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D4& o P

4C5
REPUBLIOUE FRANCAISE
Liberté - Egalité - Fraternité

DIRECTION GENERALE LI
DE LA POLICE NATIONALE

Circonscription de Sécurité
Publique d'EVRY

r`/ TQ/ P
RO no: 16/33996 EVRY, le 16/11/2016
PV n° : 16/8200

jN ^^RUC
SOIT TRANSMIS
❑ En retour
LI

❑ Se trouver compétent ❑ Autre destinataire :

Après objet : Cour d'Appel de Poitiers

M Rempli Tribunal de grande instance de Poitiers

Cabinet de Delphine ROUDIERE


❑ Non Rempli
Vice-présidente chargé de l'application
des peines
OBJET : En ayant l'honneur de vous transmettre le présent,
10 place Alphonse Lepetit
BP 527

Vos références :N° Parquet: 12016000038


N° dossier:JIJI115000001 86020 Poitiers Cedex

Le Commissaire Divisionnaire
Commissaire Central
Chef du District d' EVRY
f^>
Thierry MATHS '1

Le Commissaire de Police
Commissaire Central Adjoint

Arnaud FRANCAI
REPUBLIQ'JE FRANCAISE
MINISTERE DE L'INTERIEUR, DE L'OUTRE-MER ET
~' o
DES COLLECTIVITES TERRITORIALES
DIRECTION GENERALE DE LA POLICE NATIONALE
DIRECTION CENTRALE DE LA SECURITE PUBLIQUE

PROCES V E R BAI...
COMMISSARIAT DE POLICE
D'EVRY, BOULEVARD DE FRANCE
91012 EVRY
Tel : 01 60 76 70 00
Fax: 01 60 76 71 92
Code INSEE : 91228

P. V. : n°2016/008200 L'an deux mil seize,


--------------- Le dix-neuf septembre, à neuf heures cinquante six
AFFAIRE:
ClX
Commission rogatoire de Nous, YMED AKROUT
Madame Delphine ROUDIERE LIEUTENANT DE POLICE
Vice - présidente chargée de En fonction à la Brigade de Sureté Urbaine
l'Instruction au TGI de Poitiers

OBJET: OFFICIER DE POLICE JUDICIAIRE en résidence à la C. S. P. EVRY


SAISINE
--- Nous trouvant au service,
--- Poursuivant l'exécution de la commission rogatoire numéro JIJI11500001 délivrée
le 25/08/2016 par Madame ROUDIERE DELPHINE, VICE PRESIDENT CHARGE
DE L'INSTRUCTION près la COUR D'APPEL POITIERS
informant contre X,
--- Vu les articles 81, 151 à 155 du Code de procédure pénale, ---
---- Sommes chargés de procéder à l'exécution des instructions émanant de notre
hiérarchie nous prescrivant d'exécuter la commission rogatoire ci dessus libellée:

Cour d'Appel de Poitiers


Tribunal de grande instance de Poitiers

Cabinet de
Delphine ROUDIERE
Vice-président chargé de l'instruction

N° parquet :12016000038
N° de dossier: JIJI115000001

Commission rogatoire

Nous, Delphine ROUDIERE vice-président chargé de linstruction, en notre cabinet


au Tribunal de Grande Instance de Poitiers,

Vu l'information suivie contre :

Des chefs de USAGE DE FAUX EN ECRITURE faits prévus par ART.441-1 C.


PENAL et réprimés par ART.441-1 AL.2, ART.441-10, ART.441-11 C. PENAL.
DESTRUCTION DE DOCUMENT OU OBJET CONCERNANT UN CRIME OU UN
DELIT POUR FAIRE OBSTACLE A LA MANIFESTATION DE LA VERITE faits
prévus par ART.434-4 AL.1 2° C. PENAL et réprimés par ART.434-4 AL.1,
ART.434-44 AL.1, AL 4C PENAL.
Vu les articles 18,81, 151 et suivants du code de procédure penale N

Etant dans l'impossibilité de procéder nous même aux actes ci-joints nécessaires, n
DONNONS commission rogatoire aux fins de procéder aux operations z"
indiquées ci-joint à : /

2016/0030491578
Suite PV n° 2016/008200.... du 19/09/2016 Pag e 2/2

Madame/Monsieur le Commissaire de Police


d'Evry
Hôtel de police
Boulevard de France
91012 EVRY CEDEX

Disons que les procés verbaux dressés nous seront transmis, en un seul
exemplaire, avant le 16 novembre 2016, délai de rigueur

Fait en notre cabinet, le 16 Août 2016


La Vice-présidente chargée de l'instruction

Delphine ROUDIERE

MISSION
Dans l'information ouverte sur plainte avec constitution de partie civile de Pierre
GENEVIER, j'ai l'honneur de vous prier de bien vouloir compléter les investigations
nécessaires pour vérifier la matérialité des faits dénoncés.

Me référant à votre procédure CRIAT D'EVRY 201/10430;

Vu les demandes d'acte aux fins d'audition formées par la partie civile le 30
mai 2016, 23 juin 2016,

Il s'agira de rechercher auprès de l'organisme CA Consumer FINANCE-SOFINCO


désormais rue du Bois Sauvage à Evry:

- Mme QUERNE, Monsieur BRUOT responsable du service consommateur


Au sujet d'un crédit CA-CF Sofinco n°32098936567 (référence INTRUM
JUSTITIA n°1027105301) du 11.05.1987

- Il vous sera indiqué quand et pourquoi ce contrat aurait été détruit des archives
alors que des sommes étaient réclamées au présumé débiteur

- Qui est le signataire du contrat et comment celui-ci retrouvé en dépit de ses


déménagements et de son séjour aux Etats-Unis

- Dans la mesure où Pierre GENEVIER demande que tous les PDG et DG de la


société depuis 1987 soient entendus au sujet de son contrat de prêt, vous
rechercherez quelles sont les structures chargées du contentieux client et
recouvrement. Vous m'indiquerez les coordonnées du service juridique de cette
société de crédit.

A ces fins, et d'une manière générale, je vous prie de bien vouloir procéder à tous
actes utiles à la manifestation de la vérité et l'accomplissement de votre mission.-

Fait en notre cabinet; le 16 Août 2016


La Vice-présidente chargée de l'Instruction

tE
-----Dont acte.----
REPUBLIQ^UE FRANCHISE
MINISTERE DE L'INTERIEUR, DE L'OUTRE-MER ET
DES COLLECTIVITES TERRITORIALES
DIRECTION GENERALE DE LA POLICE NATIONALE
DIRECTION CENTRALE DE LA SECURITE PUBLIQUE

PROCES-VERBAL
DE POLICE PV n° 00433/2016/008200
D'EVRY, BOULEVARD DE FRANCE
91012 EVRY
Tel : 01 60 76 70 00
Fax: 01 60 76 71 92
Code INSEE : 91228

P. V. : n°2016/008200 L'an deux mil seize,


Le dix-neuf septembre, à dix heures
AFFAIRE:
C/X
Commission rogatoire de Nous, YMED AKROUT
Madame Delphine ROUDIERE LIEUTENANT DE POLICE
Vice-présidente chargée de En fonction à la Brigade de Sureté Urbaine
l'instruction au TGI de Poitiers

OBJET: OFFICIER DE POLICE JUDICIAIRE en résidence à la C. S. P. EVRY


RENSEIGNEMENTS
--- Nous trouvant au service,
--- Poursuivant l'exécution de la commission rogatoire numéro JIJI11500001 délivrée
le 25/08/2016 par Madame ROUDIERE DELPHINE, VICE PRESIDENT CHARGE
DE L'INSTRUCTION à la COUR D'APPEL POITIERS
informant contre X,
--- Vu les articles 81, 151 à 155 du Code de procédure pénale, ---
---Disons prendre attache avec le TGI de Poitiers, à l'instruction et sommes mis en
relation avec la greffière à qui nous donnons connaissance d'un mail envoyé par
Madame DAS CRUZ, directrice juridique et relations institutionnelles de CA
Consumer Finance mentionnant que Monsieur GENEVIER a adressé à leur société
un courrier en date du 4 mars 2016 où apparait des liens internet faisant état de
pièces judiciaires de la procédure en cours.----
---Annexons au présent le courrier de Monsieur GENEVIER en date du 4 mars
2016 ci dessus mentionné.-----
---Notre interlocutrice nous indique en référer au magistrat mandant.-----
----Dont acte.-----
Le lieutenant de police

2016/0030491578
cG
Pierre GENEVIER f A f^
..

18 Rue des Canadiens, Apt. 227


l E
86000 Poitiers
Tel.: 09 84 55 98 69 ; fax : 09 89 55 98 69 ; mob.:0782 85 41 63 ; Couniel : pierre evi la te.nei ,

M. Dominique Lefebvre, Président du Conseil d'Administration du Crédit Agricole (CA)


MMES et MNl. Membres du Conseil d'Admiuistration du CA (M. Jack tom, M. Rcer Md Mine Pascaleti .
Caloim M. Pascal CéMrier, M a Lainnece Dois. M LIÛd Epran. Mma Véronique Facbeise, M. Jcan.Pige Ciaitterd, Mm,Prsnçese Gri, M. Jasa-Faut K r a, Mme
Mm= Mo aidini.M. Buffet. M. Jean-Lonis Rssz M. Christias Suci M, François Véwsim. M. Xav= Renlin, M. François Heynsn. M
Moue, M. Fraaçois Mach, M. François Thibault, M. Bavard de
M. Xavier Musca, Président du Conseil d'Administration de CACF
MM. Membres du Conseil d'Administration on de CACF (MM. Jacquas Bo Vincent DolaSse, rf Marc Doachaiepa, I4ensi Le
Bihas,, Fr nçoin Mué, Philip MaiM, Brumîaidisu, BcoltAlbert)
M. Philippe Brassac, Directeur Général du Crédit Agricole SA
hlipPebmoeôteit Géiiéral de CACF
Poiriers, le 1 mars 2016

LETÎRE RECOMMANDEE AVEC AVIS DE C N.

Objeh Mes précédents co 'ers concernant la plainte avec constitution de partie civile (PACPC) déposée k 3-1242
contre le CA, CACF ... (et en particulier 1c dernier du 7-13, O); les résultats des premières commissions rogatoires
dans cette pro et les décisions du Conseil cons titutionnel sur la QPC sur l'AI et ma lettre du 20446 ad ressée
su Président Hollande, entre autres !aune est hup!/iv .

Chers Messieurs Lefebvre et Muscs,


Chers Mesdames et Messieurs Membres du Co d'Administration du CA et de CACF,
Chers Messieurs Brassac et Dumont,

1. Suite à mon courrier du 23-7-1 t) concernant ma plainte (avec CFC) contre le CA, CACF
(..) du 3-12-12, je me permets de vous écrire n nouveau (1) pour faire quelques ques sur les auditions
de Mine Da Cruz et dlnhmn Justicia et sur la pro d'instruction en cours, (2) pour commenter les
décisions du Conseil constitutionnel sur ma QPC sur l'AJ, et (3) pour vous encourager à admettre la
commission de plusieurs délits et ît compenser le grave préjudice que j'ai subi.

A Le résultat des 3 oremières commissions rogatoires et la décision récente du Juge


d'instruction sur nies 2 demandes d"setes.

2. A la suite du réquisitoire introductif du 5-1-15 dont je vous ai parlé dans mon précédent courrier,
la juge d'instruction a envoyé 3 commissions rogatoires qui étaient â mon avis vagues et trop limitées
Ieurs objectifs malheureusement, donc les réponses qui ont été apportées par Intrum Justicia et par vos
collègues de CACF ne sont pas très précises et n'apportent que très peu d'informations sur ce qui s'est passé
dans cette affaire, mais 3 faits précis qui en sont ressortis, viennent je pense, ( quel marne) confirmer (1) les
accusations que j'ai portées contre le CA, CACF (..), et (2) la commission des diffémits délits que j'ai
décrits, donc je vais vous les présenter ici et les commenter.

1) L'audition de Mine Da Cruz d ka confirmation de la commission des dilils décritss dans k PACPC

ta L* pmayc des 61Meeatx matériel et moralsle l'entrave à la saisine de la j depuis 2011,

3. Lors de son audition le 17-12-15 L i , ), Mme Da Cruz a expliqué à la police (1) que le
contrat de crédit qui avait été sorti des archives pour écrire la lettre du 5-9-11, avait été ensuite 'perdu' ('pas
détruit), alors que vos collègues essayaient' de le remettre aux are ' '. Elle explique aussi (2) qu'elle ne
peutpas dire qui ra perdu et quand exactement [ elle ne sait s, mire nuises, si dut sin employé de CACF ou un employé de
Parvhtvcur qui l'a perdu (votre archMuu Semble &re une société extbnaure, suais cite nia pas f=oi le ne )1, (3) que ce genre de perte de

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File : let-5-co -DG-CA 6-2.doc
documents n'est pas rare, et (4) que le dossier a été clôturé en m'enlevant du listing des recouvrements. xen,
sûr, la perte du contrat de crédit (ao 1987) est, je pense, le fait le plus important qui est apparu lors de ces 3
auditions, puisque, — au moins pour moi -, il prouve ou aide â prouver (h lui seul) plusieurs (ssoe a )
infractions qui sont décrites dans la PACPC, et je pense que 'vous' (CACF CA, M. Dwsœt. ...) ne pouviez (et ne pouv )
pas l'ignorer en 2012, même si Mme Da Cruz le fait passer pour une info `on sans réelle importance
( ). D'abord, la perte du contrat établit que M. Bruot a menti dans son courrier du 13-6-12 lorsqu'il n
expliqué que le contrat et les pièces du dossier avaient été' détruits conformément la lof' (wo au aga la data du
dossier), même si, bien sûr, c'était déjà évident qu'il avait menti car, si le dossier a été clôturé en 2011-2012
environ (a ne rê*sit t t pu d wu a ouate znt k 7-2.4), les 10 ans ne s'étaient forcément pas encore écoulés.

4. La perte du contrat établit aussi que M. Bruot a menti quand il a expliqué: 'que vous' ne pouviez pas
avoir de responsabilités dans les difficultés que j'ai renœncs depuis 1993, et le préjudice que j'ai subi, et que les accusations que
je portais coutre CACF étaient ' d ffamatoi s+,'Injustijiëes et peu acceptables'; car 'vous' êtes responsable du dommage
causé parles fautes de (et les délits commis par) vos employés (entre 1990 et 2010 et depuis 2011 aussi), et visiblement
mes accusations sont bien-fondés et ne sont pas diffamatoires ou injustifiées, sinon 'vous' n' `ez (1) pas
sciemment 'oublié' de m'envoyer la copie du contrat le 5-9-11, et ensuite (2) pas - comme par hasard -perdu
le contrat crédit sans m' ne envoyer une copie ayant ; le contrat it une preuve évidente que je n'avais pas
fait ce Vit, donc il était très important pour lever la suspicion que vous portiez moi, et cela faisait plus
de 6 mois (1) que je vous disais que vos collègues avaient sûrement commis fraude, et (2) que je vous
demandais de m'envoyer la copie du contrat , donc vous auriez dû l'envoyer si vousaviez travaillé avec
déontologie et honnêtement. De plus, 'vous' aviez déjà en 2011 de nombreuses évidences que vos collègues
de la Sofinco (atm 1gs7a2oIo) et de CACF (esraieot1 eialnzotÿ avaient fort probablement commis des délits,
après que je vous ai informé que je travaillais aux USA lors de la signature du contrat (voir no 6, 14 ici),
donc vous auriez dû être aussi intéressé que moi de savoir ce qui s'était passé, et chercher à l'expliquer.

5. La perte du contrat n'était pas non-plus un fait anodin, et'vous' (p cernent et, s w;ses) le
saviez forcément; elle ôtait un procédé de nature àfaire disparaître la preuve matérielle de la commissi©n
d'une infraction — ici le faux et l'usage de faux -, qui est l'élément matériel de l'infraction d'entrave à la
saisine de la justice. Comme j'ôtais aux USA quand le contrat a été signé, il est évident que je n'ai pas signé
le contrat; donc la signature sur le contrat était forcément fausse, et le contrat ( avec sa fausse signature) à lui seul
élément moral qui est la volonté de faire obstacle à la auritpemsdovafueté.Ensi,porl'
manjfestation de la elle est évidente quand on regarde (1) les lettres et (2) les mensonges de M.
Bruot en réponse à des courriers envoyés à M. Chiiilet et M. Dumont, et (3) le refus de coopérer pour
comprendre ce qui s'est passé et d'envoyer les informations et documents sur cette affaire que vous aviez
forcément (per cxuple comrnet .m a fait pour ma ntmu si vice le 7-2-1 i,.. ), surtout après la perte du contrat et le
mensonge de Mme Querne qui m'a dit qu'elle m'envoyait la copie du contrat alors qu'elle ne le faisait pas.
Ces faits montrent forcément une volonté de falire obstacle à la manfestailon de la vérité de boire' part, si
la Sofinco n'avait pas commis les délits décrits, vous n'auriez eu aucune raison de mentir et de dissimuler le
contrat et les informations de base sur cette affaire, c'est évident.
(b) La preuve des éléments ma ttriel et moral dos £gd damais 2011.

6. Mme Da Cruz a confirmé que vous aviez bien utilisé le contrat de crédit pour écrire la lettre du
5-9-11, donc le CA, CACF (...) avaient bien le'faux contrat de crédit en leur possession, ce qui constitue
l'élément matériel ce cette infraction. De plus ici, le CA, CACF (...) ont bénéficié des infractions initiales
(du faux, de l'usage de faux, ... commise par X et, par la Sofinco ), et vous avez dissimulé le faux contrat quand vous
avez refusé de m'en envoyer une copie, et cela aussi constitue l' élément matériel de cette infraction de recel
(de ia&actions initiais), Et pour l'élément moral, l'infraction 'suppose la connaissance par le receleur de l'origine
frauduleuse de la chose', et ici, de toute évidence, vous saviez que le contrat était un faux et que plusieurs
délits avaient été commis car, en avril 2011, j'avais 4j expliqué à Tn (1) que je ne pouvais pas avoir'
fait ce crédit car j'étais aux USA, et (2) que les employés de la Sofinco avaient nécessairement commis des
; puis le 28-9-11 dans ma lettre à M. Chifflet expliquant que Mme Querne ne m'avait pas envoyé la
copie du contrat de crédit (conuairement à ce qu'eue avait dît qu'y avait fait ), j'avais utilisé le contenu du contrat pour

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prouver (ou au mains, pour voue apporter de isis présomptions ) que vos collègues avaient commis des délits
comme par hasard, peu de temps après (et tort ablenwnt aprèsj'ai porté plainte la 134-12 ), le contra
[alors qu'il était soi-disant en train d'être renvoyé aux archives (»].

7. Pour prouver l'élément moral du délit de recel (de délias), les juges regardent souvent le
comportement du 'prévenu ', notamment le fait que le prévenu s'est défait de la chose (recélée, ici le faux
con tdecréditel ci ' initiales de la Sofinco dans la r
) talion ' [voir t i i o 2 ne 25], et ici c'est ce que vous
avait fait, vous vous êtes défait du faux contrat dans la précipitation, même si 'vous' cherchez à le déguiser
en perte. Cela n'avait aucun sens de renvoyer aux archives un contrat de crédit qui va forcément faire l'objet
d'une procédure en justice, surtout sans en envoyer avant une copie à la victime du faux qui la réclame
depuis + de 6 mois (1) [Je vous avais informé que je n'avais pas fait ce crédit et que des délits avaient nécessairement été commis,et j'avais
mêms expliqué A Intnzm que je serais sùranent forcé de porter plainte. clona vous saviez que j'allais faire iman pmcédure ça justice ], et en plus
vous auriez dû faire encore plus attention au contrat dans le contexte d'une réclamation. Enfin, ici, la
Sofinco (le CA) était't'mittatcivo des délitsja ' (...}', et dans ces circonstances, les références juridiques
que j'ai citées précisent que 'lejuge établit sans difficuké la preuve de la connaissance de dePodginefrauduieuse
choses recdées. 'et c'est évident ici aussi car r entrep rise, au moins, la connaissait forcément (PAcPc no 31).

{c1 La preuve ts molêtéél e tnorsl sIe !'ersggr de fa &disfwsx rote et de t'la jappina de ta
justice par la<Sofinco de 1987 a 2010. et l'amas de données ... (CP Z 31 denuis 2011.

S. Je pense que la perte du contrat est aussi une preuve additionnelle de l'usa ge de faux, dufaux
intellectuel et de l'entrave à la saisine de la justice par la Sofinco de 1987 â 2010 car si le contrat avait été un
vrai contrat ou avait semblé être un vrai contrat et en règle, CACF n'auraitjamak perdu le contrat, et surtout
pas avant de m'en envoyer une copie. Et bien sûr cela prouve aussi que les employés de la Sofinco qui
avaient déjà à l'époque (entre 1997 et isss sais) toutes les informations m es pour détenniner que le
contrat était un faux, pouvaient facilement voir qu'ils utilisaient un faux en regardant le contrat comme
CACF l'a fait. Ce fait important ?ajoute donc aux nombreux autres faits qui sont donnés dans la PACPC
pour confinner la commission du délits d'usage die faux par la Sofinco, et aussi de faux intellectuel et
d'entrave à la saisine de la justice car bien qu'elle avait toutes les informations et preuves nécessaires pour
savoir que le contrat était un faux, la Sofinco a dissimulé le contrat et Ies preuves qu'elle avait en ne me
contactant pas et en ne me forçant pas à payer la dette ( entre 1990 et 2003) et en prétendant Injustem ent (sous-
entendant) que j'avais admis avoir fait ce crédit et que je ne voulais pas (ou plus) le rembourser.

9. Enfin, la perte du contrat est aussi une preuve de l'élément moral du délit décrits à l'article
226-41 et commis par le CA, CACF (...) depuis 2011 car il est évident que'vous' n'avez pas utilisé les
données que 'vous' aviez sur moi, comm e 'vous' deviez le faire et comme 'vous' le faite dans ce genre de
situation, à savoir pour vous faire rembourser dette impayée , Ici, à la place, 'vous' les avez utilisé pour
troubler ma tranquillité (cerne forçant a faire des micédwes en justice... ), et pour porter atteinte â mon honneur et ôtais
considération en prétendant que je suis un voleur qui n'a pas payé sa dette pendant plus de 20 ans, alors que
vos employés, eux, travaillent chaque jour avec déontologie comme M. Bruot l'a expliqué (t) ; et'vous' avez
fait cela consciemment car, entre autres, je vous avais informé que vous troubliez ma tranquillité
injustement, et que vous me causiez préjudice, et je vous avais aussi demandé de m'envoyer une copie du
contrat, et pourtant vous avez réussi à perdra le contrat après m'avoir menti en me disant que vous m'en
envoyez une copie sans le faire. Et en plus vous avez justifié cette perte par un mensonge, donc tous les
éléments de cette infiaction sont bien là aussi ( voir le détail sur la eminissioa de c s délits dans t'j n 2 anrus 2üe2j et la PACPC).

2) L'audition d'Intntm Justicia et la confirmation de la violation ent secret bancaire par CA CF te 7-2-11.

10. Ensuite, Lnlnnn Justicia a expliqué à la police le 28-9-15 flD DiO()que 'vous' (CACF) les
aviez mandaté le 7-2-11 pour m'envoyer la mise en demeure du 23-3-11 me menaçant de poursuites en
justice si je ne remboursais pas la dette impayée en mon nom datant du 11-5-87. Pour moi, cette
information confirme le fait que CACF a forcément violé le secret bancaire pour obtenir mon adresse et
l'information que j'étais en Frauce après environ 10 ans d'absence aux USA. J'ai été expulsé
(illégalement ) des USA le 3-2-11, et je suis arrivé à Roissy le 4-2-11, sans bagage et juste avec une chemise

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File : let-5-co--adm-DG-CA-2-3-16-2.doc
41

sur le dos (I) ,je suis ensuite arrivé a Poïtiers le jour même vers 17h30, et, par miracle, j'ai trouvé une pl ,`.
dans un hébergement d'urgence le soir même ( ). Le 3 au matin, je ne savais pas que j'allais " ^F y

expulsé, donc peu de personnes devaient le savoir, et il est peu probable que ce soit les travailleurs sociaux
du centre d'hébergement d'urgence qui aient informé CACF durant le weekend ou le lundi 7 au matin. Le _
lundi 7 au matin, je suis allé m'inscrire à Pole Emploi, mais, là encore, il y a peu de chances que ce soit les
employés de Pôle Emploi qui vous aient informés ; et ensuite je suis allé ouvrir un compte en banque, et
pour moi, la seule explication plausible est que les employés de cette banque ont fait des recherches pour
savoir si je n'avais pas une dette impayée, et ils vous ont contacté ( ou pin-ét ).

11. 'Vous' (CACF,) leur avez confirmé que j'avais un crédit impayé, et eux vous ont informé que
j'étais rentré à Poitiers après 10 d'absence aux USA, et c'est pour cela que vous avez mandaté Intrum ce
même jour (l). Il ne fait aucun doute (bien sur) (1) que 'vous' (eAcF le ÇA, depuis k 7-2-11, et sireinentaussiM Dwnant
et M. Chic . depuis 2 feue du 7-741) savez comment vous avez fait pour me retrouver si vite le 7-2-11, et (2)
que 'vous' (cAcF, le CA, et vos coUéure, Mme tom, M. aruar ...) avez refusé de me l'expliquer (quand je vous le demandais)
parce que 'vous' saviez que cela établissait la 'doliation du secret b ['mus' avez informé un tiers que j'avais
un crédit impayé, une information protégée par le secret bancaire, et en échange 'mus' avez obtenu l'information que
j'étais en France après une longue période à r°étranger, et probablement mon adresse m&ne si Intrum prétend qu'ils ont
,

payé un détective privé pour me retrouver à Poitiers]. Si c'est bien comme ça que cela passé [et, pour au moi au
moins, il n'y a pas beaucoup d'antres explications possibles ], cela prouve aussi je pense, que les employés de la ban que
,

code pénal car ils ont utilisé des quim'ontverlcpomisedéltcrà'a26-41du


données permettant de m'identifier (non état civet.) dans le but de troubler ma tranquillité et de porter atteinte à
mon honneur et ma considération (en ris c du rechezehes surmoi et en vous contactent...).

12. Corine je rai expliqué au procureur, le jour on j'ai appelé Intrum le 9-4-11 (à bio) pour avoir
des renseignements sur la dette, les employés de cette banque ont téléphoné 3 fois — sans raison - au centre
d'hébergement où j'habitais pour - à mon avis — bien me faire comprendre que c'est eux qui vous avaient
informés de mon retour en France et avaient fait la recherche sur cette dette j( ;t», et cette hypothèse aussi cœzfirnu, w
v aion des faits morte plus haut ]. Enfin, dans sa déposition du 17-12-15, Mme Da Cruz a expliqué que le contrat de
crédit avait été sorti des archives pour écrire la lettre de Mme Queme du 9-5-11 donnant le détail du contenu
du contrat en réponse à mes 2 lettres du 7-7-11. Et bien sûr cela veut dire que les employés de CACF qui
ont mandaté Iniruun, n'ont fait aucun effort pour vérifier la validité de la dette le 7-2-11 avant de mandater
lntrum Justicia (en étudiant le contenu du dossier de «édit... par exemple), et qu'ils avaient pour but premier de me causer
préjudice (de treublerma tran quillité et de poeter note à mon honneur et me considération, ) en association avec les employés de
la banque qui m'avaient ouvert le compte. Et cela prouve aussi quils ont commis l'usage de faux en 2011.

B Ma demande d'audition de M. Brassas et de M. Dumont. ma demande de réauisitions, et la


décision de la mec d'instruction sur ces deux demandes d'a cte.

13. Même avant de lire, le 8-2-16, l'audition de Mme Da Cruz du 17-12-15 t i ), je pensais
qu'il y avait suffisamment de preuves de la commission de plusieurs délits par la Sofinco, CACF et le CA
pour obtenir des aveux de M. Dumont et de M. Brassac, c'est pourquoi j'avais demandé à la juge
d'instruction le 8-1-16 (Pi ne 4 Dtdo ) à ce qu'ils soient auditionnés au plus vite, mais comme je l'explique
dans mon appel la juge d'instruction a fait une erreur (ou a mentisciemment) dans sa décision (Li
n 4i. I4 ) en écrivant que j'avais demandé la mise en examen de MM. Dumont et Brassac; car c'est faux,
j'ai juste demandé à ce qu'ils soient auditionnés, et j'ai précisé que, comme ils sont (tous les deux) listés
dans la plainte, ils peuvent être auditionnés comme tém oin assisté (CPP 113-1) ou si la juge le veut, dans le
cadre dune première comparution (CPP 116), c'est donc bien différent que de demander leur mise en
examen. Dc plus, il est probable que, s'ils sont auditionnés, ils préféreront l'être avec l'aide d'un avocat, c'est
à dire comme témoin assisté, au lieu de simple témoin (CPP 105). Elle a aussi expliqué que ces 2 auditions
n"étaient pas utiles parce qu'elles n'aideraient pas retrouver le contrat de crédit,alors que la liste de questions
que j'avais fournies pour justifier les 2 auditions avait pour but d'obtenir des clarifications sur certains points
précis, de mieux comprendre ce qui s'est passé depuis 2011, et de prouver plusieurs infractions (I).

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File tet-5-co-adm-DG-CA-2-3-16-2.ddoc
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banque (ta soI„CO, i ca.,) puisse être une victime , comme moi, d'un usurpateur d'identité peu
tous les faits qui sont apparus depuis le début de cette affaire et le bon sens ont con
use tet
il (I) qur 1 q e fs
s
(in sue, c&) ne pouvait pas être missi victime de la fraude qui me touche durement, et même., (2) qulle °
était forcément informée du faux et de cese mu Ap assait ((depuis 1987 ou au moins 1990)
} et9u'elle â u .........._
ce
et continue de l'utiliser pour me causer préjudice. Et bien sûr, cela a nécessairement affecté depuis 2011 et
continue d'affecter mes chances de retrouver un emploi, et cela tant que vous n'admettez pas vos fautes.
21. Le chômage est élevé en France, et il est encore plus difficile de sortir du chômage quand on est
un sénior et un chômeur de longue durée, donc les difficultés que vous me causez en refusant de coopérer et
de chercher à résoudre cette affaire, ont des conséquences encore plus graves pour moi. Et quand, j'envoie
une candidature liée au travail de chômeur que j'ai fait depuis plus de 20 ans, comme celle que j'ai envoyée
le 17-12-15 pour un poste â l'O _ (PJ no 3), il faut que j'explique (a) pourquoi je suis dans la situation dans
laquelle je suis, et notamment le fait que vous maintenez injustement une suspicion que je suis un voleur, et
(b) que je suis obligée de me battre en justice contre vous, ce qui complique mes chances d'obtenir un
emploi. Je dois donc vous demander de prendre en compte ce contexte particulier et bien sûr vous
encourager (i.) (1) à admettre que la Sofinco, puis CACF, ont commis plusieurs délits et fautes, et que
votre comportement depuis 2011 m'a causé de graves difficultés (y compris des difficultés dans ma recherche
d'emploi), et bien sûr aussi (2) à compenser le grave préjudice que j'ai subi sur plus de 25 ans déjà et qui
augmente vite [le préjudice estimé s'élevait à plus 20 millions d'euros àojuiR t 2015 et augmentait de 910 euros par macis
à fus février 2016 à plus de 26 millions d'euros], sans attendre desptmbr2014juq'àlaésotindePfr,loc
que la justice vienne vous le demandez ou que M. Hollande réponde à mon courrier du 20-1.16.

11 Conclusion.

22. Les auditions de Mine Da Cruz et d trum Justicia ont mis en évidence plusieurs faits
supplémentaires qui ont confirmé que la Sofinco, CACF, le CA. (...) avaient commis les infractions décrites
dans la PACPC que je vous ai transmise le 23-7-15 (P r 0), je dois donc vous encourager (1) à admettre
(a) que la Sofinco (tecn), puis CACF (tecn), ont commis plusieurs délits et fautes, et () que `votre
comportement depuis 2011 m'a causé de graves difficultés supplémentairesqui auraient pu être évitées, et
bien sûr aussi (2) à compenser le grave préjudice que j'ai subi sur plus de 25 ans déjà et qui augmente vite
[le péjudice est eziiu a a reivrier 2016 à ptm de x& mflIte d' J, sans attendre que la justice rende une décision sur
mon appel ou que la police ou la juge vous demande de venir vous expliquer en personne

23. Le juge d'instruction a rejeté ma demande d'audition de M. Bxassau et M. Dumont, et ma


demande de réquisitions, mais pas avec des arguments honnêtes ou solides, je pense ; au contraire elle fait
des erreurs sur le contenu de mes demandes et sur la description de l'information qu'elle limite aux deux
infractions retenues dans le réquisitoire du 5-1-15, ce qui est légalement incorrecte. Je pense donc qu'elle a
tord et que mes demandes d'actes sont bien-fondés, et j'ai fait appel de sa décision pour que M. Bnissac et
M. Dumont apportent des clarifications sur certains points précis de l'affaire et sur' votre' position depuis
2011, et, j'espère, admettent la commission de certains délits, si, bien sûr, vous ne résolvez pas cette affaire à
l'amiable avant avec moi.

24. Enfin, les 2 décisions du Conseil constitutionnel refusant de juger la QPC sur l'AJ sur le fond ne
résolvent rien et me forcent à faire de nouvelles démarches pour essayer de résoudre ce problème de l'AJ, au
moins tant que vous ne cherchez pas à résoudre cette affaire à l'amiable, ou tant que M Hollande (st , s
u, ,u , M Larcher et les r+epr+ sentmis des avocats (CNB, ) ne répondent pas u mon courrier du 20-1-16
précisément et honnêtement, Ce travail additionnel et important ( peiwbmucoup de seos ), en plus du travail lié
directement à la procédure d'instruction, mfiartdic$pe forcément beaucoup dans ma recherche d'emploi et
sera dû principalement à votre comportement car encore une fois vous pouvez comprendre la malhonnêteté
de l'AJ, et ses conséquences, et vous avez toutes les informations pour résoudre cette affaire rapidement

25. Je me permets donc de vous demander de prendre en compte dans votre analyse de cette affaire
et dans votre évaluation de l'urgence à la résoudre pour le bien£de tous: (t) le chômage élevé c' Fronce, (2)

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File nasale: let-5 -DG-CA-2-3-16-2.doe
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0Do 4 ' 44 MLUigva td 04 VaUd lard - 73757 Parie CODEX 8e
REPUBLIEIUE FRANCAISE
MINISTERE DE L'INTERIEUR, DE L'OUTRE-MER ET
DES COLLECTIVITES TERRITORIALES
DIRECTION GENERALE DE LA POLICE NATIONALE
DIRECTION CENTRALE DE LA SECURITE PUBLIQUE

PROCES-VERBAL
COMMISSARIAT DE POLICE PV n° 0043312016/008200
D'EVRY, BOULEVARD DE FRANCE
91012 EVRY
Tel : 01 60 76 70 00
Fax : 01 60 76 71 92
Code INSEE : 91228

P. V. : n°2016/008200 L'an deux mil seize,


Le dix-neuf septembre, à onze heures vingt huit
AFFAIRE:
C/X
Commission rogatoire de Nous, YMED AKROUT
Madame Delphine ROUDIERE LIEUTENANT DE POLICE
Vice- présidente chargée de En fonction à la Brigade de Sureté Urbaine
l'Instruction au TGI de Poitiers

OBJET: OFFICIER DE POLICE JUDICIAIRE en résidence à la C. S. P. EVRY


RENSEIGNEMENTS
--- Nous trouvant au service,
--- Poursuivant l'exécution de la commission rogatoire numéro JIJI11500001 délivrée
le 25/08/2016 par Madame ROUDIERE DELPHINE, VICE PRESIDENT CHARGE
DE L'INSTRUCTION à la COUR D'APPEL POITIERS
informant contre X,
--- Vu les articles 81, 151 à 155 du Code de procédure pénale, ---
--- Disons recevoir un soit transmis émanant du TGI de Poitiers, du vice-président
chargé de l'instruction, Monsieur Olivier VIOLEAU nous communiquant les
demandes d'actes faites par la partie civile. Annexons au présent le soit
transmis.----
-- -Dont acte. -----
Le lieutenant de police

2016/0030491578
Cour d'Appel de Poitiers
Tribunal de Grande Instance de Poitiers

Cabinet d''Insruction N°1

N° Parquet: 12016000038
N° de dossier; JIJI115000001
i
Commissariat de Police d'Evey
N° tetepphone : 0 49502278 Hôtel de Police
N° télécopie : 0549502344 h l'intention du Lieutenant de Police AKROUT

Boulevard de France
91012 EVRY CEDEX

Soit-transmis

Vu l'information suivie contre:

X
Mis en cause des chefs de
USAGE DE FAUX EN ECRITURE faits prévus par ART.441-1 C.PENAL t réprimés par ART.441-1 AL.2,
ART.441-10, ART.441-11 C.PENAL.
DESTRUCTION DE DOCUMENT OU OBJET CONCERNANT UN CRIME OU UN DELIT POUR
FAIRE OBSTACLE A LA MANIFESTATION DE LA VERITE faits prévus par ART.434-4 AL.1 2°
C.PENAL et réprimés par ART,434-4 AL.1, ART.434-44 AL.1,AL.4 C.PENAL.

Partie civile

Pierre GENEVIER.

Vu la commission rogatoire en date du 16 août 2016 ;

Vu. l'ordonnance du Président du Tribunal de Grande Instance en date du 29 aoft 2016

Pour faire suite à notre entretien téléphonique de ce jour, je vous prie de bien vouloir trouver ci joint les
demandes d'actes faites oar la nantie civile

net, le 19 septembre 2016


chargé de L'instruction de
Cour d'Appel de Poitiers
Tribunal de Grande Instance de Poitiers

Cabinet de Delphine ROUDIERE


vice-président chargé de l'instruction

N° Parquet: 12016000038
N° de dossier: JIJI l 15000001
t..^ r

Demande d'acte
(audition/interrogatoire/déposition)
GENEVIER Pierre,Partie civile, déclare solliciter la mesure d'instruction suivante:

selon l'article 82-I du code de procédure pénale

Qu'il soit procédé â l'audition de Messieurs CHIFFLET et VALROFF

Le déclarant joint une lettre précisant les motifs de la demande.

Fait le 30 mai 2016

Le déclarant Le greffier
4.
Pierre GENEVIER
18 Rue des Canadiens, App. 227
86000 Poitiers
Tel 05 49 88 72 32 mob 07 82 85 41 63 Courriel* Piert-e.pen evter(à1.sposte net
.

Poitiers, le 30 mai

Mme Delphine Roudière


Doyenne des Juges d'Instruction
Tribunal de Grande Instance
10 Place A. LEPETIT
86020 Poitiers CEDEX

La demande sera déposée en main propre et jointe à la déclaration faite au greffe conformément à CPP 81.

Objet : Demande d'auditions de M. Jean-Paul Chifflet et M. Patrick Valroff(CPP 82.1) concernant la plainte avec
constitution de partie civile (PACPC) déposée le 3-12-12, ref. CPC 12/47 [plainte (du 13-1-12) no de parquet 12 016 000038 no
instruction 21 itt 1513000011.

Chère Madame Ro ere,

1. Suite à ni es d', tes- dû 8-1-16 et du - -16, je vous présente maintenant une demande
d'audition de M. Jean flet, Directeur Généra e Crédit Agricole SA (CA) de 2010 à mai 2015 M. Chifflet
est incriminé à titre individuel dans la l'ACPC. Dl], et de M. rickroff, Directeur Général (ou DGA) de Sofinco de
1991 à 1996 [et puis Président et DG jusqu'à 2008, (PJ no 1) ; il est actuellement membre du Conseil de surveillance de Ligardèrc
SCA (Pi ne 2)]. Cette demande prend en compte les résultats de l'audition de Mme Da Cruz [D 1311 que je
n'avais pas encore pour présenter mes 2 premières demandes d'actes, et elle aborde les motifs qui ont été
utilisés pour rejeter les 2 premières demandes d'actes pour (essayer d') éviter un nouveau rejet injustifié et
illégal (je pense) de la demande.

A Les motifs des demandes d'audition de M. Chifflet et de M. Valroff et la base légale


de la demande d'auditions.

2. Les auditions de M. Chifflet et M. Valroff sont des actes nécessaires à la manifestation de la


vérité (1) car j'ai écrit à M. Chifflet le 7-7-11 [n\cI'c i'.tno 12, n 2] (a) pour souligner l'étrangeté de cette affaire et
de la situation qu'elle mettait en avant, puis le 21-9-11 [PACPC Pino 13, D 2], (b) pour lui confirmer que je ne
pouvais pas avoir fait ce crédit et que le contrat était rempli de mensonges et forcément faux, et (c) pour lui
demander ffl d'envoyer en urgence le contrat (et toutes les autres pièces du dossier), et (ii) d'admettre que la Sofinco et
AF avaient forcément commis des délits [et puis aussi le t3-6-il (PACPC pi na 17, U) 2), le 13-9-12 (PACPC Pi no 20,02) ., il a donc
été informé de la situation régulièrement], car (2) il a eu la possibilité - e t ll avait la responsabilité - de résoudre
cette affaire et d'éviter la commission de plusieurs délits et l'augmentation du préjudice que je subissais, et car
(3)11 connaissait la responsabilité pénale du CA (de c'ACE Sofinco, ainsi que la sienne- Et M. Valroff, lui, était
directeur général de la Sofinco entre 1991 et 2007 au moins, donc il était responsable pénalement pour les
fautes commises par la Sofinco entre 1991 et 2007 au moins, et il a forcément été informé qu'un crédit n'était
pas payé pendant plusieurs années, alors que le prétendu contractant était parfaitement solvable ; de plus il
connaît aussi les procédures en vigueur à cette époque, et les personnes qui ont travaillé sur ce dossier.

3. Les auditions de ces 2 anciens dirigeants [directement impliqués dans les Faits et infractions décrits dans la
PACPC] sont capitales (1) pour vérifier les faits et les qualifications juridiques décrites dans la PACPC et (2)
pour apprécier les responsabilités de chacun dans cette affaire. Elles permettront notamment d'établir la
mauvaise foi du Crédit Agricole, de cAOE. de M. Chifflet, de M. Hervé, de M. Dumont et de M. Bruot qui
est nécessaire pour prouver l'élément moral du délit de recel [qu'ils sont suspectés d'avoir commis] car plusieurs de
mes lettes envoyées entre 2011 et 2015 étaient adressées à M. Chifflet personnellement, et car, en tant que

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File nwo 11-25m'act-3-audi30-5-16doc
1er dirigeant du CA, (1) il était responsable pénalement pour les délits commis par l'entreprise, et (2) il avait: -/Y
le devoir d'éviter que ses collègues (a) ne commettent des délits en relation avec les accusations que je portais
et (b) ne me causent encore plus de dommage que je n'en avais déjà subi dans cette affaire depuis plus de 20
ans. Et M. Valroff, lui, a une bonne connaissance (1) des procédures en vigueur à la Sofinco entre 1991 et
2007 dans le cas d'un crédit resté impayé, et (2) des personnes qui étaient responsables de faire en sorte que
ces procédures soient respectées, donc il peut apporter des informations importantes et aider à vérifier les
faits décrits. De plus, il avait la responsabilité d'éviter que ses collègues violent ces procédures et
commettent des délits comme ils l'ont fait pour dissimuler leur négligence et autres fautes plus graves encore.

4. La demande d'auditions est basée sur CPP $211 ('J purtktpm'en au .o l'in) rn,mon. rn.çir le juge d'tq,gt'uawn
ou
d'une demande écrite et motivée tendant à ce qu'il toil pmcddé à leur audition ou à lezrinierrogatcire à l'audition d'un témoin,..,, ce qu Il soitprtwédti à tous
aufreS odes qui kur paraissent nécessaires à le ma,4fes.ktiun de la ,'é,-iei.'j, et les auditions sont aussi possibles sur la base de CPP
101 ['Lejuge d'instractionfaîtci&rdevtinll«Z par un huissier ou pur un egent de lafa rée publique lentes' la personnes deal W dépasition lui
car elles sont utiles à l'enquête. Bien sûr, comme M. Chifflet et le CA sont suspectés - dans la

vtokzliet, dusecrst bancaire (C. p& n. 226-13...)en1rier2O11J, le juge d'instruction peut liii doliner la possibilité d'être
interrogé (O comme témoin assisté sur la base de CI'? 113-2 [qui permet d'auditionner ks personnes nommément visées
dans une plainte (ou si lejuge considére qui1 existe des indices graves et concordants d'avoir participé aux faits dont le juge est saisi)], OU (ii)
dans le cadre d'une première comparution sur la base de CPP 116 si la juge envisage de les mettre en
examen. Mais pour liter tout malentendu et éviter le rejet de la demande sur le même motif (erroné) que les
demandes d'auditions du 8-2-16, je ne demande pas ici la (ou les) mise (s) en examen de MM. Chifflet et
Valroff, je demande seulement leurs auditions comme me le permet C?? 82.1,

B. Les informations recherchées présentées sous forme de questions à poser.

5. Lors des auditions, M. Chifflet et M. Vairoif devront notamment clarifier les points particuliers
qui sont abordés dans les questions présentées ci-dessous et préciser certains faits qu'ils connaissent
nécessairement en raison des responsabilités qu'ils exerçaient à l'époque des faits décrits, et, pour M. Chifflet
en plus, aes courriers qu'il a reçus, entre 2011 et 2015.

1) Sur le comportement du CA et de CACF depuis le 7février 2011.

a) Sur la décision d'engager Intrum Justicia et de m'envoyer une mise en demeure de payer.

- (a) M. Chifflet devra expliquer comment CACF (et le CA) a (ont) fait pour me retrouver en 3 jours
après 10 ans d'absence aux USA environ, pour me demander de payer une dette datant de
(lei février2011)
1987, sans violer le secret bancaire, et sur la base de quels informations et documents cette demande de
remboursement de dette a été faite ? [La déposition d'lntrum Justicia (D106) a confirmé que CACF avait contracté
Intrum le 7-241, soit moins 3 jours après mon retour des USA le 4-2-11 au matin].

- (b) M. Chifflet pense-t-il que de savoir 'comment CACFnz'a retrouvé en 2011' est une information
importante pour le, procureur et le juge d'instruction pour déterminer (a) les motivations des employés qui ont
fait la demande à Intrum, et (b) les bases sur lesquelles la demande de remboursement a été faite ? Et si non,
pourquoi? Aussi, M. Chifflet ne pensait-il pas à la suite de ma lettre du 7-7-11 [PACPC ii no 12, D 2] et encore
plus à la suite de mes lettres du 21-9-11, du 29-6-12, et du 13-9-12 (PAcPC P.!no 13,17 etlO, D 2] que la situation
décrite mettait en évidence une fraude certaine de la Sofinco qui méritait son attention et risquait d'entraîner
sa responsabilité pénale ? Et si non, pourquoi ?

- (c) M. Chifflet devra aussi expliquer pourquoi le CA et CACF (et donc lui-mbme), - qui savaient
forcément comment ils avaient fait pour nie retrouver -, dont (n'a) pas voulu - en 2012 - me donner ou donner
à la justice (police, procureur,) cette information qui est forcément importante quand on sait (a) que la dette était
vieille de plus 20 ans, et (b) que j'avais porté plainte contre CACF, entre autres, le 13-1-12?

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File naine: J1-25-demt-3-audi-305-16,doc
M
- (d) M. Chifflet (a) connait-il le nom de l'employé de CACF qui a ordonné à la société Intrtm
Justicia de m'envoyer une mise en demeure de payer une dette datant de 1987 (et si oui depuis quand), et (b) \/
s'est-il inquiété de savoir si cet employé avait des preuves écrites pour supporter sa demande faite à Intruîn p /
Justicia et pourjustifier la dépense (de détective privé, honoraire de recouvrement d lntrurn) qui était liée à cette demande

- (e) Et s'il ne connaît pas le nom de cet employé et ne s'est pas inquiété de savoir qui c'était, ne
pense-t-il pas maintenant (1) qu'il était important pour lui et le CA qu'il dirigeait de s'en inquiéter pour
évaluer la possible commission de délits par l'entreprise ou de fautes civiles [et indirectement par lui aussi, en raison
de la responsabilité qu'il, a lorsque 'ses' employés commettent des fautes pénales (.. ) pour [e compte de l'entreprise] et aussi pour
empêcher que la victime, moi ici, ne subisse un préjudice encore plus important que celui qifelle avait déjà
subi depuis 1987, et (2) que 'son oubli' et sa négligence (au minimum) m'ont causé un grave préjudice ?

[5,1 Même si le procureur de la république n'a pas retenu les infractions de violation du secret bancaire, de recel et celle
décrite à CP 266-4-I (en février 2011 et aprés) dans son réquisitoire du 5-1-15 (D91), ces infractions et les faits liés à
ces infractions, sont décrits dans la PACPC, donc le juge d'instruction doit vérifier les faits et leurs qualifications
juridiques ; et ces questions permettront de faire cela, et notamment (1) de prouver plus précisément la violation (a) du
secret bancaire et (b) de l'usage de faux en février 2011, et (e) de l'usage de données permettant d'identifier un individu
(C.pén., a 226-4-1), (d) de l'entrave à la saisine de Injustice (C.pén. a. 434-4) et (e) le recel de faux (d'usage de faux,
d'entrave à la saisine de la justice, defawc intellectuel, ...) (C.pén., a 321-1) depuis février 2011, et (2) d'établir la
nature et l'étendue des responsabilités de M. Chifflet dans la commission des délits décrits ; voir aussi plus bas no 7-9].

b) Sur les informations envoyées par Mme Querne, M. Bruot, M. Espagnon, et Mme Diaz par courrier depuis 2011.

- (f) Pourquoi, - pour M. Chifflet -, le simple fait de dire - au nom du CA et de CACF - (I) qukine
'erreur' a été commise lors de l'envoi de la mise en demeure de mars 2011 - sans dire précisément quelle
erreur avait été commise -, et (ii) que plus d'argent ne me serait réclamé sur cette dette [comme l'a fait M, Bruot dans
ses courriers, PACPC PJ no 4-9, 02], créait pour CACF et le CA une certitude que l'accusation initiale [contenue dans la
mise en demeure du 23-3-11 et dans la lettre de Mmc Qucrne du 5-9-111 que j'avais fait un crédit le 11-5-87 et ne l'avait plus
remboursé à partir daoftt 199(1, (1) ne me portait pas préjudice [en me forçant à faire des procédures en justice, entre autres,
pour apprendre quelle erreur avait été faite et pour dénoncer l'injustice dont j'avais été victime pendant toutes ces années.,.], (2) ne troublait pas
ma tranquillité [ en me forçant à passer un temps incroyable pour avoir des réponses claires et honnêtes de vos services sur ce qui s'est passé,
comment vous avez fait pour me retrouver si vite-] et (3) ne portait pas atteinte à mon honneur et à ma considération,
quand de toute évidence et selon les résultat des auditions de M. Bruot et de Mme Diaz par la police, (a) M.
Bruot ne sait même pas quelle erreur a été faîte et il a menti lorsqu'il a dit que le contrat avait été détruit car il
a été perdu d'après Mme Da Cruz (Dl 31), (b) l'admission de la commission d'une erreur ne change rien au
fait (i) que CACF (Sofinco, CA) m'accuse d'avoir fait un crédit en 1987 (que k n'ai pas faiO et de ne plus l'avoir
remboursé à partir d'août 1990 [voir PAPCP Pl no 3, 02] et (u) qu'elle a utilisé mon nom sans mon accord pour
gagner de l'argent ..., et pour me causer préjudice ( et continue de le faire)?

- (g) M. Chifflet a-t-il cherché (1) à identifier les employés [Sofinco, puis de CACF] qui ont travaillé sur ce
dossier entre 1987 et 2010, et (2) à les contacter [au moins ceux qu'il pouvait facilement contacter], pour leur demander
(a) s'ils se souvenaient de ce dossier contentieux et (b) s'ils avaient une certitude que le contrat de crédit était
bien un contrat valide (et non un faux)? Et en particulier, M. Chifflet a-t-il fait l'effort de contacter M.
Valroff [qui était dga, puis dg de la Sofinco ssccJIet8 il semble (PJ no 1), et prédécesseur de M. Dumont au comité de direction du CA,
et qui était donc forcément responsable pour ce qui s'est passé sur ce crédit entre 1991 et 2008, une période importante de toute évidence (1)]
pour lui demander s'il avait des souvenirs de cette affaire de crédit impayé pendant si longtemps ?

- (h) Si oui, qu'ont-ils et qu'a-t-il répondu ? Et s'il ne l'a pas fait, (a) ne pense-t-il pas quil aurait dû
le faire pour mieux évaluer la possibilité que la Sofinco ait commis des délits et ait causé un préjudice grave à
la victime (7) (et si non, pourquoi ?) ; et (b) comment pouvait-il honnêtement laisser l'entreprise répondre qu'elle
ne pouvait pas être responsable pour le préjudice que j'ai subi, quand il if avait aucun témoin et aucun
document pour prouver qu'elle n'avait pas commis de délits, surtout quand de nombreuses évidences
établissaient le contraire, et je lui ai rappelé le 13-9-12 [PACPC Pi no 20, D2] qu'il commettait plusieurs délits en
laissant ses employés envoyer des réponses malhonnêtes?

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File naine: iI-25-dem-act-3-audi-30-5-16doc
- (i) M. Chifflet est-il d'accord (1) que la compréhension de certaines situations complexes dans un
environnement professionnel spécifique par un individu est dépendante de ses capacités intellectuelles et de
son expérience professionnelle dans cet environnement et (2) que lui - M. Chifflet - aété choisi pour assumer
les responsabilités de DG du CA parce qu'il avait des capacités intellectuelles et une expérience du secteur
d'activité tout à fait exceptionnelles en comparaison des autres employés de l'entreprise, et donc (3) qu'il était
normal de le contacter s'il apparaissait évident que l'employé qui répondait au courrier pour le CA, faisait
preuve d'une incompréhension totale du sujet et de la situation sur lesquels il écrivait [itit&it
qu'il était -lui-même -aussi (potentiellement) responsable pénalement pour les fautes les employés dit C], et (4) qu'il avait la
responsabilité de répondre personnellement et de clarifier la situation pour éviter une augmentation du
préjudice subi par le victime et pour ne pas encombrer la justice plus qu'elle ne l'est déjà, surtout après que je
lui ai rappelé le 13-9-12 [PACPC Pi no 20, D2] qu'il commettait des délits en laissant ses employés envoyer des
réponses malhonnêtes ? Et si non, pourquoi ?

- (j) M. Chifflet reconnait-il (t) que je l'ai informé par lettres recommandées [le 21-9-Il, 29-6-12, et le 13-9-
12 (PACPC ['J no 12, 13,20, D2), et même après ] que les réponses à mes courriers fournies par Mme Querne, et M. Bruot
notamment [PACPC PJ no 3,5-9] (a) n'étaient pas appropriées et (b) ne permettaient pas de résoudre cette affaire
de manière satisfaisante ; et (2) qu'il a quand même ordonné (directement ou indirectement) que les réponses aux
courriers que j'envoyais, restent vagues et n'apportent aucune des informations qui étaient demandées; et
(3) qu'il savait que les réponses que ses collègues m'envoyaient, me forçaient à faire un travail énorme et
me causaient un grave préjudice, et causeraient aussi un travail plus important pour la justice? Et peut-il
expliquer pourquoi il n'a pas répondu personnellement à ces courriers, dans le contexte de sa possible
responsabilité pénale et de la responsabilité pénale du CA ?

- (k) Et M. Chifflet est-il d'accord pour dire que le CA (et cAcr) a fait preuve de mauvaise foi en
attendant 3 ans pour admettre qu'il avait eu le contrat et l'avait perdu, et en ne résolvant pas cette affaire en
apportant toutes les informations qu'il avait et sans attendre que la police le force de le faire ? Et si non
pourquoi 7 Aussi, M. Chifflet peut-il nous dire si après avoir reçu mes lettres [d«21-9-1 1, du 29-6-12, et du 13-912,3, il
avait toujours des doutes que j'avais été victime d'une fraude évidente depuis 1987, et que j'avais subi et
continuais de subir un grave préjudice [perte de salaires,] ? Et si oui, quels doutes avait-il ? Et pourquoi n'a-t-il
rien fait pour résoudre cette affaire au plus vite pour le bien de tous (par exemplo, en expflquarnt à la justice son point vue) ?

- (1) Enfin, M. Chifflet ne pense-t-il pas que le fait d'être informé qu'un cadre a fait une dette et
refuse de la payer [en résumé que ce cadre cherche à voler l'organisme de crédit qui lui a permis d'emprunter l'argent] serait une bonne
raison de refuser de lui offrir un emploi car ce serait une preuve évidente d'un manque d'intégrité de sa part?
Et M. Chifflet est-II d'accord qu'il y a un lien direct entre les infractions (décrites et liées à leur comportement
ilannKZilhL), et le préjudice que j'ai subi depuis 2011 ? Aussi M. Chifflet est-il d'accord qu'il est normal que le
préjudice que j'ai subi depuis 2011 soit calculé à partir du montant de son salaire (et de ceux des membres des Conseils
d'administration du CA et de CACF at des employés qui ont été contactés depuis 2011) après qu'il ait été informé des difficultés qu'il
me causait et qu'il ait utilisé sa position - de DG du CA - pour continuer de troubler ma tranquillité et de
porter atteinte à mon honneur et à ma considération ... ? Et sinon, pourquoi ?

- (in) M. Valroff peut-il nous dire s'il a été contacté entre 2011 et 2015 par ces anciens collègues (M,
ChiMet, Dumont, ou un autre employé du CA ou de cxcr) pour donner ses souvenirs sur cette affaire et pour expliquer
pourquoi il avait été impossible de me faire rembourser le crédit entre 1990 et 2001 ? Et si oui qu'a-t-il
répondu à ses anciens collègues ?

Là encore, ces questions permettront (1) rifier les faits qui sont li
la PACPC, et donc (2)
l'usage de données permettant d'identifier a 226-4-l), (b) l'entrai
a. 434-4) et (e) le recel defrux (d'usage de i saisine de la justice, a 'ectuel,...) (C.péri., a
321-1) depuis 2011, (3) d'établir plus pr causalité entre les infrl aises et le préjudice
subi depuis 2011, (4) et d'évaluer plus psi ce subi depuis 20111.

Page 40f 9
Pile namu: Jt-25-dem-act-3-audï-30-5-16doc
2) Sur ta perte (ou destruction) des documents contenus dans le dossier de crédit

(n) La prétendue perte du dossier de crédit, y compris du contrat de crédit, après avoir refu é de s
m'en envoyer une copie pendant plus de 10 mois environ_(voir l'audition de M. Un Crus, 0131), ne semble-t-el1epas
surprenante à M. Chifflet et M. Valroff— dans le contexte particulier de cette aflàire (suspicion de fraudes..,) - ? Et M.
Chifflet ne pensait-il pas en 2011 et 2012, et ne pense-t-il pas maintenant, que - dans le contexte particulier
de cette affaire (suspicion de fraudes,) -Cette perte du dossier de crédit (après avoir refusé de m'en envoyer une copie)
pouvait constituer une preuve de la commission de plusieurs délits (comme le faux et l'usage de faux, le recel et l'entrave à
La saisine de la justice .) par la Sofinco et puis CACF et par leurs employés qui ont travaillé sur ce dossier (?) et
donc qu'il était important d'expliquer en urgence en détail 'le timing' (la date ou période) et le contexte de la perte
des documents à la police, au moins, qui était saisie de cette affaire à la suite de ma plainte du 13-1-12, ou à
moi qui souffrait de cette fraude depuis plus de 20 ans déjà (plutôt, que de mentir comme l'a fait M. Bruot)?

- (o) M. Chifflet (ou certains de ses collaborateurs au CA ou t. CACF) a-t-il fait le moindre effort pour savoir
quand, pourquoi, à cause de qui et comment les documents du crédit ont été perdus, et pourquoi aucune
copie du contrat ne m'a été envoyée avant sa perte (pendant plus de 10 mois au moins, il semble) ? Et si oui, quelles
réponses a-t-il obtenues à ces questions ? Et sinon, ne pense-t-il pas qu'il aurait dû le faire pour être sûr
qu'aucune infraction navait été commise par le CA, CACF et leurs employés ..?

- (p) M. Chifflet et M. Vairoif pensent-ils que la réponse de M. Bruot expliquant que la destruction
des documents était justifiée par le fait que 'le compte avait été clôturé depuis plus de 10 anse [quand - de togte
évidence - le compte n'était pas clos en mars 2011 quand CACF st ordonné Intrum Justicia d'obtenir le remboursement de la dette, et
quand on sait que ces documents devaient - en théorie (1) donner au CA et à CACF le droit de se faire rembourser une somme
significative et (2) établir leur innocence dans une fraude grave, et que le contrat a été en fait perdu, semble-t-il, d'après M. Da Cruz D
131 j était une preuve de bonne foi ou de la mauvaise foi de CACF et du CA, et pourquoi ?

- (q) Enfin, M. Chifflet est-il d'accord que d'utiliser des données en provenance d'un fichier
informatique qui permettent d'identifier une personne pour dire que cette personne a été un voleur pendant
25 ans, et par là même pour troubler sa tranquillité et porter atteinte à son honneur et à sa considération sans
avoir la moindre preuve de la validité des données utilisées constitue un délit [le délit tissage de danéespe.'rneftnnt
d'idem0ar toi individu ...(Cpdit,22t.4-1)]? Et donc que CACF et le CA ont commis ce délit entre 2011 et ce jour,
quand ils n'ont pas utilisé les données sur mai comme il devait le faire (pour se faire rembourser la dette) surtout
quand on sait que CACF et le CA n'ont fait aucun effort pour dire quelle erreur elles avaient faite et pour
aider à établir la vérité ? Et sinon pourquoi ?

- (r) M. Valroff et M. Chifflet peuvent-ils nous expliquer les conditions qui permettaient aux
employés de la Sofinco de détruire un dossier de crédit contenu dans les archives et les précautions qui étaient
prises pour éviter que les archives ne soient perdues ou détruites (comme cela s'est passé ici, il semble) ?

[5.3 Le procureur a retenu l'infraction d'entrave à la saisine de la justice ( puriirde 2011) dans son réquisitoire
du 5-1-15 (D91) et bien sûr infraction est aussi décrite dans IaPACPC (DI), il est donc important de vérifier tous les
faits et les motivations de chacun qui sont liés à cette infraction, et non se limiter au fait que le contrat a été perdu (sans
nwoir par qui, quand, comment,...); et ces questions permettront, entre autres de faire cela, et aussi de prouver plus
précisément (a) l'usage de données.,, (C.pén., a 226-4-1), (b) l'entrave à la saisine de la justice (C.pén. a. 434-4) et (e)
le recel defaux (d'usage defawr. d'entrave à la saisine de la justice, de faux intellectuel, ...) (C.pén., a 321-l) depuis 2011].

) Sur k comportement de la Sofinco entre 1987 et 2001.

- (s) M. Valroff peut-il (a) nous décrire ses responsabilités à la Sofinco de 1991 à 2008 et puis au
Crédit Agricole, et (b) nous dire s'il est toujours employé au CA à ce jour cVune manière ou d'une autre? Et
peut-il nous expliquer quand et dans quelles conditions il intervenait sur des dossiers de crédit qui restaient
impayés pendant longtemps ? M. Valroff peut-il (1) nous dire aussi les noms dé ses principaux collègues et
des employés qui étaient impliqués dans (ou ont travaillé sur) cette affaire de crédit impayé transféré au service
contentieux en 1991 [chef de service commercial, service contentieux_, ], (2) nous donner environ la taille des services
(nombre d'employés, le nombre de crédit vendu chaque année, et portefeuille en 199!..) et (3) nous décrire la procédure qui était

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File name: J1-25-dem-act-3-audi-30-5-16.dcc
établit dans ce genre de situation (crédit impayé, obligations du service contentieux, mise au fichier FICP des nia.
payeurs )?

- (t) M. Chifflet et M. Valroff peuvent-ils expliquer (n) pourquoi - à leur avis - la Sofinco ne MI
pas retrouvé entre 1990 et 2001 pour m'envoyer une mise en demeure et puis me forcer à rembourser la dett
impayée en mon nom, et (b) pourquoi, il semble, la Sofinco n'a eu des contacts qu'avec la prétendue
caution (?), alors (1) que, d'août 1990 à février 1991, je travaillais bien chez Schwarzkopf, l'employeur
mentionné sur le contrat, (2) que, entre avril 1991 et mars 1993, je travaillais au Département de l'Essonne,
peut-être à moins d'un kilomètre à vol d'oiseau du siège de la Sofinco, (3) que la Sofinco avait l'adresse de
(et était, semble-t-il, en contact avec) la prétendue caution [qui pouvait forcément leur dire comment me contacter iI, (4) qu'après
mars 1993, le Département de l'Essonne (qui payait mon indemnité chômage jusqu'en 1998), Pôle emploi, la sécurité
sociale et les impôts ont toujours eu mon adresse ou un moyen de me contacter jusqù'en 2001 (etjavais les
moyens de payer le crédit), (5) que, de toute évidence, je ne me cachais pas car j'ai poursuivi le Département de
l'Essonne en justice jusqu'en 2001 , et (6) quand on sait que le crédit a dû rapidement devenir impayé à
nouveau en 1991, après les prétendus accords de remboursement avec la prétendue caution 7

- (u) M. Chifflet et M. Valroff ne croient-ils pas que le fait que la Sofinco ne m'a pas forcé à payer la
dette entre 1990 et 2001, alors qu'elle pouvait facilement me retrouver et que j'avais l'argent nécessaire
pour rembourser la dette, établit que les employés de la Sofinco, et en particulier ceux du service contentieux
et de la direction général, savaient entre 1990 et 2008 que le contrat de crédit — qui, par ailleurs, comprend
des mensonges évidents -, était un faux ? Et si non, pourquoi ?

- (v) M. Chifflet et M. Valroff sont-ils d'accord que l'attestation de l'université de Clemson


certifiant que j'étais employé à l'université jusquen juillet 1987 [a&rcr ri n,it, 02] et le relevé de mes notes de
mon master [qui éiablit qiieje ,uivais un cour, u, nui atjnin 1987 et quoj'si cumul dipiSin, en aoW 1957, ru'cr ri r] sont des preuves
évidentes (1) que je n'étais pas en France quand le contrat de crédit a été signé le 11-5-87, (2) que l a
(3) que les employés de la Sofinco n'ont desinformatcudnsleotracéifuset
pas respecté, entre autres, leur devoir de vigilance et de prudence, lorsqu'ils n'ont pas vérifié les
informations fournis et ont accordé le crédit sur la base d'informations fausses ?

[(vJ) A nouveau, M. Chifflet avait-il la moindre information écrite et/ou orale (pièces du dossier de crédit témoignages d'employés
qui ont travaillé sur ce dossier...) qui puisse justifier que la Sofinco uavait pas utilisé le faux contrat de crédit en toute connaissance de
cause lorsqu'il e demandé àM. Bruot de répondre âmes courriers qui— lui - étaient adressés ? Et s'il n'avait pas la moindre
information, comment pouvait-il être sûr (s) que l'entreprise (Sofinco) n'avait pas commis les délits décrits dans la PACPC et (b) qu'il
ne causait pas de préjudice à la victime de cette fraude, moi ici, en refusant d'apporter des réponses à mes questions?)

- (w) M. Chifflet était-il conseillé par un ou des avocats lorsqu'il a pris la décision de laisser M. Bruot
répondre aux lettres qui lui étaient adressées, et cela malgré le fait qu'il était (et savait qu'il était fort probablement)
mis en cause - à titre individuel - dans une plainte pénale dénonçant différents aspects de cette fraude ?

- (x) M. Chifflet ne pense-t-il pas que s'il était convaincu que l'entreprise (Sofinco, CA.) n'avait pas
commis de délits et donc que l'entreprise était aussi une victime du délit de faux (au moins), la meilleur
stratégie pour l'entreprise (CA et CAcF) était de se porter partie civile dans la plainte pour faux et usage de
faux que j'ai déposée le 13-1-12, et bien sûr aussi d'apporter en urgence à la justice toutes les informations
nécessaires pour identifier les auteurs du faux et de l'usage de faux et les preuves et les arguments justifiant
que l'entreprise (Sofinco) n'avait rien fait de mal et navait commis aucun délit ?

[5.4 Encore une fois, même si le procureur n'a pas retenu les infractions defwa, d'usage de faux, . de 1987 à
2011, en raison de la prescription, elles sont décrites dans IaPACPC, et il y a de toutes évidences plusieurs jurisprudences
qui stipulent que ces faits et infractions ne sont pas prescrits, donc il faut enquèter aussi sur (et vérifier) ces faits et sur
ces infractions. De plus et â. nouveau aussi, il ne faut pas oublier le recel de ces infractions n'est pas prescrit, donc il faut
enquêter sur ces infractions initiales dans le contexte du recel aussi, Et les questions de cette section permettront de
prouver plus précisément le faux, l'usage de faux, kfaux intellectuel, et l'entrave à la saisine de lajusike (C.pén. a. 434-4) ,d e
l'usage de données permettant d'identifier un individu C.pén., a 226-4-1), l'entrave à la saisine de la fuse ke 1987à20,et
(C.pén, a, 434-4) et le recel defaux (wina ge £Ifaux, ,Fu,'-am C a Iap,ucc, dfa,a o,ralec'iuet, .) (C.pdri., e 321-1) depuis 2011].

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File nuise: JI-25-dem-act-3-audi-30-5-16.doc
- (y) M. Chifflet peut-il décrire 'ta nature de la responsabilité
Ventreprise qtf il dirige ou un de ses employés commet des infractions

- (z) M. Chifflet sait-il que, - dans certaines circonstances -, la maison mère d'un grand groupe
comme le Crédit Agricole peut être responsable pénalement pour les délits commis par une de ses filiales ?
Et que la maison mère d'un grand groupe peut toujours être jugée responsable civilement pour le dommage
que causent ses filiales à la victime ? Et donc qu'il était lui-même forcément personnellement concerné par
les accusations portées dans la plainte ?

- (na) M. Chifflet sait-il que la loi sur l'aide juridictionnelle paye — la plupart du temps - aux avocats
seulement une (pti1e fraction de ce qu'ils demandent à leurs clients non pauvres, et donc que le travail quils
font de le cadre l'AJ est nécessairement de moins bonne qualité que celui qu'ils fournissent à leurs clients
normaux ou riches (comme le CA et CACF), et qu'un pauvre, victime de délits commis par une grande banque, est
placé dans une situation difficile lors d'une procédure de PACPC ? Et sil ne le savait pas, n'en a-t-il pas été
informé de ce fait par moi dans les différents courriers que je lui ai envoyés — en particulier celui du 13-9-12
(PACPC P3 no 20, D2) ?

- (ab) M. Chifflet sait-il que lajustice est très encombrée, et donc que d'apporter à la justice les
informations qui étaient demandées (sur la destruction des documents, sur l'utilisation dIntrum en 201 i.) avant que ces
informations soient demandées par la police ou le juge, pouvait l'aider et diminuer (a) le coût de la
procédure pour le contribuable et (b) le préjudice causé à la victime, et pouvait-il encore l'ignorer après le
courrier que je lui ai envoyé le 13-9-12 (PACPC PJ no 20, D2)?

- (ac) Et M. Chifflet ne pense-t-il pas que, - comme le CA demandait (environ en même temps) l'aide de
la justice pour essayer de diminuer son revenu imposable de 2 milliards d'euros -,je crois [affaire de la filiale
grecque Empoiiki,je crois, qui est allée jusque devant le Conseil constitutionnel et qui était détendu par MeAuatiy], il était normal, jji et
nécessaire que le CA (et CACF) aide la justice en lui apportant - sans attendre - les informations qui étaient
demandées par la victime et qui permettaient de connaître la vérité sur cette affaire?

- (ac) Et M. Chifflet avait-il des arguments sérieux pour contredire les accusations précises de
commissions de plusieurs délits (descriptions des éléments matériel et moral des infractions) et qui étaient formulées
dans ma lettre du 13.-9-12 (1'ACPc PJ no 20, D2), et si oui, quels étaient ses arguments (ou ceux de la Sofinco, de CACF,
et du cA) , et sinon, pourquoi ne pas avoir admis la commission de plusieurs délits pour aider lajustice?

[55 Ces questions permettront d'établir plus précisément les responsabilités des dirigeants du CA et de CACF à
titre individuel dans les différentes infractions décrites].

5) Remarques sur les questions.

6. 11 est possible que d'autres questions (non listées ici) soient posées lors de l'audition, ou que certaines
des questions présentées ici soient reformulées pour être plus précises, mais, les questions présentées ici
permettraient déjà de vérifier les faits et la commission des infractions décrits dans la PACPC, et d'établir plus
précisément les responsabilités dans les délits décrits, et le lien de causalité entre les infractions et le préjudice
subi, et de confirmer le montant du préjudice subi. Je souhaite participer à ces 2 auditions faites par le juge à
Poitiers (sauf en cas de renvoi, bien sûr) et avoir la possibilité de poser des questions et de demander des précisions
si nécessaires (et que mon avocat si jan ai un, puisse aussi participer à cesauditions). Il est préférable que les 2 auditions

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Pile na,ne iI-25em-act-3-audi.3û-5.l6doc
C Les motifs de rejet injustes et infondés des 2 premières demandes d'acte, et le
bienfondé de cette demande.

7. Les premières demandes du 8-1-16 et du 5-2-16 ont été rejetées pour plusieurs raisons incorrectes
qu'il est important de rappeler pour éviter des erreurs semblables. D'abord, la décision de rejet du 8 -2 -16
mentionnait incorrectement que je 'demandais à ce que MM. Brassac et Dumont soient entendus en qualité de
témoins assistés ou en vue de leur mise en examen', et que 'ces actes ne figuraient pas parmi les actes dont les parties
peuvent demander l'exécution au juge d'instruction', donc je dois noter que, comme dans ma demande du 8-1-16,
jeune demande pas la mise en examen des dirigeants ; je demande leur audition („„iq,,cnnent) conformément à
CPP 82.1 [même si je précise encore que M. Chifflet qui est mentionné à titre individuel dans la IsACPC pau.t être interrogé sous le
statut de témoin assisté (CPP 113-1) ou si le juge d'instruction le décide dans le cadre de CPP 116]. Ensuite, la décision précise
aussi que 'les auditions demandées en janvier apparaissaient prématurés et nepouvant avoir d'effet significatif sur la
découverte du contrat dont la souscription pourrait remonter aur années 8o',ce qui était aussi malhonnête car
l'instruction (et l'enquête) ne se limite pas à retrouver le contrat, et encore une fois le juge d'instruction doit
enquêter sur tous les faits et toutes les infractions décrites dans la PACPC [de plus les questions n, o, et p, se référent
à la perte du contrat, donc elles seraient utiles pour le retrouver éventuellement]..

8. La jurisprudence rappelle constamment que le juge d'instruction a une obligation d'informer sur
tous les faits et toutes les infractions décrites dans la PACPC [voir Refju 1: '117. -Principe -... La jurisprudence
rappelle constamment que le juge d'instruction, saisi d'une plainte avec constitution de partie civile, ale devoir d'instruire,
"cantine s'il était saisi par un réquisitoire introductif du procureur de lu République" (..) ou "quelles qi e soient les réquisitions
du mittistère public" (..). Lemme est ttnnc tenu de virjfier la réplitd des faits ddrtoncés et leur qua i{,ttcatiou Rit tale éventuelle (,.)'. '118. -
Réquisitoire d'irrecevabilité - L'obligation d'informer sur lesfaits visés dans la plainte existe même si le réquisitoire n'a pas visé ces faits. et dès
lors que la constitution de partie civile n'a pas été déclarée irrecevable (..)'. '119, -Contenu de l'obligation - L'obligation d'informer se traduit

participé et de vérifier en droit si sont réunis tous les ét ments constitutifsate Ptnfraction. Elle a aussi pour conséquence l'obligation de statuer sur
tous tesfaits dénoncés par la partie civile a. ], donc le juge d'instruction ne peut pas se limiter à enquêter sur les
infractions mentionnées dans le réquisitoire introductif ou ici sur la seule perte du contrat de crédit. Cette
demande d'audition [qui a pour but 'de vérifier la réalité desfaits_ dénoncés et leur qualification pénale données dans la
PACPC' et notamment de confirmer la commission des délits de recel, d'entrave à la saisine de la justice et le délit décrit dans CPP
,

226-4-1 de 2011 à maintenant, et aussi d'usage de faux, de faux intellectuels et d'entrave à la saisine de la justice de 1990 à 2010,
voir 5.1, 5.2, 5.3, 5.4 et 5.5 plus haut] est donc justifiée et bien -fondé.

9. La demande d'auditions de MM. Chifflet et Valroff permettra notamment de vérifier la véracité


des faits décrits et les qualifications juridiques présentée dans la PACPC, pour les délits de recel, d'entrave à la
saisine de la justice et du délits décrits à CP 226-4-6 de 2011 à ce jour, et aussi pour la Sofinco et X l'usage de
faux, le fau,v intellectuel, et l'entrave à la saisine de la justice 1987 à 2011. Depuis l'audition de Mme Da Cruz
(D131), il n'y a plus de doute que le contrat a existé et qu'il a même été utilisé pour rédiger la lettre de Mme
Querne du 5-9-11, donc on connaît une partie de son contenu, et on peut vérifier la fausseté d'une partie du
contenu du contrat, entre autres, et grâce à cela prouver la commission des différentes infractions décrites. Tl
est important de noter que le Président de la Chambre de l'instruction a mentionné que les suspects n'avaient
pas fait preuve de mauvaise foi sans présenter le moindre argument pour supporter sa remarque, et il a
aussi menti sur plusieurs autres sujets (comme le contenu de mon appel,), donc sa décision ne peut pas justifier
le rejet de cette demande. Rejeter cette demande d'audition (1) serait une forme d'entrave à la saisine de la
justice et une violation du droit à un procès équitable car cela permettrait d'empêcher d'obtenir de preuves
évidentes de la commissions de plusieurs d'infractions ; et (2) serait donc aussi un excès de pouvoir.

D Conclusion.

10. En résumé, les auditions de M. Chifflet et Valroff sont indispensables (t) à la manifestation de
la vérité, (ii) pour établir plus précisément les responsabilités dans la commission des délits décrits dans la
PACPC [D1] et son complément du 21-10-14 [D58], (t) pour vérifier les faits et leur qualification juridique
décrits dans la PACPC, et (iii) pour confirmer le lien de causalité entre les infractions et le préjudice subi et
(iv) pour confirmer le montant du préjudice subi à cause des infractions commises. La demande d'auditions
est basée sur CPP 82.1 ; elle est donc factuellement et juridiquement bien-fondé. Bien sûr, je souhaite

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File name: J1-25-dem-act-3-audi-30-5-1 b,doe
participer à ces 2 auditions faites par le juge à Poitiers, à la suite l'une de l'autre (au mieux), et pouv'oii
poser des questions et demander des précisions si nécessaires ; et le plus tôt possible est le mieux pour
auditions et pour éviter que le préjudice n'augmente trop et qu'éventuellement des preuves ne se perdent
jamais.

II. En vous remerciant par avance de l'intérêt que vous porterez à cette demande d'auditions, je vous
prie d'agréer, Chère Madame Roudière, mes salutations distinguées.

Pierre Genevier

PJ no 1: Bref résumé de M, Valroff (l p)


PJ no 2 : Evidence du mandat de M. Vairoff au Conseil de surveillance de Lagardère SCA (tp,).

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File name: JI 25-dem -act 3-audi-3o-â-ib.doc
Les dirigeants du Crédit Agricole Patrick Valroff Page 1

Lej r a uNet
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xecutIfdirection/4-oatdck-vairofLshtmi

Patrick Valroff,
directeur des services financiers spécialisés

Patrick Valroff
Né en 1949
Directeur des services
financiers spécialisés
Crédit Agricole

0 Directeur des services financiers spécialisés de Crédit Agricole (depuis


2003)
0 Président directeur général Sofinco (depuis 1996)
0 Administrateur et directeur général de Sofinco (1993)
O Directeur général de Sofinco (1991)
Q Directeur général adjoint de Sofinco (1991)
O Délégué général à l'action sociale de la Ville de Paris (1988)
O Conseiller technique au cabinet du Premier Ministre (1986)
CI Directeur financier de la Délégation à l'aménagement du territoire et à
l'action régionale (1984)
0 Chargé du bureau des collectivités locales et de lintérieur et de la
décentralisation à la direction du budget au ministère de l'Economie
(1981)
O Conseiller référendaire à la Cour des comptes (1981)
O Magistrat à la Cour des comptes, rapporteur du Comité central d'enquête
sur le coût et le rendement des services publics (1977)
0 Ecole nationale d'administration

Photo Q Crédit Agricole

2011

69-71 avenue Pierre Grenier 925

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11/

http://wwwjournaldunet.com/iinprimer/economie/organigramme/credit-agricole-comi.. . 30/05/2016
Lagardëfe - Lagardere.com - Groupe - Gouvernement d'entreprise Page 2 sur 3

C iuinrmirex,'estr .
UN CONSEIL QUI S'EST DOTÉ DE COMITÉS LUI PERMETTANT DE PRÉPARER ET D'ORGANISER SES TRAVAUX
Deux comités ad touent été créés à cet effet

Comité d'Audit
Le Comité dAudit prépare les:. travaux du Conseil en matière notamment de contrôle des comptes et la
de vérification de fiabilité et de la otarie des Informations qui seront fournies aux
actionnaires et au marché, et en matière de suivi de reffcacïté des systèmes de contrôle interne et de procédures de gestion des risques.

Tous les membres du Comité é'Audit ont des compétences en matière financière oucomptable Cl sont tndépoodanls, Le Comité dAudit, composé de cinq membres, est présidé par
Xavier de Sarrau,
Son fonctionnement est conforme aux standards de le réglementation applicable. La plupart. des réunions du Comité d Audit précédent de quelques Jours les réunions du Conseil de
Surveillance de manière à pouvoir les préparer efficacement

Comité des Nominations, des Rémunérations et de la Gouvernance

la
Compte tenu de nécessité que le Conseil de Surveillance soit composé demembres dont les parcours professionnels concourent au plein exercice de leur mission de contrôla (cf.
schéma ai-dessus)itout en respectant las régies de bonne gouvernance (indépendance, diversité, etc ), os domitir a décidé de se doter d'un organe permettant de l'assister efficacement
é cet allai. Ce comité a ainsi été créé 00 2010 par le Conseil de Surveillance, lequel a étendu ses missions et sa composition en 2015::

Le Comité des Nominations, des Rémunérations et de ia Gouvernance est composé de cinq membres, tous indépendants. If est présidé par François Linux

Le Comité des Nominations, des Rémunérations et de la Gouvernance s'appuie sur un cabinet de recrutement indépendant pour procéder aux travaux de recherche et de sélection des
candidats à la nomination en qualité de membres du Conseil de Survol ranre, ainsi qu'à un consultant externe pour procéder à t évaluation formalisée du Conseil tous les trois ans, dont Il
pilote te processus.

LE RESPECT DU CODE DE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE AFEP-MEDEF

Le Conseil de Surveillance de Lagardère SCA's'attache à respecter les recommao talions du Code de gouvernement d'entreprise Afep-Medef auquel la Société a décidé d'adhérer.
Quelques illustrations:

très forte indépendance du Conseil de Surveillance ,


présence de comités pour préparer efficacement les travaux du Conseil.
auto-évaluation annuelle: du Conseil et évaluationexteme tous les trois ans;
durée des mandats de quatre ans maximum;,... :
rémunération des membres du Conseil en fonction de leur assiduité aux réunions:;
féminisation du Conseil de Surveillance i hauteur de qO
une réunion annuelle du Conseil de Surveitanca en dehors de le présence de le Gérance,

Membres du Conseil de Surveillance


Liste des membres du Conseil de Surveillance durant rexercice 2015

Date de nomination Date d'enpimtion


ou de renouvellement du mandat
Président du Conseil Xavier de Sarrau 06.05.2014 AGO 20181 )
Président du Comité d'Audit Membre indépendanit it

Membre du ConsefI Nathalie Andrieux 03.05.2016 AGO 20201*1


Membre du Comité d'Audit. Membre

Membre du Conseil Marttne Chêne 06.05.2014 AGO 2017rt


Membreindépendanttu

Membre du Conseil Georges Chodron de Courcel 03.05.2016 AGO 201e11


Membre du Comité des. Membre i rdépendant" t '
Nominations, des Rémunérations
et de la Gouverna"co

Membre du Conseil.: François David 06.05,2014 AGO 2017m


Membre du Comité d'Audit Membreiindépendanttai,
Nmina ti do Comité
d u
Nominations, dessm
Rémunérations
et de la Gouvomance

Membre du Conseil Yves Guillemot 5555 2014 AGO 2016x%


1(
Membre indépendonit t "
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Pions t escura 03.05.2016
la
technologie des contes:. X
Membre du Conseil- AG02010ci
Membre du Comité des Membre €ndé endantlt'
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Nominations, dus Rémunérations
et de la Gôiuémarra+

http;// www lagardere.com/groupe/gouvernement- d-entrepriseiconseil-de-surveillance-.. . 30/05/2016


Lagardère - Lagardere.com •- Groupe - Gouvernement d"entreprise Page 3 sur 3

Jean•Ciaude Mdgendle 06A52014 AGO 201811


Membre du Conseil
Membre Indépendante'

Membre du Conseil Soumis Betaidt Matinbeum 03.052013 AGO 2017x1


Membre du Comité des Membre indépendant{ ')
Nominations, des Rémunérations
et de le Gouvernance

Membre du Conseil Hélène Molinari 03.05.2016 AGO 2020E


Membre du Comité. des Membre ïndépendanti l l
Nominations, des Rémunérations 1

1' JŒI 5
et de le Gouvemance

Membre du Conseil Jacter Monzôn 06.052014 AGO2017i1 '✓ e


Membre indgpendantt' 1 x fa
Membre du Conseil François Rouesety 03.05.2016 AGO 2019E
Membre lndépendwt'i

Membre du Conseil Anne Sylta-Watbaum 03.05.2013 AGO 2017


Membre du Comité d'Audit - Membre indepenced(i"

Membre du Conseil Susan M Toison '05,05.2015 AGO 201 or,


Membre ixid!pendann't

Membre du Conseil Patrick Vatrotf 06•05.2014 AGO 20160


Membre du Comité d'Audit Membre Indépendantj"

Secrétaire Laure Riviém-0oumene

(1) Conformément aux critères d'indépendance du Code de Gouvernement d'entreprise Afep-Modef tels qu'appliqués par te
Conseil de Surveillance (cf. 7,4.2 cl-après).
(") Assemblée Générale Ordinaire devant statuer sur les comptes de l'exercice précédent.

Actualités du Groupe
30/05/2016
ELLE table lance su nouvelle application mobile disponible gratuitement sur l'App Store et Google. Play Store

30/0512018
Jérôme Bellay quitte ses fonctions au sein de Lagmère Active

Tous les communiqués

Le mot d'Arnaud Lagardère


"L-. groupe Lagardère poursuit sa transformation et notre engagement a porte ses fruits, comma en témoignent nos solides performances opérationnelles -et finanG9cas en 2015, en
particulier le forte amélioration de notre rentabilité

re Ïa te

Activités du Groupe
te groupe Lagardère est un des leaders mondiaux de l'édition, te production, lu diffusion et la distribution de contenus dont tes marques fortes génèrent et rencontrent
10- „ des audiences qualifiées gréce à sas réseaux virtuels et physiques.
San modeste repose sur la création dune relation durable et exclusive entre ses contenus et les consommateurs.
° li se structure autour de quatre métiers.

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2! 2.

Funac6 Relations tnvosiisseurs"


Espace "Actionnaires Individuels'
... 0 Lagerd&re 2016

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REPUBLIQUE FRANCAISE
MINISTERE DE L'INTERIEUR, DE L'OUTRE-MER ET
DES COLLECTIVITES TERRITORIALES
DIRECTION GENERALE DE LA POLICE NATIONALE
DIRECTION CENTRALE DE LA SECURITE PUBLIQUE

PROCES-VERBAL
COMMISSARIAT DE POLICE PV n° 00433/20161008200
D'EVRY, BOULEVARD DE FRANCE
91012 EVRY
Tel : 01 60 76 70 00
Fax: 01 60 76 71 92
Code INSEE : 91228

P. V.: n °20161008200 L'an deux mil seize,


Le huit novembre, à quinze heures trente
AFFAIRE:
C/X
Commission rogatoire de Nous, YMED AKROUT
Madame Delphine ROUDIERE LIEUTENANT DE POLICE
Vice - présidente chargée de En fonction à la Brigade de Sureté Urbaine
l'Instruction au TGI de Poitiers

OBJET: OFFICIER DE POLICE JUDICIAIRE en résidence à la C. S. P. EVRY


RENSEIGNEMENTS
--- Nous trouvant au service,
-- Poursuivant l'exécution de la commission rogatoire numéro JIJI1 1500001 délivrée
le 25/08/2016 par Madame ROUDIERE DELPHINE, VICE PRESIDENT CHARGE
DE L'INSTRUCTION à la COUR D'APPEL POITIERS
informant contre X,
--- Vu les articles 81, 151 à 155 du Code de procédure pénale, ---
---Vu la demande de GENEVIER Pierre, partie civile, qui sollicite la mesure
d'instuction suivante:
selon l'article 82-1 du code de procédure pénale:
qu'il soit procédé à l'audition de Messieurs CHIFFLET et VALROFF.
( le déclarant joint une lettre précisant les motifs de la demande.
Demande faite le 30/05/2016 auprès du cabinet de Madame Delphine ROUDIERE,
vice-présidente chargée de l'instruction au TGI de Poitiers.-----
----Disons avoir procéder à la consultation des fichiers de police accessibles à nos
services aux fins de localisation des messieurs sus cités:
- Monsieur CHIFFLET Jean Paul serait domicilié 46 rue de la Charité 69 Lyon,
2Eme arrondissement;
- Monsieur VALROFF Patrick serait domicilié 26 r(
Mer,44- ---
---Dont acte.-----

----De même suite------


----Disons adresser le résultat de nos recherches au magistrat instructeur aux fins
d'instructions.------
----Dont acte. -----

Le lieutenant de police

2016/0030491578
REPUBLIQUE FRANCAISE
MINISTERE DE L'INTERIEUR, DE L'OUTRE-MER ET
DES COLLECTIVITES TERRITORIALES
DIRECTION GENERALE DE LA POLICE NATIONALE
DIRECTION CENTRALE DE LA SECURITE PUBLIQUE

P ROC ES-VERBAL
COMMISSARIAT DE POLICE PV n° 00433/2016/008200
D'EVRY, BOULEVARD DE FRANCE
91012 EVRY
Tel : 01 60 76 70 00
Fax: 01 60 76 71 92
Code INSEE : 91228

P. V. : n°2016/008200 L'an deux mil seize,


Le neuf novembre, à onze heures vingt
AFFAIRE:
C/X
Commission rogatoire de Nous, YMED AKROUT
Madame Delphine ROUDIERE LIEUTENANT DE POLICE
Vice - présidente chargée de En fonction à la Brigade de Sureté Urbaine
l'Instruction au TGI de Poitiers

OBJET: OFFICIER DE POLICE JUDICIAIRE en résidence à la C. S. P. EVRY


Instruction de l'Instruction du
TGI de Poitiers
--- Nous trouvant au service,
--- Poursuivant l'exécution de la commission rogatoire numéro JIJI11500001 délivrée
le 25/08/2016 par Madame ROUDIERE DELPHINE, VICE PRESIDENT CHARGE
DE L'INSTRUCTION à la COUR D'APPEL POITIERS
informant contre X,
--- Vu les articles 81, 151 à 155 du Code de procédure pénale, ---
Disons recevoir du TGI de Poitiers, de l'Instruction, instruction de Madame
----

LAFOND Estelle, juge d'instruction de leur faire retour de la commission rogatoire,


au vu du lieu de domiciliation de Messieurs VALROFF et CHIFFLET.-----
-Dont acte.----
--

Le lieutenant de police

2016/0030491578
REPUBLIQUE FRANCAISE
W44
MINISTERE DE L'INTERIEUR, DE L'OUTRE-MER ET
DES COLLECTIVITES TERRITORIALES
DIRECTION GENERALE DE LA POLICE NATIONALE
DIRECTION CENTRALE DE LA SECURITE PUBLIQUE

PROCES-VERBAL
COMMISSARIAT DE POLICE
D'EVRY, BOULEVARD DE FRANCE
91012 EVRY
Tel : 01 60 76 70 00
Fax: 01 60 76 71 92
Code INSEE : 91228

P. V. : n°2016/008200 L'an deux mil seize,


Le seize novembre, à quatorze heures trente
AFFAIRE:
Clx
Commission rogatoire de Nous, YMED AKROUT
Madame Delphine ROUDIERE LIEUTENANT DE POLICE
Vice - présidente chargée de En fonction à la Brigade de Sureté Urbaine
l'instruction au TGI de Poitiers

OBJET: OFFICIER DE POLICE JUDICIAIRE en résidence à la C. S. P. EVRY


CLOTURE
--- Nous trouvant au service,
--- Agissant en vertu et pour l'exécution de la commission rogatoire numéro
JIJI11500001 délivrée le 25/08/2016 par Madame ROUDIERE DELPHINE, VICE
PRESIDENT CHARGE DE L'INSTRUCTION à la COUR D'APPEL POITIERS
informant contre X,
--- Vu les articles 81, 151 à 155 du Code de procédure pénale, ---
--- Mentionnons clôturer la présente procédure pour être transmise à Monsieur le
Vice président chargé de l'Instruction TGI de Poitiers
--- Dont acte.
L' OFFICIER DE DOLICE JUDICIAIRE

CLOTURE ET TRANSMISSION --- Dont procès-verbal clos ce jour, 16 novembre 2016, pour être transmis à
Monsieur le Vice président chargé de l'Instruction TGI de Poitiers ---
LE COMMISSAIRE DIVISIONNAIRE DE
POLICE

2016/0030491578

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