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Mouhamadou KA
Sa riche expérience,
Sa capacité d’écoute,
Par ailleurs, tenant compte du niveau réel (souvent très faible) des
élèves qui arrivent en classe de Seconde, nous avons développé
considérablement les activités sur le calcul dans ℝ, l’ordre dans ℝ et
le calcul vectoriel qui sont les bases fondamentales que doit
maîtriser tout futur élève de Première ou Terminale scientifique.
L’Auteur
serigneka@gmail.com
ACTIVITES GEOMETRIQUES
5. CALCUL VECTORIEL. …………………………………………………………………..
6. BARYCENTRES…………………………………………………………………………….
DEVOIRS………………………………………………………………………………
(Extraits)
1. CALCUL DANS ℝ .
ACTIVITÉS NUMÉRIQUES
1.1 CONTENUS
c) Valeur absolue.
² = | |√ avec b ≥ 0.
― Résoudre : | + |= + ,| − |≤ et | − | < .
1.3 COMMENTAIRES
• Le calcul numérique ne doit pas constituer un objectif en soi.
• L'élève devra savoir utiliser les radicaux dans des situations diverses : (comparaison de réels,
réduction d'expressions, substitution d'une valeur numérique dans une expression...)
| − |< .
c) Encadrement et opérations.
e) Notion d'incertitude.
− le centre et le rayon.
− l'inéquation associée.
− le système associé.
− un arrondi.
− la partie entière.
2.3 COMMENTAIRES
• Les exercices seront choisis avec un support concret tiré des situations de la vie courante.
• Les élèves doivent savoir encadrer un réel par deux décimaux et utiliser à bon escient la
calculatrice.
3.3 COMMENTAIRES
Les Élèves doivent savoir mettre sous forme canonique une expression du 2nd degré.
4.1 CONTENUS
4.3 COMMENTAIRES
La méthode de Cramer sera utilisée dans le cas des systèmes d'ordre deux.
a)( = ) ⇔ ( + = + )
Soient , , et quatre réels.
b) ( = ≠ 0) ⇔ ( = )
= + = +
= =
c) Si alors
= 0) ⇔ ( = 0 ou = 0)
≠ 0) ⇔ ( ≠ 0 et ≠ 0)
d)(
= !⇔ =
e)(
+ = + = ; . =
" "
f) ( , , et non nuls)
g) ;
= . ; = = =
$
h) ; ;
%
= 1 ( ≠ 0)
a) Définition
=
*)
'
= *+. +,+
. …
+- (2 ≥ 2)
*)
(
*)
( ./01
=
4( '
56
*)
*) 8 × ( = 8"(
*) ( 8 )( = 8×(
*) ( )8 = 8 × 8
=
5: 84(
56
*)
8
! = ;:
5:
*)
c) *) Si = , alors ² = ².
a) ( + ) = ² + 2 + ²
3. IDENTITES REMARQUABLES
b) ( − ) = ² − 2 + ²
c) ² − ² = ( − )( + )
d) ( + )< = < + 3 + 3a ² + <
d) ( + ) =
< <
−3 + 3a ² − <
e) < − < = ( − )( + + )
f) < + < = ( + )( − + )
g) ( + + ) = ² + ² + ² + 2 + 2 +2
4. RACINES CARREES
a) Définition
² = . On note : = √ .
Soit un nombre réel positif. La racine carrée de a est le réel positif tel que
b) Propriétés
*) √ ≥ 0 ² = ?√ @ = *)√ × √ = √
a) Soient et deux réels positifs.
*)
= ?√ @ *) A = ( ≠ 0)
(
*)√ ( √5
√;
²=| | ² =| |×
b) Soit un réel quelconque et b un réel positif.
*) *)
6. NOTATION SCIENTIFIQUE
1
D
F E G
4 " 4 "'
− × 54
3+2 4− 3 2 + 56
Calculer les nombres suivants en présentant les résultats sous forme de fraction irréductible :
E
G K J 3 4O ∶
E J E I Y = L5
4 4' 3− 2 +3 2− 56
4H" " G K 5 3 5 4
I G
X=
4U
!
5 J
les réels suivants :
5VG 5E 5J 5G 5I
; D = ( < )W ( )4$
5 TI
A= D
5VI 5E 5G (5E )VG 5J
; B = ; C =
5VG ;VJ (5G ;)W ;VG X E (5G ;)VW ×(;X E )U ×(5VG ;J X)W
5 ; 5G X(;X G )U (;G X G 5)VY ×(5VF ;Z )U
E = E VG ; F = ; G =
(5 X) ×(4; X) ×(5 ;X )
VG VY G [ E VF VU
B = (3 + 2a)< + (3 − 2a)<
C = (3 ² − 2a + b)²
D = ( + )H + H + H − 2( + + )
E = ( − a)( + a − b) + (a − b)(a + b − ) + (b − )(b + − a)
F = ( + + )² + ( − )² + ( − )² + ( − )²
C = ( + a)²― ( a + )² D = ( + a)² + ( a ― )²
E = H − H + 2 ( ² − ²) ― ( 3 ― 3 ) + ² ― ²
F = ²( ² + H ) ― ²( ² + 4 ) G = ( ² ² + ²a²) ― ( ² ² + ²a²)
H = 9 ² ― 12 + 4 + ( ― 3)²― (2 + 1)² I = ( + a)< − < − a <
J = 16 ² + 8 a − 4 b − 2ab
5
Les dénominateurs étant supposés non nuls, écrire le plus simplement possible les réels
' f f4' 5 ; X
suivants :
F F F F
4 "
×
hVi
fg (f45)(g45) (f4;)(g4;) 54 h ijk i hjk
Fjhi
E=F F F F
5; 5(54;) ;(;45) " 4
h(hVi)
'"
C= + + D =
Fjhi h ijk i hjk
+
√W"√U √W4√U
Simplifier :
− +
W√U Y√W √_
F = ? o + p + √o − p@? o + p − √o + p@
√W"√_ √_"√U √U"√W
E=
−
√[ √$[4√W W"√[ $4U√[ $ $
Rendre rationnel le dénominateur des expressions suivantes :
8
Soient et deux réels de même signe et non nuls.
9
2 2
Calculer, lorsqu’il existe, le carré de A = a+ a ― b² + a― a ― b²
10 (*)
11
Mettre les nombres $$ − U√W`, q − U√$` et x + Y√W sous la forme √o + p ou √o − p ,
− −
$ W Y
x et y étant des entiers naturels.
1 − ! 1 − ! 1 − !…. 1 − !
' ' ' '
(
² <² H² (²
1 − ²! 1 − <²! 1 − H²! … . 1 − !.
=
' ' ' '
%%%²
4°) Donner la valeur de
13 (*)
+ + = 0.
+ +
" " "
Soit a, b, c trois réels non nul tels que
Calculer la somme S =
14
1°) Développer ( + + ) ( + + ) puis ( + + )<
Soit , , trois réels :
15
1
Soit n un entier naturel, écrire sans radical au dénominateur
√2 + 1 + √2
1 1 1 1
En déduire une expression simple de
+ + + ⋯+
1 √2 + √1 √3 + √2 √100 + √99
16 (*)
5² ;² X² 5E ;E XE
Simplifier les expressions suivantes :
! + ! E=A
8²4' 8 {F| "H F| W+ [ W− [
C = r A; − A5 s F=m +m
5 ;
8²"' 8²"' {I "H FF W− [ W+ [
D=
! + (o"p)W !
W+U U W−U U $ o²"p² U o"p
G = Lm +m O
W−U U W+U U (o"p)U o²p² op
H=
17
Ecrire, dans chacun des cas suivants, le réel A sous forme scientifique :
a) A = 9 19 631770 b) A = 27 000 000 000000
c) A = 0, 000 007 277 d) A = 12 420 000
e) A = 0, 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 662 62
(constante de Planck, en joule seconde).
19
a) C = 124,2 × 104} × 58 000 000 b) C = (0,000 024 51)² × 1 524 000
Dans chacun des cas suivants, calculer le réel C et donner le résultat sous forme scientifique :
20 (*)
=
PROPORTIONNALITE
Quatre nombres , , et (pris dans cet ordre) sont dits former une proportion lorsque .
=
et sont les termes extrêmes de la proportion ; et en sont les termes moyens.
= = = = =
" 4 ~ "•
1°) Soit la proportion . Montrer qu’ on a alors :
=
d² d’une part et de ab, cd, (a + b)², (c + d)² d’autre part. Etudier les réciproques.
3°) On appelle quatrième proportionnelle à 3 nombres a, b et c le nombre d tel que : . Calculer
Y U $ $
les quatrièmes proportionnelles aux nombres suivants :
(1) , − , −[ (2) , x, U[ (3) − , [, Y
W [ Y W
= . On
o
o
+ !
$ $ $ $
• U
= ; h est appelé moyenne harmonique de et .
− − − !=
'H ƒ [qx
1
‚ „ Y[
X=
−19 × !:
' 'ƒ 4$WW
<' ƒ [Uq
Y= =
q U 4[ 4W Y 4$ 4U
D= E= F=
5VI ;FI X † U $` $q
5VZ ;I X VD
G= =
― 5G ;D X E _ $W 4U
― 5VI ;VJ X J
H= =
= UW W4$q [4$
210 3−6 54
27 311 55
b) X =
= UW W$W [4[
−2−1 36 5−1
−2−4 3−7 54
Y=
B = 54oW +72oU p
3
A=0
4
A = ( + + W)( + − W)( − − W)( − + W)
B = ( + + $)( + − $)( − − W)( − + W)
C = ( − )( + )(o − p)(o + p)
D= ( ² + ²)(o² + p²)
E = ( − )( + )²( + − $)
F = ( − )( + )(o − )(o + )
G = (o + )(o − )(p + )(p − )
H = U(o − W)(Wo − U)
I = Wop(o + p)
J = U(Uo + p)(Yo − ‡)
5
Yo²4Uo"$
o(Uo4$)
A=
5(;4X)4;(54X)"X(54;)
(54;)(54X)(;4X)
B= . Après réduction, on trouve : B = 0
5²;";
'"5²
D= = .
×
;"X45 5";"X " 4
5";"X 5"X4; " 4
E= =
− +
W√U?√_4√W@ Y√W?√_4√U@ √_?√W4√U@
D = 3.
F = ( + a) − ?√o − p@² = U op
U
?√ " "√ 4 @ " ²4 ²
U
G= =
7
$ 4W√U4√W"W√$`"√$[ W4q√[
U [ Y
x= ; y= ; z=
?√U"√W@4U ?√U"√W4U@?$4U√_@ 4Y√_"[√U"W√W"U
?√U"√W@ 4Y
U
4UW UW
s= = =
−[ [− $`[−_ W−Y q
=
Y
;
8
On a successivement :
² = H r; + 5 − 2A; × 5s= H − 2! = H !
' 5 ; 5 ; ' 5²";² ' (54;)²
5; 5;
²+1 =
(54;)G "H5; (5";)G
H5; H5;
=
| " |
1+ ²=
U√
9
a ― b² + a −
2 2
A² = a + a ― b² + 2 a² ― (a²―b²) = 2(a +|ˆ| )
10
EXERCICES CORRIGES SECONDE S Mouhamadou KA Page 17
= = = ‰. Alors : = v
= v
= v
v v v
Posons ; et , d’où :
A=√ ′+√ v+√ ′= ′² + ′² + ′² = √ ( v + v
+ v
)
et B = ( + + )( + + v ) =
v v ( v + v + v )² = √ ( v
+ v
+ v
).
Par conséquent : A = B.
11
− − − −
' < H √_+√[ <?√[+√U@ H?√_−√U@
√_−√[ √[−√U √_+√U }4„ „4 }4
D’où A = =
= √_ + √[ ― ?√[ + √U@ ― ?√_ − √U@ = 0
12
! ! = 1.
( (4'
(4' (
1°) A =
2°) B = 1 − ! *+
1+
+++,+
! 1++
−+-! 1 + <! 1++
−+- ! 1 + H!
' ' ' ' ' '
< *++++,+ H
Š' ‹ Œ 5R•è1 '°) Š' ‹ Œ 5R•è1 '°)
' „ „
×
H {
soit: B = =
]"$
= 1− ! 1+ !=
' '
U]
(
(
%%'
3°) De manière analogue à 2° :
%%%
4°) Si n = 2000, on obtient : ( = .
13
=
( " )" ( " )" ( " ) ² " ²" ² " ²" ² " ²
Par réduction au même dénominateur, on obtient :
S= ,
=
² " ²" ²" ² " ²" ² ( " )" ( " )" ( " )
Puis, par un regroupement judicieux des termes :
+ =−
S=
+ + = 0 entraîne :
+ =− + =−
Or, l’hypothèse : ;
(4 )" (4 )" (4 ) 4W
; . Par suite :
S= = = ―W.
14
( + + )( + + )= ² + ² + ²+ ²+ ² + ²+3
1°) En utilisant la distributivité de la multiplication par rapport à l’addition, on obtient :
( + + ) = < <
+ + < + 3( ² + ² + ² + ² + ² + ²) + 6
<
(Utiliser ( + +
) ( + + )).
0 =
< 3 + 3 + < + 3•(0)( + + )‘ − 3
<
+ < + <
= 3
, c’est-à-dire :
15
= = √2 + 1 − √2
' √("'4√(
√("'"√( (("')4(
= √1 − √0
'
En écrivant cette relation successivement pour n = 0, 1, 2, …, 100, on obtient les égalités :
'
= √2 − √1
'
√ "√'
= √3 − √2
'
√<"√
……………………..
= √99 − √98
'
……………………..
√‚‚"√‚{
= √100 − √99
'
√'%%"√‚‚
+ + + ⋯+
' ' ' '
qui, ajoutées membre à membre, donnent :
= √100 − √0 = 10.
' √ "√' √<"√ √'%%"√‚‚
16
5G (;4X)4;G (54X)"X²(54;)
(54;)(54X)(;4X)
A=
L’idée est maintenant de faire apparaître systématiquement les facteurs au dénominateur en faisant
(54;)(54X)(;4X)
A=
(54;)•5;4X(5";)"X²‘ (5;45X)"(X G 4;X)
(54;)(54X)(;4X) (54X)(;4X)
= =
(;4X)(54X)
(54X)(;4X)
= = 1.
(54;)(54X)(;4X)
B=
(54;)•5;(5";)4X(5G "5;";G )"X E ‘
(54;)(54X)(;4X)
=
(5G ;45;X)"(5;G 4;G X)"(X E 4X5G )
(54X)(;4X)
=
² −2 A; × A5 + ² 5 = 2 −2 = `.
5 5 ; ;
;
C=
= !
8I 4 8G "'"H8G 8²"'
(8²"')G 8²"'
D= = 1.
E =A =A =A
( E )F| "( G )F| E| " G| G| ( F| "')
= √2{ = UY = $_.
( E )I "( G )FF FG " GG FG ('" F| )
F² = Lm
W+ [
+m
W− [
O =
W+ [
+ W− [ + Um’W+ [“ × ’W− [“
W− [ W+ [ W− [ W+ [ W− [ W+ [
U U
?W"√[@ "?W4√[@ $Y $$
+U = +U =
n4[ Y U
= .
$$
Par suite, F = A
U
U
W+U U W−U U
G = Lm +m O
W−U U W+U U
=
W+U U
+ W−U U + Um’W+U U“ × ’W−U U“
W−U U W+U U W−U U W+U U
U U
?W"U√U@ "?W4U√U@
+U = $n.
n4x
=
17
a) A = 9,19631770 × 10{ b) A = 2,7 × 10'< c) A = 7,277 × 104} d) A = 1,242 × 10ƒ
e) A = 6,6262 × 104<H
18
a) B = 0,004168 b) B = 0,06429793 c) B = 205,1738 d) B = 0,00064872
e) B = 52 580 f) B = 3,700 025
19
a) C = 7,2036 × 10< b) C = 2,283220224 c) C = 5,1162111 × 10'„
d) C = 9,460515114 × 10'
⟹ = =
~ "•
Donc
~ "•
.
2°) è ² ² − ² ² = ( − )( +
). Par conséquent :
Donc = ⟹ ⟹ ² ²− ² ² = 0⟹ =
² ²
=
² ²
La réciproque n’est vraie que si + ≠ 0.
è ( + ) − ( + ) = − ² + ²− ²
= ( − )( − ).
Il en résulte que si , , , forment une proportion, alors =
( + ) − ( + ) = 0 et par conséquent,
, d’où :
5; (5";)²
X‹ (X"‹)²
=
La réciproque n’est vraie que si − ≠ `.
<
3°) (1) d = ; (2) d = 800; (3) d = −60
est √
=S
8 R
Celle de 72 et •– est donc 72•–. (On peut remarquer que ce produit est positif, car puisque
4°) La moyenne proportionnelle de et .
(
, 7– et •2 sont égaux, et par conséquent, sont de même signe).
2
⇔ 7²–² + •²2² − 2 72•– = 0 ⇔ (7– − •2)² = 0. Or ceci est vrai car 7– = 2•.
La réciproque est vraie.
1. DEFINITIONS
de ℝ4 ).
On a : ( ≤ ) ⇔ ( ≥ )
Dans ce cas, on dit aussi que est supérieur ou égal à .
( < ) ⇔ ( ≤ et ≠ )
( > ) ⇔ ( ≥ et ≠ )
L’écriture ≤ est appelée inégalité.
.
≤
et , alors <
<
d) Si
≤
et , alors + ≤ +
≤
e) Si
≤
et + < +
<
f) Si , alors
≤
et , alors ≤
>0
g) Si
≤
et , alors ≥
< 0
h) Si
0≤ ≤
et ≤
0≤ ≤
i) Si , alors
$ $
j) Si > 0 et > 0, alors ( ≤ ) ⇔ >
≥ ` et ≥ `, alors :
*) ( ≤ ) ⇔( ² ≤ ² )
k) Si
*) ( ≤ ) ⇔ (√ ≤ √ )
un réel. La valeur absolue du réel , notée |o|, est le réel défini par :
3. VALEUR ABSOLUE D’UN REEL
|o| = š o ›œ o ≥ `
Soit
−o ›œ o ≤ `
b) *) ( |o| = ž) ⇔ (o = ž ou o = — ž)
*) ( |o| = | p|) ⇔ (o = p ou o = — p)
c) *) ( |o| ≤ ž) ⇔ (— ž ≤ o ≤ ž)
*) ( |o| ≥ ž) ⇔ (o ≥ ž) ou (o ≤ −ž)
ℝ
4. INTERVALLES
et à J. On le note I ∩ J.
L’intersection des intervalles I et J est l’ensemble des réels qui appartiennent à I
J. On le note I ∪ J.
La réunion des intervalles I et J est l’ensemble des réels qui appartiennent à I ou à
" 4
U U
ℝ
Le centre d’un intervalle borné d’extrémités et est et son rayon est .
5. DISTANCES DANS
6. PARTIE ENTIERE
On dit que le nombre entier ~ est la partie réelle du nombre réel x et on note
E( ) = ¨, ou [ ] = ¨.
b) Remarques
7. APPROXIMATIONS DECIMALES
©($`] o)
Soit un nombre réel.
$`]
*) Le nombre décimal s’appelle approximation décimale par défaut du réel
à la précision $` 4]
©($`] o)"$
.
$`]
*) Le nombre décimal s’appelle approximation décimale par excès du
réel à la précision $`4] .
Ainsi $, Y$Y < √U < $, Y$[, donc $, Y$Y est l’approximation décimale par défaut de √U
à $`4W près et $, Y$[ est l’approximation décimale par excès de √U à $`4W près.
8. CALCULS APPROCHES
a) La double inégalité ≤ ≤ est appelée encadrement du réel x. On dit que
(b — a) est la précision ou l’amplitude de cet encadrement.
b) Soit un réel donné. On dit qu’ un réel est une valeur approchée de à ª
(lettre de l’alphabet grec qui se lit « epsilon ») près (ou avec la précision ª ou
encore avec une incertitude de ª ) lorsque :
−ª ≤ ≤ + ª ou encore : |o − | ≤ «.
e) Il arrive qu’on soit obligé de négliger certains chiffres dans l’écriture d’un
nombre. On utilise alors la règle suivante, dite règle d’arrondi automatique :
— Lorsque le premier chiffre négligé est 0, 1, 2, 3 ou 4, on coupe la partie
excédentaire.
f) Soit x = a × 10n un nombre réel écrit sous forme scientifique. On appelle ordre
de grandeur de x le nombre x1 = a1 × 10n, où a1 est l’arrondi automatique
d’ordre 1 de a.
L’ordre de grandeur de 4,987 2 . 1015 × 2,364 5 . 1013 est 5.1015 × 2.1013, soit 1029.
1
Comparer les nombres x et y (sans utiliser de machine, mais les propriétés des inégalités) dans
c) x = √8 + √5 et y = √7 + √6 d) x = 2√3 + √7 et y = √11 +2 √3
e) x = 5 + 2√3 et y = 4 + 2√5 f) x = √5 + √7 et y = 12 + 2 √35
g) x = 7 — 4√3 et y = 5 2 — 7 h) x = 7(√U + √W) et 22
+ √W +$
√U √_
y=
i) x = √[ — √W et y = 8 − 2 √15
W U
j) x = et y =
1 3 4
k) x = et y = +
6― 5 5― 2 6+ 2
2
Dans chacun des cas suivants, on demande :
— de calculer x²,
—de déterminer le signe de x,
3 + √5 − 3 − √5 b) x = 7 − 2√6 − 7 + 2√6
—d’en déduire x.
7 − 4√3 − 7 + 4√3
d) x =
e) x =
Compléter les expressions suivantes où les lettres x, y…désignent des nombres réels.
1°) Si x ≤ 1, alors 2x… ; si x ≥ ─ 1, alors 2x…
x x
2°) Si x ≤ 4, alors ─ 2 … ; si x ≥ ─ 4, alors ─ 2 …
3°) Si x ≤ 2 , alors x + 1… ; si x ≥ ─ 2 , alors x ─ 1…
4°) Si ─ 1 ≤ x ≤ 2, alors…3x… ; si 2 ≤ x ≤ 1, alors …x ─ 1…
5°) Si ─ 1 ≤ x ≤ 0, alors…x + 1…, si ─ 2 ≤ x ≤ 1, alors …x ─ 1…
x
6°) Si x ≤ 1, alors ─ 2x + 1…, si x ≥ ─ 1, alors ─ 2 + 3…
7°) Si ─ 1 ≤ x et 2 ≤ y, alors x + y… ; si 1 ≥ x et ─ 1 ≤ y, alors x ─ y…
1 3
8°) Si x ≥ 1, alors x … ; si x ≤ ─ 2, alors x …
2 3
9°) Si x ≥ 2 , alors ─ x … ; si x ≤ ─ 1, alors ─ x …
1 ─2
10°) Si x ≥ 1 et y ≥ 2, alors …x + y ; si x ≤ ─ 1 et y ≤ ─ 2 , alors x + y …
11°) Si x ≥ 4 et y ≥ 2 , alors xy…, si x ≤ ─ 2 et y ≤ ─ 3, alors xy…
12°) Si x > 1, alors x² > x. Justifier.
13°) Si a et b sont deux réels tels que ─ 1 ≤ a ≤ 1 et ─ 1 ≤ b ≤ 1, on a
─ 1 ≤ ab ≤ 1. Justifier.
14°) Etant donné un réel a, montrer que : ─ 1 ≤ a ≤ 1 si, et seulement si, a² ≤ 1.
4
Soit a ∈ ℝ .
1
1°) On suppose que 0 < a < 1. Comparer a et a² ; a et a ; a et a .
1
Ranger dans l’ordre croissant : 1 ; a ; a ; a² et a .
1
2°) On suppose a > 1. Ranger dans l’ordre croissant : 1 ; a ; a ; a² et a .
5
Dans chacun des cas suivants, des encadrements de a et b sont donnés.
1 1
On demande d’encadrer a + b, a ― b, ab et a ― b .
1°) 17,3 ≤ a ≤ 17,4 et 21,9 ≤ b ≤ 22
2°) ― 3,4 ≤ a ≤ ― 3,3 et 37,5 ≤ b ≤ 37,6
3°) ― 0,6 ≤ a ≤ ― 0,5 et ― 39,4 ≤ b ≤ ― 39,3
―5 ―5 ―3 ―3
4°) ― 6. 10 ≤ a ≤ ― 5. 10 et 3. 10 ≤ b ≤ 4. 10 .
5
+ 5; ²; ²―2 + 5; ― ; ² + 2√ .
1°) Donner un encadrement pour chacun des nombres :
;
―2 ;
7
Soient x > 0 et y > 0.
1 1
1) Démonter que : ≤ .
x +y
2 2
2xy
x+ y 11 1
2°)a) En déduire que : ∀x, y ∈ R+ , ≤ + .
*
x +y
2 2
2 x y
b) En utilisant des inégalités semblables, démontrer que pour tous réels > 0, a > 0 et b > 0, on a :
x+ y y+z z+x 1 1 1
+ 2 + 2 ≤ + + .
x +y
2 2
y +z 2
z +x 2
x y z
8
1) Développer ( + ) .
5"; <
3
! ≤
W" W
U
2) On suppose et positifs .Démontrer, en utilisant 1° que :
10
≤
| " " |
²+ ²+ ²
√W
3°) Montrer que :
Dans quel y a-t-il égalité ?
≤A
4°)
" "
Montrer que : W ?√ + √ + √ @
$
W
Dans quel y a-t-il égalité ?
1 1 1 1
b) En déduire que a + b + c + ≥ + + + abc.
abc a b c
2°) Soient x ,y ,z ,t tels que :0 < x ≤ y ≤ z ≤ t. Démontrer que :
o p ‡ ‰ p ‡ ‰ o
+ + + ≥ + + +
p ‡ ‰ o o p ‡ ‰
de deux façons différentes :
12 (*)
$ $ $ $ $
Démontrer que pour tout entier naturel non nul n :
+ + ⋯+ + ≥
]+$ ]+U U] − $ U] U
13 (*)
1
Démontrer que si 2x + 4y = 1, alors x + y ≥
2 2
.
20
14 (*)
x+ y 2
Montrer que si x et y sont deux réels positifs alors ≤ .
1+ x + y
2 2
2
(N.B . Exercice très difficile qu’il vaut mieux aborder après le chapitre 3 portant sur le second degré).
15
Montrer que si x et y sont deux réels tels que : −1≤ ≤ 1 et −1≤ a ≤ 1 alors :
1 1
≤ .
4 + x + y + xy 3
16
On considère 4 réels a , b, c, et d tels que : < < < .
Comparer les réels X = ( + ) ( + ) ; Y = ( + )( + ) et Z = ( + )( + ).
≥ a+b+c
1 1 1 9
3°) Déduire également du 1° que : a + b + c
18
1°) Montrer que pour tout x réel : ² + 1 ≥ 2 .
2°) En déduire quels que soient les réels strictement positifs , , et , on a :
≥ $_.
( U "$)( U "$)( U "$)( U "$)
19 (*)
20
Soit n un entier naturel non nul.
1°) Prouver que : 2 n − 1 × 2n + 1 < 2n.
2n − 1 2n − 1
2°) En déduire que : < .
2n 2n + 1
1 3 5 2n − 1 1
3°) Démontrer que : × × × ......... × < .
2 4 6 2n 2n + 1
21 (*)
Soient x et y deux nombres réels strictement positifs tels que x ≤ y.
On pose :
o"p
U
a= (moyenne arithmétique de x et y)
q=A
o²"p² o²"p²
(moyenne géométrique de x et y; remarquer que : €² =
U U
)
; a et b on a :
6°) Utiliser les résultats ci-dessus pour prouver que ,quels que soient les réels strictement positifs
a) 8 ab ≤ ( + a) (a + b) (b + )
b) ab ( + a + b) ≤ ²a² + a²b² + b² ² ≤ H + a H + b H
22
12a + 10b
Soit a > 0 et b > 0 . On pose E = . Démontrer que 4 < E < 5.
3a + 2b
23
9x − 4 y
Soit x > 0 et y < 0. On pose Z= . Démontrer que 2 < Z < 3.
3x − 2 y
24
a c
On considère quatre réels strictement positifs a, b, c et d tels que < .
b d
1°) Démontrer que bc − ad > 0.
a a+c c
2°) Démontrer que < < .
b b+d d
2 3
3°) En s’inspirant de ce qui précède, trouver une fraction comprise entre et .
3 4
25
26
EXERCICES CORRIGES SECONDE S Mouhamadou KA Page 30
Ecrire, à l’aide de valeur absolue, puis en terme de distance les inégalités 1 ≤ x ≤ 6 ; −5 < x < −3 ;
x < 2 ou x > 5 .
27
Recopier et compléter le tableau suivant :
―2≤x≤4
absolue
d(x,1) ≤ 2
‘−∞; 2‘ ∪ •10; +∞•
| + 5| < 2
28
Déterminer E∩F et E∪F dans chacun des cas suivants :
a) = ∈ ℝ ⁄ | − 3| < 2¢ ; ® = ∈ ℝ ⁄ | − 2| ≤ 2¢
b) ¯ = ∈ ℝ ⁄ | | < 5¢ ; ® = ∈ ℝ ⁄ | | > 3¢
29
Pour chacun des cas suivants, déterminer un encadrement le plus précis possible du réel x :
−2
1°) 2,18 est une valeur approchée de x avec l’incertitude 5 × 10 .
−2
2°) 11,27 est une valeur approchée par défaut de x avec l’incertitude 3 × 10 .
−3
3°) 125,112 est une valeur approchée par excès de x avec l’incertitude 7 × 10 .
30
Pour chacun des encadrements du réel x suivants déterminer :
73, 47 est une valeur approchée de x avec une incertitude de 8 × 10 −2 et 73, 43 est une valeur
−2
approchée de y avec une incertitude de 5 × 10 . Peut-on comparer les réels x et y ?
32
' H '
un nombre réel vérifiant : | − 1| ≤ . Montrer que est une valeur approchée du nombre
< 5
Soit à
<
la précision .
33
Soit un nombre réel quelconque.
' '
2°) On suppose que ― ≤x≤ .
34
− $ − U!.
' $
un nombre réel tel que | | < . On pose A =
√$"
Soit
²
√$" 4 $"U!" U
$"
1°) a) Montrer que A =
$
≥$−
√$" U
c) Montrer que .
$
à la précision 104H .
√$,`$
2°) En déduire une valeur approchée du nombre
35
I) J = [ 0,1258; 0,1264 ] . Exprimer l’appartenance du réel x à l’intervalle J par une condition faisant
intervenir la valeur absolue puis en langage d’approximation.
−3
♦ 5,624 approche x à 10 près.
−3
♦ 62,94 approche x par excès à 5.10 près.
−3
♦ 7,286 approche x par défaut à 10 près.
Trois villes A, B et C sont situées le long d’une route rectiligne : A et B sont distantes de
900 m ; B est entre A et C ; B et C sont distantes de 1200 m.
Une personne compte faire quotidiennement 2 allers et retours entre sa maison et A, un entre sa
maison et B, trois entre sa maison et C.
Où doit-elle construire sa maison pour que son trajet journalier soit minimal ?
37 (*)
Résoudre les équations :
2 2
a) E(x) = 2 ; b) E( x) = x ; c) E(x) =2x – 5 ; d) 3x – 2= E(2x) ; e) E(x ) = x
38
39 (*)
1°) Soit un nombre réel, son approximation décimale d’ordre 2 par défaut et ′ son approximation
décimale d’ordre 2 + 1 par défaut. Montrer que ≤ ′.
2°) Déterminer les approximations décimales d’ordre 0, 1, 2, 3 et 4 du nombre réel 2,718 28.
40
La séquence de touches suivante permet de calculer un nombre réel A (r nombre réel donné).
r + 2 = 1 + /− + =
2
2°) Sachant que 3,4 est l’arrondi d’ordre 1 de r, trouver une valeur approchée de A et l’incertitude
associée.
1
a) x² = 45 et y² = 44, donc x > y (puisque x et y sont positifs).
H
e) On a x ― y = 1 + 2(√3 ― √5) = 1 ― 2(√5 ― √3) = 1 − 2 =1−
√„" √< √„" √<
.
Posons alors = 4 et = √5 + √3. ² ― ² = 8 ― 2√15.
Posons enfin ’ = 8 et ’ = 2√15. On a ’² ― ’² = 64 ― 60 = 4 >0. Puisque , , ’ et ’ sont tous
√„" √<
Finalement, on a x < y.
x < y.
rangement des inverses de nombres positifs, on conclut que :
U√_‚ U√_ } „
et ² = + 1 + √6 = + √6.
‚ W ‚ W H
j) On a : x² = +3+ + =
'< √} '<4}√}
'{ < '{
Par conséquent : x² ― y² = ― = .
Or 13² = 169 et ?6√6@ = 36 × 6 = 216, donc 13 < 6√6, d’où x² < y² et par suite x < y, car x et y sont
positifs.
≥ ─ 2 ; si x ≥ ─ 4, alors ─ 2 ≤ 2
x x
2°) Si x ≤ 4, alors ─
2
q
U
x
6°) Si x ≤ 1, alors ─ 2x + 1 ≥ 0, si x ≥ ─ 1, alors ─ +3≤
2
W
U
1 3
8°) Si x ≥ 1, alors ≤ 1; si x ≤ ─ 2, alors ≥―
x x
x ≤ √W
2 3
9°) Si x ≥ 2 , alors ─ x ≥―1 ; si x ≤ ─ 1, alors ─
1 1
10°) • Si x ≥ 1 et y ≥ 2, alors ≥ ;
3 x+y
─2
• si x ≤ ─ 1 et y ≤ ─ 2 , alors x + y ≤ 2(√U ―1).
1°) En multipliant les 3 membres de la double inégalité 0 < a < 1 par a, on obtient : 0 < a² < a < 1.
4
d’après cette double inégalité, a < 1, d’où en multipliant les 2 membres de cette inégalité par a
Deux nombres positifs étant rangés dans le même ordre que leurs racines carrées, on a, toujours
>0, a < a . Enfin, on a : a < 1, d’où (2 nombres positifs étant dans l’ordre contraire de leurs
inverses) a > 1, donc évidemment a < .
1 1
a
En résumé, on a dans ce cas : 0 < a² < a < a < 1< .
1
a
Ajoutons membre à membre (ce qu’on a toujours le droit de faire) (1) et (2) pour obtenir : 39,2 ≤ a + b
*Encadrement de a + b
≤ 39,4 (3).
*Encadrement de ab
Multiplions membre à membre (1) et (2) (on en a le droit car a et b sont tous deux encadrés par des
1 1
*Encadrement de a ― b .
1 1
Encadrons a et b à l’aide de (1) et (2) respectivement. Deux nombres positifs étant rangés dans
l’ordre contraire de leurs inverses, ces inégalités entraînent : 17,4 ≤ a ≤ 17,3 (7) et 22 ≤ b ≤ 21,9
1 1 1 1 1 1
(8).
1 1 1
Multiplions la relation (8) par ―1 : ― 22 ≥ ― b ≥ ― 21,9 , soit en réécrivant dans l’ordre habituel : ―
21,9 ≤ ― b ≤ ― 22 (9).
1 1 1
*Encadrement de ab
Attention : On n’a pas le droit de multiplier membre à membre (13) et (14) (car a et b ne sont pas tous
1 1
*Encadrement de a ― b .
1 1
Encadrons a et b à l’aide de (18) et (14) respectivement. Deux nombres positifs étant rangés dans
' '
l’ordre contraire de leurs inverses, ces inégalités entraînent : 3,4 ≤ ≤ (20) et 37,6 ≤ b ≤
4T <,<
1 1 1
1
37,5 (21).
Multiplions les relations (20) et (21) par ―1 :
― 3,4 ≥ a ≥ ― 3,3 , soit ― 3,3 ≤ a ≤ ― 3,4 (22).
1 1 1 1 1 1
Deux nombres positifs étant rangés dans l’ordre contraire de leurs inverses, cette double inégalité
' '
entraîne :
≤ ― ab ≤
' <,ƒ„ ' ƒ,{H
1
(25).
D’autre part, multiplions la relation (17) par ―1 : 40,8 ≤ b ― a ≤ 41 (26).
H%,{ H'
Multiplions alors membre à membre (25) et (26) pour obtenir :
≤ ab ≤
' <,ƒ„ ' ƒ,{H
a―b
, soit par une nouvelle multiplication par (―1) :
H' H%,{
≤ ab ≤ ―
' ƒ,{H ' <,ƒ„
b―a
― c’est-à-dire encore :
*Encadrement de ab
On n’a pas le droit de multiplier membre à membre (27) et (14) (car a et b sont tous deux encadrés
par des nombres négatifs) :
1 1
*Encadrement de a ― b .
1 1
Encadrons ― a et ― b à l’aide de (32) et (33) respectivement. Deux nombres positifs étant rangés
' '
dans l’ordre contraire de leurs inverses, ces inégalités entraînent : 0,6 ≤ ≤ (35) et 39,4 ≤
4T %,„
1 1
―b ≤ 39,3 (36).
1 1
'
Autre méthode :
≤ ab
<,}H
1
On avait déjà un encadrement de ab grâce à (34). On en déduit en passant aux inverses :
'
≤
'‚,}„
(39).
<{,ƒ <{,‚
Multiplions membre à membre (31) et (39) :
≤ ab ≤ soit approximativement : 1,637 ≤ b ―a ≤1,979, puis par une nouvelle
<,}H '‚,}„
a―b 1 1
― 6. 10 + 3. 10 ≤ a + b ≤ ― 5. 10 + 4. 10
Ajoutons membre à membre (40) et (41) pour obtenir :
―5 ―3
*Encadrement de a ― b
*Encadrement de ab
On multiplie (40) par (―1) et on multiplie l’encadrement obtenu avec (41) membre à membre. On
15. 10 ≤ ― ab ≤ 24. 10 ,
trouve alors:
―8 ―8
― 24. 10 ≤ ab ≤ ― 15. 10
soit par une nouvelle multiplication par (― 1) :
―8 ―8
(44)
1 1
*Encadrement de a ― b .
On multiplie (40) par (―1) et on passe aux inverses, ce qui donne :
' '
. 103 ≤ ≤
H <
1
b . 103 (46)
_$ [`,q[
Puis on multiplie chacun des encadrements (45) et (46) par (―1) et on additionne membre à membre
3,6316 ≤ ² ― U + [ ≤ 3,79;
0,23 ≤ ― ≤ 0,29; 1,153 ≤ ≤ 1,197
5,4095 ≤ ² + 2√ ≤ 5,5120
⟹ š
4 ≤ ≤ 4,1 4 ≤ ≤ 4,1
2°) 1 cas : š
−0,5 ≤ ≤ 0 0 ≤ − ≤ 0,5
er
4 ≤ ≤ 4,1
cas : š
0 ≤ ≤ 0,3
ème
2
0≤ ≤ 1,23 (2)
On a alors en multipliant membre à membre :
― 2,05 ≤ ≤1,23
D’après (1) et (2), l’encadrement de est :
7
1°) Pour tous réels et a, on a : ( − a)² ≥ 0 (un carré est toujours positif), soit ² ― 2 a + a² ≥ 0 ou
encore : ² + a² ≥ 2 a (1). Les deux membres de (1) étant non nuls et positifs d’après l’hypothèse
> 0 et a > 0
$ $
≤
o²"p² Uop
on a en passant aux inverses : (1)
f"g f"g
2°)a) Multiplions les deux membres de (1) par (x + y) qui est strictement positif par hypothèse, on
≤
f²"g² fg
obtient : , ce qui s’écrit :
f"g f g f"g 1 '
≤ ⇔ ≤
f²"g² fg fg f²"g² 2a f
+ ! (2).
+ + ou encore :
o"p $ $ $
≤
o²"p² U o p
b) En appliquant l’inégalité du 1° à a et b, puis à et b, on obtient :
+ ! (3)
p"‡ $ $ $
≤
p²"‡² U p ‡
+ ! (4)
o"‡ $ $ $
≤
o²"‡² U o ‡
En ajoutant membre à membre (2), (3) et (4), on a alors :
+ + !, ou encore :
o"p p"‡ o"‡ $ U U U
≤
o²"p² p²"‡² o²"‡² U o p ‡
soit : + +
≤ + +
o"p p"‡ o"‡ $ $ $
o²"p² p²"‡² o²"‡² o p ‡
+ +
8
1) ( + ) = < + 3 +3 + <
<
! − U =
3
x
2)
4W5E "<5G ;"<5;G 4<;E W U
= − • ( − ) − ²( − )‘
x x
W W
=
= − •( − )( ² − ²)‘ = − •( − )²( + )‘ ≤ 0
x x
W
! ≤
" W" W
U U
On en conclut que : .
9
On a en utilisant les expressions conjuguées :
54; 54;
√5"√; √54'"√;4'
A= et b =
On a > – 1, donc √ > √ − 1 (1) et > – 1, donc √ > √ − 1 (2) (deux nombres positifs
' '
<
√5"√; √54'"√;4'
. (3)
A < B.
10
1°) Facile. Développer ( + + )( + + ) en regroupant les termes de même nature.
2°) ( − ) + ( − ) + ( − ) = 2( + + − − − ). Le premier membre étant
positif, puisqu’il est la somme de trois carrés, il en résulte que le second membre l’est aussi, donc sa
+ + − − − ≥ 0 (*).
moitié, et par suite :
chacun des termes ( − ) , ( − ) , ( − ) est nul (la somme de 3 réels positifs ne peut être nulle
L’inégalité précédente devient une égalité lorsque le premier membre est nul, c’est-à-dire lorsque
que si chacun de ces réels est nul), en d’autres termes lorsque = = . Ce sont donc les triplets du
type ( , , ).
| " " |
² + ² + ² étant positifs, l’inégalité :
√W
3°) Les réels et
$ √ "√ "√
valeur absolue).
≤
√W W
Multiplions alors les 2 membres de cette dernière inégalité par . On a ainsi :
≤A
√ " " √ "√ "√ " "
⇔
√W W W
.
Il y a égalité lorsqu’il y a égalité dans (**), c’est-à-dire, encore une fois, lorsque = = .
11
1°) a) On a par hypothèse : 0 < ≤ 1 (1), 0 < ≤ 1 (2) et 0 < ≤ 1 (3). Par multiplication membre
à membre des inégalités (1) et (2), (ce qui est permis puisque tous les membres sont positifs ou nuls),
0< ≤ 1 (4).
on obtient :
0< ≤ 1 (5).
De même, en multipliant membre à membre (1) et (3), puis (2) et (3), on obtient :
0< ≤ 1 (6).
De (4), (5) et (6, on déduit que : ( − 1) ≤ 0, ( − 1) ≤ 0 et ( − 1) ≤ 0.
et :
² ² ²− ² − ² − ²+ + + − 1 ≤ 0 (8).
b) En développant le premier membre de (7), on obtient (après regroupement) :
'
5;X
est > 0, pour obtenir :
, et étant strictement positifs par hypothèse, on peut diviser les deux membres de (8) par qui
o p ‡ ‰
2°) a) Première méthode : Les inégalités 0 < ≤ a ≤ b ≤
p ‡ ‰ o
impliquent que les réels
, , et , (qui
existent, puisque par hypothèse x, y, z et t sont tous strictement positifs), sont tous inférieurs ou égaux
p p ‡
⟹ ≤ 1.
‡
et b ≤
‰
(b − )( − a)(a – b) ≥ 0.
Développons alors le premier membre de l’inégalité :
12
On a les 2 inégalités :
2 + 1 ≤ 22 ; 2 + 2 ≤ 22 ; ………. ; 22 − 1 ≤ 22 et 22 ≤ 22, d’où en passant aux inverses dans
1
+ 1 + ⋯ . + 22
+ ]"U + ⋯ + U]4$ + U] ≥ *++++++,++++++- 1
$ $ $ $
Ces dernières, ajoutées membre à membre, donnent :
]"$ 22 22
,
] ²³œ›
+ + ⋯+ + ≥] ×
$ $ $ $ $
]"$ ]"U U]4$ U] U]
Soit : , autrement dit :
$ $ $ $ $
+ + ⋯+ + ≥
]+$ ]+U U] − $ U] U
13
'4 f
L’hypothèse 2 + 4a = 1 entraîne que : a =
H
. On a alors :
$4Uo U
² + a² − = o² + ! − , soit après réduction au même dénominateur : ² + a² − =
$ $ $
U` Y U` U`
$``o²4U`o"$ ($`o4$)U
x` x`
= .
$
Cette quantité étant toujours positive, on en conclut que :
o² + p² ≥
U`
14
Il s’agit de montrer que le numérateur de cette expression est négatif, car le dénominateur est
visiblement positif. Or, on a :
= −¶ − ! − + a− ! − + 1· = − ¶ − ! + a− ! ·.
√ ' √ ' √ √
15
Les inégalités −1≤ ≤ 1 (1) et −1≤ a ≤ 1 (2) entraînent que 1 + ≥ 0 et 1 + a ≥ 0. Il s’ensuit
que (1 + a)(1 + ) ≥ 0. D’autre part, on a : 4 + +a+ a =3+1+ + a + a = 3 + (1 + a) + +
a
= 3 + (1 + a) + (1 + a) = 3 + (1 + a)(1 + ).
Par conséquent : 4 + + a + a ≥ 3.
' '
On peut alors passer aux inverses (puisqu’on a une inégalité entre deux nombres positifs) pour
≤ .
H"f"g"fg <
obtenir :
16
On a : X ― Y = ( + )( + ) ― ( + )( + ) = − + − (après développement et
= ( − ) + ( − ) = ( − )( − ).
simplification)
Y ― Z = ( − )( − ), quantité qui est négative d’après les hypothèses faites sur , , et . Ainsi,
développement et simplification), soit
on a : Y ≤ Z (2).
Des inégalités (1) et (2), on conclut que : X ≤ Y ≤ Z.
17
1°) On a : a +b ― 2ab = (a ― b)² ≥0, donc a +b ≥ 2ab pour tous réels a et b.
2 2 2 2
2°) On a d’après la question 1° : a +b ≥ 2ab, d’où en multipliant les 2 membres par c > 0 :
(a +b )c ≥ 2abc (1)
2 2
2 2
(b +c )a ≥ 2bca (2)
On obtient en appliquant 2 autres fois 1° (à b et c, puis à a et c) :
(c +a )b ≥ 2cab (3)
2 2
2 2
3°) a + b + c ― a + b + c = ―a+b+c
1 1 1 9 bc+ca+ab 9
18
1°) On a : ² + 1 − 2 = ² − 2 + 1 = (x ― 1)² ≥ 0. D’où le résultat.
( U
+ $)( U
+ $)( U
+ $)( U
+ $) ≥ 16 (5) .
Enfin, on divise les 2 membres de (5) par , qui est strictement positif par hypothèse, pour obtenir
l’inégalité demandée.
19
1°) Tout d’abord, on remarque que l’expression E = ( ─ )² + ( ─ )² + ( ─ )² est positive
puisqu’elle est la somme de trois carrés.
E =( ─ )² + ( ─ )² + ( ─ )² = 2( + + ― ― ― ) (*)
En développant, on obtient :
1
+ + ≥―
2
(2)
―
$
≤ + + ≤ 1.
U
20
2°) Multipliant les 2 membres de l’inégalité √22 − 1 × √22 + 1 < 22 par √22 − 1 (qui est positif), on
1 √1
» ≤
¹ 2 √3
¹ 3 √3
¹ ≤
4 √5
¹
¹ 5 √5
≤
6 √6
º … …
¹ … ..
¹22 − 3 √22 − 3
¹22 − 2 ≤
√22 − 1
¹
¹̧22 − 1 ≤ √22 − 1
22 √22 + 1
Par multiplication membre à membre de ces 2 inégalités entre nombres positifs, on obtient :
21
fg f²4fg f(f4g)
―h= ―
f"g f"g f"g
1°) è = = .
Les hypothèses > 0, a > 0 et ≤ a entraînent que : ( − a) ≤ 0 et + a > 0, donc ― h est
négatif, soit o ≤ h (1).
• q et a étant positifs, comparons leurs carrés :
o²"p² f²4g²
q² ― a² = ― a² =
U
Les hypothèses faites sur et a entraînent que x² ≤ y² car deux nombres positifs sont rangés dans le
.
même ordre que leurs carrés. Donc q² ― a² est négatif et par conséquent q² ≤ a², d’où q ≤ p (2).
(deux nombres positifs sont rangés dans le même ordre que leurs carrés).
o"p Uop
3°) • On a g² = a et ah = × = op, donc on a bien g² = ah.
U o"p
Divisant alors les 2 membres de cette inégalité par le nombre positif a, on obtient : h ≤ g (4).
(deux nombres positifs sont rangés dans le même ordre que leurs carrés).
5°) En combinant les inégalités (1), (2), (3), (4) et (5), on voit que l’on a :
≤ h (d’après (1), h ≤ g (d’après (4), g ≤ a (d’après (3), a ≤ q (d’après (5) et enfin q ≤ a (d’après (2).
En résumé, on a : o ≤ h ≤ g ≤ a ≤ q ≤ p (*).
+a
6°) a) On applique 3 fois l’inégalité (3) (à x et y, puis à y et z et enfin à x et z) :
» ≥ a
¹ 2
a+b
≥ ab
º 2
¹̧ b +
≥ √b
2
b) • On applique encore 3 fois l’inégalité (3) (à ²a² et a²b², puis à a²b² et b² ² et enfin à ²a² et b² ²).
²a² + a²b²
C’est légitime, puisque ces nombres sont strictement positifs :
» ≥ A ²a H b²
¹ 2
¹
a²b² + b² ²
≥ Aa²b H ²
º 2
¹b² ² + ²a²
¹̧
≥ Ab² H a²
2
22
U
On a E ― 4 =
W "U
et les hypothèses faites sur et entraînent que cette expression est positive,
donc E > 4.
4W
D’autre part E ― 5 = < 0, donc E < 5. D’où 4 < E < 5.
W "U
23
Wo
•Z―2= , or par hypothèse Wo > 0 et p < 0, d’où ― Up > 0 et par suite Wo― Up > 0. Le
Wo4Up
numérateur et le dénominateur de cette fraction étant positifs, on en déduit que : Z ― 2 > 0, soit Z > 2.
Up
•Z―3= , or par hypothèse Up < 0 et on vu que Wo― Up > 0. Le numérateur de cette fraction
Wo4Up
étant négatif et son dénominateur positif, on en déduit que : Z ― 3 < 0, soit Z < 3.
24
a c
On considère quatre réels strictement a, b, c et d tels que < .
4
b d
― < 0. Or le dénominateur de cette fraction,
− < 0 ; Par suite l’opposé de ( −
1°) On a par hypothèse = , est strictement
" 4
―
" ( " )
2°) è On a = . Le numérateur de cette fraction est négatif d’après 1° et son
dénominateur est positif comme produit des deux nombres positifs et ( + ). Donc cette fraction
"
<
"
.
" 4
est négative et par conséquent :
― =
" ( " )
• D’autre part et cette dernière fraction est négative pour des raisons analogues,
"
< .
"
donc :
25
a) •o − • = ⇔ o − = ! ou o − = − ! S = Y; −$¢
W [
Résoudre les équations et inéquations suivantes :
W [ W [
U U U U U U
„
―∞ +∞
x
[ − Uo + −
|[ − Uo| [ − Uo Uo − [
[ − Uo Uo − [ = +3
= +3
Equation
2
3
Solutions 8
S = š ; x½
U
W
<
―∞ +∞
x
Uo − W − +
|Uo − W| W − Uo Uo − W
W − Uo = −Wo − $ Uo − W = −Wo − $
−4 U
Equation
[
Solutions
U
∉ ¿ ; +∞¿ S = −Y¢
<
[
Seule la première solution est à retenir car
ƒ ƒ ƒ
e) •o + • ≤ ⇔― ≤o+ ≤ . S = •−_; $‘
[ [
U U
f) |q − [o| ≤ W ⇔ ― 3 ≤ q − [o ≤ 3. S = ¿ ; UÀ
Y
[
g) |no − q| < 4 ⇔ ― 4 ≤ no − q ≤ 4. S = ¿ ; À
$ $$
W n
i) ¬– Yo − U¬ ≥ W ⇔ ?– Yo − U ≥ W@ ou ?– Yo − U ≤ −W@.
S = À―∞; − À ∪ ¿ ; +∞¿
[ $
Y Y
j) |Wo + $| > ― 4. Cette inégalité est vérifiée pour tout x, car une valeur absolue, étant toujours
positive, est supérieure à n’importe quel nombre réel strictement négatif. S = ℝ.
l) 1 ≤ |Uo − q| ≤ 8 ⇔ ($ ≤ Uo − q ≤ x ) ou (−x ≤ Uo − q ≤ −$ )
S = ¿− ; WÀ ∪ ¿Y; À
$ $[
U U
―∞ −1 +∞
|−Uo + x| −Uo + x −Uo + x Uo − x
2
|o + $| −o − $ +1 +1
−3 + 7 − +9=3 +5 3 −7=3 +5
=3 +5
Equation
1
3
Solutions 1 aucune
$
∉ ‘―∞; −1‘. S = $¢
W
Seule la solution 1 convient car
‚ ‚
―∞ +∞
ƒ
|Yo − $x| −Yo + $x −Yo + $x Yo − $x
|−qo + n| −qo + n qo − n qo − n
3 + 9 = −4 −11 + 27 = −4 −3 − 9 = −4
13 <' 5
− 3 −3
Equation
''
Solutions
26
[ [
•1 ≤ ≤ 6 ⇔ •o − • ≤ ⇔ o; ! ≤
q q
U U U U
• −5 < ≤ −3 ⇔ |o + Y| ≤ $ ⇔ (o; −Y) ≤ $
• ( < 2) ou ( > 5) ⇔ •o − • > ⇔ o; ! > $
q W q
U U U
27
―∞ +∞
∈¯
0 1 4 5
∈®
NON NON OUI OUI NON
On conclut de ce tableau que : © ∩ Ä = ‘$; Y‘ (quand on a deux fois OUI) et que © ∪ Ä = •`; [• (quand
NON OUI OUI NON NON
―∞ −5 −3 +∞
∈¯
3 5
∈®
NON OUI OUI OUI NON
On conclut de ce tableau que : © ∩ Ä = ‘−[; −W• ∪ ‘W; [•(quand on a deux fois OUI) et que © ∪ Ä = ℝ
OUI OUI NON OUI OUI
29
1°) On a: | − 2,18| ≤ 0,05 ⇔ U, $W ≤ o ≤ U, UW
30
≤ ≤ , alors :
5"; ;45
à la précision ª =
Notons que si on a l’encadrement
27,2156 ― 27,2142
= 27,2149 ≅ 27,21 (ª = ≅ 0,0007)
27,2156 +27,2142
1° a = 2 2
0,8152 ― 0,8131
= 0,81415 ≅ 0,81 (ª = ≅ 0,00105)
0,8131 +0,8152
2° a = 2 2
31
On a | − 73,47| ≤ 0,08, soit qW, Wn ≤ o ≤ qW, [[ et |a − 73,43| ≤ 0,05, soit qW, Wx ≤ p ≤ qW, Yx
32
' ' '
On a | − 1| ≤ soit ― ≤ −1≤ ou encore :
4 1
Finalement, on a bien : •
― • ≤ et par définition de la valeur approchée d’un nombre, on peut dire
3 <
H '
< 5 <
que est une valeur approchée de à la précision
33
1°) |(1 − 2 )< − (1 − 6 )| = |1 − 6 + 12 ² − 8 <
−1+6 |
= |12 ² − 8 <|
= | ²(12 − 8 )| = | ²||12 − 8 | = ²|12 − 8 |
' '
2°) a) On a aussi : ― ≤― ≤ , d’ où en multipliant les 3 membres par 8 :― 4 ≤ ―8 ≤ 4, puis, en
ajoutant 12 aux 3 membres : 8 ≤ 12―8 ≤ 16. Donc, on a bien : |12 − 8 | ≤ 16.
b) En multipliant les 2 membres de l’inégalité précédente par x², on obtient : ²|12 − 8 | ≤ 16 ², soit,
d’après 1° :
|(1 − 2 )< − (1 − 6 )| ≤ 16 ²
34
² ² ²
√$" 4 $"U!" U √$" $" !4
U U $ ($" )4 4
U U
― ―
$" $" $" √$" $"
= =
$ $" ($" ) $
― + ―1+
√$" $" U($" ) √$" U
= = . D’où le résultat.
A=
Les nombres $ + et √$ +
U
²
étant positifs, sont rangés dans le même ordre que leurs carrés. Or,
U
$+ ― $+ ! =― ≤ 0, donc on a :
U Y
U
$+ ≤ $ + ! et par conséquent √$ + ≤$+ .
U U
• Puisque √$ + − $ + ! ≤ 0, on a : √$ + − $+ !+ ≤
² ²
U U U U
(1).
A≤ ²
' 1
< , ce qui entraîne que − > − (multiplication des 2 membres par
U H U 4
c) •On avait établi au b) que
<
―1) puis 1 − >
U H
. En particulier, on a :
1− >0
U
$ U $ ² ²(W4 )
― $− ! = ―1 + ―
$" U $" Y Y( "$)
• =
après réduction au même dénominateur. Les
hypothèses faites sur entraînent que cette quantité est positive (car on a < 3 et > ― 1). Ainsi,
$ U
≥ $− ! .
$" U
on a :
$
et $ − ! sont rangés dans le même ordre que leurs carrés. Donc
√$" U
• Les nombres positifs
$
≥$−
√$" U
finalement on a bien : .
` ≤ A ≤ ². Ainsi : Ç
$
$+
− $ − U!Ç ≤ ². On en déduit que :
$
$ − ! est une valeur approchée du nombre à la précision ².
U √$"
$
à la précision $`4Y .
√$,`$
0,995 est une une valeur approchée du nombre
35
I) Le centre de l’intervalle J = •0,1258; 0,1264‘ est 0,1261 et son rayon est 0,0003.
♦ 62,935 ≤ x ≤ 62,94
♦ 7,286 ≤ x ≤ 7,287
36
droite (ce qui en fait un axe). Soit 7 l’abscisse (positive ou négative) du point M où la personne va
Orientons la route rectiligne de A vers C et choisissons pour origine le point A et une unité sur cette
construire sa maison.
La distance journalière que doit parcourir cette personne est 2|7|+|900 − 7|+3|1200 − 7|. Ecrivons
cette expression sans le symbole de la valeur absolue suivant les intervalles où varie 7.
7 ―∞ 0 900 1200 +∞
U|\| −U\ U\ U\ U\
|900 − 7| 900 − 7 900 − 7 7 − 900 7 − 900
3|1200 − 7| 3600 − 37 3600 − 37 3600 − 37 37 − 3600
Èœ›‰ ] É ‰³‰ •É ^ ž ³ÊžÊÉ 4500 − 67 4500 − 27 2700 67 − 4500
• Si 7 ∈ ‘―∞; 0‘, on a = 4500 − 67, expression qui est supérieure à 4500, car 7 est négatif.
37
a) On obtient en appliquant la définition de la partie entière : 2 ≤ x < 3, donc S = •U; W•
38
1°) a) On a par définition de la partie entière : ¯( ) ≤ < ¯( ) + 1, d’où, en ajoutant ―E(x) aux 3
membres : 0 ≤ − ¯( ) < 1.
+ . On obtient :
'
+ −¯ + ! < 1,
b) Remplaçons dans la double inégalité précédente
' '
par
0≤
D’où, en ajoutant − aux 3 membres : − ≤ −¯ + !<
' ' ' '
39
©($`] )
, soit : $`] = ©($`] ).D’où par définition de la partie entière,
$`]
$`] ≤ $`] < $`] + $. En multipliant cette double inégalité par 10, on obtient :
1°) Par définition, on a : =
40
$
1°) A = ― +2
ž"U
2− < 2− ≤ 2−
(multiplication par (―1) ;
$ $ $
[,W[ ž"U [,Y[
(ajout de 2 aux 3 membres);
Soit, numériquement : 1,813 < A ≤ 1,816.
1,8145 est une valeur approchée de A avec l’incertitude 15. 104H.
∆<0
ℝ
L’équation n’a pas de On ne peut pas
factoriser
∆=0 Ñ( ) = ( − % )²
racine dans
− U (racine
L’équation a une seule
racine : % =
∆>0 Ñ( ) = ( − ' )( − )
double)
ℝ:
L’équation a deux racines
− −
" √∆ 4 √∆
distinctes dans
'
U U
= et =
b) Si deux réels x et y ont pour somme S et pour produit P, alors ils sont les
solutions de l’équation du second degré d’inconnue x :
X² — SX + P = 0.
<0
(2 racines de
même signe) S 2 racines négatives
(2 racines)
<0
S=0 2 racines nulles
1 racine nulle, l’autre
o$ < 0 < oU
S
< 0 < oU
S
(2 racines de
o$ |oU | = |o$ |
4. SIGNE DU TRINÔME
≠ 0.
Signe de ∆ = Ñ( ) = ²+ +
Soient , et trois réels avec
²−Y
Signe de
Ñ( ) signe
—∞
(− )
signe de signe de
de
1 Forme canonique
Compléter les égalités suivantes :
' ²
a) ² + 2 = ( + 1) − ⋯ ; b) ² + 6 = ( + 3) − ⋯ ; c) ² − = − ! ―…
d) ² − 4 = ( − ⋯ )² ― … ; e) ² + 3 = ( + ⋯ )² ― … ; f) ² − = ( − ⋯ )² ― …
'
a) ² + 2 + 3 b) ² − 4 + 8 c) ² − − 20 d) 2 ² + 4 − 7
f) − ² −
1
e) 4 ² + 2 − 3 +3 g) − ² + 4 − 8 h) −3 ² − 6 + 15
2
a) 2 ² + 5 = 0 b) 2 ² − 49 = 0 c) ( + 5) − 4 − 20 = 0 d) ²― 25 + 3( + 5) = 0
e) 4 ² − 81 = 0 f) ( − 9)² − 49 = 0 g) (3 − 7) − 4( + 1)² = 0
x² 5 x² 3 x² 9 x² x
m) 2 ─ 3x + 2 = 0 n) 2 ─ x ─ 2 = 0 o) ─ 5 + 2 = 5 x p) ─ 2 + 2 + 1 = 0
q) x² + x 2 =4 r) x² + 3 = 2x 3 s) x² + 2x 2+1=0 t) 4x² + 5 = 4x 5
2 2 2 2
u) x ─ ( 3 ─ 2 2)x+4─3 2 =0 v) 2(x + 1) ─ 3( x ─ 1) + 4 (x + 1) = 0
5 Discriminant réduit
Soit l’équation (E) : ² + 2 ’ + = 0, avec ≠ 0. On pose Δ′ = ’² − (Δ′ s’appelle le
discriminant réduit).
;’
b) si Δ′ = 0, alors (E) a une solution double x0 = ―
4;’4√ÓŒ 4;’"√ÓŒ
c) si Δ′ > 0, alors (E) a deux solutions : ’= et : ′′ =
2°) Résoudre dans ℝ les équations suivantes en utilisant Δ′, le discriminant réduit.
6 Equations paramétriques
2
On considère l’équation suivante : (m ─ 1) x + 2m x + m ─ 2 = 0 ( m paramètre réel ) .
1°) Déterminer l’ensemble E des valeurs de m pour lesquelles cette équation est du second degré.
2°) On suppose, pour la suite, que m appartient à E. Déterminer alors m pour que l’équation :
3°) Reprendre les questions 1°) et 2°) pour les équations suivantes :
U W Wo²4$
Résoudre dans ℝ les équations suivantes :
+ =
o4$ o o²4o
x 5 5 ─ 2x
a) x + 2 ─ x2 ─ x ─ 6 = x ─ 3 b)
1 1 9 1 1 1 33
c) x2 + x ─ 3 = x2 ( x ─ 3 ) d) x ─ 1 + x ─ 2 + x ─ 3 = 11x ─ 26
a) S = 26 et P = 165 b) S = ─ 46 et P = 529 c) S = 2 et P = ─ 1 d) S = ─ 3 et P = 9
31 6 20
e) S = 35 et P = 35 f) S = ─ 1 et P = 81 g) S = 200 et P = 9 999
b) (m ─ 4) x ― 2 (m ― 2) x + m ― 1 = 0
2°) Déterminer m pour qu’on ait deux solutions strictement positives dans chacun des cas suivants :
2 2
a) (m ─ 3) x + (2m ─ 1) x + m + 1 = 0
3°) Reprendre la question 2°) dans le cas où les deux solutions sont strictement négatives.
2°) Etudier, suivant les valeurs de x , le signe des fractions rationnelles suivantes :
3x ─ 1 x2 + 4x ─ 21 ─ 5x + 3 3x2 + 5x ─ 2
H= 2─x I = ─ 2 x2 + 9x + 5 J = 2 x2 + 5x ─ 3 K = 6 x2 ─ 23x + 7
17 Systèmes d’inéquations
Résoudre dans ℝ les systèmes d’inéquations suivants :
²− + >0
ƒ <
+ ─ 20 < 0 25
a) Ô b) Õ c) 2 < (2 ─ 3)² < 4
2 + 7 + 3≥ 0 f4ƒ
≤1
f4H
1 1 1 2 ²+ 5 ─3 > 0
d) x + 1 < (x ─1) ( x ─ 3 ) < x + 3 e) ─ x² ─ 3x + 4 ≥ 0
x² ─ 2x + 1 > 0
+ 10 + 26 + f + f² = 0.
'% '
1°) a) Montrer que 0 n’est pas solution de (E).
$
b) En déduire que (E) a les mêmes solutions que (E’) :
o
$
2°) On pose X = + .
a) Montrer que ² + = X² ― 2.
o²
b) Montrer que si est solution de (E’), alors X est solution de l’équation (E’’) : X² + 10 X + 24 = 0.
1°) Déterminer deux nombres entiers consécutifs sachant que la somme de leurs carrés est 2813.
3°) Quelle est l’aire maximale d’un champ rectangulaire que l’on peut entourer avec 200 m de
clôture ?
6°) Calculer les côtés de l’angle droit d’un triangle rectangle ABC, d’hypoténuse BC = a, sachant que :
2
5a 3a
a) AB + AC = 4 ; b) l’aire du triangle du triangle est égale à 4 .
1
' ²
²− = − ! ―H
'
a) ² + 2 = ( + 1) − 1 b) ² + 6 = ( + 3) − 9 c)
< ² ' ²
²+3 = + ! ―H ²− = − H! ― '}
‚ ' '
d) ² − 4 = ( − 2)² ― 4 e) f)
2
' ²
− ! ―
{'
d) 2 ¿( + 1)² ― À
‚
a) ( + 1) + 2 b) ( − 2) + 4
H
c)
1 ² 1 ²
e) 4 Î + ! ― Ï f) − Î + ! ― Ï g) – ¿( − 2)² ― À + 1)² ― 6À
'< H‚ H‚
h) −3 ¿(
4 '} 4 '} '}
a) × = š`; − U½ b) × = š`; ½
3
[ Yn
U
c) L’équation équivaut à : ( + 5) − 4( + 5) = 0, soit à: ( + 5)•( + 5) − 4‘ = 0 S = −[; −$¢
d) L’équation équivaut à : ( + 5)( − 5) + 3( + 5) = 0, soit à: ( + 5)•( − 5) + 3‘ = 0 S = −[; U¢
e) Ø = š− ; ½
‚ ‚
k) S = š− ; U½ l) × = š ; $½ × = [; $¢ × = −$; W¢
$q W
[ U
m) n)
S = š− ; −W½
$
W
5
1°) On a Δ = b² ― 4 = (2 ’)² ― 4 = 4( ’² ― ) = 4 Δ′. Donc Δ et Δ′ ont même signe, de sorte
que:
;’ ;’
― si Δ′ = 0, alors Δ = 0 et (E) a une solution double x0 = ― =― =―
U U
×=š ½
W
d) Δv = `. e) Δv = U[. × = Ë√W − [; √W + [Í
U
q
×=š ; ½
4U4U√q 4U"U√q
f) Δv = .
n n n
6
1°) L’équation est du second degré si et seulement si le coefficient de x², c’est-à-dire (m ―1), est non
nul. Donc E = ℝ \ $¢.
$
b) L’équation a une solution double si et seulement si Δ = 0 ⇔ m = .
U
$
c) L’équation a deux solutions distinctes si et seulement si Δ > 0 ⇔ m > .
U
S=š ; ½
4Ü4√<Ü4 4Ü"√<Ü4
Ü4' Ü4'
c) S = š1; ½
4<Ü
a) S = m + 1; m¢ b) S = −1; 2m + 3¢
Ü
d) S = š ; ½ e) S = š ; ½
4'4√Ü 4'"√Ü Ü"' '
Ü"' Ü"' Ü Ü
ℝ
solution)
ℝ
a) x² ─ (2m + 1)x + m² + m = 0 1 Pour tout m Jamais Jamais
m≠―2 m=―2
ℝ \ 0¢
b) x² ─ 2(m +1)x ─ 2m ─ 3 = 0 (m + 2)² Jamais
(2m −1)² ' '
m≠ m=
c) mx² + 2 (m ─ 1)x + 2 ─ 3m = 0 Jamais
1°) Pour les équations avec valeurs absolues, il convient de faire un tableau :
―∞ +∞
a)
x² + 2x ― 3 x² ― 2x ―3
x 0
x² + 2x ― 3 = 0 x² ― 2x ―3 = 0
2
x ─2|x| ─3
1 et ― 3 ― 1 et 3
Equation
Solutions
| 4x ― 5 | ― 4x + 5 4x ― 5
x ─ 3x ─ 15 = ― 4x + 5 x ─ 3x ─ 15 = 4x ― 5
⇔ x + x ─ 20 = 0 ⇔ x ―7 x ─ 10 = 0
2 2
Equation
4 et ― 5
2 2
„
c)
―∞ +∞
H
x
⇔ ― 2x² + x ― 4 = 0 ⇔ 2x² ― x + 4 = 0
Equation
On conclut que : S = ∅
Solutions aucune aucune
2°) Pour les équations fractionnaires, il faut d’abord chercher le domaine de définition de l’équation.
≠ 0. D = ℝ \ 0; 1¢.
≠ 1 et
[o4W Wo²4$
b) L’équation est définie si et seulement si
≠ 0. D = ℝ \ 0; 3¢.
≠ 3 et
o²"o4W n
c) L’équation est définie si et seulement si
. D = ℝ \ š1; 2; 3;
U_ U_
≠ 1, x ≠ 2, x ≠ 3 et ≠
$$
½.
$$
Pour x ∈ D, elle équivaut, après réduction au même dénominateur, à :
d) L’équation est définie si et seulement si
xx a pour racines 4 et .
_
$$
On conclut que : S = šY; ½.
_
_ _ q q U U
b) S = Ô ;− Ù c) S = ∅ d) S = S = Ë√U; −√UÍ e) S = Ô ; − ; ;− Ù
W W q q U U
W W Uo"$
f) S = Ô ; − Ù . L’équation devient X² +2X ― 3 = 0.
W W o4W
Ses racines sont 1 et ― 3. Donc, on a X = x² = 1 car un carré n’est jamais négatif. S = $; −$¢.
g) On pose X =
$
h) On pose X = . L’équation devient X² −2X ― 4 = 0. Ses racines sont 1 ― √5 et 1 + √5.
o
$ $ $"√„ $ $ √„4'
=― . S = Ô― $+Y [ ; [−$
Y
Ù
o $4√„ Y o $"√„ Y
Donc, on a X = = ou X = = =
9
Les nombres x et y, s’ils existent, sont les solutions de l’équation du second degré : X² ― SX + P = 0.
On a les résultats suivants :
a) x = 15 et y = 11 ou bien x = 11 et y = 15 b) x = y = ― 23
U W W U [ Y Y [
f) x = − et y = − ou bien x = − et y = −
q [ [ q n n n n
e) x = et y = ou bien x = et y =
20
S = ─ 1 et P = 81 g) x = 101 et y = 99 ou bien x = 99 et y = 101
10
ÞW ÞW
E2 = =
• E4 = x ' + x " ― 9(x ' + x " ) + 27(x ' + x ") ― 54, soit d’après les calculs précédents :
E4 = ×(×U − WÞ) ― 9(×U − UÞ) + 27 S ― 54 = S ― 9S² ― 3PS + 18P + 27S ― 54.
3 3 2 2
Si m ≠ ― 1, l’équation est du second degré, et les quantités Δ (discriminant), P (produit des racines,
Elle a une solution positive x = 2.
si elles existent) et S (somme des racines, si elles existent) ont pour valeurs respectives :
Δ′ = 2m + 3, P = m + 1 , S = m + 1 . L’étude simultanée du signe de ces 3 expressions dans un
m─3 2m
<
―∞ ― ―1 +∞
m
Δ
0 3
―
― ―
+ + + +
+ ―
P + +
S + +
<
On a alors la discussion suivante :
• Si m < ― : l’équation n’a pas de solution.
<
• Si ― < m < ― 1 : l’équation a 2 racines positives.
Si ― 1 < m < 0 : l’équation a 2 racines de signes contraires.
Si 0 < m < 3 : l’équation a 2 racines de signes contraires.
•
<
• Si m = ― , l’équation a une racine double (car Δ s’annule) qui est positive.
Cas particuliers :
Si m ≠ 3, l’équation est du second degré, et les quantités Δ (discriminant), P (produit des racines, si
elles existent) et S (somme des racines, si elles existent) ont pour valeurs respectives :
Δ′ = ― m + 3, P = m ─ 3 , S = 2. L’étude simultanée du signe de ces 3 expressions dans un tableau
m─2
―∞ +∞
Δ ―
m 2 3
―
+ +
P +
S + +
' <
―∞ ― ―4 ― +∞
H
m
Δ
6
―
― ―
+ + + +
― ― ―
P + +
S +
'
On a alors la discussion suivante :
• Si m < ―
H
'
: l’équation n’a pas de solution.
'
• Si m = ― , l’équation a une racine double (car Δ s’annule) qui est négative.
Cas particuliers :
H
• Si m = ― 4, l’équation a une racine nulle et une racine négative (car P s’annule tandis que S
2 2
(m ─ 4) x ─ 2(m ─ 2) x + 1 = 0
d) Si m = 2, l’équation est du premier degré et s’écrit : 1 = 0, donc elle n’admet aucune solution.
―∞ ―2 +∞
Δ ―
m 2
―
+ +
―
P +
S +
≠0
si :
ET
P<0
a) = 1, donc ≠ 0. P < 0 ⇔ m ― 3 < 0 ⇔ m ∈ ‘W; +∞•
5
b) On doit avoir m ≠ 2 et 2m ─ 5 < 0, soit m ∈ ·−∞; 2 Erreur ! Signet non déìini. ¶.
5 7
Δ>0
í
P>0
Ø>0
m≠3
a) On obtient le système :
»4m + 13 > 0
¹ m+1
>0
º m−3
¹̧ 1 − 2m
>0
m−3
La résolution de ce système d’inéquations simultanées conduit à une impossibilité. On en conclut qu’il
n’existe pas de valeur de m pour laquelle l’équation admette 2 solutions positives.
m≠1
b) On obtient le système :
»9m + 40 > 0
¹ m+4
>0
º m−1
¹̧ −m − 6
>0
m−3
La résolution de ce système d’inéquations simultanées conduit à m ∈
À− Erreur ! Signet non déìini. ; −Y¿ ∪ ‘$; W•
Y`
n
Δ>0
í
P>0
Ø<0
m≠3
a) On obtient le système :
»4m + 13 > 0
¹ m+1
>0
º m−3
¹̧ 1 − 2m
<0
m−3
m≠1
b) On obtient le système :
»9m + 40 > 0
¹ m+4
>0
º m−1
¹̧ −m − 6
<0
m−3
La résolution de ce système d’inéquations simultanées conduit à m ∈ ‘W; +∞•
13
a) Si m = ― 3, l’équation est du premier degré et s’écrit : ―6x ― 8 = 0.
Elle a une solution négative x = ― .
4
Si m ≠ ― 3, l’équation est du second degré, et les quantités Δ (discriminant), P (produit des racines,
3
― 2m
si elles existent) et S (somme des racines, si elles existent) ont pour valeurs respectives :
Δ′ = 2m + 15, P = m + 3 , S = m + 3 . L’étude simultanée du signe de ces 3 expressions dans un
m─5
'„
―∞ ― ―3 +∞
m
Δ
0 5
―
― ―
+ + + +
― + ― ―
P + +
S
'„
On a alors la discussion suivante :
• Si m < ―
'„
: l’équation n’a pas de solution.
'„
• Si m = ― , l’équation a une racine double (car Δ s’annule) qui est négative.
Cas particuliers :
'„
2°) D’abord, Δ doit être positif, donc on doit avoir m > ― . La condition donnée est équivalente à :
m>− m>−
'„ '„
2 v vv
―2( v
+ vv )
= 5, soit à î ⇔ î ⇔
2P − 2S = 5 6m − 10 = 5m + 15
m = 25.
14
2 2
Soit l’équation : x ─ 2 (m + 1) x + m + 2 = 0 .
$
1°) L’équation a des racines (distinctes ou confondues) si et seulement si :
Δ′ ≥ 0 ⇔ (m + 1)² ― (m² + 2) ≥ 0 ⇔ 2m ― 1 ≥ 0 ⇔ m ≥ .
U
= 2(m + 1) v
+ vv
v vv
= 2 vv v
v vv
= m² + 2
2°) Soit et les racines. On a les 3 égalités :
Y(\"$) U(\"$)
v
= vv
=
W W
Les 2 premières donnent : et .
x(\"$)²
On reporte ensuite ces valeurs dans la troisième pour déterminer m. On obtient l’équation suivante :
<
15
1°) A est un trinôme dont les racines sont
<
et ―4. Son tableau de signes est :
―∞ +∞
x
―
―4
A = (2x ─ 3) (x + 4) + +
―∞ 7 +∞
― + ―
x ―1
B = (x+1) (7 ─ x)
―∞ 10 +∞
+ − +
x 1
2
C = x ─ 11x + 10
―∞ ― 2 +∞
<
x
2
D = ─ 3 x + 4x + 4 ― + ―
―∞ +∞
F = 2x ― x + 1 +
x
2
―∞ +∞
<
x
2
G = ─ 9 x + 12 x ─ 4 ― ―
'
―∞ +∞
<
x
2
3x ― 1 ― + +
2―x + + ―
H ― + ―
$
―∞ ―7 ― +∞
U
x
3 5
x² + 4x ― 21 + ― ― + +
―2x² +9x + 5 ― ― + + ―
I ― + ― + ―
$ <
―∞ ―3 +∞
U „
x
−5x + 3 + + + ―
2x² +5x ― 3 + ― + +
J + ― + ―
$ ƒ
―∞ ―2 +∞
<
x
3x² +5x ― 2 + ― + +
6x² −23x + 7 + + ― +
K + ― ― +
a) S = š ½
1°) inéquations du second degré
b) S = À−∞; − ¿ ∪ À− ; +∞¿ c) S = ‘−∞; −1‘ ∪ ¿4 ; +∞¿
' ' 1
<
d) S = ∅ e) L’équation équivaut, après transposition à : ─ 5 x2 ― 2x + 2 > 0. S = ¿ ; À
4'4√'' 4'"√''
f) S = ℝ
„ „
S = ¿2 ; +∞¿
3
À∪ ¿ ; À
'
c) S = ¿−5;
√„4< √„"<
$
S = À−U − √$`; − ¿ ∪ µ$; −U + √$`´
Puis on fait un tableau de signes des trinômes du numérateur et du dénominateur pour trouver:
S = À−U; − À ∪ •U; W•
$$
Puis on fait un tableau de signes des trinômes du numérateur et du dénominateur pour trouver:
S = ‘$; W•
Puis on fait un tableau de signes des trinômes du numérateur et du dénominateur pour trouver:
< ƒ
f) L’équation est définie si et seulement si x ≠ 0, x ≠ et x ≠ .
}
_o²4$[o"$`
Après transposition et réduction au même dénominateur, elle équivaut à :
≤ 0.
(o4$)(Uo4W)(_o4q)
(x ─ 1) (3x2 + x ─ 10)
g) Le tableau de signes de l’expression G = 1 ─ 2x est :
$ „
―∞ ―2 +∞
U <
x
1
−1 ― ― ―
3x² +x ― 10 ― ― ―
+ +
― ―
+ +
― ― ―
Numérateur + + +
― ― ―
1-2x + +
S = ¿−U; U ¿ ∪ ¿$; À
$ [
G + +
'
―∞ ―4 ―3 − 5 +∞
x
S = ‘−Y; −W‘ ∪ ¿− ; [¿
$
Les réels solutions sont ceux pour lesquels (1) et (2) sont simultanément vérifiées. On en déduit que :
²− + > 0 (1)
ƒ <
[ [ [
c) Le système proposé est équivalent, en prenant les racines carrées des 3 membres à :
o²4[o"U
< 0.
(o"$)(o4$)(o4W)
L’inéquation (1) est équivalente, après réduction au même dénominateur, à :
[4√$q ["√$q
―∞ ―3 ―1 0 +∞
x
U U
1 3 5
(1) est vérifiée oui oui non Non oui non oui non non
U
x² ─ 2x + 1 > 0 ⇔ x ≠ 1
'
―∞ ―3 ―1 1 +∞
x
4
(1) est vérifiée oui non Non oui oui oui
S = À ; $¿ ∪ •1; 4‘
$
(2) est vérifiée non non Oui oui oui non
18
0H + 10 × 0< + 26 × 0 + 10 × 0 + 1 = 0, soit 1 = 0, ce qui est impossible.
1°) a) En remplaçant x par 0, on aurait, si 0 était solution de (E),
b) On peut donc, si x est une solution de (E), diviser les deux membres par ² (puisque ≠ 0), ce qui
donne (E’).
$ $ $ $ $ $
+ ! = ²+2× × + ! = ²+2+ = ² + + 2, d’où X² ― 2 = ² + .
o o o o² o² o²
$ $
2°) a) X² =
3°) (E’’) a pour solutions X1 = ― 4 et X2 = ― 6. Les solutions de (E) sont donc les réels
+ o = ― 4 (1) ou + o = ― 6 (2). L’équation (1) équivaut, après réduction au même dénominateur,
$ $
tels que :
'
4°) L’équation réduite correspondante est: 2X² ― 9X + 4 = 0. Elle a pour racines
$
et 4. En posant à
19
.
1°) Soit n le plus petit des deux entiers. L’autre est (n + 1). On a donc l’équation :
3°) Soit x la longueur de ce champ. L’aire est exprimée par A = x(100― x) et nous voulons rendre
A = ― x² + 100x = ― (x² ― 100x) = ― (x ― 50)² + 2500. Ainsi l’aire est toujours inférieure ou égale à
cette expression (qui est un trinôme incomplet) maximale. Ecrivons- la sous forme canonique.
2500 et elle est maximale lorsqu’elle vaut 2500. On a alors x = 25. (Le rectangle est alors un carré).
La somme de 720 000 F doit être partagée entre un certain nombre de personnes. Sil y avait 5
personnes des moins, la part de chacune se trouverait augmentée de 2000 F.
Combien de personnes participent au partage ?
6°) Calculer les côtés de l’angle droit d’un triangle rectangle ABC, d’hypoténuse BC = a, sachant que :
2
5a 3a
a) AB + AC = 4 ; b) l’aire du triangle du triangle est égale à 4 .
Chapitre 4
SYSTEMES D’EQUATIONS ET D’INEQUATIONS
A DEUX INCONNUES. REGIONNEMENT DU
PLAN
+ a + = 0,
On appelle ainsi toute équation de la forme :
+ a = (1)
Ô v
+ v a = v (2)
s’appelle système de 2 équations linéaires à 2 inconnues. Résoudre un tel
système consiste à trouver tous les couples (x, y) solutions en même
temps des équations (1) et (2).
Deux systèmes sont équivalents lorsqu’ils ont les mêmes ensembles de
solutions.
Cela s’interprète graphiquement en considérant (1) et (2) comme les équations de
→ →
deux droites D et D ’ dans le plan muni d’un repère (O, i , j ). Résoudre le
système consiste alors à déterminer les coordonnées des points communs aux
droites D et D ’.
Le système a une seule, aucune ou une infinité de solutions suivant que les
droites D et D ’ sont sécantes, strictement parallèles ou confondues.
Pour résoudre le système, on peut aussi utiliser la méthode des déterminants ou
∆=• •= − ′
méthode de Cramer.
v
′ ′
Le réel est appelé déterminant principal du système.
Les réels ∆o = • •= − ′ ∆p = • •= ′− ′
v
′ ′ ′ ′
et sont les
∆o ∆p
∆ ≠ 0, le système admet un unique couple solution (x, y) avec x =
déterminants associés à x et y respectivement.
∆ ∆
∆ = 0 et ∆o ≠ 0 ou ∆p ≠
Si et y = .
ax + by = c (1)
3. SYSTEME DE 3 EQUATIONS LINEAIRES A 2 INCONNUES
On résout d’abord le système formé par (1) et (2). S’il a un unique couple solution,
on vérifie si ce dernier est également solution de (3). Si tel est le cas, alors le
couple trouvé est l’unique solution du système.
S’il a une infinité de couples solutions, ceux-ci sont de la forme (x, αx + ô), α et ô
étant des réels quelconques. On vérifie si ces couples satisfont (3). Si c’est le cas,
ils sont également les solutions du système de 3 équations à 2 inconnues. Sinon,
celui-ci n’admet aucune solution.
+ a + ≤ 0; + a + < 0; + a + ≥ 0;
a) On appelle ainsi toute inéquation de l’une des formes suivantes :
+ a + > 0.
b) Résoudre une inéquation de ce type, c’est trouver tous les couples solutions,
c’est-à-dire tous les couples (x, y) qui vérifient l’inégalité.
% + a% +
+ a + > 0 sont les coordonnées des points
Si est strictement positif :
* Les solutions de l’inéquation
+ a + < 0 et pour
situés dans le demi-plan ne contenant pas M0 (frontière comprise).
+ a + ≥ 0.
On a des résultats analogues pour ;
+ a + > 0
5. SYSTEMES D’INEQUATIONS LINEAIRES A DEUX INCONNUES
Résoudre le système î
′ + ′a + ′ > 0
, c’est trouver tous les couples de réels
2 + a ≤ 6 (1)
Soit à résoudre le système :
Ô
− a ≥ −3 (2)
1
4 + 5a = −7 2 + 3a = −1 6 − 15 = 8a 9 − 15a = −2
1°) Ô 2°) Ô 3°) Ô 4°) Ô
Résoudre les systèmes suivants par la méthode de CRAMER:
3 − 2a = 12 5 − 4a = −9 12a = 5 − 10 6 − 10a = 7
+ a=1
√ √<
6 + 8a = 15 √2 + a = √3
5°) Ô 6°) î 7°) Õ
2 + 6a = 5 √3 − a√2 = 1 +a =2
√<
+ g4 = (f4')(g4
ƒ < H
?√5 − 2@ + 3?3 + 2√2@a = √3
12°) Õ
f4' )
11°) î
+ g = g(f"')
„ <
?3 − 2√2@ + ?√5 − 2@a = 1
f"'
2
Résoudre les systèmes suivants après avoir fait un changement d’inconnues adéquat :
+ = 21
H <
4( − 2) + 5(a − 4) = −7
4°) Õ
f4' (<g" )
3°) î
3( − 2) − 2(a − 4) = 12 „
− = 19
}f4< '„g"'%
( − 3) + a − 2 = 8
5°) Ô
3( − 3) + 5a − 10 = −10
(2 − 1) + a = 7
3
pour que le système : Ô
( − 2) + ( − 1)a = 2
a) Déterminer et admette pour solution le couple
(1 ; ―1).
b) Déterminer les réels ^ et € pour que l’équation du second degré o² + ^o + € = ` admette pour
; ½.
$
ensemble de solutions S = š−
$
U Y
Résoudre les systèmes suivants en discutant selon les valeurs de 7. (On utilisera la méthode de
4
Cramer) :
2 + 3a = 5 + 7a = 0 4 + 2a = 3
1°) Ô 2°) Ô 3°) Ô
27 − (7 − 1)a = 7 + 1 7 +a =7+1 27 − 3a = 7 + 4
+a=7−2 7 + a = (7 + 1)² (7 + 1) − a = 27 + 3
4°) Ô 5°) Ô 6°) Ô
(7 + 2) − 4a = 7 − 4 2 − a = 3 + 27 (27 + 3) − 4a = 47 + 7
5
Résoudre les systèmes triangulaires suivants :
2 + 3a = 8 2 + 3a = 8 3 +a =5
1°) − + 3a = 5 2°) − + 3a = 5 − a = −2
+ 8a = 16 + 8a = 17 2 + 3a = 7
3°)
3 +a=5 2 − a = −3 − + 2a = −7
− a = −2 +a=2 2 −a=8
2 + 3a = 7 7 − (7 − 1)a = 5 (7 + 1) + (7 − 1)a = −1
4°) 5°) 6°)
6
On considère les droites D1, D2 , D3 et D4 d’équations respectives :
(1) y = − x + 2 , (2) x = 1 , (3) x + y = 0 et (4) 2 x = −2y + 4 .
1. Tracer ces quatre droites dans un repère orthonormal d’unité 3 cm.
2. En déduire, en justifiant par des arguments graphiques, le nombre de solutions des systèmes
suivants :
y = −x + 2 y = −x + 2 y = −x + 2
(E) , (E’) , (E”) .
x =1 x+y =0 2 x = −2y + 4
3. Résoudre les systèmes (E), (E’) et (E”).
8
En achetant 3 stylos et 7 cahiers, je paie 11600F ; en achetant 8 stylos et 6 cahiers (du même type),
je paie 15100F. Quels sont les prix d’un stylo et d’un cahier ?
9
On a rangé dans un hangar 159 tabourets. Certains possèdent trois pieds, les autres 4 pieds.
Sachant que l’on dénombre 604 pieds, déterminer le nombre de tabourets de chaque sorte.
10 Un classique !
J’ai deux fois l’âge que vous aviez quand j’avais l’âge que vous avez. Quand vous aurez l’âge que j’ai,
nous aurons, à nous deux 117 ans.
Quel est mon âge et quel est le vôtre ?
11
Un marchand de glaces OKIR vend des glaces en cornets, les unes à une boule, les autres à deux
boules. Le but du problème est de déterminer le bénéfice maximal qu’il peut espérer faire en un jour,
un plan muni d’un repère orthonormal (õ, ö÷, ø÷) (unité graphique : 2,5 mm).
compte tenu de la quantité de crème glacée et du nombre de cornets dont il dispose.
On désignera par Þ
1°) On note x le nombre de cornets à une boule et y le nombre de cornets à deux boules vendus en
un jour par le marchand.
a) Le bénéfice réalisé est de 100F pour un cornet à une boule et 250F pour un cornet à deux
boules. Quel est le bénéfice réalisé en un jour ?
b) A l’aide d’inégalités faisant intervenir x et y, exprimer chacune des conditions suivantes :
• chaque jour, le marchand dispose de 60 cornets prévus pour une boule ;
• chaque jour, le marchand dispose de 60 cornets prévus pour deux boules ;
• le marchand vend au plus 100 cornets par jour ;
• le marchand dispose d’une quantité de crème glacée lui permettant de faire 150 boules par
jour.
2°) Déterminer graphiquement le nombre de cornets de chaque sorte qui donnera au marchand de
glaces un bénéfice maximal.
12
Les organisateurs d’un concours proposent aux classes lauréates un voyage. Ils s’adressent à un
transporteur qui dispose de 10 cars de 40 places et de 8 cars de 50 places. Les cars devront
transporter 540 personnes (les élèves et leurs accompagnateurs). Le transporteur demande 250 000F
par autocar de 40 places et 300 000F par autocar de 50 places.
Déterminer le nombre de cars de chaque type qui occasionnera la dépense la plus faible possible
pour les organisateurs.
ACTIVITES GEOMETRIQUES.
þ ûûûûûû÷ =
û÷, il existe un unique point M tel que õ
aplati).
þ
û÷ (Axiome d’EUCLIDE)
Etant donnés un point O et un vecteur
ûûûûû÷ et ûûûûû÷
ùú úù sont opposés. On note :
ûûûûû÷ = −ùú
úù ûûûûû÷
b) Les vecteurs
ûûûûû÷ + úü
ùú ûûûûû÷ = ùü
ûûûûû÷
de Chasles :
þ
û÷ + ÷ , on dessine un représentant de þ û÷
et un représentant de ÷ de même origine. þ û÷ + ÷ est alors l’une des diagonales du
e) Pour dessiner
ûûûûû÷ = ûûûûû÷
*) ùú ûûûûû÷ = úü
ýü *) ùý ûûûûû÷ *) ùü
ûûûûû÷ = ùú
ûûûûû÷ + ùý
ûûûûû÷
conditions suivantes :
þ
û÷, ÷ et ûû÷ , on a :
*) þ
û÷ + ÷ = ÷ + þ û÷ *) þ
û÷ + ( ÷ + ûû÷ ) = (þ
û÷ + ÷ ) + ûû÷
g) Pour tous vecteurs
*) ùûûûû÷ = ' ùú
ûûûûû÷ *) ûûûû÷ ú = û÷
ù + ûûûû÷ ûûûû÷ = ûûûû÷
j) I est le milieu du segment [AB] se traduit par l’une des conditions suivantes :
0 *) ù ú
ûûûûûû÷
ù + ûûûûûû÷
*) Pour tout point M du plan, on a :
ú = 2ûûûûûû÷
ûûûûû÷
On a : ûûû÷ = úü
'
k) Soit ABC un triangle, I milieu de [AB], J milieu de [AC].
n) Les droites
s (AB) et (CD) sont parallèles si et seulement si les vecteurs ûûûûû÷ et ûûûûû÷
ùú üý
sont colinéaires.
Remarque : Pour prouver que les vecteurs ûûû÷ et ûûûû÷ sont colinéaires, on peut les
ûûûûû÷ et ùü
exprimer en fonction de deux vecteurs ùú ûûûûû÷ dont on sait qu’ils sont non
colinéaires, puis comparer ces deux expressions pour en déduire une relation
entre ûûû÷ et ûûûû÷ .
ÉNONCéS
S DES EXERCICES DU CHAPITRE 5
2
On considère la figure ci-dessous :
4
A, B, C, D sont quatre points. Démontrer que :
ûûûûû÷ – ûûûûû÷
1. ùú ûûûûû÷ – ûûûûû÷
üý – (ùú úù) = ûûûûû÷
ýù
ûûûûû÷ + úü
2. ùý ûûûûû÷ = ùü
ûûûûû÷ + ûûûûûû÷
úý.
ûûûûû÷ = …
c) üý ûûûûû÷ + …
ûû÷ … ý = ûûûûû÷
d) ûûûûûûû÷ ü. . + ûûûûûûû÷
…
ûûûûû÷ = ûûûûûûû÷
e) üý … ù + ûûûûûûû÷
ù… f) ûûûûûûû÷
… = ûûû÷ ûûûûûû÷
. . . + úý
g) ûûûûû÷ = ûûûûûûû÷
… + ûûûûûûû÷
… h) … ûûûûû÷ + ûûûûûûû÷
ûû÷ = ùú …
ûûûûû÷ +úý
i) ùú ûûûûûû÷ + ý
ûûûû÷ + ûûûû÷ = ûûûû÷
….
ûûûûû÷ = ûûûûûûû÷
i) ùú … + ûûûûûû÷
… +…
ûûûû÷.
ûûûûûûû÷
k) … ûûûûûû÷ + ûûûû÷
ù = úý ûûûûûûû÷
… . + ü. ..
6
Dans chacun des cas suivants, reproduire le quadrillage, puis construire le
a)
b)
d)
e)
f)
g)
h)
EXERCICES CORRIGES SECONDE S Mouhamadou KA Page 87
7
Dans chacun des cas suivants, reproduire le quadrillage, puis construire le
vecteur þ
û÷ + ÷ + ûû÷.
a)
b)
c)
8
Ecrire les vecteurs suivants en utilisant le moins de vecteurs possibles :
û÷ = ûûûûû÷
þ ý¯ + ùúûûûûû÷ ― ûûûûûû÷
ýú (1 vecteur)
ûûûûû÷ + ùü
÷ = 2( ùú ûûûûû÷ ) + úü
ûûûûû÷ (2 vecteurs)
'
ûû÷ = úù ûûûûûû÷ − ' ùü
ûûûûû÷ − 2 ýú ûûûûû÷ ! (2 vecteurs)
H
9
O et A sont deux points distincts :
1. Placer les points M, N, P tels que :
ûûûûûû÷ = 2 õù
a) õ ûûûûû÷ b) õ
ûûûûûû÷ = −3,5 õù ûûûûû÷ c) õ ûûûûû÷ = −7 õù
ûûûûû÷
2. a) Exprimer le vecteur õ ûûûûûû÷ + õûûûûûû÷ ©žžÉÊž ! ל ]ɉ ]³] 鲜]œ. en fonction de õù
ûûûûû÷.
b) Exprimer le vecteur ©žžÉÊž ! ל ]ɉ ]³] 鲜]œ. en fonction de ON.
→
11
ABCD est un parallélogramme de centre O.
→ → → →
1°) Calculer la somme vectorielle OA + OB + OC + OD .
2°) M étant un point quelconque du plan, placer les points E, F, G et H tels que :
→ → → → → → → →
ME = AB ; MF = BC ; MG = CD et MH = DA .
Démontrer que le quadrilatère EFGH est un parallélogramme.
12
A,B,C,D sont quatre points
uuur uuur uuur uuur uuur uuur uuur uuur
1) Construire les points E,F tels queAE = AB + AC − BC et AF = AB − AC + AD .
uur uuur uuur
2) M ontrer que FE = AC + DB
13
Sur la figure, les quadrilatères SALE, SAIC, SCAE, BAEL, LAIB et BACI sont des parallélogrammes.
En n’utilisant que les points de la figure, écrire chacune des sommes suivantes sous forme d’un seul
vecteur.
ûûûûû÷
ùú + ù ûûûûû÷, ûûûûû÷
ùú + ûúûûûû÷ +ûûûûû÷
ù , ûûûûû÷
ùú — ù ûûûûû÷, ûûûûû÷
ùú + ù ûûûûû÷ + ù¯
ûûûûû÷ , ù¯
ûûûûûû÷ — (üù
ûûûûû÷ + ûûûû÷
Øü ), ûûûûû÷ ú , ûØûû÷ — û¯ûûûû÷ — ûØûûû÷ ,
Øù — ûûûûû÷
ûØûû÷ — û¯ûûûû÷ + ûØûûû÷ .
15
→ → →
ABC est un triangle. Exprimer le vecteur AM en fonction de AB et AC et construire le point M dans
chacun des cas suivants :
→ → → → → → → → →
a) AM + BC = AB ; b) 2MA + AC = AB ; c) MA + MB = AC
→ → → →
d) MA + MB + MC = 0 .
16
17
Dans un triangle ABC, on considére par M le milieu de [AB], par I celui de [MC]
uuur 1 uuur
et K le point tel que CK= CB
3
uur 1 uuuur 1 uuur uuur 1 uuur 2 uuur
1)Montrer que AI = AB + AC et AK= AB + AC.
4 2 3 3
2)En déduire que les points A , I, K sont alignés.
18
ABC un triangle,O un point quelconque,G et P les points tels que:
uuuur 2 uuur uuur uuuur uuur uuur
AG= AB et OP = OA +2OB - 3OC
3
uuur uuur uuur
1) Montrer que 3OG=OA+2OB.
2) Montrer que les droites (OP) et (CG) sont parallèlles.
17
Soit ABC un triangle. Placer les points D et E tels que :
uuur uuur uuur uuur
EB = BA et ED = 2BC
Montrer que le point C est le milieu du segment [AD].
20
1°) Soit ABC un triangle, I le milieu de [AB] et J le milieu de [AC].
→ 1 →
Montrer que IJ = 2 BC .
2°) Soit ABDC un quadrilatère quelconque, I, J, K et L les milieux respectifs de [AB], de [AC], de [DB]
et de [DC].
Démontrer que IJKL est un parallélogramme (on pourra utiliser la question 1°).
Quelle condition faut-il rajouter sur ABDC pour que IJKL soit un losange? un rectangle? un carré ?
21
ABCD un parallélogramme de centre O, E est le milieu de [AB], F celui de [CD].Les droites (DE) et (BF)
coupent la droite (AC) en L et M respectivement.
uuur 1 uuur
1) Montrer que L est centre de gravité du triangle ABD .En déduire que OL= OA.
3
uuuur 1 uuur
2)Prouver que OM= OC et que O est le milieu de [ML]
3
23
Soit ABCD un carré .On construit sur [DC] et à l'intérieur du carré le triangle équilatéral DCE.
On construit sur [BC] et à l'extérieur du carré le triangle équilatéral BCF.
uuur uuur uuur uuur
1) Exprimer les vecteurs AE et AF en fonction des vecteurs AB et AD.
2)En déduire que les points A,E,F sont alignés.
25
Soit ABCD un parallélogramme et les points I et J milieux respectifs des segments [AB] et [CD] .
1°) Démontrer que les droites (ID) et (JB) sont parallèles.
→ 1 → → 2 →
2°) Construire les points M et N tels que : AM = 3 AC et AN = 3 AC .
→ → → →
3°) Exprimer IM et ID en fonction des vecteurs AB et AC .
En déduire que M appartient à la droite (ID) .
→ → → →
4°) Exprimer BJ et BN en fonction des vecteurs AB et AC .
En déduire que N appartient à la droite (JB).
5°) Démontrer que MINJ est un parallélogramme.
6°) Soit E le point d’intersection des droites (ID) et (BC) .
Démontrer que B est le milieu du segment [CE] .
26
Soit ABC un triangle non rectangle ; O le centre et r le rayon de son cercle circonscrit C .
→ → → →
1°) On considère le point H défini par : OH = OA + OB + OC .
→ → → → → →
a) Montrer que : AH = 2 OA' ; BH = 2 OB' et CH = 2 OC' , avec A', B', C' milieux respectifs de [BC],
[CA) et [AB].
b) En déduire que : (AH) ⊥ (BC) et (BH) ⊥ (CA) .
Que représente alors le point H ?
2°) On désigne par I, J, K les milieux de [AH], [BH], [CH] .Montrer que les segments [OH], [I A'],
[JB'] , [KC ' ] ont le même milieu Ω .
→ 1 → → 1 → → 1 →
3°) Montrer que : ΩI = 2 OA , ΩJ = 2 OB et ΩK = 2 OC .
1
En déduire que les points I, J, K appartiennent au cercle C ' de centre Ω et de rayon 2 r .
→ 1 → → 1 → → 1 →
4°) Montrer que : ΩA' = ― 2 OA , ΩB' = ― 2 OB et ΩC' = ― 2 OC .
En déduire que les points A' , B' , C' appartiennent au cercle C ' .
5°) On désigne par A1 , B1 , C1 les pieds sur (BC), (CA), (AB) des hauteurs du triangle ABC .
Montrer que les points A1 , B1 et C1 sont éléments du cercle C ' .
6°) Soit G le centre de gravité du triangle ABC . Montrer que les points O, G et H sont alignés .
7°) Les résultats précédents sont-ils vérifiés lorsque le triangle ABC est rectangle ? Faire par exemple
une figure avec le triangle ABC rectangle en A .
Que dire des points O, G, H, Ω , lorsque le triangle ABC est équilatéral ?
Notes :
· C ' est appelé cercle d’Euler du triangle ABC .
· Lorsque le triangle ABC n’est pas équilatéral, la droite (OH) est appelée droite d’Euler de ABC.
On appelle point pondéré tout couple (A, α), où α est un point du plan et α un
1. BARYCENTRE DE DEUX POINTS PONDERES
nombre réel.
ûûûûûû÷ ú = ( + ô)ûûûûûûû÷
ù + ô ûûûûûû÷
pour tout point M du plan, on a :
N.B. Dans cette relation, on peut remplacer par n’importe quel point du plan, O,
A, B, etc.
)} (α ≠ 0).
d) Isobarycentre
Soit G le barycentre du système {(A,
1) , (B, 1)}
) , (B,
$
Alors, d’après le propriété précédente, G est aussi le barycentre de {(A,
(multiplication par ).
Dans ce cas, G n’est autre que le milieu du segment [AB].
" "
qu’on peut utiliser pour construire G.
ûûûûûû÷
ù + ô ûûûûûû÷
ú+ ûûûûûû÷
ü = ( + ô + )ûûûûûûû÷
alors, pour tout point M du plan, on a :
c) Autres propriétés
Elles sont analogues à celles du paragraphe 2.
*) Le barycentre de trois pondérés ne change pas si l’on multiplie tous les
coefficients par un même nombre non nul.
ûûûûû÷
ù + ûûûûû÷
ú + ûûûûû÷
ü = û÷ ûûûûû÷ = ûûûûûû÷ ; ûûûûû÷ ûûûûûûû÷ ; ûûûûû÷ ûûûûûû÷ , où ù′, ú′ et ü′ sont les
des médianes). On a alors les relations :
0; ù ùù′ ú = úú′ ü = üü′
< < <
milieux respectifs des segments [BC], [CA] et [AB].
1 Construction de barycentres
Soient A et B deux points distincts et G le barycentre de (A, 3 ) et ( B , 2 ) .
1°) La méthode du parallélogramme
Soit M un point n’appartenant pas à (AB) . Construire les points A1, B1 et S tels que :
→ → → → → → →
MA1 = 3 MA ; MB1 = 2 MB et MS = MA1 + MB1 .
Montrer alors que les droites (MS) et (AB) sont sécantes en G .
2°) La méthode des parallèles
→ →
Soit u un vecteur non colinéaire à MA . Construire les points A' et B' tels que :
→ → → →
AA' = 2 u et BB' = ─ 3 u (on permute les coefficients en changeant le signe de l’un).
Montrer que les droites (A' B') et (AB) sont sécantes en G .
2
ABCD est un parallélogramme de centre O .
1°) Définir vectoriellement et placer les points I, J, et K définis par :
I est le barycentre de (A, 5 ) et ( B , ─ 2 ) ; J le barycentre de (B, 1 ) et ( C , ─ 2 ) ; K le barycentre de
(C, ─ 5 ) et ( D , 2 ) et L est le barycentre de (D, ─ 1) et ( A , 2 ) .
2°) Démontrer que IJKL est un parallélogramme de centre O.
4
Soit ABC un triangle, A' le barycentre des points pondérés (B, ─ 1 ) et ( C , 2 ) ; B' le barycentre de
(A, 3 ) et ( C , 2 ) et C ' le barycentre de (A, 3 ) et ( B , ─ 1 ) .
1°) Placer A', B' et C ' .
→ → →
2°) Soit G le barycentre de (A, 3 ) ( B , ─ 1 ) et ( C , 2 ) . Montrer que : 3 GA + GA' = 0 .
En déduire que G est un point de (AA' ) .
3°) Montrer que les droites (AA' ) , (BB' ) et (CC ' ) sont concourantes
5
→ 3 → → 2 →
Soit ABC un triangle . Soient I et J les points définis par : AI = 4 AB et AJ = 3 AC .
Les droites ( BJ ) et ( CI ) se coupent en G . La droite (AG) coupe ( BC ) en K .
1°) Faire une figure.
2°) Trouver les réels a, b et c tels que I soit le barycentre de {(A, a ) ( B , b ) } et J le barycentre du
système { (A, a ) ( C , c ) } .
3°) Montrer que le barycentre du système { (A, a ) ; ( B , b ) ; ( C , c ) } est le point G .
En déduire que K est le barycentre de ( B , b ) et ( C , c ) et donner la position de K sur la droite ( BC )
7
Soit ABC un triangle quelconque .
1°) Construire :
─ le barycentre G de ( A , 3 ) et ( B, 3 )
─ le barycentre E de ( B , 3 ) et ( C, 1 )
─ le barycentre F de ( A , 3 ) et ( C, 1 )
2°) Soit I le barycentre de (A, 3 ) , ( B , 3 ) et ( C , 1 ) . Démontrer que :
─ les points A, I et E sont alignés .
─ les points B, I et F sont alignés , ainsi que C, I et G .
Que peut-on en déduire pour les droites (AE) , (BF) et (CG) ?
3°) Construire le barycentre E ' de ( B , 3 ) et ( C, ─ 1 ) .
→ → → →
Exprimer les vecteurs E'G et GF en fonction des vecteurs AB et AC .
En déduire que E ' , F et G sont alignés .
4°) Montrer que les droites (EF) et (AB) sont parallèles .
Soit H le symétrique de A par rapport à B et K le point d’intersection des droites (E' H) et (EF) .
→ 3 →
Montrer que E'K = 2 E'H .
8
1°) Soit ABC un triangle, construire les points I, J et K définis par :
─ I est le barycentre de ( A , 2 ) et ( C, 1 )
─ J est le barycentre de ( A , 1 ) et ( B, 2 )
9
Soit ABC un triangle . On effectue les constructions suivantes : on symétrise A par rapport à B , B par
rapport à C et C par rapport à A ; on obtient respectivement les points K, I, J ( donc un triangle IJK ) .
1°) Faire une figure .
2°) Exprimer chacun des points A, B, C comme barycentre des points I, J, K
→ → → →
(indication : pour A par exemple AJ + AC = …. ? puis exprimer AC en fonction de AI et
→ → →
AB ; et AB en fonction de AK , etc …) .
→ 1 → → 1 → → 1 →
3°) On définit les points P, Q, R par : KP = 3 KJ ; IQ = 3 IK ; JR = 3 J I .
Montrer que les points P, Q, R sont respectivement les points d’intersection des droites (BC) et (KJ) ,
(AB) et (JI) , (AC) et (KI) .
10
→ → → →
Soit ABC un triangle et k un réel non nul .Soient D et E définis par : AD = k AB et CE = k CA .
1
1°) Faire une figure illustrant ces données pour k = 3 , puis pour k = ─ 1 .
2°) Montrer que D est le barycentre de (A, 1 ─ k ) et (B, k ) et E le barycentre de
(C, 1 ─ k ) et (A, k ) .
3°) En déduire que, pour tout point M du plan, on a :
→ → → → → → →
MD + ME = MA + MC + k CB = 2 ( MB' + k B'C' ) où B' et C' sont les milieux respectifs de [AC] et
[AB] .
4°) Montrer que [DE], [AC] et [AB] ont leurs milieux alignés.
11
Soient A, B, C trois points distincts ; a, b, c des réels tels que a + b + c ≠ 0 . Soit G le barycentre des
points pondérés (A, a ) , ( B , b ) et ( C , c ) .
1°) Démontrer que les points pondérés (A, 2a + 1 ) , ( B , 2b ─ 2 ) et ( C , 2c + 1 ) admettent un
barycentre qu’on appellera K .
2°) a) Donner une relation vectorielle définissant K et en déduire que :
→ →
→ → → AB + CB
a KA + b KB + c KC = 2
b) En déduire que G et K sont confondus si et seulement si B est le milieu du segment
[AC] .
3°) On suppose que A, B et C ne sont pas alignés . Soit E le point vérifiant que ABCE est un
parallélogramme .
→
→ BE
Démontrer que GK = 2 ( a + b + c) en utilisant la question 2°.
1
On pose a = c = 2 et b = 2 . Construire les points G et K .
12
Soit ABC un triangle équilatéral de côté a = 4 cm .
→ → → →
Soit D le point défini par : 3 DA ─ AB + 2 AC = 0 .
1°) Exprimer D comme barycentre de A, B, et C affectés de coefficients à préciser .
13
1°) Construire un triangle ABC tel que AC = 12 , BA = 10 , et CB = 8 puis placer le barycentre G de
(A, 1 ) , ( B , 2 ) et ( C , 1 ) .
2°) Déterminer et représenter l’ensemble des points M du plan tels que :
→ → →
║ MA + 2 MB + MC ║ = AC.
3°) Soit (E) l’ensemble des points M du plan tels que :
→ → → → →
║ MA + 2 MB + MC ║ = ║ BA + BC ║
Montrer que B appartient à (E).
Déterminer et représenter l’ensemble (E).
4°) Déterminer et représenter l’ensemble des points M du plan tels que :
→ → → → →
║ MA + 2 MB + MC ║ = ║ 3MA + MC ║
14
Soit ABC un triangle rectangle en A tel que AB = 4 et AC = 6.
→ → 1 →
1°) Placer le point G tel que AG = AB + 2 AC .
2°) Démontrer que G est le barycentre de A, B et C affectés de coefficients que l’on précisera
3°) Déterminer et représenter l’ensemble C des points M du plan tels que :
→ → →
║ MA + 2 MB + MC ║ = 10.
4°) Montrer que (C) passe par les points C et A.
15
On considère trois points A, B, C non alignés affectés des coefficients respectifs 1, 2, et ─ 3 .
1°) Ces points pondérés ont-ils un barycentre ?
→ → →
2°) Montrer que lorsque M se déplace dans le plan, le vecteur MA + 2 MB ─ 3 MC reste constant.
→ → →
On note u ce vecteur constant. Construire le point D tel que AD = u .
3°) Construire les barycentres :
A' de (B , 2 ) et ( C, ─ 3 )
B' de (C , ─ 3 ) et ( A, 1 )
C' de ( A, 1 ) et (B , 2 )
→ → → →
Démontrer que u = ─ AA' = ─ 2 BB' = 3 CC' .
Que peut-on en déduire pour les droites (AA' ) , (BB' ) et (CC' ) ?
16
Dans chacun des cas suivants, trouver des réels α et β tels que A soit barycentre de {(B ; α ) (C, β )}
uuur uuur r
1) AB − 2CA = 0
uuuur uuur
2°) BA = 3AC
uuur uuuur r
3°) 2BC + AC = 0
uuur uuur uuur uuur
4°) AB + AC +BC = 2BA
19
Soit A et B deux points tels que AB = 10.(L’unité de longueur est le centimètre.)
1°) Construire la barycentre C des points pondérés (A, 2) et (B, 3)
2°) Démontrer que [AB] et [CD] ont milieu .
uuuuur uuuur uuur uuuur
3°) Déterminer l’ensemble des points M du plan tels que : 2 MA + 3MB = 3 AB +2MB
21
Soit un triangle ABC rectangle en A et tel que AB=4, AC=6.
uuur 1 uuur
Placer le point G tel que : AG = AB + AC
2
Calculer AG.
Démontrer que G est le barycentre de A ,B ,C affectés de coefficients que l’on précisera.
Déterminer l’ensemble ( Γ ) des points M du plan tels que :
uuur uuur uuuur
− MA + 2 MB + MC = 10. Montrerque ( Γ ) passe par C et A.
Remarque : Etant donnée une droite D, il y a deux axes ayant cette droite pour
support.
Un bipoint (A, B) est un couple de points donnés dans cet ordre.
Soient A et B deux points d’un axe D. On appelle mesure algébrique du bipoint (A,
ûûûûû÷ ) le npmbre réel noté ùú et défini de la manière suivante :
B) (ou du vecteur ùú
— ùú = d(A, B) (distance AB de A vers B) si on va de A vers B en suivant le sens de
l’axe.
— ùú = — d(A, B) si on va de A vers B en suivant le sens contraire de celui choisi
pour l’axe.
b) Propriétés
*) Etant donnés un axe D et deux points A et B de cet axe, on a : úù = — ùú .
ûûûûûû÷. On la note .
algébrique du vecteur õ
ö÷ ) revient à dire que
ûûûûûû÷ =
õ ö÷ = ûûûû÷
õ
Dire que M a pour abscisse dans le repère (O,
ùú =
Si A et B sont deux points de D d’abscisses respectives et , on a alors :
− .
ù+ ú
U
Le milieu I du segment [AB] a pour abscisse .
d) Enoncés de Thalès
=
ù′ú′
ù′ü′
On a alors : .
=
ù′ú′
ù′ü′
On suppose que :
Alors les droites (AA’), (BB’) et (CC’) sont parallèles.
ûûûûû÷ ,
(ùú ûûûûû÷ ) est une base du plan.
ùü
colinéaires. Par suite, le couple
b) Considérons un repère R = (O, ö÷, ø÷). Pour tout point M du plan, le vecteur õûûûûûû÷
c) Considérons le repère R = (O, ö÷, ø÷) et les points ù(xA, yA) et ú(xB, yB).
ûûûûû÷ (xB — xA, yB — yA )
*) On a ùú
*) Le milieu I de [ùú ] a pour coordonnées :
ù+ ú aù +aú
U U
ûûûûû÷ , ùü
ûûûûû÷ ) est
xI = et yI =
d) Le plan étant muni du repère R = (O, ö÷, ø÷), soit Ω (a, b) dans le repère.
Considérons le nouveau repère R’ = (Ω, ö÷, ø÷).
Soit M un point quelconque du plan, ayant pour couple de coordonnées (x, y) dans
ï= −
le repère R et (X, Y) dans le repère R’. On a les relations suivantes :
Ô
=a−
appelées formules de changement de repère par translation ou encore formules de
changement d’origine.
û÷).
On la note D( , Ê
Remarque : La droite (AB) passe toujours par le point A et a pour vecteur directeur
ûûûûû÷ .
ùú
= %+α
représentation paramétrique ou système d’équations paramétriques de D est :
( ∈ ℝ)
a = a% + ô
Ô
o−
y) appartient à D si et seulement si :
û÷ ) = 0 ⇔ Çp − a "Ç
0 !
ûûûûûû÷,
dét (ù þ
0
=0
⇔ "(x — o` ) — ! (y — p` ) = 0
o + p + = `, avec (a, b) ≠ (0, 0). On dit que c’est une équation cartésienne de
Après simplification, cette relation est de la forme :
le droite D et on écrit
(D) : o + p + = `.
Réciproquement, toute équation de la forme Ax + By + C = 0 avec (A, B) ≠ (0, 0)
est celle d’une droite D dont un vecteur directeur est þ
û÷ (— , ).
o = $ − U‰
donc :
p=‰
Ô
x = 1 + 2(y — 3) ⇔ x — 2y + 5 = 0.
On a d’après (2) : t = y — 3, d’où en remplaçant dans (1) :
= %+α = '+α ′
*) Cas où D et D’ sont définies par leurs représentations paramétriques
Ô
a = a% + ô a = a' + ô ′
Soit D : et D’ : Ô
+α = '+α ′
Pour étudier la position relative de D et D’, on résout le système (S) :
d’inconnues et ’.
%
a% + ô = a% + ô
Ô
— Si (S) admet un unique couple solution ( , ’), alors D et D’ sont sécantes en un
point dont on obtient les coordonnées en replaçant ‰ par exemple dans le système
d’équations paramétriques de D.
— Si (S) n’a pas de solution, alors D et D’ sont parallèles.
— Si (S) a une infinité de solutions, alors D et D’ sont confondues.
Pour résoudre (S), on peut utiliser la méthode de Cramer (voir Activités
numériques chap. 4).
*) Cas où D est définie par une représentation paramétrique et D’ par une équation
=1+
cartésienne
Ô et D’ : 2 — 3a + 1 = 0.
a = −1 + 2
Exemple : Soit D :
= 1 + (1)
Pour étudier la position relative de D et D’, on résout le système :
Õ a = −1 + 2 (2)
2 — 3a + 1 = 0 (3)
On peut par exemple remplacer x et y par leurs expressions en fonction de t dans
(3).
— Si t est déterminé de façon unique, alors D et D’ sont sécantes.
— Si t est indéterminé, alors D et D’ sont parallèles.
— Si t n’existe pas, alors D et D’ sont parallèles.
Soit D : a = 7 + • et D’ : a = 7v + •′
— Si 7 = 7’, alors D et D’ sont parallèles ou confondues.
— Si 7 ≠ 7’ , alors D et D’ sont sécantes.
1
Les points A, B, C et D sont situés sur un axe de telle sorte que : AB = ─ 8 ; BC = 12 et
CD = ─ 6 . Calculer AC , AD , BA , BD , DA et DB .
2
Sur un axe (D), on donne trois points A, B et C tels que AB = ─ 9 et BC = 16 . Où faut-il placer
l’origine O pour que OA + 3 OB + 5 OC = 0 ?
3
Soient A et B deux points d’un axe, I milieu de [ AB] . Montrer que pour tout point M de l’axe, on a :
2 2
AB AB
2 2 2 2
a) MA + MB = 2 MI + 2 b) MA · MB = MI ─ 4 .
4
→
Une droite est munie d’un repère (O , i ) . On place les points A, B, C, D de cette croite d’abscisses
15 11
respectives 4, 2 , ─ 1 , et ─ 3 .
1°) Calculer AB , BC , AD , CA .
2°) Déterminer l’abscisse x des points M dans chacun des cas suivants :
a) AM = 3 b) 2 CM + MA = 1 c) 2 OB = 3 AM d) 0 ≤ CM ≤ 2
2
e) 3 AM = AC f) AM = 4 .
5
Sur un axe (D), on considère deux points A et B d’abscisses respectives ─ 1 et 2 .
1°) Placer le point C tel que CA = 2 CB .
2°) Montrer qu’il existe un point M tel que : MA + 2 MB = 0 .
2 2
3°) Quels sont les points M de (D) tels que MA ─ 4 MB = 0 ?
6
Soient A, B, C et D quatre points d’une même droite (∆) muni d’un repère (O, I ) .
1°) a) Etablir, à l’aide des abscisses des points la relation suivante :
DA · BC + DB · CA + DC · AB = 0. (relation dite d’Euler).
2°) Etablir, en utilisant la relation de Chasles, la relation d’Euler .
2 2
3°) Former l’expression DA · BC + DB · CA et en déduire la relation suivante :
2 2 2
DA · BC + DB · CA + DC · AB + BC · CA · AB = 0
( relation dite de Stewart ) .
2°) ABCD est un parallélogramme . E est un point du segment [AD] . La parallèle à (AB) passant par E
coupe (AC) en G et (BC) en F .
EG BF
Montrer que : = .
AB BC
4°) Soit ABCD un rectangle donné de cotés a et b. Construire exactement un rectangle de même aire
et dont un côté a pour longueur d (d longueur donnée ) .
5°) Soit RST un triangle donné de cotés a = ST donné et de hauteur h. Construire un rectangle de
même aire et dont un côté a pour longueur d (d longueur donnée).
2 5 4
6°) Placer exactement les points L, M, N d’abscisses respectives 3 , 7 , 11 sur la droite (D) de repère
(A,B ) .
IO OJ
Démontrer que = . Que peut-on en déduire pour I, O, et J ?
AB AB
9°) ABCD est un quadrilatère . La parallèle à (AD) passant par C coupe (BD) en M . La parallèle à
(BC) passant par D coupe (AC) en N .
On appelle I le point de rencontre de (AC) et (BD) .
IN IM
Calculer et .
IC ID
Démontrer que (MN) est une droite parallèle à (AB).
8
→ → → →
Soit ABCD un parallélogramme non aplati . On pose u = AB et v = AC .
→ → → →
1°) Les vecteurs u + v et u ─ v sont-ils colinéaires ?
→ → → → → →
2°) On pose i = u + v et j = u ─ v .
→ → → →
Donner les coordonnées de u et v dans la base ( i , j ) .
→ →
3°) Donner les coordonnées de A, B, C et D dans le repère ( B, i , j ) .
→ →
4°) Existe-t-il des points qui ont les mêmes coordonnées relativement aux repères ( A, u , v ) et
→ →
( B, i , j ) . ?
10
Soit ABC un triangle et α un réel . On définit trois points P, Q, R par :
→ → → → → →
CR = ─ α CB , CQ = α CA et AP = α AB .
1°) Faire une figure pour α = ─ 2 .
→ →
2°) Déterminer dans le repère ( A, AB , AC ) les coordonnées des points P, Q et R en fonction de α .
→ → → →
3°) Exprimer dans la base (AB , AC ) les coordonnées des vecteurs PQ et PR à l’aide de α .
4°) Déterminer α pour que P, Q , R soient alignés et distincts .
5°) Faire la figure dans ce cas et montrer que Q est alors le milieu de [PR] .
11
Dans chacun des cas suivants, on demande :
de donner une représentation paramétrique de la droite (D) .
de déterminer les points d’intersection de (D) avec les axes .
de tracer (D) .
1°) (D) passe par A( 1, 2 ) et B( ─ 2 , 4 ) .
→
2°) (D) passe par A( 1, 2 ) et a pour vecteur directeur u ( 3, 1 ) .
3°) (D) passe par A( 1, 2 ) et a pour coefficient directeur ─ 2 .
4°) (D) a pour équation : x + 2y ─ 3 = 0 .
12
Soit (D) la droite d’équation 3x ─ 2y + 2 = 0 et (D’ ) la droite de représentation paramétrique
x = 3 ─ 4t
y = ─ 1 + 2t
1°) Pour chacune des droites, donner deux vecteurs directeurs .
2°) Les points suivants appartiennent-ils à (D) ou (D’ ) :
A( 2, 4 ) , B( 3 , ─ 1 ) , C ( ─ 1 , 1 ) et D( 4, 7 ) ?
13
→ →
Le plan est rapporté à un repère orthonormé ( O, i , j ) .
On considère l’ensemble (Dm) des points M du plan dont les coordonnées (x , y) vérifient l’équation : (
2m ─ 1 ) x + ( 3 ─ m ) y ─ 7m + 6 = 0 .
1°) Montrer que, quel que soit m ∈ ℝ , (Dm) est une droite .
2°) Dans chacun des cas suivants, trouver m pour que :
a) (Dm) passe par A( 1, 1) .
b) (Dm) passe par l’origine du repère .
14
(D1) : ..............................................
(D2) : ...............................................
(D3) : ...............................................
(D4) : ...............................................
(D5) : ...............................................
(D6) : ...............................................
(D7) : ...............................................
(D8) : ...............................................
15
1. Voici 5 droites dans un repère (chaque carreau a pour côté 1).
a. Associer à chaque droite l’une des équations suivantes en justifiant votre choix :
x + 2y − 3 = 0 ; −2x + y − 4 = 0 ; x + y + 3 = 0 ; x − y − 3 = 0 ; x − 2y + 4 = 0.
b. Donner l’équation de la droite parallèle à D2 passant par le point de coordonnées (−1 ; −2).
D1
D2
D3
D4
16
Soit un parallélogramme ABCD de centre O
( )
uuur uuur
1. On choisit AB, AD comme base de vecteurs. Pourquoi ce choix est-il possible ?
uuur uuur uuur
2. Quelles sont les coordonnées des vecteurs AC , AO et DB (justifiez) ?
uuur 2 5
3. Construire E tel que les coordonnées de CE soient ; − .
3 3
4. Démontrer que D, B et E sont alignés.
17
4
(D1) : 6x – 3y + 4 = 0 (D2) : 2x – y + 7 = 0 (D3) : y = 2x+ (D4) : –12x + 6y – 8 = 0
3
18
Tracer les droites d'équation :
3 2 1
( ∆ 1) : y = 2x – 4 ( ∆ 2) : y = – 3x + 5 ( ∆ 3) : y = x − 4 ( ∆ 4) : y = − x +
2 5 5
1
( ∆ 5) : x + 2y – 2 = 0 ( ∆ 6) : 2 x − y + 1 = 0 ( ∆ 7) : 5 x + 2y − 3 = 0 ( ∆ 8) : −3 x + 2y − 7 = 0
4
20
→
ABCD est un parallélogramme, a et b sont deux réels non nuls. E et F sont les points tels que : AE =
→ → →
a AB et AF = b AD .
La droite parallèle à (AD) passant par E coupe (CD) en G et la droite parallèle à (AB) passant par F
coupe (BC) en H . On note K le point d’intersection des droites (EG) et (FH) .
→ →
On considère le repère R = ( A , AB , AD ) .
3
N.B. On fera une figure illustrant les données avec a = 2 ; b = 2 ; AB = 4 cm et AD = 2,5 cm.
1°) Déterminer les coordonnées des points A, B, C, D, E, F, G, H et K dans le repère R .
2°) Déterminer une condition sur a et b pour que les droites (FG) et (EH) soient parallèles, puis
montrer qu’avec cette condition, on a : (FG) / / (AC) et (EH) / / (AC) .
3°) Montrer que si a + b = 1, alors K ∈ (BD) .
4°) Déterminer une condition sur a et b pour que les droites (EF) et (GH) soient parallèles, puis
montrer que, dans ce cas, on a : (EF) / / (DB) et (GH) / / (DB) .
5°) Montrer alors que K ∈ (AC) .
6°) Montrer que le quadrilatère EFGH est un parallélogramme si, et seulement si :
a+b=1
a=b
7°) Montrer qu’alors E et G sont les milieux respectifs de [AB] et [CD] et que les parallélogrammes
ABCD et EFGH ont même centre.
21
( ) soient le point A(–2 ; 1) et le vecteur
r r
Dans le plan rapporté à un repère orthonormal O ; i , j
r −2 r
u= . On note d la droite passant par A et de vecteur directeur u .
3
1. Le point O appartient-il à d ? Le point B(–1 ; –1/2 ) ?
2. Donner une équation de d et la tracer. Quelles sont les coordonnées de ses points d’intersection
avec les axes ?
uuur uuuur
3. C est le point tel que BC = 2 AO . Déterminer les coordonnées de C ainsi qu’une équation de la
droite (BC). La tracer et déterminer son intersection avec d.
4. Soit d’ la droite passant par D(0 ; 4) et parallèle à d. Donner une équation de d’, la tracer et
déterminer graphiquement puis par le calcul les coordonnées de son point d’intersection K avec (BC).
5. Soit δ la droite d’équation x + 2y – 4 = 0. Déterminer son vecteur directeur ainsi que deux de ses
points. Tracer δ . Que peut on en dire ? Déterminer ses points d’intersection avec d et d’.
6. Montrer de trois manières différentes que la figure formée par d, d’, δ et (BC) est un
parallélogramme.
1
Donner la longueur d’un demi-cercle de rayon 2 cm, et d’un quart de cercle de rayon 4 cm.
2
1°) Compléter le tableau suivant, où l désigne la longueur de l’arc de cercle de rayon R, intercepté par
l’angle α mesuré en degrés :
l π 2π
4R 5 R
α 60 120 30
2°) Compléter le tableau suivant, où l désigne la longueur de l’arc de cercle de rayon R, intercepté par
l’angle α mesuré en radians :
l π 5π
6R 8 R
α 2π 1 2π
3
3
On considère la figure suivante :
1°) Parmi les réels suivants, quels sont ceux qui sont une abscisse curviligne du point E ?
4π 4π 4π 2π 5π
12 ; 3 ; ─ 3 ; 3 ; 3
2°) Quels sont les points du cercle trigonométrique qui ont pour abscisse curviligne les réels suivants :
3π π 5π 7π 11π
2 ;π;6 ; 6 ;─ 6 ; 6
5
Placer sur le cercle trigonométrique les points d’abscisses curvilignes :
π kπ π π kπ π
a) 3 + 2 b) 6 + kπ c) ─ 3 + 2 d) 4 + kπ k entier relatif.
6
Placer sur le cercle trigonométrique les points d’abscisses curvilignes :
37π 18π
a) 100π b) 71π c) ─ 2 d) 4
7
Compléter le tableau suivant :
° 45 30 60 15 18 75 135
rad π π π π
2 3 5 8
° 120 150 180 90 225
rad π π 2π π 5π π
6 4 3 10 6
8
Pour chacune des mesures suivantes, on demande :
─ la mesure principale (en degré ou en radian, selon le cas) ;
─ la mesure dans [0 ; 2π [ (ou dans [0° ; 360° [ ) ;
─ la mesure dans ] ─ 2π ;0 [ (ou dans [─ 360° ;0° [ ) .
2008π 28π 27π 19π
1°) 3 ; 2°) 5 ; 3°) 4 ; 4°) ─ 3 ; 5°) ─ 270° ; 6°) ─ 18π ; 7°) 1440°;
π 5π 12π 23π
8°) ─ 2530° ; 9°) ─ 4 ; 10°) 6 ; 11°) 5 ; 12°) ─ 6 ; 13°) 210° ; 14°) ─ 375°;
15°) ─ 4512° ; 16°) 17π.
9
→ →
On considère un triangle ABC rectangle en C et tel que (AB , AC ) = 35°.
Soit O et A ' les milieux respectifs des côtés [AB] et [BC]. Trouver la mesure principale des angles
( ) ( ) ( ) ( )
uuur uuur uuur uuur uuur uuur uuur uuur
orientés : OB, OA′ , OC , OA′ , OA′, OC , OB , OC .
10
ABC est un triangle équilatéral direct. On construit à l’extérieur le carré ABED. Quelles sont les
mesures principales en radians des angles orientés suivants :
→ → → → → → → → → → → → → → → →
(AB , AC ), (AB , AD ), (BC , BE ), (CB , CE ), (EC , EB ), (BC , BD ), (CB , CD ), (EC , EA ) ?
11
On considère un losange ABCD dont les diagonales se coupent en O et tel que
→ →
(BA , BD ) = ─ 54° . Quelles sont les mesures principales en radians des angles orientés suivants :
→ → → → → → → → → → → → → →
(BA , BD ), (BC , BD ), (BD , BC ), (BA , BC ), (DA , DC ), (OC , OB ), (OA ,OC ) ?
13
On donne dans le plan orienté P , une demi-droite Ox.
1°) Construire les demi-droites Oy, Oz, Ot telles que :
2π 5π π
(Ox, Oy) = 3 , (Ox, Oz) = ─ 6 , (Ox, Ot) = 4 .
2°) Calculer la mesure principale en radians des angles orientés (Oy, Oz), (Oz, Ot), (Ot, Oy).
14
→ → π
On considère un carré ABCD tel que (AB , AD ) = 2 .
1°) Construire les demi-droites Ax, Cy et Cz telles que :
→ π → π → π
(AB , Ax) = 6 , (CB , Cy) = 6 et (CB , Cz) = ─ 6 .
2°) Ax et Cy se coupent en E. Démontrer que (Ax) et (Cy )sont orthogonales.
En déduire que le quadrilatère ABCE est inscriptible dans un cercle dont on précisera le centre et le
rayon.
3°) Ax et Cz se coupent en R. Démontrer que R est équidistant des points A et C. En déduire que les
points B, R, D sont alignés.
15
→ → π
On considère un rectangle ABCD tel que (AB , AD ) = 2 . On note α la mesure principale de l’angle
→ →
orienté (AB , AC ).
→ →
1°) Construire les demi-droites Dx et Dy telles que : (DA , Dx) = α et (DA , Dy) = ─ α.
2°) Démontrer que les droites (Dx) et (AC) sont orthogonales, et qu’il en est de même des droites (Dy)
et (DB).
3°) Les demi-droites Dx et Dy coupent respectivement (AC) en E et F.
Démontrer que la droite (BD) est tangente au cercle passant par les points D, E, F. Démontrer de
même que la droite (DF) est tangente au cercle circonscrit au rectangle ABCD.
4°) Exprimer en fonction de α la mesure des angles non orientés EDF, DFE, et DAE.
16
2
1°) Soit cos t = 4 et sin t < 0. Calculer sin t et tan t.
π 4
2°) Soit t ∈ ; π et sin t = 5 . Calculer cos t et tan t
2
π
3°) Sachant que t ∈ ; π et que tan t = ─ 3 , calculer cos t et sin t.
2
π 6 ─ π
, calculer sin ─ 12 et sin 12 .
2 23π
4°) Sachant que sin 12 = 4
π π
, calculer cos ─ 8 et cos 8 .
2+ 2 15π
5°) Sachant que cos 8 = 2
18
Démontrer que, pour tout réel t :
1°) (cos t + sin t)² = 1 + 2 cos t sin t 2°) (cos t ─ sin t)² = 1 ─ 2 cos t sin t
3°) (cos t + sin t)² + (cos t ─ sin t)² = 2 4°) (cos t + sin t)² ─ (cos t ─ sin t)² = 4 sin t cos t
4 4 4 4
5°) sin t ─ cos t = sin² t ─ cos² t 6°) sin t ─ cos t + 2 cos² t = 1.
19
Exprimer en fonction de sin t et cos t les expressions suivantes :
A = cos (t + π) + cos (t + 2π) + cos (t ─ π) + cos (t ─ 3π).
B = sin (t + π) + sin (t + 2π) + sin (t ─ π) + sin (t ─ 3π).
π
C = sin t + 2 + cos (t ─ π) + sin t + 2 + cos (t + π).
3π
D = sin 2 + t + cos 2 ─ t + sin (3π + t) ─ cos (7π ─ t)
3π 27π
20
Soit ABC un triangle isocèle à angles aigus (AB = AC = a ; A= 2α).
1°) Calculer BC.
2°) Calculer la hauteur BH de deux façons différentes et en déduire la relation :
sin 2α = 2 sin α cos α
3°) Calculer AH et CH et en déduire la relation : cos 2α = 1 ─ 2 sin² α.
21
Exprimer à l’aide de tan t les expressions :
3 3 2
sin t ─ cos t sin t + sint cos t
X = sin t ─ cos t ; Y = cos² t ─ sin t cos t ; Z= sin² t ─ cos² t
1 1 1 1 1
1°) Si a ― b = ab , que vaut a ― b ? 2°) Si a = b + c , que vaut c?
a8b6c4 ― a3 b2c
3°) Simplifier le quotient A = a10b8c6 ― a5 b4c3 , en précisant quand il est défini .
a b a2 + b2 a a2 + b2 a2 ― b2
4°) Montrer que si b = c , alors c2 + b2 = c et c2 + b2 + c2 ― b2 = 0 .
EXERCICE 2
1 3
2°) Vérifier, pour tout réel x, l’identité : x2 + x + 1 = (x + 2 )2 + 4 .
x3 + 2x2 + 2x + 1
En déduire l’ensemble de définition de la fraction Q = x3 + 1 , puis simplifier Q .
EXERCICE 3
1 2 1 2
a) a+ b = 2 (a + a ― b ) + 2 (a ― a ― b )
1 2 1 2
b) a― b = 2 (a + a ― b ) ― 2 (a ― a ― b )
2+ 3 ; 3― 5 ; 4+ 15
EXERCICE 1
3°) Résoudre dans ℝ l’équation d’inconnue x (2x + 3)3 + (3x ― 4)3 + (― 5x + 2)3 = 1.
DUREE : 2h30
3 2 5 ―2 ―3 2 ―2
B=
(― a) b 3 : [(― a ) b (― c ) ]
2 ―2 3 ―1
c [a ( ― b)( ― c ) ]
Montrer que, lorsque n est un entier relatif quelconque, C a une valeur fixe .
EXERCICE 1
a, b, c, a ', b ', c ', sont des nombres réels tels que : a2 + b2 + c2 = a ' 2 + b ' 2 + c ' 2 = 1 .
sont égaux .
EXERCICE 1
3 1 1 3
2°) En déduire une factorisation de (a ― 2 ) (a ― 2 ) ( a + 2 ) ( a + 2 ) + 1 , puis calculer a lorsque
3 1 1 3
(a ― 2 ) (a ― 2 ) ( a + 2 ) ( a + 2 ) = 25.
a a ―b b
1°) Comparer les réels et a ― b où a et b sont des réels strictement positifs.
a + b + ab
3 3 ―2 2 5 5 ―3 3 5 5 ―2 2
2°) En déduire l’égalité : + = .
5+ 6 8 + 15 7 + 10
DUREE : 2h
EXERCICE 1
→ 2 → → 2 →
1°) Construire les points Met N tels que : AM = ― 3 AB et AN = ― 3 AC .
EXERCICE 2
→ 2 → → 2 →
AM = 3 AB et CN = 3 CD .
→ → → →
Déterminer les réels a et b tels que : AE = a AC et AF = b AC .
EXERCICE 3
Soit ABC un triangle et un nombre x . A chaque valeur de x, on associe les points E et F tels que :
→ 1 → → → → 1 →
AE = 3 AB + x AC et AF = x AB + AC .
3
1
1°) Faire une figure lorsque x = ― 2 .
EXERCICE 4
5 x x
a) | 7 ― 5x | > 3 b) | 2x ― 3 | ≤ 2 c) | 3 ― 2 | = 3 + 6 d) | x ― 3 | ≤ ― 2x + 1 .
EXERCICE 5 (∗)
1°) a) Vérifier que pour tous réels strictement positifs a et x tels que : a > x, on a l’égalité :
x a+x + a―x
= 2 .
a+x ― a―x
b) En déduire que pour tous réels strictement positifs a, m et p tels que :a > m > p, on a :
m p
<
a+m ― a―m a+p ― a―p
1 1 1 2 1 1
2°) Simplifier l’expression : (a + b)2 a2 + b2 + (a + b)3 a + b
1°) Après avoir précisé la condition de son existence, simplifier l’expression suivante :
a2 b2 c2
A = (a ― b) (a ― c) + (b ― c) (b ― a) + (c ― a) (c ― b)
x2 + 1
2°) Soit f (x) = x . Montrer que : f [ 21 a
b ―
b
a ] = aa―+ bb
( on supposera a et b positifs et distincts) .
EXERCICE 2
1°) Sachant que 12,53 est une valeur approchée de x à 2.10―3 près, et 7,8 une valeur approchée de y
x2 ― 1
à 3.10―2 près, encadrer : x + y, x ― y, 2y .
2°) Donner des valeurs approchées de x + y et x ― y en précisant l’incertitude sur chacune de ces
deux expressions.
EXERCICE 3
x2 + y 2
1°) Démontrer que , quels que soient les réels x et y, on a : x y ≤ 2 .
2°) On pose : a = x y , b = y z et c = z x .
En appliquant l’inégalité de la première question à a, b et c, montrer que, quels que soient les réels x,
y et z on a : x y z (x + y + z) ≤ x2 + y2 + z2 .
b) ―2 x2 + 13 x ― 20 = ― 2 ( x ― 3)2 + ( x ― 3) + 1 .
x3 + 7x2 + 17x + 15
Q (x) = ―2 x2 + 13 x ― 20 lorsque ―1 ≤ x ≤ 2 .
II. GEOMETRIE
EXERCICE 5
→ 3 → → 3 → → 2 →
AI = 8 AD , BJ = 4 BC et CK = 3 CD .
→ → → →
2°) Exprimer les vecteurs IB et KJ en fonction de AB et AD .
EXERCICE 6
→ → 1 →
Soit ABCD un parallélogramme. On considère le point E défini par : CE = DA ― 2 AB
EXERCICE 7
→ → → → → → → → →
MB + k MC = (1 + k) MA' ; MC + k MA = (1 + k) MB' ; et MA + k MB = (1 + k) MC'
2°) Soit G le centre de gravité du triangle ABC . En prenant M = G et en utilisant les trois égalités
→ → → →
précédentes, démontrer que : GA' + GB' + GC' = 0 .
EXERCICE 8
→ → → → → →
x AI + (1 ― x) BI = 0 ; y BJ + (1 ― y) CJ = 0 ;
→ → → → → →
x CK + (1 ― x) DK = 0 ; y DL + (1 ― y) AL = 0 .
1°) Sur deux figures différentes, construire ABCD ainsi que les point I, J, K et L dans les cas suivants :
1 2
a) x = 2 et y = ― 1 b) x = 3 et y = 3 .
→ → → → → →
2°) Calculer en fonction de OA , OB , x et y chacun des vecteurs OI , OJ , OK , OL .
N.B. Ceci était un sujet de composition pour plusieurs classes. On peut soit traiter les exercices 1, 2, 5 ,
6 et 7 , soit traiter les exercices 1,3, 5, 6, et 8 .
DUREE : 4h
(0,09) ―3 × (0,16)2 × 25
A= .
(0,0075) ―1 × 8103
a8 × (b2 c3 d― 1) 5
2°) Simplifier l’expression suivante : B = ― b4 c2 (a d― 2 )3 .
EXERCICE 2
b) On pose : n(n + 1) = a .
EXERCICE 3
1°) Calculer A × B .
2°) On pose X = A + B et Y = A ― B .
b) Calculer X2 et Y2 .
a―b a + b
a) Montrer que : = .
a ― b a―b
b) Montrer que : ( a + a2 ― b2 ― a ― a2 ― b2 )2 = 2 (a ― b) .
EXERCICE 5
a b c d
Montrer que si a , a ' , b, b ' , c et c ' sont positifs et tels que : a' = b' = c' = d' , alors:
EXERCICE 6
C = 4x2 y2 ― ( x2 + y2 ― z2 )2 .
a b c
D = (a ― b) (a ― c) + (b ― c) (b ― a) + (c ― a) (c ― b)
DUREE : 2h30
Soit f (x) = | 2x ― 4 | ― | x ― 1 |
EXERCICE 2
2°) Trouver a et b tels que l’intervalle [a ; b ] ait pour centre 5 et pour rayon 2 .
EXERCICE 4
1°) a) Calculer A = (2 3 ― 3 2 )2 et B = (5 3 ― 3 5 )2 .
2 3 ―5 2 3 +5
2°) Montrer que + est un nombre rationnel .
2 3 +5 2 3 ―5
3°) Soient a et b deux réels tels que que a > b > 1 . On pose :
A= a ― a ― 1 et B = b ― b ― 1
1 1
b) Comparer A et B ( on pourra introduire les expressions conjuguées de A et B ) .
→ → → →
1°) Construire le point M tel que : AM = AB + AC ― BC .
→ → → →
2°) Construire le point N tel que : AN = AB ― AC + AD .
→ → →
2°) Démontrer que : NM = AC + DB .
EXERCICE 5
→ → → → → →
1°) Construire les points S et T tels que : OT = OE + OF et OS = OG + OH .
→ → →
2°) a) Prouver que : OT + OS = 0 .
DUREE : 2h
Sachant que : ― 1,5 < x < ― 0,75 et 0,53 < y < 1,27 , encadrer
x
x + y, y ― x, xy et y .
EXERCICE 2
3+ 5 3― 5
Soit A = + . Calculer A2. En déduire une
3― 5 3+ 5
expression simple de A.
EXERCICE 3
3 3
Comparer : et .
1 + 10 7 1 + 8 11
EXERCICE 4
810 + 410
Simplifier : 84 + 411 .
EXERCICE 5
x+y
Montrer que, pour tous réels positifs x, y, z , on a : 2 ≥ xy .
DUREE : 2h
2x + 1 2x ― 3
1°) Résoudre dans ℝ les équations suivantes : a) | x + 1 | + | ― x + 3 | b) x + 2 = x ― 1 .
EXERCICE 2
1 n―1 n+1
1°) Démontrer que , pour tout entier naturel non nul : 1 ― n2 = n × n .
1 ― 1 1 ― 1 1 ― 1 …….1 ― 1 1 ― 1 .
22 32 42 192 202
EXERCICE 3
→ →
Comparer les vecteurs BB' et DD' .
→ → → →
2°) ABCD est un parallélogramme, E et F sont tels que : AD = DF et AB = BE
3°) ABCD est un quadrilatère. A ', B ', C ', D ' sont les milieux respectifs des segments [AB] , [BC] ,
[CD] et [AD] . Démontrer que A 'B 'C 'D ' est un parallélogramme.
EXERCICE 4
→ → →
Démontrer que 2 IJ = AD + BC .
→ → →
2°) P et Q sont tels que : AP = PQ = QD .
→ → →
R et V sont tels que : BR = RV = VC .
→ → →
P et Q sont tels que : IS = SK = KJ .
EXERCICE 5
1 1 1
2°) Comparer a + b et 1 + ab .
DUREE : 2h
Dans un triangle ABC , on désigne par M le milieu de [AB] , par celui de [MC] et K le point tel que :
→ 1 →
CK = 3 CB .
→ 1 → 1 → → 1 → 2 →
1°) Montrer que AI = 4 AB + 2 AC et AK = 3 AB + 3 AC .
2°) En déduire que les points A, I, K sont alignés.
EXERCICE 2
Soit un triangle ABC et un point M quelconque. On désigne par B ' et C ' les milieux des côtés [CA] et
[AB] .
→ → → →
1°) Construire les points P et Q définis par : MP = 2 MB' et MQ = 2 MC' .
EXERCICE 3
→ 2 → → 2 →
AM = 3 AB et CN = 3 CD .
→ → → →
Déterminer les réels α et β tels que : AE = α AC et EF = β AC .
EXERCICE 4
DUREE : 2h
EXERCICE 1
1°) Etudier le signe, puis calculer les carrés des réels suivants :
X= 5 ― 6 ;Y= 5 ― 2 ; Z= 6 + 2 .
A= 11 ― 2 30 , B= 7― 2 10 , c = 2+ 3 .
a b c
A +B +C =0.
EXERCICE 2
x, y et z sont des réels proportionnels aux réels a, b, c .on suppose que x , y, z , a, b , c sont tous strictement
positifs . Montrer que :
ax + by + bz = (x + y + z) (a + b + c) .
EXERCICE 3
1 1 1
1°) Vérifier l’égalité : x(x + 1) = x ― x + 1 pour tout entier naturel non nul x .
1 1 1 1 1
S= + + + ………+ + .
1×2 2×3 3×4 1998 × 1999 1999 × 2000
EXERCICE 4
20 20 20 20
Simplifier les produits : ( 1 + 2 ) ( 1 ― 2 ) et ( 2 + 3 ) ( 2 ― 3 ) .
II. GEOMETRIE
EXERCICE 5
Soit un triangle ABC . On désigne par A ', B ' et C ' les milieux respectifs de [BC] , [CA] et [AB] .
→ → → → →
Exprimer en fonction de AB et AC les vecteurs IE , IF et EF .
→ →
2°) Soit J le milieu de [EF] . Démontrer qu’il existe un réel k tel que : IJ = k BC .
EXERCICE 6
→ → → →
Soit ABC un triangle, E et D sont les points définis par : BA + BC ― BD = 0 et
→ → → → →
EA + EB + 5 EC + ED = 0 .
→ → →
2°) Construire le point F tel que 3 FB ― 4 FE = 3 FD .
3°) La droite (AB) coupe la droite (EF) en G . Montrer que E est le milieu de [FG] .
DUREE : 4h
B = a4 + b4 + a2 b2 .
EXERCICE 2
1°) a) Démontrer que , quels que soient les réels x et y strictement positifs, on a :
1 1 x+y 11 1
2 2 ≤
x + y 2 xy et 2
x +y 2 ≤
2 x + y .
a+ b b+ c a+ c 1 1 1
a+b + b+c + a+c ≤ a + b + c .
2°) Sachant que 17,31 est une valeur approchée de x à 5 × 10― 3 près et que 123,2 est une valeur
approchée de y à 2 × 10― 1 près, encadrer x et y, puis x + y et x ― y .
EXERCICE 3
→ 3 → → 3 → → 2 →
AE = 8 AD ; BF = 4 BC ; et CG = 3 CD .
→ → → →
1°) Exprimer les vecteurs EB et GF en, fonction de AB et AD .
EXERCICE 4
ABC est un triangle, A ' est le milieu de [BC], B ' le milieu de [AC ] et C ' le milieu de [AB] .
→ → → →
1°) Montrer que AA' + BB' + CC' = 0 .
→ → → →
2°) I est un point quelconque , J est le point tel que IJ = CC' , et K le point tel que IK = B'B .
DUREE : 3h
a 1 1
Encadrer a + b , a ― b , ab , b et a ― b .
EXERCICE 2
1 1 x+y 11 1
1°) Démontrer que : x2 + y2 ≤ 2 xy et que : x2 + y2 ≤ 2 x + y .
EXERCICE 3
EXERCICE 4
Soient x et y deux réels tels que 0 < x < y et a et b deux réels strictement positifs .
x ax + by y
Démontrer que : y < bx + ay < x .
EXERCICE 5
DUREE : 2h
On donne A = 2 + 3 et B = 2― 3 .
1°) Calculer A × B .
2°) On pose X = A + B et Y = A ― B . Vérifier que X > 0 et Y > 0 .
Calculer X 2 et Y 2 . En déduire X et Y .
EXERCICE 3
On considère dans un plan P un parallélogramme ABCD et à l’extérieur de P un point O .
1°) Déterminer l’intersection des plans (OAD) et (OBC) ; des plans (OAC) et (OBD) .
2°) Soit Q un plan parallèle à P .Q coupe (OA), (OB), (OC) et (OD) en A ', B ', C ' et D ' respectivement.
Montrer que A ' B ' C ' D ' est un parallélogramme .
EXERCICE 4
ABCD est un parallélogramme et S un point de l’espace extérieur au plan (ABC). Soit Δ une droite
strictement parallèle à (AB) et incluse dans (ABC) .
A ' est un point de [SA] distinct de S et A.
Etudier la position relative du plan Q défini par A ' et Δ avec les plans (SAB) ; (SBC) ; (SAD) et (SDC) .
Construire les intersections éventuelles de ces plans avec le plan Q.
DUREE : 2h
EXERCICE
1°) Construire les points D et E tels que : ABCD soit un parallélogramme et E soit le symétrique de A
par rapport à D .
2°) On désigne par O le centre de ABCD et par I le milieu de [DC] ;(AI) coupe (BD) en J et la parallèle à
à (BC) passant par J coupe (AB) en K . On note H le milieu de [JK] .
→ → →
b) Exprimer AJ en fonction de AC et AD .
→ 1 → → →
c) Montrer que AK = 3 AB (on pourra, en le justifiant, utiliser l’égalité 3 MJ = MC , où M désigne le
milieu de [AD] ) .
→
d) Des questions précédentes, déduire l’expression de AH . Que peut-on en conclure ?
PROBLEME
Soit un triangle quelconque ABC. P,Q, et R sont les points définis par :
→ → → → → → → → →
a RA + (1 ― a) RB = 0 ; b QA + (1 ― b) QC = 0 ; b (1 ― a) PB ― a (1 ― b) PC = 0
1 1
1°) a) Construire les points P, Q et R dans le cas où a = 2 et b = 3 .
3 1
b) Sur une autre figure, construire P, Q , R dans le cas où a = 4 et b = 2 .
→ → → → →
2°) Dans le cas du 1.a , exprimer en fonction de AB et AC les vecteurs AR , AP et AQ .
3°) a) Dans le cas du 1.a , construire les points A ' B ' et C ' tels que AR A ' Q , QCP C ' et RBP B ' soient
des parallélogrammes .
uuuuur → → uuuur → →
b) Montrer que A′C ′ = RA + CP et A′B′ = QA + BP .
uuuuur uuuur
c) En déduire que : 4 A′C ′ = 3 A′B′ . Que peut-on en conclure ?
ALGEBRE
EXERCICE 1
3+a 3―a 3
Simplifier l’expression A = + : 1 + 2 : 2 − 1
3 ―a 3 +a a
EXERCICE 2
Soient a, b, c trois réels non nuls et distincts deux à deux tels que a + b + c = 0 .
a c ― a a ― b 2a2
1°) Montrer que b ― c b + c = bc
a3 + b3 +c3
Déduire du 1° que E = 3 + 2 abc
EXERCICE 3
1 1
b) On suppose que x2 + y2 = 1 . Démontrer que ― 2 ≤ xy ≤ 2 .
a) Démontrer que x2 + y2 + z2 ≥ xy + yz + zx .
1
b) On suppose que x2 + y2 + z2 = 1 . Démontrer que ― 2 ≤ xy + yz + zx ≤ 1 .
EXERCICE 4
a, b, c, d sont des réels quelconques . Montrer que ab + cd ≤ (a2 + c2) (b2 + d2) .
DUREE : 4h
(x y −2 )
2 −5
A=
( z −2 y −3 )−2
EXERCICE 2 :(2,5points)
Les dénominateurs étant supposés non nuls, écrire plus simplement possible les nombres
suivants :
1 2a − 1 2a 3a ² + 3ax a ² − ax
A= + − ; B= +
2a (2a − 1) 2a 2a − 1 a ² − x² a ² − 2ax + x ²
EXERCICE 3:
P1 (4points)On pose A = 46 + 6 5 et B = 46 − 6 5
X=A+B ; Y= A- B
X +Y
3) a) Démontrer que A = et en déduire B en fonction de X et Y.
2
1 1 1 1
c) Calculer + et − .
A B A B
1 1
1) Démontrer l’identité x+ y = ( x + x² − y ) + ( x − x² − y ) .
2 2
10 + 2
2) En utilisant la question 1) montrer que : 3 + 5 =
2
x+ y
P3 (2 points) 1) Soit x et y des réels strictement positifs .Prouver que xy ≤
2
a) 8 x y z ≤ (x + y) (y + z) (z + x)
ABC un triangle.
uuur uuur r uuur uuur r
On définit les points E, F et I tels que : 5 EB + 2 AE = 0; 3BF − 2 BC = 0 et I milieu de [ EF ]
.
EXERCICE 6 : ( 6 points)
Soit IJK un triangle .On note A le symétrique de K par rapport à J ; B le symétrique de I par rapport
à K et enfin C le symétrique de J par rapport à I.
uuur uuur uur
1) a)Exprimer le vecteur AK en fonction des vecteurs AB et AI puis
uur uuur uuuur
AI en fonction des vecteurs AJ et AC.
( )
uuur 2 uuur uuur
c) En déduire des résultats précédents que : AK = 2 AB + AC .
7
uuur 1 uuur
2) Soit P le point défini par : BP = BC . Placer le point C et exprimer
3
uuur uuur uuur
AP en fonction de AB et AC.
uuur 1 uuur
4) Soit Q le point défini CQ = CA
3
uuur uuur uuur
a)Exprimer le vecteur BQ en fonction des vecteurs BA et BC puis
uuur uur
BK en fonction des vecteurs BI .
uuur uuur uuur
b) Exprimer le vecteur BK en fonction des vecteurs BA et BC .
( )
uuur 1 uuur uuuuur
c) En déduire des résultats précédents que : BK = 2 BA + 2 BC .En déduire de même
7
que les points B,K ,I, Q sont alignés.
EXERCICE 5 : (4 points) ABCDEFGH est un cube. M milieu de [EF] , N milieu de [HG] , L milieu de
[AB].(P) le plan (CMN) (figure1)
EXERCICE 6 :(5points) ABCDEFGH est un prisme à base rectangulaire. Sur le segment [BF], on
construit les points M et N distincts de B et F et dans l’ordre B, M ,N ,F. (figure 2)
2) Montrer que le plan (NHG) et (MAD) sont sécants suivant une droite (∆) que l’on précisera.
H
G
E
F J
D
C
A
I B
Figure 2 Figure 1
N.B. Ceci était un sujet de composition pour plusieurs classes .La partie algèbre était commune à
toutes ces classes. Pour la partie géométrie, on peut traiter au choix les deux exercices de géométrie
plane ou les deux exercices de géométrie dans l’espace .
DUREE : 4h
Soient A, B et C trois points non alignés tels que AB = 6 cm, BC = 3 cm ; i le barycentre du système {(A
, 1 ) ( B , 2 ) }, J le barycentre de { (A , 1 ) ( B , 2 ) (C , 3 ) } .
1°) Construire I et J .
→ → → →
a) MA + 2 MB + 3 MC est colinéaire à AB .
→ → → → →
b) ║ MA + 2 MB + 3 MC ║ = ║ 2 MA + 4 MB ║
→ → → →
c) ║ MA + 2 MB ║ = ║MA ― MB ║
EXERCICE 2
Démontrer que les triangles ABC et A ' B ' C ' ont même centre de gravité .
EXERCICE 3
Soit un triangle ABC .D est le barycentre de {(B , 2 ) ( C , 1 ) } .La parallèle à (AB) passant par D coupe
(AC) en M et la parallèle à (AC) passant par D coupe (AB) en N .
→ → → → → →
1°) Exprimer BD en fonction de BC , puis MA et AN en fonction de AB et AC .
a) Etudier, suivant les valeurs de m, l’existence et le signe des solutions de cette équation .
DUREE : 2h
3°) L étant le milieu de [CI] et M celui de [KC], démontrer que IJML est un parallélogramme dont le
centre G est l’isobarycentre de ABC .
EXERCICE 2
a) ( 4x2 ― 11x + 31 )2 = ( x2 + x + 19 )2
( x2 + x ― 2) ( ― x2 ― 5x + 6)
c) x2 ― 36 ≥0.
c) ait deux solutions strictement positives . d) ait deux solutions de signes contraires .
EXERCICE 3
→ → → →
Exprimer ― 2 MA + MB + 4MC en fonction de MD .
→ → → → → →
║ ― 2 MA + MB + 4MC ║ = ║ MA + MB + MC ║ .
EXERCICE 4
Soit un trapèze convexe ABCD de bases [AB] et [CD] . Les diagonales se coupent en I . on projette I
sur (AB) en A ' parallèlement à (AD) , en B ' parallèlement à (BC) .
2°) Démontrer que A ' et B ' ont la même abscisse respectivement dans les repères (A , B) et (B , A) .
PM
(M, P, Q alignés) alors t = .
PQ
DUREE : 2h
→ → → →
f(M) = 2 MA ―3 MB + MC .
→ →
1°) N désignant un point quelconque du plan, prouver que : f(M) = f(N) .
→ →
2°) Construire G1 barycentre de {(B , ― 3 ) ( C , 1 ) } . Montrer que : f(M) = 2 G1 A .
→ →
3°) Construire G2 barycentre de {(A , 2 ) ( C , 1 ) } . Montrer que : f(M) = 3 BG2 .
Montrer que les droites (AG1 ) , (BG2) , (CG3 ) sont parallèles . En déduire une construction de G3 .
EXERCICE 2
b) x4 ― 3x2 ― 4 = 0
3x ― 2 3x ― 2
c) x ― 1 2 ― 3 x ― 1 ― 4 = 0
EXERCICE 3
1°) Soient, dans le plan muni d’un repère orthonormé, les points K( ― 8, 9) et L( 7 , ― 2) .
→ →
2°) ABCD est un parallélogramme . On considère le repère ( A, AB , AD ).
→ 1 →
Soit E le point tel que AE = 3 AC .
DUREE : 2h
2 2 2x2 + 3x ― 5
a) | 3x + 3x ― 3| = | x + x + 1| b) ― 2x2 ― 10x ― 12 ≤ 0 .
EXERCICE 2
EXERCICE 3
Soient A, B, C trois points du plan non alignés , G barycentre du système {(A, 2)(B,1)(C,3)}.
et E barycentre de {(A , 2 ) ( B , 1 ) } .
1°) a) Construire E .
→ → → →
2°) Soit u = 2 MA + MB + 3 MC .
→ →
a) Exprimer u en fonction de MG .
→ →
b) Trouver l’ensemble des points M du plan tels que u soit colinéaire au vecteur BC
→ → →
c) Soit C l’ensemble des points M du plan tels que ║ 2 MA + MB + 3 MC ║ = 18 cm .
Déterminer C et la représenter .
EXERCICE 4
→ →
2°) a) Exprimer AB en fonction de AC .
→ 2 →
b) En utilisant le théorème de Thalès, en déduire que BO = 5 CD .
→ →
c) Exprimer CB en fonction de CA .
→ →
d) Exprimer BO en fonction de AG .
→ →
e) Comparer CO et CG . En déduire que C, O, G sont alignés .
→ → → → → →
3°) Soient les vecteurs i et j définis par : i = AB et j = AG .
→ →
a) Montrer que les vecteurs i et j forment une base du plan .
→ →
b) Donner les coordonnées des points A, B, C, D, E, F, G dans le repère ( A, i , j )
DUREE : 3h
1°) Construire K barycentre de {(B , 2 ) ( C , ― 1)} . Montrer que B est le milieu du segment [KC] .
→ → →
b) Montrer que 4 IO ― IC = 0 .
d) Soit J le centre de gravité du triangle DBC . Montrer que O est le milieu de [IJ] .
EXERCICE 2
1 5
a) 7x2 ― 12x + 5 = 0 ; b) 4x2 + 3x + 1 = 0 ; c) 2 x2 ― 2 x ― 12 = 0 ;
x 3 5
d) ( 2x2 + 3x + 7)2 = (x2 ― 4x + 1)2 e) 3 + x = 2
2°) Résoudre l’équation : x2 + 5x ― 36 = 0 , puis en déduire les solutions des équations suivantes :
a) x4 + 5x2 ― 36 = 0
2x + 1 2x + 1
et x ― 3 2 + 5 x ― 3 ― 36 = 0 .
EXERCICE 3
Sans calculer le discriminant Δ , montrer que l’équation ( E ) admet deux solutions distinctes x1 et x2,
1 1
puis en déduire x1 + x2 , x1x2 , x12 + x22 et x + x (Il n’est pas demandé de calculer x1 et x2 .)
1 2
a) x + y = ― 3 b) x + y = 19
xy = ― 28 x2 + y2 = 193
EXERCICE 5
DUREE : 2h
D ': x = 1 ― at (t ∈ ℝ )
y = b + 3t
1°) Déterminer un couple (a , b) tel que : D //D ' .
EXERCICE 2
→ → → →
E et F sont les points tels que : AE = a AB et AF = b AD .
→ →
On considère le repère ℛ = ( A, AB , AD ) .
2°) Déterminer une condition sur a et b pour que (FG) // (EH) , puis montrer
qu’avec cette condition, on a : (FG) // (AC) et (EH) // (AC) .
4°) Déterminer une condition sur a et b pour que (EF) // (GH) , puis montrer
que, dans ce cas, on a : (EF) // (DB) et (GH) // (DB) .
a=b
7°) Montrer qu’alors E et G sont les milieux respectifs de [AB] et [CD] , et que
les parallélogrammes ABCD et EFGH ont même centre .
DUREE : 2h
→ → → → → →
CR = ― α CB , CQ = α CA , AP = α AB
2°) Déterminer dans le repère (A, B, C) les coordonnées des points P, Q, R en fonction de α .
→ → → →
3°) Exprimer dans la base ( AB , AC ) les coordonnées des vecteurs PQ et PR à l’aide de α .
5°) Faire la figure dans ce cas et montrer que Q est alors le milieu de [PR] .
EXERCICE 2
→ →
1°) Déterminer le point E de l’axe (y ' O y) tel que AB et CE soient colinéaires .
→ →
2°) Déterminer le point F tel que BF et AC soient colinéaires et que le milieu du segment [BF] soit
sur l’axe (x ' O x) .
→ →
3°) Déterminer le point K dont les deux coordonnées sont égales et tel que BK et CA soient
colinéaires .
→ →
4°) Déterminer le point H tel que CH et AB soient colinéaires et que le milieu du segment [CH]
EXERCICE 3
Soit ABCD un carré dont le côté mesure 4 cm . On construit à l’intérieur du carré le triangle
équilatéral ABE et à l’extérieur du carré le triangle équilatéral BCF .
→ → → →
2°) Exprimer les vecteurs AE et AF en fonction de AB et AD .
→ →
3°) Quelles sont les coordonnées des points D, E et F dans le repère ( A, AB , AD ) .
EXERCICE 4
Mettre sous forme canonique chacun des trinômes du second degré suivants :
1
A = 2 x2 + x ― 4 B = 3(x + 1)2 ― x C = 4 2 x ― x2 ― 8
1 1 1
D = 2 x2 ― 6x + E = ― 3 x2 + x ― 5 F = (2x ― 5)(2x + 5)
2
DUREE : 2h
1 1 1
x2 + y2 = 117 +
x y = ― 6
+ = ( poser X =
4 2 2
a) 2x ― 5x ― 3 = 0 ( poser X = x ) b) )
2x −1 2x −1 4 2x −1
(x2 + x ― 2) (― x2 ― 5x + 6)
x2 ― 36 ≥0.
EXERCICE 2
→ →
Le plan P est muni d’un repère ( O, i , j ) ; m étant un paramètre réel, on considère l’ensemble
1°) Vérifier que, pour tout nombre m, l’ensemble ( Dm ) est une droite dont on précisera un vecteur
directeur .
1
b) Soit ( D' ) la droite dont une représentation paramétrique est : x=―2+2 t
y=―t
c) Déterminer ( D3 ) ∩( D' ) .
→ 1 → → 1 → → 4 →
CP = 3 CA ; AQ = 3 AB ; BR = 5 BC .
→ → →
3°) Démontrer que : BA + 2 BC = 3 BP .
→ → →
5°) Démontrer que : CB + 2 CA = 3 CQ .
→ →
6°) Les points B, I, P sont alignés . Donc il existe un réel h tel que : BI = h BP .De même, il existe un
→ →
réel k tel que CI = k CQ .
→ → → → →
Démontrer que : 3 CI = ― 3k BC + 2k BA = (2h ― 3) BC + h BA .
Calculer alors h et k .
→ → →
7°) Montrer que : 7 CI = 2 CA + CB . En déduire que I est barycentre de {(A , 2 ) ( B , 1 ) (C , 4) } .
DUREE : 3h
3x2 ― 4x ― 4
3°) (1 ― 2x) (― 2x2 ― 3x ― 1) > 0 4°) ― x2 + 5x ― 4 ≤ 0 .
EXERCICE 2
→ → → →
b) Exprimer E'G et E'F à l’aide de AB et AC .
→ → → →
4°) On désigne par C l’ensemble des points M du plan tels que : ║3MB + MC ║= ║3 MB ― 3MC ║
EXERCICE 3
Soit ABCD un rectangle tel que : AB = 8 et BC = 5 , l’unité étant le centimètre . Les points E, F, G, H
→ 3 → → 2 → → 3 → → 2 →
sont définis par : AE = 8 AB ; BF = 5 BC ; CG = 8 CD ; DH = 5 DA .
→ →
2°) Justifier que ( A, AE , AD ) est un repère .
4°) Déterminer, dans ce repère, une équation cartésienne de la droite (BE), puis un système
d’équations paramétriques de la droite (FH) .
5°) Démontrer, à l’aide des coordonnées calculées au 3°, que le quadrilatère EFGH est un
parallélogramme .
EXERCICE 4
b) Déterminer les dimensions d’un rectangle qui a pour aire 144 m2 et dont la longueur surpasse la
largeur de 7 m .
3°) Soit ABC un triangle rectangle en A ; les côtés de l’angle droit [AB] et [AC] mesurent
respectivement 10 cm et 4 cm .
On appelle D un point du segment [AB] et E un point du segment [AC] tels que BD = 2AE .
25
b) Existe-t-il des valeurs de x pour lesquelles A (x) , exprimée en cm2 , est égale à 4 ?
25
c) Démontrer que, pour tout nombre réel x de l’intervalle [0 ; 4] , A (x) est inférieure ou égale à 4 .
EXERCICE 5
EXERCICE 6
→ →
Dans le repère ( O, i , j ) , A, B, C, ω ont pour coordonnées A(1, 2) ; B(3, 0) ; C(0, ― 1) ; ω (2, 1)
→ →
1) dans le repère (ω , i , j )
→ →
2) dans le repère (O, 2 i , j )
→ →
3) dans le repère (ω , ― i , 2 j )
DUREE : 4h
x 5 5 ― 2x
a) (2x2 ― 2x 5 + 1) ( ― 2x2 ― 9x + 5) = 0 b) x +2 ― x2 ― x ― 6 = x ― 3
(x + 1) (2x2 + x ― 1) 3x2 ― 6x + 4
a) ― x2 + 3x + 10 ≤ 0 b) 2x2 ― x ― 1 > 2 .
a) x2 + y 2 = 5 b) 2x2 + x ― 1 > 0
x + y = 13 x2 ― 3x ― 10 < 0
EXERCICE 2
EXERCICE 3
→ 3 → → 2 →
Soit ABC un triangle . Soient I et J les points définis par : AI = 4 AB et AJ = 3 AC .
En déduire que K est le barycentre de {(B , b ) ( C , C ) } et donner la position de K sur la droite (BC) .
EXERCICE 4
→ → → →
Soit ( i , j ) une base du plan , U et V deux vecteurs définis par leurs coordonnées respectives (1
→ →
, 1) et (1 , ― 1) dans la base ( i , j ) .
→ →
1°) Montrer que ( U , V ) est une base .
→ → → →
2°) Exprimer i et j en fonction de U et V .
→ → →
3°) Soit W le vecteur de coordonnées (3 , 1) dans la base ( i , j ) .
→ → →
Déterminer les coordonnées de W dans la base ( U , V ) .
→ → →
4°) Soit T le vecteur de coordonnées (x , y) dans la base ( i , j ) .
→ → →
a) Exprimer le vecteur T en fonction des nombres x et y et des vecteurs U et V .
→ → →
b) Soit (X , Y) les coordonnées du vecteur T dans la base ( U , V ) .
Exprimer X et Y en fonction de x et y .
→ → →
b) Soit (X , Y) les coordonnées du vecteur T dans la base ( U , V ) .
Exprimer X et Y en fonction de x et y .
EXERCICE 5
On considère un trapèze ABCD de côtés parallèles [AB] et [CD] tel que DC = 3 AB . (AB = 2 cm)
Soient I et J les milieux respectifs des cotés [AB] et [CD] , E le point d’intersection des diagonales (AC)
et (BD) , F le point d’intersection des droites (AD) et (BC) .
EXERCICE 6
→ →
Le plan est muni d’un repère ( O, i , j ) .
Dans chacun des cas suivants, déterminer un système d’équations paramétriques de la droite D .
DUREE : 4h
EXERCICE 2
ABCD est un quadrilatère convexe tel que [AB] et [CD] soient non parallèles . On note A0 , A1 , B0 , B1 ,
les milieux respectifs de [BC] , [AD] , [AC] et [BD] .
2°) Soit M un point de [CD] . Montrer que (A0 A1) passe par le milieu m de [AM] et que
3°) En déduire que si M est un point de [CD] , et N un point de [AB , alors le milieu I de [MN] est sur la
droite (mm ' ) .
DUREE : 2h
1 2b a+b
C = a(a + b) + a(a² ― b²) ― ab(a ― b)
EXERCICE 2
1°) Déterminer le signe, puis calculer les carrés des réels suivants:
X= 5 ― 6; Y= 5 ― 2 ; Z= 6 + 2
A= 11 ― 2 30 , B= 7― 2 10 , c = 2+ 3 .
a b c
3°) Trouver trois nombres réels non nuls tels que : A +B +C =0.
EXERCICE 3
a c
a, b, c et d sont des réels strictement positifs tels que b = d . Démontrer les égalités :
2a² + 3b² b
1°) ab + cd = (a +c) (b + d) 2°) 2c² + 3d² = d
EXERCICE 4
→ 1 → → 2 →
ABCD est un parallélogramme, E et F les points définis par : AE = 3 AC et AF = 3 AC .
→ → → →
1°) Exprimer DE et BF en fonction de AB et AD .
En déduire que (DE) est parallèle à (BF).
2°) (DE) coupe(AB) en J ; (BF) coupe (CD) en I.
Démontrer que I et J sont les milieux de [AB] et [DC] et que (IJ) est parallèle à (AD).
Montrer que IEJF est un parallélogramme.
3°) (DE) coupe (BC) en G. Montrer que B est le milieu de [CG] et J le milieu de [DG]0
→ 2 →
4°) Montrer que DE = 3 DJ .
Préciser la position de E par rapport aux points D et G.
DUREE : 2h
→ →
Soit une base ( i , j ) du plan.
→ → → →
1°) Déterminer le réel m pour que les vecteurs w = 2 u ─ v et j soient colinéaires sachant
→ → → → → →
que u = 2 i + 7 j et v = m i + (m ─ 1) j .
→ →
2°) Exprimer alors w en fonction de j .
EXERCICE 2
→ →
Dans le repère ( O, i , j ) , on considère les points A (1,2) ; B (4,2) et C (2,6) .
I est le milieu de [BC]. J, K et L sont les points tels que ACIJ, AKCB et AILB soient des
parallélogrammes. Calculer les coordonnées de I, J, K et L.
Préciser la position des points K, J et L.
EXERCICE 3
→ →
Dans le repère ( O, i , j ) , on considère les points A (2,4), B (1,2), C (5,y) et D (x,2) .
Montrer qu’on peut déterminer x et y tels que ABCD soit un rectangle.
Déterminer les coordonnées de son centre.
EXERCICE 4
ABC est un triangle. E = SB(A) ; D = SC(A) ; F est le milieu de [BD] et G celui de [CE] . On considère le
→ →
repère (A, AB , AC ) .
1°) Donner les coordonnées des points A, B, C, D, E, F, G.
2°) Ecrire les systèmes d’équations paramétriques des droites (AF), (AG) et (BC).
En déduire les coordonnées des points M et N d’intersection de (BC) avec respectivement (AF) et
(AG).
→ → →
3°) I est le milieu de [CD] et J celui de [BE]. Montrer que : IF = FG = GJ .
4°) Soit K le milieu de [AF]. Calculer les coordonnées de
K et montrer que les points K, N, J sont alignés.
5°) Donner un système d’équations paramétriques des droites (CE) et (BD) ; en déduire les
coordonnées de leur points d’intersection P.
Montrer que (MP) // (AB) .
DUREE : 2h
(%,%ƒ)G × „I × }H
(4ƒ)E ×(4„)J ×{G
2°) Simplifier B =
5°) Soit C = ― 5u + 3. Encadrer C sachant que ― 3,58 est une valeur approchée de u à 0,01
près.
EXERCICE 2 (5 points)
1°) Compléter le tableau suivant :
En termes de
1 |5 − | ≤ 3
valeur absolue distance intervalle encadrement
2 d (x ; ― 4) > 2
3 x ∈ •2 ; 4‘
4 ― 2≤x≤2
5
est un réel positif. Prouver que l’on a : 0 ≤ X ≤ 2 .
1
'"5²
2°) On pose X = où
EXERCICE 3 (6 points)
ûûûûûû÷ = ' ùú
ù ü = < ûûûûû÷ üù et ûûûûû÷ ûûûûû÷
Soit A, B et C trois points non alignés. On définit les points M, N et P par :
ü = < úü
' '
ûûûûû÷ , ûûûûû÷
1°) Exprimer ûûûûûûû÷ et ûûûûûû÷ en fonction de ùú ûûûûû÷ et ùü
ûûûûû÷ .
<
ûûûûû÷.
coupent en O. On note I et J les milieux respectifs des segments [AB] et [CD].
õý = ¨ õù
Soit ¨ le réel positif tel que : ûûûûûû÷
ûûûûû÷ = ¨ õú
1°) Démontrer en utilisant THALES que l’on a aussi : õü ûûûûû÷. (On précisera
3°) Calculer les coordonnées de I et J. Démontrer que les points O, I et J sont alignés.
DUREE : 3h