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Mémoire de
PROBLEMATIQUE DE LA
CONSERVATION DE
L’ENVIRONNEMENT
EN COTE D’IVOIRE
Présenté par :
COULIBALY MOHAMED
Etudiant en MASTER II – Développement Durable
sous
la direction de la co-direction de
Professeur DAGO Lezou Gérard Docteur EGNANKOU Wadja Mathieu
Année académique 2013-2014 Coulibaly
SOMMAIRE
SOMMAIRE - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -- - - - - - iv
DEDICACE - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -- - - - - vi
REMERCIEMENTS - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -- - - - -vii
SIGLES ET ABREVIATIONS - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - viii
INTRODUCTION - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -10
I. CADRE THEORIQUE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 12
1. PRESENTATION DU SUJET- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 12
2. JUSTIFICATION DU CHOIX DU SUJET- - - - - - - - - - - - - - - - - - 14
3. APPROCHE DEFINITIONNELLE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 16
4. PROBLEMATIQUE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 22
5. QUESTION DE RECHERCHE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 26
6. OBJECTIFS DE RECHERCHE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -27
7. HYPOTHESES DE RECHERCHE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 27
8. REVUE DE LITTERATURE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -29
CONCLUSION PARTIELLE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 48
CONCLUSION- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 81
ANNEXES- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 83
BIBLIOGRAPHIE - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 123
TABLE DES MATIERE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 134
DEDICACE
REMERCIEMENTS
INTRODUCTION
1
Rapport Commission Mondiale sur l’Environnement et le Développement : Notre Avenir à tous, 1987
2
Déclaration de Rio sur l’Environnement et le Développement Principe de gestion des forêts, Brésil, 1992
carrefour de plusieurs sciences, cette discipline exige une formation de qualité afin
de répondre à des exigences tout aussi urgentes qu’impérieuses.
Exigences au nombre desquelles se trouve l’accomplissement d’un mémoire
de recherche en vue de la validation du diplôme de tout aspirant au Master II en
Action Humanitaire et Développement Durable.
Ainsi, pour compléter la formation théorique d’une année reçue dans le
cadre de la préparation du Diplôme de Master II Option DEVELOPPEMENT
DURABLE, nous avons réalisé ce mémoire.
Le présent mémoire, à vocation de recherche, a pour sujet : Problématique
de la conservation de l’environnement en Côte d’Ivoire.
I. CADRE THEORIQUE
1. PRESENTATION DU SUJET
3
http://23dd.fr/le-developpement-durable/iucn-1980-un-texte-fondateur, 3 Janvier 2014
doivent faire face à des défis agricoles et énergétiques croissants. Cette masse
populaire représentante autant de monde à pourvoir en nourrir, en logement et à
fournir en électricité, dans un contexte international de rationalisation de la
consommation énergétique. Ce phénomène rime avec l’émergence de grandes
métropoles surpeuplées avec des embouteillages à n’en point finir. Les espaces
forestiers et cultivables connaissent des réductions rapides et inquiétantes.
Ces défis sont peut-être énormes à certains égards, mais la question est vitale.
La montée du niveau des eaux due au réchauffement climatique pourrait engloutir
des régions côtières ou des iles entières aujourd’hui peuplées. La côte d’ivoire, pays
d’Afrique occidentale possédant une façade maritime connait ce phénomène.
Ce pays en voie de développement s’est résolument inscrit dans une vision
d’émergence dans une période relativement courte. De nombreux projets
d’infrastructure et de redynamisation du secteur industriel sont prévus à court terme.
Le pays s’est doté d’un ministère de l’environnement et du développement durable
qui tant bien que mal fait des efforts pour la protection de l’environnement et la
préservation d’un cadre de vie sain. Néanmoins, il nous a paru nécessaire de
débattre dans un cadre apolitique, des défis à surmonter pour allier une émergence
économique et le respect des enjeux écologiques.
Enfin, nous allons parvenir à donner notre avis sur la conservation de
l’environnement dans notre pays, en tenant compte de l’état actuel des choses.
Cette préoccupation fait l’objet de notre problématique. Il s’agira pour nous,
de mettre l’accent sur les défis, les difficultés relatives à la conservation de
l’environnement en Côte d’Ivoire à travers le cas de la ville d’Abidjan et de
quelques aires protégées.
Nous chercherons à comprendre les tares ou les difficultés qui entravent
l’aboutissement de cette myriade de projets de préservation de l’environnement.
Nous terminerons notre étude par l’énoncé de recommandations et de
propositions, vers lesquelles nous aurons fait aboutir notre travail.
Les raisons qui nous ont conduits à ce sujet sont pour l’essentiel en relation
avec notre vécu personnel.
Une visite inopinée dans le jardin botanique et floristique de l’Université
d’Abidjan-Cocody, nous a édifiés. Cette excursion nous a rappelé notre plus jeune
âge. Une enfance passée dans une commune de moindre importance, dans la savane
arborée, où les bâtisses jouxtent la nature et s’en imprègnent.
Aucun souvenir ne nous y rappelle l’existence de dépotoirs gigantesques à
ciel ouvert ou de propagation d’odeurs toxiques et nauséabondes. Nous avons par la
suite poursuivi des études en économie dans la capitale économique. Toutes choses
qui nous permis de côtoyer les embouteillages, mais également les bidonvilles avec
leurs parterres de calamités. Après les cours, ce qui nous était enseigné à
l’université laissait place à un triste décor.
Il nous ait donc venu à l’idée, de penser notre propre développement en
mettant en valeur une richesse insoupçonnée et laissée à la ruine : notre
environnement naturel.
En outre, nous avons un intérêt particulier pour la connaissance de la faune et
de la flore. Hormis la curiosité tentante de la pharmacopée africaine, la familiarité
avec les animaux sauvages nous importe beaucoup. Il est alors délicat pour nous de
participer d’une façon ou d’une autre à la préservation de ces espèces.
Par ailleurs, notre penchant pour les causes écologiques s’est raffermi quand
nous avons eu conscience que la succession des saisons de pluies telles qu’il nous a
été enseigné à l’école connait des bouleversements inquiétants. Les tsunamis vécus
sous d’autres cieux sont autant de raisons nécessaires à notre sensibilisation à la
compréhension de notre environnement.
Notre sujet pourrait intéresser à plus d’un titre les décideurs publics et les
institutions gouvernementales ou non gouvernementales. Une meilleure
compréhension des intérêts des populations concernées permettrait, à la fois la
satisfaction de leurs besoins et l’aboutissement des projets de conservation de
3. APPROCHE DEFINITIONNELLE
3.1 Définition
3.1.1 Problématique
Le terme problématique est polysémique.
3.1.2 Conservation
Le dictionnaire Larousse définit la conservation d’une part, comme l’action
de conserver quelque chose intact, de le maintenir dans le même état. D’autre part,
elle serait aussi la manière dont quelque chose est conservé.
Pour être plus précis, nous dirons que la conservation est, avec une idée
d'intentionnalité, l’action de maintenir quelque chose hors de toute altération, dans
le même état ou en bon état. Ainsi pourrait-on parler de conservation des aliments
ou de conservation des archives.
«... tout un art empirique de la conservation des aliments s'est développé, parallèlement à
l'art culinaire dont il était corollaire, et de nombreuses pratiques, dont on retrouve les
traces dans les civilisations les plus anciennes, subsistent encore de nos jours comme
procédés techniques : dessiccation, fumage, salage, froid dans les régions polaires, alcool,
vinaigre »4
« L'archivistique des manuscrits, c'est donc la discipline qui a pour objet la reconstitution
idéale ou matérielle des fonds de manuscrits dispersés, ou la conservation des fonds ayant
échappé au démembrement.»5
4
G. Brunerie, Les Industries alimentaires., 1949, p. 85.
5
L'Histoire et ses méthodes, 1961, p. 1091.
3.1.3 Environnement
Le dictionnaire Larousse définit graduellement l’environnement :
L’environnement serait avant tout « ce qui entoure de tous côtés, le voisinage ». En
outre, il serait « l’ensemble des éléments (biotiques ou abiotiques) qui entourent un
individu ou une espèce et dont certains contribuent directement à subvenir à ses
besoins ». Par ailleurs, ce dictionnaire définit également l’environnement comme
« l’ensemble des éléments objectifs (qualité de l'air, bruit, etc.) et subjectifs (beauté
d'un paysage, qualité d'un site, etc.) constituant le cadre de vie d'un individu ».
3.2.3 La cible
Après avoir défini le cadre temporel dans lequel cette étude s’inscrit, nous
tenterons ici, de décrire les caractéristiques des populations à étudier.
4. PROBLEMATIQUE
Entre 1850 et 1940, l'Europe puis d'autres pays comme les Etats-Unis et le
Japon connaissent une formidable croissance économique grâce à l'industrialisation
de leur économie. L’homme moderne a par la suite marqué son époque d’une
empreinte singulière. Cet épisode commence avec l’ère de l’industrialisation à
outrance. L’idéologie du monde, la mieux partagée était la croissance à tout prix.
De 1945 à 1975, tous les pays industrialisés, notamment capitalistes, ont connu une
croissance économique spectaculaire. L’on assiste à une véritable « explosion » de
la production mondiale. En trente ans, le produit national brut mondial triple alors
qu’il n’avait que doubler en moyenne au cours des cinquante années précédentes7.
L’idéal était la modification à la hausse du niveau des conditions matérielles de la
vie quotidienne pour les plus grandes masses de la population.
Cet idéal n’a pour autant pas fait que de biens matériels. À la fin des années
1980, la question du réchauffement climatique émerge et interpelle les sensibilités.
Des constats tels que les forêts dévastées, les pluies acides, les entailles dans la
couche d’ozone et les marées noires, agitent l’opinion publique. Ce faisant, le culte
du progrès mesuré exclusivement sur les biens matériels, s’amenuise. Le
scepticisme nait de part et d’autre, dans les consciences.
Et si nous allons trop loin ? Si nous dévastons tout, ne serait-ce pas décréter notre
propre fin ?
7
GROUPE DE RECHERCHE POUR L’ENSEIGNEMENT DE L’HISTOIRE ET DE LA GEOGRAPHIE,
HISTOIRE : le monde de 1939 à nos jours, Hachette, collection Grehg, P. 151
la réserve de Wind River. Les Bushmen en Afrique du Sud, les Massaïs au Kenya,
les Papous en Indonésie, ont été chassés de leurs terres au nom de la conservation
de la nature. Ces populations que nous considérons comme des réfugiés écologiques
se comptent par millions.
Le parc national Kruguer en Afrique du Sud, a été créé en 1926 sur des terres
tribales vidées de leurs occupants. Il enregistrait près de 26 000 visiteurs dans les
années 1930 et plus d’un million de nos jours. Aux abords de ce parc, les
populations noires attendent toujours les avantages économiques des 29 millions de
dollars générés chaque année par le seul parc bénéficiaire d’Afrique.
Développement Humain (IDH) de 0.432 pour un revenu par tête de 1090 dollars
US. Selon la Banque Mondiale, en 2012, la croissance de son PIB a atteint 9,8%,
contre une croissance négative de -4.7% en 2011.
8
Fraternité Matin dans sa parution du lundi 5 Novembre 2013/ n°14679
9
Annexe 1
5. QUESTION DE RECHERCHE
- Quelles sont les populations directement touchées par les récentes mesures pour
la conservation de l’environnement ?
- Quels ont été les obstacles constatés dans la mise en application de ces mesures,
tant au niveau des autorités administratives que des populations concernées ?
- Quels sont les conséquences de ces mesures sur les revenus de ces populations ?
10
Annexe 2
6. OBJECTIFS DE RECHERCHE
Il s’agit pour nous dans un premier temps, d’identifier clairement toutes les
populations concernées par les mesures récentes.
Dans un second temps, il nous faut répertorier les difficultés qui émaillent
ou retardent l’exécution de ces mesures.
Par ailleurs, il nous faut effectuer une analyse profonde de l’impact de ces
décisions administratives sur le revenu des populations directement concernées.
7. HYPOTHESES DE RECHERCHE
8. REVUE DE LITTERATURE
Norman Myers (1988) s’est fait l’idée de la forte probabilité d’une extinction
du monde vivant causée par l’Homme. C’est alors qu’il suggéra une stratégie de
résilience fondée sur le concept des « hot spots » ou les « points chauds de
Blaikie (2006) quant à lui propose un état des lieux critique des approches
de gestion des ressources naturelles à base communautaire. L’auteur s’oppose dans
son article aux théories affirmant l’efficacité sans faille de ces stratégies de gestion,
et démontre, grâce à des études de cas menées au Malawi et au Botswana, que la
gestion communautaire peut parfois être préjudiciable à la préservation des
ressources. Son article relativise ainsi fortement la pertinence des approches
conservationnistes communautaires. L’auteur suggèrent de confronter les potentiels
bénéfices de ces programmes à des évaluations robustes et pertinentes afin
d’identifier les caractéristiques et les conditions de mise en œuvre améliorant leur
efficacité. Il propose également que soit identifié un cadrage institutionnel clair qui
mette en cohérence les attentes des différentes entités impliquées dans les projets :
l’état, les collectivités décentralisées, les communautés, les ONG et les bailleurs de
fonds.
C’est alors que Hoole (2010) se propose d’évaluer deux projets de gestion à
base communautaire des ressources naturelles en Namibie. Cette évaluation met en
exergue l’importance des partenariats entre les entreprises d’écotourisme et les
communautés locales pour la réussite des projets de protection de la diversité
biologique. Les activités relatives à ces partenariats sont sources d’emplois et de
revenus, et contribuent à accroitre l’adhésion des populations aux différents projets
de conservation. Bien que ce type d’accord entre les entreprises privées
d’écotourisme et les communautés locales semble favorable aux objectifs conjoints
de développement local et de protection de la biodiversité, certains points d’action
restent à améliorer. Ces améliorations consisteraient notamment à réduire les
distorsions dans la répartition des bénéfices qui sont souvent défavorables aux plus
pauvres, à définir et à instaurer un cadre institutionnel clair et favorable à une
gouvernance plus participative.
Georges Yao Koffi (2014) préconise la mise en place d’« un plan Marshall
pour la forêt ivoirienne » pour retourner la tendance dévastatrice de la forêt
ivoirienne. L’auteur révèle que de 16,5 millions d’hectares de forêt en 1960, la Côte
d’Ivoire n’en dispose plus aujourd’hui que quelques deux millions. Son plan
susmentionné se présenterait, selon lui, sous la forme d’un « Programme
Problématique de la conservation de l’environnement en Côte d’Ivoire 35
Année académique 2013-2014 Coulibaly
Muller J. et Albers H.J. (2004) estiment que les caractéristiques des marchés
(du travail ou des ressources) sont importantes pour l’identification de projets de
développement autour des aires protégées. Leur article propose un modèle qui
identifie les politiques incitatives adéquates à mettre en œuvre dans le périmètre
Problématique de la conservation de l’environnement en Côte d’Ivoire 36
Année académique 2013-2014 Coulibaly
(azote et phosphore notamment), qui accroit les risques pesant sur l’environnement
et sur la santé des populations. Mais cette concentration en nutriments n’a pas que
des effets négatifs. En effet, ces flux d’eaux permettent par ailleurs
d’augmenter la productivité des terres et donc les revenus des paysans qui les
utilisent pour irriguer leurs champs.
11
Satterthwaite D. The Annals of the American Academy of Political and Social,
Science, 2003
12
Satterthwaite, D. Environment and Urbanization, 2003
Problématique de la conservation de l’environnement en Côte d’Ivoire 39
Année académique 2013-2014 Coulibaly
En marge des défis technologiques, certains auteurs militent pour que les
techniques traditionnelles de résilience des populations locales servent de socle aux
politiques d’adaptation au changement climatique.
CONCLUSION PARTIELLE
1. CADRE DE REFERENCE
13
Paul, N’DA. – Métrologie de recherche de la problématique à la discussion des résultats.- 3eme édition revue
et complétée.-Abidjan : EDUCI, p. 53
Bien souvent, ces effets émergents sont des effets pervers, ce qui signifie
qu’ils ne correspondent pas aux intentions originelles des individus. L’exemple le
plus classique donné par Boudon concerne la dévalorisation des diplômes : alors
qu’il est rationnel pour chaque étudiant de chercher à obtenir un des diplômes les
plus élevé afin d’accéder à un emploi qualifié et bien rémunéré, l’adoption de cette
stratégie par des milliers d’étudiants aboutit, quand l’offre d’emploi n’augmente pas
suffisamment, à une dévalorisation des diplômes.
2. LA METHODE D’APPROCHE
Pour mener à bien notre étude, nous aurons recours à trois instruments de
recherche (ou techniques de collecte des données) :
-l’observation directe (sur le terrain)
-la documentation orale (les entretiens)
-la documentation écrite.
2.1.2 L’entretien
14
Idem. – p.76
ferons bien attendu, attention à ne pas surreprésenter les individus passant plus de
temps sur place, pendant les périodes d’entretien. Ce choix se justifie par
l’instabilité et l’effectif pléthorique et innombrable qui caractérisent les personnes
directement concernées par des décisions relatives à la conservation de
l’environnement en Côte d’Ivoire. Nous espérons qu’en procédant ainsi, les
premiers entretiens nous aiderons à choisir les futurs interviewés dans le but de
raffiner notre enquête tout en corrigeant notre échantillonnage.
L’intérêt d’un guide d’entretien est de donner une certaine validité aux
réponses et de standardiser l’outil pour avoir une plus grande fiabilité de l’entretien.
Pour obtenir les thèmes du guide d’entretien, nous nous baserons sur notre
perception de la problématique de la conservation de l’environnement. Nous
utiliserions probablement la méthode d’analyse de contenu thématique de Bardin
(1993) qui a pour but la description objective, systématique, et quantitative du
contenu manifeste des communications en vue de les interpréter.
Cette phase du travail sera donc réalisée, au moyen d’un guide d’entretien et
prendra beaucoup de temps car il faudrait expliquer et procéder quelque fois par des
comparaisons et du tact pour se faire comprendre et espérer avoir des réponses
adéquates.
15
Annexe 3
16
N’DA, Paul.-Op.cit.-159p.
17
BEAUD, Michel : L’art de la thèse : comment préparer et rédiger une thèse de doctorat, un mémoire de
DEA ou de maitrise ou tout autre travail universitaire.-paris : La Découverte, 2003.-196p
18
YAO, Joseph : Methode d’étude et de recherche en sciences sociales, L’harmathan, Paris, 2005
19
BEAUD, Michel.-Op. Cit.-p.50.
Il s’agit d’une opération mentale qui consiste à passer des faits à la règle,
c'est-à-dire des cas singuliers ou spéciaux aux propositions plus générales. On
procède par inférence et par analogie, c'est-à-dire par comparaison et extension aux
phénomènes semblables à celui étudié.
La méthode inductive permet le passage du cas particulier au cas général.
Elle autorise certes la généralisation, tout en sachant cependant que toute
généralisation peut être faussée ou abusive.
Dans le cadre de la compréhension des motivations justifiant les diverses
positions des populations enquêtées, nous aurons à utiliser cette méthode pour tenter
d’expliciter les intentions sensées être généralisables dans les populations cibles.
20
GUIDERE, Mathieu.-Méthodologie de la recherche, guide du jeune chercheur en lettre, langue, sciences
humaines et sociales.- Paris : Ellipses, 2004.-123p
Cette méthode a été utilisée pour l’élaboration d’un plan de notre étude ainsi que la
rédaction ce travail.
Après avoir recueilli, traité et saisi à l’ordinateur des informations, nous les
transférons sur des supports numériques (disque compact, disque dur externe, clé
USB…).
21
GUIDERE, Mathieu.-Op.cit.-123p
Nous sommes conscients que la recherche est une activité qui ne peut se
mener sans difficultés. Les obstacles par nous rencontrés sont diverses mais, nous
n’en mentionnerons que deux :
En outre, nous avons été handicapés par la relative faiblesse de nos moyens
financiers. Le coût élevé du transport en particulier et de l’accès à la communication
en générale, sont de nature à limiter nos pérégrinations pour la quête d’informations
indispensables. Nous notons également que les sites internet des ministères
concernés n’étaient pas accessibles pendant le mois de Septembre 2014. Toutes
choses qui nous ont contraints de reporter la synthèse que ne prévoyions faire de
leurs missions et attributs.
CONCLUSION PARTIELLE
INTRODUCTION
CONCLUSION
Notre plan de thèse part d’une introduction pour présenter les objectifs, la
démarche et l’architecture de la thèse.
1) LA FORËT
Par ailleurs, rappelons qu’à cette date 231 espaces protégés sont
frauduleusement occupés. Les crises ivoiriennes de 2002 et surtout celle de 2010
ont favorisé l’occupation illicite des espaces forestiers protégés en Côte d’Ivoire. La
majorité de ces forêts sont infiltrées par des exploitants clandestins et illégaux,
parfois armés ou protégés par des miliciens armés que l’Etat s’est engagé à faire
sortir, pour des raisons bien entendues environnementales.
Deux aires protégées ont été ciblées entre les mois de mai et juin 2013 : le
parc national du Mont Péko et la forêt classée de Niégré. Les opérations de
déguerpissement ont provoqué le déplacement de plusieurs milliers de personnes
vivant dans ces espaces. Cette population s’est en majorité dirigée vers les villages
avoisinants.
Des neuf milles (9 000) personnes déguerpies du Mont Péko, la plupart ont
été enregistrées avant de retourner dans leur campement en forêt pour assurer leur
subsistance. Un nombre indéterminé de déguerpis de Niégré sont à nouveau repartis
s’installer dans d’autres espaces forestiers, notamment dans la forêt classée de Goin
Débé (sur l’axe Guiglo-Blolequin). Celle-ci est située dans le département de
Blolequin, avec une superficie de 133 000 ha, dont 100 000 ha seraient exploités par
les agriculteurs clandestins.
Le taux de déforestation et de dégradation des forêts ivoiriennes est
effroyable. La FAO estime que le taux de déboisement de la forêt ivoirienne se situe
entre 150 000 et 200 000 hectares par an. Excepté une dégradation généralisée de
ses ressources naturelles due à l'expansion de l'agriculture et à la forte croissance
démographique, le contexte d’instabilité politique de la Côte d’Ivoire a contribué à
la destruction du couvert forestier.
Issu de la Convention-cadre de Cadre des Nations Unies sur les
Changements Climatiques, le REDD est une mécanisme internationale lancée en
2008. Elle vise à lutter contre le réchauffement climatique provoqué par les
émissions de gaz à effet de serre induites par la dégradation, destruction et
fragmentation des forêts.
A ce titre, la Côte d'Ivoire s’est engagée récemment dans la facilité de
Réduction des Emissions Provenant de la Déforestation et de la Dégradation des
forêts REDD+, afin de renforcer la lutte contre la déforestation pour un
développement durable. L’initiative REDD+ vise en plus des objectifs de REDD, à
aider à la conservation des stocks existants de carbone forestier, à la gestion
forestière durable et à l’accroissement des stocks de carbone forestier dans les pays
2) L’AIR
Suite aux rapports inquiétants établis par des experts internationaux du GIEC
(Groupe d’experts intergouvernemental sur l’Evolution du Climat), la communauté
internationale a pris conscience dès les années 1980, de la menace du réchauffement
climatique qui pèse sur la planète terre. Toute chose qui a permis d’adopter le 09
Mai 1992 à New York, la convention Cadre des Nations Unis sur les Changements
climatiques. La communauté scientifique témoigne du fait que l’activité humaine a
augmenté sensiblement les concentrations de gaz à effet de serre (GES) dans
l’atmosphère. Cette augmentation renforcerait l’effet de serre naturel et qu’il en
résulterait en moyenne un réchauffement supplémentaire de la surface terrestre et de
l’atmosphère. Les écosystèmes naturels et l’humanité risquent d’en souffrir.
Par ailleurs, l’histoire révèle que les pays développés sont de loin, à l’origine
de la majeure partie des émissions de GES émis dans le monde. A l’inverse, les
émissions par habitant dans les pays en développement sont encore relativement
faibles. Sauf que la part des émissions totales imputable aux pays en développement
pourrait aller en augmentant, pour leur permettre de satisfaire leurs besoins sociaux
et leurs besoins de développement.
Le décret n° 94-616 du 14 novembre 1994 portant ratification de la
Convention Cadre sur le changement climatique par la Côte d'Ivoire, réaffirme
l'engagement du pays sur la question. Conclue en 1992, lors du Sommet de la Terre
à Rio, cette convention a engagé la communauté internationale dans la lutte contre
l'augmentation de l'effet de serre liée aux activités humaines. La Convention fixe,
pour objectif ultime, de stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre à un
niveau qui empêche toute perturbation anthropique dangereuse du système
climatique.
En complément de la Convention Cadre sur les Changements Climatiques, le
protocole de Kyoto définit des obligations pour l’après 2000 et prévoit des objectifs
de réduction ou de limitation des émissions de gaz à effet de serre (GES) entre 1990
et la période 2008-2012. Il est convenu dans ce protocole que les pays industrialisés
réduisent leurs émissions globales de six (6) gaz à effet de serre en moyenne de
5,2% entre la période de 2008 à 2012 par rapport à 1990. Ces 5,2% ne sont pas
uniformément répartis entre tous les pays.
Ces GAS sont produits par les activités humaines telles que la déforestation
et la combustion de combustibles fossiles. L’augmentation des concentrations des
GAS est en partie responsable du réchauffement climatique qui est la hausse
moyenne des températures de l’atmosphère terrestre et des océans. Le protocole de
Kyoto et ses modalités de mise en œuvre, qui ont fait l’objet d’un accord à Bonn et
à Marrakech, définissent un certain nombre d’instruments, dits de flexibilité, qui
doivent permettre de créer un vaste marché de réduction et/ou d’élimination des
émissions des GES aussi bien au Nord qu’au Sud :
- échanges internationaux de permis d’émission,
- mécanismes de coopération avec les Pays en Développement (PED) et les
pays à économie en transition (PET),
- système juridictionnel de contrôle du respect des obligations et de sanctions
22
Annexe 4
3) LE VIVANT
La Côte d’Ivoire a ratifié la Convention sur la Diversité Biologique (CDB) le
29 novembre 1994. Présenté à la conférence de Rio, le CDB est le premier accord
mondial sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique. Cette
convention se fixe trois objectifs principaux :
- la conservation de la diversité biologique,
- l'utilisation durable de ses éléments constitutifs,
- le partage juste et équitable des avantages qui découlent de l'utilisation des
ressources génétiques, à des fins commerciales et autres.
Ce texte a le mérite de reconnaitre que la conservation de la diversité biologique
comme une partie intégrante du processus de développement. Elle couvre tous les
écosystèmes, toutes les espèces, et toutes les ressources génétiques. Elle s'étend
également au domaine de la biotechnologie. Le dernier objectif de la CDB a, en
effet, fait l'objet d’un protocole. Il a été adopté lors de la dixième réunion de la
Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique des Nations
unies, le 29 octobre 2010 à Nagoya, au Japon. Ce protocole de Nagoya a été signé le
25 Janvier 2012 par la Côte d’Ivoire, qui l’a par la suite ratifié le 24 Septembre
2013.
Complément majeur à la Convention sur la diversité biologique, le protocole
de Carthagène sur la prévention des risques biotechnologiques n’a pas encore été
23
http://bch.cbd.int , 24 Septembre 2014
A ce jour, onze Accords ont été conclus sous les auspices de la Convention
de Bonn. L'Accord sur la conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-
Eurasie (AEWA) est un accord conclu sous les auspices de la CMS avec une aire de
répartition de plus de 119 pays. L'accord couvre 235 espèces et plus de 500
populations d’oiseaux dépendant écologiquement des zones humides au moins pour
une partie de leur cycle annuel. La Côte d’Ivoire est partie prenante de l’AEWA
depuis 2013.
4) LE MILIEU MARIN
24
15 Septembre 2014 ; 17H52
25
Annexe 5
La convention de Bâle impose aussi que le pays destinataire ait donné son
accord et que le transport des déchets soit renseigné et sans effet nuisible pour la
santé humaine et l’environnement.
26
Annexe 6
1) DECISION INEDITE
27
Annexe 2
2) DIFFICULTES D’APPLICATION
28
Annexe 7
29
Annexe 8
30
Annexe 9
31
http://www.fnisci.net, le 11 Octobre 2014
32
http://www.environnement.gouv.ci/ le 11 Octobre 2014
CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION
Aux termes de cette étude préliminaire qui nous a permis d’entrevoir les
spécificités ivoiriennes en matière de conservation de l’environnement, nous notons
une réelle prise de conscience des autorités locales. Nous avons essayé de mettre en
exergue les difficultés qu’il puisse y avoir à poursuivre l’intérêt légitime de la
conservation de l’environnement s’il ne bénéficie pas de l’adhésion et de la prise en
compte des intérêts socioéconomiques des populations riveraines.
Il s’avère donc louable, d’identifier et de mettre en œuvre des politiques
susceptibles de concilier l’enjeu environnemental de la conservation et l’épineux
problème largement partagé dans les pays en voie de développement qu’est la
pauvreté. L’importance de la question de la conservation ne pouvant se substituer à
l’objectif séculaire de développement socioéconomique, des approches plus
participatives et sensibles aux besoins et préoccupations actuels des populations
concernées s’imposent.
Il n’y a certainement pas de solution mathématique tant ce sujet planche
concomitamment sur plusieurs intérêts relativement opposés. D’une part, les
réponses envisageables pourraient être fonction dans chaque pays, de l’acuité des
phénomènes dues à la dégradation de l’environnement. D’autre part, elles
pourraient s’appuyer sur les potentialités disponibles dans un pays. Les solutions
basées sur les atouts sont plus confortables et semblent être adéquates pour le cas
ivoirien.
Cette étude n’entend pas couvrir toutes les imperfections inhérentes à la
gestion de la conservation de l’environnement en Côte d’Ivoire. Notre vision se veut
être une approche pragmatique et progressive. Nous nous sommes permis de limiter
essentiellement cette étude sur les cas de la gestion des sachets plastiques et des
déguerpissements de populations tant en zone forestière qu’à Abidjan. Ces
ANNEXES
………
ANNEXE
4
ANNEXE
5
ANNEXE
6
23/9/2014 État de Ratification
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Ratification de Pays
Convention de Vienne 197 RATIFICATION UNIVERSELLE
État de Ratification
La table ci-dessous présente l'état de ratification, d'adhésion et d'approbation des accords relatifs à la protection de la couche d'ozone stratosphérique tel que
communiqué par le Dépositaire, Bureau des affaires juridiques des Nations Unies à New York.
Sélectionnez cette option pour afficher les Parties qui n'ont pas ratifié l'Amendement sélectionné
PAY S Signature Signature Convention de Protoc ole de Amendement de Amendement de Amendement de Amendement de
Convention de Protoc ole de V ienne Montréal Londres Copenhague Montréal Beijing
V ienne Montréal
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http://ozone.unep.org/new_site/fr/treaty_ratification_status.php?treaty_id=&country_id=42&srchcrit=1&input=Visualisez 1/1
Cour suprême de Côte-d’Ivoire
Supreme Court of Ivory Coast
AIHJA
QUESTIONNAIRE
‐ Les sources constitutionnelles: il s’agit des articles 19, 28, 71 et 123 de la Constitution :
de la vie ;
* l’article 71‐2 dispose que « la loi détermine les principes fondamentaux » en matière de
protection de l’environnement ;
* loi n°65‐425 du 20 décembre 1965 portant Code Forestier, modifiée par la loi n°66‐37 du 7
mars 1966 portant loi de finances pour la gestion 1966, annexe fiscale article 14 ;
1
Cour suprême de Côte-d’Ivoire
Supreme Court of Ivory Coast
* décret n°74‐526 du 9 octobre 1974 portant répartition des taxes sur les établissements
dangereux, insalubres ou incommodes ;
* décret n°96‐894 du 8 novembre 1996 déterminant les règles et procédures applicables aux
études relatives à l’impact environnemental des projets de développement ;
* décret n°98‐42 du 28 janvier 1998 portant organisation du plan d’urgence de lutte contre
les pollutions accidentelles en mer, en lagune et dans les zones côtières ;
* décret n°98‐43 du 28 janvier 1998 relatif aux installations classées pour la protection de
l’environnement ;
* arrêté n°556 MECV du 27 février 2002 portant création d’une unité de police pour la
constatation et la répression des infractions à la législation relative à la protection de
l’environnement marin, lagunaire et du littoral ;
Quelles sont les autorités compétentes pour les édicter (gouvernement, Parlement, Etats
fédérés, agences, collectivités territoriales,…) ?
En vertu des articles 71 et 72 de la Constitution, les autorités compétentes pour édicter les normes
en matière de protection de l’environnement sont le Parlement et le Gouvernement ; mais à celles‐
ci, il faut adjoindre les autorités administratives, à savoir les autorités déconcentrées (Préfets, Sous‐
Préfets) et les autorités décentralisées (Maires, Conseils régionaux).
2
Cour suprême de Côte-d’Ivoire
Supreme Court of Ivory Coast
2) Quelles sont les sources supranationales (droit international public général, convention
régionales,…) dont le juge fait application en matière de droit de l’environnement ?
Les sources supranationales de protection de l’environnement dont le juge peut faire application
sont nombreuses et diversifiées. On citera à titre exemple :
3‐ Convention sur le criquet migrateur africain, adoptée à Kano le 25 Mai 1962. Adhésion le 13 Avril
1963 ;
4‐ Traité interdisant les essais d’armes nucléaires dans l’atmosphère, dans l’espace extra‐
atmosphérique et sous l’eau; adoptée à Moscou le 5 Août 1963. Adhésion le 5 Février 1965 ;
5‐ Convention Internationale pour la prévention de la pollution des eaux de la mer par les
hydrocarbures; adoptée à Londres le 12 Mai 1954 (et amendements du 11 Avril 1962 et du 21
Octobre1962). Adhésion le 17 juin 1967 ;
6. Convention Africaine sur la Conservation de la nature et des ressources naturelles; adoptée à Alger
le 15 Septembre 1968. Adhésion le 15 Juin 1969 ;
7. Traité interdisant de placer les armes nucléaires et d’autres armes de destruction massive sur le
fond des mers et des océans ainsi que dans leur sous‐sol; adopté à Londres‐Moscou‐Washington le
11 Février 1971. Adhésion le 18 Mai 1972 ;
8. Amendement à la Convention Internationale pour la prévention de la pollution des eaux par les
hydrocarbures, concernant les dispositions des soutes et les limites à la grandeur des soutes;
adoptée à Londres le 15 Octobre 1971. Adhésion le 18 Mai 1972 ;
10. Convention concernant la protection contre les risques d’intoxication dus au benzène; adoptée à
Genève en 1971. Adhésion le 21 Février 1974 ;
3
Cour suprême de Côte-d’Ivoire
Supreme Court of Ivory Coast
11. Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel; adoptée à Paris
le 23 Novembre 1972. Adhésion le 21 Novembre 1977 ;
12. Convention Internationale sur la responsabilité civile pour les dommages dus à la pollution par les
hydrocarbures (et amendements ultérieurs); adoptée à Bruxelles le 29 Novembre 1969.Adoptée le
28 Mai 1979 ;
14. Convention portant création de l’Autorité du Bassin du Niger et Protocole relatif au Fonds de
Développement du Bassin du Niger; adoptée à Farana le 21 Novembre 1980. Adhésion le 3 Décembre
1982 ;
15. Convention des Nations Unies sur le Droit de la Mer; adoptée à Montego Bay le 10 Décembre
1982. Ratification le 26 Mars 1984 ;
16. Protocole relatif à la Coopération en matière de lutte contre la pollution en cas de situation
critique; adoptée à Abidjan le 23 Mars 1981. Ratification le 15 janvier 1982. Adhésion le 5 Août
1984 ;
17. Protocole de 1978 relatif à la Convention Internationale pour la prévention de la pollution par les
navires; adoptée à Londres le 17 Juillet 1978. Adhésion le 5 Janvier 1988 ;
18. Convention Internationale sur l’intervention en haute mer en cas d’accident entraînant ou
pouvant entraîner une pollution par les hydrocarbures; adoptée à Bruxelles le 29 Novembre 1969.
Adhésion le 12 Août 1984 ;
19. Convention sur la Prévention de la pollution des mers résultant de l’immersion de déchets;
adoptée à Londres et Mexico le 29 Décembre 1972. Amendements du 12 Octobre 1978 et du 24
Septembre 1980. Adhésion le 16 Juillet 1986 ;
20. Convention Internationale portant création d’un Fonds d’Indemnisation pour les dommages dus à
la pollution par les hydrocarbures; adoptée à Bruxelles le 18 décembre 1971 (et amendements
ultérieurs). Adhésion le 3 Janvier 1988 ;
21. Convention de Vienne pour la Protection de la Couche d’Ozone; adoptée à Vienne le 23 Mars
1985. Adhésion le 30 Novembre 1992 ;
4
Cour suprême de Côte-d’Ivoire
Supreme Court of Ivory Coast
22. Protocole de Montréal relatif à des Substances qui appauvrissent la Couche d’Ozone; adopté à
Montréal le 16 Septembre 1987. Adhésion le 30 Novembre 1992 ;
23. Convention relative aux zones humides d’importance internationale, particulièrement comme
habitats de la Sauvagine (Convention de Ramsar); adoptée à Ramsar le 2 Février 1971. Adhésion
Février 1993
24. Convention internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique, 6 décembre 1972 ;
25. Convention sur le Commerce International des Espèces de Faune et de Flore sauvages menacées
d’extinction; adoptée à Washington le 3 Mars 1973. Signature le 3 Février 1993. Adhésion novembre
1994 ;
26. Amendement de Londres au Protocole de Montréal relatif à des Substances qui appauvrissent la
Couche d’Ozone; adopté à Londres le 29 Juin 1990. Adhésion le 26 Octobre 1993 ;
27. Convention de Bamako sur l’Interdiction d’importer en Afrique des déchets dangereux et sur le
contrôle des mouvements transfrontières et la gestion des déchets dangereux produits en Afrique;
signée le 31 Janvier 1991 à Bamako. Ratifiée le 9 Juin 1994 ;
28. Convention de Bâle sur le Contrôle des mouvements transfrontières des déchets dangereux et de
leur élimination; adoptée à Bâle le 22 Mars 1989. Adhésion le 9 Juin 1994 ;
29. Convention de Rio sur la Diversité Biologique, signée à Rio en Juin 1992. Adhésion le 24
Novembre 1994 ;
30. Convention cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques, signée à Rio le 12 Juin
1992. Adhésion le 14 Novembre 1994 ;
31. Convention sur la lutte contre la Désertification, en particulier en Afrique; adoptée à Paris en
1994. Ratifiée le 4 Mars 1997 ;
32. Convention de Bonn sur la Conservation des Espèces migratrices appartenant à la Faune sauvage
de Septembre 1993. Ratifiée le 17 Août 2000 ;
5
Cour suprême de Côte-d’Ivoire
Supreme Court of Ivory Coast
applicable à certains produits chimiques et pesticides dangereux qui font l’objet d’un commerce
international. Ratifiée en 2003 ;
34. Convention de Stockholm de 2001 sur les Polluants Organiques Persistants (Pops). Ratifiée en
2003 ;
35. Accord sur les Oiseaux d’Eau migrateurs d’Afrique‐Eurasie (AEWA). Ratifiée le 28 Juillet 2006 ;
37. Protocole de Kyoto sur les Gaz à Effet de Serre. Ratifié le 28 Avril 2007 ;
38. Convention Africaine sur la Conservation des Ressources Naturelles (Convention de l’Union
Africaine d’Alger modifiée) 15 juin 1969 ;
39. Protocole de Cartagena sur la Prévention des Risques Biotechnologiques relatif à la Convention
sur la Diversité Biologique (NB: Convention ratifiée avec une erreur matérielle sur le mot
Biotechnique au lieu de Biotechnologique), adoptée le 14 novembre 1994 ;
40. Convention FIPOL relative aux Fonds d’Indemnisation pour les dommages dus à la pollution par
les hydrocarbures; adoptée en 1992 ;
41. Convention internationale pour la prévention de la pollution par les navires et son protocole de
1978 (MARPOL) ;
43. Traité international sur les ressources phytosanitaires pour l’alimentation et l’agriculture adopté
par la 31ème conférence de la FAO : adhésion 2003 ;
6
ANNEXE
7
ANNEXE
8
ANNEXE
9
FÉDÉRATION NATIONALE DES INDUSTRIES & SERVICES DE CÔTE D’IVOIRE
2009 20,7
2010 23,6
2012 27,2
2013 33,9
- Principaux marchés : Outre la Côte d’Ivoire, Burkina Faso, Mali, Gabon, Congo, Angola, Liberia et Niger
- Décret n°2012-1047 du 24 octobre 2012 fixant les modalités d’application du principe pollueur-payeur tel que défini
par une loi d’octobre 1996 ;
- Décret n°2013-803 du 22 novembre 2013 prorogeant de six mois la période transitoire fixée à l’article 12 du décret ;
- Arrêté n°065 du PM daté du 19 février 2014 déterminant les modalités d’application de l’article 1 du décret n°2013-
803 du 22 novembre 2013.
Fédération Nationale des Industries & Services de Côte d’Ivoire (FNISCI) Information Sectorielle Filière Plastique – mars 2014
1er étage, immeuble Les Harmonies, Abidjan-Plateau | 01 BP 1340 Abidjan 01
Tél. : 20-31-90-70 | Fax : 20-21-72-56 | infos@fnisci.net | www.fnisci.net
1/4
FÉDÉRATION NATIONALE DES INDUSTRIES & SERVICES DE CÔTE D’IVOIRE
Des négociations ouvertes entre les parties sous la présidence de son Excellence Monsieur le Premier Ministre, Daniel
Kablan DUNCAN ont abouti à un texte consensuel, l’Arrêté n°065 du 19 février 2014 signé du Premier Ministre. A la
différence du décret sus-cité, cet arrêté :
- Autorise la production, l’importation, la commercialisation en Côte d’Ivoire de sachets plastiques mais qui
devront être dégradables (bio ou oxo) ;
- Introduit des restrictions liées à la taille et à l’épaisseur des sachets dans une optique de leur conférer, une
valeur marchande dans une optique d’opérationnalisation à l’échelle nationale d’une filière de rachat et de
recyclage des déchets plastiques ;
- Rend obligatoire l’étiquetage des sachets et engage les producteurs industriels à assurer le rachat et le
recyclage de tous les déchets de sachets plastiques ;
- Interdit strictement l’importation des déchets de sachets plastiques en vue de favoriser le développement
d’un marché national du recyclage ;
- Institue un comité paritaire Etat - Secteur privé chargé d’évaluer mensuellement la mise en application des
dispositions de l’arrêté aux fins d’ajustement.
L’Etat et l’industrie plastique travaillent actuellement ensemble à mettre en œuvre de façon efficace et efficiente
une filière de rachat et de recyclage des déchets plastiques financièrement rentable et économiquement viable
pour faire coïncider les impératifs environnementaux de protection du cadre de vie des populations et de
salubrité publique et la nécessité économique de préserver une filière industriel de production de sachets
plastiques dynamique et à fort potentiel.
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2/4
FÉDÉRATION NATIONALE DES INDUSTRIES & SERVICES DE CÔTE D’IVOIRE
Dans cette première phase, il est privilégié la valorisation de la matière par recyclage ou régénération.
Le recyclage mécanique permettant la réutilisation réversible de la matière plastique issue de déchets, la matière est broyée
puis refondue, pour fabriquer un produit fini commercialisable, qui pourra être également recyclé après usage.
La régénération offrant la possibilité de fabriquer des granulés ou poudres de plastiques commercialisés sous la même forme
que les résines vierges, à partir des déchets de plastiques homogènes exempts d’impuretés.
Sous le leadership de la Fédération Nationale des Industries et Services de Côte d’Ivoire (FNISCI), des accords sont en
préparation entre l’industrie plastique ivoirienne et l’Autorité pour le Désarmement Démobilisation & Réinsertion (ADDR) qui
a mis en place 19 coopératives de valorisation des déchets plastiques, -dans le cadre de son programme de réinsertion des
ex-combattants-, pour que celles-ci fournissent aux industries nationales, des déchets plastiques sur la base des prix établis
et fonction de la qualité du produit.
La FNISCI a commis un cabinet nigérien pour faire une étude technique sur les possibilités d’une collaboration fructueuse
avec les collectivités décentralisées pour l’organisation efficace de la collecte des déchets plastiques et leur rachat par les
industriels.
Industriels et Gouvernement travaillent de concert pour finaliser un projet commun de sensibilisation des populations sur les
réflexes éco-responsables à adopter dorénavant.
Dans une perspective d’harmonisation, au niveau régionale, des politiques environnementales notamment en ses aspect de
gestion des déchets plastiques pour faire coïncider les exigences environnementales immédiates (et à venir) et l’impérieuse
nécessité pour les économies nationales qui en sont pourvues, de préserver une filière de production de matières plastiques
dynamique et socialement responsable, les instances régionales devront, dans leur approche tenir compte des réalités de
terrain de chaque pays membre. Du point de vue des industriels producteurs de sachets plastiques, il nous paraît d’une
extrême importance qu’une politique environnementale régionale consacre :
- Adoption d’un dispositif de financement à taux préférentiel des nouveaux investissements nécessaires à la mutation
des industries de production par les institutions financières régionales ;
- Adoption du principe d’incitation au développement dans les pays membres de la région d’une filière de valorisation
(recyclage et régénération) des déchets plastiques ;
- Adoption d’une législation régionale qui décourage la mise en décharge des sachets plastiques, prescrit un système
harmonisé de collecte des emballages plastiques et encourage le recyclage et la valorisation énergétique des
déchets plastiques ;
- Encadrement de la politique fiscale applicable à la filière pour contenir les risques de surfiscalisation des filières
plastiques suspectées à tort d’être hautement polluantes.
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3/4
FÉDÉRATION NATIONALE DES INDUSTRIES & SERVICES DE CÔTE D’IVOIRE
V. Conclusion
Par l’accord intervenu entre le Gouvernement et le Secteur privé et traduit par l’Arrêté n°065 du Premier Ministre en date du
19 février 2014, les parties ont assis un cadre réglementaire consensuel. Celui-ci, beaucoup plus souple et réaliste que celui
dessiné par le Décret 2013-327 du 22 mai 2013, ouvre une belle perspective pour le développement au plan national, d’un
marché du recyclage des sachets (mais aussi, à moyen terme voire long terme, des autres types d’emballages) plastiques.
Les deux parties affichent une belle détermination et un franc engagement à réussir le pari de la capitalisation de l’ensemble
du potentiel des solutions de recyclage des déchets plastiques existant.
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BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES GENERAUX
DICTIONNAIRES
DOCUMENTS EN ENVIRONNEMENT
ANTON Bernard Beranrd : Plaidoyer pour la terre et les vivants : Essai sur l'éveil
environnemental, Marcel Broquet La nouvelle édition, 2011
BECK Corinne, LUGINBÜHL Yves, MUXART Tatiana: Temps et espaces des crises de
l'environnement : Sociétés et ressources renouvelables, Editions Quae, 2006
BERQUE Augustin, CONAN Michel, DONADIEU Pierre : Cinq propositions pour une
théorie du paysage, Champ Vallon, 1994
GOLDSMITH E. : 5000 jours pour sauver la planète, Texte établie par P. ALEXANDRE
et C. DIEHOLD, Sté Nlle des éditions du Chêne, Paris, 1990, p.11
JEAN-PAUL Deleage : Une histoire de l’écologie, Seuil, collection Point Science, Paris,
330 pages
JOIRIS Véronique, BIGOMBE Logo Patrice : Gestion participative des forêts d'Afrique
centrale, Editions Quae, 2010
LE BOZEC André, BARLES sabine, BUCLET Nicolas : Que faire des déchets
ménagers ? Editions Quae, 2012
TOZZI Pascal : Pour une gestion durable des forêts : Des intentions aux actes, Editions
Rue d'ULM, 2011
DUCROT R., BUENO A.K., BARBAN V., REYDON B.P.; « Integrating Land
Tenure, Infrastructure and Water Catchment Management In São Paulo‘s Periphery:
Lessons From a Gaming Approach ». Environment and Urbanization, 2010, Vol.
22, n°2, p. 543 -560.
ERNI M., BADER H.P., DRECHSEL P., KIPFER R., SCHEIDEGGER R.,
ZURBRUEGG C. ; « Bad for the Environment, Good for the Farmer? Urban
Sanitation and Nutrient Flows. ». Irrigation & Drainage Systems, 2010, Vol. 24,
n°1/2, p. 113-125.
WILSON D.C., VELIS C., CHEESEMAN C.; « Role of informal sector recycling
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30, n°4, p. 797-808.
DOCUMENTS EN ECONOMIE
GILLES Jacoud : La monnaie dans l’économie, Nathan, France, 1998, 239 pages
DOCUMENTS EN STATISTIQUE
http://www.ivoirexpress.com/abidjan-5eme-grande-ville-2020/
http://www.parcs.net/yell/
http://23dd.fr/le-developpement-durable/iucn-1980-un-texte-fondateur
http://www.fnisci.net
http://www.fao.org/
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http://ci.chm-cbd.net/
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http://23dd.fr/le-developpement-durable/iucn-1980-un-texte-fondateur
http://www.fnisci.net/conventions-etat-prive/
I. CADRE THEORIQUE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 12
1. PRESENTATION DU SUJET- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 12
2. JUSTIFICATION DU CHOIX DU SUJET- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 14
2.1 Raisons personnelles - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 14
2.2 Raisons scientifiques - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 15
2.3 Raisons socio-économiques- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 15
3. APPROCHE DEFINITIONNELLE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 16
3.1 Définition- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 16
3.1.1 Problématique- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 16
3.1.2 Conservation - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 17
3.1.3 Environnement - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 19
3.2 Définition du corpus - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 21
3.2.1 L’objet d’étude - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 21
3.2.2 L’extension historique- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 21
3.2.3 La cible - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 21
4. PROBLEMATIQUE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 22
5. QUESTION DE RECHERCHE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 26
5.1 Question générale- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 26
5.2 Questions secondaires- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 26
6. OBJECTIFS DE RECHERCHE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 27
6.1 Objectif général - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 27
6.2 Objectifs opérationnels ou spécifiques- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 27
7. HYPOTHESES DE RECHERCHE - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 27
7.1 Hypothèse générale - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 27
7.2 Hypothèses opérationnelles- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 28
8. REVUE DE LITTERATURE - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 29
8.1 Lutte contre la pauvreté et biodiversité- - - - - - - - - - - - - - - - - - - 29
8.1.1 La valeur économique de la biodiversité- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 30
8.1.2 Protection de la biodiversité et lutte contre la pauvreté - - - - - - - - - 30
8.1.3 L’enjeu communautaire dans la gestion durable des ressources
naturelles- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 33
8.1.4 Le financement des activités environnementalistes- - - - - - - - - - - - 35
8.1.5 Le développement local- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 36
8.2 Lutte contre la pauvreté et qualité de l’environnement en milieu
urbain- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 37
8.2.1 Pauvreté urbaine et qualité de l’environnement - - - - - - - - - - - - - - 37
8.2.2 Un défi scientifique et technologie contre le changement
climatique- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 41
8.2.3 La mise en valeur des techniques traditionnelles- - - - - - - - - - - - - - 42
8.2.4 Sécurité alimentaire et changement climatique- - - - - - - - - - - - - - - 44
8.2.5 Le besoin énergétique - - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 45
CONCLUSION PARTIELLE‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ ‐ 48
2. LA METHODE D’APPROCHE- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 52
2.1 La stratégie de collecte des données- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 52
2.1.1 L’observation directe (sur le terrain) - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 52
2.1.2 L’entretien- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 53
2.1.3 La recherche documentaire- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 55
2.2 La méthode d’analyse des données- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 55
2.2.1 La méthode analytique- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 56
CONCLUSION- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 81
ANNEXES- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 83
BIBLIOGRAPHIE - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 123