Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
ADIKO
SCHEMA D’ELECTRICITE
CME
Matière : INSTALLATION INDUSTRIELLE
ELECTRIQUE INDUSTRIELLE
2 Centre des Métiers de l’électricité (CME)
Prof : M.ADIKO
SCHEMA D’ELECTRICITE
CME
Matière : INSTALLATION INDUSTRIELLE
ELECTRIQUE INDUSTRIELLE
Prof : M.ADIKO
SCHEMA D’ELECTRICITE
CME
Matière : INSTALLATION INDUSTRIELLE
ELECTRIQUE INDUSTRIELLE
Prof : M.ADIKO
SCHEMA D’ELECTRICITE CME
Matière : INSTALLATION INDUSTRIELLE doc 1/4
ELECTRIQUE INDUSTRIELLE
Prof : M.ADIKO
SCHEMA D’ELECTRICITE CME
Matière : INSTALLATION INDUSTRIELLE doc 2/4
ELECTRIQUE INDUSTRIELLE
Prof : M.ADIKO
SCHEMA D’ELECTRICITE CME
Matière : INSTALLATION INDUSTRIELLE doc 3/4
ELECTRIQUE INDUSTRIELLE
Prof : M.ADIKO
SCHEMA D’ELECTRICITE CME
Matière : INSTALLATION INDUSTRIELLE doc 4/4
ELECTRIQUE INDUSTRIELLE
Prof : M.ADIKO
REPERAGE DES BORNES DES
CME
APPAREILS ET DES SCHEMAS
Matière : Schéma
1- NECESSITE
L’identification des bornes permet de fournir des informations sur la fonction réelle de
l’élément ; facilitant ainsi le câblage et la maintenance.
2- REPERAGE
2-1) Repérage des bornes de raccordement des appareils
Les repères indiqués sont ceux qui figurent sur les bornes ou sur la plaque signalétique
de l’appareil.
A chaque organe de commande, à chaque type de contact, principal, auxiliaire instantané
ou temporisé, sont affectés deux repères alphanumériques qui lui sont propres.
De 1 à 6 en tripolaire ;
De 1 à 8 en tétrapolaire.
Exemples :
Chaque borne d’entrée est affectée d’un chiffre impair différent et chaque borne de sortie
correspondante est désignée par le chiffre pair immédiatement supérieur (Les chiffres
impairs sont placés en haut et la progression s’effectue de haut en bas et de gauche à
droite).
Exemples :
Sur les contacteurs de petits calibres, le quatrième pôle d’un contacteur tétrapolaire fait
exception à cette règle : ses bornes portent les mêmes repères que ceux du contact
auxiliaire « F » dont il occupe la place. D’autre part, les repères des pôles rupteurs sont
habituellement précédés de la lettre « R ».
Prof : M.ADIKO
REPERAGE DES BORNES DES
CME
APPAREILS ET DES SCHEMAS
Matière : Schéma
Chaque borne d’entrée est affectée d’un chiffre impair différent et chaque borne de sortie
correspondante est désignée par le chiffre pair immédiatement supérieur
Exemples :
Un chiffre : c’est le numéro d’ordre de l’élément qui peut être supprimé s’il n’y a pas
d’ambiguïté ;
Une lettre :
U pour le conducteur de phase L1
V pour le conducteur de phase L2
W pour le conducteur de phase L3
N pour le conducteur de neutre
PE pour le conducteur de protection
E pour le conducteur de terre
Un chiffre :
1 pour l’entrée de l’élément,
2 pour la sortie de l’élément.
Exemples :
Prof : M.ADIKO
REPERAGE DES BORNES DES
CME
APPAREILS ET DES SCHEMAS
Matière : Schéma
Les bornes des contacts des circuits auxiliaires sont repérées par des chiffres.
Les chiffres des unités ou chiffres de fonction indiquent la fonction du contact auxiliaire :
Le rang 9 (et 0 si nécessaire) est réservé aux contacts auxiliaires des relais de protection
contre les surcharges, suivi de la fonction 5 et 6 ou 7 et 8.
D’un numéro d’ordre qui peut être supprimé s’il n’ya pas d’ambiguïté,
D’un chiffre impair pour la borne d’entrée et du chiffre pair immédiatement supérieur
pour la borne de sortie.
Exemples :
Prof : M.ADIKO
REPERAGE DES BORNES DES
CME
APPAREILS ET DES SCHEMAS
Matière : Schéma
Contact à ouverture :
-Le chiffre 5 est affecté à la borne
d’entrée ;
-le chiffre 6 à la borne de sortie
Contact à fermeture :
Contact bidirectionnel :
-Le chiffre 5 est affecté à la borne
commune ;
-le chiffre 6 au contact repos ;
-le chiffre 8 au contact travail.
Contact à fermeture :
C’est un contact à fonction spéciale dont les chiffres ont étés précédemment (5-6 ; 7-8 ;
5-6-8). Par contre le numéro d’ordre est imposé :
Prof : M. ADIKO
REPERAGE DES BORNES DES
CME
APPAREILS ET DES SCHEMAS
Matière : Schéma
Exemples :
Prof : M. ADIKO
REPERAGE DES BORNES DES
CME
APPAREILS ET DES SCHEMAS
Matière : Schéma
Alimentation L1 - L2 – L3 – N – PE ;
Vers un moteur U1 – V1 –W1 ; U2 – V2 –W2 ; K – L – M ;
Vers des résistances de démarrage : A – B – C, etc
Le circuit de puissance est représenté, soit sous forme unifilaire pour les cas simple
(discontacteurs, démarreurs statoriques, etc…), soit sous forme multifilaire pour les autres
cas (inverseurs, démarreurs étoile-triangle, moteur à deux vitesses, équipements
particuliers, etc…).
Lors d’une représentation unifilaire, c’est le nombre de traits obliques qui barrent le trait
représentant la connexion qui indique combien de fois le circuit représenté comprend de
conducteurs semblables, par exemple :
Prof : M. ADIKO
REPERAGE DES BORNES DES
CME
APPAREILS ET DES SCHEMAS
Matière : Schéma
Dans les circuits de commande et de signalisation, les symboles des organes de commande
des contacteurs, des relais et autres appareils commandés électriquement, sont disposés
les uns à la suite des autres, autant que possible dans l’ordre correspondant à leur
alimentation lors d’un fonctionnement normal.
Deux lignes horizontales ou « conducteurs communs » figurent l’alimentation. Les bobines
des contacteurs et les récepteurs divers, lampes, avertisseurs, horloges, etc…, sont reliés
directement au conducteur inférieur. Les autres organes, contacts auxiliaires, appareils
extérieur de commande (boutons, contacts à commande mécanique, etc…), ainsi que les
bornes de raccordement sont représentés au dessus de l’organe commandé.
Les ensembles et les appareils auxiliaires externes sont destinés éventuellement dans un
encadrement en trait mixte fin. Ceci permet à l’installateur de déterminer plus facilement le
nombre de conducteurs nécessaires à leur raccordement.
a) Repérage indépendant
Chaque conducteur possède un repère en générale numérique aux deux extrémités. Ce
type de repérage doit être détaillé sur un tableau annexe ou sur un schéma pour pouvoir
être utilisé dans de bonnes conditions.
Exemple :
Prof : M. ADIKO
REPERAGE DES BORNES DES
CME
APPAREILS ET DES SCHEMAS
Matière : Schéma
Exemple :
Exemple :
Exemple :
e) Repérage composé
C’est l’utilisation du repérage indépendant et du repérage dépendant. Chaque groupe de
repère doit être séparé par un tiret. Le repérage indépendant se place au milieu des
repérages dépendants des deux bornes.
Exemple :
Ce repère est du type alphanumérique ou en couleur et doit être séparé des repères
principaux par un signe de ponctuation. Il indique soit la fonction du conducteur
(exemples : signalisation, déclenchement …) soit la polarité sur laquelle il est raccordé
(exemples : phase, polarité continu…). Voir document de désignation des conducteurs
document élève 3/3.
Figure 3 : LETTRES
REPERES POUR
L’IDENTIFICATION
DES FONCTIONS
GENERALES
Figure 4 :
IDENTIFI-
CATION
DES
BORNES
DES
APPAREILS
Figure 6 : EXEMPLES
DE SCHEMAS
Prof : M. ADIKO
COMMANDE D’UNE BOBINE DE
CME
CONTACTEUR
Matière : Schéma
1- DEFINITION DU CONTACTEUR
Un contacteur est un ensemble de contacts actionnés par un électro-aimant, permettant de
commander un circuit à distance.
Le contacteur moteur habituellement repéré KM. Il peut être à la fois utilisé dans le
circuit de puissance comme dans le circuit de commande ;
Le contacteur ou relais auxiliaire habituellement repéré KA. Il est seulement utilisé
dans le circuit de commande.
Symbole :
1-1) Electro-aimant
L’électro-aimant est le moteur du contacteur car c’est lui qui actionne les contacts. Un
électro-aimant est composé de deux organes : une bobine et un circuit magnétique. On
assimilera par la suite la bobine à l’électro-aimant
1-2) Contacts
Il existe deux types de contacts : les contacts principaux (ou pôles) et les contacts
auxiliaires.
Prof : M. ADIKO
COMMANDE D’UNE BOBINE DE
CME
CONTACTEUR
Matière : Schéma
Ph
3
C 4
A1
KM ou KA
A2
2-1-2) Equation
KM =C ou KA=C
2-1-3) Chronogramme (graphe de fonctionnement)
Prof : M. ADIKO
COMMANDE D’UNE BOBINE DE
CME
CONTACTEUR
Matière : Schéma
a) Schéma
b) Equation
KM =S 0(S 1+ KM ) ou KA =S 0(S 1+ KM )
c) Chronogramme
a) Commentaire du schéma
Lorsqu’on fait impulsion sur S1, il ya excitation de la bobine du contacteur (KM ou KA). Son
contact auxiliaire KM (13-14) ou KA (13-14) qui est monté parallèlement à S1 sur le
schéma se ferme et assure l’auto-maintien (passage du courant) car après l’action, S1 va
se relâcher. Pour désexciter la bobine du contacteur, il faut simplement faire action sur S0.
Prof : M. ADIKO
COMMANDE D’UNE BOBINE DE
CME
CONTACTEUR
Matière : Schéma
a) Schéma
b) Equation
KM =S 1+ S 0 . KM ou KA =S 1+ S 0 . KM
c) Chronogramme
d) Commentaire du schéma
Même fonctionnement que la commande par arrêt prioritaire. Ce schéma présente la
priorité à l’excitation de la bobine lorsqu’on actionne S0 et S1 en même temps.
Prof : M. ADIKO
FONCTION SIGNALISATION CME
Matière : Schéma
2- FONCTION
La signalisation a pour fonction de donner l’état (marche, arrêt, défaut…) réel du système.
Prof : M. ADIKO
FONCTION SIGNALISATION CME
Matière : Schéma
Prof : M. ADIKO
FONCTION SIGNALISATION CME
Matière : Schéma
Le contact de défaut actionne un avertisseur sonore qui reste sous tension tant que la
personne intéressée n’a pas actionné le bouton poussoir « acquittement ».
Fonctionnement :
Prof : M. ADIKO
FONCTION SIGNALISATION CME
Matière : Schéma
Année Académique 2017-2018 Installation électrique industrielle BTS Electrotechnique
Page 28
29 Centre des Métiers de l’électricité (CME)
Fonctionnement :
Après un temps réglable de 0.25 à 2.5 secondes, le cycle recommence tant qu’il n’a pas été
remédié au défaut (ouverture du contact défaut 13-14)
Matière : Schéma-Auto
Prof : M. ADIKO
FONCTION TEMPORISATION CME
Matière : Schéma
2-1-2) Fonctionnement
Dans ce type de temporisateur, le basculement des contacts est retardé par rapport à la
mise sous tension de la bobine. La retombée des contacts est instantanée par rapport à la
mise hors tension de la bobine.
Prof : M. ADIKO
FONCTION TEMPORISATION CME
Matière : Schéma
2-2-2) Fonctionnement
Dans ce type de temporisateur, le basculement des contacts est instantané par rapport à la
mise sous tension de la bobine. La retombée des contacts est retardée par rapport à la
mise hors tension de la bobine.
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
1- FONCTION
Selon la norme NFC 15-100, toute installation électrique doit pouvoir réaliser les fonctions
suivantes :
Le sectionneur
Le sectionneur est un appareil de connexion. Il assure la fonction sectionnement qui
consiste à interrompre la continuité d’un circuit dans un but de sécurité lors des opérations
de maintenance, de dépannage ou de modification sur les circuits électriques qui se trouve
en aval.
le sectionneur ne possède aucun pouvoir de coupure ; il ne doit donc pas être manœuvré
en charge.
L’interrupteur sectionneur
C’est un appareil qui possède un pouvoir de coupure ; il permet :
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
Tableau récapitulatif
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
Le bouton poussoir : c’est un appareil qui possède qu’une seul position stable. Une
action manuelle le fait changer d’état et dès que celle-ci cesse, il revient dans sa
position d’origine. Il est dit :
A ouverture lorsque son contact est fermé au repos (bouton poussoir arrêt) ;
utilisé pour un arrêt d’automatisme ;
A fermeture lorsque son contact est ouvert au repos (bouton poussoir
marche) ; utilisé pour la mise en marche d’un automatisme.
Les boutons poussoirs de sécurité de type « coup de poing » : les boutons
poussoirs « coup de poing » à ouverture servent à la coupure de sécurité (coupure
d’urgence)…Symboles : (voir docs 1/3 et 2/3)
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
a) le contacteur
Cet appareil permet de commander à distance un récepteur de puissance car il est capable
d’établir et d’interrompre des courants importants. C’est un interrupteur à commande
automatique.
Electriquement, il est constitué :
D’un électro-aimant (bobine et noyau magnétique) qui attire une palette mobile
lorsqu’il est alimenté.
De plusieurs contacts à fermeture qui, possédant un pouvoir de coupure important,
servent d’interrupteur dans les circuits de puissance.
De plusieurs contacts auxiliaires à ouverture et à fermeture qui possèdent un faible
pouvoir de coupure ; ils servent à réaliser les fonctions telles que l’auto-alimentation,
verrouillage électrique….
On distingue deux types de contacteurs dans la commande des équipements de
forces motrice
Le contacteur moteur habituellement repéré KM. Il peut être à la fois utilisé dans le
circuit de puissance comme dans le circuit de commande ;
Le contacteur ou relais auxiliaire habituellement repéré KA. Il est seulement utilisé
dans le circuit de commande. Symboles : (voir docs 1/3 et 2/3)
Pour disposer des contacts auxiliaires instantanés supplémentaires, on fixe sur le
contacteur un bloc additif instantané ;
Pour disposer des contacts auxiliaires temporisés, on fixe sur le contacteur un
bloc additif temporisé ;
On peut également augmenter le nombre de contacts auxiliaires instantanés d’un
contacteur en lui adjoignant en parallèle un contacteur auxiliaire.
Schéma du montage
A1
A1
- KM - KA
A2
A2
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
b) Le rupteur
C’est un contacteur qui possède des contacts de puissance à ouverture et non à fermeture.
Il possède les mêmes caractéristiques qu’un contacteur.
c) Le relais auxiliaire
Son rôle est d’une part, de retransmettre l’information reçue des appareils de commande
et d’autre part de la multiplier dans les différents schémas électriques. C’est un appareil
constitué électriquement :
D’un électroaimant ;
De plusieurs contacts qui sont :
Contacts à ouverture ou contacts repos ;
Contacts à fermeture ou contacts travail ;
Contacts inverseurs lorsque le contact repos et le contact travail ont un point
commun.
d) Le relais à chevauchement de contacts
C’est un relais auxiliaire qui ne possède que des contacts inverseurs dont la particularité est
la suivante : d’une part, à l’excitation de la bobine, le contact travail se ferme avant
l’ouverture du contact repos et d’autre part, lors de sa désexcitation, le contact travail
s’ouvre quand le contact repos est fermé.
Son utilisation permet d’éviter les aléas technologiques dus à l’emploi d’un relais auxiliaire
lorsque les temps de réponses des contacts doivent être pris en compte.
f) Le relais bistable
Ce relais est composé électriquement :
De deux bobines installées sur un circuit magnétique (électro-aimant).
De plusieurs contacts inverseurs (contact à ouverture et à fermeture possédant un
point commun) qui sont à position maintenue.
g) Le relais temporisé
Le relais se compose :
D’une bobine installée sur un circuit magnétique qui, excité, attire une palette
mobile.
D’un ou plusieurs contacts à action temporisée ; par rapport à l’excitation de la
bobine, ils changent d’état avec un retard qui est réglé par l’utilisateur. C’est la
temporisation du contact.
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
1-3-1) Fusibles
Les fusibles assurent la protection du circuit d’alimentation contre les fortes surcharges et
les courts-circuits. Il existe plusieurs types de fusibles qui sont qui sont :
1-3-3) Le disjoncteur
C’est un appareil à commande manuelle ou automatique dont un des rôles est de protéger
l’installation contre les surcharges et les courts-circuits. Il est composé :
De plusieurs contacts ;
D’un déclencheur thermique ;
D’un déclencheur électromagnétique
Son fonctionnement est simple ; l’ouverture automatique de ses contacts se réalise par
action du déclencheur thermique en cas de surcharge ou par action du déclencheur
électromagnétique en cas de court-circuit.
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
1-3-4) Le discontacteur
Un contacteur ;
Un relais de protection thermique ou électrothermique ou magnétothermique.
2- STRUCTURE
Les installations d’automatisme sont séparées en deux parties bien distinctes appelées :
Circuit de commande
Circuit de puissance.
Les deux circuits sont électriquement séparés l’un de l’autre ; chacun assurant plus ou
moins les différentes fonctions que doit réaliser toute installation électrique selon la norme
NFC15-100.
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
Source alternative :
On utilise soit la tension du secteur composée d’une phase et du neutre (tension
monophasée), soit par deux phases (tension composée du réseau) en fonction des bobines
à alimenter et soit avec l’utilisation de la TBTS (on abaisse la tension du secteur avec un
transformateur BT/TBT de façon à obtenir une tension d’utilisation dite de sécurité).
Inconvénient : en cas de coupure de l’alimentation ; le circuit de commande n’est plus
alimenté
Source continue :
Elle est constituée en générale:
D’un transformateur BT/TBT dont le rôle est d’une part de maintenir la charge de la
batterie et d’autre part de la recharger après une panne de la tension du secteur.
D’un redresseur qui transforme la tension alternative au secondaire du
transformateur en une tension unidirectionnelle (continu).
D’une batterie d’accumulateur.
Son avantage est qu’en cas de panne CIE, le circuit de commande est alimenté par la
batterie d’accumulateur.
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
D’augmenter considérablement la pression sur les pôles (il n’y a pas comme en
courant alternatif, de passage au zéro de la période) ;
De maintenir le contacteur fermé même si le réseau d’alimentation est affecté de
fortes chutes de tension ;
De retarder légèrement l’ouverture du contacteur lors de la disparition très fugitive
de la tension d’alimentation (la bobine est raccordée aux bornes du redresseur). Le
redresseur, la bobine, ainsi que la résistance qui réduit la consommation au maintien
doivent être définis en fonction de la tension du réseau et de la taille du contacteur.
En outre, le redresseur doit être capable de supporter la tension du réseau et
l’intensité d’appel du contacteur.
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
Remarque :
De façon classique, le circuit de puissance qui est un circuit terminal a comme
élément de départ l’appareil assurant la fonction sectionnement.
De nos jours, il existe des appareils (appareils à fonctions multiples) qui peuvent
à eux seuls assurer une partie ou toutes ces différentes fonctions.
3-2-2) Alimentation
Le choix de la tension d’alimentation dépend essentiellement des caractéristiques du ou des
récepteurs de puissance.
Source alternative
Elle est monophasée (utilisation d’une phase et du neutre), biphasée ou triphasée
(utilisation de trois phases avec ou sans neutre) en fonction de la charge.
Remarque : En cas de panne CIE, un groupe électrogène peut être prévu et mis en
marche de façon à réalimenter l’installation.
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE
CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE
Matière : Schéma
Figure 2 : Contacteurs
Prof : M. ADIKO
STRUCTURE GENERALE D’UNE CME
INSTALLATION INDUSTRIELLE doc : 4/4
Matière : Schéma