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EXERCICES

Les mots de la poésie 3ème

Nom : ……………………………… Date : …./…./20…..

Précise si ces affirmations sont vraies ou fausses :

Vrai Faux

Une strophe est composée de 2 vers est un tercet.

Un vers de 12 syllabes est un alexandrin.

Une rime est la répétition d’un son à la fin d’au moins de 2 vers.

Un vers de 8 syllabes est un hexasyllabe.

Le « e » en fin de mot ne se lit pas en fin de vers.

Compte les syllabes des vers suivants en les séparant d’un trait et identifie chacun de
ces vers.

Je suis le veilleur de la rue de Flandre (Robert Desnos)


Vers > …………………..

Que ses bras ouverts à la vie (Robert Desnos)


Vers > …………………..

Ajoutons-y Péri (Paul Eluard)


Vers > …………………..

Ce qui maintenant s’accomplit (Paul Eluard)


Vers > …………………..

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant. (Verlaine)


Vers > …………………..
www.dys-positif.fr
Identifie le type de strophe :
Son regard est pareil au regard des statues,
Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a
L’inflexion des voix chères qui se sont tues.
Verlaine
Strophe > ………………………

Et pourtant, et pourtant
J’étais triste comme un enfant.
Blaise Cendrars
Strophe > ………………………

L’océan sonore
Palpite sous l’œil
De la lune en deuil
Et palpite encore
Blaise Cendrars
Strophe > ………………………

Souligne le « e » final qui se prononce dans les vers suivants


et précise le nombre total de syllabes :

Palpite sous l’œil (Blaise Cendrars) > ………………………….


Porte le soleil noir de la Mélancolie (Gérard de Nerval) > ………………………….

Comme ceux des Aimés que la vie exila Verlaine) > ………………………….

Bien qu’elle semble sortir d’un tombeau (Robert Desnos) > ………………………….

Lui dire ma peine mortelle (Blaise Cendrars) > ………………………….

Dans les alexandrins, souligne en rouge les diérèses et en bleu les synérèses :

Ayant l’expansion des choses infinies. (Baudelaire)


Vers le Ciel, où son œil voit un trône splendide (Baudelaire)
Epiant le moment de reprendre au squelette (Baudelaire)
Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige (Baudelaire)
Dis-le, belle sorcière, oh ! dis, si tu le sais (Baudelaire)
www.dys-positif.fr
Les mots de la poésie EXERCICES
3ème

Corrections

Précise si ces affirmations sont vraies ou fausses :


Vrai Faux

Une strophe est composée de 2 vers est un tercet. X


Un vers de 12 syllabes est un alexandrin. X
Une rime est la répétition d’un son à la fin d’au moins de 2 vers. X
Un vers de 8 syllabes est un hexasyllabe. X
Le « e » en fin de mot ne se lit pas en fin de vers. X

Compte les syllabes des vers suivants en les séparant d’un trait et identifie chacun de
ces vers.
Je suis le veil leur de la rue de Flandre
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Vers > décasyllabe

Que ses bras ou verts à la vie


1 2 3 4 5 6 7 8
Vers > octosyllabe

A jou tons -y Pé ri
1 2 3 4 5 6
Vers > hexasyllabe

Ce qui main te nant s’ac com plit


1 2 3 4 5 6 7 8
Vers > octosyllabe

Je fais sou vent ce rê ve é tran ge et pé né trant


1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
Vers > alexandrin

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Identifie le type de strophe :
Son regard est pareil au regard des statues,
Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a
L’inflexion des voix chères qui se sont tues.
Verlaine
Strophe > tercet

Et pourtant, et pourtant
J’étais triste comme un enfant.
Blaise Cendrars
Strophe > distique

L’océan sonore
Palpite sous l’œil
De la lune en deuil
Et palpite encore
Blaise Cendrars
Strophe > quatrain

Souligne le « e » final qui se prononce dans les vers suivants


et précise le nombre total de syllabes :

Palpite sous l’œil (Blaise Cendrars) > 5 syllabes


Porte le soleil noir de la Mélancolie (Gérard de Nerval) > 12 syllabes

Comme ceux des Aimés que la vie exila Verlaine) > 12 syllabes

Bien qu’elle semble sortir d’un tombeau (Robert Desnos) > 10 syllabes

Lui dire ma peine mortelle (Blaise Cendrars) > 8 syllabes

Dans les alexandrins, souligne en rouge les diérèses et en bleu les synérèses :

Ayant l’expansion des choses infinies. (Baudelaire)


Vers le Ciel, où son œil voit un trône splendide (Baudelaire)
Epiant le moment de reprendre au squelette (Baudelaire)
Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige (Baudelaire)
Dis-le, belle sorcière, oh ! dis, si tu le sais (Baudelaire)
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