DUCHAMP Marcel

(1887-1968), Le Fil (Mile

of String), 1942,
installation dès le
vernissage de
l'Exposition First Papers
of Surrealism, New-York,
octobre-novembre 1942.
La ficelle en tension crée
un parcours dans
l'exposition et un voile et
un réseau devant les
peintures exposées,
obligeant à regarder à
travers.
Cependant, l'installation
a surtout lieu au plafond,
l'espace étant libre au-
delà du premier plan.
(Dada )
Merzbau de Kurt
Schwitters 1920 (Dada )

Allan Kaprow, Yard, 1961

/ 2013. Environnement
KUSAMA Yayoi (née en
1929), Horse-Play,
Woodstock, 1967.
The obliteration room
ayoi Kusama invite les
spectateurs à entrer dans la
pièce, ils sont chacun donné
une feuille d'autocollants
rond colorés de différentes
tailles .

GEGO (Gertrud
Goldschmidt dite, 1912-
1994), Reticulàrea,
c.1968,
acier inoxydable,
540x350x500 cm,
Caracas (Venezuela),
Galeria de Arte Nacional.
Le motif de travail de
l'artiste est la ligne : avec,
elle compose des
dessins abstraits sur
papier,
de petites sculptures de
fil de métal plié ou de
grands réseaux de fils
dans l'espace.
Cette sculpture
transparente révèle
l'espace du lieu par son
filet, sa transparence et
ses ombres, et le
mouvement du
spectateur dans cet
environnement, brouille
les lignes et les met en
mouvement (art
cinétique).

BUREN Daniel (né en

1938), Points de Vue ou
Le Corridorscope, mai-
juin 1983,
travail in situ à l'intérieur
du Musée d'Art Moderne
de la Ville de Paris,
peinture blanche,
tableaux provenant des
réserves du musée,
miroir, tubes en acier,
tissu, son.
L'artiste a construit un
long corridor en zigzag
percé d'ouvertures
montrant l'architecture
des bâtiments, des
tableaux et des aspects
mêmes du corridor.

DUBUFFET Jean (1901-

1985), La closerie et villa
Falballa. Périgny, 1971-
76, jardin de béton armé
peint en noir et blanc
avec villa centrale sans
fenêtre contenant le
Cabinet
Logologique(1967-69)
avec une écriture colorée
en haut-relief sur trois
faces.
Depuis 1961, l'artiste a
entamé le cycle de
l'Hourloupe, monde
imaginaire fait de dessins
semi-automatiques
formé d'un puzzle de
personnages et d'objets
imbriqués sur fond blanc,
cernés de noir et rayés, et
parfois emplis d'aplats
colorés. Avec cet univers,
l'artiste a également créé
des peintures, des
reliefs, des sculptures et
des architectures.

Michel Blazy
Mia Pearlman

Black Cloud par Carlos

Amorales
Carlos Amorales est un
artiste mexicain né en
1970. Il travaille avec
différents media comme
la vidéo, l’installation, la
photographie ou le
papier. Sa pièce Black
Cloud rassemble environ
30 000 papillons de
différentes tailles faits de
papier et accumulés sur
les murs et plafonds des
lieux d’exposition qu’il
investit. La mise en place
de l’œuvre nécessite une
équipe de quatorze
personnes travaillant
sans interruption durant
cinq jours pour installer
un par un chaque
insecte. Le résultat est
déroutant : de près,
chaque papillon est
découpé et déposé sur le
mur avec finesse, ce qui
contraste avec
l’atmosphère générale
surréaliste et inquiétante
créée par leur
accumulation.

L’installation fut montrée

pour la première fois en
2007 à la Yvon Lambert
Gallery de New York puis
à l’Église baroque
Espacio AV à Murcia,
Espagne, en 2009.

tomas saraceno

henrique Oliveira
Charles Petillon

Andrea-Silva-Guzman

kawamata tadashi
Sheila Hicks.

Blu
Tara Donovan(usa) née
en 1969 à New York.
Elle détourne des
objets du quotidien
pour créer des
installations.
Assiettes en carton,
gobelets en
polystyrène, rouleaux
de scotch sont ses
matériaux de départ.
Elle part d’un
élément unique
qu’elle démultiplie
pour obtenir des
formes bio-
morphiques rappelant
la nature. Sa dé-
marche s’inscrit dans
le mouvement ac-
tuel de l’art génératif.

Yuriko Yamaguchi
(Japon) née en 1948.
Elle vit aux États-
Unis. Détourne des
matériaux simples
(résine, fil de fer,
papier) pour
construire des
sculptures qui déploie
un même motif
simple
«Interconnecté».Ses
matériaux et son
processus simples
font évoluer à partir
d’une expérience
simple et de gestes
répétés des formes
complexes. Elle
utilise des formes
géométriques
élémentaires , cercles
pour symboliser le
thème du cycle
naturel.La forme est
répétée, de
minuscules boules de
résine opaque
coagulent en créant
de nombreuses
intersections. Elle
crée des grappes
, des accumuations
qui évoquent les
formes na- turelles
tout en gardant une
autonomie plastique.