Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Introduction :
Vision catastrophiste les médias nous mentent (passe même par le cinéma). Un mythe
repose sur des choses réelles (la presse contribue à faire, la propagande passe par les médias et joue
sur l’opinion publique en la manipulant) Cependant, le mouvement des médias ne se réduit pas qu’a
ses limites (rhétorique de l’enchantement avec l’émergence d’Internet). De nos jours, moins de
personne souhaite dépenser de l’argent pour avoir accès à l’information (d’autant plus qu’ils peuvent
y accéder directement sur Internet) Désormais il y a une conservation des données qui pose des
problématiques sur le fait de savoir se que fait l’Etat face à ce stockage d’informations. Les Réseaux
Sociaux modifient nos manières de consommer les informations (fakes news et leur prolifération)
mais l’on ne peut pas évaluer ce changement (on se base uniquement sur des indicateurs)
Depuis 10 ans, le nombre de journaliste à baisser (ceux qui ont une carte de presse
sont au nombre de 35 000 en France). Pour avoir une carte de presse il faut que la moitié
de notre salaire soit réaliser par cette activité sinon elle n’est pas reconnue pleinement
(profession en crise). Ce qui fausse tout de même ces statistiques. Une caractéristique
majeure du journalisme (français) c’est le fait que cet act est émergé suite à la révolution
française (tout le monde c pas lire). Depuis cette émergence il y a une légitimation de la
presse par l’extérieur (faire du journalisme n’st pas leur objectif final) (cf. : Film les
Illusions Perdues montre l’idée que l’on pet réussir par la presse). Autrement dit au 19 ème
on fait du journaliste pour faire de la politique (depuis la 3 ème république on possède pour
les président et gens important des titres de presse (quotidienne ou d’opinion). La presse
est un moyen comme un autre de faire de la politique. Et l’autre voie de légitimation est
la littérature (Balzac et Zola). Balzac est oblige d’écrire (payer à la feuille) et le roman
feuilleton est publié dans la presse. Il s’agit de créer un suspens quotidien pour les
lecteurs pour qu’il lisse la suite le lendemain et qu’il achète le journal. Le journalisme du
19eme décrit par Christophe Charles comme le siècle de la Presse de 1830 à 1930, la
presse pèse dans la politique et la littérature pour acquérir de la notoriété (politique ou
écrivaine en vendant des livres. Meilleure année de la presse = 2014. Ainsi, être
journaliste c’est un marchepied = un moyen de se faire des relations (le journalisme
mène a tout à condition d’en sortir). EN 1843, Balzac raconte toutes ces mauvaises
expériences et le fait que sans la presse il n’écrirait pas. Les journalistes sont vues par les
politiques comme des menaces (un métier considéré comme celui des ratés, les foule
merdes comme intitulée aux USA qui dévoilent les secrets des gens). On voit donc bien
que les journalistes qu’ils ne sont pas à l’image d’être de confiance (cependant il y a
également l’image du héros qui rend service à la vie publique (cf. : Tintin). La presse dans
les années 1920-1930 est vénale elle écrit pour ne rien dire mais uniquement pour
recevoir de l’argent (redéfinition de la presse par la suite). Image abominable (plus affaire
(cf. : Joseph Caillot, 3ème République avec Panama...)
B) Tout gratuit ?
La Gratuité de l’information est à la fois nouvelle et pas nouvelle (radio = pub pour
trouver un financement). Canal plus en 1984 est inventée (faire payer la diffusion du
sport). Il y a donc des contenus qui deviennent payant et vice versa. En France les
premiers journaux gratuits apparaissent en 2002 (des exemplaires gratuits). Ainsi, son
succès à était révélateur du succès de la presse écrite dans les journaux. Exemple : en
France depuis les années 2000, la presse écrite a connu une forte hausse (avant presque
que les hommes qui la lisait). En Allemagne, les journaux gratuits ont échoué car il n’y a
pas de séparation entre les différentes presses (nationales et locales) qui ne traitent pas
du même type d’informations. Ainsi les individus ne sont pas intéressés de la même
façon à ces informations. Les journaux gratuits ont gagé en France car ils ont réussi à
récupérer un nouveau type d’informations, plus féminins, avec Internet car la culture de
la gratuité à pu se développer (néanmoins pour avoir accès à internet il faut avoir acheter
un accès a une connexion). Le fait d’acheter un magasine au numéro à quasiment
disparu. (Enjeu numérique et économique). Quels contenues doit être payant ? Posse
donc le problème de la rentabilité économique (néanmoins permet de ne plus imprimer
les journaux (environnement et intérêt économique). Les GAFAM pèsent donc sur les
informations sans rémunérés les auteurs d’informations. Le modèle économique est
donc un problème a réglé même si on a un chevauchement possible pour les médias.
Le monde des médias est présenté comme un monde merveilleux sur lequel on a
accès à toutes la culture (système égalitaire permettant à tout le monde d’être informer).
Mais les programmes regarder ne sont pas les mêmes dans le monde entier (car pas les
mêmes horaires, pas les mêmes contenues étaient aimé en fonction des cultures, en
fonction des âges aussi). Sauf pour de grands évènements exceptionnels tellement que la
Coupe Du Monde Au Qatar. Les contenus visionnés varient selon les profils sociologiques
(cf. : Zemmour sur CNews). Il y a donc une écologie de l’information. On regarde et suit
une source d’informations en fonction de qui l’on est.
Conclusion :
Que risques t’ils d’advenir des journalistes face à la prolifération des analyses de chaque
individu ? Il y a un risque non négligeable qu’on ait un paysage polarisé de l’informations
(information basse de gamme produite et l’informations des élites).