MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE REPUBLIQUE GABONAISE
ENSEIGNEMENT Technique - -JUSTICE
DIRECTION GENERALE Lycée Technique Jean Fidèle OTANDO NIVEAU : 2nd
2nd STI 3
EXPOSE DE FRANCAIS
THEME :
L’ECOLE DANS L’OEUVRE (ville cruelle d’Eza Boto)
Présenté par : Sous la direction de :
• MOUNGUENGUI Alfred Mme.GNINGAH • MOUSSAVOU MOMBA CLAIVE FRANCKY • MBOULOU MBOULOU FILS BENNY • MAROGA MOUKOMBOU VIRIATO ELISEE • MFOUBOU DARYL Chef de groupe : MOUNGUENGUI MOUNGUENGUI ALFRED ANDRE GROUPE5 Sommaire :
Biographie de l’auteur
Introduction
I. A l’école des missionnaires
II. A l’école coloniale
RESUME
CONCLUSION Biographie de l’auteur
Alexandre BIYIDI est un écrivain camerounais d’expression
français née le 30 juin 1932 de Régine ALOMO et Oscar AWALA à Mbalmayo du Cameroun. Il a appris au lycée Pierre Corneille et a poursuivie ses études à l’université Aix- Marseille. Il est également essayiste engagé, un enseignant et un libraire. Aussi, il était marié avec Odile TOBNER. Cet homme fut décédé malheuresement le 8 octobre 2001 à Douala du Cameroun. INTRODUCTION
Dans le roman intitulé « Eza Boto ville cruelle », nous
rencontrons plusieurs thèmes nous édifiant sur ce roman de sorte à amener une meilleure compréhension aux lecteurs. Ici, nous développerons « L’école » dans cette œuvre qui est un thème très intéressant et qui d’ailleurs renferme deux types d’école dont : L’école des missionnaires et l’école coloniale. DEVELOPPEMENT
I. L’école des missionnaires
Tous d’abord, que comprenons nous par le terme « école des
missionnaires » ? cette expression détachée comme […] dans son signifiant qui est une expression de genre féminin et qui s’explique dans son signifié entend qu’un lieu d’apprentissage où l’enseignement est assuré par une mission chrétienne. C’est dans ce cadre-là que la mère de Banda souhaitait l’inscrire (l’école catholique), car elle était très religieuse et elle pensait que c’était la bonne voie à suivre. Elle voulait qu’il apprenne des chants, des prières et des rites de l’église. Mais on n’y apprenait pas grand-chose d’autre, et Eza Boto a suggéré que l’école des missionnaires faisait le jeu des colons en les entretenant dans l’ignorance à la soumission : « A l’école des missionnaires, les enfants n’apprennent pas bien grand-chose en dehors du catéchisme et des refrains latins ». II. L’école coloniale
Ensuite, nous avons « l’école coloniale », mais que dire de ça ?
Déjà, pour comprendre, par ‘école coloniale’ on entend parfois l’école d’enseignement primaire ou secondaire, développée dans les colonies, essentiellement à destination des pop1ulations indigènes. Mais ici, il s’agit du nom d’une école est désormais l’Ecole nationale de la France d’outre-mer qui a été fondée en 1889 sous le nom d’Ecole coloniale. Cette école est chargée de former les cadres de l’administration coloniale (administrateurs, inspecteurs du travail et magistrats) Son père, en revanche, voulait que banda soit scolarisé à l’école coloniale pour que au moins il apprenne quelque chose à l’école pour qu’il fasse quelque chose de ses journées autre que d’apprendre des cantiques ou autres bondieuseries qu’il estimait inutiles. Le bilan que tire Banda de l’éducation reçue est : « je trimais depuis huit ans dans leur école à planter, arracher des pommes de terre, et jamais à faire ce qu’on fait habituellement dans une école » Résumé
Nous retenons donc ici que ces deux écoles sont de
nature différente car l’un exprime le fait d’apprendre à servir Dieu et comment le faire comme nous l’avons vu dans les parties précédentes. C’est-à-dire l’école missionnaire. L’autre exprime le fait de recevoir un enseignement nécessaire à nos vies afin d’être former dans différent secteurs dans le monde du travail
Conclusion
En gros, Banda a fini par fréquenter l’école que lui avait
recommandé son père pour obtenir un savoir développé qui pourrait lui être utile dans sa vie, mais à cause de l’amour qu’il éprouvait pour sa mère et la complexité de cette école, il retourna vers sa mère et intégra l’école des missionnaires malgré ses soucis d’expressivité.