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Sommaire
Biographie
Carrière médicale
L'Homme, cet inconnu et l'eugénisme
Fondation française pour l'étude des problèmes humains
Alexis Carrel et Lourdes
Polémiques
Dissociations Alexis Carrel.
Publications Fonction
Notes et références
Notes Régent
Références Fondation française pour l'étude des problèmes
humains
Annexes
Bibliographie 1941-1944
Articles connexes
Liens externes Biographie
Dès une première présentation de ses travaux à Montréal, il reçut une invitation à l'université Membre de Leopoldina
de Chicago et y travailla avec Charles Claude Guthrie (en), écrivant avec lui 21 articles en
Académie américaine des arts
et des sciences
22 mois, décrivant les perfectionnement successifs de ses techniques d'anastomoses
Académie des sciences de
vasculaires, démontrant pour la première fois qu'une veine pouvait être substituée à une artère, Russie
rapportant la première transplantation d'organe expérimentale en 1905. Le soutien financier de Académie des sciences
l'université s'avérant malgré tout faible, il accepta un poste au sein de l'Institut Rockefeller Académie nationale des
(Rockefeller Institute for Medical Research). En 1908, il réalise la première auto- sciences
3 Académie des sciences de
transplantation rénale parfaitement fonctionnelle sur une chienne puis reproduit l'exploit avec
2 l'URSS (en)
la plupart des organes (cœur, thyroïde) . Il fut ainsi un pionnier de la transplantation d'organes.
Focalisant ses travaux sur la chirurgie cardiaque, il réalisa en 1910 le premier pontage Académie pontificale des
cardiaque expérimental. En 1912, il obtint le prix Nobel de physiologie ou médecine « en
sciences (1936)
reconnaissance de ses travaux sur la suture vasculaire et la transplantation de cellules Distinctions Commandeur de l'ordre de
4 Léopold
sanguines et d'organes », devenant à l'époque à la fois le plus jeune lauréat et le premier
scientifique récompensé pour ses travaux hors de son propre pays. Par la suite, il orienta ses Prix Nobel de physiologie ou
5
travaux sur la culture de tissus . médecine (1912)
Commandeur de la Légion
Une expérience d'Alexis Carrel qui a beaucoup marqué son époque a été le cœur de poulet qu'il d'honneur (1917)
a fait vivre in vitro, dans un liquide nutritif, pendant une durée de plusieurs décennies (âge que Œuvres principales
n'atteint aucun poulet). Il ouvrait ainsi la voie à deux thèmes de recherches :
L'Homme, cet inconnu (d)
la conservation d'organes vivants à des fins éventuelles de greffes ;
la limite exacte de la durée de vie des différents organes.
En ce qui concerne la durée pendant laquelle ce cœur a effectivement battu, les informations divergent, de 28 à 37
ans.
Pendant la guerre de 1914, il revint en France, où, avec le chimiste anglais Henry Drysdale Dakin, il développa la
méthode de Carrel-Dakin de traitement des brûlures (notamment la solution de Dakin) qui, avant le
développement des antibiotiques, sauva la vie de nombreux blessés de guerre. Pour ses découvertes, il fut décoré
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de la Légion d'honneur . C'est alors qu’il se lia à Philippe Pétain. De retour aux États-Unis, il continua des
travaux précurseurs sur le cœur artificiel, qui lui valurent l’amitié et le soutien de Charles Lindbergh, avec qui il
écrivit La Culture des organes en 1938. Ils travaillèrent ensemble à la création de la circulation extra-corporelle
(ouvrant la voie à la chirurgie thoracique et à celle de l’aorte). Au milieu des années 1930, il patronne le Centre
d’études des problèmes humains de Jean Coutrot.
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En juillet 1939, atteint par la limite d’âge inflexible de l’Institut Rockefeller , il rentre en France, deux mois
avant le début de la Seconde Guerre mondiale. En guise de soutien à l’effort de guerre, il développe des
techniques de conservation du sang et conçoit un hôpital militaire mobile, qui sera utilisé pour la première fois
par les Britanniques en Afrique du Nord.
Caricature du docteur Carrel à New
Alexis Carrel est l’inspirateur du mouvement de l’hygiène vitale (naturopathie), philosophie de la force vitale, et York par Georges Villa. Musée des
du téléfinalisme, la science de l’humorisme (liquide du corps, sang, lymphe, émonctoire) et des 10 techniques de Hospices civils de Lyon, inventaire N
° 2007.0.680.M
santé.
On attribue à Carrel la phrase « Une cellule bien hydratée, bien nourrie, bien débarrassée de ses déchets se
renouvelle perpétuellement », suggérant à long terme une possible immortalité des organismes. Ce thème sera souvent repris par Jean Rostand [réf. nécessaire].
Il est inhumé dans un petit oratoire sur l’île Saint-Gildas dans les Côtes-d'Armor qui était sa propriété, achetée avec l’argent de son prix Nobel.
En 1979, l'Union astronomique internationale a donné le nom de Carrel à un cratère lunaire, en l'honneur des contributions scientifiques du prix Nobel Alexis
Carrel.
Il estime dans cet ouvrage qu'il « faut établir des relations nouvelles entre les hommes [et] tirer l'individu de l'état de diminution intellectuelle, morale et
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physiologique amené par les conditions modernes de la vie. De développer en lui toutes ses activités virtuelles. De lui donner la santé », et présente un
programme en plusieurs points : « substituer des concepts scientifiques de la vie aux anciennes idéologies ; développer harmonieusement dans chaque individu
toutes ses potentialités héréditaires ; supprimer les classes sociales et les remplacer par des classes biologiques, la biocratie au lieu de la démocratie ; rendre les
9, 10
hommes aptes à se conduire rationnellement : la fraternité, la loi de l'amour ; le but de la vie n'est pas le profit » .
Estimant que « la sélection naturelle n'a pas joué son rôle depuis longtemps » et que « beaucoup d'individus inférieurs ont été conservés grâce aux efforts de
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l'hygiène et de la médecine » , il affirme que l'eugénisme est indispensable pour la perpétuation d'une élite possédant une connaissance globale de l'homme.
Celle-ci pourrait changer profondément la société moderne et ainsi permettre aux hommes de se développer indéfiniment, en gardant son intelligence et son sens
moral. Pour ce, il propose d'abord un eugénisme volontaire. Il indique que « par une éducation appropriée, on pourrait faire comprendre aux jeunes gens à quels
12
malheurs ils s'exposent en se mariant dans des familles où existent la syphilis, le cancer, la tuberculose, le nervosisme, la folie, ou la faiblesse d'esprit » . Il y
plaide aussi pour un eugénisme que l'on qualifie aujourd'hui de négatif, c'est-à-dire l'élimination pure et simple d'humains qu'il estime indésirables à son projet de
« restauration de l'homme dans l'harmonie de ses activités physiologiques et mentales » dans le but de « changer l'Univers ». Ainsi, dans le chapitre VIII
Reconstruction de l'homme, sous-chapitre XII Le Développement de la personnalité, il propose le (re-)conditionnement par le fouet et l'euthanasie pour les plus
note 2
criminels, même s'ils sont aliénés .
Toutefois, les enseignements de « L'Homme, cet inconnu » ne se réduisent pas exclusivement à l'eugénisme, loin s'en faut, et bon nombre des idées de Carrel, bien
que parfois dérangeantes, sont encore aujourd'hui d'actualité [réf. nécessaire].
En 1941, il rencontre le maréchal Pétain qui le nomme « régent » de la Fondation française pour l'étude des problèmes humains chargée de « l’étude, sous tous ses
aspects, des mesures les plus propres à sauvegarder, améliorer et développer la population française dans toutes ses activités ». Fonctionnant de manière
autonome, sans lien avec les autorités (elle accueillait collaborateurs et résistants), la Fondation a pour secrétaire général François Perroux, avant que celui-ci ne
se brouille avec Carrel. Elle est notamment à l’origine de la loi instaurant la médecine du travail, le certificat prénuptial (loi du 16 décembre 1942) et le livret
scolaire. Elle se livre à des travaux sur la démographie (Robert Gessain, Paul Vincent, Jean Bourgeois), sur la nutrition (Jean Sutter), sur l'habitat (Jean Merlet) et
aux premières enquêtes par sondage (Jean Stoetzel). Entre mi-1942 et mi-1944, il est soutenu par Le Corbusier comme conseiller technique. En 1944, Carrel
refuse le poste d’ambassadeur de France à Berne, invoquant sa santé défaillante.
À la Libération de Paris, Carrel est cloué chez lui par une grave attaque cardiaque. Il est une des toutes premières personnalités visées par le gouvernement
provisoire de la République française (GPRF). Il est suspendu de ses fonctions le 21 août 1944 à la demande de Paul Milliez et de Louis Pasteur Vallery-Radot, la
14
Fondation dissoute. Mais il compte de nombreux soutiens américains et Eisenhower reçoit l’ordre de « ne pas laisser toucher à Carrel » . Il meurt le matin du
5 novembre à son domicile du 54, avenue de Breteuil.
Quelques chercheurs de son équipe (7 % du personnel de la Fondation, selon les recherches de Paul-André Rosental dans les fichiers du personnel) sont recrutés,
en octobre 1945, par l'INED d’Alfred Sauvy. D’autres le sont par l’Institut national d’hygiène, futur INSERM, de Robert Debré.
« Il y a là une malade qui est actuellement plus près de la mort que tous les autres. De nombreuses fois j'ai été appelé à son chevet. Cette
malheureuse est arrivée au dernier stade d’une péritonite tuberculeuse. Je connais son histoire. Toute sa famille est morte de tuberculose. Elle a
eu des ulcères tuberculeux, des lésions pulmonaires, et maintenant, ces derniers mois, une péritonite, diagnostiquée tant par un médecin
généraliste que par Bromilloux, un chirurgien renommé de Bordeaux. Son état est très grave, j'ai dû donner de la morphine pendant le voyage.
Elle peut mourir à tout moment, juste sous mes yeux. Si un cas comme le sien arrivait à guérir, ce serait réellement un miracle. Je ne douterais
plus jamais… Son état ne cesse de se détériorer. Si de retour chez elle, elle était encore en vie, ce serait déjà un miracle… Elle est condamnée.
La mort est toute proche. Son pouls est très rapide, cent cinquante battements par minute et irréguliers. Le cœur s'affaiblit… »
La guérison de Marie Bailly suite à son voyage à Lourdes fut à l'origine du retour de Carrel au christianisme.
Polémiques
Après un temps d'oubli, le rôle et la personnalité d'Alexis Carrel furent à nouveau objets de polémiques, lorsque Bruno Mégret le cita comme le « premier
Français vraiment écologiste » lors d'une controverse avec les Verts sur la politique d'immigration (1991). Il s'ensuivit alors un débat, au cours duquel Alexis
Carrel fut accusé d'avoir été complice des théories nationales-socialistes. Ses thèses eugénistes, ses liens avec Philippe Pétain, avec Charles Lindbergh,
15 16, 17
compagnon d'antisémitisme d'Henry Ford et soutien politique du national-socialisme , et surtout un extrait de la préface à l'édition allemande de L'Homme,
cet inconnu, en 1936 :
« En Allemagne, le gouvernement a pris des mesures énergiques contre l'augmentation des minorités, des aliénés, des criminels. La situation
idéale serait que chaque individu de cette sorte soit éliminé quand il s'est montré dangereux »
Cependant, pour le professeur René Küss, membre de l'Académie de chirurgie, ancien président de la Société française de transplantation, « reprocher à Carrel
21
d'être l'initiateur des chambres à gaz est une escroquerie historique . »
« Les sexes doivent de nouveau être nettement définis. Il importe que chaque individu soit, sans équivoque, mâle ou femelle. Que son
éducation lui interdise de manifester les tendances sexuelles, les caractères mentaux et les ambitions du sexe opposé. »
22
— L'Homme, cet inconnu
Dissociations
note 3
Alexis Carrel était membre, sous l'Occupation, du PPF de Jacques Doriot, parti pro-nazi : à la suite de pétitions lancées pour certaines par des mouvements
23 24
d'extrême gauche et antiracistes , la faculté de médecine de l'Université Lyon I Alexis-Carrel — faisant partie de l'Université Claude-Bernard — fut rebaptisée
25, note 4
en 1996 R.T.H Laennec et plusieurs rues portant son nom furent débaptisées .
26
Au Québec, en 2015, à Gatineau la rue Alexis-Carrel devient rue Marie-Curie . À Montréal, en 2017, l'avenue et le parc Alexis-Carrel deviennent avenue Rita-
27
Levi-Montalcini et parc Don-Bosco .
À Limoges, l'avenue Alexis Carrel, où se situent notamment le CHU et la faculté de médecine, est renommée avenue Martin Luther King.
Publications
Anastomose bout à bout de la jugulaire et de la carotide primitive. Lyon Med 1902;99:114.
Présentation d’un chien porteur d’une anastomose artérioveineuse. Lyon Med 1902;99:152.
avec CC. Guthrie, Functions of a transplanted kidney. Science 1905;22:473.
The transplantation of organs: a preliminary communication. JAMA 1905;45:1645–6.
avec CC. Guthrie, Extirpation and replantation of the thyroid gland with reversal of the circulation. Science 1905;22:535.
The surgery of blood vessels. Johns Hopkins Hosp Bull 1907;18:18.
On the experimental surgery of the thoracic aorta and heart. Ann Surg 1910;52:83–95.
Suture of blood-vessels and transplantation of organs. In: Nobel Lectures, Physiology or Medicine 1901-1921. Amsterdam: Elsevier
Publishing Company, 1967, disponible en-ligne (http://nobelprize.org/medicine/laureates/1912/carrel-lecture.html).
Les Principes de la technique de la stérilisation des plaies, 1916
L'Homme, cet inconnu, Plon, 1935 [nb. rééditions, dont Presses Pocket 1981].
La Prière, Plon, mai 1944
Voyage à Lourdes suivi de Fragments de Journal et Méditations, Plon (1949, posthume), préface de Dom Alexis Presse
Réflexions sur la conduite de la vie, 1950 (posthume)
Notes et références
Notes
1. Dans son ouvrage posthume Le Voyage de Lourdes, il décrit cet évènement d'après le témoignage du docteur Louis Larrec, anagramme de
Carrel.
2. « Le conditionnement des criminels les moins dangereux par le fouet, ou par quelque autre moyen plus scientifique, suivi d’un court séjour à
l’hôpital, suffirait probablement à assurer l’ordre ; quant aux autres, ceux qui ont tué, qui ont volé à main armée, qui ont enlevé des enfants, qui
ont dépouillé les pauvres, qui ont gravement trompé la confiance du public, un établissement euthanasique, pourvu de gaz appropriés,
permettrait d’en disposer de façon humaine et économique. Le même traitement ne serait-il pas applicable aux fous qui ont commis des actes
criminels ? »
3. Notamment par la Ligue des droits de l'homme
Parmi les signataires d'une des pétitions, on trouve entre autres Georges Charpak, Serge Klarsfeld, Pierre Bourdieu, Françoise Héritier,
Maurice Rajsfus, Serge Ravanel, etc.
4. De façon emblématique, un arrêté municipal du 24 mai 2002 a rebaptisé la rue Alexis-Carrel du 15e arrondissement de Paris en rue Jean-
Pierre-Bloch, en l’honneur de Jean Pierre-Bloch (1905-1999), qui fut président de la LICRA.
Références
1. https://www.academie-chirurgie.fr/bios/carrel230113.pdf.
2. Jean-Noël Fabiani, Ces histoires insolites qui ont fait la médecine : Tome 2 : Les transplantations, Plon, 2012, 229 p. (ISBN 225921701X)
3. René Küss, Pierre Bourget, Une histoire illustrée de la greffe d'organes: la grande aventure du siècle, Frison-Roche, 1993, p. 29
4. (en) « in recognition of his work on vascular suture and the transplantation of blood vessels and organs » in Personnel de rédaction, « The
Nobel Prize in Physiology or Medicine 1912 (http://nobelprize.org/nobel_prizes/medicine/laureates/1912/) », Fondation Nobel, 2010. Consulté
le 22 novembre 2010
5. Transplantation at 100 years: Alexis Carrel, pioneer surgeon, Ann Thorac Surg 2005;80:2415-8.
6. « Notice 19800035/789/89205, non communicable - il est déjà commandeur en 1917. » (http://www2.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?A
CTION=CHERCHER&FIELD_1=COTE&VALUE_1=19800035%2F789%2F89205).
7. Rockefeller Institute for Medical Research.
8. Alexis Carrel, L'Homme, cet inconnu, Plon, Paris, 1941, p. 355.
9. Alexis Carrel, L'Homme, cet inconnu, p. 235
10. Elie Feuerwerker, « Alexis Carrel et l'eugénisme », Le Monde, 1er juillet 1986.
11. Alexis Carrel, L'Homme, cet inconnu, Plon, Paris, 1941, p. 359.
12. Alexis Carrel, L'Homme, cet inconnu, Plon, Paris, 1941, p. 364.
13. France's New Deal: From the Thirties to the Postwar Era. Philip Nord, Princeton University Press 2010;p. 59.
14. Henriette Delaye-Dider Delorme, Alexis Carrel - Humaniste chrétien 1873-1944 - Prix Nobel 1912, Apostolat des Éditions, 1963
15. Compte rendu de l'agent du FBI Harry Bennett in Collier, P. & D. Horowitz, The Fords: an American Epic, p. 205 & note & p. 457, New York,
1987. (ISBN 1-893554-32-5).
16. [1] (https://meta.wikimedia.org/wiki/WikiConvention_francophone/2017/Soumissions)
17. Discours du 11 septembre 1941 de Charles Lindbergh à Desmoines. (https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=54ozdotS
tW8)
18. Amnistia.net, L'affaire Alexis Carrel, un Prix Nobel précurseur des chambres à gaz (http://www.amnistia.net/news/enquetes/negauniv/carrel/carr
el.htm) par Didier Daeninckx.
19. Jacques Chazaud et Lucien Bonnafé, La folie au naturel, Paris, L'Harmattan, 2005, 110 p. (présentation en ligne (https://books.google.fr/book
s?id=a6TYRkw4L3IC&pg=PA110&lpg=PA110&dq=%22En+Allemagne,+le+gouvernement+a+pris+des+mesures+énergiques%22&source=web
&ots=YPxi2Lt1j9&sig=nRFIdmBeAOnuAcXgnK6MmG-GwVo&hl=fr))
20. Bernard Kanovitch, L’Éthique biomédicale : posture ou imposture ?, Odile Jacob, 2012, p. 87-88
21. Le Figaro, 31 janvier 1996.
22. Source : lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr. (http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/archive/2009/01/14/homosexualite-legislation-pe
tainiste-au-senegal.html)
23. Les enjeux de l'affaire Carrel (http://www.raslfront.org/archives/14_38.html), Ras l'Front, juillet-août 1993
24. [PDF], communiqué du MRAP, février 2001
25. Médecine Sciences (http://www.erudit.org/revue/ms/2004/v20/n6-7/008693ar.html)
26. Des noms de rues associés au nazisme disparaissent à Gatineau. (http://m.radio-canada.ca/regions/ottawa/2015/08/05/001-changement-noms
-rues-nazisme-gatineau.shtml)
27. Marissa Groguhé, « Alexis Carrel effacé de Montréal », La Presse, 9 août 2017 (lire en ligne (http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/20170
8/09/01-5123096-alexis-carrel-efface-de-montreal.php))
Annexes
Articles connexes
Francois Perroux
Chirurgie vasculaire
Fondation française pour l'étude des problèmes humains
Liens externes
(en) Biographie (https://www.nobelprize.org/prizes/medicine/1912/carrel/biographical/) sur le site de la fondation Nobel (le bandeau sur la
page comprend plusieurs liens relatifs à la remise du prix, dont un document rédigé par la personne lauréate — le Nobel Lecture — qui
détaille ses apports)
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Bibliothèque nationale de Suède (http://libris.kb.se/auth/326665) · WorldCat (http://www.worldcat.org/identities/lccn-n79-007704)
Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes : American National Biography (https://doi.org/10.1093/anb/9780198606697.a
rticle.1200146) • Encyclopædia Britannica (https://www.britannica.com/biography/Alexis-Carrel) • Encyclopædia Universalis (https://www.uni
versalis.fr/encyclopedie/alexis-carrel/) • Gran Enciclopèdia Catalana (https://www.enciclopedia.cat/EC-GEC-0015296.xml) • Swedish
Nationalencyklopedin (https://www.ne.se/uppslagsverk/encyklopedi/lång/alexis-carrel) • Store norske leksikon (https://snl.no/Alexis_Carrel)
Ressources relatives à la recherche :
Les Classiques des sciences sociales (http://classiques.uqac.ca/classiques/carrel_alexis/carrel_alexis.html) ·
La France savante (http://cths.fr/an/prosopo.php?id=107117) · (en) Who Named It? (http://www.whonamedit.com/doctor.cfm/445.html)
Ressource relative à la santé :
Bibliothèque interuniversitaire de santé (http://www.biusante.parisdescartes.fr/histoire/biographies/index.php?cle=1878)
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