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PARTIE I :
Doc 1
(Lynda) cette image représente les problèmes liés à l’augmentation de l’abstention en Europe. Elle
montre que les européens ne vont plus voter car pour eux l’Europe n’est plus démocratique. Elle
met également en avant le paradoxe entre le fait de ne pas voter et le fait de se plaindre du la
situation politique.
Doc 2
(Lynda) Il semblerai que certains pays de l’union européenne ne sois plus catégoriser
comme des « démocraties » mais plutôt comme des « démocraties imparfaites » : l’Italie, Pologne,
Hongrie, Croatie, Roumanie, Pays-Bas, Grèce, et encore d’autres petits pays. Le système politique
de l’UE est organiser comme une démocratie. Ce sont dans les pays qui la constitue qu’il y a des
problèmes liés à la démocratie.
Doc 3
- « L’Union européenne n’est pas démocratique ! Vraiment ?
L’UE a tout d’abord l’obligation de faire de larges consultations avant de proposer une initiative
législative. Chaque citoyen, partie prenante, association, etc. peut exprimer son avis et faire une
contribution qui sera analysée. La Commission est très consciente de la complexité de la législation
et des procédures européennes. Elle travaille à leur simplification et pour ce faire a mis en place
une plateforme appelée « REFIT » qui permet aux citoyens de faire des suggestions pour alléger la
législation européenne et réduire les formalités. Par exemple, pour la période 2021-2027, la
Commission a proposé 80 mesures de simplification pour la mise en œuvre de la politique de
cohésion (fonds social, fonds de développement régional, fonds pour la pêche).
Les conclusions de la Conférence seront connues au printemps 2022 et devront traduire les
principales propositions et questions des Européens. Un exercice de démocratie participative
réussi ? Selon les Européens, oui ! Les résultats d’un Eurobaromètre publié le 9 mars 2021,
indiquent que 76% des Européens s’accorderaient à dire que la Conférence sur l’avenir de l’Europe
est un “progrès significatif pour la démocratie en Europe”. »
→ 8 juillet 2020 (Dernière mise à jour: 16 février 2022) par les représentations en France
et publier par la Commission Européenne
(Lynda) cet article parle du type de démocratie que l’on trouve dans l’EU.
doc 4
doc 5
« L'Italie chute dans un classement des démocraties, la France se maintient au 29e rang
L'Italie, qui pointe à la 33e place sur 167, et la France sont considérées comme des "démocraties
imparfaites" dans le classement établi par les experts de la société britannique The Economist
Intelligence Unit.
L'Italie, dirigée depuis juin par un gouvernement d'alliance entre un parti anti-système (le M5S) et
un parti d'extrême droite (la Ligue), a plongé au classement annuel des démocraties établi par The
Economist Intelligence Unit (en anglais), publié mercredi 9 janvier. Le pays arrive en 33e position
en 2018, soit douze places de moins que l'année précédente, selon ce rapport établit par des experts.
Cette chute est en grande partie liée aux mesures portées par la Ligue de Matteo Salvini, homme
fort du gouvernement. Son parti s'est allié pour former un gouvernement avec le Mouvement cinq
étoiles (M5S) dirigé par Luigi Di Maio, qui est cependant épargné par le rapport.
L'Italie souffre d'une "profonde désillusion à l'encontre des institutions politiques, dont le Parlement
et les partis politiques, qui se répercute à travers un soutien à des 'hommes forts' contournant les
institutions politiques", décrivent les experts. Matteo Salvini "a souvent utilisé une rhétorique anti-
étrangers" et a prôné l'évacuation de Roms occupant illégalement des logements, en dépit d'une
condamnation de la Cour européenne de justice, relèvent-ils. "Tout cela contribue au risque de
détérioration des libertés civiles", estime le rapport de The Economist Intelligence Unit, une société
britannique.
→ Article rédigé par franceinfo avec AFP , France Télévisions, Publié le 09/01/2019 15:40 Mis à
jour le 09/01/2019 16:10
(lynda) D’Après ce journal, l’Italie et la France sont considérées comme des démocraties
imparfaites depuis 2019. l’Italie perd notamment 10 places dans le classement lors de l’arrive de
Matteo Salvini en tant que sénateur d’extrême droite. Pour The Economist Intelligence Unit, cela
vient des lois contre l’immigration.