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= Cours
. le plan dialectique.
. le plan explicatif.
C’est le sujet qui va déterminer le plan qui va être utilisé.
Quand c’est une question totale on utilise le plan dialectique : on va dans le sens
du sujet.
- Cohérence.
- Progression.
- Équilibre.
L’introduction :
L’amorce :
Éviter les : depuis toujours, depuis la nuit des temps etc, ce sujet, ce problème.
Commencer par une citation et en dire quelque mots (lien avec le sujet) est une
amorce de choix.
Reprendre un peu le nom du sujet, expliquer, commenter etc.
Donner la problématique ? Puis annoncer le plan : dans un premier temps nous
verrons, ensuite, puis… (seulement les grands axes).
La conclusion :
Comédie ballet =
}
• musique
• chant
• danse
• théâtre
Plaire à Louis XIV
Chapitres : - Subordination
- Négation
- Interrogation
Sujet I
Le comique n’a t il qu’une fonction de divertissement ? Vous répondrez à cette
question en vous appuyant sur le malade imaginaire.
comique de gestes :
comique de situation :
comique de mot :
2)
Séance 1 :
Le classicisme :
Pour dire qu’une proposition est subordonnée relative il faut que le pronom
relatif évite la répétition de l’antécédent et que l’antécédent du pronom relatif
soit un nom.
La maison aux volets bleus ] [ dont je t’ai parlé ] [ appartient à mon oncle.
! complément du nom. ! !
Dans Ainsi soit-elle (1975), l’auteure féministe Benoîte Groult écrit : « Il faut
que les femmes crient aujourd’hui. Et que les autres femmes (et les hommes)
aient envie d’entendre ce cri. Qui n’est pas un cri de haine, a peine un cri de
colère, car alors il devrait se retourner contre elles mêmes. Mais un cri de vie.
» En quoi cette citation éclaire t elle votre lecture de la DDFC ?
Qui n’est pas un cri de haine = elle œuvre pour l’égalité et appelle à la
revendication des droits de la femme et non à la haine. Il ne s’agit pas de se
venger.
Cri de vie =
Recherches à faire :
Introduction :
Jean baptiste Poquelin de son nom de scène Molière est un célèbre dramaturge,
comédien et metteur en scène du XVIIème siècle. Répondant aux exigences du
classicisme, ses comédies et notamment Le malade imaginaire sont, pour lui,
l’occasion de « corriger les mœurs par le rire » et de dresser la satire des
ridicules de son temps.
Dans cette scène, il a eu quiproquo : Angélique a cru que son père la destinait à
Cléante alors qu’il l’a promise au fils d’un médecin qui doit lui même embrasser
la carrière : Tomas Diafoirus, fraîchement sorti du collège, garçon maladroit et
sans charme. Toinette, la servante, se refuse à cette union et en fait part à son
maître de manière assez insolente. Cette scène se déroule devant les yeux
d’Angélique qui reste impassible et muette.
Comment cette scène d’opposition entre le maître et sa servante permet-elle
de faire naître le rire ?
A) Toinette outre passe son rôle, cette dispute pourrait passe pour une dispute
conjugale. La hiérarchie est totalement bousculé car Toinette s’accapare
l’autorité en utilisant les marques d’autorité d’Argan. Elle se montre insolente
et affirme ainsi son assurance, son autorité et son audace.
La menace d’Argan :
La tournure impersonnelle de la phrase « il faut que je t’assomme » indique une
menace physique et oriente la scène vers la farce. Les didascalies qui se
multiplient expriment un passage à l’acte. La phrase « viens, viens, que je
t’apprenne à parler » est une menace. De la même manière que ses paroles, les
actes d’Argan restent sans effet sur Toinette qui continue de dire ce qu’elle
pense, elle ne change pas d’attitude.
Argan perds tous ses moyens et décide donc de s’en remettre à la violence et
voulant l’assommer et en l’insultant. Toinette, elle, évite de se retrouver à
portée d’Argan et ne tente plus de résonner Argan mais se contente de lui dire
qu’elle s’oppose totalement à lui et au mariage arrangé qu’il prépare. Toutes les
menaces d’Argan ne font rien sur Toinette qui continue d’affirmer son point de
vue.
Ensuite Angélique reste passive et n’intervient pas au tout début mais elle est
introduite dans la dispute à la fin et chacun essaye de l’avoir de son côté en la
menaçant. Elle évitera la question en profitant du fait que son père est malade
pour basculer sur ce sujet.
Le comique de la farce :
La farce met en scène des gens du peuple, des situations triviales et use, pour
provoquer le rire, d’un comique grossier.
Là c’est le bâton, les insultes, les courses poursuites autour des meuble,
l’obstination de Toinette à faire enrager son maître et la passivité d’Angélique.
C’est à la fois un comique de gestes et de situation.
Jean baptiste Poquelin de son nom de scène Molière est un célèbre dramaturge,
comédien et metteur en scène du XVIIème siècle. Répondant aux exigences du
classicisme, ses comédies et notamment Le malade imaginaire sont, pour lui,
l’occasion de « corriger les mœurs par le rire » et de dresser la satire des
ridicules de son temps.
Cette scène nous fait faire la connaissance des Diafoirus, père et fils, venus
chez Argan pour présenter Thomas çà son futur beau père et, accessoirement,
à sa future femme. Ils se sont soigneusement préparés à cette visite qui est,
pour eux, très importante. Après avoir fait ses compliments, pour le moins
maladroits et ampoulés, le père tente de faire de son fils un portrait élogieux.
Comment cette tirade permet-elle de présenter Thomas Diafoirus et comment
exprime-t-elle la satire des médecins ?
Analyse linéaire n° 2 :
I)
1) Un enfant discret.
La phrase « Ce n’est pas parce que je suis son père, mais … » est une précaution
oratoire pour introduire la tirade. Elle se révèle inutile car cette tirade n’est
pas du tout à l’avantage de Thomas.
Le portrait s’effectue par la négative ce qui fait apparaître les défauts en
premier. Et les seuls points positifs sont des points rapportés. Ensuite la
phrase « Il n’a point de méchanceté … » est une formule à double sens qui sous-
entend qu’il n’est pas méchant mais pas non plus fou fou. On nous le présente
comme quelqu’un n’ayant pas de vivacité d’esprit. On insiste sur sa passivité
quand il est dit qu’il ne jouait pas, qu’il ne parlait pas. Finalement on se rend
compte que le père Diafoirus croit faire un discours panégyrique sur son fils
alors qu’il le décrédibilise. Ce qui fait apparaître la sottise de Diafoirus père.
Dans la phrase « ni ce feu d’esprit qu’on remarque dans quelques uns » il utilise
le pronom indéfini quelque uns péjorativement en sous-entendant qu’il les
méprisent.
II)
Tous ce qu’il dit sert à discréditer son fils mais il continue. C’est un manque de
lucidité de sa part. Les pensées intimes de M. Diafoirus dans lesquelles on
trouve deux métaphores avec un arbre et du marbre.
III)
Il fait du bruit mais ne débat pas et il argumente à outrance, donc trop, c’est
un mauvais débatteur et il ne démord jamais de son opinion. Il apparaît comme
têtu et ne change jamais d’avis peu importe les arguments de ses adversaires.
C’est un personnage borné et inflexible.
b) La fierté du père.
Conclusion :
Cette tirade constitue une satire des médecins tels que Diafoirus au
temps de Molière. Les éléments caricaturaux tendent à faire de ces deux
personnages des personnages types qui incarnent la profession. Il n'a
jamais eu l'imagination bien vive, ni ce feu d'esprit qu'on remarque dans
quelques-uns ; mais c'est par là que j'ai toujours bien auguré de sa
judiciaire, qualité requise pour l'exercice de notre art. Cette phrase est
caractéristique. Finalement, en voulant faire le portrait élogieux de son
fils, Diafoirus fait le contraire et tous, sauf Argan et lui naturellement,
en conçoivent une idée bien négative permettant la moquerie de Toinette
par la suite. Ce texte peut être rapproché de la consultation que M.
Diafoirus et Thomas exercent sur Argan à l’acte II scène 6.
Analyse linéaire n° 3 :
Béralde pense que lorsqu’on est malade c’est que la nature est en «
désordre » et qu’il faut la laisser faire pour pouvoirs guérir. L’utilisation
du présent de vérité générale montre l’assurance de Béralde et de ses
principes. Il est sûr de ce qu’il avance et le présente comme quelque chose
de non négociable. Le mot rien est utilisé trois fois : d’abord par Béralde
qui réponds à Argan, ensuite par Argan qui remet en question cette
réponse, et enfin par Béralde ce qui a pour effet de montrer, encore une
fois, que Béralde est sûr de lui. Béralde pense que la nature est la seule à
pouvoir guérir ce qu’elle à causé et qu’il faut la laisser faire d’elle même
en se reposant. Selon lui les remède et médicaments ne font que
détériorer le corps : « presque tous les hommes meurent de leurs
remèdes, et non pas de leurs maladies. » (L.7-8).
La médecine ne serait que de belles paroles faites aux malades pour les
rassurer et les convaincre de se faire soigner en ayant recours aux
médecins. Les mots : « pures idées », « belles imaginations », « croire », «
souhaiter qu’elles fussent véritables », « le roman de la médecine » et «
de beaux songes » montrent la crédulité des hommes envers la médecine.
Béralde emploie un lexique qui n’est pas celui de la médecins mais plutôt
celui que l’on utiliserais pour parler de la réparation d’un objet : «
rectifier », « raccommoder », « réparer » ou « fortifier ».
Il dit aussi « rétablir et conserver la chaleur naturelle » ce qui est
paradoxal car on ne peut pas arriver à quelque chose de naturel avec les «
artifices » que sont les remèdes selon lui.
Le mot roman sert à décrédibiliser les médecins car les romans sont des
récits fictifs, à l’images des promesses faites par les médecins. Béralde
donne une mauvaise image des médecins en les faisant apparaître comme
des menteurs et des charlatans qui ne viennent aucunement en aide à
leurs patients qui se porteraient mieux sans eux.
INTRODUCTION :
Introduction :
Marivaux (1688 – 1763) écrit ses pièces pour la troupe des comédiens
italiens de Luigi Riccoboni, dit Lélio. La commédia dell’arte a donc une
grande influence sur son écriture dramaturgique, comme ce fut le cas au
XVIIème siècle pour Molière. Déguisements et travestissement occupent
une place centrale dans ses comédies, comme dans La Fausse suivante
(1724), où pour apprendre à connaître Lélio, L’homme qu’elle doit épouser,
une « demoiselle de paris » se déguise en chevalier. Dans la scène 3 du
dernier acte de la pièce, Lélio cherche à démasquer le chevalier en le
provoquant en duel. En quoi le travestissement permet-il de remettre en
cause les stéréotypes sur les hommes et les femmes ? Nous répondrons à
cette question en étudiant, dans un premier temps, les provocations de
Lélio, puis en montrant comment le chevalier réussit à renverser la
situation.
II – Un reversement de situation.
La proposition subordonnée :
Q° sur le médecins :
2 - Béralde pense que Purgon ne fera pas de bien à son frère avec son
lavement, on en conclu qu'il n'a aucune confiance en la médecine.
3 - Les Diafoirus sont maladroits : Thomas confond sa belle mère et sa
femme, M. Diafoirus parle en même temps qu’argan et le discours de l’un
comme de l’autre sont préparés à l’avance et superficiels.
Ils sont aussi têtus et obstinés comme on le voit dans l’acte II scène 5 : «
il n'y a point de candidat qui ait fait plus de bruit que lui dans toutes les
disputes de notre école. Il s'y est rendu redoutable ; et il ne s'y passe
point d'acte où il n'aille argumenter à outrance pour la proposition
contraire.
5 - Il est ferme dans la dispute, fort comme un Turc sur ses principes, ne
démord jamais de son opinion, et poursuit un raisonnement jusque dans les
derniers recoins de la logique. ».
a)Béralde pense que Purgon est un charlatan, et que Argan est condamné
si il continue de prendre ses « remèdes ». Il a une « dent de lait » contre
lui et les médecins. On peut en conclure que…
a) BÉRALDE.- Mon Dieu, mon frère, ce sont pures idées, dont nous aimons
à nous repaître ; et de
tout temps il s’est glissé parmi les hommes de belles imaginations que
nous venons à croire, parce
qu’elles nous flattent, et qu’il serait à souhaiter qu’elles fussent
véritables. Lorsqu’un médecin vous
parle d’aider, de secourir, de soulager la nature, de lui ôter ce qui lui nuit,
et lui donner ce qui lui
manque, de la rétablir, et de la remettre dans une pleine facilité de ses
fonctions : lorsqu’il vous
parle de rectifier le sang, de tempérer les entrailles, et le cerveau, de
dégonfler la rate, de
raccommoder la poitrine, de réparer le foie, de fortifier le coeur, de
rétablir et conserver la
chaleur naturelle, et d’avoir des secrets pour étendre la vie à de longues
années ; il vous dit
justement le roman de la médecine. Mais quand vous en venez à la vérité,
et à l’expérience, vous
ne trouvez rien de tout cela, et il en est comme de ces beaux songes, qui
ne vous laissent au réveil
que le déplaisir de les avoir crus.
b) BÉRALDE.- Dans les discours, et dans les choses, ce sont deux sortes
de personnes, que vos
grands médecins. Entendez-les parler, les plus habiles gens du monde ;
voyez-les faire, les plus
ignorants de tous les hommes.
L’illusion comique :
1 : “Quand un maître ne songe pas à ce qu’il dit, une servante bien censée
est en droit de le redresser.”
5 : “C’est pour moi que je lui donne ce médecin; et une fille de bon naturel
doit être ravie d’épouser ce qui est utile à la santé de son père.”
8 : Ils sont vêtus de manteaux de médecins avec un col blanc pour le père.
Le fils est simplement vêtu d’un costume noir d’époque.
12 : Il révèle son attirance unique pour elle, la réaction d’angélique montre bien
qu’il est le seul à ressentir cela. Il est maladroit.
16 : J’ai préféré la première car j’ai trouvé cette dernière peu authentique
dans le jeu de la femme concernant taciturne.<
Olympe De Gouges.
Les femmes ont étés oubliées dans la déclaration des droits de l’homme et du
citoyen, c’est l’une des raisons pour lesquelles elle réécrit cette déclaration.
Analyse linéaire n° 5 :
Intro :
I)
1)
b. L’énumération au début du préambule « les mères, les filles, les sœurs » fait
appel à toutes les femmes. Cela donne de l’importance aux femmes et les
incites à se rendre compte de ce que dénonce cette déclaration.
2)
a. ODG à remplacé les hommes par les femmes : « considérant que l’ignorance,
l’oubli ou le mépris des droits de la femme sont les seules causes des malheurs
public et de la corruption des gouvernements… » au lieu de « considérant que
l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des
malheurs public et de la corruption des gouvernements… » gradation «
l’ignorance, l’oubli ou le mépris » : misogynie = maladie qui affecte tous le corps
social.
b. « le sexe supérieur en beauté comme en courage dans les souffrances
maternelles » = ODG propose une voix originale en présentant ainsi une
catégorie qu’on appelle généralement « le sexe faible ». Elle prends ainsi le
contre-pied de toute traditions. Le complément de l’adjectif précise que la
supériorité de la femme s’exerce dans la beauté et le courage.
c. Un énoncé performatif est un énoncé qui accompli l’acte qu’il dénonce. Ainsi
une autrice, à cette époque, ne pouvait pas écrire un texte performatif dans la
mesure où le contexte ne le permet pas. En effet, la Constitution, en voie
d’adoption pendant la révolution exclut les femmes des droits civiques et
politiques.
II)
a. articles dans lesquels le mot « homme » est remplacé par le mot « femme » :
ART 1/2/4/6/9/11.
« Surtout » est ajouté ici. ODG insiste sur la résistance à l’oppressions parce
que la femme.
Dans l’article 6 le mot devoir est utilisé à trois reprises. Il a un sens d’ordre,
d’obligation. Il est conjugué au présent ce qui à pour objectif de préciser que
cette obligation est a la fois une vérité générale et aussi qu’elle est
immédiatement applicable.
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui = définition
de la justice dans le texte de 1789.
ODG modifie considérablement cet article en proposant une nouvelle définition
du mot « liberté » indexé à la notion de « justice » : la liberté et la justice
consistent à rendre tous ce qui appartient à autrui. Ce faisant, elle s’écarte de
l’esprit initial de l’article 4. Sous sa plume, il devient une charge contre les
hommes qui profitent de leur autorité sur les femmes pour les opprimer. Ainsi
la liberté des femmes ne pourra commencer que lorsque la tyrannie exercée par
les hommes aura pris fin.
Conclusion :
Pbque : de quels procédés rhétoriques et poétique ODG se sert elle pour inciter
les femmes à revendiquer leurs droits ?
Introduction :
2ème personne :
complicité, proximité
entre ODG et les
femmes.
« Réveilles – reconnais » Les terminaisons 2ème personne : adresse
Impératif présent = verbales aux femmes.
temps défectif et le PP
n’est pas exprimé
Bilan :
La femme est la
victime de
l’oppression de
l’homme > extrait n°1
Système
question/réponse
avec //me de
construction
Rimes internes et
alexandrins blancs
« Tout, auriez-vous
à répondre »
//me de construction
L’émancipation des
femmes = fruit de la
volonté
Conclusion :
Dissertation :
Annonce du plan :
• Introduction
• Contexte historique et principes fondamentaux
• Critiques et héritage
• Conclusion
Synopsis:
Caractéristiques principales:
Analyse théâtrale:
Dénonciation de l'oppression:
Responsabilité du peuple:
Analogie et métaphores:
Conclusion
Dans cette sorte d’antithèse, que de remarques n’ai-je point a offrir ! je n’ai qu’un moment
pour les faire, mais ce moment fixera l’attention de la postérité la plus reculée. Sous l’ancien
régime, tout était vicieux, tout était coupable ; mais ne pourrait-on pas apercevoir
l’amélioration des choses dans la substance même des vices ? Une femme n’avait besoin
que d’être belle ou aimable ; quand elle possédait ces deux avantages, elle voyait cent
fortunes a ses pieds. Si elle n’en profitait pas, elle avait un caractère bizarre, ou une
philosophie peu commune, qui la portait aux mépris des richesses ; alors elle n’était plus
considérée que comme une mauvaise tête ; la plus indécente se faisait respecter avec de
l’or ; le commerce des femmes était une espèce d’industrie reçue dans la première classe,
qui, désormais, n’aura plus de crédit. S’il en avait encore, la Révolution serait perdue, et
sous de nouveaux rapports, nous serions toujours corrompus ;
Introduction :
1° Un lieu de déplaisir.
La phase commence par l’adverbe ‘oui’ (adv) qui réaffirme avec force la
tromperie, c’est une répétition. Manipulation – séduire = tromper.
Présence du champ lexical de la tromperie.
Utilisation e ‘’je’’ dans chaque groupe de mots, utilisation du ‘’je’’.
1°)
2°)
1°)
2°)
I°) ODG pousse un cri nécessaire pour améliorer la condition des femmes
et pour une société plus juste.
3) Elle appelle de ses vœux à une mise en place des lois de la nature.
• Elle oppose les lois des hommes et les lois de la nature et de la
raison quelle place sous l’autorité divine d’un être suprême juste.
I°) L’apologue.
2) la partie narrative : Les temps verbaux (fit, couru, put, parla, etc …) =
temps du récit. « Dans Atène » (licence poétique)
« Autrefois » = plonge dans le passé lointain et imprécis. Lieu
imaginaire/mythique propice à la narration car dans l’Athènes mythique il
y a plein de contes.
1) le discours
2)
Entraînement à la dissertation.
Plan :
Dans son essai des femmes rebelles, l’historienne Michelle Perrot affirme au
sujet d’ODG : « l’écriture fut pour elle surtout instrumentale, un cri
protestataire, véhément. Elle avait le talent du manifeste. » En quoi la DDFC
d’ODG peut elle être considérée comme un texte engagé ?
Définition Exemple
Figure de style
allégorie n.f. Personnification d'une idée abstraite - Ô Mort, vieux capitaine,
Définition Exemple
Figure de style
il est temps !
Allitération en [s] dans
Répétition d'une ou de plusieurs
Colombine de Verlaine :
consonnes dans un groupe de mots
ALLITÉRATION n.f.
Cassandre sous son
Allitérations et assonances -> Les détecter
Capuce
et commenter
2 termes de sens opposés dans une même - Le navire était noir, mais
ANTITHÈSE n.f.
phrase la voile était blanche
Assonance en [u] dans Je
Répétition d’une même voyelle dans un vous envoie un bouquet de
groupe de mots Ronsard :
ASSONANCE n.f. Qui ne les eût à ce vêpre
Allitérations et assonances -> Les détecter cueillies
et commenter Chutes à terre elles fussent
demain.
- Il regarde longtemps,
longtemps cherche sans
Structure en croix qui associe 2 termes voir
CHIASME n.m. deux à deux sans nécessairement qu'ils
aient un rapport de sens - Ces murs, maudits par
dieu, par Satan profanés
SYNECDOQUE n.f. Remplacer un mot par un autre ayant une Le tout pour la partie :
relation d’inclusion avec celui-ci (la - Metz a gagné la finale
partie pour le tout ou le tout pour la (pour « l'équipe de foot de
partie). Cas particulier de la métonymie. Metz »...)
Définition Exemple
Figure de style
La partie pour le tout :
- Je quitterai bientôt ces
murs (pour « cette maison
»)
venus anadyomène
le mal
ma bohème
une au choix
L’interrogation :
Caractéristiques générales :
• Point d’interrogation,
• Toues les phrases interrogatives se caractérisent par une intonation
montante,
• Interrogation totale :
• Interrogation partielle :
Cas particulier :
La question rhétorique est utilisée pour créer un effet de style sans que son
énonciateur attende de réponse.
1) Niveau familier.
Ex : Tu viendras demain ?
Ordre des mots = phrase déclarative. Point d’interrogation et intonation
montante.
2) Niveau courant.
3) Niveau soutenu.
Ex : Viendras-tu demain ?
Ex : Viendras-t-elle demain ?
Toinette
Non.
Argan
Non ? Question totale
Toinette
Non.
Argan
Ouais ! Voici qui est plaisant ! Je ne mettrai pas ma fille dans un couvent, si je
veux ? Question totale, langage courant
Toinette
Non, vous dis-je.
Argan
Qui m'en empêchera ? Question partielle. Mot interrogatif qui
Toinette
Vous-même.
Argan
Moi ? Question totale
Toinette
Oui. Vous n'aurez pas ce cœur-là.
Argan
Je l'aurai…
Toinette
Vous vous moquez.
Argan
Je ne me moque point.
Toinette
La tendresse paternelle vous prendra.
Argan
Elle ne me prendra point.
Toinette
Une petite larme ou deux, des bras jetés au cou, un : "Mon petit papa mignon",
prononcé tendrement, sera assez pour vous toucher.
Argan
Tout cela ne fera rien.
Toinette
Oui, oui.
Argan
Je vous dis que je n'en démordrai point.
Toinette
Bagatelles !
Argan
Il ne faut point dire : "Bagatelles" !
Toinette
Mon Dieu, je vous connais, vous êtes bon naturellement.
Argan
Je ne suis point bon, et je suis méchant quand je veux !
Toinette
Doucement, monsieur. Vous ne songez pas que vous êtes malade.
Argan
Je lui commande absolument de se préparer à prendre le mari que je dis.
Toinette
Et moi, je lui défends absolument d'en faire rien.
Argan
Où est-ce donc que nous sommes ? Question partielle, langage soutenu, mot
interrogatif où et quelle audace est-ce là, à une coquine de
servante, de parler
de la sorte devant son maître ? Question partielle, langage soutenu, mot
interrogatif quelle
Toinette
Quand un maître ne songe pas à ce qu'il fait, une servante bien sensée est en
droit de le redresser.
Argan
(court après Toinette.)
Ah ! insolente ! il faut que je t'assomme !
Toinette
(se sauve de lui.)
Il est de mon devoir de m'opposer aux choses qui vous peuvent déshonorer.
Argan
(en colère, court après elle autour de sa chaise, son bâton à la main.)
Viens, viens, que je t'apprenne à parler !
Toinette
(courant et se sauvant du côté de la chaise où n'est pas Argan.)
Je m'intéresse, comme je dois, à ne vous point laisser faire de folie.
Argan
Chienne !
Toinette
Non, je ne consentirai jamais à ce mariage.
Argan
Pendarde !
Toinette
Je ne veux point qu'elle épouse votre Thomas Diafoirus.
Argan
Carogne !
Toinette
Et elle m'obéira plutôt qu'à vous.
Argan
Angélique, tu ne veux pas m'arrêter cette coquine-là ? Question totale, langage
courant
Angélique
Eh ! mon père, ne vous faites point malade.
Argan
Si tu ne me l'arrêtes, je te donnerai ma malédiction.
Toinette
Et moi, je la déshériterai, si elle vous obéit.
Argan
(se jette dans sa chaise, étant las de courir après elle.)
Ah ! ah ! Je n'en puis plus ! Voilà pour me faire mourir !
Olympe de Gouges peint les hommes comme des tyrans qui abusent de leur
pouvoir
Olympe de Gouges dépeint les hommes comme des tyrans abusant de leur
pouvoir à travers la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, elle
dénonce la domination masculine en mettant en lumière les inégalités criantes
entre les sexes. Olympe de Gouges critique la manière dont les hommes, en
particulier ceux au pouvoir, exploitent leur statut pour opprimer les femmes et
maintenir un système de privilèges injustes. Elle souligne les abus de pouvoir
perpétrés par les hommes dans la sphère domestique, politique et sociale,
dénonçant les lois discriminatoires et les normes sociales qui confèrent aux
hommes des droits excessifs au détriment des femmes. À travers ses écrits
provocateurs, Olympe de Gouges offre une analyse critique de la tyrannie
masculine et appelle à une réforme radicale en faveur de l'égalité des sexes.
éval :
I - Théorie = hard soft power, définir la puissance et les gens qui l’ont pensés.
1 – hard et soft power.
2 – Quels personnes y ont pensés ?
1 – Amérique
2 – JSP
Introduction :
I : théorie.
Le soft power et le hard power sont deux concepts clés dans les relations
internationales, reflétant la capacité d'un pays à influencer le monde par des
moyens non coercitifs ou coercitifs. En ce qui concerne le soft power, des
personnalités comme Nelson Mandela illustrent parfaitement cette notion.
L'ancien président sud-africain a utilisé sa stature morale et sa capacité à
inspirer pour promouvoir la réconciliation nationale et attirer le soutien
international. D'un autre côté, le hard power est souvent associé à des figures
politiques telles que Vladimir Poutine. Le président russe a consolidé le pouvoir
de son pays en utilisant des méthodes plus assertives, comme l'intervention
militaire en Crimée. Ces exemples démontrent comment des personnalités
influentes peuvent incarner les principes du soft power ou du hard power,
façonnant ainsi la position et l'influence de leur nation sur la scène mondiale.
2) La puissance :