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Chap. 9-10-11 Phénomènes ondulatoires – Evolution syst. chimique Correction 1/3

/10 A. Le rayon vert :

I A.1. Le phénomène mis en évidence est la diffraction.

I A.2.

𝜆
I A.3. 𝜃 = 𝑎

I A.4.
𝜆
𝜃=𝑎
𝜆×2𝐷
} => ℓ = 𝑎
ℓ⁄2
tan 𝜃 = 𝐷

II A.5.

ℓ (m)

1/a (m-1)

I A.6. La courbe est une droite passant par l’origine, donc une fonction linéaire. On en conclue que ℓ
1
est proportionnel à 1/a : ℓ=𝑘∙
𝑎
1
Ce qui est bien en accord avec la formule trouvée en A.4 : ℓ = 𝜆 ∙ 2𝐷 × 𝑎

1
I A.7. Une modélisation de la droite donne : ℓ = 1,59. 10−6 ∙ 𝑎

I A.8.
1
ℓ=𝑘∙𝑎
𝑘
} => 𝑘 = 𝜆 × 2𝐷 => 𝜆 = 2𝐷
𝜆×2𝐷
ℓ= 𝑎
1,59.10−6
AN : 𝜆 = 2×1,50
= 5,30.10-7 m = 530 nm

𝜆𝑡ℎé𝑜 −𝜆𝑒𝑥𝑝 532−530


I A.9. 𝑟 = 𝜆𝑡ℎé𝑜
× 100 = 532
× 100 = 0,4 % L’erreur sur mesure est excellente.
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Chap. 9-10-11 Phénomènes ondulatoires – Evolution syst. chimique Correction 2/3

/10 B. Etude d’une pile au laboratoire :

I 𝑛 = 𝐶 ∙ 𝑉 = 0,1 × 50. 10−3 = 5,0. 10−3 mol


𝑚 = 𝑛 ∙ 𝑀 = 5. 10−3 × 342,15 = 1,71 g

Ainsi, à l’aide d’une balance, on prélève m = 1,71 g de solide qu’on insère dans une fiole jaugée de
50,0 mL. On complète ensuite au trait de jauge avec de l’eau distillée.

I B.2. Equation de dissolution du solide :


Al2(SO4)3 → 2Al3+ + 3SO42-

D’après les coefficients stœchiométriques, on note donc que C(Al3+) = 2C et C(SO42-) = 3C


Ainsi [Al3+] = 0,200 mol.L-1 et [SO42-] = 0,300 mol.L-1

I B.3. La tension mesurée au voltmètre est positive, le courant entre donc par la borne V et sort
par la borne COM. D’après le sens conventionnel du courant, la borne positive doit donc être la
plaque de cuivre et la borne négative la plaque d’aluminium.

I B.4. Schéma ci-contre

I B.5. Cu2+ + 2e- = Cu x3


3+ -
Al = Al + 3e x2
--------------------
3Cu2+ + 2Al → 3Cu + 2Al3+

[𝐴𝑙 3+ ]2 0,2²
I B.6. 𝑄𝑟,𝑖 = [𝐶𝑢2+]3 = 0,13 = 40 𝑄𝑟,𝑖 < 𝐾 Donc évolution en sens direct

II B.7.

3Cu2+ + 2Al → 3Cu + 2Al3+


x=0 5.10-3 0,71 0 0
x 5.10-3 - 3x 0,71 – 2x 3x 2x
xmax 5.10-3 - 3xmax 0,71 – 2xmax 3xmax 2xmax

Calcul des quantités de matières à l’état initial :


n(Cu2+) = CxV = 0,1x50.10-3 = 5.10-3 mol
n(Al) = m/M = 19,2/27 = 0,71 mol

Recherche du réactif limitant :


Cu2+ est RL ? Al est RL ?
5.10-4 - 3xmax = 0 0,71 – 2xmax = 0
xmax = 5.10-3/3 = 1,7.10-3 mol xmax = 0,71/2 = 0,36 mol

1,7.10-3 < 0,36 Donc Cu2+ est RL et xmax = 1,7.10-4 mol

I B.8. 𝑄 = 𝑧 ∙ 𝑥𝑚𝑎𝑥 ∙ 𝐹 Avec z, nombre d’électrons échangés, ici z = 6


𝑄 = 6 × 1,7. 10−3 × 𝑒 × 𝑁𝐴
984
𝑄 = 984 C Ou encore : 𝑄 = 3,6 = 273 mAh

Cette pile possède donc une capacité d’environ 1/10 d’une pile commerciale.

I B.9. La valeur de xmax joue un rôle important dans la capacité de cette pile. Pour augmenter cette
valeur, on pourrait augmenter la quantité de matière des ions Cu2+ en augmentant la concentration.
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Chap. 9-10-11 Phénomènes ondulatoires – Evolution syst. chimique Correction 3/3

/15 C. Détartrant à base d’acide lactique :


I C.1 L’acide lactique est capable, grâce à son groupe carboxyle, de libérer un ion H+ (proton). Il est
donc considéré comme un acide d’après la théorie de Brönsted.

I C.2 C3H6O3(aq) + H2O(l) = C3H5O3-(aq) + H3O+(aq)

I C.3 𝑛 = 𝐶 ∙ 𝑉= 1x10-1 x 600x10-3 = 6x10-2 mol

I C.4
C3H6O3(aq) + H2O(l) = C3H5O3-(aq) + H3O+(aq)
x=0 n Excès 0 0
x n-x Excès x x
x = xmax n-xmax Excès xmax xmax
xeq n-xeq Excès xeq xeq

I C.5 L’avancement maximal sera atteint lorsque l’acide lactique sera entièrement consommé.
Donc : n-xmax = 0 et xmax = n = 6.10-2 mol

I C.6 D’après le document 3, L’acide lactique est un acide faible. Sa réaction avec l’eau n’est donc
pas totale mais un équilibre. L’avancement maximal ne sera donc jamais atteint.

I C.7. On appelle : AH : l’acide lactique C3H6O3


A- : la base conjugée C3H5O-
[A− ]é𝑞 ∙[H3 O+ ]é𝑞 [A− ]é𝑞 ∙[H3 O+ ]é𝑞
𝐾𝑎 = [AH]é𝑞 ∙𝐶°
𝐾𝑎 = [AH]é𝑞
Avec C° = 1 mol.L-1

𝑥𝑒𝑞 𝑥𝑒𝑞
[A− ]é𝑞 ∙[H3 O+ ]é𝑞 ∙
II C.8. 𝐾𝑎 = [AH]é𝑞
D’après le tableau d’avancement : 𝐾𝑎 = 𝑉 𝑉
𝑛−𝑥𝑒𝑞
𝑉
𝑥𝑒𝑞 ² 𝑉 𝑥𝑒𝑞 ²
𝐾𝑎 = ∙ =
𝑉² 𝑛−𝑥𝑒𝑞 𝑉∙(𝑛−𝑥𝑒𝑞 )
𝐾𝑎 ∙ 𝑉 ∙ (𝑛 − 𝑥𝑒𝑞 ) = 𝑥𝑒𝑞 ²
𝐾𝑎 ∙ 𝑉 ∙ 𝑛 − 𝐾𝑎 ∙ 𝑉 ∙ 𝑥𝑒𝑞 = 𝑥𝑒𝑞 ²
𝑥𝑒𝑞 ² + 𝐾𝑎 ∙ 𝑉 ∙ 𝑥𝑒𝑞 − 𝐾𝑎 ∙ 𝑉 ∙ 𝑛 = 0

II C.9. Avec : 𝐾𝑎 = 10−3,9 V = 0,6 L n = 6,0.10-2 mol :


−5 −6
𝑥𝑒𝑞 ² + 7,6. 10 × 𝑥𝑒𝑞 − 4,5. 10 = 0
Δ =(7,6. 10−5 )² − 4 × 1 × (−4,5. 10−6 ) = 1,8. 10−5
−7,6.10−5 +√1,8.10−5 −7,6.10−5 −√1,8.10−5
𝑥𝑒𝑞1 = 2
𝑥𝑒𝑞2 = 2
𝑥𝑒𝑞1 = 2,1. 10−3 mol 𝑥𝑒𝑞2 = −2,2. 10−3 mol

𝑥𝑒𝑞 2,1.10−3
I C.10. 𝑝𝐻 = − log[𝐻3 𝑂+ ] = − log ( 𝑉
) = − log 0,6
= 2,5

I C.11. Diagramme de prédominance :


C3H6O3 majoritaire pKa = 3,9 C3H5O3- majoritaire
pH
2,5
A pH = 2,5, la forme C3H6O3 est majoritaire.

I C.12. Si l’acide lactique était un acide fort :


𝑝𝐻 = − log 𝐶 = − log 1. 10−1 = 1
Le pH réel est bien supérieur, cela confirme que l’acide lactique est un acide faible.

𝑥𝑒𝑞 2,1.10−3
I C.13. 𝜏𝑓 = 𝑥 = 6.10−2
= 0,035 𝜏𝑓 < 1, la réaction n’est pas totale, l’acide est bien faible.
𝑚𝑎𝑥

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