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Cours 3 - Biostratigraphie et

biochronologie
évolution est comme une flèche temporelle irréversible

diapo 6
avec biozone on peut avoir des coupures plus fines = l'étage
propose de découper système Jurassique de 33 biozones pour raffiner la datation relative

diapo 7
coupures, tranches de sed qui représentent les intervalles temporels plus fins que les
étages

diapo 8
chaque zone est établie par des coexistences de +sr fossiles
assemblage unique de coexistence qui représente l'assemblage A ou B

diapo 9
bassins en Allemagne, Suisse, France caractérisés pas différents faciès et grâce aux zones
ammonites etc on peut corréler ces lithofaciès qui ont des âges différents
puissance de la biostrati sont les fossiles (biostrati sous les évènement biologiques avec
les fossiles)

diapo 11
principaux groupes de fossiles utilisés en biostrati en milieu marin, bons marqueurs
biostrati
paléozoïque car fossiles à squelette
pour cambrien et ordovicien : trilobites, pour ordovicien et silurien : graptolites etc
conodontes = restes de mandibules de vertébrés

diapo 12
milieu continental
paléozoïque : spores
pollen vont avec apparition des angiospermes et sont utilisés sur tout mésozoïque et
quaternaire
et aussi dents des mammifères dans séries continentales du quaternaire
diapo 13
critères pour définir un bon biomarqueurs : durée d'existence faible (taux d'évolution
rapide), bien réparti sur toute la Terre, faciles à reconnaitre au niveau taxonomique pour la
classification (caractères clairs, ne pas confondre)

diapo 14
différents types de biozone pour établir échelle biostrati
critères pour établir la biozone (+ petite unité de la biostrati)
zone d'association : coexistence de +sr espèces, + large, période d'histoire croisée
zone de distri concomitante : zone de rencontre, de chevauchement
zone de distri totale : durée existence dans registre fossile très court
zone d'abondance : pic d'abondance, mais risqué car abondance d'un fossile est
dépendant de l'envt, très peu utilisé
zone de lignage : évolution graduelle entre différentes espèces, échanges morpho très
graduels
zone d'intervalle : la + utilisé par µpaléontologues établis par datum (1re ou dernière
apparition d'une espèce), le + robuste est d'utiliser 1res apparitions des espèces (en rouge)

diapo 15
exemple cénozoïque, oligocène avec rongeurs et morpho des dents (longueurs molaires
avant) : on voit variation graduelle de la taille et morpho aussi diffère
morpho ont établis +sr espèces
établi en superposition dans une succession couche par couche

diapo 16
(jaune et bleu)
différents types d'échelle selon type de zone utilisée
plus classique = continue (et dedans surtout la zone à intervalles, délimités par apparition
d'une nouvelle espèce ou d'un nouveau taxon)
à partir zone d'abondance (acmé) : zone A due à abondance de l'espèce A mais peu utilisé
car variations en fct de l'envt

biozone discrète : intervalles de coexistence d'assemblages mutuellement exclusifs,


toujours les chevauchements d'existence entre +sr espèces et voit intervalles qui peuvent
être séparés (A peut être séparé comme intervalle temporel de la B et de la C)

diapo 17
ex d'une zone d'intervalle
référence : foram planctonique du campanien et maastrichtien
figure haut droite : 8 à échelle d'existence très courte
pour autre type de zone : on utilise le critère de 1re apparition (figure gauche)

diapo 18
on va sur le terrain, on mesure/prélève les diff lithofaciès avec diff formations, et on établi
un log avec toutes les variations sédimentologiques, puis on prélève chaque 10cm par ex
des sédiments puis retour au labo on fait lavage (coupes fines) puis reconnaissance à la
loupe des différentes espèces
ensuite on établi une carte/charte de distribution entre épaisseur et les différentes espèces
on cherche l'espèce marqueur

diapo 19
même chose pour différentes coupes de la région
coupe 2 et 3 on trouve en superposition d'autres zones --> peut établir des corrélations
d'intervalles
on cherche bioévènements qui soient reproductibles

diapo 20
superposition/ordre doit être reproductible sinon inutilisable
des fois obligés de faire zones + larges au lieu de zones trop précises qu'on ne peut pas
utiliser dans le temps
compromis entre temporel et reproductibilité

diapo 21
notion espace, distribution géo dans le temps d'une espèce
parler du pb du diachronisme quand on parle de 1re et dernière apparition
idéal = apparition synchrone dans tout le globe mais pas le cas
mais donne aussi barre d'erreur

jaune (monde utopique) = vraie chronozone d'un intervalle d'existence d'un taxon (vraie
1re et vraie dernière de l'apparition d'une espèce) mais jamais on aura la vraie 1re
apparition d'une espèce
(lignes isochrones = même temps/intervalle temporel)
sections 1, 2, 3, 4
bleu = distribution d'existence dans registre fossile
1re apparition peut être très différentes, très diachrone entre les deux
pourquoi on a ces phénomènes (diachronisme) ?
envt : variations dans envt, une espèce pourra être à un endroit à un moment mais
pas à un autre (envt favorable ou défavorable, puis redevient favorable etc)
fossilisation : préservation, diagénèse primaire, certains se préservent, d'autres ont
besoin de conditions précises etc
discontinuité de l'enregistrement dans la sédimentation

plus biomarqueurs performant et + diff entre biozone observée et chronozone sera réduite
(niveau de site 3 entre pointillés et zone blanche)

diapo 22
croisé donné 1re apparition, données magnétostrati, échelle numérique
avant : 1re apparition des espèces sont souvent aux basses latitudes des océans
apparitions plus jeune sont plutôt aux hautes latitudes
--> réchauffement
grâce à diachronisme on peut tracer ces migrations

diapo 24
autre approche pour éviter pb du diachronisme ou les analyser

diapo 25
on trouve 4 espèces dans même niveau donc elles sont surement existé au même
moment, mais ct les rendre exclusives ?

diapo 26
compatibles = ont existé réellement car je l'ai observé (ensemble dans même couche)
mais aussi virtuellement (pas dans même couche mais dans le temps ont coexisté)

diapo 28
4 logs, n° = espèces
on a plein de croisements donc ont coexistées, superposition de la 1re apparition et ordre
n'est pas reproductible car peut avoir des cas de coexistence virtuelle etc

diapo 29
synthèse des données
sommets = espèces
lignes = coexistence entre les espèces
diapo 30
ensemble max de coexistence entre couples des espèces
clique max = ensemble pas continu dans un autre ensemble
1 10 4 1 pas max car continu dans ens + gd avec 1 2 4 8 10 qui lui est un ens max
chaque association unitaire est un ens d'ensembles en coexistence max donc exclusive

diapo 31
flèches comme relation : pour espèces incompatibles chronologiquement
relation de superposition
5 est en bas de 1 et ne sont jamais ensemble en coexistence

diapo 32
synthèse graph chronostrati
on voit où vont les flèches
UA = unités d'associations

diapo 33
horizons max exclusifs ont une valeur locale

diapo 34
K1 représenté dans 1 2 3 4
K2 dans 1 3 5 2
pour passer dans unité : faut que cliques soient soit réels soit virtuel

diapo 35
logiciel montre circuits contradictoires / interdits car relation de superposition inversion
(triangle de gauche)
pour les casser, on doit mettre relation de coexistence virtuelle

diapo 36
6 circuits avec contradictions
pour les corriger on en met certains en virtuel

diapo 37
pour chaque coupe on met les 1res apparitions et les profondeurs
association unitaire = tranche du temps qui représente la coexistence max d'une espèce
diapo 40
zones d'associations unitaires sont + fines que dans les zones std car jeu de données est
très performant et ammonites aussi, donc résultat avec cette méthode l'est aussi

diapo 41
34 associations unitaires
diachronisme de la 1re apparition de cette espèce dans les 3 bassins
méthodes nous permettent en évidence des cas de diachronisme et de les interpréter
après

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