2 z 2 (y − z + z − x + x − y) = 0 c’est-à-dire F est orthogonal à rot F .
(c) On calcule
∂φ 2 2 2 ∂φ 2 2 2 ∂ ∂
x2 ( ∂y (y 2 φ) − ∂z (z 2 φ))
∂y y x + 2yx φ − ∂z x z − 2zx φ
− ∂φ ∂φ 2 2 ∂ ∂
2
rot (φF ) = 2 2 2 2
∂x y x − 2xy φ + ∂z y z + 2zy φ = y (− ∂x (x2 φ) + ∂z (z 2 φ))
∂φ 2 2 ∂φ 2 2 ∂ ∂
2 2
∂x x z + 2xz φ − ∂y y z − 2yz φ
z 2 ( ∂x (x2 φ) − ∂y (y 2 φ))
Par suite
∂ 2 ∂ 2 ∂ 2
(x φ) = (y φ) = (z φ) =⇒ rot (φF ) = 0
∂x ∂y ∂z
(d) En fait on peut même trouver une fonction φ qui annule les 3 dérivées partielles précédentes.
Par exemple φ = x2 y12 z 2 . Malheureusement, cette fonction n’est pas définie sur les plans
x = 0, y = 0 et z = 0.
R
(Si quelqu’un trouve une fonction φ qui est de classe C 1 sur 3 , je suis preneur . . . )
R
où E ⊂ 2 est le carré [0,π] × [0,π].
1. Comme la fonction (x,y) 7→ y cos(xy) est bornée et continue sur le carré [0,π] × [0,π], l’intégrale
I est bien définie.
2. Le théorème de Fubini s’applique pour les mêmes raisons et on en déduit
Z π Z π
I = y cos(xy)dy dx
0 0
Z π Z π
= y cos(xy)dx dy
0 0
3. Pour calculer I on choisit la formule qui conduit aux calculs les plus simples et ici il s’agit de
Z π Z π
I = y cos(xy)dx dy
Z0π 0
= [sin(xy)]π0 dy
0
Z π
= sin(πy)dy
0
cos(πy) π
= −
π 0
2
1 − cos(π )
=
π