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SCHNEIDER
Control Expert
2. STRUCTURATION DU PROGRAMME................................................................................. 19
7. COMPLEMENTS......................................................................................................................160
1. MODICOM M580
Les Modicon M580 (automates programmables Ethernet) offrent efficacité, résilience,
cybersécurité renforcée et sécurité pour les opérations automatisées.
Ils sont conçus sur la base d’un réseau principal Ethernet pour optimiser la connectivité et la
transparence des données. Ils prennent en charge les modules d’entrées/sorties Modicon X80
communs aux Modicon M340, qui peuvent être facilement intégrés dans leur architecture.
Ces puissants processeurs offrent des niveaux élevés de calcul pour des communications en
réseau complexes, la concentration de données et les applications de contrôle.
◼ Composants :
8
MODICOM M580
Processeurs autonomes BME P58
1.1.PROCESSEURS AUTONOMES BME P58
Le processeur autonome BME P58 est un processeur d'automatisme modulaire qui occupe
physiquement deux emplacements de module sur un fond de panier.
Les processeurs peuvent être installés sur les racks Ethernet + bus X BME XBP et sur les
racks bus X BMX XBP.
Les neuf processeurs de cette gamme ont différentes capacités de mémoire, vitesses de
traitement, fonctions intégrées du port Ethernet, ainsi qu'un nombre variable
d’entrées/sorties et de racks locaux supportés.
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MODICOM M580
Processeurs autonomes BME P58
6 Un numéro de série, une version de produit et une adresse MAC imprimés en face avant du
processeur.
7 Deux crochets et deux vis pour la fixation mécanique et la mise à la masse avec le fond de
panier.
8 Deux connecteurs pour la connexion électrique à un fond de panier M580 (bus X uniquement
ou fond de panier Ethernet).
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MODICOM M580
Processeurs autonomes BME P58
1.1.1.BLOC DE VISUALISATION
LED Fonction
RUN Etat de fonctionnement du processeur
ERR Défaut processeur or système détecté
I/O Défaut de modules d’E/S détecté
DL Firmware en cours de chargement
Défaut de carte mémoire ou de cohérence de
BACKUP
l’application sauvegardée détecté
Etat de la configuration du port Ethernet (Module
ETH MS MOD STATUS
Status)
ETH NS NET STATUS Etat de la connexion Ethernet (Network Status)
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MODICOM M580
Processeurs redondants BME H58
1.2.PROCESSEURS REDONDANTS BME H58
Les processeurs redondants BME H58 sont dédiés aux architectures à haute disponibilité
et occupent physiquement deux emplacements de module sur un fond de panier.
Les processeurs BME H58 peuvent être installés sur les racks Ethernet + bus X BME XBP,
sur les racks bus X BMX XBP et sur les racks à double alimentation BME XBP0602/1002 (ce
qui permet l'utilisation d’alimentations redondantes BMX CPS4002p).
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MODICOM M580
Processeurs de sécurité BME P58●040S
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MODICOM M580
Processeurs de sécurité BME P58●040S
1 Les processeurs BME P58p040S comprennent les
éléments suivants :
Bloc de visualisation comprenant 8 voyants qui
permettent un diagnostic rapide du processeur :
Voyant RUN (vert) : processeur en fonctionnement
(exécution du programme)
Voyant ERR (rouge) ; I/O (rouge) ; DL (vert) ; BACKUP
(rouge) ; ETH MS (bicolore vert/rouge) ; ETH NS
(bicolore vert/rouge) ; FORCED I/O (bicolore
vert/rouge) :
2 Port USB mini-B pour le raccordement à une console
de programmation.
3 Port RJ45 Ethernet qui permet le diagnostic des ports
Ethernet et fournit un accès aux outils internes,
périphériques et périphériques d’entrées/sorties
distribués.
4 Doubles ports RJ45 Ethernet pour la connexion aux
stations d’entrées/sorties distantes (EIO) et aux
équipements distribués (via les DRS)
5 Emplacement pour carte mémoire SD optionnelle
dédiée au stockage d’applications et de données : un
voyant, situé derrière le capot de protection, signale
tout accès à la carte mémoire .
6 Numéro de série, version du produit et adresse MAC
imprimés en face avant.
7 Deux crochets et deux vis pour la fixation mécanique
et la mise à la terre avec le fond de panier.
8 Deux connecteurs pour la connexion électrique à un
fond de panier M580 (fond de panier bus X + Ethernet).
9 QR code pour accéder à la fiche technique produit.
BMEP58CPROS3 inclut les éléments suivants :
10 Bloc de visualisation comprenant 2 voyants qui
permettent un diagnostic rapide du processeur :
Voyant ERR (rouge) : erreur détectée au niveau du
coprocesseur ou du système
Voyant DL (vert) : téléchargement du firmware en
cours.
11 Numéro de série et version du produit imprimés en
face avant.
12 Deux crochets et deux vis pour la fixation
mécanique et la mise à la terre avec le fond de panier.
13 Deux connecteurs pour la connexion électrique à un
fond de panier M580 (fond de panier bus X + Ethernet).
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MODICOM M580
Modules de communication compatibles M580 uniquement
1.4.MODULES DE COMMUNICATION COMPATIBLES M580 UNIQUEMENT
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MODICOM M580
Modules de communication compatibles M580 uniquement
1.4.2.MODULE PROFIBUS DP MAÎTRE PME PXM 0100
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MODICOM M580
Modules de communication compatibles M580 uniquement
1.4.3.MODULES DIVERS
NOC CONTROL
FACTORYCAST ETH MODULE
BME NOC 0321
BME NOC 0311
- Routeur
- Port de service
- Port de service
- Anneau DIO
- Anneau DIO
- Serveur Web Utilisateur (0311)
- Serveur Web utilisateur
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MODICOM M580
Modules de communication compatibles M580 uniquement
COUPLEUR DE COMMUNICATION
GLOBAL DATA MODULE
ETHERNET M580 AU PROTOCOLE IEC 61850
BMX NGD 0100
BME NOP 0300
- Global Data
- IEC 61850 (distribution électrique)
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STRUCTURATION DU PROGRAMME
Le cycle automate
2. STRUCTURATION DU PROGRAMME
◼ Cycle cyclique :
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STRUCTURATION DU PROGRAMME
Le cycle automate
◼ Cycle périodique :
Le temps de réalisation des trois phases est déterminé, 100ms est un temps standard.
Le cycle se relance donc à intervalle régulier.
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STRUCTURATION DU PROGRAMME
Taches
2.2.TACHES
Une tâche se définit comme un élément de commande d’exécution, capable de lancer, soit
de façon cyclique, soit de façon périodique, soit lors du front montant d’une variable ou
expression logique, l’exécution d’un ensemble d’unités d’organisation de programme
(sous programmes, blocs fonctions).
Elle peut être programmée dans différents langages : IL, ST, LD, FBD, SFC.
Elle peut être exécutée de manière cyclique (durée liée au programme) ou de manière
périodique (1ms à 255ms à configurer).
Enfin, elle est contrôlée par un chien de garde, des bits et des mots systèmes.
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STRUCTURATION DU PROGRAMME
Taches
◼ Accès aux propriétés de la tâche MAST. Clic droit sur MAST puis Caractéristiques.
Durée de la période
si périodique
Exécution cyclique
ou périodique
◼ Le chien de garde.
La période de l’exécution de la tâche MAST, en fonctionnement cyclique ou périodique est
contrôlée par l’automate et ne doit pas excéder la valeur définie dans a configuration.
C’est le chien de garde.
Si le dépassement du chien de garde se produit, le programme est déclaré en erreur, ce
qui entraîne l’arrêt immédiat de la CPU.
La variable système %S11 Watchdog passe à 1 lorsque le temps d’exécution maximal d’une
tâche est dépassé.
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STRUCTURATION DU PROGRAMME
Taches
2.2.2.TÂCHE RAPIDE FAST
Elle peut être programmée dans différents langages : IL, ST, LD, FBD, SFC.
Elle est exécutée de manière cyclique manière périodique (1ms à 255ms à configurer).
Enfin, elle est contrôlée par un chien de garde, des bits et des mots systèmes.
Attention, plus la période de la tâche FAST est petite, plus le temps d’exécution de la
tâche MAST augmente et peut alors atteindre la valeur définie dans le chien de garde.
2.2.3.TÂCHES ÉVÉNEMENTIELLES
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STRUCTURATION DU PROGRAMME
Taches
◼ Création d’un tâche via un clic droit puis Nouvelle tâche ou Nouvel Evènement :
La variable système %S19 Overrun passe à 1 lorsque le temps d’exécution d’une tâche
périodique est dépassé.
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STRUCTURATION DU PROGRAMME
Taches
2.2.3.1.Tache évènementielle E/S
Le traitement de l’événement est utilisé pour réduire le temps de réponse du
programme aux événements pouvant provenir de modules d’entrées/sorties.
Tous les modules ne présentent pas cette fonctionnalité.
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STRUCTURATION DU PROGRAMME
Taches
2.2.3.2.Tache évènementielle TIMER
Ces événements sont gérés de manière périodique et entièrement déclenchés par
le programme automate et non plus par une carte d’entrées-sorties
La section événement Timer0 sera scruté à chaque fois que la durée sélectionnée
dans la configuration sera écoulée. Le déclenchement de la temporisation
s’effectue par un bloc système ITCNTRL qu’il faut insérer dans une section de la
tache MAST ou FAST.
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STRUCTURATION DU PROGRAMME
Taches
2.2.4.STRUCTURATION MULTI TÂCHES
◼ Exemple avec une tâche MAST cyclique et une tâche FAST à 20 ms et une tache
événementielle :
Il faut éviter dans les sections associées aux taches FAST et EVT de placer trop de lignes de
programme car cela sera au détriment du programme principal MAST.
Le temps d’exécution de la tâche MAST peut alors atteindre la valeur définie dans le chien
de garde.
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STRUCTURATION DU PROGRAMME
Taches
Chaque tâche assure l’écriture et la lecture des entrées/sorties qui lui sont affectées.
L’association d’une voie, d’un groupe de voies ou d’un module d’entrées/sorties à une
tache est définie dans l’écran de configuration du module correspondant.
Dans l’exemple ci-dessus de configuration d’une carte DDI3202K (32 entrées), on peut
affecter par groupe de 8 entrées (4 voies) soit à la tâche MAST ou FAST.
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LES VARIABLES
Structuration des données
3. LES VARIABLES
Une variable permet d'identifier des objets de données et son contenu et est défini par :
◼ Son Nom (32 caractères maxi)
◼ Son Type
◼ Son Adresse ou repère (non obligatoire)
◼ Un alias (non obligatoire)
◼ Sa Valeur Initiale (non obligatoire)
◼ Son commentaire (non obligatoire)
Exemples :
Variable localisée
(avec adresse)
Une variable non localisée est une variable qui n’est liée à aucun module ou zone
mémoire. Une variable qui n’a pas d’adresse est dite non localisée.
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.TYPES DE VARIABLES
Il existe 4 types de variables :
◼ Les variables élémentaire EDT
◼ Les variables dérivées DDT
◼ Les variables dérivées d’E/S IODDT
◼ Les variables dérivées d’équipement DDT d’équipement (M580)
3.2.1.1.Type Booléen
Le type BOOL, abréviation du type booléen, contient uniquement la valeur FALSE (=0)
ou TRUE (=1). Il s'agit de l'élément de données de base en informatique.
Un bit extrait de mot est de type BOOL, par exemple : %MW10.4
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.1.2.Type Entier simple et double (INT/DINT/UINT/UDINT)
Il existe 4 types de nombre Entier qui permettent de représenter une valeur dans les
différentes bases.
◼ INT : Entier Signé
◼ UINT : Entier non Signé
◼ DINT : Entier Double Signé
◼ UDINT : Entier Double non Signé
INT est l'abréviation du format Single INTeger (entier simple) et est codé sur 16
bits).
Les butées inférieure et supérieure sont les suivantes :
UINT est l'abréviation du format Unsigned INTeger (entier non signé) et est codé
sur 16 bits).
Les butées inférieure et supérieure sont les suivantes :
DINT est l'abréviation du format Double INTeger (entier double) et est codé sur 32
bits).
Les butées inférieure et supérieure sont les suivantes :
UDINT est l'abréviation du format Unsigned Double INTeger (entier double non
signé) et est codé sur 32 bits).
Les butées inférieure et supérieure sont les suivantes :
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.1.3.Type Time (TIME)
Le Type Time est représenté par un type entier double non signé (UDINT).
Il exprime une durée où l’unité de temps est la milliseconde, ce qui représente
approximativement une durée maximum de 49 jours.
Les unités de temps autorisées pour représenter une valeur de type TIME sont le jour
(D), l’heure (H), la minute (M), la seconde (S) et la milliseconde (MS).
Une valeur littérale du type TIME est déterminée par la lettre "T" ou "TIME" et le signe
"#".
Le type Date est codé sur un format de 32 bits et contient les informations suivantes :
◼ L’année codée sur 16 bits (4 quartets de poids forts)
◼ Le mois codé sur 8 bits (2 quartets)
◼ Le jour codé sur 8 bits (2 quartets de poids faibles)
Le format de saisie du type DATE est : D#AAAA-MM-JJ
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.1.5.Type Time Of Day (TOD)
Le type Time Of Day est codé sur un format de 32 bits et contient les informations
suivantes :
◼ L’heure est codée sur 8 bits (2 quartets de poids forts)
◼ Les minutes sont codées sur 8 bits (2 quartets)
◼ Les secondes sont codées sur 8 bits (2 quartets)
Le format de saisie du type TOD est : TOD#HH:MM:SS
Et donc DT#2003-03-22-10:57:05
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.1.7.Type Chaîne de bits (BYTE/WORD/DWORD)
Lorsque 8 bits sont regroupés, on parle alors de BYTE (octet). Le type BYTE est codé sur
un format 8 bits qui, au format hexadécimal, va de 16#00 à 16#FF.
Lorsque 16 bits sont regroupés, on parle alors de WORD (mot). Le type WORD est codé
sur un format 16 bits qui, au format hexadécimal, va de 16#00 à 16#FFFF.
Lorsque 32 bits sont regroupés, on parle alors de DWORD (double mot). Le type
DWORD est codé sur un format 32 bits qui, au format hexadécimal, va de 16#00 à
16#FFFF.
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.1.8.Type chaîne de caractères (STRING)
Le format Réel (flottant dans la norme ANSI/IEEE) est codé sur un format de 32 bits ce
qui correspond à des nombres flottants simple précision.
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LES VARIABLES
Types de variables
◼ Nommer la variable et choisir son type (ici Formation de type EBOOL)
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LES VARIABLES
Types de variables
Une variable peut être crée directement depuis un éditeur de programmation au fur et
à mesure du développement du programme.
Exemple d’un tableau nommé Tableau_int et composé de 8 entiers simple signés INT
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.1.11.1.Création d’un tableau
◼ Créer une variable (tableau_int ici) dans l’éditeur de données. Choisir le type de
cette variable en fonction du type des variables du tableau que l’on souhaite créer
(INT ici).
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LES VARIABLES
Types de variables
◼ Valider. Le tableau est alors créé.
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.1.11.2.Utilisation des variables du tableau dans le programme
◼ En langage Ladder par exemple, cliquer sur la patte où l’on souhaite incérer
l’élément du tableau et cliquer sur la touche . La fenêtre suivante apparait.
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.2.TYPES DE DONNÉES DÉRIVÉES DDT
Le type de données dérivée DDT (Derived Data Type) est utilisé pour une variable associée
à plusieurs éléments. Ces types sont réalisés par l’utilisateur tel que des Structures ou des
Tableaux.
◼ Nommer la type tableau (ici vitesses), choisir le type <Tableau> puis cliquer sur la
touche .
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LES VARIABLES
Types de variables
◼ Choisir la dimension du tableau (ici 5, de 1 à 5) ainsi que le type de données qu’il
contient (ici INT). Remarque : Le tableau peut être constitué de type structure.
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.2.1.2.Instancier un type tableau
L’onglet types DDT permet la création du type tableau et l’onglet variables va permettre
d’instancier le type tableau.
◼ Créer une variable (convoyeur1 ici) et aller chercher le type tableau créé
précédemment (ici vitesses) :
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.2.2.Type Structure
Exemple d’une structure appelé variateur qui regroupera les paramètres suivants :
• 4 entiers UINT (ACC, DEC, LSP, HSP)
• 1 entier INT (LFRD)
• 1 mot WORD (CMD)
◼ Renseigner alors les différentes variables EDT et/ou DDT composant la structure.
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LES VARIABLES
Types de variables
◼ La structure est créée mais doit encore être analysé.
◼ Si aucune erreur n’est détectée, l’icône de la structure change, elle est prête à être
instancié.
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LES VARIABLES
Types de variables
L’onglet types DDT permet la création de la structure et l’onglet variables va permettre
d’instancier la structure.
◼ Créer une variable (variateur1 ici) et aller chercher la structure crée précédemment
(ici variateur) :
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.2.3.Utilisation d’une variable DDT dans le programme
◼ Pour utiliser une variable DDT instanciée dans le programme, qu’elle soit de type
tableau ou structure, cliquer sur l’icône .
◼ En langage Ladder par exemple, cliquer sur la patte où l’on souhaite incérer
l’élément du tableau et cliquer sur la touche . La fenêtre suivante apparait.
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.2.4.Instruction Bit Rank
Plusieurs méthodes existent pour l’utilisation des booléens dans une structure
DDT. :
◼ Soit utiliser les bits d’un entier, mais ils ne comportent pas de mnémoniques
du type NomDDT.Variable.X.
◼ Soit déclarer un booléen directement dans la structure, mais son poids est
d’un byte par booléen.
L’instruction Bit Rank va permettre d’avoir dans une structure des booléens avec
mnémoniques et qui occupent 1 seul bit par booléen.
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LES VARIABLES
Types de variables
◼ Après validation, les bit apparaissent avec une flèche bleue.
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LES VARIABLES
Types de variables
◼ Exemple d’instance du type DDT structure composée de booléens.
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.3.TYPES DE DONNÉES DÉRIVÉES D’E/S IODDT
Le type de données dérivée d’E/S IODDT (IO Derived Data Type) est utilisé pour une
variable associée à plusieurs éléments d’un module d’Entrées/Sorties ainsi qu’aux modules
métier (comptage) et de communication.
Ces types sont prédéfinis par le constructeur en fonction des modules et des voies.
Ils contiennent des objets langage de la famille EDT appartenant à la voie d’un module
métier.
◼ Pour visualiser la liste des types de données dérivées d’E/S, choisir Catalogue,
Modicon M340 puis la famille de module.
◼ Dans l’exemple ci-dessous les IODDT des modules analogiques sont affichés.
IODDT associés
au comptage
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LES VARIABLES
Types de variables
◼ Dans l’exemple ci-dessous les IODDT des modules TOR sont affichés.
C’est le constructeur qui a choisi les mnémoniques des structures et ils sont en anglais.
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.3.1.Création des IODDT
◼ Depuis les propriétés de la carte, cocher %CH puis appuyer sur la touche Mettre
à jour grille. Il est alors possible d’affecter un nom et un commentaire aux
entrées-sorties de la carte et à l’état du module.
Structures
Type IODDT
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LES VARIABLES
Types de variables
◼ Structures IODDT T_DIS_OUT_GEN (Sorties TOR génériques)
Voies : Module
Sorties
Structures
Type IODDT
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LES VARIABLES
Types de variables
◼ Les modules des automates sont associés à un IODDT de type T_GEN_MOD
55
LES VARIABLES
Types de variables
◼ Structure IODDT T_ANA_IN_BMX (Entrées ANALOGIQUES)
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LES VARIABLES
Types de variables
Exemple :
57
LES VARIABLES
Types de variables
◼ Structure IODDT T_ANA_OUT_BMX (Sorties ANALOGIQUES)
58
LES VARIABLES
Types de variables
Exemple :
59
LES VARIABLES
Types de variables
3.2.3.2.Utilisation des IODDT dans le programme
◼ Pour visualiser les données IODDT dans l’éditeur de données, cocher IODDT.
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LES VARIABLES
Types de variables
3.2.3.3.Échanges implicites et explicites
Les échanges implicites se font à chaque tour de cycle automate. Il n’y a pas besoin
d’instruction spécifique pour aller mettre à jour la variable. C’est le cas par exemple des
entrées et des sorties %I et %Q.
Les échanges explicites ne se font pas à chaque tour de cycle automate. Ce sont des
échanges réalisés à la demande de l’utilisateur du programme à l’aide d’instructions.
Echanges implicites
Echanges explicites
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LES VARIABLES
Types de variables
◼ Objets à échange implicite :
Les instructions READ_STS (lecture état) permettent la lecture explicite des mots d’état
associés aux modules métier (état du module ou état de la voie).
Exemple : READ_STS (%CH 0.2.0); (* voie 0 de l’emplacement 2)
Les instructions WRITE_CMD (écriture commande) permettent l’écriture implicite des mots
de commande associés aux modules métier (commande du module ou de la voie).
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LES VARIABLES
Types de variables
Remarque :
Les paramètres de réglage et de configuration sont conservés après une reprise à chaud
En cas de reprise à froid, les paramètres de réglage courant sont écrasés par les paramètres
de réglage initiaux ou sauvegardés. Les paramètres de configuration sont conservés.
63
LES VARIABLES
Types de variables
◼ Exemple :
64
LES VARIABLES
Types de variables
3.2.4.TYPES DE DONNÉES DÉRIVÉES D’ÉQUIPEMENT DDDT
Le type de données dérivée DDT d’équipement (Device Derived Data Type) correspond à
une structure DDT associée à un équipement crée par défaut lors de l’insertion de
l’équipement.
Nom modifiable
Ouvre l’éditeur de
données
Données DDT
d’équipement de la
carte BMX DDI 1602
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LES VARIABLES
Types de variables
◼ Toujours dans les propriétés de la carte, cliquer sur Voie 0 pour visualiser toutes
les données DDT de la carte.
◼ Nous allons maintenant créer des Alias pour lier les variables du programme
aux données DDT d’équipement.
66
LES VARIABLES
Types de variables
◼ Dans l’onglet Variables, cocher EDT et saisir le nom des variables donc on souhaite
créer l’Alias. Choisir le type (EBOOL) et dans la colonne Alias pour aller chercher la
variable DDT d’équipement.
◼ Retourner dans les propriétés de la carte, cliquer sur Voie 0, on peut voir que
les noms des entrées dont l’alias pour a été créé ont changés.
67
LES VARIABLES
Espace mémoire des variables localisées
3.3.ESPACE MÉMOIRE DES VARIABLES LOCALISÉES
L’adressage direct des zones mémoires de type mot double et flottant n’existe pas dans le
M340. Pour les déclarer, il faut donc déclarer une zone de type mot %MW.
68
LES VARIABLES
Espace mémoire des variables localisées
Du fait de l’organisation mémoire du M340, si l’on doit localiser des variables du type :
DINT - UDINT - REAL - TIME - DT - DATE - DWORD – TOD (qui sont codées sur plusieurs
mots), les variables auront toutes forcément une adresse mémoire qui débutera par une
adresse PAIRE.
◼ Exemple de chevauchement:
Recouvrement
69
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Espace mémoire des variables localisées
4. LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Control Expert propose les langages suivants pour la création du programme utilisateur :
◼ Diagramme fonctionnel en séquence (SFC)
70
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Espace mémoire des variables localisées
Tous ces langages peuvent être utilisés ensemble dans le même projet.
Tous ces langages sont conformes à la norme CEI 61131-3.
71
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.LANGAGE FBD
Le diagramme FBD décrit une fonction entre des variables d'entrée et des variables de
sortie.
Fonction
Sortie
Entrées
Arc de lien
Une fonction est décrite comme un réseau de blocs élémentaires. Les variables d'entrée
et de sortie sont connectées aux blocs par des arcs de lien.
Une sortie d'un bloc peut aussi être connectée sur une entrée d'un autre bloc.
72
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.1.CRÉATION D’UNE SECTION FBD
73
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.2.COMPOSITION D'UNE SECTION FBD
Commentaire
Inversion
Expression
logique ST
Valeur littérale
Adresse
Variables Liaison
E/S EN et ENO
L'ordre d'exécution des blocs qui ne sont pas reliés entre eux par des liaisons est défini par
l'ordre graphique : gauche à droite puis haut vers le bas
L'exécution d'une section a lieu réseau par réseau de gauche à droite puis du haut vers le
bas.
74
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.3.LA BARRE D'OUTILS FBD
Outils
Sélection de données
Liaison
Négation de broche
Chaînes étendues
Sauts
Saut à l’étiquette
Étiquette de saut
Retour
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75
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.4.LES FONCTIONS EN FBD
4.1.4.1.Fonction élémentaire
Pour le détail des bloc fonctions élémentaires se reporter au chapitre LES FONCTIONS/Bloc
fonction élémentaire.
76
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.4.3.Bloc fonction dérivé
Pour le détail des blocs fonction dérivé se reporter au chapitre LES FONCTIONS/Bloc
fonction dérivé.
4.1.5.LES LIAISONS
Les liaisons sont des liens verticaux et horizontaux entre les blocs.
◼ Les points de liaison sont marqués par un cercle rempli.
◼ Le croisement est représenté par une liaison "interrompue".
Les liaisons peuvent être utilisées pour n'importe quel type de données mais les types
de données respectifs des entrées/sorties à relier doivent correspondre les uns aux
autres. Plusieurs liaisons peuvent être reliées à une sortie. Une seule cependant peut
être reliée à une entrée.
77
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
Les entrées et sorties peuvent être reliées ensemble. La liaison de plusieurs sorties
n'est pas possible. Cela signifie qu'aucun lien OU via des liaisons n'est possible en
langage FBD. Il faut utiliser une fonction OR dans ce cas.
Selon le type d'objet source, le nom du connecteur est formé comme suit :
▪ Pour les fonctions : "numéro de fonction/paramètre formel" de la source de la
liaison.
▪ Pour les blocs fonction : "nom d'instance/paramètre formel" de la source de la
liaison.
78
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.6.NÉGATION DE BROCHE
Les broches (entrées et sorties) du type de données BOOL peuvent être inversées.
Les broches inversées sont identifiées par un symbole en forme de cercle. Les broches
inversées doivent obligatoirement être reliées avec une liaison graphique ou une
variable. Les broches inversées ouvertes ne sont pas autorisées.
Le sous-programme à appeler doit se trouver dans la même tâche que la section FBD à
appeler.
Pour l'appel sans condition du sous-programme, masquer EN et ENO du bloc de sous-
programme ou affecter la valeur 1 à l'entrée EN.
Pour l'appel sous conditions du sous-programme, afficher EN et ENO du bloc de sous-
programme et relier l'entrée EN à une sortie booléenne.
Appel sans
condition
Appel sous
condition
79
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.8.SAUTS
Étiquette de saut
Saut à l’étiquette
Dans un SR, un objet RETURN force le retour au programme qui a appelé le SR.
Le reste du SR contenant l'objet RETURN n'est pas exécuté.
Le programme qui a appelé le SR sera exécuté après retour du SR.
80
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.9.ORDRE DE SCRUTATION
Le numéro d'exécution (numéro figurant dans le coin supérieur droit du cadre de FFB)
indique l'ordre d'exécution.
L'ordre d'exécution des blocs qui ne sont pas reliés entre eux par des liaisons est défini
par l'ordre graphique : gauche à droite puis haut vers le bas
L'exécution d'une section a lieu réseau par réseau de gauche à droite puis du haut vers
le bas.
L'ordre d'exécution des blocs qui sont reliés à différentes sorties du même bloc va du
haut vers le bas.
81
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
Il est possible de modifier l’ordre d’exécution :
82
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.10.LA CONDITION D’EXÉCUTION D’UN BLOC
Par défaut un bloc fonction n’est pas conditionné, il est exécuté à chaque tour de cycle.
Il est possible de conditionner son exécution. Double cliquer sur le bloc pour afficher
ses propriétés. Cocher alors la case Afficher EN/ENO.
4.1.11.COMMENTAIRES
83
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.12.OUTILS
FFB est le terme générique pour désigner les fonctions élémentaires (EF), les blocs
fonction élémentaires (EFB) et les blocs fonction dérivés (DFB). (voir chapitre Les
fonctions).
4.1.12.1.Sélection de données
84
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.12.2.Assisant de saisie FFB
Zone de Liste
saisie directe Liste des FFB complète
du type FFB déjà utilisées des FFB
85
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
Dans la colonne Nom, taper * pour visualiser tous les blocs fonction ou renseigner le
nom du bloc s’il est connu (TON par exemple) puis valider par OK.
86
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
Paramètres Type de donnée
formels (entrées, des paramètres Paramètres réels
sorties) associés à formels (entrées, de l’instance de la
l’instance de la sorties) associés à fonction / du bloc
fonction / du bloc l’instance de la fonction
fonction fonction / du bloc
fonction
Si la valeur de EN est déjà réglé sur 0, lors de l'appel de FFB, les algorithmes définis par
FFB ne sont pas exécutés et ENO est réglé sur 0.
Si la valeur de EN est déjà réglé sur 1, lors de l'appel de FFB, les algorithmes définis par
FFB sont exécutés. Après l'exécution sans erreur de ces algorithmes, la valeur de ENO
est réglée sur 1. Si une erreur se produit durant l’exécution de ces algorithmes, ENO
est réglé sur 0.
87
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
Supprimer broche(s) : Cliquez sur ce bouton pour diminuer le nombre d'entrées des
fonctions extensibles (par ex. AND, OR). Pour diminuer le nombre d'entrées,
sélectionnez-la ou les dernières broches de la structure et cliquez sur le bouton
Supprimer broche(s).
Par défaut le logiciel insère 2 bornes d’entrées sur les blocs. Il est bien sûr possible
d’ajouter des bornes d’entrées. Pour cela, sélectionner le bloc, puis pointer la souris
sur le carré noir en bas au centre du bloc et l’étirer vers là-bas
Possibilité d’ajouter ou
de supprimer
directement depuis
l’éditeur en
agrandissant ou
réduisant le bloc
88
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.12.3.Navigateur bibliothèque de types
◼ Il est alors possible de déplacer par glisser-déplacer des fonctions et blocs fonction
(FFB) du navigateur bibliothèque de types vers une section de programme.
Sélectionner la
bibliothèque
Sélectionner la
famille
89
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.12.4.Barre de favoris
Exemple :
90
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.13.AFFECTATION DES VARIABLES
◼ Pour affecter les variables à une entrée ou une sortie, faire un double clic sur
l’élément :
Il est autorisé d’utiliser le nom d’instance d’un bloc fonction élémentaire pour accéder
à une variable en sortie.
Le bloc fonction
élémentaire tempo TON
avec comme nom
d’instance tempo1
Test de la sortie Q
du bloc TON
Tempo1.q
91
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage FBD
4.1.13.2.Utilisation d’expression ST
Il est possible d’écrire un test de comparaison ST sur une entrée logique d’un bloc si
l’option est cochée dans les options du projet.
92
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.LANGAGE ST
Le langage ST (Structured Text) est un langage textuel de haut niveau dédié aux
applications d'automatisation. Ce langage est principalement utilisé pour implémenter des
procédures complexes, difficilement modélisables avec les langages graphiques.
93
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.1.CRÉATION D’UNE SECTION ST
94
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.2.COMPOSITION D'UNE SECTION ST
Une ligne peut contenir plusieurs instructions (séparées par des points-virgules) et est
limitée à 300 caractères. Un seul point-virgule représente une instruction vide.
Commentaire
Enoncé ou instruction
Variable
Opérateur
Structure
IF THEN
END IF
95
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.3.LA BARRE D'OUTILS ST
Instructions
Outils
Rechercher
Insérer un commentaire
Taille de police
96
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.4.LES INSTRUCTIONS
Expression
Instruction
Opérateur Opérande
◼ Les expressions sont des constructions qui comprennent des opérateurs et des
opérandes qui livrent une valeur lors de leur exécution.
◼ Un opérande peut être une adresse, une étiquette, une variable, une variable
multi-éléments, un élément d’une variable multiéléments.
◼ Un opérateur est un symbole permettant de réaliser une opération arithmétique,
une opération logique, un traitement de fonction (appel).
Une ligne peut contenir plusieurs instructions qui sont séparées par des points-virgules.
Passer la souris sur l’erreur permet d’afficher un pop-up qui indique la raison de
l’erreur.
97
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.5.LES COMMENTAIRES
4.2.6.LES ÉTIQUETTES
Une Étiquette sert de cible à atteindre pour les sauts. L’option doit être cochée dans
les options du projet.
Une Étiquette doit être le 1er élément d’une ligne, uniquement devant les instructions
du premier ordre (pas dans les boucles) et est terminé par deux points ":"
Une Étiquette est unique dans toute la section. On ne fait pas de distinction ici entre
majuscules et minuscules et elle doit contenir 32 caractères maximum.
98
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.7.LES OPÉRATEURS
99
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
◼ Opérateurs de comparaison sur mots, doubles mots et réels :
100
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.8.LES FONCTIONS
Zone de Liste
saisie directe Liste des FFB complète
du type FFB déjà utilisées des FFB
101
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
◼ Dans la colonne Nom, taper * pour visualiser tous les blocs fonction ou renseigner
le nom du bloc s’il est connu (TON par exemple) puis valider par OK.
◼ La boîte de dialogue est fermée et l'assistant de saisie FFB est activé. L'instance de
bloc fonction dans la zone de texte Instance est déjà renseignée. Vous pouvez
appliquer le nom proposé ou vous pouvez modifier le nom proposé.
102
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
◼ La fonction est insérée dans la section. Toutes les bornes d’entrée et de sorties
sont présentes. Un commentaire indique le type de variable attendu sur chaque
borne. Remplacer alors le commentaire par la variable.
Bornes d’entrée
Bornes de sortie
Instance
◼ Les bornes non utilisées doivent être effacées de la section. Exemple ci-dessous,
seules les bornes IN et PT sont utilisées.
◼ Il est possible d’utiliser l’assisant de saisie FFB pour renseigner les bornes
d’entrée et de sortie.
103
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
Par défaut le logiciel insère 2 bornes d’entrées sur les blocs. Il est bien sûr possible
d’ajouter des bornes d’entrées.
Supprimer broche(s) : Cliquez sur ce bouton pour diminuer le nombre d'entrées des
fonctions extensibles (par ex. AND, OR). Pour diminuer le nombre d'entrées,
sélectionnez-la ou les dernières broches de la structure et cliquez sur le bouton
Supprimer broche(s).
Il est également possible d’ajouter une borne d’entrée directement depuis la section
en respectant la syntaxe :
104
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.9.LES SOUS PROGRAMMES
105
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.10.ACTIONS CONDITIONNELLES
◼ Syntaxe :
Condition(s)
Action(s) ;
◼ Exemples :
◼ Syntaxe :
Condition(s)
Action(s) 1 ;
Action(s) 2 ;
◼ Exemple :
106
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.10.3.IF – THEN – ELSEIF – ELSE – END_IF
◼ Syntaxe :
Condition(s) 1
Action(s) 1 ;
Condition(s) 2
Action(s) 2 ;
Condition(s) 3
Action(s) 3 ;
Action(s) 4 ;
◼ Exemple :
107
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.10.4.FOR – TO – BY - DO -END_FOR
◼ Syntaxe :
Indice := valeur initiale
Valeur finale
Action(s)
L’instruction FOR incrémente la valeur de l’indice d'une valeur initiale à une valeur
finale.
L’indice, la valeur initiale et la valeur finale doivent être du même type de données
(INT, UINT, DINT ou UDINT).
◼ Exemple :
L’instruction FOR est utilisée si le nombre d’occurrences peut être défini à l’avance.
Sinon, l'instruction WHILE ou REPEAT est utilisée.
108
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
Par défaut, la valeur de l'incrément est 1. Si une autre valeur doit être utilisée, il est
possible d'indiquer explicitement une valeur d'incrément (variable ou constante)
via l’instruction BY.
◼ Exemple :
4.2.10.5.WHILE – DO – END_WHILE
◼ Syntaxe :
Condition(s)
Action(s) ;
◼ Exemple :
109
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.10.6.REPEAT – UNTIL – END_REPEAT
◼ Syntaxe :
Action(s) ;
Condition(s)
L'instruction REPEAT provoque la répétition (au moins une fois) d'une chaîne
d’instructions jusqu'à ce que la condition booléenne associée ait la valeur 1 (vraie).
◼ Exemple :
110
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage ST
4.2.10.7.CASE OF – ELSE – END_CASE
L’instruction CASE est composée d’une expression de type de données INT (le
"sélecteur") et d’une liste de groupes d’instructions.
Chaque groupe porte un repère constitué d’un ou de plusieurs entiers (INT, DINT,
UINT, UDINT) ou de plages de valeurs entières. L’on exécutera le premier groupe
d’instructions dont le repère contient la valeur calculée du sélecteur. Sinon aucune
des instructions n’est exécutée.
A l’intérieur d’une instruction CASE, on peut définir une instruction ELSE dont les
instructions seront exécutées si aucun repère ne contient la valeur du sélecteur.
◼ Syntaxe :
sélecteur
Repère : Action(s) ;
Repère : Action(s) ;
Action(s) ;
◼ Exemple :
111
LES FONCTIONS
Fonctions élémentaires EF
5. LES FONCTIONS
FFB est le terme générique pour désigner les fonctions élémentaires (EF), les blocs fonction
élémentaires (EFB) et les blocs fonction dérivés (DFB).
5.1.FONCTIONS ÉLÉMENTAIRES EF
Une fonction élémentaire (EF) est un élément, utilisé dans un programme, qui réalise une
fonction logicielle prédéfinie.
Une fonction élémentaire (EF) ne dispose pas d'information d'état interne. C'est à dire que
plusieurs appels de la même fonction à l'aide des mêmes paramètres d'entrée fournissent
toujours les mêmes valeurs de sortie. Par exemple, l'addition de deux valeurs donne
toujours le même résultat.
Une fonction élémentaire (EF) dispose de 1 à 32 entrées, d’une sortie unique à 2 et n’est
donc pas instanciable.
Une fonction élémentaire (EF) peut être utilisée dans n’importe quel langage (LD, FBD, ST).
LD FBD ST
Dans les langages graphiques, une fonction élémentaire est représentée comme un cadre
avec des entrées et une sortie. Les entrées sont toujours représentées sur la gauche et la
sortie toujours sur la droite du cadre. Le nom de la fonction, c’est-à-dire le type de
fonction, est affiché au centre du cadre.
112
LES FONCTIONS
Fonctions élémentaires EF
5.1.1.SÉLECTION D’UNE FONCTION ÉLÉMENTAIRE (EF)
Zone de Liste
saisie directe Liste des FFB complète
du type FFB déjà utilisées des FFB
113
LES FONCTIONS
Fonctions élémentaires EF
◼ Pour ne visualiser que les fonctions élémentaires (EF), cocher seulement EF.
◼ Les fonctions sont rangées dans une bibliothèque dans des dossiers et des sous
dossiers en fonction de la famille de fonction.
Par exemple, la fonction élémentaire AND est rangée dans :
Bibliothèques/ Base Lib / Logic /
◼ Application : Permet de visualiser les fonctions déjà utilisées dans l’application
◼ Dans la colonne Nom, taper * pour visualiser toutes les fonctions ou renseigner le
nom du bloc s’il est connu (AND par exemple) puis valider par OK.
◼ La boîte de dialogue est fermée et l'assistant de saisie de fonction est activé.
L’instance est non disponible car le bloc inséré est une fonction élémentaire.
114
LES FONCTIONS
Fonctions élémentaires EF
115
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
5.2.BLOCS FONCTIONS ÉLÉMENTAIRES EFB
Une bloc fonction élémentaire (EFB) est un élément, utilisé dans un programme, qui réalise
une fonction logicielle prédéfinie.
Les bloc fonction élémentaire (EFB) possèdent des états et des paramètres internes.
Lorsque les valeurs d'entrée sont identiques, la valeur de sortie peut être différente pour
toutes les exécutions de la fonction. Par exemple, pour un compteur, la valeur de sortie
augmente.
Un bloc fonction élémentaire (EFB) est instancié, c’est-à-dire qu’une zone mémoire dont
la taille dépend du type de bloc fonction élémentaire est alloué, avec le nom de l’instance
définit, dans le dossier « Variables et instances / Instances FB élémentaire » pour y stocker
les instances du bloc fonction.
Le nom d’instance est généré automatiquement mais il est possible de le modifier pour
rendre le programme plus clair. Le nom d'instance (32 caractères maximum) doit être
unique dans tout le projet; aucune distinction n'est faite entre majuscules et minuscules
mais il doit commencer par une lettre. Si vous voulez également utiliser des chiffres
comme premier caractère, vous devez activer cette fonction dans les options de projet.
Une bloc fonction élémentaire (EFB) dispose de 1 à 32 entrées et d’une sortie à 32 sorties.
Il est possible d’utiliser les variables de sortie d’un bloc fonction élémentaire (EFB) dans le
programme en suivant la syntaxe <Nom_instance> . <Variable de sortie>
Un bloc fonction élémentaire (EFB) peut être utilisée dans n’importe quel langage (LD, FBD,
ST).
LD FBD
ST
Dans les langages graphiques, un bloc fonction élémentaire (EFB) est représentée comme
un cadre avec des entrées et des sorties. Les entrées sont toujours représentées sur la
gauche et les sorties toujours sur la droite du cadre. Les blocs fonction peuvent avoir
plusieurs sorties.
Le nom de la fonction, c’est-à-dire le type de fonction, est affiché au centre du cadre.
Le nom d'instance est affiché au-dessus du cadre.
116
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
5.2.1.SÉLECTION D’UN BLOC FONCTION ÉLÉMENTAIRE (EFB)
Zone de Liste
saisie directe Liste des FFB complète
du type FFB déjà utilisées des FFB
117
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
◼ Pour ne visualiser que les blocs fonctions élémentaires (EFB), cocher seulement
EFB.
◼ Les blocs fonctions sont rangées dans une bibliothèque dans des dossiers et des
sous dossiers en fonction de la famille de fonction.
Par exemple, le bloc fonction élémentaire TON est rangé dans :
Bibliothèques/ Base Lib / Timers & Counters /
◼ Application : Permet de visualiser les blocs fonctions déjà utilisées dans
l’application
◼ Dans la colonne Nom, taper * pour visualiser tous les blocs fonctions ou renseigner
le nom du bloc s’il est connu (TON par exemple) puis valider par OK.
◼ La boîte de dialogue est fermée et l'assistant de saisie de fonction est activé.
L'instance de bloc fonction dans la zone de texte Instance est déjà renseignée. Vous
pouvez appliquer le nom proposé ou vous pouvez modifier le nom proposé.
118
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
◼ Il est possible de renseigner directement les bornes d’entrée et de sortie depuis la
zone de saisie.
Type FFB
Paramètres Paramètres
formels d’entrée, formels de sortie,
associés à associés à
l’instance de la l’instance de la
fonction / du bloc fonction / du bloc
119
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
Un FFB peut être appelé de manière conditionnelle ou inconditionnelle. La condition est
établie en pré-connectant l'entrée EN.
Ladder
ST
FBD
120
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
5.2.3.GÉRER UNE INSTANCE
◼ Les instances des blocs fonctions élémentaires EFB utilisés dans le projet sont
rangées dans le dossier Instances FB élémentaire.
◼ Les instances des blocs fonctions élémentaires EFB utilisés dans le projet sont
rangées dans le dossier Instances FB élémentaire.
Instance
non utilisée
121
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
5.2.4.RENOMMER UNE INSTANCE
◼ Depuis l’éditeur (LD, FBD ou ST), faire un clic droit sur le bloc fonction élémentaire
et choisir Renommer la variable.
122
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
5.3.BLOCS FONCTIONS DÉRIVÉS DFB
Les blocs fonction dérivés (DFB) ont les mêmes caractéristiques que les blocs fonction
élémentaires (EF).
Ils sont cependant créés par l'utilisateur dans les langages FBD, LD, IL et/ou ST.
LD FBD
ST
Dans les langages graphiques, un bloc fonction dérivé (DFB) est représentée comme un
cadre avec deux lignes verticales et des entrées et des sorties. Les entrées sont toujours
représentées sur la gauche et les sorties toujours sur la droite du cadre.
Une fois crée, les blocs fonction dérivés (DFB) sont accessibles depuis l’éditeur de données
de types DFB.
Ils peuvent être sauvegardés dans une bibliothèque utilisateur afin d’être réutilisés dans
d’autre programme.
123
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
5.3.1.PRÉSENTATION D’UN BLOC DFB
◼ Les variables d’entrée : Elles peuvent être élémentaires EDT ou dérivées DDT.
Elles permettent de passer des valeurs du programme vers le DFB.
Le programme n’a pas accès aux variables d’entrée.
◼ Les variables de sortie : Elles peuvent être élémentaires EDT ou dérivées DDT.
Elles permettent de passer des valeurs du DFB vers le programme.
Le programme a accès aux variables de sortie via la syntaxe
Nom_InstanceDFB.Nom_Sortie
◼ Les variables d’entrée / sortie: Elles peuvent être élémentaires EDT, dérivées
DDT ou dérivées d’E/S IODDT.
Elles permettent de passer des valeurs du programme vers le DFB, qui peut les
modifier, puis les renvoyer au programme.
◼ Les variables publiques : Ces variables, internes au bloc DFB, sont accessibles en
lecture et en écriture par le programme application, en plus du DFB. Elles
peuvent être élémentaires EDT ou dérivées DDT.
Le programme a accès aux variables publiques via la syntaxe
Nom_InstanceDFB.Nom_Variable_Publique
124
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
◼ Les variables privées : Ces variables, internes au bloc DFB, ne sont pas
accessibles au programme application. Elles peuvent être élémentaires EDT ou
dérivées DDT.
Ces variables sont généralement des variables nécessaires à la programmation
du bloc mais sans intérêt pour l’utilisateur.
◼ Le code: Le code n’a pas de limite de taille, il doit être structuré en une ou
plusieurs sections en langage LD, FBD, ST ou IL.
Il est possible d’imbriquer un DFB dans un DFB.
Le code peut utiliser les variables du type :
▪ Entrées du DFB
▪ Sorties du DFB
▪ Variables publiques du DFB
▪ Variables privées du DFB
▪ Bits et Mots système
125
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
5.3.2.1.Création du type DFB
N° du point de
connexion
126
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
◼ Renseigner alors le ou les noms de la ou les sections composants le type DFB
ainsi que le langage des sections.
Ladder
127
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
ST
◼ Une fois le code terminé, cliquer sur l’icône ou alors clic droit sur le nom du
type DFB et Analyser type.
128
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
◼ L’icône du type DFB en construction .disparait. Cela veut dire qu’il est prêt à
être instancié de la même manière qu’un bloc fonction élémentaire EFB.
◼ Cliquer sur l’icône sélectionner les données Dans l’onglet Blocs fonction,
cocher DFB et sélectionner l’instance du DFB (Moteur_1 ici).
129
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
Ladder
FBD
ST
130
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
5.3.2.1.Création de l’instance du bloc DFB depuis l’éditeur (LD, FBD ou ST)
Ladder
FBD ST
131
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
5.3.3.PROTECTION D’UN BLOC FONCTION DÉRIVÉ DFB
◼ Il est possible de protéger de manière globale le code d’un bloc fonction dérivé
DFB en lecture et/ou en écriture.
◼ Clic droit sur le type DFB depuis le navigateur du projet puis Propriétés.
◼ Définir la protection.
132
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
◼ Saisir et confirmer le mot de passe (8 caractères maximum).
◼ Cocher mot de passe crypté pour une protection renforcée si nécessaire.
◼ Les blocs fonctions dérivé DFB protégés apparaissent avec un cadenas dans le
navigateur du projet.
133
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
5.3.4.MISE EN BIBLIOTHÈQUE D’UN BLOC FONCTION DÉRIVÉ DFB
◼ Il est possible de transférer un bloc fonction dérivé DFB dans une bibliothèque.
◼ Clic droit sur le type DFB depuis le navigateur du projet puis Placer dans la
bibliothèque.
134
LES FONCTIONS
Blocs fonctions dérivés DFB
◼ La bibliothèque gère le versionnement des bloc fonction dérivé DFB.
135
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Animation d’un programme FBD
6. OUTILS DE DIAGNOSTIC
136
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Animation d’un programme ST
6.2.ANIMATION D’UN PROGRAMME ST
137
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Point d’arrêt
6.3.POINT D’ARRÊT
◼ Pour afficher la barre d’outils Mise au point, clic droit dans la barre d’outils et
sélectionner Mise au point.
138
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Point d’arrêt
◼ La fonction Afficher le point d’arrêt du menu Mise au point permet de repérer
le point d’arrêt en affichant la partie de l’éditeur langage où il est posé.
139
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Pas à pas
6.4.PAS A PAS
Le mode pas à pas est lancé via un point d’arrêt défini au préalable. Il permet
d’examiner le comportement du code et la valeur des variables. Il est mis en œuvre en
mode connecté. La section exécutée en mode pas à pas stoppe la tâche
correspondante et les liens ne sont plus animés.
◼ Exemple en Ladder :
140
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Pas à pas
◼ Exemple en FBD :
◼ Exemple en ST :
141
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Pas à pas
142
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Point de visualisation
6.5.POINT DE VISUALISATION
Sans point de visualisation, les valeurs des variables animés sont rafraîchies à la fin du
traitement de la tache MAST.
◼ Pour afficher la barre d’outils Point de surveillance, clic droit dans la barre
d’outils et sélectionner Point de surveillance.
La pose d’un point de visualisation n’est possible qu’en mode connecté, un seul point
de visualisation n’est autorisé à un moment donné.
Un compteur est incrémenté chaque fois que le réseau connexe possédant le point de
visualisation est exécuté.
La modification d’une section n’est pas autorisée si un point de visualisation est posé.
143
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Point de visualisation
◼ Pose d’un point de visualisation : menu Mise au point/Définir le point d’arrêt ou
clic droit puis Définir le point d’arrêt ou directement l’icône .
144
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Écrans de diagnostique
6.6.ÉCRANS DE DIAGNOSTIQUE
◼ Depuis le bus automate, double cliquer sur le module en défaut. Un carré rouge
sur le module signale la présence d’un défaut :
145
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Écrans de diagnostique
◼ Configuration des paramètres TOR de la carte DD0 3202K :
146
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Écrans de diagnostique
◼ Exemple du module Ethernet NOC 0401 :
147
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Écran de l’automate
6.7.ÉCRAN DE L’AUTOMATE
◼ Onglet Tâche.
Visualisation
des tâches
Permet un redémarrage
à chaud ou à froid de Permet la mise au repli
l’automate. des sorties.
◼ Onglet Horodateur :
148
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Écran de l’automate
◼ Onglet Informations :
149
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Viewer de diagnostic
6.8.VIEWER DE DIAGNOSTIC
Le Viewer de diagnostic est un outil intégré à Control Expert qui permet de visualiser les
messages d’erreur de l’application.
◼ Le diagnostic projet : il est constitué d’EFB et de DFB spécifiques qui sont intégrés
dans le code d’un projet et donc intégrés au programme automate afin de donner
à l’utilisateur (exploitant ou technicien de maintenance) des informations claires
sur les conditions de fonctionnement du process surveillé.
Ces éléments de programme vont déclencher des alarmes visualisables dans le
Viewer de diagnostic.
150
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Viewer de diagnostic
◼ Ouverture du viewer de diagnostic :
151
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Viewer de diagnostic
◼ Les icones suivants indiquent l’état du message :
152
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Viewer de diagnostic
◼ Les EFB et DFB de diagnostic sont dans la bibliothèque Diagnostics.
◼ Exemple :
153
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Simulation
6.9.SIMULATION
Le simulateur intégré à Control Expert est en réalité un véritable automate virtuel lancé
sur le PC. Il permet de simuler le processeur de l’automate.
Tous les outils de diagnostic sont disponibles afin de tester le projet pour les taches Maître,
rapide et auxiliaire.
En revanche, le simulateur ne prend pas en charge les entrées et les sorties, la régulation
Loop, les E/S sur bus FIPIO, BUS X et la communication avec les E/S distribuées et les
variables réseaux.
Comme pour un automate réel, le projet doit être généré et ne pas contenir d’erreur.
154
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Simulation
◼ Cliquer sur Automate/Connexion.
◼ Une fois connecté à l’automate virtuel, la barre d’état affiche « aucune info de
chargement n’a été transférée ».
155
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Simulation
◼ Après le lancement du simulateur, l'icône du simulateur s'affiche dans la barre
d'outils. Cette icône identifie le simulateur actif et affiche les différents états de
l'automate simulé.
▪ Le symbole central indique l'état actuel de l'automate tel que NOCONF, REPOS,
ARRETE, RUN.
▪ Etats d'erreur :
▪ États internes : Les symboles ci-après représentent les états internes temporaires
qui ne doivent normalement pas être vus. Il n'est pas possible de récupérer de ces
états. Le simulateur de l'automate doit donc être fermé et redémarré.
156
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Simulation
◼ Un double clic sur l’icône de la barre d’outils ouvre la fenêtre ci-dessous.
157
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Mise au point SFC : Commandes de l’animation
6.10.MISE AU POINT SFC : COMMANDES DE L’ANIMATION
158
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Mise au point SFC : Commandes de l’animation
: Uniquement disponible lorsque l'élément actuel est une
étape appartenant à une section macro-étape. Cette commande dégèle le diagramme (le
maître et la macro appartiennent de manière logique au même diagramme) pour
permettre un fonctionnement normal au-delà de la fin de la macro. La ou les conditions
de transition doivent être remplies pour pouvoir passer à l'étape ou aux étapes suivantes
(en cas de divergence). Le diagramme revient à l'état de gel dès que la (première) étape
suivante est activée.
: Définit un point d'arrêt sur toutes les étapes sélectionnées.
: Définit le ou les marqueurs de prépositionnement sur les
étapes et macro-étapes sélectionnées de la section SFC.
: Active toutes les étapes et macro-étapes prépositionnées
par la commande Définir préposition sur sélection.
: Sélectionne les étapes actives.
: Active les étapes et macro-étapes sélectionnées.
: Désactive les étapes et macro-étapes sélectionnées. Pour
le mode de fonctionnement à jetons multiples seulement (Options du projet/Autoriser
plusieurs jetons).
: Désactive tous les points d'arrêt.
: Désactive toutes les étapes et macro-étapes
prépositionnées.
159
COMPLEMENTS
Analogique
7. COMPLEMENTS
7.1.ANALOGIQUE
7.1.1.DÉFINITION
Un signal analogique est une grandeur physique variant dans le temps.
Un capteur mesure cette grandeur physique analogique et la convertie en signal électrique
qui change continuellement dans le temps. La valeur électrique peut prendre une infinité
de valeurs s’étendant sur une plage définie.
160
COMPLEMENTS
Analogique
7.1.2.CHAINE D’ACQUISITION ANALOGIQUE
161
COMPLEMENTS
Analogique
7.1.4.CÂBLAGE DE MODULE ANALOGIQUE
◼ Exemple de câblage d’un Module 4 entrées / 2 sorties ANA non isolées BMX
AMM0600 :
162
COMPLEMENTS
Analogique
7.1.5.CALIBRAGE ET MISE À L’ÉCHELLE D’UNE ENTRÉE ANALOGIQUE
Afin de réaliser la mise à l’échelle, il faut définir les variables de l’expression linéaire
Coeff A et Offset B via 2 mesures avec 2 relevés des points numériques.
163
COMPLEMENTS
Analogique
◼ Exemple de cas d’utilisation d’une entrée analogique:
Un capteur analogique de pression 0-3 bars qui remonte une valeur de courant 4-20mA
à l’automate convertie une valeur numérique variant entre 0 et 10000 points (celle-ci
varie selon l’état de la grandeur physique mesurée).
Offset B = 0 – ( 0 x 0.0003) = 0
164
COMPLEMENTS
Analogique
7.1.6.MISE À L’ÉCHELLE D’UNE SORTIE ANALOGIQUE
Le processus de mise à l’échelle d’une sortie analogique est le même que celui mis en
œuvre pour une entrée analogique.
La seule différence est qu’il faut convertir la valeur écrite (consigne de vitesse de 0 à
100% par exemple) en une valeur variant de 0 à 10 000 points.
Offset B = 0 – ( 0 x 100) = 0
165
COMPLEMENTS
Analogique
7.1.7.CONFIGURATION DE LA CARTE ANALOGIQUE
166
COMPLEMENTS
Analogique
Choisir le type
de signal Choisir la mise
à l’échelle de
la voie
Paramètre de la voie en
0-10V
0-20mA
4-20mA
0 à 10 000 points
Paramètre de la voie en
+/-10V
167
COMPLEMENTS
Analogique
Paramètre de la voie en
0-20mA
4-20mA
0 à 10 000 points
Paramètre de la voie en
+/-10V
168
COMPLEMENTS
Analogique
L’association d’une voie, d’un groupe de voies ou d’un module d’entrées/sorties à une
tache est définie dans l’écran de configuration du module correspondant.
169
COMPLEMENTS
Analogique
◼ Cliquer sur le type de la carte et afficher l’onglet Objets d’E/S:
◼ Pour l’utilisation de IODDT, cocher %CH puis appuyer sur la touche Mettre à
jour grille. Il est alors possible d’affecter un nom et un commentaire aux voies
de la carte et à l’état du module.
170
COMPLEMENTS
Analogique
171
COMPLEMENTS
Analogique
172
COMPLEMENTS
Analogique
7.1.8.PROGRAMMATION DE LA MISE À L’ÉCHELLE DE L’ENTRÉE
◼ Créer une variable Coeff_A de type REAL ainsi qu’une variable Offset_B
également de type REAL.
◼ Créer une variable VoieA_R de type REAL
◼ Exemple en ST :
173
COMPLEMENTS
Analogique
7.1.8.1.Deuxième méthode via la fonction SCALING
Le bloc fonction SCALING permet de représenter une grandeur numérique dans une
plage de valeurs différente.
174
COMPLEMENTS
Analogique
7.1.9.PROGRAMMATION DE LA MISE À L’ÉCHELLE DE LA SORTIE
◼ Exemple en ST :
175
COMPLEMENTS
Analogique
7.1.10.DIAGNOSTIC D’UNE CARTE ANALOGIQUE
Valeur actuelle
mesurée
Led Erreur
Si erreur,
cliquer dessus Bornage de la Permet de
pour afficher valeur compenser un
une boite de décalage de
dialogue Coefficient de capteur
filtrage de 0
(nul) à 6 (fort)
176
COMPLEMENTS
Services
7.2.SERVICES
7.2.1.I/O SCANNING
177
COMPLEMENTS
Services
◼ Choisir Ethernet et nommer le réseau.
◼ Double clic sur la carte BMX NOE 0110.2 dans le bus automate. Sélectionner la
voie 0 et relier la carte au réseau.
178
COMPLEMENTS
Services
◼ Ouvrir la configuration du réseau. Renseigner l’adresse IP et le masque de sous-
réseau dans l’onglet Configuration IP.
◼ Activer le service IO Scanning.
179
COMPLEMENTS
Services
◼ Dans l’onglet IO Scanning, configurer le service IO Scanning.
◼ Zone écriture
- Objet maître : Adresse du 1er mot du maître à partir de laquelle les
valeurs lues seront écrites (%MW200 ici)
- Ref esclave : Adresse du 1er mot de l’esclave où les données seront
écrites (%MW100 ici)
- Longueur : Nombre de mots à écrire dans l’esclave (10 mots)
Les échanges Modbus sont limités à un maximum de 125 mots d'entrée et 100 mots
de sortie. Si une application a besoin d'échanger plus de mots pour un équipement, il
est possible d'utiliser plusieurs lignes de la table I/O Scanning : plusieurs lignes par
équipement.
180
COMPLEMENTS
Services
7.2.1.2.M340 via NOC
Le port intégré de la CPU M340 ne supporte pas le service I/O scanning. La carte BMX
NOC 0401.2 peut être utilisée pour réaliser un I/O scanning.
◼ Insérer la carte BMX NOC 0401.2 dans le bus automate. Nommer la carte et
sélectionner le protocole Modbus TCP dans l’onglet Informations sur le
protocole.
181
COMPLEMENTS
Services
◼ Double cliquer sur la carte pour afficher la fenêtre de configuration.
◼ Configurer l’adresse des variables de la voie 0.
◼ Sorties:
Renseigner l’adresse %MW10984 permet de faire commencer les sorties à
l’adresse %M10984 et étant donné que la longueur est de 1000 mots, la
dernière sortie est %MW11983.
16 mots d’état sont réservés à la fin de la table donc de %MW11984 à
%MW11999.
Les variables DDT d’équipement seront ajoutées aux variables du projet lors de la
génération.
182
COMPLEMENTS
Services
◼ Double cliquer sur la carte NOC. Renseigner l’adresse IP et le masque de la carte
puis Appliquer.
◼ Compiler le projet puis ouvrir l’éditeur de données et cocher DDT. Les mots
d’état ont bien été créé aux adresses définies.
183
COMPLEMENTS
Services
◼ Clic droit sur la NOC depuis le navigateur de DTM et sélectionner Ajouter…
◼ Nommer l’équipement.
184
COMPLEMENTS
Services
◼ Double cliquer sur la NOC dans le navigateur de DTM.
185
COMPLEMENTS
Services
◼ Sélectionner l’onglet Paramétrage de la requête puis cliquer sur Ajouter une
requête.
▪ Adresse écriture : Adresse du 1er mot de l’esclave où les données seront écrites.
186
COMPLEMENTS
Services
◼ Sélectionner la Requête 001 : Items dans l’arborescence. Dans l’onglet Entrée,
sélectionner toutes les lignes du tableau puis cliquer sur Définir des items.
◼ Choisir le type de données utilisées (ici INT), le type de zone utilisé (ici un
tableau) et enfin nommer la table de communication (ici Read_IO_Scan).
187
COMPLEMENTS
Services
2ème
Il n’y a pas de configuration particulière à faire dans la CPU car elle est scannée
ère
(esclave) de façon transparente par la 1 CPU qui elle fonctionne en mode scanner
(Maître).
188
COMPLEMENTS
Services
7.2.1.3.M580
La CPU M580 supporte le service I/O scanning et DTM au niveau du port intégré sans
avoir besoin d’une carte supplémentaire.
Exemple de configuration : La CPU 1 (Maître) vas lire les données dans la CPU 2
(Esclave) via l’outil DTM.
◼ Configurer le bus automate 1 et double cliquer sur le port EIO de la CPU M580.
189
COMPLEMENTS
Services
◼ Renseigner l’adresse IP et le masque de sous réseau dans l’onglet IPConfig .
190
COMPLEMENTS
Services
◼ Clic droit sur la CPU et sélectionner Ajouter…
◼ Nommer l’équipement.
191
COMPLEMENTS
Services
◼ Double cliquer sur la CPU dans le navigateur de DTM.
192
COMPLEMENTS
Services
◼ Sélectionner l’onglet Paramétrage de la requête puis cliquer sur Ajouter une
requête.
▪ Adresse écriture : Adresse du 1er mot de l’esclave où les données seront écrites.
193
COMPLEMENTS
Services
◼ Sélectionner la Requête 001 : Items dans l’arborescence. Dans l’onglet Entrée,
sélectionner toutes les lignes du tableau puis cliquer sur Définir des items.
◼ Choisir le type de données utilisées (ici INT), le type de zone utilisé (ici un
tableau) et enfin nommer la table de communication (ici TAB_COM_DEPUIS).
194
COMPLEMENTS
Services
2 ème
Il n’y a pas de configuration particulière à faire dans la CPU car elle est scannée
ère
(esclave) de façon transparente par la 1 CPU qui elle fonctionne en mode scanner
(Maître).
195
COMPLEMENTS
Services
7.2.2.GLOBAL DATA
Chaque module de communication publie une variable d'application locale pour les
autres modules de communication du groupe.
Chaque module peut également souscrire aux variables d'application publiées par
l'ensemble des autres modules partageant le groupe de distribution, quel que soit son
emplacement.
Une fois le module configuré, les échanges entre les modules de communication
partageant le même groupe de distribution s'effectuent automatiquement lorsque
l'automate est en mode RUN.
Chaque station peut publier une variable (jusqu’à 1024 bytes) et souscrire de 1 à 64
variables.
La sélection des variables à publier ou souscrire s’effectue dans l’éditeur de données.
196
COMPLEMENTS
Services
197
COMPLEMENTS
Services
◼ Timeout de validité :
Permet de définir la valeur de « timeout » de validité. Cette valeur peut être
réglée entre 50 et 15 000 ms, par incréments de 50 ms. Un bit d'état associé
(objets topologiques %IW entre %IWr.m.c.5 et %IWr.m.c.8) est associé à
chaque élément Global Data et sert à contrôler si les données ont été publiées
et reçues au bout du délai indiqué dans cette fenêtre. Si c'est le cas, la valeur
est 1 ; sinon, le bit est réglé sur 0.
◼ Adresse de groupe :
La zone Adresse de groupe indique l'adresse IP de multidiffusion (classe D) du
groupe de distribution auquel la station appartient : z Valeur minimale :
224.0.0.0 z Valeur maximale (par défaut) : 239.255.255.255
◼ Période de distribution
La zone Période de distribution est utilisée pour sélectionner la période de
distribution de la publication. La publication est temporelle et n'est pas
synchronisée avec la tâche maître (Mast) de l'automate. La valeur de la
distribution est multipliée par 10, de telle sorte que la plage de paramètres
disponibles de 1 à 1 500 représente les périodes de distribution entre 10 et 15
000 ms (par incréments de 10).
◼ Nom de groupe
Le Nom de groupe est défini dans l'éditeur de données. Le nom associe une
variable de l'éditeur de variables à un module donné.
◼ Filtrage multidiffusion
Le filtrage permet de réduire le flux des données sur les grands réseaux. Pour
que le filtrage multidiffusion soit possible, il convient d'utiliser des
commutateurs capables de gérer cette fonction (protocole GMRP IEEE 802.1D).
Si la case est : z cochée : le filtrage est activé z non cochée : le filtrage est
désactivé
◼ Ouvrir ensuite l’éditeur de données et créer une type DDT structure qui
regroupe les variables à publier. Par exemple ici nous avons une structure
COM_INTER_MACHINES.
198
COMPLEMENTS
Services
◼ Dans l’éditeur de données, dans l’onglet Variable, créer une instance du type
DDT crée précédemment. (ici COM_Machine1) qui correspond aux données qui
seront publiées sur le réseau
◼ Créer également une ou plusieurs instances du type DDT crée précédemment.
(ici COM_Machine2 et COM_Machine3) pour souscrire aux données sur le
réseau.
◼ Afficher la colonne Donnée globale et l’ouvrir pour afficher la colonne Groupe.
◼ La colonne Donnée globale propose trois choix de configuration de variables :
NON, PUB et SOU :
▪ NON : ni publiée ni souscrite.
▪ PUB : publiée.
▪ SOU : souscrite.
◼ Attribuer un nom au groupe Donnée globale dans le champ Groupe.
◼ Complétez le champ ID Données : identifiant d'une station distante dans un
groupe de distribution
199
COMPLEMENTS
Services
200
COMPLEMENTS
Services
7.2.3.READ/WRITE VAR
Une application peut contenir un grand nombre de fonctions explicites mais seules 16
peuvent être actives simultanément.
201
COMPLEMENTS
Services
7.2.3.1.Write_Var
202
COMPLEMENTS
Services
7.2.3.2.Read_Var
203
COMPLEMENTS
Services
7.2.3.3.Table de gestion de l'échange
Les paramètres de gestion sont regroupés dans un tableau de quatre entiers. Les
valeurs contenues dans ce tableau servent à gérer les fonctions de communication.
7.2.3.3.1.Mot de rang 1
204
COMPLEMENTS
Services
7.2.3.3.2.Mot de rang 2 - Comptes rendu
Le compte rendu de communication est rangé dans l’octet de poids faible du mot
de rang 2.
Si le compte rendu de communication est 16#FF, cela veut dire que le message émis à
été refusé et est revenu à l’expéditeur avec un code de refus rangé dans l’octet de
poids fort du mot de rang 2.
205
COMPLEMENTS
Services
7.2.3.3.3.Mot de rang 3 - Timeout
Le paramètre de longueur est utilisé pour définir le nombre de caractères (en octets) à
envoyer lors de l'émission, mais également pour stocker le nombre de caractères (en
octets) reçus après la réception d'un message.
206
COMPLEMENTS
Carte SD
7.3.CARTE SD
207
COMPLEMENTS
Carte SD
7.3.3.COUPURE SECTEUR
208
COMPLEMENTS
Bilan mémoire
7.4.BILAN MÉMOIRE
C’est le programme
Sources programme et
commentaires qui dépendent
des options de projet
Configuration automate
209
COMPLEMENTS
Les reprises secteur
7.5.LES REPRISES SECTEUR
210
COMPLEMENTS
Les reprises secteur
211
COMPLEMENTS
Options du projet
7.6.OPTIONS DU PROJET
◼ Outils/ Options :
◼ Outils/Options du projet :
212
COMPLEMENTS
Options du projet
◼
Permet d’afficher un message d’avertissement lors de l’analyse si une variables est
pilotée plusieurs fois dans le projet. Cela peut être utile pour éviter la multi-écriture
de la même sortie dans le programme.
◼
Permet de pouvoir transférer le projet de l’automate vers le PC.
213
COMPLEMENTS
Options du projet
Cocher cette case permet de représenter plusieurs grafcets sur une même page.
214
COMPLEMENTS
Protection de section
7.7.PROTECTION DE SECTION
215
COMPLEMENTS
Protection de section
◼ Clic doit sur le projet et sélectionner Propriétés
216
COMPLEMENTS
Protection de section
◼ Pour déverrouiller les sections protégées : Clic doit sur le projet et sélectionner
Propriétés
◼ Dans l’onglet Protection du Programme & Safety, décocher Protection active.
◼ Renseigner un mot de passe et le confirmer.
217
COMPLEMENTS
Importer / Exporter
7.8.IMPORTER / EXPORTER
Le format XEF exporte la totalité du projet mais il est possible d’exporter juste un éditeur
de programmation, la configuration matérielle ou l’es données de l’éditeur de données.
Pour cela, se positionner sur l’élément que l’on veut exporter dans la vue structurelle ou
fonctionnelle du navigateur du projet puis sélectionner la commande Exporter du menu
Fichier ou directement via un clic droit et la commande Exporter du menu contextuel.
◼ Configuration matérielle :
◼ Variables de l’éditeur de données
◼ Sections de programme:
◼ Écrans d’exploitation :
La commande Importer va permettre quant à elle l’importation de ces fichiers d’export
dans un autre programme.
218
COMPLEMENTS
OS Loader
7.9.OS LOADER
Le logiciel OS Loader fourni avec control Expert permet d’effectuer la mise à jour des
systèmes d’exploitation de certains processeurs et modules Ethernet.
219
COMPLEMENTS
OS Loader
220
COMPLEMENTS
OS Loader
OSLoader peut exécuter deux commandes différentes :
◼ Télécharger un nouveau système d'exploitation vers l'équipement sélectionné ;
◼ Charger le système d'exploitation de l'équipement sélectionné vers un fichier
221
COMPLEMENTS
OS Loader
rCet écran affiche un résumé des informations principales relatives à la procédure choisie
et permet d'accéder à la phase de transfert des données.
222
COMPLEMENTS
Logiciel Unity Loader
7.10.LOGICIEL UNITY LOADER
7.10.1.TRANSFERT DE PROJET
223
COMPLEMENTS
Logiciel Unity Loader
7.10.2.TRANSFERT DE FIRMWARE
224
COMPLEMENTS
Ajout d’un fichier EDS
7.11.AJOUT D’UN FICHIER EDS
225
COMPLEMENTS
Ajout d’un fichier EDS
Sélectionner le fichier EDS ou le répertoire d'EDS
226
COMPLEMENTS
Ajout d’un fichier EDS
227
ECRANS D’EXPLOITATION
Ajout d’un écran d’exploitation
8. ECRANS D’EXPLOITATION
Les écrans d’exploitation intégrés au projet Control Expert sont destinés à faciliter
l’exploitation d’un procédé automatisé sans avoir à passer par une IHM. Ils sont notamment
utiles en phase de développement et de simulation.
228
ECRANS D’EXPLOITATION
Ajout d’un écran d’exploitation
Possibilité de
ranger l’écran dans
une famille
Possibilité de lier
l’écran à un module
fonctionnel
Si coché, l’écran
peut servir de
modèle pour Si coché, l’éran
d’autres écrans utilisera le modèle
(Ne pas mettre sélectionné
d’objets animés
en revanche)
Couleur du fond
d’écran
Taille d’écran
Informations
229
ECRANS D’EXPLOITATION
La barre d’outils
8.2.LA BARRE D’OUTILS
Création de lignes
Alignements
polygonales fermées
Bouton de navigation
Association des objets
d’écran
Bouton
230
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
8.3.PRÉSENTATION DES OBJETS
Les écrans sont réalisés au moyen de textes et d’objets graphiques qui peuvent être
dessinées ou récupérés de la bibliothèque d’objets.
Ils sont constitués de parties statiques (fond de l’écran, titre…) et de parties dynamiques
ou animés qui permettent de refléter l’état du procédé. Des variables seront alors
affectées aux objets dynamiques.
Des objets de pilotage (boutons, zone de saisie…) peuvent être également insérés pour la
conduite du procédé.
8.3.1.OBJETS SIMPLE
◼ Pour créer un objet, sélectionner le type dans la barre d’outils (ici rectangle).
Design de l’objet
Couleur
Motifs…
231
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
8.3.1.1.2.Propriétés d’affichage et d’animation
Non coché =
Objet statique
Coché =
Objet animé
Choix de la variable
d’animation EBOOL
Choix des
conditions
d’affichage
Objet animé
Choix de la
variable
d’animation INT
Choix des
conditions
d’affichage
232
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
8.3.1.1.3.Animation Bargraphe
Un Bargraphe permet de représenter graphiquement sous forme de rectangles
l’évolution d’une variable. Seuls les objets de type rectangle peuvent être des
Bargraphes.
Type de bargraphe
Valeurs de seuil de la
variable
Ici 0 bargraphe vide
1000 bargraphe plein
Possibilité de changer
la couleur du bargraphe
en dessous ou au
dessus d’un seuil
233
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
8.3.1.1.4.Animation Chronogramme
Un chronogramme permet de représenter graphiquement l’évolution d’une variable.
La courbe représentative évoluant de la droite vers la gauche. Seuls les objets de type
rectangle peuvent être des chronogrammes.
Période de
rafraichissement
de l’écran
Valeurs de seuil de la
variable
La durée dépends de la
taille du rectangle , de
l’échantillonnage et de
la définition
234
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
8.3.1.2.Texte
Texte à afficher
Design du texte
Design de l’objet
Couleur
Motifs…
235
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
8.3.1.2.1.Propriétés d’affichage et d’animation
Non coché =
Objet statique
Coché =
Objet animé
Choix de la variable
d’animation
Choix des
conditions
d’affichage
8.3.1.2.2.Animation Texte
Des messages composés d’un texte et d’un libellé et mémorisés dans le projet peuvent
être affichés dans une zone de texte
◼ Clic droit sur Écrans d’exploitation puis sélectionner Liste des messages/Ouvrir.
236
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
237
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
◼ Exemples :
238
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
8.3.1.3.Image
239
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
8.3.2.OBJETS DE PILOTAGE
Les objets de pilotage sont des objets qui permettent de naviguer d’un écran à un
autre, de modifier la valeur d’une variable ou d’envoyer une commande vers un
module métier de l’automate.
8.3.2.1.Bouton
Variable sélectionnée
dans l’éditeur de
donnée
A chaque impulsion sur
le bouton, la variable
prend la valeur 1 puis 0
au relâchement
Texte du bouton
Si cochée, le
bouton se
comporte comme
un commutateur
Choix des
conditions
d’affichage
240
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
8.3.2.2.Case à cocher
8.3.2.3.Zone de saisie
8.3.2.4.Compteur
241
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
8.3.2.5.Curseur
242
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
Les objets à échange explicites sont de 3 types :
▪ Les paramètres d’état, informations ou défaut tel que défaut bornier, fusible…
▪ Les paramètres de commande tel que réarmement sortie disjonctée…
▪ Les paramètres de réglage tel que valeur de consigne, valeur de seuil…
Les instructions READ_STS (lecture état) permettent la lecture explicite des mots d’état
associés aux modules métier (état du module ou état de la voie).
Exemple : READ_STS (%CH 0.2.0); (* voie 0 de l’emplacement 2)
Les instructions WRITE_CMD (écriture commande) permettent l’écriture implicite des mots
de commande associés aux modules métier (commande du module ou de la voie).
Remarque :
Les paramètres de réglage et de configuration sont conservés après une reprise à chaud
En cas de reprise à froid, les paramètres de réglage courant sont écrasés par les paramètres
de réglage initiaux ou sauvegardés. Les paramètres de configuration sont conservés.
8.3.3.OBJETS COMPOSÉS
Les objets composés sont créés par l’utilisateur ou proviennent de la bibliothèque et
contiennent des objets simples ainsi que des objets de pilotage.
243
ECRANS D’EXPLOITATION
Présentation des objets
8.3.4.ANIMER UN ÉCRAN D’EXPLOITATION
Mode édition
Mode simulation
244
ECRANS D’EXPLOITATION
Bibliothèque des écrans d’exploitation
8.4.BIBLIOTHÈQUE DES ÉCRANS D’EXPLOITATION
La bibliothèque d’objets présente les objets constructeurs et permet de les insérer dans
les écrans d’exploitation. Les objets sont classés par familles. Il est également possible
d’insérer en bibliothèque ses propres objets.
Familles
245
VARIABLES SYSTÈME
Bits système %S0 à %S7
9. VARIABLES SYSTÈME
Les automates disposent de bits système %Si et de mots système %SWi qui indiquent les états
de l’automate ou permettent d’agir sur le fonctionnement de celui-ci.
Ces bits et mots peuvent être testés dans le programme utilisateur afin de détecter toute
évolution de fonctionnement devant entraîner une procédure particulière de traitement.
Certains de ces bits/mots doivent être remis dans leur état initial ou normal par le programme.
Cependant, les bits/mots système qui sont remis dans leur état initial ou normal par le système
ne doivent pas l’être par le programme ou par le terminal
Normalement sur 0, ce bit est mis sur 1 par le programme ou par la borne :
valeur 1 : provoque la mise à 0 ou le maintien de la valeur suivant la configuration choisie
(bus X, Fipio, AS-i, etc.).
valeur 0 : les sorties sont mises à jour normalement.
OUTDIS NOTE : le bit système agit directement sur les sorties physiques et non sur les bits image
Mise en position des sorties.
%S9 de repli des
sorties sur tous Sur Modicon M340 :
les bus Les entrées/sorties distribuées via le bus CANopen ne sont pas affectées par le bit %S9.
Les services Global Data et I/O Scanning Ethernet sont affectés par le bit %S9.
Après un mode de marche, les sorties sont en mode sécurité (état égal à 0) tandis que le bit
est sur 1.
Sur Modicon M580 : Seules les entrées/sorties locales sont affectées par le bit %S9.
246
VARIABLES SYSTÈME
Bits système %S15 à %S21
Normalement à l'état 1, ce bit est mis à l'état 0 quand une erreur est détectée sur un
IOERR
module en rack ou un équipement sur un réseau (configuration non conforme, défaut
%S10 Erreur d'E/S
d'échange, défaut matériel, etc.). Le bit %S10 est remis à 1 par le système une fois que les
globale détectée
erreurs détectées ont été résolues.
WDG Normalement à l'état 0, ce bit est mis à l'état 1 par le système dès que le temps
%S11 Dépassement du d'exécution d'une tâche devient supérieur au temps d'exécution maximum (chien de
chien de garde garde) déclaré dans les propriétés de la tâche.
PLCRUNNING
Ce bit est mis à l'état 1 par le système lorsque l'automate est en RUN. Il est mis à 0 par le
%S12 Automate en
système dès que l'automate n'est plus en RUN (état STOP, INIT...).
RUN
1RSTSCANRUN
Le passage de l'automate du mode STOP au mode RUN (y compris après un démarrage à
Premier cycle
%S13 froid avec démarrage automatique en mode Run) est signalé par la mise à 1 du bit système
après mise en
%S13. Ce bit est remis à 0 à la fin du premier cycle de la tâche MAST en mode RUN.
RUN
Normalement à l'état 0, ce bit est mis à l'état 1 si la zone de destination d'un transfert de
STRINGERROR chaîne de caractères ne possède pas la taille suffisante (avec le nombre de caractères et
%S15 Défaut chaîne de le caractère de fin de chaîne de caractères) pour accueillir cette chaîne de caractères.
caractères L'application s'arrête en erreur si le bit %S78 a été mis à 1.
Ce bit doit être remis à 0 par l'application.
IOERRTSK Normalement à l'état 1, ce bit est mis à 0 par le système quand un défaut sur un module
Défaut en rack ou un équipement sur Fipio est détecté (configuration non conforme, défaut
%S16
d'entrées/sorties d'échange, défaut matériel, etc.).
tâche Ce bit doit être remis à 1 par l'utilisateur.
CARRY
Normalement à l'état 0.
%S17 Sortie décalage
Lors d'une opération de décalage circulaire, ce bit prend l'état du bit sortant.
circulaire
Normalement à l'état 0, ce bit est réglé sur 1 en cas de dépassement de capacité dans les
cas suivants :
un résultat supérieur à + 32 767 ou inférieur à - 32 768, en nombre entier (INT) ;
un résultat supérieur à + 65 535 ou inférieur à 0, en nombre entier non signé (UINT) ;
un résultat supérieur à + 2 147 483 647 ou inférieur à - 2 147 483 648, en nombre entier
double DINT ;
un résultat supérieur à + 4 294 967 295 ou inférieur à 0, en nombre entier double non
signé (UDINT) ;
valeurs réelles hors bornes ;
OVERFLOW
division par 0 ;
Dépassement ou
%S18 la racine carrée d'un nombre négatif ;
erreur
le forçage à un pas inexistant sur un programmateur cyclique ;
arithmétique
l'empilage d'un registre plein ou le vidage d'un registre déjà vide.
Il n'existe qu'un seul cas où le bit %S18 n'est pas mis à 1 par les automates Modicon
M340, Modicon M580 et Momentum lorsque des valeurs réelles sont hors limites. C'est
lorsque des opérandes non normalisés ou certaines opérations générant des résultats
non normalisés sont utilisés (dépassement progressif par valeur inférieure).
Doit être testé par le programme utilisateur après chaque opération présentant un risque
de dépassement, puis remis à 0 par l'utilisateur en cas de dépassement.
Lorsque le bit %S18 passe à 1, l'application s'arrête en erreur si le bit %S78 a été réglé sur
1.
Normalement à l'état 0, ce bit est mis à l'état 1 par le système en cas de dépassement de
OVERRUN
la période d'exécution (délai d'exécution de tâche supérieur à la période définie par
%S19 Dépassement
l'utilisateur dans la configuration ou programmée dans le mot %SW associé à la tâche).
période de tâche
L'utilisateur doit remettre ce bit à 0. Chaque tâche gère son propre bit %S19.
247
VARIABLES SYSTÈME
Bits système %S30 à %S59
(scrutation
périodique)
Normalement à l'état 0, ce bit est réglé sur 1 lorsque l'adresse de l'objet indexé devient
inférieure à 0 ou dépasse le nombre d'objets déclarés dans la configuration.
INDEXOVF Dans ce cas, l'index est considéré comme étant égal à 0.
%S20 Dépassement Doit être testé par le programme utilisateur, après chaque opération où il y a risque de
d'index dépassement, puis remis à 0 en cas de dépassement.
Lorsque le bit %S20 passe à 1, l'application s'arrête en erreur si le bit %S78 a été réglé sur
1.
Testé dans une tâche (Mast, Fast, Aux0, Aux1, Aux2, Aux3), le bit %S21 indique le premier
1RSTTASKRUN
cycle de cette tâche, y compris après un démarrage à froid avec démarrage automatique
%S21 Premier cycle de
en mode Run et un démarrage à chaud. %S21 est mis à 1 en début de cycle et remis à
tâche
zéro en fin de cycle.
248
VARIABLES SYSTÈME
Bits système %S62 à %S79
Défaut d'entrée/de
%S47 RACK7ERR
sortie du rack 7
Normalement réglé sur 0. Ce bit est réglé sur 1 ou 0 par le
programme ou le terminal :
valeur 0 : mise à jour des mots système %SW50 à %SW53 avec
Mise à jour de la date et
la date et l'heure fournies par l'horodateur de l'automate.
%S50 RTCWRITE de l'heure à l'aide des
valeur 1 : les mots système %SW50 à %SW53 ne sont plus mis à
mots %SW50 à %SW53
jour, ce qui rend possible leur modification.
Le basculement de 1 à 0 met à jour l'horodateur avec les
valeurs saisies dans les mots %SW50 à %SW53.
Lorsqu'il est réglé sur 1, ce bit géré par le système indique que
l'horodateur est non valide ou que ses mots système (%SW50 à
%S51 RTCERR Retard de l'horodateur
%SW53) sont sans signification. Dans ce cas, l'horodateur doit
être réinitialisé sur l'heure correcte.
Si l'application est configurée pour prendre en charge l'heure
Indication de l'heure
%S58 RTCSTIME d'été/d'hiver, lorsque ce bit géré par le système est réglé sur 1,
d'été (M580)
cela signifie que la date actuelle est à l'heure d'été.
Normalement réglé sur 0. Ce bit est réglé sur 1 ou 0 par le
Mise à jour incrémentale programme ou le terminal :
%S59 RTCTUNING de la date et de l'heure à valeur 0 : le système ne gère pas le mot système %SW59.
l'aide du mot %SW59 valeur 1 : le système gère les fronts sur le mot %SW59 pour
régler la date et l'heure (par incrément).
249
VARIABLES SYSTÈME
Bits système %S80 à %S97
Le bit %S66 est particulièrement utile après le remplacement de la valeur initiale %S94 et
l'enregistrement de paramètres.
DIAGBUFFCONF Ce bit est réglé sur 1 par le système si l'option de diagnostic est configurée : un tampon de
Tampon de diagnostic destiné au stockage des erreurs détectées par les DFB de diagnostic est alors
%S76
diagnostic réservé.
configuré Ce bit est en lecture seule.
DIAGBUFFFFULL Ce bit est réglé sur 1 par le système lorsque le tampon recevant les erreurs des blocs
%S77 Tampon de fonction de diagnostic est rempli.
diagnostic plein Ce bit est en lecture seule.
HALTIFERROR Normalement à 0, ce bit peut être réglé sur 1 par l'utilisateur, pour programmer l'arrêt de
%S78
Arrêt si erreur l'automate en cas de dysfonctionnement de l'application : %S15, %S18,%S20.
250
VARIABLES SYSTÈME
Bits système %S100 à %S124
NOTE : Dans la sécurité M580, certaines erreurs détectées liées aux modules d'E/S de
sécurité (mais pas toutes) ne sont pas signalées.
Ce bit est remis à 1 par le système une fois que les erreurs détectées ont été résolues.
NOTE : Ce bit est réglé sur 1 pendant le premier cycle suivant un démarrage à froid.
M340 - Défaut général d'E/S distantes
Normalement à 1, ce bit est réglé sur 0 par le système lorsqu'un défaut est détecté sur un
%S118 REMIOERR équipement connecté au bus d'E/S distantes RIO
Ce bit est remis à 1 par le système lorsque le défaut détecté a été résolu.
Ce bit n'est pas mis à jour si une erreur est détectée sur les autres bus (DIO, Profibus, ASI).
LOCIOERR Normalement à 1, ce bit est mis à 0 par le système quand un défaut est détecté sur un
%S119 Défaut général module d'E/S installé dans l'un des racks.
d'E/S sur le rack Ce bit est remis à 1 par le système lorsque le défaut détecté a été résolu.
M580 - Alimentation redondante
Ce bit concerne la prise en charge d'une double alimentation sur le rack BMX :
1 = le rack de l'UC contient deux alimentations redondantes ou ne prend pas en charge ce
%S124
type d'alimentation (rack avec un seul emplacement pour l'alimentation, par exemple).
0 = le rack de l'UC content 2 alimentations mais la redondance est perdue. Par exemple, une
seule alimentation est active.
251
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW0 à %SW11
252
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW12 à %SW29
9.9.MOTS SYSTEME %SW12 A %SW29
Symbole /
Mot Explication
Fonction
UTWPORTADDR
Adresse du port M340 - Adresse esclave Modbus du port série de l'UC. La modification de la valeur de ce mot
%SW12
série du n'est pas prise en compte. Ce bit est mis à 0 lorsque l'UC ne dispose pas de port série.
processeur
OSCOMMVERS
Version
Ce mot contient la version actuelle du système d'exploitation du processeur de l'automate.
%SW14 commerciale du
Exemple : 16#0135 pour V1.35
processeur de
l'automate
OSCOMMPATCH Ce mot contient la version commerciale du patch pour le processeur de l'automate.
Version du patch Le codage s'effectue sur l'octet de poids faible du mot.
%SW15
du processeur de codage : 0 = pas de patch, 1 = A, 2 = B…
l'automate Exemple : 16#0003 correspond au patch C.
OSINTVERS
Numéro de Ce mot contient le numéro de version (au format hexadécimal) du micrologiciel interne du
%SW16 version du processeur de l'automate.
microprogramme Exemple : 16#0043 pour ir 43
interne
Lorsqu'une erreur est détectée dans une opération arithmétique flottante, le bit %S18 est
réglé sur 1 et l'état d'erreur du mot %S17 est mis à jour selon le codage suivant :
%SW17.0 = opération non valide/le résultat n'est pas un nombre.
FLOATSTAT %SW17.1 = opérande non normalisé/résultat acceptable (indicateur non géré par M340)
Etat d'erreur sur %SW17.2 = division par 0/le résultat est l'infini.
%SW17
opération %SW17.3 = dépassement supérieur - le résultat est l'infini.
flottante %SW17.4 = dépassement inférieur - le résultat est 0.
%SW17.5 à %SW17.15 = non utilisés.
Ce mot est remis à 0 par le système lors d'un démarrage à froid, mais aussi par le programme
pour pouvoir être réutilisé.
%SW18 représente les octets de poids faible et %SW19 les octets de poids fort du double
%SD18: mot %SD18, qui est incrémenté par le système chaque dixième de seconde.
100MSCOUNTER
%SW18 %SD18 est incrémenté systématiquement, même en mode STOP et dans des états
Compteur de
et équivalents. Cependant, les périodes au cours desquelles l'automate est éteint ne sont pas
temps absolu
%SW19 prises en compte (fonction uniquement liée à l'horodateur, pas au programmateur). %SD18
peut être lu par le programme utilisateur ou par le terminal.
%SD20 est incrémenté tous les millièmes de seconde par le système (même lorsque
%SD20:
MSCOUNTER l'automate est en mode STOP ; %SD20 n'est plus incrémenté si l'automate est mis hors
%SW20
Compteur de tension). %SD20 peut être lu par le programme utilisateur ou par la borne.
et
temps absolu %SD20 est réinitialisé lors d'un démarrage à froid.
%SW21
%SD20 n'est pas réinitialisé lors d'un démarrage à chaud.
Valeur du
M340 - L'octet de poids faible correspond au commutateur rotatif du processeur Ethernet.
%SW23 commutateur
Il peut être lu par le programme utilisateur ou par le terminal.
rotatif
Nombre de Ce mot système permet de vérifier côté serveur le nombre de requêtes traitées par
%SW26
requêtes traitées l'automate par seconde.
%SW27 contient la dernière durée du surdébit.
%SW28 contient la durée maximum du surdébit.
%SW27 %SW29 contient la durée minimum du surdébit.
%SW28 Durée surdébit La durée du surdébit dépend de la configuration (nombre d'E/S, etc.) et des requêtes de
%SW29 cycle en cours (communication, diagnostic).
Durée du surdébit = temps de cycle Mast - temps d'exécution du code utilisateur.
Ces mots peuvent être lus et écrits par le programme utilisateur ou par le terminal.
253
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW30 à %SW47
9.10.MOTS SYSTEME %SW30 A %SW47
Symbole /
Mot Explication
Fonction
Temps d'exécution tâche maître
%SW30 MASTCURRTIME
%SW30 : Ce mot indique le temps d'exécution du dernier cycle de la tâche maître (en ms).
%SW31 : Ce mot indique le temps d'exécution le plus long de la tâche maître, depuis le
%SW31 MASTMAXTIME
dernier démarrage à froid (en ms).
%SW32 : Ce mot indique le temps d'exécution le plus court de la tâche maître, depuis le
%SW32 MASTMINTIME
dernier démarrage à froid (en ms).
Temps d'exécution tâche rapide
%SW33 FASTCURRTIME
%SW33 : Ce mot indique le temps d'exécution du dernier cycle de la tâche rapide (en ms).
%SW34 : Ce mot indique le temps d'exécution le plus long de la tâche rapide depuis le
%SW34 FASTMAXTIME
dernier démarrage à froid (en ms).
%SW35 : Ce mot indique le temps d'exécution le plus court de la tâche rapide depuis le
%SW35 FASTMINTIME
dernier démarrage à froid (en ms).
%SW36 AUX0CURRTIME
%SW37 AUX0MAXTIME M580 - Temps d'exécution de la tâche auxiliaire (AUX0)
%SW38 AUX0MINTIME
%SW39 AUX1CURRTIME
%SW40 AUX1MAXTIME M580 - Temps d'exécution de la tâche auxiliaire (AUX1)
%SW41 AUX1MINTIME
254
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW70 à %SW99
Contient deux séries de 8 bits permettant de régler la date courante.
L'action est toujours effectuée sur le front montant du bit.
Ce mot est activé lorsque le bit %S59 est sur 1.
Dans l'illustration ci-dessous, les bits de la colonne de gauche incrémentent la valeur,
ADJDATETIME tandis que ceux de la colonne de droite la décrémentent :
%SW59 Réglage de la date
actuelle
255
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW70 à %SW99
élémentaires de communication comme le scrutateur d'ES, un module IHM
connecté, etc., sont prises en compte.
%SW88 ASNSERVCNT Nombre de requêtes HTTP reçues chaque seconde par le serveur Web du processeur
%SW89 APPSERVCNT Nombre de requêtes FTP reçues chaque seconde par le serveur FTP.
Nombre maximum de requêtes traitées par cycle de tâche maître
Ce mot est utilisé pour définir un nombre maximal de requêtes (tous protocoles
confondus : UNI-TE, Modbus, etc.) qui peuvent être traitées par le serveur de
l'automate par cycle de tâche maître. (Les requêtes envoyées par l'automate en tant
que client ne sont pas prises en compte).
Le nombre de requêtes à traiter par cycle inclut les requêtes émanant de tous les
ports de communication (ayant accès au serveur). Cela signifie que les requêtes de
clients autres que les fonctions élémentaires de communication, comme le
scrutateur d'E/S, un module IHM connecté, etc., sont également comptabilisées.
Le mot est initialisé par le système avec la valeur N (valeur par défaut). Si la valeur 0
est saisie, la valeur N est prise en compte. Si une valeur comprise entre 1 et le
minimum est saisie, la valeur minimale est prise en compte. Si une valeur supérieure
au maximum est saisie, la valeur maximale est prise en compte.
%SW90 MAXREQNB
NOTE : les requêtes peuvent provenir de différents modules ou ports de
communication intégrés. La capacité de communication de chaque port étant
limitée, le nombre maximum de requêtes défini dans %SW90 peut ne pas être
atteint.
Ce nombre de requêtes doit être compris entre un minimum et un maximum (défini
comme N+4) en fonction du modèle.
Pour la gamme M340 :
BMX P34 10••/20•• : N = 8 (minimum 2, maximum 8 + 4 = 12)
Pour la gamme M580 :
BMX P58 10•0 : N = 16 (minimum 2, maximum 16 + 4 = 20)
BMX P58 20•0 : N = 24 (minimum 2, maximum 24 + 4 = 28)
BMX P58 30•0 : N = 32 (minimum 2, maximum 32 + 4 = 36)
BMX P58 40•0 : N = 40 (minimum 2, maximum 40 + 4 = 44)
%SW91 : nombre de messages de blocs fonction envoyés par seconde
Vitesses d'échange des %SW92 : nombre de messages de blocs fonction reçus par seconde
%SW91 et
messages de blocs Peut être lu par le programme utilisateur ou par le terminal.
%SW92
fonction Ces compteurs n'incluent pas d'autres requêtes sortantes provenant d'un scrutateur
d'ES, par exemple.
Peut être lu et écrit par le programme utilisateur ou par le terminal. Ce mot est
utilisé par le client pour effacer ou nettoyer la carte mémoire.
L'opération d'effacement supprime les pages Web. Pour les récupérer, effectuez
l'une des actions suivantes :
Via FTP :
Avant d'effectuer l'effacement, sauvegardez les pages Web en les copiant via FTP.
Après l'effacement, rechargez les pages Web via FTP.
Réinstallez le micrologiciel de système d'exploitation du processeur.
Commande et état de
L'opération de nettoyage efface le contenu du répertoire de stockage de données.
l'effacement du système
%SW93 L'effacement et le nettoyage ne sont possibles qu'en mode Stop :
de fichiers de carte
%SW93.0 = 1, un front montant démarre l'opération d'effacement.
mémoire
%SW93.1 indique l'état du système de fichiers après une requête d'effacement ou de
nettoyage :
%SW93.1 = 0, système de fichiers incorrect ou commande en cours.
%SW93.1 = 1, système de fichiers valide.
NOTE : La valeur par défaut de %SW93.1 est 0, %SW93.1 passe à 1 après l'exécution
réussie d'un effacement ou un nettoyage, puis le projet est transféré à l'automate,
%SW93.1 passe à 0.
%SW93.2 = 1, un front montant démarre l'opération de nettoyage.
Ces deux mots contiennent une valeur de 32 bits qui change à chaque modification
Signature de
%SW94 et de l'application sauf lors :
modification de
%SW95 d'une mise à jour des informations de chargement.
l'application
d'un remplacement de la valeur initiale par la valeur actuelle.
256
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW100 à %SW117
d'un enregistrement de la commande de paramètre.
Ils peuvent être lus par le programme utilisateur ou par le terminal.
Ce mot est utilisé pour copier la valeur courante de %MW dans la mémoire Flash
interne ou pour la supprimer de cette même mémoire, et pour fournir l'état de
l'action. Il peut être lu par le programme utilisateur ou par le terminal :
%SW96.0 : requête de copie de la valeur actuelle de %MW dans la mémoire Flash
interne. Paramétrée sur 1 par l'utilisateur pour demander un enregistrement et
paramétrée sur 0 par le système lorsqu'un enregistrement est en cours.
NOTE : Vous devez arrêter le processeur avant d'effectuer la copie via %SW96.0.
%SW96.1 est réglé sur 1 par le système lorsqu'un enregistrement est terminé et sur 0
par le système lorsqu'un enregistrement est en cours.
%SW96.2 = 1 indique une erreur lors d'une opération d'enregistrement ou de
restauration (reportez-vous aux mots %SW96.8 à %SW96.15 pour les définitions de
CMDDIAGSAVEREST
code d'erreur).
Commande et diagnostic
%SW96 %SW96.3 = 1 indique qu'une opération de restauration est en cours.
d'enregistrement et de
%SW96.4 peut être réglé sur 1 par l'utilisateur pour supprimer la zone %MW de la
restauration
mémoire Flash interne.
%SW96.7 = 1 indique que la mémoire interne contient un enregistrement %MW
valide.
%SW96.8 à %SW96.15 sont des codes d'erreur utilisés lorsque %SW96.2 est réglé sur
1:
%SW96.9 = 1 indique que le nombre de %MW enregistrés est inférieur au nombre
configuré.
%SW96.8 = 1 et %SW96.9 = 1 signifient que le nombre de %MW enregistrés est
supérieur au nombre configuré.
%SW96.8 = 1, %SW96.9 = 1 et %SW96.10 = 1 signalent la détection d'une erreur
d'écriture dans la mémoire Flash interne.
Peut être lu par le programme utilisateur ou par le terminal. Indique l'état de la
carte.
%SW97 :
0000 = pas d'erreur.
0001 = sauvegarde de l'application ou écriture dans un fichier envoyée sur une carte
CARDSTS protégée en écriture.
%SW97
Etat de la carte 0002 = carte non reconnue ou sauvegarde de l'application endommagée.
0003 = sauvegarde de l'application requise, mais aucune carte disponible.
0004 = erreur d'accès à la carte, par exemple après la suppression incorrecte d'une
carte.
0005 = aucun système de fichiers présent sur la carte ou système présent non
compatible. Utilisez %SW93.0 pour effacer la carte.
257
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW124 à %SW127
NOTE : lors d'un démarrage à froid, d'un démarrage à chaud ou du téléchargement
d'une application, %SW101 est remis à 0.
M580 - Chaque adresse de bit forcé est stockée dans une table limitée à 1024
entrées.
Compteur des bits forcés Le mot %SW102 contient le nombre de bits stockés dans la table.
%SW102
Quantum stockés. NOTE : Il est possible de forcer davantage de bits que la limite de la table (1024) Dans
ce cas %SW108 est supérieur à %SW102 et la liste complète des bits forcés ne peut
pas être récupérée même si les bits sont déforcés ensuite.
FORCEDIOIM Mot %SW108 :
%SW108 Registre d'état de s'incrémente chaque fois qu'un bit TOR (%I, %Q, %M ou DDDT) est forcé.
comptage des bits forcés décrémente chaque fois qu'un bit TOR est déforcé.
FORCEDANA
Mot %SW109 :
Registre d'état de
%SW109 s'incrémente chaque fois qu'une voie analogique est forcée.
comptage des voies
décrémente chaque fois qu'une voie analogique est déforcée.
analogiques forcées
M580 - Le mot système %SW117 contient l'état des RIO Quantum fourni par le bloc
%SW117
fonction dérivé (DFB) PLCSTAT
258
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW138 à %SW163 pour M340
9.15.MOTS SYSTEME %SW138 A %SW163 POUR M340
Mot Symbole / Fonction Explication
%SW138 et
Base des objets Modbus Adresses de base pour %I (entrée TOR) et %IW (registre d'entrée)
%SW140
Adresses de base pour %M (adresse de bit de sortie) et %MW (registre de
%SW139 et maintien)
Base des objets Modbus
%SW141 L'adresse de base est le nombre de %M ou de %MW correspondant à l'adresse
Modbus 0000
Inhibe l'erreur d'E/S générée par le système lorsqu'un équipement configuré sur
le bus CANopen n'est pas présent.
Cette inhibition peut être gérée avec les 4 mots système %SW142, %SW143,
%SW144 et %SW145.
Ces mots système mettent en œuvre une liste de bits indiquant une erreur de
nœud CANopen à inhiber :
Le bit 0 de %SW142 concerne l'équipement à l'adresse de nœud 1.
Le bit 1 de %SW142 concerne l'équipement à l'adresse de nœud 2.
...
%SW142 à Désactivation d'un Le bit 15 de %SW145 concerne l'équipement à l'adresse de nœud 64.
%SW145 équipement CANopen Valeurs de bit :
Si le bit est réglé sur 0 et si l'équipement n'est pas présent, une erreur est
générée.
Si le bit est réglé sur 1 et si l'équipement n'est pas présent, aucune erreur n'est
générée.
NOTE : La valeur par défaut est 0.
NOTE : cette inhibition peut être effectuée en temps réel, mais pour qu'elle soit
prise en compte, le maître CANopen doit être réinitialisé (réglage du bit 5 du mot
de sortie %QW0.0.2.0 sur 1). NOTE : les mots système %SW142 à %SW145 sont
disponibles à partir de la version 2.1 du système d'exploitation de l'UC.
Ces deux mots système contiennent le numéro de série unique de la carte SD (32
%SW146 et Numéro de série de bits). Si la carte SD est absente ou non reconnue, les deux mots système sont
%SW147 carte SD réglés sur 0. Cette information peut être utilisée pour protéger une application
contre la copie.
Informations concernant le dernier transfert d'abandon SDO :
%SW150 : mot de poids faible du code d'abandon SDO.
%SW150 à Code d'abandon SDO %SW151 : mot de poids fort du code d'abandon SDO.
%SW154 CANopen %SW152 : numéro de nœud du transfert SDO.
%SW153 : numéro d'index du transfert SDO.
%SW154 : numéro de sous-index du transfert SDO.
Les mots %SW160 à %SW163 sont associés aux racks 0 à 3, respectivement.
Les bits 0 à 15 de chacun de ces mots sont associés aux modules situés aux
positions 0 à 15 de ces racks.
PREMRACK0 à
Le bit est à 0 si une erreur est détectée sur le module et à 1 si le module
%SW160 à PREMRACK3
fonctionne correctement.
%SW163 Erreurs détectées pour
Exemple : %SW163.5 = 0, une erreur a été détectée sur le module situé à
les racks 0 à 3
l'emplacement 5 du rack 3.
Dans le cas de demi-racks, 2 demi-racks contigus forment un rack complet
normal, référencé par un seul SWi.
259
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW128 à %SW141 pour M580
9.16.MOTS SYSTEME %SW128 A %SW141 POUR M580
Mot
Symbole
%SW132 à Fonction Adresse MAC
%SW134 Etat initial 0
Ces mots contiennent les données suivantes :
%SW132 : adresse MAC - octets de poids fort
%SW133 : adresse MAC - octets de poids moyen
%SW134 : adresse MAC - octets de poids faible
Exemple @MAC = AA-BB-CC-DD-EE-FF
%SW132 = AABB hex
%SW133 = CCDD hex
%SW134 = EEFF hex
%SW135 à Fonction Numéro de série
%SW137 Etat initial 0
Ces mots contiennent le numéro de série de l'automate M580 (correspond au S/N
écrit sur le module lui-même) :
%SW135: le numéro de série - octets de poids fort
%SW136: le numéro de série - octets de poids moyen
%SW137: le numéro de série - octets de poids faible
Exemple : SN21143512345
%SW135: 21 - code d'usine
%SW136: 1435 - année(14) et semaine(35)
%SW137: 12345 - numéro de commande (sur 5 chiffres)
%SW139 et Fonction Base des objets Modbus
%SW141 Etat initial –
Adresses de base pour %M (adresse de bit de sortie) et %MW (registre de maintien)
L'adresse de base est le nombre de %M ou de %MW correspondant à l'adresse
Modbus 0000.
%SW146 et Fonction Numéro de série de carte SD
%SW147 Etat initial 0
Ces deux mots système contiennent le numéro de série unique de la carte SD
(32 bits).
S'il n'y a pas de carte SD ou que la carte n'est pas reconnue, les deux mots système
sont réglés sur 0.
Cette information peut être utilisée pour protéger une application contre la copie.
%SW148 Fonction Compteur d'erreurs du code de correction d'erreur (ECC)
Etat initial 0
Ce mot contient le nombre de bits erronés dans DDR, détectés et corrigés par l'ECC.
%SW150 Fonction Gestion du code de correction d'erreur (ECC)
Etat initial 0
Permet d'activer/de désactiver l'ECC :
Pour désactiver l'ECC : écrivez la valeur 16#DECC dans %SW150.
NOTE : L'ECC étant activé par défaut, vous devez écrire à nouveau la valeur 16#DECC
dans %SW150 après un démarrage à froid dû à l'activation du bouton
REINITIALISATION ou à la logique d'application.
260
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW128 à %SW141 pour M580
Pour activer l'ECC : écrivez une valeur autre que 16#DECC dans %SW150, redémarrez
l'UC ou appuyez sur le bouton REINITIALISER.
NOTE :
L'état de l'ECC est affiché dans %S109.
%SW150 n'est valide que pour les UC M580 redondantes (BMEH58xxxx) dont la
version de micrologiciel est la version 2.50 ou une version ultérieure. %SW150 n'a
aucun effet sur les UC autonomes.
Dans un système d'UC redondant, la valeur de %SW150 est transférée de l'automate
primaire à l'automate redondant.
%SW151 Fonction Compteur d'erreurs d'ECC multiples
Etat initial 0
Ce compteur est incrémenté chaque fois qu'une erreur d'ECC multiples se produit.
%SW151 n'est valide que pour les UC M580 dont la version de micrologiciel est la
version 2.50 ou une version ultérieure.
Ce compteur ne peut pas être remis à zéro.
%SW160 à Fonction Erreurs détectées pour les racks 0 à 7
%SW167 Etat initial –
PREMRACK0 à Les mots %SW160 à %SW167 sont associés aux racks 0 à 7 respectivement.
PREMRACK7 Les bits 0 à 15 de chacun de ces mots sont associés aux modules situés aux positions 0
à 15 de ces racks.
Le bit est à 0 si une erreur est détectée sur le module et à 1 si le module fonctionne
correctement.
Exemple : %SW163.5 = 0 Une erreur a été détectée sur le module situé à
l'emplacement 5 du rack 3.
Dans le cas de demi-racks, 2 demi-racks contigus forment un rack complet normal,
référencé par un seul SWi.
%SW171 Fonction Indication d'état de tâche rapide
Etat initial –
Etat de la tâche FAST :
0 : il n'existe aucune tâche FAST
1 : Arrêt
2 : Exécution (toutes les tâches de processus sont à l'état Exécution)
3 : Point d'arrêt
4 : Pause
%SW173 Fonction Indication d'état de tâche MAST
Etat initial –
Etat de la tâche MAST :
0 : il n'existe aucune tâche MAST
1 : Arrêt
2 : Exécution
3 : Point d'arrêt
4 : Pause
%SW174 Fonction Indication d'état de tâche AUX0
Etat initial –
NOTE : Uniquement pour les automates autonomes.
Etat de la tâche AUX0 :
0 : il n'existe aucune tâche AUX0
261
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW185 à %SW640 pour M580
1 : Arrêt
2 : Exécution
3 : Point d'arrêt
4 : Pause
%SW175 Fonction Indication d'état de tâche AUX1
Etat initial –
NOTE : Uniquement pour les automates autonomes.
Etat de la tâche AUX1 :
0 : il n'existe aucune tâche AUX1
1 : Arrêt
2 : Exécution
3 : Point d'arrêt
4 : Pause
Mot
Symbole
%SW185 à Fonction Bits de validité des stations S908
%SW339 Etat initial 0
IOHEALTHij Les mots %SW185 à %SW339 sont associés aux stations 2 à 32. Chaque station a 5
i=1…32, j=1…5 mots affectés au rack principal et jusqu'à 4 racks d'extension configurés :
%SW185 : bits de validité des modules de la station S908 n° 2, rack 1 (principal).
%SW186 : bits de validité des modules de la station S908 n° 2, rack 2 (extension).
%SW187 : bits de validité des modules de la station S908 n° 2, rack 3 (extension).
%SW188 : bits de validité des modules de la station S908 n° 2, rack 4 (extension).
%SW189 : bits de validité des modules de la station S908 n° 2, rack 5 (extension).
...
%SW335 : bits de validité des modules de la station S908 n° 32, rack 1.
%SW336 : bits de validité des modules de la station S908 n° 32, rack 2.
%SW337 : bits de validité des modules de la station S908 n° 32, rack 3.
%SW338 : bits de validité des modules de la station S908 n° 32, rack 4.
%SW339 : bits de validité des modules de la station S908 n° 32, rack 5.
NOTE : Les stations Quantum prennent en charge uniquement 2 racks et les mots
système des racks 3, 4 et 5 ne sont pas utilisés. Les stations d'E/S de la gamme 800
prennent en charge jusqu'à 5 racks.
Les bits 0 à 15 de chacun de ces mots sont associés aux modules situés aux
positions 16 à 1 de ces racks.
Le bit est égal à 0 si le module est inopérant et à 1 si le module fonctionne
correctement.
Exemple : %SW185.5 = 0 : le module situé dans la station S908 n° 2, rack principal,
emplacement 11 est inopérant.
NOTE : Les modules 140 XBE 100 00 nécessitent une gestion spéciale.
%SW535 Fonction Erreur CRP au démarrage
RIOERRSTAT Etat initial –
262
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW185 à %SW640 pour M580
Ce mot stocke le code d'erreur de démarrage. Ce mot est toujours défini sur 0
lorsque le système est en marche. En cas d'erreur, le CRP ne démarre pas, mais
génère un code d'état d'arrêt.
01 : Longueur d'affectation des E/S
02 : Numéro de lien d'E/S décentralisée
03 : Nombre de stations dans l'affectation des E/S
04 : Checksum d'affectation des E/S
10 : Longueur du descripteur de station
11 : Numéro de station d'E/S
12 : Temps d'autonomie de la station
13 : Numéro de port ASCII
14 : Nombre de modules de la station
15 : Station déjà configurée
16 : Port déjà configuré
17 : Plus de 1024 points de sortie
18 : Plus de 1024 points d'entrée
20 : Adresse d'emplacement de module
21 : Adresse du châssis de module
22 : Nombre d'octets de sortie
23 : Nombre d'octets d'entrée
25 : Premier numéro de référence
26 : Second numéro de référence
28 : Bits internes hors de la plage des 16 bits
30 : Module de sortie impair dépareillé
31 : Module d'entrée impair dépareillé
32 : Référence de module impair dépareillé
33 : Référence 1x après le registre 3x
34 : Référence du module factice déjà utilisé
35 : Le module 3x n'est pas factice
36 : Le module 4x n'est pas factice
%SW536 Fonction Etat de la communication sur le câble A
CAERRCNT1 Etat initial –
%SW537 Les mots %SW536 à %SW538 sont des mots d'erreur de communication sur le
CAERRCNT2 câble A.
%SW538 %SW536 :
CAERRCNT3 octet de poids fort : compte les erreurs de trame
octet de poids faible : compte les dépassements du récepteur DMA
%SW537 :
octet de poids fort : compte les erreurs de réception
octet de poids faible : compte les réceptions de stations incorrectes
%SW538 :
%SW538.0 = 1, trame courte
%SW538.1 = 1, erreur de CRC
%SW538.2 = 1, erreur d'alignement
%SW538.4 = 1, abandon
%SW538.5 à %SW538.7 = longueur caractères résiduels
%SW538.8 à %SW538.15 et %SW538.3 sont inutilisés
%SW539 Fonction Etat de la communication sur le câble B
263
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW185 à %SW640 pour M580
CBERRCNT1 Etat initial –
%SW540 Les mots %SW539 à %SW541 sont des mots d'erreur de communication sur le
CBERRCNT2 câble B.
%SW541 %SW539 :
CBERRCNT3 octet de poids fort : compte les erreurs de trame
octet de poids faible : compte les dépassements du récepteur DMA
%SW540 :
octet de poids fort : compte les erreurs de réception
octet de poids faible : compte les réceptions de stations incorrectes
%SW541 :
%SW541.0 = 1, trame courte
%SW541.1 = 1, erreur de CRC
%SW541.2 = 1, erreur d'alignement
%SW541.4 = 1, abandon
%SW541.5 à %SW541.7 = longueur caractères résiduels
%SW541.8 à %SW541.15 et %SW541.3 sont inutilisés
%SW542 Fonction Etat de communication globale
GLOBERRCNT0 Etat initial –
%SW543 Les mots %SW542 à %SW544 sont des mots d'erreur de communication globale.
GLOBERRCNT1 %SW542 : affiche l'état de la communication globale :
%SW544 %SW542.15 = 1, communication correcte.
GLOBERRCNT2 %SW542.14 = 1, communication correcte sur câble A.
%SW542.13 = 1, communication correcte sur câble B.
%SW542.11 à %SW542.8 = compteur des communications perdues.
%SW542.7 à %SW542.0 = compteur du nombre total de nouvelles tentatives.
NOTE : si le câble A est déconnecté de l'automate redondant, l'état de redondance
reste actif. l'automate primaire tient donc compte de l'automate redondant, mais
au lieu d'indiquer %SW542.14 = 0, le bit %SW542.14 de l'automate primaire bascule
entre les valeurs 0 et 1.
%SW543 : est le compteur du nombre total d'erreurs globales pour le câble A :
Octet de poids fort : compteur d'erreurs détectées.
Octet de poids faible : compteurs d'absences de réponse.
%SW544 : est le compteur du nombre total d'erreurs globales pour le câble B :
Octet de poids fort : compteur d'erreurs détectées.
Octet de poids faible : compteurs d'absences de réponse.
%SW548 à Fonction Etat de communication des stations S908
%SW640 Etat initial –
MODUNHEALTHi Les mots %SW548 à %SW640 permettent de décrire l'état de communication des
IOERRCNTi stations S908. Trois mots d'état sont utilisés pour chaque station :
IORETRYi %SW548 : affiche l'état de la communication globale de la station 2 :
i = 2…32 %SW548.15 = 1, communication correcte.
%SW548.14 = 1, communication correcte sur câble A.
%SW548.13 = 1, communication correcte sur câble B.
%SW548.11 à %SW548.8 = compteur des communications perdues.
%SW548.7 à %SW548.0 = compteur du nombre total de nouvelles tentatives.
%SW549 : est le compteur du nombre total d'erreurs globales relatives au câble A
station 2 :
Octet de poids fort : compteur d'erreurs détectées.
264
VARIABLES SYSTÈME
Mots système %SW185 à %SW640 pour M580
Octet de poids faible : compteurs d'absences de réponse.
%SW550 : est le compteur du nombre total d'erreurs globales relatives au câble B
station 2 :
Octet de poids fort : compteur d'erreurs détectées.
Octet de poids faible : compteurs d'absences de réponse.
Les mots :
%SW551 à %SW553 sont attribués à la station S908 n° 3.
%SW554 à %SW556 sont attribués à la station S908 n° 4.
...
%SW638 à %SW640 sont attribués à la station S908 n° 32.
265
NOTES
Mots système %SW185 à %SW640 pour M580
10.NOTES
NOTES
Mots système %SW185 à %SW640 pour M580
NOTES
Mots système %SW185 à %SW640 pour M580
NOTES
Mots système %SW185 à %SW640 pour M580
NOTES
Mots système %SW185 à %SW640 pour M580