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GESTION DE PROJETS
SOMMAIRE :
En fait 2 cas :
- Préparation à la Production
- Production ou Fabrication
L’entreprise libérée :
La notion d'« entreprise libérée » a été
reprise par Isaac Getz dans un article
académique de 2009, dans lequel il décrit
« une forme organisationnelle dans laquelle
les salariés sont totalement libres et
responsables dans les actions qu'ils jugent
bon — eux et non leur patron —
d'entreprendre ». Il y précise qu’à l'instar des
architectes qui définissent une construction
(par exemple un pont) à partir de sa fonction
(permettre un passage par-dessus un
obstacle) et non d'un ensemble de
caractéristiques structurelles, « l’entreprise libérée est définie aussi à partir de sa fonction »
(permettre la liberté et responsabilité d’initiative) et non d’un modèle. Pour permettre la liberté et
la responsabilité des salariés, la libération d’entreprise remet en cause des pratiques
organisationnelles qui les empêchent. Par exemple, ce type d'organisation conduit à une
réduction drastique des dispositifs de contrôle interne.
En France, elle a comme pionniers des entreprises telles que FAVI, Poult, Chronoflex.
Industrie 4.0
Le concept d’industrie 4.0 ou industrie du
futur correspond à une nouvelle façon
d’organiser les moyens de production.
Cette nouvelle industrie s'affirme comme
la convergence du monde virtuel, de la
conception numérique, de la gestion
(finance et marketing) avec les produits et
objets du monde réel. Les grandes
promesses de cette quatrième révolution
industrielle sont de séduire les
consommateurs avec des produits
uniques et personnalisés, et malgré de
faibles volumes de fabrication, de
maintenir des gains.
Source : https://www.vie-publique.fr/loi/278460-loi-22-aout-2021-climat-et-resilience-convention-
citoyenne-climat
Gestion de la transversalité
Par ailleurs, un processus est destiné à durer et n'a pas, en général de date de fin prévue.
Le taux de succès des projets est peu communiqué. Parmi les sources disponibles on peut citer
les études du Standish Group publiées dans le "Chaos report". La dernière version publique date
de 2020, sur 50 000 projets au niveau mondial :
Source : https://www.infoq.com/articles/standish-chaos-2020
Source : https://www.blog-projet.fr
Projet intra service, plusieurs équipes concernées : Mise en place d'une nouvelle
machine
À un niveau de gestion supérieur à celui du projet, on trouve donc le programme. Il s’agit d’un
groupe de projets contribuant à l’atteinte d’objectifs ou de buts communs.
Le portefeuille est un ensemble de projets partageant une ressource commune. Ces ressources
peuvent être humaines ou budgétaires, mais aussi des connaissances et des technologies. Ceci a
plusieurs conséquences sur la gestion d’un portefeuille de projets :
Source : Wikipédia
Les JALONS :
En fonction des phases et des fournitures du projet (essentiellement des documents), des points
de décision et d'évaluation (qualité, avancement) sont identifiés sur une base régulière. Ils font
intervenir différents participants :
comité de pilotage
des intervenants extérieurs au projet
COPIL / CODIR
2.1. Conception
Advisability study
La première étape d’un projet, sa définition.
Les points à aborder Les outils proposés
Organisation entreprise COPIL, CODIR
4 schémas types
Définir les intervenants Liste type
Identifier le chef de projet
La résolution de problème CQQCOQP
Matrice décision
5M
Validation de l’étape Cahier des charges
Pourquoi un COPIL ?
Piloter un projet : vérifier qu’on est sur la bonne trajectoire pour arriver au livrable
final
Deux prérequis :
1. Des livrables intermédiaires
2. Des jalons : réunions de validation
* Le projet matriciel
Il reste responsable de la planification, de l'organisation, et du contrôle de son projet. Il doit
maîtriser l'allocation des ressources de son projet.
Le DG s'implique.
Coordinateur Le resp projet est "On rame" moins Petits projets
Coordinator soutenue inter-services
Le Maître d’œuvre
Une personne physique ou morale qui, pour sa compétence, peut être chargée par le maître de
l'ouvrage :
de l'assister pour la consultation des entreprises et pour la conclusion du ou des marchés
avec le ou les entrepreneurs ;
de diriger l'exécution du ou des marchés de travaux ;
d'assister le maître de l'ouvrage pour la réception des ouvrages et le règlement des
comptes avec les entrepreneurs.
Le chef de projet.
Les chefs de projet sont désignés par l’entreprise réalisatrice avec pour mission d’atteindre les
objectifs des projets
Le chef de projet est responsable de la communication avec toutes les parties prenantes, en
particulier le commanditaire du projet, l’équipe de projet et d’autres parties prenantes clés.
L’équipe projet.
Une équipe de projet est composée du chef de projet, de l’équipe de management de projet et
d’autres membres de l’équipe dont le travail n’est pas nécessairement lié au management du
projet.
On y trouvera:
Les participants permanents (directement concernés par l’ensemble du projet)
Les participants ponctuels (concernés par quelques aspects du projet)
Le COPIL
Ce sont les responsables, avec le commanditaire ?, qui valideront les différentes étapes du projet.
Pour ce faire le RP dispose de nombreux outils et d’une méthodologie déjà éprouvée pour
la résolution de problèmes, qu’il utilisera lors des réunions périodiques et lors de
problèmes rencontrés.
C 7. Mesurer et contrôler
Indicateurs
A 8. Standardiser
Procédure
Pourquoi le projet ?
La décision.
Le choix de ce processus peut être lent et complexe, le projet et les différentes décisions
pourront suivant la taille de l'entreprise, la volonté d'aboutir et le style de management
prendre un temps souvent mal évalué et représenté plus ou moins les besoins réels.
Dans les faits le choix peut être imposé par la direction.
L’étude de marché :
Une étude de marché est un travail d'exploration marketing destiné à analyser, mesurer et
comprendre le fonctionnement réel des forces à l'œuvre dans le cadre d'un marché. Pour assurer
la fiabilité du lancement d’un nouveau produit/service, on peut compléter l’analyse de marché
par :
b) Analyse stratégique
Réaliser un SWOT est indispensable pour un plan marketing, pour un lancement de produit… .
Le but est d’avoir une vision graphique et synthétique d’une situation…
Elle permet de rassembler sur une page les menaces – opportunités – forces – Faiblesses.
La phase d'avant-projet
L'objectif de cette phase étant de disposer d'informations pertinentes pour éclairer la décision de
démarrer ou non le projet. Ces informations sont techniques et permettent de savoir si les
compétences et les moyens techniques de l'organisation (ou du groupe d'organisations) qui mène
le projet sont mobilisables en interne ou en externe.
Elles sont aussi économiques et permettent de définir le bilan économique du projet en terme de
retour sur investissement mais elles donnent aussi des précisions par rapport au marché.
Le résultat de cette phase est généralement une étude de faisabilité technico-économique.
l'avant-projet sommaire (APS). Le but de l'APS est notamment de déterminer les valeurs
des paramètres de dimension du projet, de façon à permettre l'estimation du coût du projet.
L'APS permet également de fournir aux décideurs une proposition technique quant à la
réponse apportée au problème posé, en termes de principes retenus et d'architecture
générale. L'APS est l'un des éléments constitutifs du dossier de faisabilité.
Source : Wikipédia
Source : Wikipedia
Méthodologie
Dans le déroulement d'un projet, le cahier des charges fonctionnel précède l'étude technique qui
conclut la phase d'avant-projet. Pour arriver au cahier des charges fonctionnel, plusieurs étapes
sont donc nécessaires.
Étude d'opportunité
Cela consiste à étudier le contexte du projet, à déterminer les besoins généraux de la maîtrise
d'ouvrage et à vérifier si ceux-ci correspondent bien aux attentes des utilisateurs finaux et aux
évolutions probables à venir. Cela permet de décider de la viabilité du projet.
Étude de faisabilité
Cette étape repose sur l'analyse de la faisabilité aussi bien aux niveaux économique et technique
qu'au niveau organisationnel. C'est une analyse des besoins qui permet ensuite d'estimer
grossièrement les coûts d'investissement et de fonctionnement du projet (moyens humains et
matériels), les délais prévus et les retours sur investissements possibles. Ceci mène aux études
de scénario, qui envisagent les risques pouvant menacer le projet et présentent un bilan
prévisionnel.
Analyse fonctionnelle
Les besoins devront être exprimés sous forme de fonctions (d'où le nom d'analyse fonctionnelle)
et non de solutions pour permettre un choix lors de l'étude technique. Ces fonctions doivent donc
être listées, classées et explicitées. L'outil But-Besoin-Fonction-Moyen permet de lister de
manière exhaustive l'ensemble des Besoins et puis y associer les Fonctions puis les Moyens
afférents.
Expression du besoin
Pour établir la bête à cornes, il est essentiel de se poser les trois questions suivantes :
À qui, à quoi le produit rend-il service ?
Sur qui, sur quoi agit-il ?
Dans quel but ? (pour quoi ?)
Source : Wikipedia
2. L’ACCEPTABILITE concerne les aspects sociologiques, éthiques ou moraux. Votre projet doit
pouvoir être acceptable dans une organisation industrielle composée d’Hommes et respecter
entre autres le droit du travail et veiller à la gestion des ressources humaines. En particulier vous
aurez pris soin d’intégrer les attentes des collaborateurs dans l’analyse des solutions proposées
afin de limiter les résistances au changement.
L’acceptabilité sociale est le résultat d’un processus durant lequel les parties prenantes
construisent ensemble les conditions minimales à respecter pour qu’un projet s’intègre
harmonieusement, à un moment donné, dans son milieu naturel et humain. Deux facteurs sont
essentiels pour atteindre ce résultat: La prise en compte du contexte local, L’ouverture du projet
aux parties prenantes via un processus de co-création. L’acceptabilité sociale repose sur la
perception des inconvénients et des bénéfices que les parties prenantes associent au projet. Que
les conditions exprimées soient acceptables ou non par le porteur de projet est un autre sujet: il
arrive que certaines conditions minimales exprimées puissent être en contradiction avec les
fondamentaux du projet, conduisant à son abandon, ou à un passage en force. Le cas échéant,
un lancement précoce du processus de concertation avec les parties prenantes permet de réduire
les pertes économiques associées.
(Source : http://www.enea-consulting.com)
3. LA RENTABILITE constitue le
troisième critère auquel vous devrez
apporter une attention très particulière.
En effet, combien de projets
techniquement réalisables et
moralement acceptables ne sont pas
viables par manque de rentabilité. Vous
devez donc apporter des éléments
tangibles afin de démontrer la rentabilité
de votre projet. Le calcul de la rentabilité
du projet peut se présenter sous une
forme monétaire ou en utilisant des
indicateurs.
L’étude financière doit statuer sur la rentabilité du projet et sur la possibilité de le financer, donc :
(Source : http://www.blog-gestion-de-projet.com)
4. L’EFFICACITE Ce critère permet de justifier la solution retenue car elle permet de résoudre la
problématique. Elle introduit la notion de concurrence entre les 3 premiers critères, lorsque
plusieurs solutions entrent en concurrence : le choix de la plus adaptée aux objectifs et
contraintes s’effectue en termes d’efficacité via une matrice de décision.
En précisant bien l’échelle utilisée, si des critères sont pondérés et pourquoi, qui a fait cette
notation etc..
2 - L'Objet -
Résumé en quelques mots du contenu du projet : ce que l'on se propose de faire.
3 - Le commanditaire -
Personne physique ou morale à l'initiative du projet, qui le finance et à qui sera livré le résultat du
projet. S'il s'agit d'une personne morale, indiquer le nom de la personne physique qui la
représente.
4 - Le contexte –
Liste des éléments factuels (état des lieux) qui justifient l'existence du projet : L'environnement
économique, commercial, concurrentiel, les opportunités.... L'historique du projet : travaux et
études déjà réalisés, tentatives antérieures infructueuses....
5 - La motivation –
L'idée de départ, les déclencheurs, le problème à résoudre, l'insatisfaction à combler ou tout
simplement l'espoir de gain.
6 - Les enjeux –
C'est le pourquoi, la finalité du projet, les bénéfices attendus. Il s'agit ici des enjeux pour le
commanditaire. Les enjeux sont le plus souvent économiques mais aussi commerciaux,
financiers, humains, de progrès ou d'image. - La différence entre objectifs et enjeux est souvent
mal comprise. L'objectif c'est ce que veut obtenir le commanditaire, l'enjeu c'est pourquoi (dans
quel but) il veut l'obtenir. Le chef de projet a une obligation d'atteinte de l'objectif alors qu'il ne
maitrise pas les enjeux.
7 - L'objectif technique -
Ce que l'on veut obtenir. On doit trouver ici la traduction aussi fidèle et complète de la demande.
9 - Le délai –
L'objectif temporel : exprimé en termes de délai final ou de durée du projet.
12 - Le périmètre –
Le périmètre décrit les limites du projet. Afin d'anticiper les conflits dus à des malentendus sur
l'étendue des livrables, il est essentiel de désigner clairement les parties hors périmètre.
13 - Les invariants -
Si le projet porte sur un système existant, les parties qui doivent rester inchangées.
14 - Les contraintes -
Ce sont les limitations apportées à la liberté d'action de l'équipe projet. Elles ont leur source en
interne (contraintes de fabrication, standards "maison", charte graphique...) ou externe (normes,
règlements, usages, règles de l'art, brevet, licences, accords commerciaux...)
16 - Les livrables -
Ce sont les différents résultats attendus du projet en cours de déroulement et à l'issue du projet. -
Les termes d'extrant ou de délivrable sont synonymes de livrables.
Lancement du projet
3. Préparation
Feasibility study
Le lancement du projet : cette phase permet de mettre en place les éléments contractuels liés au
projet (nomination du chef de projet, affectation de moyens humains et financiers, ...). Cette
phase doit être parfaitement formalisée afin de garantir le bon démarrage du projet, de définir le
référentiel des méthodes et moyens mis en œuvre pour le projet (organisation, méthodes,
techniques, outils et documents) qui seront utilisés pendant le projet et de planifier toutes les
activités.
Les points à aborder Les outils proposés
L’équipe projet
Décomposer le projet PBS, WBS, OBS, RACI
Planifier le projet PERT et GANTT
Gérer les ressources GANTT
Les coûts CBS et budget
Les risques AMDEC
La communication Plan de communication
Tableau de bord Les indicateurs de suivi
Validation de l’étape Cadrage Projet
Conduite de projet :
La conduite de projet est confiée au chef de projet.
- garantir que les objectifs, la stratégie, les moyens et l'organisation du projet sont fixés
- coordonner les actions et tâches successives et/ou concomitantes
- optimiser la répartition des ressources, en vue de maintenir à tout instant le juste équilibre
entre trois exigences contradictoires : contenu technique et performances, coûts, délais
- maîtriser la communication, l'animation et la coordination des ressources humaines
affectées au projet, afin de s'assurer de leur motivation
Planification et suivi :
- participer à la décomposition du projet en tâches et à l'affectation des ressources
- proposer les estimations et planifier les échéances
- suivre le tableau de bord des indicateurs projet
- suivre l'avancement
Secrétariat et logistique :
- organiser les réunions (convocation, logistique, suivi) et les rendez-vous
- gérer le courrier et les comptes rendus de réunion (saisie, archivage)
Assurance qualité :
- définir et mettre en œuvre les standards (méthodes, techniques et outils)
- suivre l'application des standards
Gestion de configuration :
- veiller à l'identification des versions des différents composants
- gérer les modifications
- sauvegarder et archiver les versions successives des éléments
Rôle du découpage :
Faciliter la compréhension d’un ensemble complexe par la détermination de sous-
ensembles de moindres complexités.
Essayer de ne rien oublier,
Assurer un suivi plus efficace de la réalisation.
RACI
Le GANTT
Exemples :
Un cahier des charges et une étude de faisabilité sont des livrables.
Phase technique (installation matérielle et logicielle, etc.)
Paramétrage de base,
Conversion des données (nombre de notices, nombre d’usagers etc.)
Formation,
Etc..
Exemple de décomposition :
Exemple de décomposition :
OBS répond à la question : QUI (QUELS) SONT LES : Acteurs / Compétences / Responsabilités /
Disponibilités / Relations / Interdépendances. On peut graphiquement la représenter sous la
forme du WBS ou chaque case est renseignée par le QUI (le responsable de la tâche).
Généralités
La gestion d'un chantier d'une entreprise, la réalisation d'un projet entraînent la mise au point de
plans de travail indiquant l'enchaînement dans le temps d'un grand nombre d'activités. Celles-ci
présentent entre elles des relations d'antériorités dictées par des considérations généralement
d'ordre technique. La constitution de ces plans de travail a été jusqu'à ces dernières années du
ressort des techniques de planning qui, aussi perfectionnées soient elles, se sont heurtées à la
dimension et à la complexité des problèmes abordés.
Les méthodes de suivi, qui ont vu le jour (1958 aux USA, avec le projet POLARIS) proposent une
approche plus systématique de ces problèmes. Elles ont aussi permis de gérer ce que l’on
appelle une projet, en mettant en place une démarche logique et rigoureuse, avec un
management d’une efficacité reconnue.
Historique.
1956 aux USA, l'amiral RABORN dirige le programme de
recherche POLARIS. Le programme prévoit en sept ans
l'envoi d'une fusée américaine, un délai qui au fur et à mesure
semble trop long, vis-à-vis du programme soviétique qui est
estimé avec deux ans d'avance.
Le vocabulaire et représentation
Activité ou tâche
Toute opération est consommatrice de temps et de moyens. Elle est caractérisée par une
durée et une référence.
Etape ou événement
Jalon d'avancement ou d'achèvement dans le plan
d'ensemble des travaux. L'étape marque le début et la 5
fin d'une tâche. On la repère aussi par un numéro de
référence.
Important :
5
A 2 étapes limitent une tâche et une seule
5
4 B
A
Sch é m a co rre ct 4
Sch é m a i n co rre ct
Chemin
C'est une suite de tâches figurées par une succession d'arcs adjacents parcourus dans le même
sens. Le chemin tracé est une représentation dans le temps sans souci d'échelle.
Chemin critique
C'est le chemin le plus long dans un plan de déroulement optimal.
A C A
3 4 C
B D
Délai total
Temps mis pour parcourir le chemin critique
Surtout ne pas confondre : durée du travail et délai pour le réaliser (un travail de 2h sera
fourni en 1 semaine, on a autre chose à faire aussi que le projet). Pour le projet on met le délai !
Délai au
p l u s tô t
N u m è ro
A B a tte m e n t B
d ' é ta p e Délai au (+tard) - (+tôt)
p l u s ta rd
Délai au plus tôt : On ne doit pas commencer la tâche B avant cette date Début + maxi
Délai au plus tard : On ne doit pas commencer la tâche B après cette date Fin - mini
Numéro d’étape :
Il existe plusieurs méthodes :
1) Une méthode rationnelle.
Définir les niveaux, Tracer le réseau, Numéroter les étapes par niveaux
2) La technique utilisée en informatique.
Le plus souvent le numéro est donné par incrément lors de la saisie des tâches.
Le battement :
C'est la différence entre les deux délais précédents.
Donc battement = délai au plus tard - délai au plus tôt.
A l'étape finale on trouve donc que le délai au plus tôt est égal au délai au plus tard.
De plus toutes les étapes ayant un battement nul représentent les différentes étapes du
chemin critique.
Les marges
Les marges donnent les limites de liberté des intervenants.
La marge libre :
Elle représente pour une tâche le retard qui peut être apporté à son démarrage sans nuire à
l'intervalle de flottement de la tâche suivante.
La marge libre correspond au retard que peut prendre la tâche à partir de sa positon au plus tôt
sans affecter la date de début au plus tôt de l'une quelconque de ses tâches immédiatement
suivantes.
La connaissance de la marge libre est intéressante lorsque l'exécution des tâches relève de
responsabilités différentes car elle représente la latitude dont dispose le responsable d'une tâche
pour ne pas affecter le plan de travail des autres responsables.
Mode de calcul :
ML = Fin au plus tôt - durée - début au plus tôt
La marge totale :
Elle indique le retard maximum que pourrait prendre la tâche sans retarder la fin de projet.
Mode de calcul :
MT = (date de fin au plus tard) - Durée de la tâche - (début au plus tôt)
Debut au Fin au
Remarque : Les tâches appartenant au chemin critique ont des marges nulles.
OBJECTIF
L'outil appelé "GANTT" a pour but de visualiser l'utilisation des ressources dans le temps. Il
permet également, en jouant sur des antériorités partielles, de compresser les délais.
DESIGNATIONS SIMILAIRES
Graphe à barres, Graphique d’ordonnancement, Planning de charge
ORIGINE
C'est au début de ce siècle (1917) qu'un collaborateur de Taylor, Henry L. Gantt, mit au point la
représentation murale d'un planning des tâches. Depuis l'industrie utilise toujours son diagramme,
afin d'afficher les résultats d'une planification ou pour raisonner sur des problèmes d'utilisation de
ressources.
Le planning se présente souvent sous la forme d’un planning à bandes ou les travaux sont
représentés par des bandes dont la longueur évoque le temps estimé à la réalisation. Selon le
détail des plannings et la volonté des chefs de projets, on peut y mettre aussi les ressources
(hommes, machines, matériaux etc…) nécessaires à la réalisation.
LASSIRE Arnaud Page - 42 -
Gestion de projets IN&MA - 2022
Du planning simple :
Au plus complexe :
Ressources en Disponible
cumul
I 5
II
III
0€ 2h de formation Projets
Mac et PC Nivellement plusieurs
Sait lire MS Project non , mais ... ressources
Projets
1500 €
importants
que sur PC
- Fait tout Optimisation
mini 2 jours de
des ressources
formation
Coûts précis
Aux critères « planning » listés ci-dessus, d’autres fournisseurs de logiciels ont préférés ou
ajoutés des fonctions telles que :
Travail collaboratif,
Système de suivi de problèmes,
Gestion de portefeuille de projets,
Pilotage par les livrables,
Assurer la GED (Gestion Electronique des Documents),
Travail en ligne plutôt que sur postes,
Logiciel plus orienté métier (exemple : informatique)
Etc…
La méthode Analytique.
C'est de très loin la méthode la plus utilisée car la plus naturelle. C'est aussi la plus précise. Elle
nécessite la connaissance de la structure exacte du produit et du descriptif détaillé des travaux
(nomenclature et gamme en production, WBS en gestion de projets). Sa mise en œuvre est
longue et donc coûteuse.
Sont considérés comme coûts de ressources tous les coûts proportionnels à une quantité de
ressource consommée. Dans le cas des ressources humaines il s'agit d'un nombre d'heures-
homme (travail). Dans le cas de matériels il peut s'agir de nombre de journées de location. Dans
le cas des consommables il s'agit de la consommation d'un nombre d'unités œuvre de cette
ressource (mètres linéaires de câble, m2 de moquette, m3 de béton, etc.)
On appelle aussi CBS (Cost Breakdown Structure) cette décomposition chiffrée du projet.
La méthode intuitive.
Bien plus employée qu'on ne le pense, familièrement nommée "Au doigt mouillé" ou
"pifométrique", la méthode intuitive permet de donner des ordres de grandeur et de vérifier la
cohérence des résultats fournis par les méthodes plus évoluées.
La méthode Paramétrique.
Bien que fondée elle aussi sur le retour d'expérience, elle fait appel à des calculs plus complexes
que dans la méthode analogique. Elle ne fonctionne que sur une famille de produits (ou de
projets) de structure identique ne différant que par la taille.
De la CBS au budget :
Ce serait une erreur d'annoncer comme budget du projet le montant de la CBS. Le budget, c'est
la CBS majorée de différentes marges et provisions
De l’intérêt de bien cerner avec le demandeur, quel est l’ampleur du projet que l’on doit gérer, ce
que l’on a bien fait à l’étape 1, et validé avec lui.
Le plan de communication peut être formalisé ou informel, peu ou très détaillé, suivant la nature
du projet.
En résumé :
Commencer le plan de communication le plus tôt possible
Ne pas négliger l’importance de la communication
Bien choisir votre message clef & Cibler votre public
Comme pour toute tâche du projet et afin de garder son efficacité, le plan de
communication doit être rigoureusement suivi lors des réunions.
Le plan de management représente le fil conducteur global d’un projet. Il doit planifier et
décrire les processus de développement, décrire les tâches à mener et désigner les ressources
qui doivent les prendre en charge. Il doit décrire les procédures permettant de vérifier tout au long
du projet la qualité et l’adéquation des développements avec les besoins du client.
Pour être en conformité avec la norme, voici les paragraphes types à développer dans un plan de
management projet :
Le descriptif du projet et son contexte
Les objectifs généraux à atteindre en termes de coûts, délais et qualité
Une arborescence préliminaire du produit à développer
Les références documentaires, normatives et réglementaires
La liste des sous-ensembles et prestations sous-traités
Le découpage du projet en phases
Le planning détaillé de chaque phase
Les exigences pour la maîtrise des délais et des coûts
Les exigences pour la maîtrise des risques
Une analyse des risques et les plans d’actions associées pour les réduire
Les exigences pour la gestion de la documentation et de la configuration
Les exigences techniques particulières
Les exigences environnementales et réglementaires
Les exigences de qualification et de marquage CE
La liste des livrables au client (Documents, plans, nomenclatures, schémas, logiciels,
matériels)
La liste des livrables de définition du produit
On retrouve bien les 4 grandes étapes de notre projet, découpées avec les documents attendus
par cette norme :
Enfin, l’assurance qualité regroupe un ensemble d’actions à mettre en place en vue de garantir le
niveau de qualité attendu.
Dans le contexte d’un projet, ces activités sont diverses, on peut en proposer les principales :
• prévenir les risques du projet :
Une démarche de gestion des risques a-t-elle été proposée ?
Sous quelle forme ? (Matrice, AMDEC, autre.)
Comment est assuré son suivi ?
• planifier le projet :
Existe-t-il un planning de réalisation du projet ?
Comment sont définies les différentes versions du planning ?
Les participants partagent bien la version actualisée du planning ?
Bien entendu, il est inconcevable d'envisager de se prémunir de tous les dangers inhérents à la
conduite d'un projet complexe. Il est toutefois indispensable de procéder à une étude complète et
raisonnée des risques potentiels plus ou moins prévisibles, afin de dépasser le stade des
croyances fondées ou non. Une analyse rigoureuse est une bonne garantie de réussite.
La démarche la plus simple se déroule en cinq temps majeurs.
1) Etablir l'inventaire
Pour garantir un résultat acceptable, la réalisation d'une AMDEC doit avant tout s'inscrire dans
une démarche d'analyse du système. En effet, celle-ci aura permis d'identifier les fonctions, les
contraintes d'utilisation et d'environnement, les paramètres critiques à mettre sous contrôle et sur
lesquels les analyses type AMDEC porteront. Une fois ce périmètre établi, on identifie de manière
systématique les modes de défaillance potentiels. On peut se baser sur l'expérience acquise ou,
selon les domaines, sur des référentiels définissant les modes de défaillance « type » à prendre
en compte.
Ensuite, on identifie pour chaque mode de défaillance :
sa (ses) cause(s) ;
son indice de fréquence (classe d'occurrence) ;
ses effets ;
son indice de gravité (classe de sévérité) ;
les mesures mises en place pour détecter la défaillance ;
son indice de détection (classe de probabilité de détection).
Évaluation de la criticité
On utilise en général des grilles d'évaluations adaptées au problème à étudier. Les différents
éléments sont notés la plupart du temps de 1 à 10 (il ne faut jamais coter zéro). Cependant,
l'expérience peut amener certaines entreprises à utiliser une notation de 1 à 5.
À titre d'exemple, voici 3 grilles de cotation graduées de 1 à 10 ; seuls trois niveaux sont
présentés (1, 5 et 10).
Fréquence ou
Note Note Note Probabilité de non-
probabilité Gravité
F G D détection
d'apparition
Aucune probabilité de
10 Permanent 10 Mort d'homme 10
détection
Conséquences Un système de détection est
5 Fréquent 5 financières et/ou 5 en place mais n'est pas
matérielles infaillible
Le système de détection est
1 Rare 1 Pas grave 1
infaillible
On évalue la criticité par le produit :
C = F × G × D.
Plus C est grand, plus le mode de défaillance est critique.
1. Accepter le risque
Les risques mineurs sont naturellement négligés. Exceptionnellement, et pour autant qu'ils n'aient
pas de conséquences humaines, des risques significatifs peuvent être acceptés. C'est le « risque
d'entreprise ».
2. Supprimer le risque
C'est le cas par exemple si l'on décide, dans un projet innovant, d'utiliser un composant disponible
au lieu de le développer.
3. Transférer le risque
Il est plus facile que l'on ne le pense généralement de se débarrasser d'un risque en le faisant
prendre par d'autres. Sous-traiter une tâche au forfait est une bonne façon de transférer le risque
économique associé.
4. Réduire le risque
A priori trois façons de réduire un risque identifié :
- Diminuer la probabilité (on dit aussi l'occurrence) des risques liés à cette tâche. Par exemple
affecter une tâche d'importance majeure à un fournisseur que l'on a testé au préalable, assortir
une commande de pénalités de retard, etc...
- Diminuer la gravité des conséquences. Un retard de livraison n'a pas le même impact si l'on a
prévu des marges de sécurité ou si l'on a déclenché la commande au plus tard.
- Mettre en place des stratégies d'évitement. Par exemple avoir "sous la main" un sous-traitant
ayant la compétence et la capacité pour se substituer au fournisseur défaillant, conserver un
moyen de production, même obsolète, susceptible d'être utilisé en cas de nécessité, développer
la polyvalence, etc...
5. Refuser le risque
La réponse la plus radicale est d'abandonner le projet. Solution qui doit être adoptée en dernier
ressort, si aucune parade n'est possible.
On les représente souvent sous la forme d’un triangle équilibré, avec les 3 termes :
Technique :
Caractéristiques du produit / service
Management
Sécurité
Qualité
Etc..
Coût :
Dépenses / recettes
Délai :
Suivi du planning de Gantt :
Dans l’idéal il faut mettre en place le suivi des indicateurs retenus dès le
début du projet, voir récupérer ces données de la période d’avant !
Il faut donc y prêter une attention spéciale aux dimensions « sécurité et moral » qui risquent de
régresser quand les autres progresseront.
En conclusion, il n’existe pas d’indicateur magique. Choisissez une poignée d’indicateurs pour
faire progresser les dimensions de votre business que vous souhaitez voir évoluer. Votre choix
sera d'autant plus judicieux que vous aurez une bonne maîtrise de votre processus.
Les indicateurs de pilotage peuvent être regroupés sous la forme d'un tableau de bord.
A cela on peut aussi ajouter les résultats d’« audits » clients ou internes.
Presque accidents
La coûtenance est « l’ensemble des dispositions permettant, pendant toute la durée d’un
projet, de prévoir et de suivre tous les coûts occasionnés par la réalisation (…) avec l’objectif
de maîtriser un coût prévisionnel final » (AFNOR, norme FD X 50-115)
Objectif :
o corriger les erreurs constatées par rapport à des objectifs poursuivis
o diffuser des outils de gestion qui définissent des cibles pour mesurer au fur et à
mesure de la diminution du « reste à faire », les écarts au référentiel.
CRTE = coût réel du travail effectué Il s’agit du coût encouru ou réalisé. C’est le coût
réel du projet appliqué à l’avancement réalisé à
une date donnée. Ce coût constate ce qui s’est
réellement passé sur le projet.
Ecart de coûts (EC) LE CRTE et le CBTE ont la même base d’avancement physique (le
= travail réellement effectué). La différence de coût, s’il y en a une,
CBTE – CRTE s’explique par le coût des tâches exécutées (dérive des quantités de
tâches ou du prix des matières premières). Ce sont essentiellement
les variations de coûts qui expliquent la différence.
Ecart de prévisions (EP) Le CBTE et le CBTP sont calculés sur la même base (le coût
= budgété), la différence ne s’explique donc que par l’écart
CBTE – CBTP d’avancement physique : on a fait plus ou moins de tâches (mesurées
en valeur). Mais l’écart de prévisions peut être converti en unités
physiques mais aussi en délais.
Exemple du voyage :
CBTP = 30 litres
CBTP(1) = 10 litres
CRTE(1) = 14 litres
CBTE(1) = 12 litres
Quelques exemples :
C’est un document synthétique qui résume cette étape et qui sera validé par
l’autorité. On y trouvera :
Référence interne
Le projet Nom
Définition succincte
Caractéristiques essentielles
Techniques : Résultats attendus
Les objectifs Planning : Date de fin
Coût : Budget estimé
La base de départ
La technique Les solutions envisagées
Les risques encourus
Les personnes,
Les ressources nécessaires Les S/T, les fournisseurs
Les matériels
Responsable projet
Management du projet Equipe projet
Organisation : type de réunion, etc..
Plan de communication
Les réunions
4.1. Exécution
Implementation
L'exécution du projet : au cours de cette phase, les travaux à effectuer pour atteindre les
objectifs du projet sont réalisés en suivant différentes étapes propres au projet. Des activités
spécifiques de la conduite de projet sont à exécuter de manière régulière ou en fonction des
étapes de développement du projet
Préparer la réunion :
a) Etablir un Ordre du jour clair, le ou les
objectifs à atteindre
b) Choisir les personnes présentes
c) L’organisation : le lieu, la date, l’heure, la
durée (si plus de 2 heures, prévoir une pause)
Les choix de dates et heures ne sont pas anodins…
d) Prévenir les participants
Cette convocation pourra se faire par mail, Outlook, Framadate, Doodle ou ?
EN DEBUT DE SEANCE :
Préparer la salle :
Début de séance.
On commence à l’heure ou on tolère le quart d’heure local ?
PENDANT LA REUNION
L'animateur récapitule l'ordre du jour et le temps imparti pour chaque sujet.
Les points importants seront donc abordés en début de réunion, car la concentration de
tous les participants est maximale, les questions diverses ou autres sujets seront traités
en fin de réunion
LE PLANNING
LA QUALITE
COUTS
PREVISION
RISQUES
Deux prérequis :
1. Des livrables intermédiaires
2. Des jalons (milestones) : réunions de validation à la fin des lots importants.
A LA FIN
La conclusion, où l'animateur clôt les débats par une synthèse de ce qui s'est dit et décidé.
Etape à ne pas négliger, car elle permet de verrouiller le travail effectué pour passer à l'action
dans le cas où les discussions ont prévu une suite.
Cette étape permet aussi au rédacteur de valider sa prise de notes et la ToDo list.
APRES
Validation du CR entre le responsable de la réunion et le secrétaire de réunion.
Diffusion le plus rapide du CR aux participants.
Exemples :
Négocier
Un avenant avec le Maitre d'Ouvrage si c'est celui-ci qui est demandeur, ou si l'amélioration
proposée lui apporte un gain d'utilisation ;
Une provision de délai et de coût avec la hiérarchie s'il s'agit d'une correction d'erreur ou de
la prise en compte d'un aléa.
Un report de modifications en maintenance.
Wikipedia : Dans le domaine juridique et des contrats, un avenant est un acte juridique qui se
traduit par la rédaction d'une clause additionnelle, ou d'une convention additionnelle permettant
d'apporter une ou plusieurs modifications - dans certaines conditions, et avec accord des parties
liées par un contrat - à ce contrat antérieurement conclu et toujours en cours.
La réception du projet :
L'article 1792-6 du code civil définit la réception
comme l'acte par lequel le maître de l'ouvrage
déclare accepter l'ouvrage avec ou sans
réserve. Elle intervient à la demande de la
partie la plus diligente, soit à l'amiable, soit à
défaut, judiciairement. Elle est, en tout état de
cause, prononcée contradictoirement.
IDENTIFICATION DU PROJET
- Rappel des données d'entrée : Intitulé du projet, commanditaire, Chef de projet.....
ATTEINTE DE L'OBJECTIF
- Bilan technique : Quel est le niveau de satisfaction du besoin (écarts entre la performance
constatée et les exigences du CDC). Quelles difficultés techniques a-t-on rencontré.
- Quels sont les écarts entre dépenses prévues et réelles. Quelles sont les causes des dérives
(mauvaise estimation, écarts de réalisation...).
- Respect des délais : Quels écarts de délai a-t-on constaté, quelles en sont les causes.
SUITES POSSIBLES
- Projets nouveaux détectés, pour alimenter le portefeuille de projets.
- Evolution des procédures et des documents de gestion de projet.
ARCHIVAGE
Comment et où stocker les informations de ce dernier projet ?
Où seront elle stockées (bureau du chef, salle archive…) ?
Archivage Informatique / en boites ?
Ces informations seront elle faciles à retrouver dans une prochaine affaire ?
FETER LA REUSSITE.
Fin de la réunion avec un cocktail, ou on définit ensemble comment on va célébrer ce projet, de la
fête à organiser.
Bibliographie
Dictionnaire de management de projet. AFNOR Edition
Management des projets. AFNOR Edition
NF ISO 21500 Octobre 2012. AFNOR Edition
La Boîte à outils du Chef de projet - DUNOD
La Gestion de projet pour les Nuls – First Edition
Sites internet
http://www.blog-projet.fr/
http://pmi-france.org/
http://gestiondeprojet.pm/
http://www.gestiondeprojet.net
Quelques Logiciels payants
MS Project de Microsoft ;
Primavera
PSNext, par Sciforma
Une gestion des calendriers beaucoup plus fine et adaptée à la réalité de chacun.