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APPLICATION

Analyse
1. Marie attend le métro et lit attentivement le guide de voyage.
2. Monsieur voulait que son fils apprît le latin, madame ne le voulait pas. (Voltaire)
3. Paul attend ses vacances à la Réunion avec impatience.
4. Son baccalauréat passé, on lui dit de choisir une profession. (Flaubert)
5. Qui a de l’argent se tient à l’écart de toutes les crises.
6. Le souper fini, je fis mine de sortir. (Gide)
7. Les ormeaux n’avaient point encore de feuilles, mais ils se couvraient de bourgeons.
8. Quand le docteur arrive enfin, la nuit tombe. (Gide)
9. J’ai cru entendre un homme marcher dans le grenier.
10. Ma femme m’ayant donné, à l’occasion de mon anniversaire, une pipe en écume de
mer, je ne fis ni une, ni deux : je courus fumer mon cadeau à la terrasse du petit café
dont je suis l’habitué fidèle. (Courteline)
11. Ma mère, qui filait sa quenouille de chanvre devant le feu, me faisait prendre
patience à grand peine en me disant des contes. (Le Roy)
12. Il vit que Mlle Bérard ouvrait ses yeux autant qu’il était possible. Elle croit que je
parle politique et songe à faire un rapport. (Stendhal)
13. En arrivant à l’école, je suis allée dans la classe 3.
14. La récolte des foins venue, la vie des campagnes n’était plus qu’une fête. (Fromentin)
15. Si je savais seulement de quoi j’ai eu peur, j’aurais fait un grand pas. (Sartre)
16. Le maquis est la patrie des bergers corses et de quiconque s’est brouillé avec la
justice. (Mérimée)
17. Je veux savoir, Seigneur, si vous m’aimez. (Corneille)
18. Je doute qu’il soit possible de récupérer plus de la moitié des armes. (Malraux)
19. Eugène se présenta chez Madame de Beauséant, et il y reçut un de ces coups
terribles contre lesquels les cœurs jeunes sont sans armes. (Balzac)
20. Je suis content que nous nous soyons rencontrés.
21. Quelquefois, bien que cela soit rare, on rencontre des gens généreux.
22. En Hollande, on salue toujours sur l’eau comme font les montagnards sur les sentiers
des Alpes. (Duhamel)
23. On voit le ciel changer à chaque instant.
24. J’aime manger des glaces en été.
25. Si vous étiez venus plut tôt, nous aurions pu manger ensemble.
26. J’ignore s’il a obtenu le poste auquel il a postulé.
27. Je me promenais avec mon frère, le frère de mes années d’enfance, ce frère auquel
je dois dire que je ne pensais plus et dont je ne me souviens presque plus. (Hugo)
28. Envoyez chercher qui vous voudrez, je ne paierai pas. (Labiche)
29. Pierre ne peut supporter de faire des choses quand il ne sait pas pourquoi il les fait.
30. Il fallait que le marquis eût parlé du genre d’éducation que Julien avait reçue.
(Stendhal)
31. Bien qu’ils eussent grand faim, ils ne pouvaient guère manger. (Flaubert)
32. Comme on ne voit rien, on ressent une sorte de crainte.
33. La locomotive nous entraine le long des rails, pendant que nous lisons tranquillement
notre journal. (Alain)
34. La chambre était disposée de façon que la porte en s’ouvrant masquait l’angle du
mur, à droite. (Hugo)
35. Je pense que tous les gens de lettres sont comme moi, que jamais ils ne relisent leurs
œuvres lorsqu’elles ont paru. (Huysmans)
36. L’avis du président est qu’il renonce à ce projet.
37. Tant qu’elle aura besoin de moi, je resterai à ses côtés. (Constant)
38. De l’intérieur de la voiture, une voix sèche demanda ce qu’il y avait. (Green)
39. La scène se troubla, comme le reflet sur l’eau d’un canal se dissipe après les
vaguelettes formées par le lent passage d’un lourd chaland. (Devallière)
40. Le dîner à peine achevé, tandis que notre mère nettoyait la vaisselle, nous portions
nos chaises, mon frère et moi, de chaque côté de la cheminée et nous commencions
à lire. (Arland)
41. Mais puisque je dois réussir et que tu ne me laisses pas le choix, je vais travailler
davantage.
42. On n’osait parler de peur qu’on nous écoute.
43. Il fut si intimidé qu’il partit en courant.
44. Vitalis paraissait exaspéré, tandis que moi j’étais sincèrement désolé. (Malot)
45. L’ours n’attaque jamais l’homme à moins qu’il ne soit provoqué.
46. Il avait beaucoup moins d’esprit qu’il avait l’air d’en avoir.
47. Cette recherche d’habillement et ces manières dégagées la lui firent trouver vieille et
laide alors qu’elle ne fût ni l’un ni l’autre. (Sand)
48. La maison, quand nous arrivâmes, recevait les derniers rayons du soleil. (Gide)
49. Clément voit le tram arriver.
50. Avant qu’il sorte de sa maison, il en loue l’architecture. (La Bruyère)

Transforme les couples de phrase en une phrase complexe par coordination


1. Les trains sont en grève, je prendrai ma voiture. (conséquence)
2. La pluie avait cessé, le temps s’annonçait même magnifique. (liaison)
3. Pierre a raté son permis, il compte le repasser. (opposition)
4. Elle devrait déménager, ce poste ne lui serait pas accordé. (alternative)
5. Les cafés se vident, c’est l’heure de la sieste (cause)

Transforme les couples de phrases en subordination avec la nuance demandée.


1. (temps) Les vacanciers sont partis, la plage est déserte.
2. J’avais le sentiment de la vie (comparaison) il peut frémir au fond d’un animal.
3. Les filles sont jolies (temps) le printemps revient.
4. Il est intervenu (but) les adversaires se réconcilient.
5. (concession) Cette mission est délicate, je m’en chargerai.
6. Nous ne pouvons pas faire la pêche à pied (condition) la mer est polluée.
7. J’ai manqué mon train (cause), j’ai été bloqué dans un embouteillage.

Transforme ces couples de phrases pour obtenir une subordonnée relative


1. A gauche est la cuisine ; la porte de la cuisine toujours ouverte laisse apercevoir une
longue table de bois. (Lamartine)
2. Les feuilles ne murmuraient plus dans les arbres ; aucun vent ne venait les éveiller.
3. Il tirait de sa poche des lambeaux de journaux ; il faisait collection de ces lambeaux.
(Troyat)
4. C’était un galant homme ; et ne manquaient à cet homme, ni la fortune, ni la
naissance. (Balzac)
Remplace les propositions subordonnées relatives par un adjectif
1. Le petit paysan nous conduisait à la rivière par un chemin que nous ne connaissions
pas.
2. Tu as fait une erreur qui ne peut être pardonnée.
3. Connaissez-vous cette revue qui paraît tous les trois mois ?
4. L’argile est une terre qu’on ne peut traverser.
5. Voici une énigme qui n’a pas de solution.
6. C’est une fleur qui ne dure pas.
7. Elle a trouvé un placement rentable.
8. La vipère est un serpent qui crache du venin.
9. Il a acheté une maison qui en touche une autre.
10. Les passagers du Titanic croyaient être sur un navire qu’on ne pouvait couler.

Délimite la proposition subordonnée relative et donne la fonction du pronom relatif


1. Les lapons danois ont un gros chat auquel ils disent tous leurs secrets et qu’ils
consultent dans leurs affaires. (Buffon)
2. Quiconque a vu un feu d’artifice se rappelle cette gerbe faite d’un croisement de
foudres qu’on appelle le bouquet. (Hugo)
3. Je promenais mes regards sur l’horizon grisâtre dont je n’apercevais plus les limites
et qui me donnait la sensation de l’immensité (Constant)
4. M. Bergeret avait trouvé une étroite surface où ranger ses livres

Transforme les interrogatives directes en interrogatives indirectes avec comme verbe


introducteur : je me demande
1. Où en sommes-nous ?
2. Est-ce que tu viens ?
3. Qu’est-ce qui t’ennuie ?
4. Comment t’y prendras-tu ?
5. Quand passera le prochain tram ?
6. Par où le voleur est-il entré ?
Forme à partir de ces couples deux phrases complexes : la première exprimera la cause, la
deuxième, la conséquence.
1. J’ai beaucoup à faire ; je ne m’attarderai pas.
2. Le permis de construire a été refusé, nous allons déposer un recours.
3. Mon natel ne fonctionne plus ; la batterie est à plat.
4. Stéphane n’a pas pu aller au concert ; toutes les places étaient réservées.
5. Le directeur m’a retenu trop longtemps ; j’ai raté le train.

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