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CONFERENCE DU 12/11/22 SUR LES MEDIAS AUJOURD’HUI ET DEMAIN :

Introduction :

Vision catastrophiste les médias nous mentent (passe même par le cinéma). Un mythe
repose sur des choses réelles (la presse contribue à faire, la propagande passe par les médias et joue
sur l’opinion publique en la manipulant) Cependant, le mouvement des médias ne se réduit pas qu’a
ses limites (rhétorique de l’enchantement avec l’émergence d’Internet). De nos jours, moins de
personne souhaite dépenser de l’argent pour avoir accès à l’information (d’autant plus qu’ils peuvent
y accéder directement sur Internet) Désormais il y a une conservation des données qui pose des
problématiques sur le fait de savoir se que fait l’Etat face à ce stockage d’informations. Les Réseaux
Sociaux modifient nos manières de consommer les informations (fakes news et leur prolifération)
mais l’on ne peut pas évaluer ce changement (on se base uniquement sur des indicateurs)

I/ Le journalisme : un métier en voie de disparition ?

A) Une vraie profession ?

Depuis 10 ans, le nombre de journaliste à baisser (ceux qui ont une carte de presse
sont au nombre de 35 000 en France). Pour avoir une carte de presse il faut que la moitié
de notre salaire soit réaliser par cette activité sinon elle n’est pas reconnue pleinement
(profession en crise). Ce qui fausse tout de même ces statistiques. Une caractéristique
majeure du journalisme (français) c’est le fait que cet act est émergé suite à la révolution
française (tout le monde c pas lire). Depuis cette émergence il y a une légitimation de la
presse par l’extérieur (faire du journalisme n’st pas leur objectif final) (cf. : Film les
Illusions Perdues montre l’idée que l’on pet réussir par la presse). Autrement dit au 19 ème
on fait du journaliste pour faire de la politique (depuis la 3 ème république on possède pour
les président et gens important des titres de presse (quotidienne ou d’opinion). La presse
est un moyen comme un autre de faire de la politique. Et l’autre voie de légitimation est
la littérature (Balzac et Zola). Balzac est oblige d’écrire (payer à la feuille) et le roman
feuilleton est publié dans la presse. Il s’agit de créer un suspens quotidien pour les
lecteurs pour qu’il lisse la suite le lendemain et qu’il achète le journal. Le journalisme du
19eme décrit par Christophe Charles comme le siècle de la Presse de 1830 à 1930, la
presse pèse dans la politique et la littérature pour acquérir de la notoriété (politique ou
écrivaine en vendant des livres. Meilleure année de la presse = 2014. Ainsi, être
journaliste c’est un marchepied = un moyen de se faire des relations (le journalisme
mène a tout à condition d’en sortir). EN 1843, Balzac raconte toutes ces mauvaises
expériences et le fait que sans la presse il n’écrirait pas. Les journalistes sont vues par les
politiques comme des menaces (un métier considéré comme celui des ratés, les foule
merdes comme intitulée aux USA qui dévoilent les secrets des gens). On voit donc bien
que les journalistes qu’ils ne sont pas à l’image d’être de confiance (cependant il y a
également l’image du héros qui rend service à la vie publique (cf. : Tintin). La presse dans
les années 1920-1930 est vénale elle écrit pour ne rien dire mais uniquement pour
recevoir de l’argent (redéfinition de la presse par la suite). Image abominable (plus affaire
(cf. : Joseph Caillot, 3ème République avec Panama...)

B) Le journalisme français et anglo-saxon au-delà des mythes


On propose le journalisme anglo-saxon comme étant le vrai journalisme (les
professionnels). Cependant même si c’est vrai, aux USA la presse a une reconnaissance
constitutionnelle (la liberté de la France à une valeur constitutionnelle). C’est considéré
comme une liberté fondamentale aux USA. De plus, avec le libéralismes politique (‘il
fallait choisir une presse sans gouvernement ou un gouvernement sans presse je
choisirais le premier (Jefferson ainsi selon lui la presse représente le fondement de l’Etat
Américain). En France il faut attendre 1981 pour que désormais la liberté de la presse soit
garantie. Sous Napoléon III, l’empereur pouvait faire interdire un titre d’un journal édité.
Autrement dit la décision politique s’imposait. Ce n'est plus le cas de nos jours. On a une
héroïsation du journalisme (le Watergate avec Nixon) durant laquelle réalisation de
papier démontrant que le camp républicain avait mis des micros ce qui a entrainé leur
démission. Le démontage de cette affaire n’a eu lieu que par ce que on avait une
collaboration avec les journalistes en question. Ce fut un moment central pour célébrer
l’héroïsme du journalisme. La question de l’objectivité de la presse (il faut se mettre
d’accord sur ce point). Prendre ces distances à l’égard de la presse d’opinion ou elle
dirige par un élu e n’est pas vue comme scandaleux (cf. : Jean Jaurès). Apres al 1ere GM
on revendique l’objectivité ‘les faits). C’est la séparation de faits et des commentaires.
Autrement dit, dans le journalisme américain l’idée importante c’est que le journalisme
est maitre. Aux USA la presse est industrialisée sur les marchés. De nouveaux formats de
presses sont inventés fin 19ème, qui ne nous apparaissent pas vraiment anglo-saxons de
nos jours : le reportage. Avant ont refusé les interviews car trop brutes (parait pas
préparé par le journaliste alors qu’aux USA on considère cela comme une preuve de
sincérité). Aux USA le journalisme est une profession (il est salarié d’une entreprise
contrairement en France). Le journaliste n’est pas un auteur. Les news magazines ont été
invente dans les années 66à françaises sont inspirés du modèle anglo-saxon. De même
les chaines d’informations en continus s‘inspirent également du journalisme anglo-
saxons (chaine de commentaires de l’informations = chaine low cost).

C) La Professionnalisation croissante et inachevée


En France elle est tardive (demandé depuis 1918 pour faire une barrière a l’entrée
pour que tout le monde ne puissent pas piques le boulot des journaliste). Ce n’est qu’en
1935 une loi est enfin mise en place pur définir leur statut et leur légitimité avant de
créer une morale professionnelle. Dans Les Petits Soldats du Journalismes de Ruffin. Max
Weber, expliquait que : « le journalisme est un intellectuel mais un intellectuel qui se
travail dans l’instant » (donc sans recul il doit rédiger et publier dans l’action son article).
C’est ce que l’école de journalisme apprend à faire. Les journalistes peuvent s’appuyer
sur des routines (les spécialistes des nécrologies. Autrement dit l’idée que le journaliste
fait ce qu’il veut, sauf s’il es très connu est pris dans une organisation donc ce qu’il écrit,
filme ou commente est liée à une commande qui nous a été faite. En guise de transition :
où en sont aujourd’hui les écoles de journalismes et les journalistes qui en sortent (en
fait ils sont menaces par l’émergence d’Intérêt). Le cas d’Hanouna montre le statut
d’influenceurs qu’il a sur les jeunes (il est considéré comme étant un producteur). De
plus, les communicants, présents dans toutes les organisations sont 10 fois plus
nombreux que les journalistes. Les journalistes sont noyés face à l’informations qui se
présentent à eux (à cause des gens réalisant des dossiers de presse en tant que simple
communicants ou que bloggeurs). D’ailleurs, les sources pèsent sur le traitement de
l’informations. Fabrication de nouvelles exclusives par le développement des
informations par les réseaux sociaux qui nuisent à l’activité des réelles journalistes (cf. :
Pierre Bourdieu : Il y a une circulation circulaire de l’information). Sur Tweeter, les
amateurs interviennent, donnent leur avis, insultent mais cela favorise le fat checking. Si
l’on dit une connerie quelqu’un va intervenir pour contredire notre information (le statut
et pas moins important que le contenu de l’information en question). Ce qui est
impossible dans une Tribunes du Monde par exemple.

II/ Les médias à la fois partout et nulle part

A) La prolifération des nouvelles


« La connaissance inutile » de Rovel. Le risque c’est simplement que la rapidité
devient la valeur informationnelle. On est donc bien dans la logique classique du Scoop
(cf. : déjà le cas dans le passé avec les commissariats ou l’on recherchait les informations
des affaires les plus trash quitte à récupérer celle du passé pour faire la une et vendre
des journaux). Les médias se transforment par l’arrivée de nouveaux moyens de
prolifération de l’informations mais les anciens moyens d’informations de disparaissent
pas pour autant (cf. : toujours la radio, toujours la presse écrite…). Les fakes news (infox),
souvent involontaires, ne sont pas nouvelles. Les fakes news représentent les nouvelles
fausses diffusées malheureusement par un manque de contrôle ou de vérifications des
informations accenteur par la recherche de rapidité de l’informations. Aujourd’hui un
certain nombre de moyens techniques permettent de diffuser des nouvelles fausses en
sachant qu’elles sont fausses (cf. : les sites de propagandes qui sont de plus en plus
d’dissimuler au sens où ils réalisent des reportages). Il y a une augmentation de la
capacité de produire des infox d’autant que les réseaux sociaux, peinent à distinguer les
informations produites par de véritables supports d’informations et des sites de
propagande. Ainsi, quand on maitrise cela on peut avoir affaire à un effet de réelles qui
nous manipule et ce de plus en plus avec les progrès techniques. En outre, le fait que des
frontières perdent en étanchéité permet la prolifération encore plus rapide de différents
types d’infox (avec la peoplelitisation) (cf. : Hollande et son scooter, fille cachée de
Mitterrand). Ainsi, de nos jours, les médias sont obligés de réagir à tout types
d’informations ce qui remet en cause la maitrise des flux d’informations par les médias
(prolifération qui complique la donne)

B) Tout gratuit ?
La Gratuité de l’information est à la fois nouvelle et pas nouvelle (radio = pub pour
trouver un financement). Canal plus en 1984 est inventée (faire payer la diffusion du
sport). Il y a donc des contenus qui deviennent payant et vice versa. En France les
premiers journaux gratuits apparaissent en 2002 (des exemplaires gratuits). Ainsi, son
succès à était révélateur du succès de la presse écrite dans les journaux. Exemple : en
France depuis les années 2000, la presse écrite a connu une forte hausse (avant presque
que les hommes qui la lisait). En Allemagne, les journaux gratuits ont échoué car il n’y a
pas de séparation entre les différentes presses (nationales et locales) qui ne traitent pas
du même type d’informations. Ainsi les individus ne sont pas intéressés de la même
façon à ces informations. Les journaux gratuits ont gagé en France car ils ont réussi à
récupérer un nouveau type d’informations, plus féminins, avec Internet car la culture de
la gratuité à pu se développer (néanmoins pour avoir accès à internet il faut avoir acheter
un accès a une connexion). Le fait d’acheter un magasine au numéro à quasiment
disparu. (Enjeu numérique et économique). Quels contenues doit être payant ? Posse
donc le problème de la rentabilité économique (néanmoins permet de ne plus imprimer
les journaux (environnement et intérêt économique). Les GAFAM pèsent donc sur les
informations sans rémunérés les auteurs d’informations. Le modèle économique est
donc un problème a réglé même si on a un chevauchement possible pour les médias.

C) Fragmentation de la consommation d’une sociologie

Le monde des médias est présenté comme un monde merveilleux sur lequel on a
accès à toutes la culture (système égalitaire permettant à tout le monde d’être informer).
Mais les programmes regarder ne sont pas les mêmes dans le monde entier (car pas les
mêmes horaires, pas les mêmes contenues étaient aimé en fonction des cultures, en
fonction des âges aussi). Sauf pour de grands évènements exceptionnels tellement que la
Coupe Du Monde Au Qatar. Les contenus visionnés varient selon les profils sociologiques
(cf. : Zemmour sur CNews). Il y a donc une écologie de l’information. On regarde et suit
une source d’informations en fonction de qui l’on est.

Conclusion :

Que risques t’ils d’advenir des journalistes face à la prolifération des analyses de chaque
individu ? Il y a un risque non négligeable qu’on ait un paysage polarisé de l’informations
(information basse de gamme produite et l’informations des élites).

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