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JURISPRUDENCE NATIONALE
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3) Procédure - Article 146 du Code de Procédure Civile - Extrême urgence à faire cesser le Préjudice (oui) - Ordonne l’exécution provisoire
(oui).
Resumé :
1) Il y a lieu de prononcer la résiliation au bail liant les parties et d’ordonner en conséquence l’expulsion des défendeurs des lieux qu’ils
occupent, dès lors qu’ils ne respectent pas leur obligation locative principale comme le dispose l’article 1728 du Code Civil.
2) Il résulte des pièces du dossier que les défendeurs restent devoir au demandeur des sommes d’argent au titre des loyers échus et
impayés, il convient dès lors de les condamner au paiement des sommes dues en application de l’article 1728 du Code Civil.
3) Dès lors qu’il y a extrême urgence à faire cesser le Préjudice subi par le demandeur du fait au non-paiement du loyer par les
défendeurs, il échet par conséquent, conformément au dernier alinéa de l’article 146 du Code de Procédure Civile, d’ordonner l’exécution
provisoire du présent jugement.
3) Procédure - Article 146 du code de procédure civile Commerciale et Administrative - Extrême urgence à faire cesser le Préjudice -
Ordonne l’exécution provisoire de la décision (oui).
Resumé :
1) La demande en validation de congé étant fondée au regard de l’article 3 de la loi n°77 DU 18 Décembre 1977, il y a lieu de valider de congé
servi au défendeur.
2) Le défendeur n’ayant pas sérieusement contesté les motifs du congé qui lui a été servi, il convient, la demande étant fondée,
d’ordonner son expulsion.
3) Il convient d’ordonner l’exécution provisoire de la présente conformément à l’article 146 du code de Procédure Civile, Commerciale et
Administrative dès lors qu’il y a extrême urgence à faire cesser le Préjudice du demandeur.
Resumé :
1) Dès lors que le défendeur a entrepris les travaux de construction conscient des risques en courus par l’immeuble voisin, prenant certaines
précautions qui se sont avérées insuffisantes au vu des procès-verbaux de contrat produits par les deux parties, il sied de le condamner à
réparer les dégâts survenus de son fait par le paiement d’une somme d’argent.
2) Dès lors que les travaux initiés par le défendeur ont occasionnés des dégâts chez la demanderesse, c’est à bon droit qu’elle a initié la
présente procédure. Ainsi, l’exercice d’un tel droit ne serait être qualifié d’abusif, ni de vexatoire, il convient par conséquent de rejeter la
demande du défendeur comme étant mal fondée.
Resumé :
1) Dès lors que la demanderesse désire reprendre son local pour y effectuer des travaux de réhabilitation et y loger ses parents, et qu’il s’agit
en l’espèce d’un motif légitime conformément à l’article 3 de la loi n° 77-995 du 18 décembre 1977, justifiant la validation du congé servi au
défendeur, il y a lieu par conséquent, d’ordonner l’expulsion de ce dernier des lieux qu’il occupe tant de sa personne, de ses biens que de tous
occupants de son chef.
2) Il échet d’ordonner l’expulsion provisoire du présent jugement conformément au dernier alinéa de l’article 146 du Code de Procédure
Civile, dès lors qu’il résulte des pièces du dossier que le défendeur occupe le local de la demanderesse nonobstant l’expiration du congé à lui
servi.
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