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CHAPITRE I PRESENTATION DE L’ENTREPRISE (DGI/DPI)

 Présentation de l’institution (DGI/DPI)

a. Situation géographique

La DPI est situé sur l’avenue Mgr Jean Félix Hemptine (ex Tabora) contre l’avenue
SENDWE dans la commune de Lubumbashi au N°198.

b. Aperçu historique

La DGI est un service du ministère des finances qui est placé sous l’autorité directe du
ministre ayant les finances dans ses attributions.

Avant la création de la direction générale de contribution au mois de Mars/1988, ce


service existait sous la forme d’une direction parmi le (9) autres directions qui dépendaient de
ce ministère. Jadis, cette direction n’avait aucune autonomie financière et administrative en
son sien elle n’avait que quatre divisions au niveau central et une division provinciale dans
chaque province du pays.

Au niveau provincial :

 Division de recouvrement.
 Division de taxation et documentation.
 Division de contrôle fiscal.
 Division de contentieux et contre vérification.
Ces divisions correspondaient dans chaque province à des bureaux. Le législateur trouvera
que cette structure n’était pas efficace pour maximiser « la gestion de toutes les missions
d’assiette et de recouvrer l’impôt sur tout le pays pour maximiser l’assiette fiscale. La
direction ainsi créée compter alors (9) direction au niveau recette fiscale. C’est ainsi que le
10/Mars/1988 sur ordonnance présidentiel N°88/039 qu’il a été nommé un service public
dénommé « direction générale de contribution » doté d’une autonomie financière et
administrative ayant pour attribution central et dans chaque province une direction
provinciale.

 Mission et objectif de la DPI

La DPI a pour but de mobiliser toutes les recettes générées par les impôts établit en
fonction de la loi et de les orientées vers le trésor public. Et d’exercer dans ce cadre des lois et
des règlements en vigueur, toutes les missions sont prérogatives en matière fiscale.
 La structure actuelle de la direction

Etant sous l’autorité de la direction générale des impôts qui a son tour est sous tutelle
du ministère de finance.

La DPI Katanga se structure comme suite :

Au niveau central :

 Direction générale des impôts (bureau du direction général-adjoint)


 Inspection générale de service (IGS).
 Direction de ressource humaine (DRH).
 Direction de gestion budgétaire et service généraux (DGBSG).
 Direction d’informatique (DI).
 Direction des études de la législation et du contentieux (DLC
 Direction de la taxation et documentation (DTC).
 Direction de recouvrement (DC).
Au niveau provincial :

 La DPI (bureau de la direction provincial).


 Inspection provinciale de service (IPS).
 Division de ressource humaine (GRH).
 Division de gestion budgétaire et service généraux (DGBSG).
 Division d’affaire sociale (DAS).
 Division d’informatique (DI).
 Division de la taxation et document (DTD).
 Division de control fiscal (DCF).
 Division de contentieux (DC)
Centre d’impôt synthétique (CIS).

Autre le bureau du chef de centre, nous avons :

 Le bureau recouvrement.
 Le bureau taxation et documentation
 Le bureau control fiscal
 Le bureau d’informatique
Centre d’impôt de l’shi (CDI)
Autre le bureau du chef de centre, Nous avons :
 Le bureau appoint et contentieux.
 Le bureau ressource humaine et service généraux.
 Le bureau informatique.
 Le bureau accueil, liaison, information.
 Le bureau gestion.
 Le bureau control fiscal.
 Le bureau recherche et recoupement.
 Le bureau secteur stratégique.
En ce qui concerne la province du Katanga nous avons le CIS à : Lubumbashi dans les
communes de :
 Lubumbashi
 Kampemba et Ruashi à Kampemba,
 Kenya,
 Kamalondo,
 Katuba et Likasi,
 Kamina (Haut-Lomami),
 Kalemie (Tanganyika),
 Kipushi (Haut-Katanga),
 Kasumbalesa et Sakanya (Kasumbalesa),
 Kongolo, Kanyama,
 Kasei et Lualaba
 ORGANIGRAMME DE LA DIRECTION PROVINCIALE DES IMPOTS

DIRECTION PROVINCIALE DES


IMPOTS

INSPECTION PROVINCIALE SECRETARIAT

Division des affaires sociales Division de control fiscal Centre des impôts Division gestion budgétaire Division de taxation
synthétiques et services généraux et documentation

Bureau relations SECRETARIAT


SECRETARIAT b. gestion crédit et défense SECRETARIAT
publiques
B. de recherche B. taxation et B. gestion Impôts de valeur
Bureau loisir documentation
B. de taxation
B. de coordination Bureau gestion
de contrôle meuble et immeuble B. de
B. control fiscal
Division de ressources documentation
humaines
1ere brigade Bureau matériels,
SECRETARIAT B. recouvrement
charroi et expédition
2eme brigade
B. gestion des
personnels et Division de recouvrement
Centre des impôts de Lubumbashi Division de l’informatique
affaires
SECRETARIAT SECRETARIAT
SECRETARIAT
Division de contentieux
Bureau recettes provinciales Bureau suivi des
B. appoint et B. accueil et B. recherche et
SECRETARIAT contentieux information recouvrement applications
Bureau recompte Bic
B. instruction réclamation B.ress.hum.et Bureau B. secteurs Bureau de
service. gestion stratégiques
Généraux.
maintenance
B. information de Bureau véhicule
contribuables
 FONCTIONNEMENT DE LA DIRECTION PROVINCIALE DE S IMPOTS
(DPI/Katanga)

- La direction provinciale des impôts

La direction provinciale des impôts du Katanga est chapotée par un directeur de


provincial, qui dépend de la direction générale des impôts de Kinshasa/Gombe, suivi d’un
corps d’inspecteur.
Ensuite vient les chefs de division de CIS, du CDI/Lubumbashi et afin de chefs de
bureau et les agents.
Elle est dirigée à sa tête par une direction provinciale qui assume les responsabilités ci-après :
 Il coordonne les activités des cadres et des agents placés sous son contrôle et assure le
relais entre ce dernier et le directeur générale ou son adjoint devant lesquelles il est
responsable des actes administratifs poser par ici.
 Il conçoit la politique de gestion administrative, l’organisation et la coordination de sa
direction et canalise toute les initiatives dès ce subordonné et supervise les différentes
actions de ce dernier
 Il contrôle l’exécution des instructions reçu du directeur générale,
 Ils assurent la coordination primaire des activités des bureaux afin de facilité les
travaux coordination du directeur à l’échelon les plus élevé.

- Les Bureaux

Composer des cellules et brigade de taxateurs, des huissiers fiscaux, des chercheurs et
vérificateurs polyvalent. Sont superviseur au même titre que le CIS et CDI Lubumbashi par le
chef de bureau.

Les chefs de bureaux assument :

 La collecte et le stockage de l’information,


 L’étude et présentation des projets de décision,

Ils décident dans toutes les matières de leurs compétences.

 ATTRIBUTION DES DIVISIONS

Le cadre organique actuel reconnait à la direction provinciale des impôts


(DPI)/Katanga, neuf (9) divisions, mais dans cette partie nous ne parlerons que de quelques
divisions parmi les neufs à savoir :
a. L’inspection provinciale de service

Elle a pour objectif de surveiller la bonne marche de services, la régularité de


procédure, la discipline des agents et la conformité de statistique. Elle assure donc le contrôle
interne des services et aussi réaliser les missions d’enquête diverse.

b. La division de ressources humaines cette division et composer de trois (3) bureaux :


 Le bureau de gestion du personnelle,
 Le bureau de paie,
 Le bureau de formation.

Cette division se charge à la fois de la gestion de tous les dossiers des agents et
fonctionnaires ou de cadre de la direction provinciale des impôts du Katanga ainsi que leurs
rémunérations.

c. La division des affaires sociale : avec ces deux bureaux, dons celui des affaires
sociales et celui de relation publique, voyage, sport et loisir, elle a pour attribution :
 D’organiser des activités et des loisirs
 Suivi des soins médicaux et pharmaceutique des agents et cadres ainsi que leurs familles
d. La division de la gestion budgétaire et service généraux celle-ci a quatre (4)
bureaux notamment :
 Bureau budgétaire de dépense et gestion de crédit,
 Bureau de gestion meuble et immeuble,
 Bureau de gestion matériel, charrois et expédition,
 Bureau fourniture et imprimer de valeurs.

Elle a pour attribution :

 La gestion de crédit alloué à la direction et la réalisation de dépenses selon les budgets


établis ;
 La coordination, l’harmonisation et les suivies de la gestion de fourniture et imprimer
des valeurs ainsi que de la part des pénalités revenant au service.
e. La division de l’informatique avec ces deux bureaux :
 Bureau de suivi des applications ;
 Bureau de maintenance.

Cette division s’occupe :

 De l’élaboration de la stratégie d’informatisation du système informatique ;


 L’élaboration de cahier de charger de projets informatique ;
 L’analyse, le développement, l’implantation et la maintenance des applications et des
équipements.
 L’assistance technique en la matière de service tant au niveau de la direction qu’aux
niveaux de CIS et du CDI Lubumbashi.

 Les types d’impôts qui sont gérés par la DPI

Parmi les impôts qui sont gérés par la DPI, nous avons :
a. TVA
Qu’est-ce que c’est la TVA ?
La taxe sur la valeur ajoutée, TVA en sigle, est un impôt général sur la consommation qui
frappe tous les biens et services de toutes origines, consommés ou utilisés en république
démocratique du Congo.
Elle est un impôt unique à paiement fractionnes perçue à chaque stade du circuit économique
et supportée par le consommateur final.
b. IMPOT MOBILIER

Qu’est-ce que l’impôt mobilier ?

L’impôt mobilier est un impôt prélevé sur :


 Les revenus d’actions ou parts
 Les revenus d’obligations
 Les revenus des capitaux empruntés à des fins professionnelles
 Les tantièmes
 Les montants nets des redevances
 Les sommes reparties en cas de partage de l’avoir social par suite de liquidation ou de toute
autre cause, déduction faite du capital social réellement libéré restant à rembourser.
Le taux de l’impôt mobilier est de 20%
c. L’IPR/IERE

Qu’entend-on par IPR ?

L’IPR, impôt professionnel sur les rémunérations, est un impôt qui est assis sur :

 les rémunérations des personnes rétribuées par un tiers, de droit public ou de droit
privé, sans être liées par un contrat d’entreprise ainsi que celles des associés actifs
dans les sociétés autres que par actions ;
 les traitements, les salaires, les émoluments, les indemnités qui ne représentent pas le
remboursement des dépenses professionnelles effectives, les gratifications, les primes,
les jetons de présence et toutes autres rétributions fixes ou variables, quelle qu’en soit
leur qualification ;
 les membres des institutions politiques (Président de la République, le Parlement, le
Gouvernement Central et les Institutions Provinciales) ;
 les mandataires publics ;
 les engagés locaux des missions diplomatiques et des organismes internationaux ;
 les travailleurs occasionnels.

L’IPR est supporté les bénéficiaires des rémunérations alors que L’IERE est à charge de
l’entreprise qui emploie un personnel expatrié. L’IPR et l’IERE sont déclarés et reversés par
l’employeur.

d. L’IBP

Qui est l’impôt sur le bénéfice et Profit

Après avoir présenté la structure d’accueil qui constitue notre cas d’application, en
donnant son bref historique et son fonctionnement, dans la partie suivante nous parlerons sur le
système informatique existant dans le but de montrer le fonctionnement de l’institution à
travers l’outil informatique domaine dans lequel nous menons notre étude.
CHAPITRE II DEROULEMENT DE STAGE

1. SERTISSAGE DE CABLE DE RESEAU

Les sertissage réseau est une technique utilisée pour connecter des câbles réseau à des
prises murales ou à des connecteurs RJ45. Cette technique consiste à insérer les fils du câble
dans une fiche RJ45, puis à les sertir à l’aide d’une pince spéciale pour assurer et fiable.

Le sertissage réseau est essentiel pour garantir une bonne qualité de connexion et éviter les
perturbations ou les déconnexions.

Pour installer un système de câblage informatique soi-même, il faut forcément savoir


comment sertir un câble RJ45.

Pour ce faire, il faut tout d’abord préparer le câble et l’insérer dans le connecteur sans
l’endommager au risque de le réduire ses performances ou de le rendre carrément inutilisable.

Alors, quelles sont les étapes à suivre pour monter un câble RJ45 et comment vérifier qu’il
fonctionne correctement ?

2.2 COMMENT MONTER UN CABLE IP ?

Il existe deux normes sur le câblage RJ45. La norme T568A convient mieux aux
réseaux d’entreprises. Les réseaux domestiques utilisent plutôt la norme T568B. Les données
circulent de deux façons différentes dans un câble RJ45.

1. D’une part, on a le câble droit où les données ne circulent que dans une seule direction. Il
permet de relier deux appareils de type différent. En effet, dans ce cas, il n’y a qu’un seul des
appareils qui peut envoyer des données.

2. D’autre part, il y a les câbles croisés où les brins sont inversés. Les brins qui servent à
envoyer et à recevoir des données sont inversés de sorte que le câble puisse à la fois permettre
d’envoyer et de recevoir des données sans qu’il n’y ait un risque de collision de données. Un
câble croisé permet de relier deux appareils de même type.

2.3 SERTISSAGE DU CABLE IP

Maintenant que vous avez choisi quel type de câblage vous souhaitez monter, vous
pouvez ouvrir le noyau RJ45 et commencer à y insérer les fils. Une pince à sertir vous sera
très utile dans cette étape.

✓ Saisissez les brins et amenez-les au niveau du connecteur.

✓ Introduisez le câble dans le trou de la pince à sertir.


✓ Serrez la pince assez forte, mais pas trop au risque d’endommager les brins. Vous devrez
entendre un bruit lorsque c’est bon.

Ainsi, pour sertir un câble Ethernet RJ45 droit selon la norme T568A, vous devez
insérer les brins dans les broches correspondantes en respectant le code couleur suivant :

1. blanc-vert,

2. vert,

3. blanc-orange,

4. bleu,

5. blanc-bleu,

6. orange,

7. blanc-marron,

7.marron.

Si vous voulez fabriquer un câble RJ45 droit avec la norme T568B, il suffit d’inverser les
paires torsadées vertes et orange, c’est-à-dire :

1. blanc-orange,

2. orange,

3. blanc-vert,

4. bleu,

5. blanc-bleu,

6. vert,

7. blanc-marron,

8. Marron.

3. MISE EN RESEAUX LAN

La mise en réseau LAN, ou Local Area Network, consiste à connecter plusieurs


appareils informatiques au sein d'un même espace physique, comme un bureau, une maison
ou un bâtiment, afin de partager des ressources et des informations. Pour mettre en place un
réseau LAN, il est généralement nécessaire de suivre les étapes suivantes :
1. Choix du matériel : Il faut sélectionner les équipements nécessaires pour le réseau LAN,
tels que des commutateurs (switch), des routeurs, des câbles Ethernet, des cartes réseau, etc.

2. Configuration physique : Installer les équipements (commutateurs, routeurs, câbles) de


manière à relier tous les appareils du réseau.

3. Configuration logicielle : Configurer les paramètres réseau sur chaque appareil pour qu'ils
puissent communiquer entre eux. Cela peut inclure l'attribution d'adresses IP, la configuration
des protocoles de communication, etc.

4. Sécurité : Mettre en place des mesures de sécurité pour protéger le réseau contre les
intrusions et les attaques extérieures. Cela peut inclure l'utilisation de pare-feu, de mots de
passe sécurisés, de chiffrement des données, etc.

5. Test et maintenance : Une fois le réseau configuré, il est important de tester sa fiabilité et
sa performance. Il est également nécessaire de surveiller régulièrement le réseau pour détecter
d'éventuels problèmes et effectuer la maintenance nécessaire.

En suivant ces étapes, vous pourrez mettre en place un réseau LAN fonctionnel et sécurisé
pour connecter vos appareils informatiques localement.

Voici quelques exemples mise en réseaux Lan :

4. PARTAGE EN RESEAUX

Le partage en réseaux LAN permet aux utilisateurs de partager des ressources et des
informations entre les différents appareils connectés au réseau. Voici quelques exemples de ce
que l'on peut partager au sein d'un réseau LAN :

1. Partage de fichiers : Les utilisateurs peuvent partager des fichiers et des documents entre
les appareils connectés au réseau, facilitant ainsi la collaboration et l'échange d'informations.

2. Partage d'imprimantes : En connectant une imprimante au réseau LAN, les utilisateurs


peuvent imprimer des documents à partir de n'importe quel appareil connecté au réseau, sans
avoir besoin de transférer les fichiers sur l'ordinateur relié à l'imprimante.

3. Partage de périphériques : En plus des imprimantes, il est possible de partager d'autres


périphériques tels que des scanners, des disques durs externes, des webcams, etc., entre les
appareils du réseau.

4. Partage de connexion Internet : En partageant une connexion Internet via le réseau LAN,
tous les appareils connectés peuvent accéder à Internet en utilisant une seule connexion, ce
qui peut être utile dans les environnements domestiques ou de petites entreprises.
5. Partage de logiciels et de ressources informatiques : Les utilisateurs peuvent accéder à
des logiciels et des ressources informatiques partagés sur le réseau, ce qui peut faciliter la
gestion des licences et l'accès aux outils nécessaires pour effectuer des tâches spécifiques.

En partageant ces ressources au sein d'un réseau LAN, les utilisateurs peuvent optimiser leur
productivité, simplifier leurs processus de travail et améliorer leur collaboration. Il est
important de mettre en place des mesures de sécurité appropriées pour protéger les données
partagées et garantir la confidentialité des informations échangées sur le réseau.

Voici quelques exemples de partage en réseau :

5. SIMULATION DE RESEAU (PACKERS TRACER)

Dans le cadre d'une simulation réseau utilisant un outil comme Packers Tracer, vous
pouvez créer un réseau LAN virtuel pour expérimenter le partage de ressources entre
plusieurs appareils. Voici comment vous pourriez procéder :

1. Créez un réseau LAN virtuel : Utilisez Packers Tracer pour créer un réseau local virtuel
en ajoutant des périphériques tels que des ordinateurs, des routeurs, des commutateurs et des
imprimantes.

2. Configurez les paramètres réseau : Configurez les adresses IP des périphériques du


réseau LAN afin qu'ils puissent communiquer entre eux. Assurez-vous que tous les appareils
sont connectés au même réseau local.

3. Partage de fichiers : Configurez le partage de fichiers entre deux ordinateurs du réseau en


partageant un dossier ou un lecteur. Vous pouvez ensuite accéder à ce dossier partagé depuis
l'autre ordinateur pour partager des fichiers.

4. Partage d'imprimante : Connectez une imprimante à l'un des ordinateurs du réseau et


partagez-la pour permettre à d'autres appareils d'imprimer via le réseau.
5. Testez la connectivité : Assurez-vous que tous les appareils peuvent se connecter les uns
aux autres en effectuant des tests de ping ou en essayant d'accéder aux ressources partagées.

En utilisant Packers Tracer, vous pouvez simuler différents scénarios de partage de ressources
au sein d'un réseau LAN virtuel pour mieux comprendre comment fonctionnent ces processus
dans un environnement réel. N'oubliez pas de configurer la sécurité du réseau en mettant en
place des pare-feu, des mots de passe et d'autres mesures pour protéger vos données lors du
partage sur le réseau.

Voici quelques exemples simulation réseau (packers tracer) :

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