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SCHNEIDER
Control Expert
5. STRUCTURATION DU PROGRAMME................................................................................. 84
Sommaire
10. COMPLEMENTS......................................................................................................................216
1. MATERIEL MODICOM
1.1.PRESENTATION DE LA GAMME
M100
TM100C16RN
Ecostruxure Machine Expert Basic
Solution tout en un avec faible encombrement
Maximum 40 E/S
Programmable avec le logiciel EcoStruxure
Machine Expert Basic – Ex SoMachine
1 port série compatible Modbus
2 langages de programmation (Ladder et List)
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MATERIEL MODICOM
Présentation de la gamme
M171/M172 TM172PDG28R
Ecostruxure Machine Expert HVAC
M200 TM200C24R
Ecostruxure Machine Expert Basic
M221 TM221CE40T
Ecostruxure Machine Expert Basic
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MATERIEL MODICOM
Présentation de la gamme
M238 Obsolète - M258
SoMachine
TM258LD42DT
M241 - M251
EcoStruxure Machine Expert
M262 TM262L10MESE8T
EcoStruxure Machine Expert
Doté de protocoles cloud intégrés (dont MQTT,
OPC UA serveur et client, API et le chiffrement
TLS), le contrôleur de mouvement et de logique
compatible IIoT Modicon M262 peut être
directement connecté au cloud et transmettre
des données à EcoStruxure Machine Advisor
tout en prenant en charge la cybersécurité.
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MATERIEL MODICOM
Présentation de la gamme
TSX Micro - Obsolète TSX3722001
PL7-Pro
Machines et process
M340 – M580
Unity Pro / EcoStruxure Control Expert
BMXP342020
BMEP581020
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MATERIEL MODICOM
Présentation de la gamme
TSX Quantum 140CPU67260C
Unity Pro / EcoStruxure Control Expert
M580 safety
BMEP586040S
Unity Pro XLS / EcoStruxure Control Expert
Architecture redondante : double alimentation
et double processeur
1 processeur pour les fonctions de sécurité et
un second pour les opérations de calcul.
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MATERIEL MODICOM
Historique des versions
1.2.HISTORIQUE DES VERSIONS
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MATERIEL MODICOM
Phase de vie des contrôleurs
1.3.PHASE DE VIE DES CONTROLEURS
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MODICOM M340
Phase de vie des contrôleurs
2. MODICOM M340
◼ Composants :
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MODICOM M340
Les racks
2.1.LES RACKS
Le débrochage de tous les modules peut être effectué sous tension sauf pour :
Alim, Processeur,
Cartes et câbles extension rack
Terminaisons ligne
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MODICOM M340
Les racks
◼ Configuration multirack :
Le module d’extension rack BMX XBE 1000 2 est inséré à droite du rack (emplacement
XBE). Il n’occupe pas les emplacements rack 00…11 (les 4, 6, 8 ou 12 emplacements
restent disponibles).
Le raccordement en chaînage des racks est réalisé avec des cordons d'extension bus X
BMX XBC pp0K 3 dont la longueur cumulée est de 30 m maximum et connectés sur les
deux connecteurs 5 et 6, de type SUB-D 9 contacts, situés en face avant des modules
d'extension rack 2.
Nombre de racks
Processeurs Standards P10xx :
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MODICOM M340
Les alimentations
2.2.LES ALIMENTATIONS
Les modules d’alimentation BMX CPS pppp sont destinés à l’alimentation de chacun des
racks Modicon X80 et des modules qui y sont installés et doivent être positionnés en tête
de rack.
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MODICOM M340
Les processeurs
2.3.LES PROCESSEURS
Les processeurs dédiés BMX P34 ppppp, qui entrent dans la composition d’une plate-
forme d’automatisme Modicon M340, sont de deux types :
◼ Standard
◼ Performance.
Ces 2 types de processeurs se différencient essentiellement par leur nombre
d’entrées/sorties, leur capacité mémoire et le type de ports de communication intégrés à
chaque modèle.
1 Vis de sécurité pour verrouillage du module dans son emplacement (repère 0) sur le rack.
2 Bloc d’affichage comprenant, selon modèle, 5 ou 10 voyants :
- Voyant RUN (vert) : processeur en fonctionnement (exécution du programme)
- Voyant ERR (rouge) : défaut processeur ou défaut système
- Voyant I/O (rouge) : défaut provenant des modules d’entrées/sorties
- Voyant SER COM (jaune) : activité sur la liaison série Modbus
- Voyant CARD ERR (rouge) : absence ou défaut de la carte mémoire
- Voyant CAN RUN (vert) : bus CANopen intégré opérationnel (
- Voyant CAN ERR (rouge) : défaut bus CANopen intégré
- Voyant ETH ACT (vert) : activité sur le réseau Ethernet Modbus/TCP
- Voyant ETH STS (vert) : état du réseau Ethernet Modbus/TCP
- Voyant ETH 100 (rouge) : débit sur le réseau Ethernet Modbus/TCP (10 ou 100 Mbit/s)
3 Connecteur de type USB mini B pour le raccordement d’un terminal de programmation
4 Emplacement équipé de sa carte mémoire Flash pour la sauvegarde de l’application (un
voyant, situé au-dessus de cet emplacement, indique la détection ou l’accès à la carte
mémoire).
5 Connecteur de type RJ45 pour liaison série Modbus ou liaison Mode Caractères
(RS 232C/RS 485, 2 fils, non isolée),
6 Connecteur de type RJ45 pour raccordement au réseau Ethernet Modbus/TCP
10BASE-T/100BASE-TX,
7 Connecteur type SUB-D 9 contacts pour bus maître CANopen intégré
8 (en face arrière) 2 commutateurs rotatifs pour la sélection de la méthode d’adressage IP
du module.
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MODICOM M340
Les processeurs
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MODICOM M340
Les processeurs
2.3.1.LECTEUR CARTE SD
Les processeurs Modicon M340 sont fournis en standard (1) avec une carte mémoire Flash
de type SD, formatée par Schneider Electric et disponible séparément sous la référence
BMX RMS008MP. Cette carte est destinée à la sauvegarde de deux zones mémoire de la
RAM interne du processeur :
◼ Zone programme, symboles et commentaires, qui contient, pour la partie
programme, le code binaire exécutable et le code source IEC du programme
application
◼ Zone constantes, qui contient les données de type constante, localisées par
adresse.
La sauvegarde des données est automatiquement réalisée par duplication, lors d’une mise
hors service de l’automate. De même, leur restitution est transparente pour l’utilisateur,
lors d’une reprise secteur.
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MODICOM M340
Les processeurs
2.3.2.PORTS DE COMMUNICATION
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MODICOM M340
Les processeurs
◼ Port série Modbus RTU ou mode caractères
◼ Port CANopen
Le bus CANopen est un bus multimaître qui garantit un accès déterministe aux données
en temps réel des équipements d’automatisme. Le protocole est basé sur des échanges
en diffusion, émis cycliquement ou sur événement, assurant une utilisation optimale
de la bande passante. Un canal de messagerie permet également le paramétrage de
produits esclaves.
Le bus utilise une double paire torsadée blindée sur laquelle, avec la plate-forme
Modicon M340, le raccordement de 63 produits maximum s’effectue par chaînage ou
par dérivation. Le débit binaire, qui varie entre 20 kbit/s et 1 Mbit/s, est conditionné
par la longueur du bus (entre 20 m et 2 500 m). Chaque extrémité du bus doit être
équipée d’une terminaison de ligne.
La plate-forme d’automatisme Modicon M340, via son processeur BMX P34
20102/20302/20102CL/20302CL avec liaison CANopen intégrée, assure le rôle de
maître sur le bus.
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MODICOM M340
Les processeurs
2.3.3.BLOC DE VISUALISATION
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MODICOM M340
Les processeurs
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MODICOM M340
Les modules d’E/S TOR
2.4.LES MODULES D’E/S TOR
Les modules d’entrées/sorties TOR de l’offre Modicon X80 sont des modules standards
occupant un seul emplacement sur le rack. Ces modules sont équipés de l’un des
connecteurs suivants :
◼ un connecteur pour bornier débrochable 20 contacts à cage, vis étriers ou
ressort,
◼ un connecteur pour bornier débrochable 40 contacts à cage ou à ressort,
◼ un ou deux connecteurs 40 contacts.
Cette large gamme d’entrées/sorties TOR permet de répondre à l’ensemble des
besoins rencontrés en termes de :
◼ Fonctions : entrées/sorties continues ou alternatives, logique positive ou
négative,
◼ Modularité : 8, 16, 32 ou 64 voies par module.
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MODICOM M340
Les modules d’E/S TOR
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MODICOM M340
Les modules d’E/S TOR
2.4.2.MODULES SORTIES TOR
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MODICOM M340
Les modules d’E/S TOR
2.4.2.VISUALISATION DE L'ÉTAT DES MODULES TOR
Les modules d'entrées/sorties TOR sont équipés d'un bloc d'affichage muni de voyants
qui permettent de visualiser l'état des voies et l'état général du module.
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MODICOM M340
Les modules d’E/S ANA
2.5.LES MODULES D’E/S ANA
Les modules d’entrées/sorties ANA de l’offre Modicon X80 sont des modules standards
occupant un seul emplacement sur le rack.
L’alimentation des fonctions analogiques est fournie par le bus de fond de panier (3,3V
et 24V). Les modules d’entrées/sorties analogiques sont débrochables et
embrochables sous tension.
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MODICOM M340
Les modules d’E/S ANA
2.5.1.MODULES ENTRÉES ANALOGIQUES
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MODICOM M340
Les modules d’E/S ANA
2.5.4.VISUALISATION DE L'ÉTAT DES MODULES ANALOGIQUES
Les modules analogiques sont équipés de voyants permettant la visualisation de l'état
du module et de l'état des voies, qui sont les voyants d'état du module : Run, ERR et
ES, les voyants d'état des voies : IN • (pour les modules d'entrée), OUT • (pour les
modules de sortie).
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MODICOM M340
Modules métiers
2.6.MODULES MÉTIERS
2.6.1.CARTE DE COMPTAGE
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MODICOM M340
Modules de communication compatibles M340
2.7.MODULES DE COMMUNICATION COMPATIBLES M340
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MODICOM M340
Modules de communication compatibles M340
2.7.3.MODULE LIAISON SÉRIE MODBUS ET MODE CARACTÈRES - BMX NOM 0200
Le module de liaison série BMX NOM 0200 est un module de ligne série asynchrone
bidirectionnelle qui prend en charge les communications Modbus série (maître ou
esclave) et en mode caractères.
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MODICOM M340
Modules de communication compatibles M340
2.7.4.MODULE INTERFACE AS-INTERFACE - BMX EIA 0100
Les bus AS-Interface sont des bus de terrain (niveau 0), utilisables pour l’interconnexion
de capteurs/actionneurs. Ils permettent l’acheminement d’informations de type « Tout
Ou Rien » et analogiques entre un maître de bus et des esclaves de type
capteurs/actionneurs.
Les trois principaux composants d'un bus AS-Interface sont :
◼ un maître de bus,
◼ une alimentation spécifique délivrant une tension de 30 VCC,
◼ des esclaves (capteurs, actionneurs et autres).
Le BMX EIA 0100 est un maître de bus AS-Interface.
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MODICOM M340
Modules de communication compatibles M340
2.7.5.MODULE COUPLEUR RTU 2 VOIES, ETHERNET ET SÉRIE - BMX NOR 0200 H
Le module BMX NOR 0200 H fournit les fonctionnalités RTU Remote Terminal Unit à la
plateforme M340.
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MODICOM M340
Modules de communication compatibles M340
2.7.6.MODULE CONVERTISSEUR FIBRE CUIVRE RJ45 2 VOIES
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Interface utilisateur
3. PRESENTATION CONTROL EXPERT
Control Expert se décline en 4 variantes :
◼ S:
◼ L:
◼ XL :
3.1.INTERFACE UTILISATEUR
Barre de menus
Barre d’outils Espace de travail
Éditeurs
Fenêtre de
visualisation et
d’information Barre d’état
Navigateur du
projet
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Barre d’outils
3.2.BARRE D’OUTILS
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Fenêtre de visualisation
3.3.FENÊTRE DE VISUALISATION
42
PRESENTATION CONTROL EXPERT
Barre d’état
3.4.BARRE D’ÉTAT
4 6 8 10
1
2 3 5 7 9
1. Zone d'information pour l'affichage d'informations sur le menu, les instances FFB, les
variables
3. État de la connexion :
Local : non connecté
EQUAL ( en vert ) : connecté et le programme dans le PC est identique à celui de l’automate
DIFFERENT ( en rouge ) : connecté et le code programme dans le PC est différent de celui
de l’automate
4. État de l’automate
RUN ( en vert )
STOP ( en jaune )
7. Etat de la mémoire :
Vert = fragmentation < 50% ou bilan mémoire <50%
Rouge = fragmentation >70% ou bilan mémoire >70%
Jaune = Tous les autres cas
9. Forçage
En mode connecté égal, le F rouge indique que les bits ou les mots ont été forcés sur
la CPU. Cliquez sur ce champ pour afficher la table d'animation contenant la liste des
variables (bits/mots) forcées.
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Navigateur du projet
3.5.NAVIGATEUR DU PROJET
3.5.1.VUE STRUCTURELLE
Configuration
matérielle Variables complexes
Editeur de réseaux de
communication
Editeur de
programmation
Tables d’animation
Ecrans
d’exploitation
Editeur de
programmation
Configuration
matérielle
Tables d’animation
Editeur de
données
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Navigateur du projet
3.5.2.VUE FONCTIONNELLE
La vue fonctionnelle est optionnelle mais a pour objectif la compréhension d’un projet
(programme, tables d’animations et écrans d’exploitation) organisés, non pas par
rapport au code généré, mais suivant le découpage fonctionnel du process ou de la
machine.
Il est ainsi plus simple, lors d’une intervention de maintenance ou dans la cadre d’une
évolution de localiser les différentes sections du programme.
Beaucoup de fonctionnalités sont accessibles via la barre de menus mais également depuis
des menus contextuels via un clic droit sur l’élément sélectionné.
Si lors de l’utilisation du logiciel on se retrouve perdu dans la navigation entre les différentes
fenêtres ouvertes, toujours revenir à la fenêtre du navigateur du projet.
Si cette dernière est fermée, appuyer sur l’icône ou menu Outils/Navigateur du projet.
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Navigateur du projet
Tous les éditeurs peuvent être basculés du mode normal au mode plein écran et réorganisées
via les icones .
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Formats de fichiers
3.6.FORMATS DE FICHIERS
Control Expert permet de travailler avec 3 formats de fichiers qui différent par leur extension:
◼ <nom de fichier> .xef ou .zef : c’est le format d’export de l’application au format XML.
Après lecture, ce format de fichier nécessite une régénération de l’application, donc
un rechargement du programme dans l’automate (et donc STOP CPU). Le fichier .xef
ne contient pas la configuration des DTM.
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Formats de fichiers
Ces trois formats de fichier s’ouvrent directement dans Control Expert avec le menu :
Fichier \ Ouvrir.
En cas de changement de version de logiciel Control Expert, il est impératif d’utiliser le fichier
.STA ou le fichier .XEF.
Utiliser le fichier STA en priorité pour éviter un STOP CPU en cas de modifications en mode
connecté.
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Connexion à l’automate via port USB
3.7.CONNEXION À L’AUTOMATE VIA PORT USB
La connexion à l’automate permet une multitude de fonctionnalités telles que le test des
E/S, le forçage de variables, la modification en ligne du programme, l’envoi du projet vers
l’automate ou sauvegarde vers le PC.
La connexion via le port USB est utilisée principalement par défaut car elle est simple à
mettre en œuvre.
◼ La partie gauche concerne le mode standard. L’adresse doit être SYS et le Média
USB.
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Connexion à l’automate via port USB
◼ Il est possible de tester la connexion via le bouton correspondant.
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Connexion à l’automate via Ethernet
3.8.CONNEXION À L’AUTOMATE VIA ETHERNET
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Connexion à l’automate via Ethernet
◼ Il est possible de tester la connexion via le bouton correspondant.
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Analyser / analyser le projet
3.9.ANALYSER / ANALYSER LE PROJET
Lors du résultat de l’analyse du projet, un double clic sur la ligne en rouge amène
directement sur l’erreur détectée.
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Générer le projet
3.10.GÉNÉRER LE PROJET
◼ Pour pouvoir transférer un projet dans l’automate, celui-ci doit déjà être Généré.
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Transférer le projet vers l’automate
3.11.TRANSFÉRER LE PROJET VERS L’AUTOMATE
État de la connexion :
Local : non connecté
EQUAL ( en vert ) : connecté et le programme
dans le PC est identique à celui de l’automate
DIFFERENT ( en rouge ) : connecté et le code
programme dans le PC est différent de celui de
l’automate
État de l’automate
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Transférer le projet vers l’automate
◼ Valider le transfert du projet du Pc vers l’automate par la touche Transférer.
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Récupérer le projet depuis l’automate
3.12.RÉCUPÉRER LE PROJET DEPUIS L’AUTOMATE
État de la connexion :
Local : non connecté
EQUAL ( en vert ) : connecté et le programme
dans le PC est identique à celui de l’automate
DIFFERENT ( en rouge ) : connecté et le code
programme dans le PC est différent de celui de
l’automate
État de l’automate
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Récupérer le projet depuis l’automate
◼ Valider le transfert du projet de l’automate vers le PC par la touche Transférer le
projet depuis l’automate.
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Initialiser l’automate
3.13.INITIALISER L’AUTOMATE
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Initialiser l’automate
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PRESENTATION CONTROL EXPERT
Les options du projet
3.14.LES OPTIONS DU PROJET
61
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Choix du processeur
4. CONFIGURATION MATÉRIELLE
4.1.CHOIX DU PROCESSEUR
62
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Choix du processeur
◼ Le projet est créé. La fenêtre suivante apparait. Ne pas saisir de mot de passe et
cliquer sur Annuler.
◼ Changement de Processeur :
Il est possible de changer de modèle de processeur (modèle ou version d’OS) tout en restant
dans la même plate-forme d’automate (le passage de M340 à Premium ou Quantum et vice
versa est impossible).
63
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Choix du processeur
◼ 1ère méthode : Choisir le processeur dans la liste déroulante :
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CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration du processeur
4.2.CONFIGURATION DU PROCESSEUR
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CONFIGURATION MATÉRIELLE
Choix du rack
4.3.CHOIX DU RACK
◼ Le choix du rack peut être fait lors du choix du processeur mais il est également
possible de le modifier après. Clic droit sur l’emplacement 0, puis sélectionner
Remplacer le Rack…
66
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration de l’alimentation
4.4.CONFIGURATION DE L’ALIMENTATION
◼ Ensuite il faut aller chercher l’alimentation désirée dans le catalogue matériel et faire
un glisser-déposer.
◼ Il est aussi possible d’insérer une alimentation via un clic droit depuis l’emplacement :
67
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Déclaration des cartes d’E/S
4.5.DÉCLARATION DES CARTES D’E/S
68
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Déclaration des cartes d’E/S
◼ Confirmer par Oui.
◼ Il est également possible d’aller chercher la carte d’E/S désirée dans le catalogue
matériel et la faire glisser-déposer dans l’emplacement libre.
69
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration des cartes d’E/S
4.6.CONFIGURATION DES CARTES D’E/S
4.6.1.TOR
70
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration des cartes d’E/S
◼ Cliquer sur le type de la carte et afficher l’onglet Objets d’E/S:
71
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration des cartes d’E/S
◼ Cocher %I pour les entrées automate puis appuyer sur la touche Mettre à jour
grille. Il est alors possible d’affecter un nom et un commentaire aux entrées de
la carte.
Entrées
◼ Cocher %Q pour les entrées automate puis appuyer sur la touche Mettre à jour
grille. Il est alors possible d’affecter un nom et un commentaire aux sorties de
la carte.
Sorties
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CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration des cartes d’E/S
◼ Pour l’utilisation de IODDT, cocher %CH puis appuyer sur la touche Mettre à
jour grille. Il est alors possible d’affecter un nom et un commentaire aux
entrées-sortie de la carte et à l’état du module.
Entrées
73
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration des cartes d’E/S
Sorties
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CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration des cartes d’E/S
4.6.2.ANALOGIQUE
Choisir le type de
signal Choisir la mise à
l’échelle de la voie
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CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration des cartes d’E/S
Paramètre de la voie en
0-10V
0-20mA
4-20mA
0 à 10 000 points
Paramètre de la voie en
+/-10V
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CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration des cartes d’E/S
◼ Configurer les sorties analogiques:
Choisir le type de
signal Choisir la mise à
l’échelle de la voie
Paramètre de la voie en
0-20mA
4-20mA
0 à 10 000 points
Paramètre de la voie en
+/-10V
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CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration des cartes d’E/S
◼ Pour l’utilisation de IODDT, cocher %CH puis appuyer sur la touche Mettre à
jour grille. Il est alors possible d’affecter un nom et un commentaire aux voies
de la carte et à l’état du module.
78
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration des cartes d’E/S
79
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration des cartes d’E/S
80
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Bilan alimentation
4.7.BILAN ALIMENTATION
81
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration de la voie Ethernet du processeur
4.8.CONFIGURATION DE LA VOIE ETHERNET DU PROCESSEUR
◼ Nommer le réseau puis valider. Le réseau apparait alors dans le navigateur du projet
◼ Sélectionner la famille CPU 2020, CPU 2030, puis renseigner l’adresse IP de la CPU et
le masque de sous-réseau dans l’onglet Configuration IP.
82
CONFIGURATION MATÉRIELLE
Configuration de la voie Ethernet du processeur
◼ Bien valider via la touche de la barre d’outils.
83
STRUCTURATION DU PROGRAMME
Le cycle automate
5. STRUCTURATION DU PROGRAMME
◼ Cycle cyclique :
84
STRUCTURATION DU PROGRAMME
Le cycle automate
◼ Cycle périodique :
Le temps de réalisation des trois phases est déterminé, 100ms est un temps standard.
Le cycle se relance donc à intervalle régulier.
85
STRUCTURATION DU PROGRAMME
Taches
5.2.TACHES
Une tâche se définit comme un élément de commande d’exécution, capable de lancer, soit
de façon cyclique, soit de façon périodique, soit lors du front montant d’une variable ou
expression logique, l’exécution d’un ensemble d’unités d’organisation de programme
(sous programmes, blocs fonctions).
Elle peut être programmée dans différents langages : IL, ST, LD, FBD, SFC.
Elle peut être exécutée de manière cyclique (durée liée au programme) ou de manière
périodique (1ms à 255ms à configurer).
Enfin, elle est contrôlée par un chien de garde, des bits et des mots systèmes.
86
STRUCTURATION DU PROGRAMME
Taches
◼ Accès aux propriétés de la tâche MAST. Clic droit sur MAST puis Caractéristiques.
Durée de la période
si périodique
Exécution cyclique
ou périodique
◼ Le chien de garde.
La période de l’exécution de la tâche MAST, en fonctionnement cyclique ou périodique est
contrôlée par l’automate et ne doit pas excéder la valeur définie dans a configuration.
C’est le chien de garde.
Si le dépassement du chien de garde se produit, le programme est déclaré en erreur, ce
qui entraîne l’arrêt immédiat de la CPU.
La variable système %S11 Watchdog passe à 1 lorsque le temps d’exécution maximal d’une
tâche est dépassé.
87
STRUCTURATION DU PROGRAMME
Taches
5.2.2.TÂCHE RAPIDE FAST
Elle peut être programmée dans différents langages : IL, ST, LD, FBD, SFC.
Elle est exécutée de manière cyclique manière périodique (1ms à 255ms à configurer).
Enfin, elle est contrôlée par un chien de garde, des bits et des mots systèmes.
Attention, plus la période de la tâche FAST est petite, plus le temps d’exécution de la
tâche MAST augmente et peut alors atteindre la valeur définie dans le chien de garde.
5.2.3.TÂCHES ÉVÉNEMENTIELLES
88
STRUCTURATION DU PROGRAMME
Sections logique
5.3.SECTIONS LOGIQUE
Une section de logique est un module programmable appartenant à une tâche écrite dans
le langage choisi par le programmeur (FBD, LD, ST, IL, SFC).
Une tâche peut être composé de plusieurs sections de logique, à l’exception des tâches
évènementielles qui possèdent une seule section.
L’ordre d’exécution des sections de logique correspond à l’ordre dans lequel elles sont
présentées dans le navigateur du haut vers le bas.
Permet de conditionner
l’exécution de la section à
l’état d’une variable.
90
STRUCTURATION DU PROGRAMME
Sous-programmes SR
5.4.SOUS-PROGRAMMES SR
91
STRUCTURATION DU PROGRAMME
Sous-programmes SR
5.4.1.CRÉATION D’UN SOUS PROGRAMME SR
92
STRUCTURATION DU PROGRAMME
Structure d’un programme
5.5.STRUCTURE D’UN PROGRAMME
93
LES VARIABLES
Accès à la table des variables
6. LES VARIABLES
94
LES VARIABLES
Edition de la table des variables
6.2.EDITION DE LA TABLE DES VARIABLES
◼ Depuis l’éditeur de variables, faire un clic droit pour afficher les diverses
possibilités.
95
LES VARIABLES
Structuration des données
6.3.STRUCTURATION DES DONNÉES
Une variable permet d'identifier des objets de données et son contenu et est défini par :
◼ Son Nom (32 caractères maxi)
◼ Son Type
◼ Son Adresse ou repère (non obligatoire)
◼ Un alias (non obligatoire)
◼ Sa Valeur Initiale (non obligatoire)
◼ Son commentaire (non obligatoire)
Exemples :
Variable localisée
(avec adresse)
Une variable non localisée est une variable qui n’est liée à aucun module ou zone
mémoire. Une variable qui n’a pas d’adresse est dite non localisée.
96
LES VARIABLES
Principe d’adressage
6.4.PRINCIPE D’ADRESSAGE
◼ Exemples :
%M10 : Bit de mémoire
%MW10 : Mot de mémoire
%I0.1.5 : Bit d’entrée TOR
%Q1.3.2 : Bit de sortie TOR
%SW4 : Mot système
%IW0.3.0 : Mot d’entrée ANA
6.4.2.LES CONSTANTES %K
Ce sont des valeurs qui sont définies et qu’on ne pourra pas faire varier lors de la
programmation. Il n’y a pas de bits constants mais il existe les valeurs TRUE et FALSE.
97
LES VARIABLES
Adressages des entrées/sorties
6.5.ADRESSAGES DES ENTRÉES/SORTIES
Chaque voie dispose d’un bit d’erreur de voie, par exemple : %I0.3.5.ERR
98
LES VARIABLES
Les différentes bases
6.6.LES DIFFÉRENTES BASES
6.6.1.BASE 10 – DÉCIMAL
Une valeur littérale en base 10 est utilisée pour représenter une valeur entière
décimale. Cette valeur peut être précédée des signes "+" et "-". Si le caractère "_" est
utilisé dans cette valeur littérale, il n'est pas significatif.
Exemple :
-12, 0, 123_456, +986
6.6.2.BASE 2 – BINAIRE
Une valeur littérale en base 2 est utilisée pour représenter un entier binaire. La base
est déterminée par le nombre "2" et le signe "#". Les signes "+" et "-" sont interdits.
Pour faciliter la lecture, vous pouvez utiliser le signe "_" entre les bits.
Exemple :
2#1111_1111 ou 2#11111111 (en décimal 255)
2#1110_0000 ou 2#11100000 (en décimal 224)
6.6.3.BASE 16 – HEXADÉCIMAL
Une valeur littérale en base 16 est utilisée pour représenter un entier hexadécimal. La
base est déterminée par le nombre "16" et le signe "#". Les signes "+" et "-" sont
interdits. Pour faciliter la lecture, vous pouvez utiliser le signe "_" entre les bits.
Exemple :
16#F_F ou 16#FF (en décimal 255)
16#F_F ou 16#FF (en décimal 224)
6.6.4.BASE 8 – OCTAL
Une valeur littérale en base 8 est utilisée pour représenter un entier octal. La base est
déterminée par le nombre "8" et le signe "#". Les signes "+" et "-" sont interdits. Pour
faciliter la lecture, vous pouvez utiliser le signe "_" entre les bits.
Exemple :
8#3_77 ou 8#377 (en décimal 255)
8#34_0 ou 8#340 (en décimal 224)
6.6.5.BASE DE TEMPS
Les unités du type TIME sont les suivantes : les jours (d), les heures (h), les minutes (m),
les secondes (s) et les millisecondes (ms). Une valeur littérale du type TIME est
représentée par une combinaison de types antérieurs précédés de T#, t#, TIME# ou
time#.
Exemples :
T#25h15m, t#14.7S, TIME#5d10h23m45s3ms
99
LES VARIABLES
Les différentes bases
6.6.6.FORMAT BCD
Le format BCD (Binary Coded Decimal) est utilisé pour représenter des nombres
décimaux compris entre 0 et 9 à l'aide d'un groupe de quatre bits. Dans ce format, les
quatre bits utilisés pour coder les nombres décimaux ont une plage de combinaisons
inutilisées.
Exemple de codage DBCD :
Le nombre 78993016 est codé : 0111 1000 1001 1001 0011 0000 0001 0110
100
LES VARIABLES
Types de variables
6.7.TYPES DE VARIABLES
Il existe 4 types de variables :
◼ Les variables élémentaire EDT
◼ Les variables dérivées DDT
◼ Les variables dérivées d’E/S IODDT
◼ Les variables dérivées d’équipement DDT d’équipement (M580)
6.7.1.1.Type Booléen
Le type BOOL, abréviation du type booléen, contient uniquement la valeur FALSE (=0)
ou TRUE (=1). Il s'agit de l'élément de données de base en informatique.
Un bit extrait de mot est de type BOOL, par exemple : %MW10.4
101
LES VARIABLES
Types de variables
6.7.1.2.Type Entier simple et double (INT/DINT/UINT/UDINT)
Il existe 4 types de nombre Entier qui permettent de représenter une valeur dans les
différentes bases.
◼ INT : Entier Signé
◼ UINT : Entier non Signé
◼ DINT : Entier Double Signé
◼ UDINT : Entier Double non Signé
INT est l'abréviation du format Single INTeger (entier simple) et est codé sur 16
bits).
Les butées inférieure et supérieure sont les suivantes :
UINT est l'abréviation du format Unsigned INTeger (entier non signé) et est codé
sur 16 bits).
Les butées inférieure et supérieure sont les suivantes :
DINT est l'abréviation du format Double INTeger (entier double) et est codé sur 32
bits).
Les butées inférieure et supérieure sont les suivantes :
UDINT est l'abréviation du format Unsigned Double INTeger (entier double non
signé) et est codé sur 32 bits).
Les butées inférieure et supérieure sont les suivantes :
102
LES VARIABLES
Types de variables
6.7.1.3.Type Time (TIME)
Le Type Time est représenté par un type entier double non signé (UDINT).
Il exprime une durée où l’unité de temps est la milliseconde, ce qui représente
approximativement une durée maximum de 49 jours.
Les unités de temps autorisées pour représenter une valeur de type TIME sont le jour
(D), l’heure (H), la minute (M), la seconde (S) et la milliseconde (MS).
Une valeur littérale du type TIME est déterminée par la lettre "T" ou "TIME" et le signe
"#".
Le type Date est codé sur un format de 32 bits et contient les informations suivantes :
◼ L’année codée sur 16 bits (4 quartets de poids forts)
◼ Le mois codé sur 8 bits (2 quartets)
◼ Le jour codé sur 8 bits (2 quartets de poids faibles)
Le format de saisie du type DATE est : D#AAAA-MM-JJ
103
LES VARIABLES
Types de variables
6.7.1.5.Type Time Of Day (TOD)
Le type Time Of Day est codé sur un format de 32 bits et contient les informations
suivantes :
◼ L’heure est codée sur 8 bits (2 quartets de poids forts)
◼ Les minutes sont codées sur 8 bits (2 quartets)
◼ Les secondes sont codées sur 8 bits (2 quartets)
Le format de saisie du type TOD est : TOD#HH:MM:SS
Et donc DT#2003-03-22-10:57:05
104
LES VARIABLES
Types de variables
6.7.1.7.Type Chaîne de bits (BYTE/WORD/DWORD)
Lorsque 8 bits sont regroupés, on parle alors de BYTE (octet). Le type BYTE est codé sur
un format 8 bits qui, au format hexadécimal, va de 16#00 à 16#FF.
Lorsque 16 bits sont regroupés, on parle alors de WORD (mot). Le type WORD est codé
sur un format 16 bits qui, au format hexadécimal, va de 16#00 à 16#FFFF.
Lorsque 32 bits sont regroupés, on parle alors de DWORD (double mot). Le type
DWORD est codé sur un format 32 bits qui, au format hexadécimal, va de 16#00 à
16#FFFF.
105
LES VARIABLES
Types de variables
6.7.1.8.Type chaîne de caractères (STRING)
Le format Réel (flottant dans la norme ANSI/IEEE) est codé sur un format de 32 bits ce
qui correspond à des nombres flottants simple précision.
106
LES VARIABLES
Types de variables
◼ Nommer la variable et choisir son type (ici Formation de type EBOOL)
107
LES VARIABLES
Types de variables
Une variable peut être crée directement depuis un éditeur de programmation au fur et
à mesure du développement du programme.
Exemple d’un tableau nommé Tableau_int et composé de 8 entiers simple signés INT
108
LES VARIABLES
Types de variables
6.7.1.11.1.Création d’un tableau
◼ Créer une variable (tableau_int ici) dans l’éditeur de données. Choisir le type de
cette variable en fonction du type des variables du tableau que l’on souhaite créer
(INT ici).
109
LES VARIABLES
Types de variables
◼ Valider. Le tableau est alors créé.
110
LES VARIABLES
Types de variables
6.7.1.11.2.Utilisation des variables du tableau dans le programme
◼ En langage Ladder par exemple, cliquer sur la patte où l’on souhaite incérer
l’élément du tableau et cliquer sur la touche . La fenêtre suivante apparait.
111
LES VARIABLES
Types de variables
6.7.2.TYPES DE DONNÉES DÉRIVÉES D’E/S IODDT
Le type de données dérivée d’E/S IODDT (IO Derived Data Type) est utilisé pour une
variable associée à plusieurs éléments d’un module d’Entrées/Sorties ainsi qu’aux modules
métier (comptage) et de communication.
Ces types sont prédéfinis par le constructeur en fonction des modules et des voies.
Ils contiennent des objets langage de la famille EDT appartenant à la voie d’un module
métier.
◼ Pour visualiser la liste des types de données dérivées d’E/S, choisir Catalogue,
Modicon M340 puis la famille de module.
◼ Dans l’exemple ci-dessous les IODDT des modules analogiques sont affichés.
IODDT associés
au comptage
112
LES VARIABLES
Types de variables
◼ Dans l’exemple ci-dessous les IODDT des modules TOR sont affichés.
C’est le constructeur qui a choisi les mnémoniques des structures et ils sont en anglais.
113
LES VARIABLES
Types de variables
6.7.2.1.Création des IODDT
◼ Depuis les propriétés de la carte, cocher %CH puis appuyer sur la touche Mettre
à jour grille. Il est alors possible d’affecter un nom et un commentaire aux
entrées-sorties de la carte et à l’état du module.
Structures
Type IODDT
114
LES VARIABLES
Types de variables
◼ Structures IODDT T_DIS_OUT_GEN (Sorties TOR génériques)
Voies : Module
Sorties
Structures
Type IODDT
115
LES VARIABLES
Types de variables
◼ Les modules des automates sont associés à un IODDT de type T_GEN_MOD
116
LES VARIABLES
Types de variables
◼ Structure IODDT T_ANA_IN_BMX (Entrées ANALOGIQUES)
117
LES VARIABLES
Types de variables
Exemple :
118
LES VARIABLES
Types de variables
◼ Structure IODDT T_ANA_OUT_BMX (Sorties ANALOGIQUES)
119
LES VARIABLES
Types de variables
Exemple :
120
LES VARIABLES
Types de variables
6.7.2.2.Utilisation des IODDT dans le programme
◼ Pour visualiser les données IODDT dans l’éditeur de données, cocher IODDT.
121
LES VARIABLES
Espace mémoire des variables localisées
6.8.ESPACE MÉMOIRE DES VARIABLES LOCALISÉES
L’adressage direct des zones mémoires de type mot double et flottant n’existe pas dans le
M340. Pour les déclarer, il faut donc déclarer une zone de type mot %MW.
122
LES VARIABLES
Connaitre l’adresse d’une variable localisée
Du fait de l’organisation mémoire du M340, si l’on doit localiser des variables du type :
DINT - UDINT - REAL - TIME - DT - DATE - DWORD – TOD (qui sont codées sur plusieurs
mots), les variables auront toutes forcément une adresse mémoire qui débutera par une
adresse PAIRE.
◼ Exemple de chevauchement:
Recouvrement
123
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Connaitre l’adresse d’une variable localisée
7. LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Control Expert propose les langages suivants pour la création du programme utilisateur :
◼ Diagramme fonctionnel en séquence (SFC)
124
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Connaitre l’adresse d’une variable localisée
Tous ces langages peuvent être utilisés ensemble dans le même projet.
Tous ces langages sont conformes à la norme CEI 61131-3.
125
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.LANGAGE SFC
Le langage SFC a pour objectif de servir à la réalisation de fonctions de commandes
séquentielles.
1 – Barre d’outils
2 - Commentaire
3 – Étape initiale
4 – Divergence
Aiguillage exclusif OU
5 - Transition
6 – Convergence
Aiguillage exclusif OU
126
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.1.CRÉATION D’UNE SECTION SFC
127
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.2.COMPOSITION D'UNE SECTION SFC
Chart :
Cette rubrique contient les éléments de
programmation graphique du diagramme
fonctionnel en séquences.
Actions :
Cette rubrique contient toutes les sections
d'action de la section SFC actuelle.
Une section d'action est définie comme une
section qui contient la logique de l'action et
qui est automatiquement reliée à l'action
d'une étape.
Transitions :
Cette rubrique contient toutes les sections de
transition de la section SFC actuelle. Une
section de transition est définie comme une
section qui contient la logique de la condition
de transition et qui est automatiquement
reliée à la transition.
128
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.3.LA BARRE D'OUTILS SFC
Étape
Macro-Etape
Transition
Saut
Divergence en OU
Convergence en OU
Divergence en ET
Convergence en ET
Liaison
Commentaire
129
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.4.LES ÉTAPES
◼ Pour chaque Étape une structure DDT SFCSTEP_STATE est créé automatiquement.
.t
Temps d'activité de l'étape
.x
Etat de l’étape
.tminErr et .tmaxErr
130
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.5.LES TRANSITIONS
131
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.6.LES ACTIONS
◼ Double-cliquer sur l’étape pour afficher ses propriétés et aller dans l’onglet
Actions Sélectionner l’action Variable :
132
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
Exemple 1: S et R
133
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
Exemple 2: N
Exemple 3: L
134
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
Exemple 4: D
Exemple 5: DS
135
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
◼ La fonction d’affichage étendu permet de visualiser les actions dans les étapes :
Exemple :
136
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.6.2.Définition des sections d'actions
◼ Double-cliquer sur l’étape pour afficher ses propriétés et aller dans l’onglet
Actions. Sélectionner l’action Section et nommer cette section :
137
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
◼ Programmer alors la section action :
◼ La fonction d’affichage étendu permet de visualiser les sections actions dans les
étapes :
Exemple :
138
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.6.3.Définition d'une section d'affectation des sorties
139
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.7.LES MACRO ÉTAPES
Une macro-étape
représente, à elle
toute seule, une
séquence entière du
Grafcet
La transition qui suit la macro-étape n’est validée que lorsque l’étape de sortie de son
expansion est active.
Une macro-étape est décrite par une expansion qui commence par une étape d’entrée
et qui s’achève par une étape de sortie.
Dans un grafcet, une macro-étape est une description unique. La même expansion ne
peut pas être utilisée par plusieurs macro-étapes.
140
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
◼ Insérer les étapes et les transitions de la macro entre les étapes d’entrée et de
sortie. Renseigner les transitions (section ou variable) puis les actions associées
aux étapes.
141
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.8.CONSTRUCTION DU GRAFCET
◼ Pour créer la structure du Grafcet, vous pouvez insérer un par un les éléments
du Grafcet via les icones de la barre d’outils.
Macro-étape
Transition
Saut
Divergence en OU
142
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
Convergence en OU
Divergence en ET
Convergence en ET
Liaison
143
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
◼ Pour créer la structure du Grafcet, vous pouvez également insérer des
séquences de Grafcet via les icones de la barre d’outils.
Séquence étape-transition
Séquence transition-étape
Séquence en parallèle
Séquence en OU
144
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
Programmer les transitions soit dans des sections transition soit directement via une
variable si la condition n’est qu’une variable.
Programmer l’écriture des actions soit dans les étapes, soit via des sections d’actions
soit dans une section d’affectation des sorties.
145
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.9.BLOCS FONCTIONS SPÉCIFIQUES AU SFC
◼ Des blocs de fonctions existent afin de gérer les Grafcet en SFC. Cliquer sur
l’icône pour afficher l’assistant de saisie de fonction.
146
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.9.1.SETSTEP / RESETSTEP
Le bloc fonction SETSTEP sert à activer une étape dans un graphe d'état en plus des
étapes déjà actives. Elle n'a pas d'effet sur ces dernières.
Le bloc fonction RESETSTEP sert à réinitialiser une étape dans un graphe d'état.
7.1.9.2.CLEARCHART
147
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.9.3.INITCHART
Le bloc fonction INITCHART sert à initialiser les étapes d’un Grafcet et de relancer
l’étape initiale.
7.1.9.4.FREEZECHART
Le bloc fonction FREEZECHART sert à « geler » des graphes d'état (l'évaluation des
transitions est arrêtée).
148
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.9.5.SFCCNTRL
On peut constater sur ces fonctions qu'aucune condition de réalisation est définie. Pour
éviter la programmation de mauvais fonctionnement, il est nécessaire de respecter les
règles d'utilisation suivante :
◼ pour les langages LD et FBD utiliser l'entrée EN pour Activer / Désactiver la
fonction.
◼ pour le langage ST utiliser l'instruction IF.
◼ quelque soit le langage utiliser des fronts.
149
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
7.1.9.6.Structure SFCSTEP_STATE
Le temps minimum et maximum de contrôle ainsi que le temps de retard peuvent être
stockés dans une variable de type SFCSTEP_TIMES au lieu d’être renseignées dans les
propriétés de l’étape.
150
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage SFC
◼ Confirmer la création de la variable de type ‘SFCSTEP_TIMES’.
151
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.LANGAGE LADDER
Le langage ladder ou langage à contacts ou encore schéma à relais fait partie des 5 langages
standards de la norme CEI 61131-3 définit par la commission électrotechnique
internationale (CEI).
Le langage ladder est composé d'une séquence de contacts (interrupteurs qui sont soit
fermés, soit ouverts) et de bobines qui permettent de traduire les états logiques d'un
système.
152
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.1.CRÉATION D’UNE SECTION LADDER
153
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.2.COMPOSITION D'UNE SECTION LADDER
Un programme Ladder se lit de haut en bas et l'évaluation des valeurs se fait de gauche à
droite. Les valeurs correspondent en fait, si on le compare à un schéma électrique, à la
présence ou non d'un potentiel électrique à chaque nœud de connexion.
En effet, le Ladder est basé sur le principe d’une alimentation en tension représentée par
deux traits verticaux reliés horizontalement par des bobines, des contacts et des blocs
fonctionnels, d'où le nom 'Ladder' (échelle).
Sauts
Fonctions
154
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.3.LA BARRE D'OUTILS LADDER
Liaisons logique
Opérateurs booléens
Bobine directe
Bobine inverse
Expressions numériques
155
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
Sauts
Saut à l’étiquette
Étiquette de saut
Retour
Commentaire
Insérer un commentaire
Outils
Sélection de données
Taille de police
Barre d’instructions LD
Barre de favoris
Gestion de la barre d’outils favoris (ajouter/supprimer
des fonctions élémentaires EF, des bloc fonctions
élémentaire EFB ou des blocs fonction dérivé DFB)
156
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.4.OPÉRATEURS DE TEST LOGIQUE
Pour les contacts normalement ouverts, l'état de la liaison de gauche est copié vers
la liaison de droite, si l'état du paramètre réel booléen approprié est 1. Sinon, l'état
de la liaison de droite est 0.
Pour les contacts normalement fermés, l'état de la liaison de gauche est copié vers
la liaison de droite, si l'état du paramètre réel booléen approprié est 0. Sinon, l'état
de la liaison de droite est 0.
Dans les contacts de détection de transition positive, la liaison de droite est 1 pour
un cycle de programme, si un passage de 1 à 0 du paramètre réel booléen associé
a lieu et que, en même temps, l'état de la liaison de gauche est 1. Sinon, l'état de la
liaison de droite est 0.
Dans les contacts de détection de transition négative, la liaison de droite est 1 pour
un cycle de programme, si un passage de 1 à 0 du paramètre réel booléen associé
a lieu et que, en même temps, l'état de la liaison de gauche est 1. Sinon, l'état de la
liaison de droite est 0.
157
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.5.LIAISONS LOGIQUE
Connexion
horizontale Liaison horizontale
ET Logique
Dérivation
Connexion verticale
OU logique
7.2.6.OPÉRATEURS BOOLÉENS
7.2.6.1.Bobine directe
Avec les bobines, l'état de la liaison de gauche est copié vers le paramètre réel
booléen approprié et vers la liaison de droite.
158
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.6.2.Bobine inverse
Avec les bobines inverses, l'état de la liaison de gauche est copié vers la liaison de
droite. L'état inverse de la liaison de gauche est copié vers le paramètre réel
booléen approprié. Si l'état de la liaison de gauche est 0, celui de la liaison de droite
est aussi 0 et le paramètre réel booléen correspondant est 1.
Avec les bobines d'enclenchement, l'état de la liaison de gauche est copié vers la
liaison de droite. Le paramètre réel booléen correspondant est mis à 1 si la liaison
de gauche est à l'état 1, sinon il reste inchangé. Le paramètre réel booléen
approprié peut être réinitialisé via la bobine de déclenchement.
Avec les bobines de déclenchement, l'état de la liaison de gauche est copié vers la
liaison de droite. Le paramètre réel booléen correspondant est mis à 0 si la liaison
de gauche est à l'état 1, sinon il reste inchangé. Le paramètre réel booléen
approprié peut être initialisé via la bobine d'enclenchement.
159
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.6.5.Générateur de front montant
Avec les bobines d'appel, l'état de la liaison de gauche est copié vers la liaison de
droite. Si l'état de la liaison gauche est 1, le sous-programme correspondant est
appelé.
160
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.7.EXPRESSIONS NUMÉRIQUES
En plus des objets définis dans la norme CEI 61131-3, il existe d'autres blocs servant à
l'exécution d'instructions ST et d'expressions ST et à des opérations de comparaison
simples. Ces blocs sont exclusivement disponibles dans le langage de programmation
LD.
Si l'état de la liaison gauche est 1, l'instruction ST comprise dans le bloc est exécutée.
Toutes les instructions ST sont permises sauf les instructions de commande (RETURN,
JUMP, IF, CASE, FOR, etc.)
Pour les blocs opération, quel que soit le résultat de l'instruction ST, l'état de la liaison
gauche est transmis à la liaison droite. Un bloc peut contenir jusqu'à 4 096 caractères.
Si tous les caractères ne peuvent pas être affichés, les premiers caractères seront
affichés suivis de points de suspension (...). Un bloc opération occupe 1 ligne et 4
colonnes.
◼ Insérer le bloc OPERATE, et faire un double-clic pour ouvrir les propriétés du bloc.
Liste complète
des variables
161
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.7.2.Bloc de comparaison (COMPARE)
◼ Insérer le bloc COMPARE, et faire un double-clic pour ouvrir les propriétés du bloc.
Liste complète
des variables
162
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.8.SAUTS
Saut à l’étiquette
Étiquette de saut
Dans un SR, un objet RETURN force le retour au programme qui a appelé le SR.
Le reste du SR contenant l'objet RETURN n'est pas exécuté.
Le programme qui a appelé le SR sera exécuté après retour du SR.
7.2.9.COMMENTAIRES
163
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.10.OUTILS
FFB est le terme générique pour désigner les fonctions élémentaires (EF), les blocs
fonction élémentaires (EFB) et les blocs fonction dérivés (DFB). (voir chapitre Les
fonctions).
7.2.10.1.Sélection de données
164
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.10.2.Assisant de saisie FFB
Zone de Liste
saisie directe Liste des FFB complète
du type FFB déjà utilisées des FFB
165
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
Dans la colonne Nom, taper * pour visualiser tous les blocs fonction ou renseigner le
nom du bloc s’il est connu (TON par exemple) puis valider par OK.
166
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
Paramètres Type de donnée
formels (entrées, des paramètres Paramètres réels
sorties) associés à formels (entrées, de l’instance de la
l’instance de la sorties) associés à fonction / du bloc
fonction / du bloc l’instance de la fonction
fonction fonction / du bloc
fonction
Type FFB
Paramètres Paramètres
formels d’entrée, formels de sortie,
associés à associés à
l’instance de la l’instance de la
fonction / du bloc fonction / du bloc
Si la valeur de EN est déjà réglé sur 0, lors de l'appel de FFB, les algorithmes définis par
FFB ne sont pas exécutés et ENO est réglé sur 0.
Si la valeur de EN est déjà réglé sur 1, lors de l'appel de FFB, les algorithmes définis par
FFB sont exécutés. Après l'exécution sans erreur de ces algorithmes, la valeur de ENO
est réglée sur 1. Si une erreur se produit durant l’exécution de ces algorithmes, ENO
est réglé sur 0.
167
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
Supprimer broche(s) : Cliquez sur ce bouton pour diminuer le nombre d'entrées des
fonctions extensibles (par ex. AND, OR). Pour diminuer le nombre d'entrées,
sélectionnez-la ou les dernières broches de la structure et cliquez sur le bouton
Supprimer broche(s).
Possibilité d’ajouter ou
de supprimer
directement depuis
l’éditeur en
agrandissant ou
réduisant le bloc
168
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.10.3.Navigateur bibliothèque de types
◼ Il est alors possible de déplacer par glisser-déplacer des fonctions et blocs fonction
(FFB) du navigateur bibliothèque de types vers une section de programme.
Sélectionner la
bibliothèque
Sélectionner la
famille
169
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.10.4.Barre d’instructions LD
▪ CTD :
Ces blocs fonction servent au décompte. En présence d’un signal "1" à l’entrée LD, la
valeur de l’entrée PV est attribuée à la sortie CV. Chaque fois que la valeur, à l’entrée
CD, passe de "0" à "1", la valeur de CV est décrémentée de 1. Si CV ≤ 0, la sortie Q est
à "1".
▪ CTU :
Ces blocs fonction servent au comptage. En présence d’un signal "1" à l’entrée R, la
valeur "0" est attribuée à la sortie CV. Chaque fois que la valeur, à l’entrée CU, passe
de "0" à "1", la valeur de CV est incrémentée de 1. Si CV ≥ est égal à PV, la sortie Q
passe à "1".
▪ CTUD :
Ces blocs fonction sont utilisés pour le comptage et le décomptage.
En présence d’un signal "1" à l’entrée R, la valeur "0" est attribuée à la sortie CV. En
présence d’un signal "1" à l’entrée LD, la valeur de l’entrée PV est attribuée à la sortie
CV. Chaque fois que la valeur, à l’entrée CU, passe de "0" à "1", la valeur de CV est
incrémentée de 1. Chaque fois que la valeur, à l’entrée CD, passe de "0" à "1", la valeur
de CV est décrémentée de 1.
En cas de présence simultanée du signal "1" aux entrées R et LD, l’entrée R est
prédominante.
Si CV ≥ est égal à PV, la sortie QU passe à "1".
Si CV ≤ 0, la sortie QD passe à "1".
170
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
▪ TIME TOF délai à la désactivation
171
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
▪ TIME TON délai à la l’activation
172
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
▪ TIME TP impulsion
173
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.10.5.Barre de favoris
Exemple :
174
LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Langage Ladder
7.2.11.AFFECTATION DES VARIABLES
◼ Pour affecter les variables à un contact ou une bobine, faire un double clic sur
l’élément :
◼ Il est possible de créer directement une variable sans aller dans l’éditeur de
données. Saisir le nom de la variable puis appuyer sur Appliquer.
175
LES FONCTIONS
Fonctions élémentaires EF
8. LES FONCTIONS
FFB est le terme générique pour désigner les fonctions élémentaires (EF), les blocs fonction
élémentaires (EFB) et les blocs fonction dérivés (DFB).
8.1.FONCTIONS ÉLÉMENTAIRES EF
Une fonction élémentaire (EF) est un élément, utilisé dans un programme, qui réalise une
fonction logicielle prédéfinie.
Une fonction élémentaire (EF) ne dispose pas d'information d'état interne. C'est à dire que
plusieurs appels de la même fonction à l'aide des mêmes paramètres d'entrée fournissent
toujours les mêmes valeurs de sortie. Par exemple, l'addition de deux valeurs donne
toujours le même résultat.
Une fonction élémentaire (EF) dispose de 1 à 32 entrées, d’une sortie unique à 2 et n’est
donc pas instanciable.
Une fonction élémentaire (EF) peut être utilisée dans n’importe quel langage (LD, FBD, ST).
LD FBD ST
Dans les langages graphiques, une fonction élémentaire est représentée comme un cadre
avec des entrées et une sortie. Les entrées sont toujours représentées sur la gauche et la
sortie toujours sur la droite du cadre. Le nom de la fonction, c’est-à-dire le type de
fonction, est affiché au centre du cadre.
176
LES FONCTIONS
Fonctions élémentaires EF
8.1.1.SÉLECTION D’UNE FONCTION ÉLÉMENTAIRE (EF)
Zone de Liste
saisie directe Liste des FFB complète
du type FFB déjà utilisées des FFB
177
LES FONCTIONS
Fonctions élémentaires EF
◼ Pour ne visualiser que les fonctions élémentaires (EF), cocher seulement EF.
◼ Les fonctions sont rangées dans une bibliothèque dans des dossiers et des sous
dossiers en fonction de la famille de fonction.
Par exemple, la fonction élémentaire AND est rangée dans :
Bibliothèques/ Base Lib / Logic /
◼ Application : Permet de visualiser les fonctions déjà utilisées dans l’application
◼ Dans la colonne Nom, taper * pour visualiser toutes les fonctions ou renseigner le
nom du bloc s’il est connu (AND par exemple) puis valider par OK.
◼ La boîte de dialogue est fermée et l'assistant de saisie de fonction est activé.
L’instance est non disponible car le bloc inséré est une fonction élémentaire.
178
LES FONCTIONS
Fonctions élémentaires EF
179
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
8.2.BLOCS FONCTIONS ÉLÉMENTAIRES EFB
Une bloc fonction élémentaire (EFB) est un élément, utilisé dans un programme, qui réalise
une fonction logicielle prédéfinie.
Les bloc fonction élémentaire (EFB) possèdent des états et des paramètres internes.
Lorsque les valeurs d'entrée sont identiques, la valeur de sortie peut être différente pour
toutes les exécutions de la fonction. Par exemple, pour un compteur, la valeur de sortie
augmente.
Un bloc fonction élémentaire (EFB) est instancié, c’est-à-dire qu’une zone mémoire dont
la taille dépend du type de bloc fonction élémentaire est alloué, avec le nom de l’instance
définit, dans le dossier « Variables et instances / Instances FB élémentaire » pour y stocker
les instances du bloc fonction.
Le nom d’instance est généré automatiquement mais il est possible de le modifier pour
rendre le programme plus clair. Le nom d'instance (32 caractères maximum) doit être
unique dans tout le projet; aucune distinction n'est faite entre majuscules et minuscules
mais il doit commencer par une lettre. Si vous voulez également utiliser des chiffres
comme premier caractère, vous devez activer cette fonction dans les options de projet.
Une bloc fonction élémentaire (EFB) dispose de 1 à 32 entrées et d’une sortie à 32 sorties.
Il est possible d’utiliser les variables de sortie d’un bloc fonction élémentaire (EFB) dans le
programme en suivant la syntaxe <Nom_instance> . <Variable de sortie>
Un bloc fonction élémentaire (EFB) peut être utilisée dans n’importe quel langage (LD, FBD,
ST).
LD FBD
ST
Dans les langages graphiques, un bloc fonction élémentaire (EFB) est représentée comme
un cadre avec des entrées et des sorties. Les entrées sont toujours représentées sur la
gauche et les sorties toujours sur la droite du cadre. Les blocs fonction peuvent avoir
plusieurs sorties.
Le nom de la fonction, c’est-à-dire le type de fonction, est affiché au centre du cadre.
Le nom d'instance est affiché au-dessus du cadre.
180
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
8.2.1.SÉLECTION D’UN BLOC FONCTION ÉLÉMENTAIRE (EFB)
Zone de Liste
saisie directe Liste des FFB complète
du type FFB déjà utilisées des FFB
181
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
◼ Pour ne visualiser que les blocs fonctions élémentaires (EFB), cocher seulement
EFB.
◼ Les blocs fonctions sont rangées dans une bibliothèque dans des dossiers et des
sous dossiers en fonction de la famille de fonction.
Par exemple, le bloc fonction élémentaire TON est rangé dans :
Bibliothèques/ Base Lib / Timers & Counters /
◼ Application : Permet de visualiser les blocs fonctions déjà utilisées dans
l’application
◼ Dans la colonne Nom, taper * pour visualiser tous les blocs fonctions ou renseigner
le nom du bloc s’il est connu (TON par exemple) puis valider par OK.
◼ La boîte de dialogue est fermée et l'assistant de saisie de fonction est activé.
L'instance de bloc fonction dans la zone de texte Instance est déjà renseignée. Vous
pouvez appliquer le nom proposé ou vous pouvez modifier le nom proposé.
182
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
◼ Il est possible de renseigner directement les bornes d’entrée et de sortie depuis la
zone de saisie.
Type FFB
Paramètres Paramètres
formels d’entrée, formels de sortie,
associés à associés à
l’instance de la l’instance de la
fonction / du bloc fonction / du bloc
183
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
Un FFB peut être appelé de manière conditionnelle ou inconditionnelle. La condition est
établie en pré-connectant l'entrée EN.
Ladder
ST
FBD
184
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
8.2.3.GÉRER UNE INSTANCE
◼ Les instances des blocs fonctions élémentaires EFB utilisés dans le projet sont
rangées dans le dossier Instances FB élémentaire.
◼ Les instances des blocs fonctions élémentaires EFB utilisés dans le projet sont
rangées dans le dossier Instances FB élémentaire.
Instance
non utilisée
185
LES FONCTIONS
Blocs fonctions élémentaires EFB
8.2.4.RENOMMER UNE INSTANCE
◼ Depuis l’éditeur (LD, FBD ou ST), faire un clic droit sur le bloc fonction élémentaire
et choisir Renommer la variable.
186
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Animation d’un programme SFC
9. OUTILS DE DIAGNOSTIC
◼ Une étape peut être active ou inactive. Un code couleur permet d’identifier l’état
actuel de l’étape :
Étape inactive Étape active
S_1_1 S_1_1
S_1_1 S_1_1
◼ Une transition peut être vraie ou fausse ou évaluée si l’étape est active. Un code
couleur permet d’identifier l’état actuel de la réceptivité :
Réceptivité sera évaluée
Réceptivité fausse Réceptivité vraie
si étape précédente active
187
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Animation d’un programme LADDER
9.2.ANIMATION D’UN PROGRAMME LADDER
◼ Les couleurs utilisées en mode locale pour les différents éléments sont
remplacées:
: variable forcée
Les variables DDT et le blocs fonctions EFB et DFB ne sont pas animés.
◼ Deux types d’animation sont possible selon que l’option Avec animation de lien
LD soit cochée ou pas dans les options du projet.
188
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Animation d’un programme LADDER
▪ Avec animation des liens :
Les liens booléens entre les contacts et les bobines s’affichent en vert
ou rouge selon que l’évaluation du schéma à contacts en amont renvoi
la valeur OUI (1) ou NON (0).
189
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Animation d’un programme FBD
9.3.ANIMATION D’UN PROGRAMME FBD
190
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Animation d’un programme ST
9.4.ANIMATION D’UN PROGRAMME ST
191
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Fenêtre de variables
9.5.FENÊTRE DE VARIABLES
◼ Exemple :
192
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Fenêtre d’inspection
9.6.FENETRE D’INSPECTION
Les fenêtres d’inspection sont placées par l’utilisateur sur la ou les variables qu’il souhaite
visualiser.
Les fenêtres d’inspection peuvent être utilisées en mode local ou en mode connecté.
◼ En mode connecté, le nom, l'adresse (si disponible) et la valeur réelle des variables
sont affichés dans les fenêtres d'inspection.
193
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Fenêtre d’inspection
◼ En mode local, le nom, l'adresse (si disponible) et le commentaire (si disponible)
des variables affectées sont affichés dans les fenêtres d'inspection.
◼ Via un clic droit sur la fenêtre d’inspection, il est possible de la supprimer mais
également de renseigner des paramètres de surveillance de la valeur de la variable.
194
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Fenêtre d’inspection
◼ Si la valeur courante est inférieure à la plage définie, le champ de surveillance est
affiché en jaune.
195
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Fenêtre d’inspection
◼ Il est possible de visualiser une variable et son contenu simultanément sans pour
autant insérer une fenêtre d’inspection.
◼ Laisser le curseur de la souris sur la variable et une info bulle va s’afficher
automatiquement.
196
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Table d’animation
9.7.TABLE D’ANIMATION
Une table d’animation est utilisée pour surveiller les valeurs des variables et pour modifier
et/ou forcer ces valeurs. Seules les variables déclarées dans Variables et instances FB
peuvent être ajoutées à la table.
Choix table
temporaire ou
permanente
Une table d’animation peut être crée manuellement par saisie des variables ou
automatiquement en sélectionnant un groupement de variables.
Il existe des tables d’animation temporaires et des tables d’animation permanentes.
La table d’animation permanente fait partie intégrante d’un projet, elle est enregistrée
avec le projet et peut être exportée.
La table d’animation temporaire quant à elle n’est pas enregistrée dans le projet.
◼ Clic droit sur le dossier Tables d’animation puis Nouvelle table d’animation.
Table temporaire
197
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Table d’animation
9.7.2.CRÉATION D’UNE TABLE D’ANIMATION AUTOMATIQUEMENT
198
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Table d’animation
◼ Pour rendre la table d’animation permanente, clic droit sur la table puis
Caractéristiques.
◼ Note : Il est possible d’initialiser une table d’animation (temporaire) de toutes les
variables de la section via la combinaisons des touche CTRL + A puis CTRL + T.
199
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Table d’animation
Il existe 2 modes de travail dans une table d’animation :
◼ Le mode modification pour la valeur courante de la variable
◼ Le mode forçage pour les variables booléennes
9.7.3.LE MODE MODIFICATION
Ce mode permet de basculer les variables booléennes et de définir la valeur pour les autres
types. Le programme reste malgré tout prioritaire, c’est-à-dire que si la valeur est modifiée
par le programme, celle-ci sera mise à jour immédiatement.
200
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Table d’animation
◼ Sélectionner les valeurs des différentes variables puis appuyer sur pour les
activer. La mise à jour s’effectue sur un cycle automate.
201
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Table d’animation
◼ L’icône active la fonction chaine étendue si l’on veut visualiser des variables de
type STRING de plus de 16 caractères
Exemples :
◼ En mode local, une table d’animation n’affiche pas les valeurs des variables.
202
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Table d’animation
9.7.4.LE MODE FORÇAGE
Ce mode permet de basculer uniquement les variables de type EBOOL (entrée, sorties,
mémentos) et localisées (adresse topologique). Le forçage d’une valeur est permanent, à
moins de déforcer la valeur.
◼ Lorsqu’un forçage est actif, la valeur est remplacée soit par F1 ou F0 dans la colonne
valeur.
◼ Lorsqu’un forçage est actif, l icone figure dans la barre d’état en bas à droite.
203
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Table d’animation
9.7.5.MODIFICATION DU FORMAT
Liste des
variables déjà
utilisées
204
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Table d’animation
9.7.7.MODIFICATION / FORÇAGE DEPUIS L’ÉDITEUR
◼ Pour un forçage, clic droit sur la variable puis Forcer la valeur/Forcer à 0, Forcer
à 1 ou Déforcer.
◼ Pour une modification, clic droit sur la variable puis Modifier la valeur…, saisir
la valeur puis appuyer sur Définir.
205
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Table d’animation
9.7.8.TABLE DES BITS FORCÉS
◼ Lorsqu’un forçage est actif, l’icône figure dans la barre d’état en bas à droite.
Cliquer sur l’icone permet d’ouvrir la table des bits forcés.
◼ La table des bit forcés est également accessible via un clic droit sur le dossier Tables
d’animation du navigateur du projet.
206
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Références croisées
9.8.RÉFÉRENCES CROISÉES
Il peut être très utile pour effectuer un dépannage ou de la mise au point de programme
de connaitre à quel endroit est piloté une variable dans le programme. C’est ce que l’on
appelle les références croisées.
◼ Clic droit sur la variable à rechercher et sélectionner Initialiser la recherche.
207
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Références croisées
208
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Références croisées
209
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Références croisées
◼ Sortie dans volet 2 : Décocher cette case pour afficher les résultats de la
recherche sous l'onglet Rechercher des résultats 1 de la fenêtre des résultats
de la recherche (Références croisées).
Cochez cette case pour afficher les résultats de la recherche sous l'onglet
Rechercher des résultats 2 de la fenêtre des résultats de la recherche
(Références croisées).
◼ Bouton Rechercher : Permet de démarrer la recherche et d'afficher la fenêtre
de résultats (Références croisées).
La boîte de dialogue Recherche de données est également accessible par les icônes
de la barre d’outils.
210
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Écrans de diagnostique
9.9.ÉCRANS DE DIAGNOSTIQUE
◼ Depuis le bus automate, double cliquer sur le module en défaut. Un carré rouge
sur le module signale la présence d’un défaut :
211
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Écrans de diagnostique
◼ Configuration des paramètres TOR de la carte DD0 3202K :
212
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Écrans de diagnostique
◼ Exemple du module Ethernet NOC 0401 :
213
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Écran de l’automate
9.10.ÉCRAN DE L’AUTOMATE
◼ Onglet Tâche.
Visualisation
des tâches
Permet un redémarrage
à chaud ou à froid de Permet la mise au repli
l’automate. des sorties.
◼ Onglet Horodateur :
214
OUTILS DE DIAGNOSTIC
Écran de l’automate
◼ Onglet Informations :
215
COMPLEMENTS
Carte SD
10.COMPLEMENTS
10.1.CARTE SD
10.1.2.COUPURE SECTEUR
216
COMPLEMENTS
Carte SD
10.1.3.GESTION CONTENU RAM ET CARTE SD
217
COMPLEMENTS
Bilan mémoire
10.2.BILAN MÉMOIRE
C’est le programme
Sources programme et
commentaires qui dépendent
des options de projet
Configuration automate
218
COMPLEMENTS
Les reprises secteur
10.3.LES REPRISES SECTEUR
219
COMPLEMENTS
Les reprises secteur
220
COMPLEMENTS
Options du projet
10.4.OPTIONS DU PROJET
◼ Outils/ Options :
◼ Outils/Options du projet :
221
COMPLEMENTS
Options du projet
◼
Permet d’afficher un message d’avertissement lors de l’analyse si une variables est
pilotée plusieurs fois dans le projet. Cela peut être utile pour éviter la multi-écriture
de la même sortie dans le programme.
◼
Permet de pouvoir transférer le projet de l’automate vers le PC.
222
COMPLEMENTS
Options du projet
Cocher cette case permet de représenter plusieurs grafcets sur une même page.
223
NOTES
Options du projet
11.NOTES
NOTES
Options du projet
NOTES
Options du projet
NOTES
Options du projet
NOTES
Options du projet