N-2016 SM (F), Correction

Physique - chimie 2eme année Sciences Mathématiques
Correction du sujet de l’examen national du Baccalauréat

Session normale : 2016
KACHICHE MUSTAPHA -Madariss MARIA - TEMARA page 1
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Partie I : Etude d’une solution aqueuse d’ammoniac et de sa réaction avec un acide .
1- Etude d’une solution aqueuse d’ammoniac :
1-1- On prépare une solution aqueuse S1 d’ammoniac :
1-1-1- Equation chimique modélisant la réaction de l’ammoniac avec l’eau :
NH3 ( aq)  H 2O() 

 NH4 ( aq)  HO  ( aq)
1-1-2- * Expression du taux d’avancement final 1 de la réaction :
Equation de la réaction NH3 ( aq)  H 2O() 

 NH4 ( aq)  HO  ( aq)
Avancement
Etat du système Quantités de matière (mol)
x(mol)
Etat initial 0 C1.V en excès 0 0
Etat
X C1.V  x en excès x x
intermédiaire
Etat final Xf C1.V  x f en excès xf xf
xf
- Par définition :  1 
xm
- D’après le tableau d’avancement de la réaction :
 
x f  HO  .V et xm  C1.V   1 
HO  
C1
- Le produit ionique de l’eau, et la définition du pH donnent :
H O . HO   Ke
3
 
et H O   10
3
  pH1
 
 HO   Ke .10 pH1
- En combinant toutes ces relations, on aura :
Ke.10 pH1
1
C1
* Vérification de 1  4% :
10 14 .1010,6
A.N :  1   0,04  4%
10 2
1-1-3- * Expression de la constante d’équilibre K associée à l’équation de la réaction :
- Par définition : K 
NH  HO  4
 
NH3 
- D’après le tableau d’avancement de la réaction :
HO   NH    .C

4

1 1  
et NH3   C1  NH 4  C1.(1  1 )
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(1.C1 ) 2 12 .C1
- La constante K peut s’écrire : K  ou bien K 
C1.(1  1 ) 1  1
0,04 2 10 2
* Calcul de sa valeur : K  1,67.10 5 www.chtoukaphysique.com
1  0,04
1-2- On dilue la solution S1, on obtient alors une solution S2 :
1-2-1- Association de la forme basique du couple NH4 / NH3 à la courbe qui lui correspond :
NH3 
- Le pourcentage de la forme basique est :  100
NH3   NH 4 
- Pour une solution basique ce pourcentage est grand et est supérieur à 50% ; donc la courbe
(2) correspond à la forme basique du couple NH4/NH3.
1-2-2- A l’aide des courbes représentées sur la figure :

a- Détermination de pKA1 :
NH3 
- Pour le couple : pH  pK A1  Log
NH  
NH  100
4
NH3  
- Lorsque  100 
4
alors NH3   NH4 
NH3   NH 4  NH   NH 
3 4

- On en déduit : pK A1  pH
- Graphiquement on trouve : pK A1  9,2
b- Détermination du taux d’avancement 2 de la réaction dans la solution S2 :

 2 .C2
2
- Pour la réaction : K  K ne dépond que de la température
1  2
pH2
K .10
- On a aussi :  2  e
C2
K
- En éliminant C2 des 2 relations précédentes, on trouve :  2  pH2
K  K e .10
1,67.10 5
A.N :    0,062  6,2%
1,67.10 5  10 14 1010, 4
2
1-2-2- Que peut-on déduire en comparant 1 et 2 ?
2 = 6,2% > 1 = 4% : On déduit que la dilution augmente la dissociation de l’espèce NH3.
2- Etude de la réaction de l’ammoniac avec l’ion méthylammonium :

2-1- Equation chimique entre ammoniac et l’ion méthylammonium :
NH3 ( aq)  CH3 NH3 ( aq) 

 NH4 ( aq)  CH3 NH2 ( aq)
2-2- La constante d’équilibre K ’ associée à l’équation de cette réaction :
KA2 10  pKA2 ( pKA1 pKA2)
On a K '    K ' 10
KA1 10  pKA1
A.N : K ' 10 9, 210,7  3,2.10 2
2-3- Montrons que : CH NH  

 3 2 
NH   C2 .1  KK' '

4
- D’après le tableau d’avancement de la réaction et à l’équilibre :

CH NH  
 3 2 
NH   2x.V

4
f
et CH NH   
 3 3 
NH3  
C.V  x f
2.V

C
2
 
 NH 4 (Vsol  V  V  2.V )
- Par définition : K ' 

CH NH  
 3 2 
NH  
4
CH NH   
 3 3 
NH3 
- En combinant toutes ces relations, on aura : K ' 

NH   NH   2
4
 2
4
NH   C
  NH 
2 2
 3 
4
2 
Alors
NH    K '  NH   C . K '  NH . K '  NH 1  K '   C .

4   
K'
 NH 
4 4 4
C  2 2
4
2
Finalement : CH NH 
 NH   C2 .1  KK' '
3 2
( aq)  


4 ( aq)
2-4- Le pH du mélange réactionnel à l’équilibre :

NH3 
- Pour le mélange réactionnel ; la relation suivante est vérifié : pH  pK A1  Log
NH 4

- On a les résultats déjà établis :
NH   C2 .1  KK' '


4 et NH3   C  NH 4   C 1 
2 2
 K'  C
 .

1
1 K'  2 1 K'
- En remplaçant les 2 expressions ; on trouve : www.chtoukaphysique.com
C 1 
 . 
pH  pK A1  Log 
C
2 1  K '
K' 
 ou bien pH  pK  Log
A1  K'
 . 
 2 1 K' 
A.N : 
pH  9,2  Log 3,2.10 2  9,95 
Partie II : Electrolyse d’une solution aqueuse de nitrate d’argent.
1- Equation de la réaction qui se produit à l’anode :
  
6.H 2O()  O2 ( g )  4.H 3O ( aq)  4.e
2- Expression de l’avancement x de la réaction à un instant t :
- Dressons le tableau d’avancement :
Equation de la 6.H 2O()  4. Ag  ( aq)  O2 ( g )  4.H 3O ( aq)  4. Ag( s )

réaction Quantité des
Avancement e- échangés :
E.S Quantités de matière (mol)
x (mol)
E. I 0 n0 ( H 2O) n0 ( Ag  ) 0 n0 ( H 3O  ) 0 0
E. x n0 ( H 2O)  6.x n0 ( Ag  )  4.x n0 ( H 3O  )  4.x n (e )  4.x
Inter
x 4.x
E. F xmax n0 ( H 2O)  6.xm n0 ( Ag  )  4.xm xm n0 ( H 3O  )  4.xm 4.xm n (e )  4.xm
- A l’instant t, on peut écrire : nt ( H 3O )  n0 ( H 3O )  4.x alors H 3O    

t 
 H 3O  0  4.
x
V

- On en déduit ; avec H 3O  t  10   pHt

et H 3O    10
0
 pH0
; que :
x
V
4
  pH  pH
. 10 t  10 0 
3- L’instant t1 où le pH du mélange prend la valeur pH1 = 1,5 .
+
- La quantité d’électricité échangée entre H2O et Ag pendant  t  t1  t 0  t1
4.F
Q  I   t  n(e )  F ou bien I  t1  4.x  F alors t1  .x
I
- Finalement on obtient : t1 
F .V
I
 pH  pH
. 10 t  10 0 
9,65.10 4  0,4   1,5
A.N : t1  .10  10  3   4444 s 1h14 min 4s
0,266  
- Physique -
Les transformations nucléaires : La radioactivité du polonium
1- Equation de la transformation nucléaire :
- L’équation de désintégration est : 210
84 Po 
 24He 206
Z Pb
- Conservation de la charge : 84  Z  2 alors Z  82
- L’équation devient : 210
84 Po  206
82Pb  24He
2- Energie ΔE produite lors de la désintégration d’un noyau :
- L’énergie libérée est : Eib  E  E (210 
84 Po)  E ( 2 He )  E ( 82 Pb)
4 206

- A.N : Eib  1,6449 .10 3  28,2989  1,6220 .10 3  5,4MeV
3-1- La proposition juste : est d)

N 0 ( Po)
En effet ; on applique la relation : N D (t  n  t1/ 2 )  N 0 ( Po) 
2n
N0 ( Po) 15.N0 ( Po)
Ici n  4 : N D (t  4.t1/ 2 )  N 0 ( Po)  
16 16
3-2- Détermination en jour de la demi-vie t½ :
. t n 2
- La loi de désintégration : N ( Po)  N0 ( Po).e avec  
t1/ 2
 N ( Po)  n2
- Cette loi peut s’écrire : n 0   .t (1)
 N ( Po)  t1/ 2
 N ( Po) 
- La droite représentant la courbe de la fonction n  0   f ( t ) a pour équation :
 N ( Po) 
 N ( Po) 
n  0   K . t (2) :
 N ( Po ) 
 N ( Po) 
n 0 
 N ( Po)  (1 / 4).n2
K est le coefficient directeur K    5.10 3 j 1
t 34,5
n 2 n 2
- Des 2 relations (1) et (2) ; on déduit que : K  ou bien t1/ 2 
t1/ 2 K
n2
- A.N : t1/ 2   138 ,6 j
5.10 3
N ( Pb) 2
3-3- L’instant t1 pour lequel  :
N ( Po) 5
- N(Pb) est le nombre de noyaux de plomb formés à l’instant t1 ; c’est aussi le nombre de
noyaux du polonium désintégrés :
N ( Pb)  N D ( Po)  N0 ( P0 )  N ( Po)
N 0 ( P0 )  N ( Po) 2 N (P ) 2 N (P ) 7
  0 0 1   0 0 
N ( Po) 5 N ( Po) 5 N ( Po) 5
 N (P )  7
 
Alors n  0 0   n   n 2  .n(2)
1
 N ( Po)  5 2
- Par projection ; on trouve t1  69 j

Remarque :
- Théoriquement on peut écrire :

 N (P )  7 n(2) 7 1 7
n  0 0   n   .t1  n   t1  t1/ 2 . .n 
 N ( Po)  5 t1/ 2 5 n(2)  5 
1 7
- A.N : t1 138 ,6  .n   67,3 j
n(2)  5 
L’ELECTRICITE :
1- Réponse d’un dipôle RL à un échelon de tension :
1-1- Equation différentielle vérifiée par l’intensité i(t) du courant :
- D’après la loi d’additivité des tensions entre A et M :
E  ur  uR  ub
0
- En respectant les conventions :

di
uR  R0 .i ; ur  r.i et ub  r0 .i  L0 .
0
dt
di di
Alors E  r.i  R0 .i  r0 .i  L0 .
 L0 .  (r  r0  R0 ).i  E
dt dt
di (r  r0  R0 )
Finalement :  .i  E
dt L0 L0
1-2- Valeur de E :
- La courbe (C2) passe par l’origine O : à l’instant t = 0 : uBM (0) = 0
La loi d’ohm permet d’écrire : uBM (t) = R0. i(t) :
On en déduit que : i( 0) = 0
- La courbe (C1) représente la tension : uAM (t) = E - r. i(t) ;
et à l’instant t = 0 : uAM (0) = E - r. i(0) = E , puis graphiquement on trouve : uAM (0) = 12 V
On en déduit alors que E = 12 V
1-3- * Valeur de r :
- Quand le régime permanent sera établi :
* Graphiquement on relève les tensions : u AM   10V et uBM   9V
* Ces tensions s’écrivent aussi : u AM   E  r.I max et uBM   R0 .I max
E  u AM 
- Des 2 relations on obtient l’expression : r  R0 .
u BM 
12  10
- A.N : r  45.  10
9
* Montrons que r0 =5 Ω :
di (r  r0  R0 )
- Au régime permanent l’équation différentielle peur s’écrire :  .i  E
dt
 L0 L0
0
di (r  r0  R0 )
On obtient la relation :  . i  E ou bien (r  r0  R0 ).I max  E
dt
 L0 L0
I
0
max
u BM  u
- Remplaçons I max par I max  on aura : (r  r0  R0 ). BM   E
R0 R0
E
- Finalement : r0  R0 .  r  R0
u BM 
12
- A.N : r0  45 .  10  45  5
9
1-4- Vérifions que L0 = 0,18H :
L0
- La constante du temps du circuit étudié a pour expression :  
r  r0  R0
et sa valeur graphiquement est :   3ms  3.10 3 s
- L’expression de l’inductance de la bobine est : L0   .( r  r0  R0 )
- A.N : L0  3.10 3 .(10  5  45)  0,18 H
2- Décharge d’un condensateur dans le dipôle RL :.

2-1- Le régime d’oscillations qui correspond aux courbes de la figure4 :
C’est le régime pseudo périodique.
2-2- Equation différentielle vérifiée par la tension uC(t) :

D’après la figure3 : ub  uR  uc  0
di
En respectant les conventions : ub  L0 .  r0 .i et uR  R.i
dt
dq d (C.uc) duc
On aussi : i    C.
dt dt dt
d 2uc duc d 2uc (r0  R) duc 1

Alors : L0C. 2  (r0  R).C  uc  0 ou bien 2
 .  .uc  0
dt dt dt L0 dt L0 .C
2-3- Energie |Ej| dissipée par effet joule dans le circuit entre t 1 = 0 et t2 = 14ms :
- L’expression de l’énergie totale emmagasinée dans le circuit RLC à l’instant t est :
ETot (t )  .C.uc (t ) 2  .L0 . i (t ) 2 avec i (t )  .u R (t )
1 1 1
2 2 R
 ETot (t )  .C.uc (t )   . 2 . u R (t ) 
1 2 1 L0 2
2 2 R
- L’énergie totale emmagasinée dans le circuit RLC à t1 = 0 est :
2 2
   
1   1 L0  
ETot (0)  .C. uc (0)   . 2 .  u R (0) 
2     2 R    
 12V   0 
1
A.N : ETot (0)   14,1.10 6  12 2  1,02 .10 3 J
2
- L’énergie totale emmagasinée dans le circuit RLC à t2 = 14ms est :
2 2
   
1   1 L  
ETot (t2 )  .C. uc (t2 )   . 02 .  u R (t2 ) 
2      2 R     
  3, 2V    0,5V 
1 1 0,18
 ETot (t2 )   14,1.10 6  (3,2) 2   2  (0,5) 2  1,28 .10 4 J
2 2 20
- L’énergie dissipée est :
E j  ETot (t1  0)  ETot (t2  14 ms )
E j 1,02 .10 3  1,28 .10 4  8,92.10 4 J
3- Oscillations forcées dans un circuit RLC série :
3-1- La fréquence f0 des oscillations électriques à la résonance :

f0
- Expression du facteur de qualité Q  où f : la largeur de la bande passante à -3dB
f
D’où : f 0  Q.f
- A.N : f 0  7 14,3  100 Hz
3-2- La valeur de R1 et celle de C1 :
U
- A la résonance on peut écrire : U  ( R  r0 ).I 0 alors R1   r0
I0
1
- A la résonance on peut écrire : L0 .C1.( 2. . f 0 )2  1 alors C1 
4. f 02 .L0
2
3 1
- A.N : R1   5  11,2 et C1   1,39.10 5 F
0,185 4 10 100  0,18
2
3-3- La puissance électrique moyenne, consommée par effet joule :

- L’expression de la puissance électrique moyenne, consommée par effet joule : Pmoy  RTot .I
2
- Lorsque la fréquence prend l’une des valeurs limitant la bande passante : I  I 0 / 2

( R1  r0 ).I 02
- Finalement : Pmoy 
2
(11,2  5).0,185 2
- A.N : Pmoy   0,28 J
2
LA MECANIQUE :
PARTIE I : Etude de la chute de deux boules dans l’air
1- Equation différentielle du mouvement vérifiée par vz :

- Système à étudier : {La boule}

- Repère d’étude R (O ; k ) supposé galiléen ;
- Bilan des forces extérieures :

* Poids du corps : P  m.g  mg .k
 
* Force de frottement fluide : f  0,22. air. .R 2 vz . k
2
  
- 2ème loi de Newton : m. aG  f  P
- Projection de cette relation vectorielle sur l’axe Oz : m.az  f z  Pz (*)
dvz
- Expressions : f z  0,22.air. .R 2 vz ; Pz   P  m.g et a z 
2
dt
dvz
- La relation (*) devient : m.  0,22. air. .R 2 vz 2  m.g
dt
dvz 0,22. air. .R 2 2 4
- ou bien :  g vz avec m  i .V  . .R3.i
dt m 3
dvz 0,66. air. .R 2
2
- L’équation devient :  g vz
dt 4. .R3.i
dvz 
- Et finalement après simplification :   g  0,165 . air .vz 2
dt R.i
2- Expression de la vitesse limite du mouvement d’une boule :

dvz
- Au régime permanent la vitesse reste constante : vz  vim et 0
dt
 air
- L’équation différentielle s’écrit : 0   g  0,165 . .vim2
R.i
g.R.i
- On obtient l’expression : vim   car vz  0
0,165 . air
3-1- La courbe (C1 ) correspond aux variations de la vitesse de la boule (b) :

- Pour la boule (b) on a :
g.R.i
vim   avec R  6cm et 2  94 Kg.m3
0,165 . air
9,8  6.10 2  94
A.N : vim    16 m.s 1
0,165 1,3
- D’après la figure3 ; la courbe (C1) a une limite finie :
vim  16 m.s 1

- Donc La courbe (C1) correspond aux variations de la
vitesse de la boule (b).
3-2- La courbe (C ’2 ) correspond aux variations de la côte de la boule (a) :

La boule(a) a pour masse volumique 1  1,14.10 4 Kg.m3 et celle de (b) est 2  94 Kg.m3
2  1 . Or les deux boules ont le même volume V  (4 / 3). .R3 ; et que m  .V donc la boule
(b) est plus légère que (a), alors cette dernière arrive la première au sol au bout de 3,7s
contrairement à la boule (b) qui met 4,4s pour toucher le sol : cela montre que les variations
de la côte z de (a) correspond à la courbe (C’2).
4- * La nature du mouvement de la boule (a) :
La courbe(C2) est celle de la fonction linéaire vz (t )  K .t : le mouvement de (a) est rectiligne
uniformément varié.
* Equation horaire z(t) :
vz (16)  0
On a : vz (t )  K .t avec K    9,7m.s 2
t 1,65  0
dz
Or  vz (t )   9,7.t et par intégration et en tenant compte de la condition initiale z(0) = h ;
dt
Alors : z (t )   4,85.t 2  69 z (en m) et t (en s)
5- La différence d’altitude d entre les centres d’inertie des deux boules à t1 = 3,7s :
d   z  zb (t1)  za (t1)  26  0 26 m
6- Détermination de az (tn ) et vz (tn1 ) :

- d’après l’énoncé : vz (tn )   11,47 m.s 1
 air 2
- L’équation différentielle s’écrira : az (tn )   g  0,165 . .vz (tn )
R.i
1,3
A.N : az (tn )   9,8  0,165 .  (11,47 ) 2  4,8m.s 2
0,06  94
- L’équation d’Euler permet d’écrire : vz (tn1 )  vz (tn )  az (tn ). t
A.N : vz (tn1 )  11,47  (4,8)  0,125  12,10 m.s 1 www.chtoukaphysique.com
PARTIE II : Etude du mouvement d’un pendule de torsion :

1- Equation différentielle vérifiée par l’abscisse  (t ) du pendule :
- Système à étudier : {la tige MN}
 
- Repère d’étude R (O ; i ; j ) supposé galiléen ;
- Bilan des forces extérieures :

* Poids de la tige : P

* Action du fil de torsion : T
* Action du couple de torsion de moment : Mc   C .
- La relation fondamentale de la dynamique dans le cas de la rotation :
  ..  
M  ( P)  M  ( T )  Mc  J  . avec M  ( P)  M  ( T )  0
- On aboutit à la relation demandée :
.. C
  .  0
J
.  7 
2-1- Montrons que  (t )  4. sin1,6 t   :
 6 
.
- Les fonctions horaires  (t ) et  (t ) ont la même période T0 :
- D’après la figure 5, la période est :
2. 2
T0  1,25 s   .  1,6.
T0 1,25
.
- La vitesse angulaire maximale  m :
 2. 
On a la solution de l’équation est :  (t )   m . cos t   
 T0 
. 2.  2.  .  2. 
Alors la vitesse angulaire à l’instant t est :  (t )    m .sin t      m .sin t   
T0  T0   T0 
. 2. 
On en déduit que :  m  . m  1,6     4rad.s 1 ( 2  10)
T0 4
.
. . . m
 0 alors sin  
1
- La phase  à l’instant t = 0 :  0   (0)   m . sin   
2 2
 www.chtoukaphysique.com
On en déduit que :   rad
6
.       
Finalement on peut écrire :  (t )   4.sin1,6. t   or  sin1,6. t    sin (1,6. t  )   
 6  6  6 
.  7. 
Donc la solution est :  (t )  4. sin 1,6. t  
 6 
2-2- La valeur de la constante de torsion C du fil :
2 2
C  2.   2. 
On sait que :   alors C  J  . 
J   T0   T0 
2
4  2. 
A.N : C  4.10  .   1,02.10 2 N .m.rad 1
 1,25 
3- * La valeur de l’énergie mécanique de l’oscillateur :
1 .2 1
Em  Ec  E pt  E pp avec Ec  J  . , E pt  C. 2 et E pp  0
2 2
.2
Alors Em  Cte et Em  J  . m
1
2
1
A.N : Em   4.10 4  42  3,2.10 3 J
2
* La valeur de son énergie potentielle à l’origine des dates t = 0 :
A l’instant t = 0 : Em  Ec (0)  E pt (0)  E pt (0)  Em  Ec (0)
.
1 . . 
Donc E pt (0)  Em  J  . 0 or  0   m
2
2 2
1 .
Alors : E pt (0)  Em  J  . m
2
8
1
A.N : E pt (0)  3,2.10 3   4.10 4  42  2,4.10 3 J
8

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Physique - chimie 2eme année Sciences Mathématiques

Correction du sujet de l’examen national du Baccalauréat

NH3 ( aq)  H 2O() 

1-1-2- * Expression du taux d’avancement final 1 de la réaction :

Equation de la réaction NH3 ( aq)  H 2O() 

1-2-2- A l’aide des courbes représentées sur la figure :

- Graphiquement on trouve : pK A1  9,2

b- Détermination du taux d’avancement 2 de la réaction dans la solution S2 :

1-2-2- Que peut-on déduire en comparant 1 et 2 ?

2 = 6,2% > 1 = 4% : On déduit que la dilution augmente la dissociation de l’espèce NH3.

2- Etude de la réaction de l’ammoniac avec l’ion méthylammonium :

NH3 ( aq)  CH3 NH3 ( aq) 

A.N : K ' 10 9, 210,7  3,2.10 2

2-3- Montrons que : CH NH  

- D’après le tableau d’avancement de la réaction et à l’équilibre :

- Par définition : K ' 

- En combinant toutes ces relations, on aura : K ' 

2-4- Le pH du mélange réactionnel à l’équilibre :

- On a les résultats déjà établis :

NH   C2 .1  KK' '

Equation de la 6.H 2O()  4. Ag  ( aq)  O2 ( g )  4.H 3O ( aq)  4. Ag( s )

- A l’instant t, on peut écrire : nt ( H 3O )  n0 ( H 3O )  4.x alors H 3O    

3-1- La proposition juste : est d)

- Par projection ; on trouve t1  69 j

- Théoriquement on peut écrire :

- En respectant les conventions :

2- Décharge d’un condensateur dans le dipôle RL :.

2-2- Equation différentielle vérifiée par la tension uC(t) :

d 2uc duc d 2uc (r0  R) duc 1

3- Oscillations forcées dans un circuit RLC série :

3-1- La fréquence f0 des oscillations électriques à la résonance :

3-3- La puissance électrique moyenne, consommée par effet joule :

- Lorsque la fréquence prend l’une des valeurs limitant la bande passante : I  I 0 / 2

1- Equation différentielle du mouvement vérifiée par vz :

2- Expression de la vitesse limite du mouvement d’une boule :

3-1- La courbe (C1 ) correspond aux variations de la vitesse de la boule (b) :

vim  16 m.s 1

3-2- La courbe (C ’2 ) correspond aux variations de la côte de la boule (a) :

6- Détermination de az (tn ) et vz (tn1 ) :

PARTIE II : Etude du mouvement d’un pendule de torsion :

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