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© 2023, Guy Trédaniel éditeur.

ISBN : 978-2-8132-2981-6

Tous droits de reproduction, traduction ou adaptation réservés pour tous pays.

Les infomations contenues dans cet ouvrage n’ont pas vocation à remplacer
les traitements préconisés par un médecin ou un professionnel de santé agréé.
L’intention des auteurs est de fournir des informations générales pour vous aider
dans votre quête du bien-être physique, émotionnel et spirituel.

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Michel Dogna
et Anne-Françoise L’Hôte

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CHEZ GUY TRÉDANIEL ÉDITEUR
RUBRIQUE « RÉVÉLATIONS »
Alertes en vrac : santé publique, écologie, les omerta de la télé (2013)
Histoires extraordinaires d’outre-espace (2007)
RUBRIQUE « THÉRAPEUTIQUE GÉNÉRALE »
Prenez en main votre santé – tome 1 (6e édition), (2001-2017)
Prenez en main votre santé – tome 2 (4e édition), (2005)
Prenez en main votre santé – tome 3 (2e édition), (2010)
Manuel du nouveau thérapeute (1988)
Élixirs de fleurs homéopathiques (1996)
Pratique de la cure Gerson et Kelley : 60 années de succès thérapeutiques, le
saviez-vous ? (2e édition), (2009-2012)
L’Hydrothérapie chez soi (2012)
27 remèdes majeurs actuels ignorés ou boycottés (2015) – épuisé
RUBRIQUE « PETITS RÉPERTOIRES »
No 1 – Se soigner sans chimie (2006-2008-2012)
No 2 – Remèdes peu connus en homéopathie (2006)
No 3 – Sels Schüssler, métaux alchimiques (2007)
No 4 – Gemmothérapie et alcoolatures mères (2007)
No 5 – Élixirs de cristaux (2009)
No 6 – 280 huiles essentielles – nouvelle édition (2009)
No 7 – Homéopathie courante (2010)
No 8 – La Pharmacie des champs : efficacités oubliées (2016)

RUBRIQUE « PHILOSOPHIE »
L’Intelligence du cœur en 70 leçons de choses (2014)
RUBRIQUE « DÉTENTE »
Rigolothérapie 1 – 300 prescriptions magistrales contre la sinistrose (2008)
Rigolothérapie 2 – 250 prescriptions magistrales contre la sinistrose (2011)
Les allégations exprimées au sein de cet ouvrage ne
concernent que les auteurs et non les fournisseurs des
produits et matériels qui n’affichent, à titre personnel, aucun
avis médical.
SOMMAIRE
PRÉSENTATION

FICHES TECHNIQUES
1 ADN TÉLOMÉRACTIVES
2 AIGUILLES DE PIN SYLVESTRE GEMMO D1
3 AIR DES MONTAGNES
4 ALPHAPHYT
5 AUBÉPINE FORTE
6 BAOBAB
7 BERRIMAX
8 BÉTADINE SPRAY NASAL
9 BILIOR 7
10 CAPILLAR PLUS
11 CBD CANNABIDIOL
12 FERALEN
13 GLUTYL 2
14 ALCAPHYT
15 IODINE SOLUTION DE LUGOL
16 L-GLUTATHION RÉDUIT LIPOSOMAL
17 PROSTAPHYT
18 QUERCÉVITAL
19 VAGOSTIM
20 TIBÉTANE (NOUVEAU PADMA)
21 ZINC + SÉLÉNIUM
22 ALOE VERA
23 BAINS HYPERTHERMIQUES
24 NACRE D’HUÎTRE
25 SIBERIA GINSENG
26 L-GASSERI + BROMÉLAÏNE GAMMA
27 HYDRAPHYT
28 CALMOPHYT
29 DIGILANCE
30 GRAVIOLA COROSSOL
31 FLORACOR GI
32 SACHA INCHI – HUILE
33 REISHI (CHAMPIGNON)
34 SERRACOR NK
35 EXTRA LIFE VISION
36 MRE
37 MACA (POUDRE DE RACINE)
38 DIGEST-GI
39 JUS DE POMME DE TERRE CRUE
40 OSTÉORENOV
41 SECONDE JEUNESSE
42 SILICE DE PRÊLE OU D’ORTIE
43 FERALIM
44 OREGARESP
45 BAUME DE RUSSIE SALMANOFF
46 ZÉOLITE CLINOPTILOLITE SURFINE (0,5 MICRON)
47 TCM DE COCO
48 GINKGO BILOBA
49 BAINS SALMANOFF
50 OREGANOL P73
51 COENZYME Q10 220
52 VITAMINES D3 + K2 LIPOSOMALES
53 PHYCOCYANINE
54 TYRO+
55 DÉTOX
56 CHLORURE MAGNÉSIUM
57 SERRAPEPTASE
58 ARTEMISIA ANNUA
59 VITAMINE C
60 BROMÉLAÏNE GAMMA (2 500 GDU)
61 NEUROPHYT
62 EM-X GOLD
63 QUINTON
64 CHLOROPHYT (CHLOROPHYLLE CONCENTRÉE)
65 SOUFRE ORGANIQUE (MSM)
66 MENOPHYT
67 ARGENT COLLOÏDAL
68 CARBOPHYT
69 SANCHLOR
70 D-MANNOSE
71 ARGILE
72 MORINGA
73 DMSO (DIMÉTHYL SULFOXYDE)
74 NUCLEI QUANTUM (THYMOQUINONE)
75 JEÛNE ET CHIMIOTHÉRAPIE

INDEX ALPHABÉTIQUE GÉNÉRAL PAR MALADIES

INDEX
PRÉSENTATION
Il est arrivé fréquemment que des personnes me disent fièrement :
« Je possède vos trois tomes de Prenez en main votre santé »,
croyant tout connaître sur mes outils thérapeutiques actuels. Or le
tome 3 de Prenez en main votre santé est sorti en 2010… Nous
sommes en 2023 !
À notre époque, tout évolue de plus en plus vite, et cela dans tous
les domaines, en particulier celui de la technologie ; pourquoi n’en
serait-il pas de même pour les remèdes de santé ? Par ailleurs,
certains produits qui étaient présentés dans mes ouvrages ont
disparu de la circulation, d’autres ont changé de fournisseurs
Et puis, il y a aussi le problème de la dictature médicale de Big
Pharma (le cartel des grands labos) qui ne supporte pas la
concurrence et qui pratique des marges scandaleusement élevées
sur ses médicaments brevetés, qui profite de la grande mansuétude
de la Sécurité sociale pour les remboursements partiels ou complets
des malades, gratuité en réalité payée par nos impôts ! Voilà
comment d’année en année, la puissance financière acquise par ce
monstre médicopharma lui permet de dicter les lois aux
gouvernements, et en particulier de bricoler les réglementations à sa
guise.
C’est ainsi qu’en décrétant soudain la dangerosité d’un constituant
(naturel !) de la formule d’un remède qui marche trop bien depuis
trop longtemps, on le « sécurise », on l’« améliore » pour le plomber
sans contestation. Nous avons pu constater dramatiquement à nos
dépens depuis l’événement Covid-19 que cet État dans l’État se
permet tout sans même essayer de se justifier. C’est ainsi que l’on
interdit tout ce qui marche ou qui ne coûte pas cher ! Et ce,
même au niveau des prescriptions des médecins.
Et malheur au « Géo Trouvetout » qui dans son coin (malgré de tout
petits moyens !) trouve un remède efficace et sans danger risquant
de nuire à la cote en Bourse des grands labos. Celui-là doit être
éliminé… Et quid des malades ? Du consommable, quand ils ne
sont pas utilisés officieusement comme simple matériel
d’expérimentation. Mais d’aucuns pensent que j’exagère… Chacun
croit ce qu’il veut, et personne ne les empêche de se laisser sacrifier
sur l’autel de la « science ». Après tout, la mort n’est pas grave…
Mais la souffrance, si !
Enfin, il était devenu nécessaire d’effectuer un tri parmi la foultitude
toujours croissante de remèdes où l’on finit par se perdre dans les
choix proposés. Alors, partant du principe « que le meilleur gagne »,
je n’ai gardé ici que les incontournables parmi quelques poids
lourds thérapeutiques qui ont résisté à l’épreuve du temps.
FICHES TECHNIQUES
1

ADN TÉLOMÉRACTIVES
Clé de reprogrammation des ADN endommagés

AVEZ-VOUS ENTENDU
PARLER DES TÉLOMÈRES ?
En 2009, trois scientifiques, Elizabeth Blackburn, Carol Greider et
Jack Szostak, ont découvert les télomères qui sont des manchons
de ribonucléoprotéines aux extrémités de nos chromosomes. Ils ont
ainsi reçu le prix Nobel de médecine et physiologie pour leurs
travaux sur le vieillissement cellulaire. La particularité des télomères
est qu’ils raccourcissent un peu à chaque duplication des
chromosomes ; cela les place au cœur des processus de
vieillissement en raison d’une recopie de moins en moins fidèle.
C’est ainsi que notre âge organique réel est défini par la longueur
restante de nos télomères. Par ailleurs, ils indiquent notre taux de
vitalité et notre capacité de restauration fonctionnelle.
Le raccourcissement des télomères explique que la plupart des
cellules humaines meurent en moyenne après 50 à 70 divisions.
Cette limite est connue depuis des décennies sous le nom de
« limite de Hayflick ». Or il existe une enzyme nommée télomérase
dont la fonction est de réparer l’usure des télomères lors des
divisions cellulaires.

En 2010, des chercheurs de l’université Harvard sont parvenus à


ramener des souris âgées de 80 ans (à l’échelle humaine) à l’état
de jeunes adultes, en activant tout simplement la production de
télomérase.
• La mauvaise voie est de fabriquer une télomérase de synthèse –
donnant lieu bien sûr à un brevet… – qui n’est souvent qu’une
variété allotropique (géométrie moléculaire différente et propriétés
altérées).
• La bonne voie est d’exploiter des pistes que la nature a résolues
depuis des millions d’années, en apportant des stimulines
naturelles donc biocompatibles.

LA RACINE D’ASTRAGALE,
REMÈDE MILLÉNAIRE ANTIÂGE
Depuis quatre mille ans, l’astragale – plante d’origine chinoise – a
été utilisé en MTC (médecine traditionnelle chinoise) sous forme de
tisanes de racines séchées. Attention, il existe plus de
deux mille espèces différentes au sein du genre Astragalus.
Quelques-unes d’entre elles sont même toxiques et aucune n’a les
mêmes propriétés qu’Astragalus membranaceus, bien que certaines
puissent avoir un usage médicinal.
Elle est couramment utilisée pour :
• Anémie
• Angine de poitrine
• Asthme
• Cancers (adjuvant)
• Cœur (renforce)
• Descente d’organes
• Digestion (améliore)
• Diurétique
• Énergie (augmente)
• Fatigue chronique
• Fibromyalgie
• Foie (insuffisance)
• Grand adaptogène
• Grippe
• Hépatites
• Hypertension nerveuse
• Immunité (équilibre)
• Membres faibles
• Méridien rate (stimule)
• Œdèmes
• Peau (protège des dégâts oxydatifs des UV)
• Radicaux libres engendrés par le stress
• Rétention d’eau
• Rhume
• Sida
• Sueurs nocturnes
• Surrénales épuisées
• Vieillissement organique (ralentit)

Mais surtout elle est aussi une réponse à la carence télomérase et


donc une réplication fidèle de l’ADN, d’où un recul du vieillissement.
Une formule synergique a été mise au point pour étendre son
efficacité avec la possibilité de restaurer l’ADN endommagé.

COMPOSITION GLOBALE
D’ADN TÉLOMÉRACTIVES
Des plantes
• Astragalus membranaceus : propriétés ci-dessus.
• Resvératrol extrait de raisin : qui détruit les radicaux libres
toxiques.
• Rhodiola : adaptogène qui réduit l’impact négatif du stress, accroît
l’endurance.
• Vitis vinifera : qui maintient l’intégrité des vaisseaux et capillaires
sanguins, améliore la circulation veineuse, et détruit les radicaux
libres toxiques.
Des vitamines
• Vitamine B12 cobalamine.
• Vitamine C acide ascorbique.
• Vitamine D calciférol.
• Vitamine E tocophérol.
Des minéraux qui participent à la protection de notre ADN
• Magnésium, cuivre, sodium, zinc, sélénium, manganèse.
• Silicium, oligo-élément de plus en plus indispensable dans nos
processus informatiques internes naturels, la chimie organique
humaine actuelle autour du carbone étant en voie de
remplacement vers la chimie autour de la silice des hommes
nouveaux du Verseau.

Nota Les tests d’innocuité ne révèlent aucune mutagénicité


d’ADN Téloméractives soit avec le produit brut, soit avec le
produit dégradé par la digestion, et quelle que soit la
concentration testée.

DIX ANNÉES D’ÉTUDES QUI


RÉPONDENT
AUX GRANDES MALADIES
DE NEURODÉGÉNÉRESCENCE
Conclusion étude 1
ADN téloméractives est capable sur certaines protéines mutées de
restaurer de façon partielle une activité de transcription normale.
Cette restauration permet potentiellement à la protéine mutée de
jouer un rôle important dans le maintien de l’intégrité du génome
(restauration de l’ADN), c’est-à-dire :
• Apoptose.
• Télomères abîmés.
• Élimination des cellules qui présentent des dommages irréparables
de l’ADN.

Nous avons donc des éléments de preuve expérimentaux marquant


que le composé ADN téloméractives diminue significativement la
génotoxicité et la mutagenèse induite in vivo par une substance
mutagène cancérogène.

Conclusion étude 2
ADN téloméractives a une action de stimulation de la réparation des
glycols. À savoir que l’enzyme NTH1 qui répare les glycols est
également impliquée dans la maintenance des télomères.
Conclusion étude 3
Le traitement à long terme (dix semaines chez le rongeur) avec ADN
téloméractives augmente la transmission des synaptiques nerveux
et les capacités de mémoire chez les animaux qui présentent un
niveau élevé de Aβ naturel en raison de l’âge.

INDICATIONS D’ADN
TÉLOMÉRACTIVES
• ADN (altérations du génome)
• Anémie
• Cancers
• Cœur (nécrosé)
• Épilepsie
• Foie (insuffisance)
• Génotoxiques vaccinaux
• Hépatites
• Immunodéficience
• Maladies auto-immunes
• Maladies dégénératives
• Maladies mentales
• Maladies virales
• Mémoire défaillante
• Peau (protège des dégâts des UV)
• Peau vieillie
• Radicaux libres toxiques
• Sida
• Toxémies médicamenteuses
• Vaxx ARNm (séquelles)
• Vieillissement organique prématuré
• Vision (baisse)
• Yeux (cataracte)
• Yeux (DMLA)

Nota Au Canada, ce produit vendu connaît un vif succès.

POSOLOGIE
• 30-40 ans : 1 comprimé par jour.
• 40-50 ans : 2 comprimés par jour.
• 50-60 ans et plus : 3 comprimés par jour.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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2

AIGUILLES DE PIN SYLVESTRE


GEMMO D1
Capteur électrique de l’oxyde de graphène

Cela s’adresse particulièrement à trois catégories de gens :


• Ceux qui se sont laissé vaxxer à regret pour avoir le droit de
continuer à gagner leur vie et nourrir leur famille.
• Ceux qui se sont fait vaxxer volontairement et sont maintenant
très inquiets par ce qu’ils ont appris depuis sur les risques de
santé graves qu’ils pourraient encourir maintenant.
• Ceux qui ne sont pas vaxxés mais qui risquent d’être infectés par
la proximité permanente ou imprévisible de vaxxés qui semblent
être en fait des distributeurs ambulants de protéine Spike.

À ce sujet je voudrais ici mettre en défaut un raisonnement tronqué


venant des « zélites médico-politiques » concernant les sujets
fragiles, que par une grande mansuétude on place prioritaires pour
bénéficier du « vaxxin sauveur », il s’agit bien sûr des gens âgés,
particulièrement ceux des Ehpad, mais aussi des gens à risques
comme les diabétiques et les obèses, dont les défenses
immunitaires sont souvent déficientes.
Or on sait que la première ligne de défense antigraphène est le L-
glutathion, alors que celui-ci est automatiquement en déficit chez
ces gens-là.

BREF HISTORIQUE DES AIGUILLES


DE PIN SYLVESTRE
L’histoire nous montre que les aiguilles de pin sylvestre, ou de
différentes autres espèces de pin, ont été largement utilisées depuis
des millénaires chez différents peuples comme les Amérindiens, si
bien que ce pin était surnommé « l’arbre aux mille vertus ». Les
herboristes du monde entier connaissent depuis longtemps les
bienfaits de ces aiguilles de pin en tisane, en teinture-mère, en
poudre, ou en huile essentielle.
Aussi, la richesse des aiguilles de pin sylvestre en pinène et en
multiples autres constituants confère un pouvoir guérisseur
reconnu ciblant particulièrement les affections respiratoires,
donc très efficace en cas de Covid.
Et surtout, les extraits d’aiguilles de pin peuvent neutraliser
l’éléctropositivité du graphène (très probablement contenu dans
le vaccin), le rendant inactif et le piégeant magnétiquement.

INDICATIONS DES AIGUILLES


DE PIN SYLVESTRE
• Antidote électrique du graphène
• Antioxydant puissant
• Antiseptique pulmonaire général
• Asthénie
• Corticosurrénales fatiguées
• Diurèse (insuffisante)
• Expectorant
• Graphène (capteur électrique)
• Inflammations broncho-pulmonaires
• Mucolytique
• Vitalité faible

CONCLUSION
Les gros dommages physiques et psychiques post-vax peuvent être
grandement évités ou atténués grâce aux aiguilles de pin sylvestre
en préventif avant le vax, cela permettant de se mettre en règle
naturellement sans trop de risques avec le scandaleux passeport
vert.
En curatif post-vax, il paraît aussi possible dès le départ de bloquer
le graphène, mais je ne suis pas sûr que par la suite il soit possible
de rattraper tous les dégâts déjà occasionnés.

Nota Vu sur Pro Fide Catholica : en Espagne les produits


dérivés d’aiguilles de pin ont été interdits courant
mai 2021 ! C’est bien la preuve que ça marche ! Parce que
cela ne sera pas diffusé à la télé…

RECOMMANDATIONS PRÉ- ET POST-


VAX
Pour alcoolature ou teinture-mère d’aiguilles fraîches de pin
sylvestre.
Quinze gouttes dans de l’eau avant chacun des trois repas,
pendant vingt-cinq jours, cure à renouveler après arrêt d’une
semaine. Un flacon de 100 ml suffit pour deux cures.

GARANTIE QUALITÉ
Les aiguilles de pin sylvestre sont coupées et mises en macération
sur le site même de la cueillette, dans de la Blanche d’Armagnac 55°,
certifiée Demeter et Ecocert.
La teinture-mère est labellisée Ecocert, Nature et Progrès, Demeter.
Elle a un titre alcoolique de 35° environ.

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3

AIR DES MONTAGNES


Précieux allié contre les toux bronchitiques

UNE BELLE HISTOIRE


Qui n’a pas connu le célèbre sirop des Vosges Cazé contre la toux,
dont la réputation n’a jamais faibli pendant presque un siècle. C’est
Alexandre Cazé, pharmacien à Saint-Quentin en Picardie, qui
a composé ce sirop « maison » contre la toux et les affections
des bronches. Pourquoi « des Vosges » ? Sans doute à cause de
l’odeur fraîche, légère et tonifiante qu’il avait eu l’occasion
d’apprécier dans les forêts de sapins vosgiennes. Son sirop était
donc majoritairement à base d’essences de sapins, auxquelles il
ajouta du drosera et, en très petites quantités, de la belladone, de
l’aconit et du laurier-cerise, trois plantes connues pour être
toxiques, en outre largement reprises en homéopathie. En tout cas,
notre pharmacien connaissait bien son affaire puisqu’il n’y a jamais
eu d’accidents, même avec les enfants.

En 1900, son sirop étant prêt à être diffusé, Alexandre Cazé en lança
la publicité dans les journaux et ce fut un tel succès que trois ans
après il était distribué dans toute la France. Il a en outre été rapporté
que pendant la guerre de 1914-1918, le sirop fut adopté par les
poilus qui le baptisèrent « sirop des Vosges gazé » ! Après la
guerre, le fameux sirop passa les frontières vers la Belgique, la
Suisse, etc. En 1929, le fils, Michel Cazé, nouvellement diplômé
pharmacien, rejoignit son père et inventa les « pâtes des Vosges »,
petits cônes verts de gomme à sucer. Puis vint la guerre de 1939-
1945 où la vente de plus d’un million de petites bouteilles par an ne
fléchit presque pas.
En 1950, alors que le chiffre de vente avait dépassé les
quatre millions de flacons, le laboratoire Cazé s’associa à Aspro, ce
qui entraîna une véritable explosion commerciale dans le monde
entier qui fit dire plaisamment à ses dirigeants, « maintenant, on
tousse dans toutes les langues ! ». Puis, en 1977, le soufflé
commence à retomber en raison de complications administratives –
les laboratoires Cazé sont vendus à la société Beecham, elle-même
ensuite absorbée par GlaxoSmithKline… et la commercialisation du
sirop fut arrêtée en 2008 (coup classique de la plupart des vieux
produits de qualité qui ne sont pas suffisamment rentables).

Encore une belle histoire qui s’est terminée en jus de boudin !

TOUJOURS PAS D’ÉQUIVALENT EN


VUE

Anecdote Il y a quelque temps, j’ai dû demander à mon


pharmacien un sirop émollient antitoux pour quelqu’un de
ma famille, vu que là où je suis l’homéopathie que je
maîtrise bien n’existe pas. Le goût chimique était tellement
horrible qu’elle l’a recraché – et moi aussi lorsque je l’ai
goûté… c’est cela le progrès ?

Adrien Baccichetti – biologiste – et son épouse – biochimiste – ont


créé un sirop qui, à mon sens, comble cette regrettable carence.
Pour cela, ils ont suivi la piste des conifères qui justement
bénéficient depuis des millénaires d’une solide réputation auprès
des populations montagnardes concernant les problèmes
pulmonaires.
De fait, ces conifères – qui ont en commun, grâce à leur densité très
Yang, leur grande résistance aux climats rudes très Yin (grand froid
+ vent) – ont développé dans leurs aiguilles des composés
aromatiques spécifiques qui peuvent être mis naturellement à notre
disposition – ainsi y trouve-t-on des antioxydants polyphénoliques,
des monoterpènes, du pinène, du limonène, de l’acétate de bornyle
et du camphène, et même des vitamines, principalement de la
vitamine C.

LA SÉLECTION DU COMPLEXE
« AIR DES MONTAGNES »
De même qu’avec les crus de vin dont les propriétés varient avec les
terroirs, une sélection a été effectuée en vue d’une efficacité
maximum. Ainsi ont été sélectionnées les aiguilles des conifères
suivants :
• Les pins des montagnes, récoltés dans les Carpates.
• Les sapins des Vosges, dans le massif vosgien.
• Les sapins de Sibérie, des montagnes bordant le lac Baïkal.

LA RÉCOLTE ET L’ÉLABORATION
Les aiguilles sont directement récoltées sur les arbres en forêt, sans
arracher les branches et en veillant à un prélèvement raisonné afin
de ne pas compromettre la survie de l’arbre. L’extraction est ensuite
réalisée sur les aiguilles encore fraîches.
Un extrait hydroglycériné à forte concentration est obtenu par
pression à froid, permettant d’obtenir au mieux les principes actifs
sans dénaturer le produit final. En particulier l’extrait hydroglycériné a
les avantages de la teinture-mère alcoolique sans avoir les
inconvénients de l’alcool. Pour fabriquer un litre de produit, il est
utilisé 800 g de pin des montagnes, 150 g de sapin de Sibérie et
150 g de sapin des Vosges.
Enfin, au niveau des additifs, afin de privilégier l’harmonie naturelle,
il n’est ajouté aucun conservateur toxique. Par exemple, la
vitamine C (acide ascorbique) est préférée aux acides benzoïques ou
phosphoriques reconnus nocifs.

SPÉCIFIQUE DE LA SPHÈRE
RESPIRATOIRE
Actions d’Air des montagnes
• Il libère les bronches et décongestionne le nez.
• Il est expectorant.
• Le pinène et le limonène fluidifient le mucus pour faciliter
son élimination des poumons
par la toux.
• Il a des propriétés anti-inflammatoires et tonifiantes.
• Il dynamise l’organisme en cas de fièvre.
• Il stimule l’immunité et réveille la vitalité.

De plus :
• Il améliore la circulation du sang et de la lymphe.
• Il tonifie les parois veineuses et bronchiques.
• Il limite l’inflammation caractéristique des infections.
• Il combat les allergies respiratoires.
• Il stimule les glandes corticosurrénales.
• Il apaise le stress.

INDICATIONS
• Allergies respiratoires
• Bronchite – trachéite
• Coronavirus
• Corticosurrénales déficientes
• Fiévreux (état)
• Grippe
• Immunodépression
• Nez bouché
• Rhume
• Stases sanguines et lymphatiques
• Stress
• Toux sèche

POSOLOGIE
20 ml par jour, flacons de 240 ml = cure de 2 semaines.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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4

ALPHAPHYT
Régule l’hyperglycémie et répare les tissus peroxydés

L’Alphaphyt est une formule essentiellement composée d’acide


alpha R-lipoïque, un acide soufré peu connu en médecine, produit
en très petites quantités par le corps, mais omniprésent car
indispensable dans une multitude de métabolismes. Cet acide R,
c’est-à-dire sous forme naturelle étant à la fois soluble dans l’eau et
dans les graisses, pénètre dans tous les tissus, qu’ils soient
extracellulaires ou intracellulaires. Son intérêt majeur est de faire la
chasse aux peroxydants résiduels et aux mauvais radicaux libres
responsables du fameux stress oxydatif générateur du vieillissement
biologique précoce.

À PROPOS DES ANTIOXYDANTS


Je voudrais revenir sur un effet de mode abusif que je dénonce
depuis longtemps, et qui affiche en première référence de
multiples produits : antioxydant – évidemment, tous les
meilleurs –, je vais donc réexpliquer la réalité des processus
immunitaires.
Lorsque des NK (police) croisent un micro-organisme ou un produit
indésirable, ils lui envoient une « giclée » d’une sorte de vitriol
peroxydant (ex. : eau oxygénée) qui va le brûler – mais il va falloir
ensuite nettoyer le site car ce peroxydant attaquerait rapidement les
cellules environnantes – et c’est là qu’intervient automatiquement le
L-glutathion, un neutralisant fabriqué par le sang. Partant de cela, on
a l’idée de fabriquer du L-glutathion à partir du lait en tant
qu’antioxydant naturel. Mais il y eut deux problèmes : le produit était
cher car il fallait beaucoup de lait pour l’extraire, et par ailleurs il ne
se gardait pas plus de trois ou quatre semaines.
Or l’acide alpha R-lipoïque étant lui plus stable et moins coûteux
effectue entre autres le même travail sélectif, venant ainsi épauler
ou même recycler le glutathion usé.
Concernant les produits dits antioxydants en général, je reviens sur
ce que j’ai appelé plus haut une allégation abusive et débridée en
utilisation continue, qui peut donc handicaper voire annuler les
défenses immunitaires au fur et à mesure de leurs interventions, vu
que les apports extérieurs ne sont pas contrôlés par l’intelligence du
corps – et il est donc important d’utiliser des produits reconnus
par le corps, donc contrôlables et sélectifs dans leur travail.

LES MULTIPLES PROPRIÉTÉS


DE L’ACIDE ALPHA R-LIPOÏQUE
• Il soutient le foie, premier centre de traitement antipoison de
l’organisme.
• Il fait la chasse aux radicaux libres toxiques.
• Il est un antioxydant sélectif très puissant.
• Il capte les métaux toxiques tels que l’arsenic, le cadmium, le
mercure et le plomb, ainsi que le fer ou le cuivre en excès.
• Il est un grand détoxifiant.
• Il combat le « stress glyquant ». Selon le Dr Dominique Rueff, c’est
une réaction chimique courante qui se produit quand les protéines
de notre organisme sont en présence de sucres chauffés à des
températures trop élevées (caramélisation). Notre corps se
caramélise aussi…
• Il est efficace dans les neuropathies diabétiques.
• Il inverse les effets négatifs du diabète sur les yeux, les nerfs et le
cœur.
• Il peut augmenter la production d’énergie en facilitant le transport
du glucose dans les muscles.
• Il peut faire disparaître dans un délai de deux à quatre mois une
cataracte débutante, et en environ un an une cataracte installée.
Pour un glaucome, il faut au moins deux mois pour en venir à bout,
puis suivre un traitement d’entretien. Pour ce qui concerne la
DMLA, il est possible grâce à l’acide alpha R-lipoïque de la
stabiliser.
• Il prévient le vieillissement cérébral.
• Il active les dix mille milliards de mitochondries cellulaires qui
transforment les aliments en énergie pour alimenter et réparer
l’ADN et prémunir des pathologies neurodégénératives.
• Il permet une utilisation plus prolongée de la vitamine C qui
régénère les mitochondries défaillantes.

COMPOSITION D’ALPHAPHYT
• Acide alpha R-lipoïque 560 mg.
• Gélule végétale : hydroxypropylméthylcellulose.
• Antiagglomérant : sels de magnésium d’acides gras.

INDICATIONS D’ALPHAPHYT
• Cataracte (entre deux et douze mois selon l’ancienneté)
• Cécité diabétique
• Diabète (mange la glycation excessive)
• Diabète : effets collatéraux (yeux, nerfs, cœur)
• DMLA (stabilisation)
• Foie déficient
• Gangrène diabétique (+ méthode Gardelle)
• Glaucome (en deux mois)
• Glycémie (hyper)
• Intoxication organique par radicaux libres
• Maladies neurodégénératives
• Métaux en excès (fer, cuivre)
• Métaux toxiques (arsenic, cadmium, mercure et plomb)
• Neuropathies diabétiques
• Vieillissement cérébral

POSOLOGIE
1 gélule, 2 fois par jour, en dehors des repas.
En ce qui concerne les yeux : 3 gélules par jour jusqu’au résultat
souhaité puis réduire la quantité.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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5

AUBÉPINE FORTE
La plante du cœur

Je connais depuis longtemps les vertus vantées à propos de


l’aubépine dont la réputation a traversé plusieurs millénaires chez
différents peuples. Pourtant, alors que cette plante aurait dû être
pour moi en tant que cardiaque un de mes remèdes basiques, elle
m’a déçu dès le départ et ne sort jamais au test kinésio, même en
homéopathie sous le nom latin de Crataegus oxyacantha. Donc, j’ai
éliminé de mes tablettes ce remède pourtant célèbre, qui marche
peut-être sous forme de tisanes, mais ce mode peu pratique
n’intéresse plus grand monde, d’autant plus que les herboristeries
ont été progressivement fermées depuis le gouvernement de Vichy
en 1944 sous la contrainte de Big Pharma.
Or voici ce que m’a écrit, il y a quelque temps, mon ami
Adrien Baccichetti, spécialiste avec son épouse en bio-ingénierie et
patron de la société Phytonika :
« Les produits actuels à base d’aubépine ne sont pas efficaces pour
deux raisons. Ils utilisent une extraction aqueuse simple, qui ne
permet pas d’extraire tous les composés utiles de la plante. Et ils
sont toujours sous-dosés. Les principes actifs sont donc présents en
trop faible quantité pour que le produit soit efficace. »

Aussi, le laboratoire Phytonika, fidèle à sa spécialité, a décidé de


mettre au point un extrait d’aubépine hydroglycériné très
concentré, obtenu par pression à froid.
Cela confirmait mes conclusions précédentes, me montrant une fois
de plus comment Big Pharma handicape légalement des produits
naturels à l’efficacité avérée depuis des siècles afin de ne pas
concurrencer ses produits soit médiocres, soit très chers (la Sécu
paye…). Cela rappelle l’arnaque de la vitamine C dont la dose légale
journalière a été limitée à 400 mg par jour (pour qu’elle ne puisse
pas marcher).

PARMI LES ÉCRITS DE JEAN


PALAISEUL
DANS SON LIVRE NOS GRANDS-
MÈRES SAVAIENT…
L’aubépine est un arbuste épineux des campagnes surnommé
« épine blanche ou épine de mai » qui offre à chaque printemps des
jonchées de merveilleuses petites fleurs blanches au parfum délicat
et rafraîchissant.
Les anciens l’utilisaient contre la goutte, la pleurésie, les vertiges,
l’insomnie, les angoisses, et même pour des pratiques magiques
comme celle de transformer l’humeur d’un mari frappeur, selon les
femmes kabyles qui lui adressaient l’invocation suivante : « Les
hommes t’ont appelée aubépine, moi je t’appelle Kaïd qui
commande – fais que mon mari ne me batte plus, ou change-le en
âne à qui je ferai porter la paille. » (Les femmes concernées peuvent
essayer pour voir.)

VERTUS THÉRAPEUTIQUES
DE L’AUBÉPINE ACTUELLEMENT
RECONNUES
C’est à la fin du XIXe siècle que des médecins ont redécouvert les
propriétés de l’aubépine et les ont étendues.
Un tonique du cœur
C’est sur le cœur que les effets de cette plante sont exceptionnels.
Ses différentes molécules antioxydantes ont un effet direct sur le
tissu cardiaque. Elles lui permettent de mieux s’oxygéner et d’être
plus tonique dans ses contractions. Ainsi, l’aubépine est
particulièrement indiquée en cas d’insuffisance cardiaque,
d’angine de poitrine, de troubles du rythme cardiaque.
Elle a un effet hypotenseur, permettant aussi de lutter contre
l’hypertension, les palpitations et la tachycardie. Et ce n’est pas
pour autant qu’elle rend le cœur plus mou puisqu’en renforçant le
muscle cardiaque, elle améliore la qualité de ses contractions et
donc favorise la circulation sanguine.
Par ailleurs, il a été démontré qu’un traitement à l’aubépine faisait
baisser le cholestérol LDL et avait un effet antiagrégant plaquettaire ;
on lui attribue donc un rôle de prévention dans la santé
cardiovasculaire.
Du point de vue biochimique, son action aurait lieu directement au
niveau des mitochondries, les centrales énergétiques des cellules,
même si son mécanisme d’action reste en partie inconnu.
L’aubépine peut être prise en même temps que les traitements
médicamenteux classiques pour les problèmes cardiaques.
Chaque personne de plus de 50 ans aurait tout intérêt à faire des
cures ponctuelles pour préserver sa santé cardiovasculaire.
Rappelons que les maladies cardiovasculaires sont la deuxième
cause de décès en France, juste derrière les cancers.

Un antispasmodique
L’aubépine est aussi une plante relaxante, donc qui agit sur le stress,
l’anxiété et le sommeil.
Le stress étant étroitement lié à la santé cardiovasculaire, il n’est pas
difficile de comprendre que les effets hypotenseurs de l’aubépine
auront un aspect bénéfique en cas de stress et d’anxiété. Elle
permet de relâcher les muscles et la tension accumulée. Elle
favorise donc logiquement le sommeil.
Son usage est aussi recommandé contre les troubles congestifs de
la ménopause, les palpitations, les bouffées de chaleur,
l’insomnie, l’irritabilité et les bourdonnements d’oreille.

PROTOCOLE DE FABRICATION
PHYTONIKA
Le laboratoire Phytonika travaille directement sur les fleurs et fruits
d’aubépine, qui sont les parties les plus concentrées en principe
actif. Il utilise son procédé spécial d’extraction par pression à froid
hydroglycériné (déjà utilisé pour la silice de prêle et d’ortie),
permettant d’obtenir intégralement les principes actifs de la plante
sans dénaturer le produit.
De plus, aucun conservateur toxique n’est introduit au niveau des
additifs afin de privilégier l’harmonie naturelle du produit.
Enfin, la dernière particularité de l’aubépine forte est sa grande
concentration en plantes, qui est la plus forte proposée actuellement
sur le marché, soit 500 g par litre. C’est le cas avec Aubépine,
concentrée à 500 g/l d’extrait de racines, soit 10 g par jour.

INDICATIONS DE L’AUBÉPINE FORTE


• Angine de poitrine
• Angoisse précordiale
• Athéromes artériels
• Bourdonnements d’oreilles
• Calmant nerveux
• Cholestérol LDL hyper
• Cœur : douleurs crampoïdes
• Cœur : faiblesse avec dyspnée
• Cœur : lésions valvulaires
• Cœur : troubles du rythme
• Insomnies
• Irritabilité
• Ménopause : bouffées de chaleur
• Ménopause : troubles congestifs
• Palpitations
• Tachycardie

PRÉSENTATION - POSOLOGIE
Flacon de 250 ml concentré à 500 g/l d’extrait de plante (fleurs et
fruits).
20 ml par jour avec le bouchon doseur, en une prise entre les
repas. Peut être bu pur ou dilué dans un verre d’eau.
Durée de la cure : de 3 à 6 flacons selon l’importance du
problème.

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BAOBAB
Étonnant remède africain

On le nomme souvent là-bas « l’arbre du pharmacien » ou


« l’arbre de vie ». Le baobab est un énorme arbre africain qui atteint
de vingt à trente mètres de hauteur. Il symbolise la longévité
puisqu’il peut atteindre entre mille et deux mille ans d’âge. Toutes
ses parties de la racine aux feuilles, pratiquement tout sert à
soigner.
Madagascar est le pays le plus riche du monde en baobabs puisqu’il
possède, à lui seul, sept espèces sur les huit existantes.

Nota Le baobab doit atteindre au minimum l’âge de 50 ans


pour commencer à produire des fruits.

POUDRE ET PULPE DE FRUITS


Appelé en Afrique « pain des singes ».
• Contient deux fois plus de calcium assimilable que le lait (de
vache).
• Très riche en vitamines B.
• Source de fibres, magnésium, potassium, fer, phosphore et
antioxydants naturels.
• Teneur de vitamine C six fois supérieure à celle de la plupart des
autres fruits, avec un taux de 3 g/kg en acide ascorbique.
• Tonique puissant.
• Prébiotique pour l’intestin.

Mélanger la pulpe du fruit séchée après avoir enlevé les graines,


dans de l’eau ou du lait (10 g pour 100 ml) et boire aux repas.

INDICATIONS
• Anémie
• Asthénie
• Colite
• Convalescence
• Diarrhée
• Scorbut

POUDRE DE FEUILLES SÉCHÉES (EN


INTERNE)
Nom africain : lalo.
Très concentrée en protéine et en calcium assimilable.

INDICATIONS
• Allaitement (lactation faible)
• Anémie
• Arthrite
• Asthme
• Coliques
• Diarrhées
• Digestion (problèmes)
• Dysenterie
• Fièvre
• Flore intestinale déséquilibrée
• Gastrite
• Infection urinaire
• Inflammations internes
• Intestin (inflammation)
• Lumbago
• Paludisme
• Rachitisme
• Règles (aménorrhée)
• Rhumatismes
• Toux sèche
• Yeux (ophtalmies)

TISANE
Infuser pendant 5 min une pincée de poudre de feuilles séchées
pour une tasse : 3 tasses par jour.

HUILE DE GRAINES (EN EXTERNE)


Très concentrée en oligo-éléments et en vitamines.

INDICATIONS
• Acné et cicatrices importantes
• Cheveux secs
• Cheveux (pellicules)
• Cicatrices
• Douleurs arthritiques
• Eczéma
• Ongles fragiles
• Peau sèche
• Peau flasque
• Rides
• Vergetures : guérit les cicatrices
• Vieillissement : réduit les signes

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7

BERRIMAX
Pour attaquer l’hiver sereinement

Ce complément alimentaire est un extrait concentré de baies qui


poussent à l’état sauvage et sont cueillies à la main dans la forêt
boréale canadienne.
Ces baies sont chargées de l’énergie photonique du soleil. Leurs
extraits sont obtenus par pression à froid des baies crues, ce qui
permet de conserver l’intégrité de tous les nutriments qu’elles
contiennent. Le BerriMax est un trésor de flavonoïdes
(anthocyanines) et d’enzymes.

COMPOSITION DÉTAILLÉE
Les extraits des baies sauvages qui sont présentes dans le BerriMax
ont chacun des propriétés très intéressantes qui se complètent pour
renforcer et soutenir une santé parfaite. Ainsi on y trouve :
• Des baies de chèvrefeuille : utiles contre les infections urinaires
et les angines.
• Des baies d’aronia : utiles comme antioxydant, détoxifiant, et
contre les maladies cardiovasculaires, et dans les cancers.
• Des baies de framboises rouges et noires : utiles contre la
diarrhée et la constipation, contre les maux de gorge, l’angine, les
rhumes.
• Des baies de myrtilles : utiles pour la circulation du sang,
régénération du pigment rétinien, contre les douleurs digestives, et
l’insuffisance veineuse.
• Des baies de mûres : utiles contre le diabète, la toux, la
pharyngite, l’angine, la diarrhée.
• Des baies d’alise : astringent, contre la diarrhée, voire la
dysenterie.
• Des baies d’airelle rouge : qui sont dépuratives, diurétiques,
astringentes et antiseptiques, contre la cystite, la diarrhée, les
rhumatismes.

PROPRIÉTÉS DES COMPOSANTS


Ces baies sont riches en flavonoïdes, en antioxydants et en
polyphénols, en particulier la quercétine, le resvératrol et la
cyanidine.
La quercétine est un flavonoïde très important pour la santé, que
vous ingérez dans les pigments des fruits et légumes colorés. Elle
stimule un grand nombre de réactions métaboliques qui permettent
de ralentir, et même d’inverser de nombreuses maladies et
affections. En particulier, elle protège l’organisme des effets des
radicaux libres et de l’oxydation.
Le resvératrol est un polyphénol, lui aussi un puissant antioxydant
qui lutte contre la prolifération des radicaux libres. Il agit dans
l’organisme comme agent préventif des maladies cardiovasculaires.
La cyanidine est un anthocyanoside, un pigment qui piège les
radicaux libres et qui pourrait avoir un effet inhibiteur sur le
développement du diabète et de l’obésité, ainsi que limiter les
conséquences de l’inflammation des tissus.
Les flavonoïdes sont à l’origine de la teinte rouge, bleue ou brune
des fruits et des fleurs. Certains d’entre eux protègent les plantes
des virus, de la moisissure et des bactéries.
En termes de santé, on note les propriétés suivantes :
• Ils sont très efficaces comme antioxydants et anti-inflammatoires.
• Ils détoxifient l’organisme.
• Ils stimulent la circulation capillaire.
• Ils favorisent la régénération cellulaire.
• Ils réduisent les maladies cardiovasculaires.
• Ils évitent les accidents vasculaires cérébraux.
• Ils stimulent la cognition
et la mémoire.
• Ils préviennent la neuro-dégénérescence liée à l’âge.
• Ils améliorent l’acuité visuelle.
• Ils réduisent ou limitent la croissance des cellules cancéreuses.

Les enzymes sont des protéines dotées de propriétés catalytiques


qui assistent et accélèrent les réactions chimiques, partout dans
l’organisme.
• Elles sont précieuses pour leurs fonctions digestives.
• Elles sont capables de lutter contre l’inflammation des tissus.
• Elles complètent également le travail du foie en purifiant le sang de
la fibrine, réduisant ainsi le risque de caillots.

Nota Dans le BerriMax, les flavonoïdes, les minéraux et les


enzymes sont intacts, donc au maximum de leur puissance
d’action dans votre organisme.

INDICATIONS GÉNÉRALES
La synergie entre les flavonoïdes et les enzymes qui composent le
BerriMax permet de prévenir ou de limiter les affections suivantes :
• Bronchites
• Circulation capillaire détériorée due à l’âge
• Courbatures après le sport ou l’effort
• Cystite
• Endurance physique (manque)
• Intestins : crampes, douleurs, transit
• Mémoire (perte de) ;
• Muqueuses respiratoires enflammées
• Neuromusculaires : fonctions affaiblies
• Peau (perte d’élasticité)
• Sida des chats
• Sinusite
• Toxines (foie, reins, intestins) : accumulations

PRÉCAUTIONS D’EMPLOI
L’usage des flavonoïdes n’est pas recommandé chez les femmes
enceintes et allaitantes, les enfants, les personnes sous
médicaments anticoagulants ou hypotendues, les personnes
prenant de la vitamine C.

UTILISATION
Flacon en verre teinté de 60 ml, avec pipette.
20 gouttes sous la langue ou dans un verre d’eau 2 fois par jour.

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BÉTADINE SPRAY NASAL


Une alternative plus efficace que le « maudit masque »

En fouillant sur mon site en page d’accueil, dans Recherche, si vous


tapez « teinture d’iode », vous découvrirez ou retrouverez mon
article sur l’iodine (solution de Lugol demi-forte) qui est un vieux
trésor à quatre sous, dont les multiples applications justifient une
place permanente dans la pharmacie familiale.
Or comme nous sommes maintenant immergés dans un monde
majoritairement satanique où toutes les valeurs sont renversées (ce
qui est bon est mauvais, ce qui est mauvais est bon, ce qui est vrai
est faux, ce qui est faux est vrai, etc., ce n’est pas compliqué !).
Ainsi le gouvernement et les médias s’attaquent à tous les remèdes
contre le Covid-19 qui fonctionnent réellement, comme l’iode !
Eh bien, ce petit trésor est soumis à une réglementation sévère très
restrictive, car il est mystérieusement devenu très dangereux !
Alors, soit le pharmacien vous dit que cette vente n’est plus
autorisée, soit il vous propose un tout petit flacon de 10 ml –
qu’importe puisque la posologie n’est que de quelques gouttes, et
puis il y a toujours la possibilité d’achat par Internet.
Je rappelle que j’ai mentionné l’iodine parmi les remèdes anti-
Covid-19.

L’INCONTOURNABLE BÉTADINE
Toute cette petite présentation pour en venir à un dérivé anti-
infectieux proche officiel que tout le monde connaît, qui est la
bétadine. Or, après des décennies de gloire, voilà que ce roi de la
trousse de secours se trouve répudié, du moins en spray nasal, non
pour une question d’inefficacité, mais de dangereuse concurrence à
très bas prix aux propositions bidon bien plus lucratives des cartels
Big Pharma contre le Covid-19.
Tout comme l’ivermectine, la bétadine est même maintenant
qualifiée de « dangereuse » par les pouvoirs en place, parce
qu’elle protège et guérit sans qu’il soit nécessaire d’utiliser du
désinfectant pour les mains, des masques, des « vaxxins » ainsi
que de stupides et ruineuses mesures de confinement.
La version spray nasal iodé ou gouttes nasales est donc
judicieusement bien choisie pour transformer les narines en
cartouches filtrantes hautes performances. Cette mesure, surtout
préventive mais pouvant aussi être curative, permet d’approcher des
personnes infectées ou d’être confiné, tassé dans des moyens de
transport en commun, en toute sécurité par une réduction drastique
de la charge virale inhalée.
Un essai contrôlé randomisé réalisé au Bangladesh a récemment
révélé que les pulvérisations d’iode par voie nasale et orale
permettaient de réduire de 84 % les hospitalisations et de 88 % la
mortalité due au Covid-19.
À ce propos, j’ai déjà évoqué parmi les inconvénients majeurs du
masque le recyclage permanent des micro-organismes pathogènes
que nous captons par la respiration et dont la charge peut
augmenter dangereusement au niveau pulmonaire. Justement pour
les accros du masque se croyant en sécurité (et il y en a
beaucoup…), mais aussi pour les autres en tant que mesure anti-PV
ou de ménagement des peureux que l’on croise, je trouve qu’il est
judicieux de s’appliquer le spray à la bétadine afin de tuer au niveau
nasal les germes que nous recyclons…
La FLCCC (Front Line Covid-19 Critical Care Alliance) recommande
les méthodes suivantes pour utiliser la bétadine contre le Covid et
ses mutants :
• Spray oro-nasal tout prêt.
À demander en pharmacie dans la mesure où ils en ont…
Appliquer 2 à 3 coups de pompe dans chaque narine toutes les
4 heures.
(Attention : pas plus de 5 jours pendant la grossesse), 2 à 3 fois par
jour.
• Gouttes iodées à fabriquer soi-même.
Acheter en pharmacie de la povidone iodée à 10 %, et la ramener
à 1 % en la diluant dans 9 parties de sérum physiologique.
Mettre 4 à 5 gouttes dans chaque narine toutes les 4 heures, ou
bien transférer la dilution 1 % dans un flacon à pulvérisation
nasale.

LA RÉACTION DES MÉDIAS AUX


ORDRES
ÉTAIT PRÉVISIBLE
Bien sûr, les médias grand public se sont déjà indignés de
l’utilisation de la bétadine !
Ainsi, selon Newsweek qui s’élève contre le remplacement des
masques, la bétadine ne peut pas fonctionner contre le Covid-19
étant donné qu’elle n’a jamais été officiellement « approuvée » pour
cet usage ! À noter que l’homéopathie qui a fait ses preuves depuis
près de deux siècles n’a jamais été approuvée non plus par
« l’establishment ».
Une autre allégation aussi tordue que stupide est que la bétadine ne
peut s’appliquer à la grippe de Wuhan simplement parce qu’elle était
antérieure à l’apparition du Covid… Alors, pourquoi des vieux
traitements tels que Artemisia annua, l’ivermectine,
l’hydrochloroquine, le zinc, ont pu démontrer leur efficacité dans
de nombreux pays (sauf la France qui les a interdits) ?

UNE RÉFÉRENCE DE CHOIX


Le Dr Eric Hensen, oto-rhino-laryngologiste texan, rappelle que
l’iode a été décrit depuis longtemps dans la littérature universitaire
comme étant « l’antiseptique des plus puissants ayant une activité
antimicrobienne à large spectre, contre les bactéries, les agents
pathogènes viraux, les fongiques et les protozoaires, et qu’il est
utilisé en tant que tel pour la prévention des infections et le
traitement des plaies depuis des décennies ».
Hensen utilise lui-même l’irrigation nasale et orale avec de l’iode
pour se protéger, et grâce à cela, il dit qu’il n’est jamais tombé une
seule fois malade tout au long de cette « pandémie » malgré des
contacts quotidiens avec des patients plus ou moins infectés.
Il ajoute que « le PVP-I (spray nasal et oral probablement américain)
a la capacité de détruire le SARS-CoV-2. La transmission du
SARS-CoV-2 par un patient atteint sera également réduite. Ainsi,
le spray oro-nasal PVP-I peut agir comme un bouclier du Covid-
19 efficace d’abord pour les personnels soignants mais aussi
pour tous. »
Daniel Horowitz écrit pour The Blaze que « le problème, c’est que
l’iode en spay oro-nasal comme l’ivermectine permet aux gens
de contrôler eux-mêmes leur propre santé et leur sécurité », cela
représentant une menace majeure pour le complexe militaro-
pharmaco-industriel qui ne pourrait plus engranger des bénéfices
pharaoniques sur de nouvelles drogues expérimentales.
Sources : TheBlaze.com et NaturalNews.com

Vous pouvez trouver de la povidone iodée (bétadine) dans des


pharmacies vétérinaires sur Internet.
9

BILIOR 7
Remèdes hépato-biliaires et de tout le tube digestif

L’IMPORTANCE DE LA FONCTION
HÉPATIQUE
Le foie est l’un des trois filtres vitaux de l’organisme avec les
reins et l’intestin. Il peut contenir jusqu’à quinze litres de sang et en
débite 1,5 litre à la minute – et Dieu sait s’il est souvent surmené
avec la pollution actuelle ! Ce travailleur infatigable assume plus de
trois cents fonctions complexes dont la plus lourde est la fonction
biliaire. En effet, la bile concentrée par la vésicule biliaire est
indispensable, particulièrement après un repas copieux. Par ailleurs,
elle a surtout un rôle antiputréfaction au niveau intestinal.
Une seconde fonction du foie très importante est qu’il est l’un des
trois principaux filtres antimicrobiens avec la rate et les ganglions
lymphatiques.
Par ailleurs, le foie stocke le glycogène et le transforme en glucose
selon les besoins de l’organisme, il transforme les graisses en
triglycérides, il stocke les vitamines liposolubles et il assure de très
nombreuses autres fonctions que je ne vais pas énumérer ici. En
conclusion, il convient de soigner de près ce précieux ami qui est au
centre de notre santé, et d’essayer de ne pas trop le malmener.
Feu le Dr Alexandre Salmanoff, décédé en 1964 à 90 ans, qui est
le père de la science des capillaires, a écrit deux ouvrages
posthumes que j’ai fait rééditer en version modernisée en 1999, et
que les médecins devraient consulter. Dans Secrets et sagesse du
corps, il écrit que lorsqu’un foie est embourbé ou surintoxiqué, il
grossit ; il comprime le diaphragme, qui gêne alors la respiration et
entrave le bon fonctionnement du cœur.
Vous voyez bien l’enchaînement : foie >> diaphragme >> cœur. Si
vous soignez seulement le cœur, les résultats ne seront pas
forcément au rendez-vous. Aussi, il prône une heure de bouillotte
sur le foie au moins une fois par jour pour augmenter le sang
circulant. Il ajoute : « Je ne connais pas de médication plus
simple, plus profonde et plus économique. Chauffez le foie si
vous voulez vivre plus longtemps et être moins souvent
malade. »

Nota Si vous n’arrivez pas à réchauffer vos pieds, mettez


une bouillotte sur votre foie.
Vous pouvez aussi effectuer à la place ou en même temps
un traitement par voie interne.

PROPRIÉTÉS CONNUES DU CHARDON-


MARIE
• Antidéprime.
• Anti-inflammatoire.
• Assainit tout le système digestif.
• Brûle et élimine les mauvaises graisses.
• Détoxifiant idéal.
• Draine la rétention d’eau.
• Élimine l’excès de sucre
dans le sang.
• Élimine produits chimiques, pesticides, et drogues.
• Hépato-protecteur.
• Nettoie le sang et la lymphe.
• Nettoie tout l’organisme en profondeur.
• Puissant draineur du foie
et de la vésicule biliaire.
• Régule la cholestérolémie.

COMPOSITION PRÉCISE DU BILIOR 7


Silybine
Les fruits et les graines du chardon-marie contiennent un ensemble
de trois substances dont le composé sous forme d’une poudre
jaune s’appelle la silymarine.
C’est à partir de cette silymarine concentrée et purifiée que l’on
obtient la silybine (mélange de flavonoïdes) encore plus puissante.
On obtient là, naturellement, une biodisponibilité maximum du
produit, donc une absorption très rapide.
De plus, à savoir que :
• La silybine est très efficace pour stimuler la capacité de
régénération du foie, en augmentant notamment la synthèse des
enzymes de réparation.
• Les flavonoïdes du Bilior 7 améliorent les membranes des cellules
du foie et les rendent imperméables aux toxiques.
• Enfin, les flavonoïdes protègent le foie du stress oxydatif en
optimisant la captation des radicaux libres.

Phospholipides issus de lécithine de tournesol


Il s’agit des molécules d’acides gras essentiels qui forment nos
membranes cellulaires. Leurs « têtes » électriquement chargées se
mélangent à l’eau, à l’intérieur et à l’extérieur des cellules, et leurs
« queues » neutres se mélangent aux graisses.
Ils sont présents dans les membranes cellulaires des neurones et de
l’intestin grêle. Ce sont des constituants essentiels du système
nerveux (cerveau et nerfs), du neurotransmetteur acétylcholine et du
liquide biliaire synthétisé par le foie et stocké dans la vésicule biliaire.
Les phospholipides permettent donc d’optimiser les échanges
cellulaires et d’améliorer l’absorption intestinale de la silybine qui, au
départ, est peu biodisponible.

INDICATIONS DU BILIOR 7
• Acidité gastrique
• Addiction aux sucreries
• Brûlures d’estomac
• Calculs biliaires
• Candidose
• Cirrhose
• Constipation chronique
• Digestion (lourdeurs et douleurs chroniques)
• Excès alimentaire, alcoolique ou médicamenteux
• Foie (insuffisance)
• Foie, vésicule (congestionnés ou embourbés)
• Glycémie (hypo)
• Hépatite C
• Inflammations intestinales
• Jaunisse (ictère)
• Organisme entoxiné
• Reins (congestion)
• Repas trop copieux
• Rétention d’eau
• Sang et lymphe pollués
• Stéato-hépatite non alcoolique

POSOLOGIE
1 à 2 gélules par jour.
Nota Bilior 7 est fabriqué en Europe. Il ne contient ni
particules nanométriques, ni adjuvants, ni OGM.

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10

CAPILLAR PLUS
Maître de la microcirculation capillaire

Beaucoup de ceux qui ont connu les bienfaits de Capillar


découvriront avec plaisir le Capillar Plus, version française de la
nouvelle avancée thérapeutique russe très populaire du nom
d’Ascovertin et qui est un complexe de dihydroquercétine (DHQ)
et de vitamine C.
Nous savons que le stress oxydatif conditionne bon nombre de
syndromes dégénératifs causant des vieillissements organiques
prématurés.
En l’occurrence, l’Académie des sciences médicales de Russie a
récemment mené deux études cliniques d’Ascovertin sur 52 patients
présentant une mauvaise irrigation du cerveau pendant 21 jours. La
diminution de la viscosité du sang des patients avec sa tendance à la
coagulation qui en a résulté a amélioré leur attention, leur
mémoire et leurs performances mentales ; elle a aussi soulagé
leurs vertiges, normalisé leur sommeil, soulagé leurs maux de
tête et réduit leur fatigue. Aucun changement de ce type n’a été
observé chez les patients témoins appariés selon l’âge.

À notre époque particulièrement risquée au niveau de


l’hypercoagulation sanguine associée aux vaxxins ARNm,
l’utilisation préventive du Capillar Plus est très recommandable.

POURQUOI LE MÉLANGE
DIHYDROQUERCÉTINE - VITAMINE C ?
La vitamine C améliore beaucoup l’efficacité de la
dihydroquercétine :
1.En prolongeant sa période d’activité dans l’organisme.
2
. En améliorant sa régénération.
3
. En ralentissant son élimination par l’organisme.
4
. En créant une efficacité globale augmentée par la synergie.

INDEX DES ACTIONS


DE LA VITAMINE C NATURELLE
AJOUTÉE
• Améliore la microcirculation capillaire.
• Antifatigue.
• Anti-infectieux important qui renforce les défenses immunitaires.
• Antioxydant des plus performants.
• Antitumoral.
• Augmente la résistance aux chocs anaphylactiques et aux allergies.
• Augmente le tonus des parois capillaires.
• Intervient dans le métabolisme phosphocalcique.
• Limite une production anarchique de radicaux libres.
• Participe à la production des globules rouges.
• Potentialise l’action des autres vitamines dont elle est le starter.
• Protège l’ADN de la radioactivité (résultats Fukushima).

• Ralentit le vieillissement cellulaire et organique.


• Stimule la formation des substances osseuses en cas de fracture.
• Stimule les fonctions cérébrales.
• Transporte l’hydrogène dans les oxydo-réductions cellulaires.
INDICATIONS DU CAPILLAR PLUS
C’est un puissant flavonoïde extrait d’un bois de mélèze sibérien
écologiquement pur qui depuis des années alimente un important
marché de la santé en Russie. Plus de six cents études ont toutes
confirmé son efficacité et son innocuité :
• Antioxydant des plus puissants
• Athérosclérose
• AVC (risque)
• Cardiovasculaire délabré
• Cataracte (prévient la formation)
• Céphalées récurrentes
• Cérébrales (baisse de performances)
• Cholestérolémie
• Circulation capillaire (stase ou obstruction)
• Cœur (arythmies par dysfonctionnement électrique)
• Diabète (prévient les complications)
• DMLA (risque)
• Fatigue
• Foie fragile
• Hépatites
• Hypertension
• Immunodéficience
• Infarctus (risque)
• Infections
• Inflammations
• Membres et extrémités froids
• Mémoire défaillante
• Œdèmes
• Peau (vieillissement)
• Sang : viscosité excessive (risque de caillots)
• Stase capillaire périphérique
• Système nerveux fragile
• Triglycérides du sang (hyper)
• Vaisseaux capillaires fragiles
• Vieillissement organique prématuré
• Yeux (mauvaise irrigation de la rétine)

CE SYSTÈME CAPILLAIRE TOUJOURS


IGNORÉ
DE LA MÉDECINE
Les médicaments classiques de la circulation sanguine n’agissent
que sur les réseaux artériels et veineux qui ne représentent en fait
que 20 % de la circulation totale ; à savoir que le cœur ne pompe le
sang que dans ces 20 % du réseau. Les 80 % restants sont
constitués d’une énorme pelote de micro cheveux creux, répartis
dans tout le corps et d’une longueur évaluée à (tenez-vous bien)
cent mille kilomètres ! (2,5 fois le tour de la Terre.)
Les seuls capillaires rénaux sont évalués à une longueur de
soixante kilomètres. Ces microtuyaux sont tellement fin qu’un seul
globule rouge peut passer à la fois, et encore, en s’aplatissant…
Il est évident que le cœur est incapable de pousser le sang dans un
tel système. Alors, comment la progression capillaire peut-elle se
faire ? Feu le Dr Alexandre Salmanoff annonçait dans ses ouvrages
un mécanisme péristaltique autonome qui a été mis en évidence par
les Prs Baillard, Leriche, ainsi que d’autres chercheurs russes.

Sachez qu’à l’âge de la retraite, il ne reste chez beaucoup de


personnes, en moyenne, que 40 % de leur réseau capillaire
fonctionnel. Ne cherchez pas ailleurs l’explication de la
dégénérescence physique de la vieillesse différente selon les
individus : c’est l’état du réseau capillaire.

À titre d’exemple, pourquoi les varices et insuffisances veineuses ?


Il n’existe aucun remède efficace et définitif pour cela, car personne
ne remonte à la source du mal – les tissus veineux ne peuvent être
nourris que par des réseaux capillaires qui sont probablement
asséchés partiellement –, la solution thérapeutique n’est donc pas
au niveau des veines elles-mêmes, mais dans un réveil des
capillaires environnants.
Même chose avec les disques vertébraux que l’on dit usés alors
qu’ils ne sont que déshydratés et secs. En fait, ils ne sont plus
desservis depuis longtemps par leur réseau capillaire associé, à
supposer pour des raisons de stress constrictif constant plus ou
moins conscient. Les disques peuvent être regonflés par une
réhydratation percutanée massive in situ avec du Quinton isotonique
(réservé aux animaux…) en sept à dix semaines (tapez hydrotomie
Quinton iso sur mon site www.micheldogna.fr).
Ces exemples peuvent être multipliés, et pourraient être évités en
entretenant périodiquement le fonctionnement de notre
microcirculation capillaire générale pour laquelle le Capillar Plus
(Quercévital) me semble un choix idéal.

Nota À notre époque particulièrement risquée au niveau de


l’hypercoagulation sanguine (le sang se trouve attaqué par
de l’oxyde de graphène nanométrique et ainsi épaissi…),
avec des centaines de milliers de microcaillots
(agglutinement d’hématies), la microcirculation capillaire se
trouve dangereusement réduite, voire bloquée… sur
cent mille kilomètres de distribution aux tissus cellulaires !

L’oxygène sanguin et les nutriments ne sont plus approvisionnés, le


gaz carbonique et les déchets organiques ne sont plus évacués – ce
n’est pas une situation d’avenir !
Avec tout ce qui se passe, l’utilisation préventive et curative du
Capillar Plus s’avère incontournable.

POSOLOGIE
2 comprimés aux 2 repas principaux.

Durée : 2 mois, renouvelable après arrêt de 10 jours.


Traitement d’entretien : 1 comprimé aux 2 repas principaux.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


https://valemis.com/boutique
11

CBD CANNABIDIOL
Un précieux remède antalgique millénaire

Le chanvre indien (Cannabis sativa), cet isolant thermique


exceptionnel utilisé depuis des siècles, contient deux composés
majeurs très attractifs :
• Le CBD (cannabidiol), remède des grandes douleurs, et qui n’est
ni une drogue ni un psychotrope – il est issu d’une variété haute
de trois à six mètres.
• Le THC concentré qui est le psychotrope servant à faire des joints
pour voir « des éléphants bleus » – il est connu sous le nom de
marijuana –, il est issu d’une variété de plante courte et touffue.

Certaines variétés de cannabis sont donc riches en THC, d’autres en


CBD, mais il est facile de les séparer chimiquement.
Or, depuis longtemps, Big Pharma entretient une confusion
péjorative entre ces deux molécules antagonistes par peur de la
redoutable concurrence que représente le CBD – cela s’est
traduit par une interdiction d’accès à ce produit,
particulièrement en France.
À savoir qu’en plus du CBD et du THC, il y a cent deux substances
cannabinoïdes présentes dans le chanvre, et aussi des terpènes que
l’on trouve dans beaucoup d’huiles essentielles telles que le
romarin, la lavande officinale ou le clou de girofle. Tout cela
expliquant sa grande efficacité thérapeutique.
Il a en outre été découvert en 1987 que notre cerveau produit lui-
même des cannabinoïdes ; ceux-ci par chance étant compatibles
avec ceux du CBD fournis par le chanvre peuvent donc bénéficier
d’appoints extérieurs. Pour cela, deux sortes de récepteurs de
cannabinoïdes, dans les CB1 et CB2, localisés le cerveau, les
poumons, le système gastro-intestinal, l’utérus, les testicules et la
peau, sont capables de gérer aussi bien les phyto-cannabinoïdes du
chanvre que les cannabinoïdes endogènes – un bel exemple de
biocompatibilité prévue par la nature et de plus sans danger d’effets
secondaires.

Nota Le lait d’une mère contient des quantités significatives


de cannabinoïdes.

PETIT HISTORIQUE
L’utilisation du cannabis CBD remonte à la médecine chinoise
antique d’il y a six mille ans.
Avant 1930, des médicaments à base de cannabis (huiles, teintures
et préparations) étaient couramment utilisés par les médecins
américains. Mais en 1930, le cartel pharmaceutique a éliminé le CBD
de la pharmacopée…
Plus tard, seuls les produits alimentaires au chanvre sont redevenus
légaux aux États-Unis dans les magasins d’aliments naturels.
Finalement, en décembre 2015, la Drug Enforcement Administration
(DEA) des États-Unis a relâché les obstacles contre la recherche sur
le CBD.

Depuis, il a été cliniquement prouvé que le CBD :


• Réduit souvent en quelques minutes petites et grandes
douleurs.
• Réduit l’anxiété.
• Réduit les troubles cognitifs.
• Fait régresser la propagation du cancer en « désactivant » les
gènes impliqués dans le développement des tumeurs.
• Combat les troubles neurodégénératifs comme la maladie
d’Alzheimer en supprimant les plaques qui bloquent les signaux
neurologiques.
• Réduit la dépendance à la cigarette en modulant les effets
satisfaisants de la nicotine.
• Améliore la qualité du sommeil et restaure la stabilité
respiratoire chez les personnes souffrant d’apnée du sommeil.
• Élimine l’acné en inhibant la synthèse des lipides sur la peau
(peau grasse).
• Régule la glycémie et atténue la résistance à l’insuline.
• Apporte un soulagement aux MICI (maladie de Crohn, colite)
grâce à ses effets anti-inflammatoires.
• Améliore les symptômes de la sclérose en plaques en
apportant une protection durable aux neurones.

UN TÉMOIGNAGE DE TAILLE
Voici un vécu remarquable qui me permet d’affirmer que le CBD est
efficace dans des cas extrêmes, là où la morphine a échoué.

La maman d’une jeune fille de 19 ans m’a contacté pour me


demander un secours pour sa fille qui – dans un accident de
voiture – était passée à travers le pare-brise. Son orbite gauche
qui avait été enfoncée avait nécessité une opération compliquée
sur un site très innervé.
Lorsque j’ai pris en charge la pauvre fille, elle vivait depuis trois
semaines un enfer de douleurs post-opératoires qui ne la
lâchaient pas de jour comme de nuit en dépit de la morphine, si
bien qu’elle ne pouvait plus dormir du tout, maigrissait et pensait
à se suicider.
J’ai trouvé un cannabidiol américain (illégal en France) que je lui ai
fait envoyer en urgence. Dès la première prise elle a pu dormir
pour la première fois depuis les trois semaines passées. Puis
curieusement elle eut une petite période avec douleur un jour sur
deux, puis elle fut entièrement libérée (je passe les détails). Quel
bonheur !

Les quelques médecins qui enfreignent la loi disent avoir des


centaines de cas de réussites dans diverses pathologies devant
lesquelles la médecine officielle est impuissante. Comment la
France peut-elle avoir la cruauté d’une telle interdiction et depuis si
longtemps ?
(C’est à la mesure de l’interdiction criminelle du « cocktail du
Pr Raoult ».)

ORIGINE – COMPOSITION
Le CBD proposé est sous la forme d’une huile extraite de graines
d’une variété de cannabis riche en cannabidiol de culture biologique
en France. Cette huile est conditionnée dans des boîtes de capsules
molles contenant 16 mg de CBD.
Composition : CBD bio 10 % – huile MCT – terpènes, mycène,
limonène, alpha pinène, linalol, humulène – flavonoïdes – vitamines
A, C, B, E – zinc, potassium, fer, calcium, phosphore – oméga-3,
oméga-6.

DIFFÉRENTES VERSIONS
• 60 caps molles à large spectre 15 mg.
• 30 caps molles à large spectre 25 mg.
• 30 caps molles à large spectre 50 mg.
INDICATIONS GÉNÉRALES CAPSULES
LARGE SPECTRE
• Acné => 25 mg
• Alzheimer => 50 mg
• Analgésique puissant => 50 mg
• Anxiété => 15 mg
• Apnée du sommeil => 15 mg
• Arthrite rhumatoïde => 50 mg
• Cancers (adjuvant) => 50 mg
• Cardiovasculaires (maladies)
=> 25 mg
• Céphalées => 50 mg
• Colite => 50 mg
• Côlon irritable => 25 mg
• Covid (prévention) => 25 mg + vit. D
• Crampes => 25 mg + vit. D
• Démangeaisons => 25 mg
• Dépression => 15 mg
• Déprime => 25 mg + vit. D
• Diabète type 1 => 25 mg
• Douleurs articulaires => 50 mg
• Douleurs en tous genres => 50 mg
• Douleurs extrêmes => 50 mg
• Encéphalopathies => 25 mg
• Endométriose => 25 mg
• Épilepsie + crise => 15 mg
• Faiblesse musculaire => 25 mg + vit. D
• Fatigue, épuisement => 25 mg + vit. D
• Fatigue chronique => 50 mg
• Fibromyalgie => 50 mg
• Glaucome => 25 mg
• Homéostasie (instab. param.)
=> 25 mg
• Hypertension => 25 mg
• Hypoglycémie => 15 mg
• Inflammation chronique => 25 mg
• Inflammation chronique => 50 mg
• Insomnies => 25 mg
• Kystes => 50 mg
• Maladie de Lyme (grand soulagement) => 25 mg
• Maladie de Crohn => 50 mg
• Maladies de la peau => 25 mg + vit. D
• Mémoire défaillante => 25 mg
• Migraine => 50 mg
• Os fragiles => 25 mg
• Parkinson => 25 mg
• Peau sèche => 25 mg
• Perte de cheveux => 25 mg / vit. D
• Règles douloureuses => 50 mg
• Schizophrénie => 15 mg
• Sciatique => 50 mg
• Sclérose en plaques => 50 mg
• Sommeil => 10 SPEC
• Staphylocoque doré => 50 mg
• Stress => 15 mg
• Tabac (dépendance) => 50 mg
• Traumatismes crâniens => 25 mg
• Tumeurs => 25 mg
• Tumeurs cérébrales => 15 mg

POSOLOGIE
1 à 2 caps par jour avec un repas.
Nota Pour les grandes douleurs, passer à huit capsules par
jour sans danger.

Comprimés sommeil à 10 mg
Composition : CBD – 5 HTP – lavande – dioxyde de silice –
phosphates de calcium – stéarate de magnésium – cellulose
microcristalline.
Posologie 1 à 2 comprimés 20 minutes avant le coucher.
Comprimés à la vitamine D à 25 mg
Composition : CBD – vitamine D3 – dioxyde de silice – phosphates
de calcium – stéarate de magnésium – cellulose microcristalline.
Posologie : 1 à 2 caps par jour avec un repas.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


https://www.biologiquement.com
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FERALEN
Oxygénant puissant et grand antiviral

Dans les années 1980, trois biologistes espagnols de l’université de


Madrid travaillant sur les infections virales ont mis en évidence les
propriétés de certaines peroxydases organiques, dont la catalase
bien connue, contenues dans cette variété de radis oriental jamais
croisé.
Le radis rustique chinois est traditionnellement utilisé pour
renforcer le système immunitaire, et de nombreuses études
confirment son efficacité dans tous les types de lésions
infectieuses, cela depuis plus de quarante ans.
En effet, par un processus biochimique la catalase maintient un
oxygène stabilisé dans les tissus, ce qui est particulièrement
intéressant sur un terrain en état d’hypoxie à cause d’une charge
virale parasite excessive présente.
Cette hyperoxygénation relance donc l’activité des
lymphocytes T et entrave la prolifération virale.

QUARANTE ANS D’ENTRAVES À SA


DIFFUSION
À l’époque où le sida provoquait les ravages que l’on connaît, les
avancées dans le domaine antiviral ont été bloquées par Big
Pharma pendant deux décennies, avec une succession de
réglementations réductrices. Les travaux ont donc dû être passés
sous silence, et être relégués au statut de compléments
alimentaires, ceux-ci ne pouvant revendiquer aucune allégation
antivirale.
Mais Feralen s’est maintenant fait connaître en Espagne, berceau de
ses recherches, et a été plébiscité au Mexique où il a un grand
succès, grâce à l’intervention d’une nouvelle génération de
scientifiques, dont le Dr Omar Castellanos, biologiste et généticien.

DE NOMBREUSES
PROPRIÉTÉS REMARQUABLES
Le radis rustique contient une peroxydase basique capable
d’éliminer de nombreux radicaux nocifs. Selon le Dr Gregorio
Ramón Cebrián (1910-1990) cette molécule peut corriger l’équilibre
électronique altéré des cellules parasitées par une charge virale. Or,
de la réponse immunitaire, il faut savoir qu’une agression virale
ou microbienne entraîne une asphyxie locale associée à une
diminution ; et la situation exige donc un apport urgent d’oxygène
(jusqu’à vingt fois supérieur à la normale).
Justement, c’est ce que fait la catalase, une enzyme antioxydante
permettant d’éliminer dans les tissus le peroxyde d’hydrogène
(H2O2) résiduel, en le transformant en dioxygène (O2) et en eau
(H2O).
On comprend alors qu’il y ait dans l’organisme une libération
d’oxygène stabilisé et une amélioration importante de la
fonction respiratoire. L’extrait de radis rustique chinois grand
oxygénant crée par là même un environnement hostile au
développement viral. Le produit n’est en fait pas un antiviral à
proprement parler, mais une énorme entrave à la propagation des
virus.
Le Feralen contient également des superoxydes dismutases (SOD)
qui sont des enzymes facilitant la communication entre les cellules,
et qui forment une ligne de défense efficace contre les radicaux
libres toxiques produits par le métabolisme.
De plus, les résultats d’études récentes ont montré que
l’augmentation dans les cellules du taux des superoxydes
dismutases (SOD) et de la catalase augmentait de 50 % leur
durée de vie.

EFFETS DES RADICAUX RÉACTIFS


OXYGÈNES
Dans les cellules :
• Mort de virus, bactéries, champignons, protozoaires, nématodes et
autres agents infectieux.
• Lyse des cellules tumorales (destruction).
• Suppression de l’activité NK.
• Soutien aux érythrocytes, leucocytes, plaquettes, cellules
endothéliales, fibroblastes, cellules pulmonaires et
spermatozoïdes.
• Phagocytose des corps étrangers.

Dans les facteurs impliqués dans l’inflammation :


• Activation de lipides chimiotactiques.
• Inactivation des peptides chimiotactiques.
• Inactivation des antiprotéases, hydrolases de leucocytes, toxines
bactériennes, méta-encéphalines.

Dans les composants cellulaires :


• Oxydation des intermédiaires glycolytiques.
• Oxydation de protéines.
• Hydrolyse de NAD (oxydo-réduction).
• Peroxydation des lipides.
• Dépolymérisation des mucopolysaccharides.

QUELQUES TÉMOIGNAGES
Béatrice
J’avais une toux persistante qui ne passait pas depuis le
1er novembre 2019. Après traitements antibiotiques et naturels
divers, cette maudite toux était toujours présente. En mars, j’ai
pris le Feralen et après les vingt-quatre heures de traitement plus
rien depuis.
Maintenant, je prends deux gélules si je sors en zone à risque ou
dense en population, histoire de me prémunir d’une mauvaise
rencontre virale.

Une maman
84 ans, sous chimiothérapie orale, qui a développé un « bouton
de fièvre » indéterminé et des inflammations buccales. Vingt-
quatre heures de traitement et c’est un mauvais souvenir.
Elle prend maintenant deux gélules quand elle va à l’hôpital.

Récent
Covid déclaré depuis une semaine avec forte fièvre et
symptômes respiratoires importants (bronches prises,
essoufflement, toux et perte du goût).
Vingt-quatre heures de traitement et plus aucun symptôme, la
fièvre a baissé.

INDICATIONS GÉNÉRALES DU
FERALEN
• Endocardite virale
• Gastro-entérite (en 24 heures)
• Grippe (en 2 jours)
• Herpès zoster (varicelle)
• Hypoxie cellulaire
• Immunodéficience
• Infections diverses
• Infections par bactérie influenza
• Infections virales des voies aériennes et hépatiques
• Métaux lourds (aluminium, mercure, plomb, cadmium…)
• Mononucléose infectieuse
• Oxygénant puissant
• Peroxydes résiduels (ex. : eau oxygénée)
• Radicaux libres pathogènes
• Rhume influenza
• Sclérose cérébrale à plaques
• Virale (charge élevée)
• Zona

POSOLOGIE
Traitement d’attaque : 1 gélule toutes les 8 heures.
Traitement standard : 2 gélules au lever et au coucher.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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GLUTYL 2
L’ami du troisième âge

COMPOSITION
• Sélénium L-glutathion réduit GSH
• Acide R-lipoïque
• Sélénométhionine (sélénium)
• Cuivre oligo

BUT DU GLUTYL 2
Le glutathion est le principal gardien de notre intégrité
sanguine. Or tout le monde sait qu’au fil du temps, le glutathion
devient souvent paresseux et a tendance à prendre une retraite
partielle, de pair avec l’âge de la retraite professionnelle. Alors son
discret « laisser-aller » apprécie une petite aide de confort venant de
l’extérieur qui va lui permettre d’assumer correctement le ménage
des produits toxiques et des métaux lourds circulants et d’éviter un
vieillissement général prématuré par stress oxydatif. Donc, merci
cher glutathion !
Par ailleurs, il y a un second acteur intéressant qui se complaît à
stimuler le glutathion encore plus, pour lui donner une durée de vie
maximum, c’est l’acide R-lipoïque qui, en plus de recycler la
vitamine C – nous allons le voir plus loin –, est un sérieux booster de
l’organisme.
La petite touche de finition avec le cuivre oligo et le sélénium
aboutit à un produit d’une excellente efficacité… et sans danger.

LE L-GLUTATHION EN DÉTAIL
C’est une protéine naturellement produite par l’organisme. Le
glutathion est composé de trois acides aminés : l’acide glutamique,
la cystéine et la glycine.
Avec la SOD (superoxyde dismutase), ce sont les deux
« antioxydants » les plus puissants dans notre organisme.

Le glutathion participe à :
• La synthèse et la réparation de l’ADN.
• La synthèse des protéines et des prostaglandines.
• Le transport des acides aminés.
• L’activation des enzymes.

Nota Pour augmenter l’assimilation du glutathion au niveau


intestinal, il est avantageux de l’associer avec de la
vitamine C naturelle, ou mieux, liposomale, ce qui
neutralise sa charge et le rend plus absorbable.

Ses propriétés en bref


• Active la production des lymphocytes.
• Anti-infectieux viral.
• Combat les inflammations pulmonaires et digestives.
• Détoxifiant du foie.
• Détoxifiant des médicaments iatrogènes.
• Détoxifiant des métaux lourds.
• Immunostimulant.
• Prévient le déclin cognitif lié à l’âge.
• Protège des maladies neurodégénératives.

L’ACIDE R-ALPHA LIPOÏQUE EN DÉTAIL


• Il s’agit d’un acide soufré naturellement produit par le corps
humain et présent dans toutes les cellules où il participe à la
production d’énergie. Découvert en 1930, il avait d’abord été classé
parmi les vitamines, et a pris son appellation actuelle en 1957.
• D’une manière générale, il est admis qu’un organisme en bonne
santé est capable de produire une dose suffisante d’acide alpha
lipoïque. Mais certaines pathologies en réduisent la production.
C’est notamment le cas du diabète, de l’insuffisance cardiaque, de
troubles hépatiques importants telle la cirrhose. Le stress
chronique, la pollution et la malbouffe en sont des causes aussi.
• C’est un antioxydant universel qui s’attaque à tous les radicaux
libres toxiques.
• Il est un excellent chélateur des métaux lourds qui piège l’arsenic,
le cadmium ou le mercure.
• Il recycle la vitamine C, la vitamine E, mais également le glutathion
et certains antioxydants utiles.
• Vu qu’il est la fois hydrosoluble et liposoluble, il est très
biodisponible.
• À la différence du DMSA et du DMPS (techniques de chélation),
chélateurs classiques, il peut traverser la barrière
hématoencéphalique. Il peut donc atteindre toutes les régions du
système nerveux central et du système nerveux périphérique.

Ses propriétés en bref


• Décontamine du mercure-arsenic-cadmium (cigarettes).
• Détruit les radicaux libres toxiques.
• Réactive le glutathion vieilli.
• Recycle les vitamines C et E, usées.
• Régénère les terrains oxydés.
LE CUIVRE OLIGO EN DÉTAIL
Ses propriétés en bref
• Affections grippales
• Anémie
• Anti-infectieux
• Anti-inflammatoire
• Désinfiltrant cellulite
• Infections à staphylocoques
• Régulateur hépatique
• Rhumatismes

LE SÉLÉNIUM OLIGO EN DÉTAIL


C’est un oligo-élément indispensable au corps humain, mais il n’est
pas synthétisé par l’organisme. Un apport journalier doit donc
provenir d’une alimentation riche et variée – mais sa présence dans
l’alimentation est relativement faible et majoritairement limitée aux
produits de la mer.
Le sélénium ici utilisé est un composé breveté, la
sélénométhionine, c’est-à-dire un sélénium qui est organiquement
intégré à la place du soufre dans la molécule de méthionine.
C’est la forme de supplémentation de sélénium scientifiquement
reconnue comme la plus bio disponible – et qui ne se transforme
pas en sélénium inorganique dans l’organisme.
Sur le plan intracellulaire, le sélénium a aussi un effet antioxydant,
qui permet à l’organisme de produire la glutathion-peroxydase. Cet
enzyme travaille de concert avec la vitamine E pour protéger les
membranes cellulaires contre l’oxydation provoquée par les mauvais
radicaux libres.

Ses propriétés en bref


• Agit dans les maladies thyroïdiennes (goitre Hashimoto).
• Aide contre les virus pathogènes.
• Détoxifie l’organisme.
• Prévient la maladie d’Alzheimer.
• Protège les membranes cellulaires.
• Protège les yeux.
• Ralentit le vieillissement cellulaire.

INDICATIONS DU GLUTYL 2
• Anémie
• Foie intoxiqué
• Glutathion usé (régénère)
• Inflammations pulmonaires et digestives
• Lymphocytes insuffisants
• Maladies neurodégénératives
• Membranes cellulaires abîmées
• Métaux lourds (mercure, arsenic, cadmium)
• Oligurie
• Radicaux libres toxiques
• Toxémie organique
• Vieillissement cellulaire
• Vitamines C et E usées (recycle)

POSOLOGIE
La gélule gastro-résistante du Glutyl 2 n’est pas une gélule
chimique, mais une gélule entièrement végétale avec des labels
certifiés et brevetés.
• 1 gélule par jour.
14

ALCAPHYT
Bisglycinate de magnésium chélaté
Formule de magnésium plus assimilable,
grand équilibrant acido-basique

ON OBSERVE 75 % DE CARENCES EN
MAGNÉSIUM CHEZ CEUX QUI NE
MANGENT PAS BIO
Les engrais chimiques utilisés massivement négligent le magnésium
et brûlent une majorité de la vie bactériologique qui sert de relais
aux radicelles pour assimiler les minéraux. Comme le magnésium
intervient dans de multiples métabolismes de transformation, les
plantes sont fragilisées, tombent malades, et leurs carences se
transmettent aux animaux et à l’homme (hors les circuits
biologiques).
Le raffinage des aliments aggrave le problème en réduisant encore
l’apport en magnésium. Dans la farine blanche, 80 % du magnésium
des grains sont perdus ; quand la mélasse est séparée du sucre
98 % sont perdus.
Enfin, de nombreux médicaments comme les pilules contraceptives,
les produits contre l’asthme, les antibiotiques, la cortisone, les
phosphates des boissons gazeuses et les édulcorants (aspartame),
entraînent une carence supplémentaire du magnésium dans
l’organisme.
De plus, le magnésium naturel qu’on absorbe dans les aliments
n’est assimilé qu’à environ 30 % par l’organisme. En effet, la
plus grande partie du magnésium ingéré est éliminée par le
système gastro-intestinal avant que l’organisme n’ait eu le
temps d’en bénéficier.

LE MAGNÉSIUM CHARPENTE LA
PLUPART
DE NOS MÉTABOLISMES
Une carence en magnésium entraîne de nombreuses conséquences
négatives et souvent graves sur notre santé :
• Il participe au premier chef à la transmission de l’influx nerveux et
sans lui, l’organisme ne peut pas créer d’énergie sous la forme
d’adénosine triphosphate.
• Il permet de lutter contre le stress en modulant la réactivité de
l’organisme, par exemple en agissant sur la sérotonine.
• Il participe au bon fonctionnement cognitif, notamment au
maintien d’une bonne mémoire.
• Il participe à la formation des os et des dents, et contribue à fixer
le calcium sur les os.
• Il joue un rôle dans la production de l’énergie car il intervient dans
le métabolisme du glucose et dans la synthèse des protéines et
des lipides.
• Il joue un rôle primordial dans la contraction musculaire et le
maintien du rythme cardiaque.
• Il agit indirectement en tant qu’antioxydant en participant, entre
autres, à la synthèse du glutathion (l’antioxydant le plus puissant
de l’organisme).
• Il stimule le système immunitaire.
• Il a un effet antiallergique et anti-inflammatoire.
• Il participe à la régulation de la glycémie et à la sensibilité à
l’insuline (très utile pour la prévention du diabète de type 2).
• Il agit sur le métabolisme de la plupart des minéraux
indispensables à la santé, donc sa carence empêche la bonne
absorption de minéraux comme le calcium, le potassium, le zinc, le
phosphore, le fer, le sodium, l’acétylcholine…
• Il participe à une multitude de réactions enzymatiques partout dans
le corps.

LE RAPPORT INDISPENSABLE
MAGNÉSIUM/CALCIUM
Le magnésium et le calcium sont faits pour travailler ensemble.
Sans une quantité adéquate de magnésium (également bloqueur
naturel des canaux calciques) trop de calcium pénètre dans les
cellules, ce qui résulte en crampes musculaires, constriction des
vaisseaux sanguins, céphalées migraineuses et même sensations
d’angoisse.
Le magnésium maintient le calcium dissous dans la circulation du
sang. Trop peu de magnésium laisse le calcium s’échapper des os et
s’introduire dans les tissus mous, ce qui calcifie peu à peu notre
corps. Prendre du calcium sans magnésium pour l’ostéoporose peut
en fait favoriser la formation de calculs rénaux. Trop de calcium dans
le sang favorise également les spasmes musculaires, la fibromyalgie
et l’endurcissement des artères.

UTILISATION PROPHYLACTIQUE
SOUS FORME DE CHLORURE
Une valeur sûre, largement connue depuis plus d’un siècle – j’en ai
largement parlé depuis quarante ans dans mes livres et mes articles
de journaux. Le chlorure de magnésium prêt à l’utilisation en
urgence en solution 20 g par litre d’eau devrait être présent dans
toutes les pharmacies familiales.
Rappel en bref pour usage interne (résultats en 36-48 heures).
Se vend en pharmacie en sachets étanches de 20 g.
• Grippe.
• Maladies infantiles (oreillons, rougeole, rubéole, varicelle…).
• Maladies tropicales (chikungunya, dengue, malaria…).
• Toutes maladies infectieuses et épidémiques.

Posologie standard hautes doses.


40 ml toutes les deux à trois heures pour un adulte, et 25 ml toutes
les deux à trois heures pour un enfant.

Rappels en bref pour usage externe – en compresses toujours à


20 g/l.
On a intérêt à utiliser le magnésium fossile en boîtes de 1 kg
d’Apoticaria pour raison économique… et de qualité supérieure :
• Brûlures (stoppe la douleur en 1 min) – réimbiber la compresse
dès que la douleur revient.
• Blessures (désinfection systématique, à préférer à l’alcool qui brûle
les tissus).
• Dermatoses (verrues, formations kystiques, polypes, papillomes).
• Plaies infectées.

Nota On peut aussi l’utiliser en bains chauds avec deux à


trois cuillères à soupe et même en bains de pieds avec une
cuillère à soupe pour apaisement nerveux et détoxification
de l’organisme.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


https://apoticaria.com/products/chlorure-de-magnesium-fossile-
zechstein-inside?ref=4.
UTILISATION DE RECHARGE
SOUS FORME DE GLYCINATE
Le bisglycinate de magnésium chélaté à 10 % de magnésium
élément offre l’acheminement le plus rapide et le plus efficace du
magnésium dans l’organisme. Il échappe à la destruction partielle
par les sucs gastriques. Une réaction légèrement acidifiante du
glycinate sur le pH de l’intestin lui permet d’être parfaitement
absorbé. L’intestin achemine alors ce magnésium associé au
glycinate, qui est alcalin, vers le sang qui est sa destination finale.
Cette forme glycinate n’agresse ni les reins ni l’intestin comme
le fait le chlorure – dont une complémentation parfaitement
adaptée à un régime au long cours pour compenser les carences de
notre alimentation actuelle.

LE BISGLYCINATE DE MAGNÉSIUM
EST UN GRAND ÉQUILIBRANT ACIDO-
BASIQUE
Chez les humains, la jauge de vie est le pH du sang dont le taux doit
être de 7,35 à 7,4 (légèrement alcalin).
Le taux de 7,0 est une véritable ligne de partage de la vie. Un pH
acide, avec des taux inférieurs, engendre non seulement les
maladies physiques, mais également les angoisses et le stress qui
provoquent des maladies. En dessous d’un pH de 7, on peut
s’attendre à terme à la maladie, l’infirmité, l’activité affaiblie du
corps, de l’esprit, et à un décès précoce et souvent douloureux.
Malheureusement, on constate une dérive de plus en plus nette
vers un « monde acide ».
Le principe de rééquilibrage est le suivant : les sels minéraux
alcalinisants associés à un acide faible (comme le carbonate, le
citrate, le bitartrate, etc.) sont capables de convertir des acides forts
accumulés dans nos tissus en acides faibles. Ceux-ci peuvent alors
rejoindre le sang qui a une capacité constante d’élimination de ces
acides faibles. On peut ainsi agir de façon continue, et efficace, sur
l’équilibre acido-basique général de l’organisme. Or cette action
équilibrante sur le pH du sang est une des propriétés intéressantes
peu connue du bisglycinate de magnésium chélaté à condition qu’il
soit présent en quantité suffisante dans l’organisme.

SITUATIONS DE BESOIN DE RECHARGE


DE BISGLYCINATE DE MAGNÉSIUM
• Acidose
• Artériosclérose
• Calcifications articulaires et musculaires
• Crampes
• Douleurs articulaires et musculaires
• Éclampsie (HTA de grossesse)
• Eczéma
• Enzymes (carence)
• Foie (insuffisance)
• Grossesse
• Hypertension
• Hyperthyroïdie
• Hypoxie cellulaire
• Irradiation (radioactivité, rayons X…)
• Maladies nosocomiales (préventif et curatif)
• Minéralisation (ostéoporose, fractures)
• Nerveux (déséquilibres et chocs)
• Oxygénant cellulaire
• Peau (imperfections)
• Protéines (synthèse déficiente)
• Rachitisme
• Sang (trop épais)
• Spasmes musculaires
• Spasmophilie (même tétanie)
• Stress
• Tétanos (évite)
• Thromboses
• Vaccins ROR (séquelles)
• Vaisseaux sanguins (sclérose et athéromes)
• Vieillissement biologique
• Vitamine C (insuffisante)

COMPOSITION
• Fructo-oligo-saccharides.
• Taurine acide aminé soufré énergisant.
• Magnésium élément 10 %. Ce magnésium bisglycinate est très
pur et 100 % chélaté (c’est-à-dire totalement lié à la glycine).

Il s’agit d’une forme liposoluble qui est très bien assimilée par la
paroi intestinale. Il est donc hautement biodisponible et passe
facilement dans le sang.
Il ne provoque aucun problème de transit. Il ne contient aucun
excipient.

POSOLOGIE
3 gélules par jour pendant ou en dehors des repas.
Ne pas donner aux enfants de moins de 6 ans.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


www.apoticaria.com
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IODINE SOLUTION DE LUGOL


Merveilleux antiseptique universel d’un siècle d’âge

Durant tout le XIXe siècle et la moitié du XXe siècle, la teinture d’iode


fut utilisée chez nous comme antiseptique général et comme
précieux complément alimentaire multi-usage. Mais comme ce
produit simple et peu coûteux gênait le marché des antibiotiques, il a
été subitement déclaré dangereux et n’est plus délivré qu’en très
petites quantités.
Savez-vous que du temps de nos arrière-grands-mères il était
courant de mettre une goutte de teinture d’iode dans le biberon des
bébés pour faciliter le développement de leur cerveau ? Non
seulement on n’a jamais entendu parler d’accidents, mais les bébés
se développaient à merveille et en bien meilleure santé que nos
pauvres bébés hypervaccinés actuels. De plus, elle n’avait pas les
inconvénients bien connus des antibiotiques actuels, générateurs de
champignons et levures offrant le lit des cancers et faisant
maintenant l’objet d’une antibiorésistance.
Sachez que l’iode tue 90 % des bactéries pathogènes, des
moisissures, levures, protozoaires, candida, staphylocoques et
virus sur la peau en 30 à 90 secondes. Mais la fac de médecine a
fait oublier aux médecins et au public ce champion de la
désinfection ! Mieux encore, les cellules porteuses de tyrosine sur
leur membrane externe sont tuées instantanément par une simple
réaction chimique avec l’iode qui détruit leurs protéines.

Le Dr Guy Abraham (États-Unis), expert de l’iode, a fait la preuve


de ses multiples applications :
• Elle est d’abord un soutien thyroïdien bien connu.
En 1819, Jean Coindet montra que la teinture d’iode réduisait les
goitres.
Par ailleurs, une étude menée par le Dr Brownstein sur vingt-
quatre patients a montré que 92 % de ceux qui souffraient d’une
thyroïdite de Hashimoto et de la maladie de Basedow
présentaient une insuffisance d’iode. Et presque tous ces patients
ont eu une amélioration considérable après qu’on leur a prescrit la
solution de Lugol.
• Elle est un soutien endocrinien général remarquable.
Ainsi, elle agit sur la pression artérielle, la glycémie, sur toutes les
fonctions génitales, en particulier les seins, les ovaires, l’utérus, la
prostate, mais aussi sur l’hypophyse et les surrénales.
• Elle aide à prémunir contre le cancer du sein.
On connaît depuis plus de cinquante ans le lien entre cancer du
sein et niveaux d’iode.
• Elle active l’élimination de métaux toxiques : fluor, brome,
plomb, cadmium, arsenic, aluminium et mercure.
• Elle protège l’organisme des champs électromagnétiques, de la
radioactivité, et autres polluants ambiants.
• Elle a un effet antioxydant semblable à celui de la vitamine C.
• Elle prémunit des maladies dégénératives.
• Elle régule l’humeur et soutient une bonne santé mentale.

Nota On estime que de nombreux Japonais absorbent


environ 14 mg d’iode par jour, c’est-à-dire plus de cent fois
l’AJR (apport journalier recommandé), à travers leur
consommation d’algues. Aussi, ils enregistrent des taux
très faibles de cancer du sein, de l’utérus, des ovaires et de
la prostate, ainsi que de mastopathies fibrokystiques.

Or cette faible incidence ne subsiste pas lorsqu’ils s’expatrient


aux États-Unis.
La fréquence de ces pathologies s’aligne alors sur celle des
Américains.

HISTORIQUE DE L’IODE :
GRANDEUR ET DÉCADENCE
En 1821, François Magendie fut le premier à introduire de l’iode
dans une pharmacopée.
En 1829, Jean Lugol, un médecin français effectuant des
recherches sur les utilisations médicales de l’iode dans les maladies
infectieuses observa que la présence d’iodure de potassium dans
l’eau augmentait nettement la solubilité de l’iode. Il créa alors la
solution de Lugol.
En 1890, la sixième édition de La Pharmacopée extra de
Martindale a parrainé trente médicaments dérivés de l’iode.
En 1928, Martindale avait étendu sa couverture à cent vingt-huit
articles avec de l’iode.

Nota L’iode fut utilisé avec succès pour les pathologies


respiratoires, notamment les maladies pulmonaires
chroniques telles que l’asthme et la broncho-pneumopathie
chronique obstructive, en raison de son action fluidifiante
sur le mucus. Mais, il fut aussi utilisé dans la syphilis et, en
dermatologie, dans les dermatites inflammatoires et les
infections fongiques.

En 1930, le sel iodé fut introduit dans l’alimentation.


Mais en 1948, mise à mort de l’iode !
Une seule étude de Wolff-Chaikoff (probablement commandée et
subventionnée par Big Pharma) a conclu à une possible grosse
hypothyroïdie par l’ingestion (en quantités démentielles) d’iode
inorganique par des rats ; il fut aussitôt décidé arbitrairement qu’il
fallait éviter l’iode comme la peste. Ainsi, l’iode, ce grand gêneur
du grand lobby mafieux de la maladie, fut subitement retiré de la
chaîne alimentaire.

Dans les années 1950-1960, les antibiotiques remplacèrent


systématiquement l’iode dans les maladies infectieuses.

L’iode fut remplacé par les bronchodilatateurs pour les patients


pulmonaires.
Les antihistaminiques remplacèrent l’iode pour les symptômes du
rhume. L’iode disparut ainsi progressivement de la science médicale.
Trop simple, trop efficace et si peu coûteux… donc pas
rentable !

LA SOLUTION DE LUGOL
Dans le manuel du préparateur pharmacien, on trouve une formule
forte et une faible.
L’option pour une formule demi-forte est la suivante :
• Ioden => 0,5 g.
• Iodure de potassium => 1 g.
• Eau distillée qsp => 100 m.

EXEMPLES DE CAS RÉSOLUS PAR


L’IODINE
SELON LES ANNALES DE EARTH CLINIC
• Adénite (inflammation des glandes)
• Allergies
• Arythmie cardiaque
• Asthme
• Audition (baisse)
• Boutons cutanés en externe
• Broncho-pneumopathies obstructives
• Cancers de la peau
• Candidose
• Cholestérol
• Cœur (arythmies)
• Concentration difficile
• Conjonctivite aiguë
• Dépression
• Dermatites inflammatoires
• Diabète de type 2
• Eczéma
• Électrosensibilité
• Érection (troubles)
• Fatigue chronique
• Fibromes utérins
• Fluor (intoxication)
• Frilosité
• Gangrène
• Glande pinéale (faible)
• Glycémie (hypo)
• Goitre
• Goutte (douze gouttes par jour)
• Goutte
• Grains de beauté
• Herpès génital, fibromyalgie
• Humeur maussade
• Hypertension (douze gouttes par jour)
• Hypophyse (hypo)
• Infection de la vessie
• Infection des gencives
• Infection vaginale à levures
• Infections mycosiques
• Infections
• Intoxication au brome
• Intoxication au fluor
• Intoxication aux métaux
• Kystes aux seins
• Kystes divers
• Kystes ovariens
• Maladie de Basedow
• Maladie de la hanche
• Maladies dégénératives
• Malaria
• Mastoses fibrokystiques
• Métaux toxiques (Pb, Cd, As, Al, Hg) ;
• Nodules
• Œdèmes
• Panaris
• Peau sèche
• Prostate (adénome)
• Psoriasis
• Radioactivité ambiante
• Règles irrégulières
• Rhumatismes
• Scarlatine
• Seins (douleurs)
• Sinusite : une goutte dans l’eau de lavage du nez (neti)
• Stérilité
• Surrénales faibles
• Syphilis
• Thyroïde : en hypo et en hyper (régulateur)
• Thyroïdite de Hashimoto
• Ulcères
• Verminoses du chat et du chien : une goutte dans la pâtée
• Vue déficiente

MODE D’EMPLOI DE L’IODINE


Posologie par voie orale
5 gouttes dans un peu d’eau aux 3 repas.
Méthode par voie cutanée (facile à contrôler)
Voici une façon facile de se recharger en iode d’une façon sécure et
sans risque d’overdose en utilisant l’intelligence de la peau. En effet,
la peau absorbe ce dont l’organisme a besoin et le bloque lorsque le
plein est effectué.
Il suffit de badigeonner de la teinture sur une plage de peau de
préférence peu visible comme la face interne des cuisses ou des
bras si l’on met des manches. La peau va alors être teintée en
marron, et tout va dépendre du temps que cette coloration va mettre
pour disparaître :
• Si la teinte disparaît en quelques heures, c’est que vous êtes en
grande carence d’iode ; effectuez un nouveau badigeon.
• Si la teinte disparaît en vingt-quatre heures, vous êtes en carence
moyenne.
• Si la teinte met plusieurs jours à disparaître, votre peau n’en veut
plus, votre organisme est rechargé.

Notez que cette méthode très simple dispense d’analyse.

Méthode mixte
Si vous souhaitez faire agir simultanément, référez-vous aux taches
marron de vos cuisses : si elles persistent plusieurs jours, c’est qu’il
faut tout arrêter.

EFFETS DE DÉSINTOXICATION
DES HALOGÈNES INDÉSIRABLES
Les populations industrialisées subissent une baisse vertigineuse
d’iode dans l’alimentation, et l’invasion d’éléments halogènes tels le
fluor (dentifrices) et le brome (dans le pain) qui poussent
lentement l’iode hors de l’organisme et prennent sa place dans les
organes récepteurs – d’où souvent la nécessité de gros apports
d’iode pour les déloger.
Les symptômes de désintoxication se manifestent communément
par de la fatigue, un rhume, des nausées, des transpirations
nocturnes, une perte d’appétit. D’autres symptômes fréquemment
rapportés concernent le plan mental et émotionnel, avec des
troubles passagers incluant paranoïa, humeur dépressive, sommeil
médiocre, cauchemars.

Une fois les poisons excrétés, les symptômes cessent et le corps


retrouve un état de fonctionnement optimal, supérieur à celui
d’avant la détoxication.

Vous pouvez vous procurer l’iodine en flacon de 25 ml dans


toutes les pharmacies ou sur Internet.
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L-GLUTATHION RÉDUIT LIPOSOMAL


L’indispensable ange gardien sanguin de l’organisme

Le L-glutathion est une protéine naturellement fabriquée et


concentrée au niveau du sang.
Elle est composée de trois acides aminés : l’acide glutamique,
l’acétyl-cystéine et le glycocolle. Ses propriétés thérapeutiques
tout à fait remarquables étaient jusqu’ici peu connues. Si sa quantité
diminue dans le sang, les cellules irriguées s’affaiblissent et sont
attaquées, le système immunitaire est ralenti, le vieillissement
s’accélère, et l’espérance de vie diminue.
On peut considérer que la concentration de glutathion dans le
sang est directement proportionnelle à la vitalité générale du
corps.
Fort heureusement, le L-glutathion existe sous forme de
complément alimentaire – mais il faut veiller à ce que celui-ci soit
sous forme réduite (oxydo-réduction), car la forme oxydée qui est
bien moins chère à produire a des effets inverses.
Par ailleurs, il faut savoir que le glutathion en complément
alimentaire est dégradé par les sucs gastriques de l’estomac. Pour y
pallier, certains fabricants le mettent en gélules gastro-résistantes,
mais avec l’inconvénient qu’elles sont chimiques. La version idéale,
qu’en outre nous avons choisie, est le L-glutathion liposomal,
donc enrobé dans des microcapsules phospho-lipidiques
protectrices permettant de passer sans encombre l’estomac, et
d’être facilement absorbé par l’intestin pour aller rejoindre le sang.
LES PRÉCIEUSES FONCTIONS
DU L-GLUTATHION LIPOSOMAL
Nous avions déjà vu que c’est l’ennemi no 1 de l’oxyde de
graphène des « faux vaXXins » ARNm, et c’est en partie pour
cela que sa présence est très importante.
Mais ce n’est pas tout :

C’est un immunoprotecteur général


Le glutathion favorise la production des anticorps ainsi que le pouvoir
phagocytaire des macrophages et des polynucléaires neutrophiles.
Par ailleurs, lors des réactions inflammatoires de défense, les
globules blancs effectuent une flambée respiratoire visant à diriger
des radicaux libres oxygénés vers l’envahisseur, cela pouvant
anéantir instantanément celui-ci. Sans la présence de glutathion,
les cellules environnantes seraient oxydées et donc
endommagées.

C’est un antioxydant remarquable


Le stress oxydatif est le résultat d’une mauvaise gestion
enzymatique des radicaux libres oxygénés dans les processus de
fabrication d’énergie de la cellule. Cela peut induire un vieillissement
prématuré, des pathologies cardiovasculaires, des pathologies auto-
immunes, et des cancers.
Le glutathion réduit stoppe littéralement ces processus dégénératifs
induits par les radicaux libres oxygénés.
De plus, il protège la membrane des globules rouges et prévient
l’oxydation de l’oxyde ferreux Fe++ en oxyde ferrique Fe+++ de
l’hémoglobine, donc la formation du radical hydroxyl particulièrement
destructeur (anémie hémolytique).

C’est un grand détoxiquant


Les deux organes cibles sont le foie et les reins. Au niveau
intracellulaire, c’est là que l’on trouve le plus de glutathion.
C’est en 1970 que le Dr Key-Pailhade a découvert que grâce au
glutathion de nombreuses toxines pouvaient être neutralisées,
comme les nitrosamines (aliments fumés), les benzopyrènes
(barbecue, cigarettes), les organophosphates (pesticides), les
métaux lourds (plomb, mercure, aluminium, cadmium).

Autres fonctions cachées


On sait maintenant que le L-glutathion joue un rôle essentiel
dans la formation de la structure des protéines, dans la synthèse
et la réparation de l’ADN, et dans la régulation de la prolifération
cellulaire.
Ce dernier point est crucial puisqu’on apprend que le glutathion est
le stimulateur du gène P53, véritable service de contrôle qualité qui
génère une enzyme de destruction des cellules ratées. Nous avons
donc là un produit antimutagène de premier choix. C’est pour cela
que le glutathion se révèle être un puissant adjuvant dans le soutien
au traitement des cancers.

DIVERSES INDICATIONS
DU L-GLUTATHION RÉDUIT
LIPOSOMAL
Toutes les maladies de vieillissement neurologique
• Alzheimer
• Cancers (adjuvant)
• Foie (intoxication alcoolique)
• Immunodépression
• Intoxication au mercure
• Oxyde de graphène (présence sanguine d’origines diverses)
• Parkinson
• Sclérose en plaques
• Sénilité précoce
• Séquelles vaccinales
• Vaccins ARNm

POSOLOGIE MOYENNE
2 fois 5 ml/jour directement dans la bouche ou dans un verre d’eau
ou de jus, sauf avis contraire d’un professionnel de santé. Ne pas
dépasser la dose recommandée.
Posologie Parkinson
On pourra même monter progressivement à 3 x 5 ml/jour. Les
résultats sont souvent spectaculaires, mais il faut plusieurs mois
pour parvenir à une stabilisation.
De plus, le pool glutathion-vitamine C naturelle est
indissociable. Il faut compter quatre à cinq grammes de
vitamine C par jour – et si nécessaire monter plus haut avec de
la vitamine C liposomale.

Nota Il faut ici rappeler que les mises en garde contre le


surdosage de vitamine C proférées par la médecine
pharmaceutique ne s’appuient sur aucune donnée. La
vitamine C s’est révélée inoffensive et efficace sur des
décennies d’utilisations intensives (voir les travaux de
Linus Pauling, Kalokerinos, Kniefer).

Dans les cas d’Alzheimer


Il est utile d’associer au glutathion du ginkgo biloba.

Dans la sclérose en plaques


On obtient d’excellents résultats en associant le glutathion à un
régime alimentaire Kousmine (voir les ouvrages du Dr Kousmine).
Nota Il est toujours important d’adjoindre
systématiquement aux traitements de dégénérescence et
d’intoxication des cellules cérébrales et nerveuses des
huiles riches en oméga-3 telles que l’huile de cameline ou
l’huile de sardine.

Dans les cancers


Le glutathion s’avère être un traitement remarquable dans de
nombreux cancers. Il peut en outre être utilisé en concomitance
avec d’autres traitements sans inconvénient. Pour ceux qui ont subi
des chimiothérapies, le glutathion est un détoxiquant de choix
permettant de récupérer rapidement toujours en association avec la
vitamine C.
Désintoxication alcoolique du foie
Dans la dégénérescence hépatique due à des séquelles alcooliques,
le glutathion à raison de 2 à 3 fois 5 ml/jour peut amener une
restauration spectaculaire.
Désintoxication organique d’entretien
Nous sommes tous plus ou moins des intoxiqués qui s’ignorent face
à la pollution omniprésente. Ne serait-ce que 5 ml/jour peuvent
apporter un plus au tonus général et à nos défenses immunitaires.
C’est une bonne mesure préventive contre l’usure organique.

PRÉSENTATION POSOLOGIE
Flacon de 250 ml.
2 fois 5 ml par jour.
POUR TOUT RENSEIGNEMENT
https ://fr.sanus-q.com/collections
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PROSTAPHYT
Pour tranquilliser la vessie du 3e âge

En vieillissant, beaucoup d’hommes voient leur jet urinaire faiblir. Le


réflexe commun est de penser à l’adénome de la prostate
(hypertrophie). Or c’est loin d’être toujours le cas – en effet, avec
l’âge, la paroi de la vessie peut perdre en élasticité et en force
contractile –, il devient alors de plus en plus difficile d’obtenir un
flux urinaire correct et régulier qui vide complètement la vessie,
surtout la nuit.
Avant de vous laisser embarquer dans des mesures médicales
alarmistes, invasives et invalidantes, prenez du recul et gardez la
tête froide.
Le protocole médical est d’arborer devant vous un épouvantail qui
s’appelle les « marqueurs PSA », référence très incertaine érigée
en balise absolue qui permet de vous soumettre docilement au
parcours prévu au niveau de l’urologue de service qui est :
• Toucher rectal – biopsie (dangereuse) – recherche éventuelle de
métastases – proposition de réduction de la glande prostatique
avec une opération par endoscopie ou par les voies naturelles –
radiothérapie de sécurité (qui cuit douloureusement les tissus
environnants et les cartonne) – éventuellement chimiothérapie (qui
vous détruit le sang, entre autres).

Selon mes sources, il y aurait eu aux États-Unis un million de


prostates enlevées pour rien, pour cause de « surdiagnostic »
(de prudence !) – avec bien sûr jackpot chirurgical et médico-
pharmaceutique…
Toutes les victimes ont gagné une impuissance, une incontinence
urinaire, voire une dépression.

Nota Si le mal est déjà fait et qu’il y a une incontinence


urinaire importante, pour supprimer les couches, sachez
qu’il existe des pinces péniennes que l’on peut trouver en
pharmacies et sur Internet.

LES MARQUEURS, UNE FAUSSE BALISE


Les médecins appliquent un théorème douteux mais bien utile pour
eux : marqueurs PSA = cancer, ce qui est faux. J’ai déjà beaucoup
écrit à ce sujet. Sachez que la selle de vélo fait monter les
marqueurs…
Le Pr Gérard Delépine, chirurgien, est clair là-dessus. Les
marqueurs signalent l’existence d’un foyer inflammatoire et
témoignent que vos défenses immunitaires sont en train de
fonctionner et qu’il y a donc présence d’un foyer inflammatoire –
c’est tout.
Les autopsies des accidentés de la route montrent que beaucoup
d’entre eux à partir de 50 ans ont de petites tumeurs cancéreuses
dormantes sans le savoir (surtout quand on ne va pas voir un
médecin), qu’ils ne l’auraient peut-être jamais su, et qu’en fin de vie,
ils seraient souvent morts d’autre chose (ex. : manque de savoir-
vivre !)…
J’ai récemment écrit à une dame concernant son mari :
« La philosophie de la médecine est basique : “Augmentation des
marqueurs = augmentation du danger !” – mais les marqueurs
c’est la police ! –, et quand on s’attache à faire tomber les
marqueurs, la police se trouve désarmée et les ennemis dansent
(voir la politique Macron !). Vous avez vu le résultat : PSA descendus
de 160 à 22 et la tumeur qui était tranquille a explosé. Cela prouve
que la médication a lutté contre les marqueurs (la police) et non
contre la tumeur – pas très logique tout cela ! »
En outre, les mictions urinaires sont tributaires de
quatre paramètres de la vessie : sa tonicité – sa souplesse – son
volume – son érectilité.
Pourquoi toujours faire une fixation élective sur la prostate ? Tous les
hommes ont la prostate qui grossit avec l’âge, et pourtant tous n’ont
pas de problèmes de miction. Pourquoi ?

COMPOSITION DU PROSTAPHYT
• Pygeum ou prunier d’Afrique (écorce)
• Sabal ou palmier nain de Floride (baies)
• Algue klamath
• Épilobe 50 mg
• Zinc glycinate 20 mg

ACTIONS DES DIFFÉRENTS


COMPOSANTS
Le pygeum
Remède urinaire africain depuis plus d’un millénaire
• Accumulation d’urine résiduelle dans la vessie.
• Besoin de se lever pour uriner de plus en plus souvent la nuit.
• Difficulté à commencer la miction et écoulement goutte à goutte
de l’urine à la fin.
• Jet urinaire de plus en plus faible.

Le sabal (palmier nain)


Remède amérindien depuis douze mille ans des problèmes
urinaires des hommes âgés
• Adénome prostatique
• Anti-inflammatoire
• Diurétique
• Prostatite
L’algue klamath
Pour sa teneur en vitamines du groupe B.
L’épilobe à petites fleurs
Présenté par Maria Treben comme remède no 1 des troubles et
maladies de la prostate et de la vessie (y compris cancers de la
vessie).

Le zinc bisglycinate
L’accumulation du zinc dans les cellules prostatiques inhibe la
croissance cellulaire et induit un contrôle de l’autocroissance par les
cellules.

INDICATIONS DU PROSTAPHYT
Ne s’appliquent qu’aux hommes
• Adénome prostatique
• Fuites urinaires
• Mictions : faibles surtout la nuit
• Mictions : débuts et fins en goutte à goutte
• Prostatite : PSA élevés
• Urinaires : envies impérieuses difficiles à contrôler
• Urinaire : jet faiblissant
• Urinaires : mictions incomplètes
• Urinaire : pollakiurie
• Urinaires : trop de levers nocturnes
• Urinaire : polyurie
• Vessie : érectilité aux changements de position
• Vessie : inflammation
• Vessie : manque de souplesse

POSOLOGIE
1 gélule matin et soir.
Résultats en 2 à 3 mois.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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QUERCÉVITAL
Pour l’insuffisance cardiaque et les allergies

Voilà une synergie gagnante faite de l’assemblage de deux trésors


de la santé et de la vitalité :
• La quercétine (un superflavonoïde).
• L’ubiquinone (célèbre coenzyme Q10).

LA QUERCÉTINE
Elle fait partie des quatre mille flavonoïdes connus. Les flavonoïdes
sont des pigments végétaux de la famille des polyphénols qui sont
responsables de la coloration des fleurs et des fruits. Les principaux
bienfaits des flavonoïdes connus sont pour :
• Leurs propriétés antioxydantes majeures.
• Leurs propriétés bénéfiques contre les maladies cardiovasculaires.
• Leurs propriétés antiallergiques.

La découverte des flavonoïdes revient au scientifique Chevreul qui,


en 1814, en isola pour la première fois. Mais c’est en 1937
qu’Albert Szent-Györgyi a réellement découvert la quercétine.
D’abord nommées « vitamines P », on abandonna très vite cette
désignation, car ces vitamines ne sont pas essentielles à la vie.
La quercétine est le flavonoïde le plus consommé naturellement par
les humains, en particulier dans les fruits et les légumes tels les
pommes, les oignons, ou les raisins (vin rouge compris) qui en sont
de grands pourvoyeurs. Mais il y a aussi le cacao, la grenade, le
cassis, les fraises, les myrtilles. À l’état pur, elle présente un goût
amer.

LES BIENFAITS DE LA QUERCÉTINE


Une action superantioxydante
Les études scientifiques sont unanimes : cette supermolécule est la
plus efficace des flavonoïdes, car très concentrée en quercétol. De
ce fait, elle contribue à éliminer l’excès des radicaux libres
toxiques dans l’organisme et lutte contre le vieillissement
prématuré, particulièrement du cerveau et de la peau. Son activité
antioxydante est liée au bon fonctionnement de notre système
immunitaire. En outre, la supplémentation en quercétine est déjà
très populaire pour renforcer l’immunité, surtout en hiver.

Une action anti-inflammatoire


Des études menées sur des personnes ayant une inflammation
chronique des voies urinaires (cystite) ou de la prostate (prostatite)
montrent une diminution des désagréments après une cure de
quercétine.

Une protection cardiovasculaire


• Les flavonoïdes améliorent la perméabilité des vaisseaux
sanguins tout comme les vitamines.
• Les résultats des études sont concluants. Consommer des
aliments riches en quercétine réduit les accidents vasculaires
cérébraux (AVC) et les troubles coronariens.
• Selon les recherches cliniques, une supplémentation en quercétine
réduit l’hypertension nerveuse.
• Enfin, une prise de quercétine permet de réduire le mauvais
cholestérol chez les personnes en surpoids ou obèses.

Une action antihistaminique


Bonne nouvelle pour les personnes allergiques qui redoutent les
pollens printaniers (nez qui coule, éternuements, gorge qui gratte,
yeux qui pleurent) : la quercétine prévient efficacement le rhume
des foins, la rhinite allergique et réduit la congestion des yeux.
La quercétine se montre aussi très efficace pour réduire les
eczémas allergiques.

Contre-indications
Éviter la quercétine en cas de problèmes d’hyperthyroïdie.

LA COENZYME Q10
C’est le remède naturel majeur de « l’insuffisance cardiaque »
qui est une appellation obligeante pour désigner une nécrose (mort)
d’une partie plus ou moins importante du muscle
cardiaque. L’insuffisance cardiaque se manifeste par un
essoufflement, de l’épuisement, et à l’extrême, des œdèmes.
Couramment appelée CoQ10 ou ubiquinone, c’est une substance
similaire à une vitamine, qui est vitale pour la production de l’énergie
corporelle. Elle est en partie fabriquée par notre corps (qui en
fabrique de moins en moins avec les années) et partiellement
complémentée par notre nourriture, dans la mesure où elle est
saine.
Les organes nécessitant le plus d’énergie – tels que le cœur, les
poumons et le foie – sont les premiers consommateurs de cette
CoQ10 qui ne peut être remplacée par aucune autre substance. On
peut imaginer que les cardiologues devraient la prescrire à tous
leurs patients, mais ils ne le font pas. Soit ils ne connaissent pas
cette enzyme qui n’est pas rentable pour le cartel pharmaceutique,
soit ils suivent le précepte qu’« un client guéri est un client
perdu ».
La CoQ10 fut découverte par le chercheur britannique Peter Mitchell,
qui à la suite de la découverte de son rôle prépondérant dans la
production de l’énergie du corps a reçu le prix Nobel de chimie en
1978. La CoQ10 intervient dans la chaîne respiratoire, qui assure la
production d’énergie utilisable par les cellules sous forme d’ATP.
Concernant les sportifs, il aurait montré que si on apporte de 60 à
100 mg/jour de CoQ10 pendant six semaines, la capacité de
performance est nettement augmentée.
Par ailleurs, la fréquence cardiaque est améliorée chez les
insuffisants cardiaques, la consommation maximale d’oxygène et le
temps à l’effort sur tapis roulant sont augmentés. En fait, notre
alimentation nous fournit un apport journalier d’environ 3 à 10 mg de
CoQ10, et il se peut qu’un régime normal ne suffise pas ou plus pour
répondre aux besoins corporels en CoQ10.

Nota Le traitement classique contre le cholestérol par


statines bloque la synthèse de la coenzyme Q10, ce qui
pourrait expliquer les myopathies observées chez certaines
personnes traitées de cette façon – sept millions de Français
sont sous statines !

INDICATIONS DU QUERCÉVITAL
• Allergies
• Angine de poitrine
• Athéromes artériels
• AVC (récupération)
• Cœur (nécroses)
• Coronarite
• Hypertension nerveuse
• Immunité insuffisante
• Infarctus du myocarde (récupération)
• Inflammations chroniques (toutes)
• Insuffisance cardiaque
• Prostatite
• Radicaux libres toxiques (excès)
• Rhume des foins
• Vieillissement peau et cerveau
• Yeux (congestion allergique)

POSOLOGIE
2 à 3 gélules par jour, plutôt le matin, ¼ d’heure avant le repas de
midi ou une heure après.

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VAGOSTIM
Pour rééquilibrer le système nerveux autonome

Vagostim est issu d’un remède nommé Sympavagol dont


l’indication était de rééquilibrer le système nerveux autonome, c’est-
à-dire automatique (respiration, cœur, intestins, circulation capillaire).
Plus précisément, son action était de renforcer les systèmes
parasympathiques défaillants dont je vais parler ci-dessous.
Ce remède, qui était fabriqué par Boribel (disparu), était très
efficace et n’avait pas d’équivalent dans la pharmacie orthodoxe. Un
jour, un décret est sorti, décrétant (normal, un décret
« décrétant » !) qu’un des composants n’était plus autorisé. Hélas,
une fois la plante incriminée enlevée, le remède « amélioré » ne
fonctionnait pratiquement plus – c’est ballot, hein ? Mais surtout
malveillant ! C’est maintenant Novartis qui le vend…
Mais revenons au système nerveux autonome. Il comprend :
• Le système orthosympathique par distribution paravertébrale qui
donne les ordres de régulation et d’adaptation – il est en relation
avec le stress et il est tempéré par le système para –, sinon il
génère des adaptations brutales et inconfortables, voire
dangereuses. Cela s’appelle la neurotonie.
• Le système parasympathique par le nerf vague devant le thorax et
les douze nerfs crâniens, qui amortit les ordres de l’ortho et
commande les différents péristaltismes (intestins, vaisseaux
capillaires…) – il est en relation avec le calme et la détente.

En excès (rarement), il est responsable de retards d’adaptation –


cela s’appelle la vagotonie. Vous savez bien qu’il y a beaucoup plus
de gens stressés que de gens détendus. C’est dire combien le
Sympavagol formule originale était utile. Voilà pourquoi il était
opportun de refaire une formule naturelle qui permette de régler les
nombreux problèmes d’ordre nerveux de la vie courante – sans les
inconvénients chimiques associés.

EFFET DOMINO
L’art de guérir réellement les maladies est de remonter à la source ;
si nous prenons le trajet à l’envers, nous voyons une cascade
classique à partir d’une hypotonie du système parasympathique.

Le diaphragme : une plaque tournante


Comme nous l’avons vu, le système ortho n’étant plus temporisé
devient dominant, et va générer du stress en boucle en bloquant le
diaphragme – oui, car du coup la respiration abdominale, celle de la
détente et de la tranquillité, va s’arrêter et céder la place à la
respiration thoracique courte, partielle et qui va réinjecter un état de
stress.
Un diaphragme bloqué induit ce qu’on appelle « la boule à
l’estomac » ou « un estomac noué » qui est en fait un blocage du
plexus solaire, cela pouvant entraîner de la gastralgie (gastrite).
Par ailleurs, le grand médecin Alexandre Salmanoff (décédé en
1964) affirmait qu’un diaphragme spasmé attaquait le
fonctionnement et la santé cardiaque – aussi, pour lever ce spasme
installé, il préconisait une bouillotte chaude sur le foie et l’estomac,
vingt minutes tous les jours, ce qui est immédiatement efficace.
De mon côté, j’ai toujours enseigné et pratiqué avec bonheur un
exercice contre le trac (blocage du diaphragme) en effectuant la
chose suivante :
• Inspirer uniquement par le ventre.
• Bloquer la respiration.
• Rentrer le ventre à fond puis le ressortir une quinzaine de fois.
• Puis respirer normalement.
Ce gargarisme intérieur crée une chaleur et une agréable vibration
rassurante au niveau du plexus de l’estomac.

Le stress, un grand acidifiant


L’autre aspect pervers de la neurotonie par hypotonie du système
para est l’acidification du terrain organique (la fameuse acidose),
avec tout son cortège d’effets collatéraux bien connus.
Donc, en bref :
1.Neurotonie avec hypotonie du système para.
2
. Donne acidose qui accueille levures et champignons tel Candida
albicans.
3
. Qui fait le lit bien connu du cancer.
4
. Qui fait l’objet de superstress.
5
. Qui engendre la neurotonie.

La boucle est bouclée en autoalimentation !

Alors les amis, du stress il en faut pour ne pas devenir gâteux, mais
à condition de ne pas dépasser les doses gérables et de ne pas le
laisser s’installer à demeure sans permis de séjour !
Et c’est là qu’un outil de contrôle comme Vagostim s’avère le
bienvenu !

COMPOSITION DU VAGOSTIM
• Escholtzia TM 25 %
• Passiflore TM 25 %
• Valériane TM 15 %
• Tilia tomentosa (bourgeons macérat mère) 35 %

PROPRIÉTÉS DES DIFFÉRENTS


COMPOSANTS
Escholtzia (pavot de Californie) TM
• Anxiolytique
• Relaxant
• Antispasmodique
• Analgésique
• Sédatif nerveux
• Hypnotique
• Troubles du sommeil
Passiflore TM
• Antalgique
• Anticonvulsive
• Antispasmodique musculaire
• Anxiolytique
• Sédative
• Sédative cardiaque
• Tranquillisante
Valériane TM
• Anticonvulsive
• Antispasmodique
• Calmante
• Décontractante

Relaxante
• Sédative
Tilleul TM
• Anxiété
• Insomnies
• Sédatif nerveux
• Spasmophilie
• Tachycardie
• Thyroïde (hyper)
• Tranquillisant
• Ulcères gastro-duodénaux

INDICATIONS GÉNÉRALES DU
VAGOSTIM
• Cœur (éréthisme)
• Constipation
• Nervosisme
• Palpitations cardiaques
• Sommeil (troubles)
• Spasmophilie
• Stase circulation capillaire
• Stase lymphatique
• Système nerveux autonome : neurotonie
• Système nerveux autonome : sautes brutales d’adaptation
• Système nerveux parasympathique : stase

POSOLOGIE DU VAGOSTIM
20 gouttes après 2 repas principaux.
Cure : 6 semaines.
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TIBÉTANE (NOUVEAU PADMA)


Un remède tibétain de deux mille ans d’âge
qui rénove tout le système cardiovasculaire

La formation d’athéromes (athérosclérose) est la cause dominante


de la majorité des affections cardiovasculaires. Il s’agit d’un grand
problème de santé publique :
• Première cause de mortalité dans les pays occidentalisés, par
insuffisance coronarienne et affections vasculaires cérébrales.
• Premier responsable des maladies coronariennes.
• Cause majeure d’invalidité et de morbidité (insuffisance cardiaque,
séquelles d’accidents vasculaires cérébraux (AVC), accidents
ischémiques transitoires (AIT), artériopathie oblitérante des
membres inférieurs, anévrismes aortiques, insuffisances rénales et
infarctus mésentériques.
L’athérosclérose est une réponse inflammatoire due à une lésion de
l’endothélium d’une artère et non pas à une accumulation de
cholestérol-LDL. Il n’y a aucun lien entre le cholestérol total, voire
entre le cholestérol LDL et l’apparition d’athérosclérose. Abaisser
son taux de cholestérol est une très mauvaise idée, spécialement
lorsque cela est fait à l’aide de médicaments de la classe des
statines tels : Tahor – Zocor – Vasten – Lodales – Crestor –
Lovastatine – Pravastatine – Simvastatine – Fluvastatine…
Il n’existe pas de « bon » ou de « mauvais » cholestérol : les deux
molécules sont fondamentales pour le métabolisme humain du
cholestérol.
Il y a même de fortes probabilités que le cholestérol intervienne
comme agent réparateur dans le processus de guérison d’une
lésion. C’est l’oxydation du LDL – et non pas la molécule elle-même
– qui cause l’athérosclérose, en plus de plusieurs autres facteurs.
C’est une excellente raison pour changer son hygiène de vie et
consommer plus d’antioxydants.

Les recherches du Dr Ravnskov sont formelles : le cholestérol ne


cause pas l’athérosclérose.

Pour en savoir plus, lire : Cholestérol, mensonges et propagande du


Dr Michel de Lorgeril, cardiologue et chercheur au CNRS.
Au-delà des « sparadraps » que sont les statines ainsi que des
chirurgies coronariennes, qui ne corrigent pas le processus de la
maladie sous-jacente, rien n’est fait en termes préventifs ni en
termes curatifs auprès du grand public pour agir sur les vrais acteurs
responsables des plaques d’athérome.

UN REMÈDE NATUREL HYPER-


EFFICACE
ET SANS DANGER
Tibétane est un mélange complexe d’une vingtaine de composants
dont la formule a été créée il y a près de deux mille ans –
précisément, la vingt-huitième formule d’un des plus anciens textes
de médecine tibétaine, ce pour quoi il fut longtemps baptisé
Padma 28.
Il a été apporté à Saint-Pétersbourg par Sultim Badma, un lama
médecin et son frère, également moine médecin, qui ont travaillé
ensemble à l’adaptation de nombreuses recettes de phytothérapie
qu’ils avaient apportées de leur monastère.
Ils ont ainsi remplacé certaines plantes originelles provenant de
l’Himalaya par d’autres plantes issues de la médecine tibétaine. Ce
remède a atteint la Pologne et, un peu plus tard, l’ouest de l’Europe.
Composition du Tibétane
Ce remède naturel combine donc une vingtaine de plantes et épices
contenant des : polyphénols, bioflavonoïdes, huiles essentielles et
antioxydants fonctionnant de manière additive, synergique et
antagoniste.

Les principes actifs sont :


• Dix composants à visée antioxydante.
• Sept composants à orientation sanguine.
• Sept composants à potentiel anti-inflammatoire regroupés en
flavonoïdes (anti-inflammatoires, antioxydants, chélateurs des
métaux).
• Tannins (anti-inflammatoires locaux, antioxydants).

Précisément, il contient :
• Canneberge
• Cardamome noire
• Cardamome
• Citron
• Galanga
• Ginkgo
• Giroflier
• Goji
• Grenade
• Lichen d’Islande
• Marron d’Inde
• Plantain lancéolé
• Potentille
• Prune 30
• Réglisse
• Renouée des oiseaux
• Santal 30
• Vigne rouge
Nota Des personnes qui font de l’hypertension m’ont
souvent fait remarquer que la présence de réglisse n’était
pas recommandée dans ce cas – ma réponse est que la
quantité en jeu est minime et qu’il faudrait la multiplier au
moins par dix pour commencer à avoir un effet sur la
tension.

ACTIONS DU TIBÉTANE
• Protège la paroi des artères (y compris les artères coronaires).
• Améliore la fonction cardiovasculaire générale.
• Restaure les vaisseaux sanguins.
• Lutte contre l’agrégation en améliorant la fibrinolyse.
• Améliore la circulation générale.
• Protège les lipides sanguins de l’oxydation, un facteur important
pour maintenir la santé cardiovasculaire à long terme.
• Immuno-modulant.
• Anti-inflammatoire : toutes les pathologies où l’inflammation
chronique joue un rôle important. Dans une étude sur cent sujets,
44 % des patients atteints de scléroses multiples ont vu leur
condition générale nettement améliorée par la prise de Tibétane.

INDICATIONS SPÉCIFIQUES
Tibétane est utilisé principalement en cas de troubles circulatoires
périphériques se manifestant par :
• Angine de poitrine (coronaires réduites)
• Artériosclérose
• Artérite des jambes
• Athéromes en tous genres
• Crampes aux mollets
• Engourdissement des mains
et des pieds
• Fourmillements, picotements des membres
• Jambes lourdes
• Suite d’AVC
• Suite d’infarctus du myocarde
• Toutes pathologies inflammatoires.

CONSEILS D’UTILISATION
Traitement d’attaque : 2 gélules, 3 fois par jour.
Prévention – consolidation – entretien : lorsqu’une amélioration
suffisante aura été obtenue, on pourra réduire la dose à un ou deux
comprimés par jour.

Nota sur les gélules : Les gélules font l’objet d’un véritable
dilemme : gélules classiques (origine peau de porc) ou
gélules végétales (traitements chimiques polluants). À mon
sens, les gélules végétales sont dangereuses alors que les
gélules animales posent simplement un problème éthique,
surtout aux végétariens (et aux musulmans… ceux qui le
savent !). La solution est simple : ouvrir les gélules et les
vider dans un peu d’eau, ou une cuillère de miel.

MON TÉMOIGNAGE PERSONNEL


« En 2011, il m’a été effectué en clinique un examen de contrôle
des carotides ; la gauche était chargée d’un athérome moyen au
sujet duquel on m’a prescrit du Tahor à vie (dangereuse statine
que je n’ai bien sûr pas prise, vu sa sinistre réputation). C’était
l’occasion rêvée pour essayer le Tibétane. En fait, je n’ai jamais
réussi à en prendre six par jour par “manque d’assiduité”. Je m’en
suis donc tenu à quatre (2 × 2) par jour, et cela pendant
trois mois ; après quoi je suis retourné à la clinique pour une
nouvelle échographie : l’athérome était complètement disparu –
seule subsistait une fine trace que, paraît-il, je garderais à vie.
Ce qui est cocasse, c’est que le médecin a mis ce brillant résultat
sur le compte du Tahor (statine), et je l’ai laissé dans sa religiosité
médicale, vu qu’il n’avait pas l’air très perméable aux médecines
non politiquement correctes.
Je pense que mon problème était déjà réglé au bout de
deux mois, car j’ai eu un certain nombre d’occasions de proposer
le Tibétane à des personnes victimes d’une thrombose cérébrale
et témoignant aussi d’un athérome carotidien ; il a suffi de
deux mois à chaque fois pour résorber complètement l’athérome.
À noter que l’athérome carotidien n’est que la partie test
facilement contrôlable de l’état vasculaire général. Et l’on peut
donc raisonnablement considérer le résultat extrapolable à
l’ensemble de l’organisme. »

PROBLÈME DE NOUVELLE
RÉGLEMENTATION
Il faut noter que la médecine officielle n’a absolument rien de
sérieux à offrir concernant la sclérose artérielle et l’obstruction
vasculaire si ce n’est une chirurgie invasive et lourde.
Autant dire que le processus d’encrassement est inchangé, d’autant
plus quand les mauvaises habitudes alimentaires ne sont pas
remises en question.
Partant du principe basique qu’un client guéri est un client perdu,
l’on peut aisément comprendre qu’un remède aussi efficace que le
Tibétane ne soit pas le bienvenu dans le monde de Big Pharma.
Vu que l’interdiction autoritaire d’un produit efficace risque d’être
très mal vécue par les consommateurs, la méthode perverse
consiste à pondre une nouvelle réglementation prétendument
sécuritaire, obligeant à supprimer un ou des composants
indispensables.
Dans le cas du Tibétane, plusieurs ont dû être remplacés pour être
en conformité légale. J’ai personnellement travaillé sur cette
adaptation forcée. Après un recul de huit ans, les résultats prouvent
que sa qualité et son efficacité n’en ont pas été altérées.

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ZINC + SÉLÉNIUM
Pour booster vos défenses immunitaires

Dans la configuration sanitaire ce n’est pas le moment d’avoir nos


défenses immunitaires en berne – et pourtant tout est fait pour les
détruire : climat de peur – vaccins – masque – faux dépistages –
menaces de confinement ou pire, confinement de fait – compteurs
Linky – Wifi – ondes HAARP – cuisson aux micro-ondes – chemtrails
– nourriture industrielle – rations quotidiennes d’infos stressantes ou
dramatiques, de scandales et d’horreurs – insécurité – médicaments
toxiques – musiques modernes déstructurantes – 5G qui s’installe et
arrive, et je n’ai pas tout dit…
Bref, nous sommes tous des survivants où ceux qui ont la chance
d’être encore en pleine santé physique ou psychique relèvent de
plus en plus du miracle.

LES DÉFENSES IMMUNITAIRES SE


RÉPARTISSENT
SELON QUATRE FILTRES SUCCESSIFS
• La peau et les muqueuses.
• Le système lymphatique (les humeurs du Moyen Âge).
• Le système sanguin (dernière chance).
• Le système hormonal de défenses (glandes surrénales).

De même que les troupes militaires, nos petits soldats doivent être
éduqués et entraînés mais par les voies naturelles au niveau des
filtres cités ci-dessus, et non par des agressions brutales
directement au niveau du sang (3e barrière) avec des soupes
vaccinales dangereuses aux effets trop souvent invalidants.
Une médecine non violente et respectueuse de la grande
intelligence de la nature doit s’appliquer à l’aider et non à la mettre
hors jeu, au prix de gros dégâts de l’équilibre biotique pour prendre
les commandes seulement artificiellement.
Il y a de multiples voies d’accès pour amener cette aide à titre
préventif et curatif, sachant que certaines sont mieux adaptées pour
des individus ou pour des types d’affections. Cela rend la médecine
complexe, et sa pratique nécessite non seulement une science mais
aussi un art (on dit bien « l’art médical »). Cela revient à dire que
l’analyse (cerveau gauche – raisonnement) est nécessaire mais pas
suffisante (cerveau droit – intuition).
Un praticien qui ne fonctionne que sur le cerveau gauche marche en
fait à cloche-pied, et a donc beaucoup de chances de se tromper
(surtout en homéopathie). Et c’est là qu’un outil permettant un
dialogue avec le cerveau droit s’avère précieux : il existe, c’est la
kinésiologie sous ses différentes formes.

COMPOSITION DU ZINC + SÉLÉNIUM


Ce mélange naturel associe du zinc, du sélénium, et du lithothamne
– sa composition chimique est la suivante :
• Bisglycinate de zinc apportant 15 mg de zinc élément.
• L-sélénométhionine apportant 150 µg de sélénium.
• Lithothamne apportant 62,4 mg de calcium biocompatible.

Le lithothamne
Le lithothamne est une petite algue rouge très riche en minéraux et
en oligo-éléments, qui vit dans les zones marines très calcaires. Il a
des propriétés équivalentes à celles du carbonate de calcium (30 %
de sa composition) et du carbonate de magnésium (10 % de sa
composition). Il contient aussi du silicium (9 %), du fer, du
potassium, du manganèse, du zinc, du cuivre, de l’iode…
Il a donc des propriétés reminéralisantes très puissantes, mais
surtout, c’est un grand stimulant de l’immunité. En outre, il
combat la fatigue, il permet de lutter contre les états dépressifs et
la dépression, et il stimule la vitalité. Il neutralise aussi l’agressivité
des acides et protège le système digestif. Bref, il préserve un bon
métabolisme, assure l’équilibre acido-basique de l’organisme et
crée le terrain idéal pour lutter contre les attaques virales.

Le zinc
Le zinc est un oligo-élément indispensable qui se trouve à l’état de
traces dans les cellules de l’organisme, surtout celles des muscles
et des os, mais aussi celles des glandes surrénales, de la peau, de
certaines parties du cerveau, du pancréas, des membranes de l’œil,
de la prostate et du sperme. Or l’assimilation de zinc alimentaire
diminue avec l’âge et une déficience rend les personnes plus
sensibles, entre autres, aux infections.
Le zinc intervient dans :
• La croissance.
• L’immunité.
• Les fonctions neurologiques et reproductives.
• La synthèse de l’ADN, de l’ARN et des protéines.
• L’équilibre de l’humeur.
• La stimulation de l’apprentissage.
• La vision, le goût, l’odorat.
• L’hormone thyroïdienne TSH.
• Le métabolisme de l’insuline.
• L’activité des globules blancs.

Le sélénium
Comme le zinc, c’est un oligo-élément présent à l’état de trace dans
le corps humain.
Les meilleures sources de sélénium sont les plantes et les animaux
originaires des régions dont les sols en contiennent le plus.
Les carences apparaissent chez les personnes dont l’alimentation
n’est pas assez diversifiée, chez les personnes âgées, celles qui
souffrent de malabsorption intestinale (maladie cœliaque, maladie
de Crohn…), certains végétariens, les fumeurs, les alcooliques, les
sportifs et les personnes qui vivent dans des régions dont les sols
sont pauvres en sélénium.
C’est un excellent antioxydant :
• Qui lutte efficacement contre les radicaux libres.
• Qui protège les membranes des cellules de leurs attaques.
• Qui protège la peau.
• Qui assure la qualité de la vision.

INDICATIONS DU ZINC + SÉLÉNIUM


• Acidose
• Apprentissage laborieux
• Déminéralisation
• Équilibre acido-basique
• Humeur instable
• Immunodéficience
• Infections
• Inflammations
• Maladies virales
• Vieillissement prématuré
• Vision (baisse)

POSOLOGIE
2 gélules par jour.
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ALOE VERA
Un incontournable dans la pharmacie familiale

HISTORIQUE
Depuis plus de cinq mille ans, et dans des endroits du monde très
éloignés les uns des autres, l’homme a toujours utilisé l’aloès
pour soigner nombre de ses maux.
Une telle ancienneté et universalité de réputation pour cette plante
dans l’histoire de la thérapeutique ne pouvaient pas, évidemment,
être sans fondement. C’est le grand mérite de la recherche
phytothérapeutique de ces dernières décennies : avoir montré que
les nombreuses vertus et indications attribuées empiriquement
depuis toujours à l’aloès étaient parfaitement justifiées, compte tenu
de sa composition et de ses propriétés pharmacologiques qui sont
dorénavant scientifiquement connues et reconnues par notre
médecine occidentale contemporaine.
Les anciens Chinois la considéraient comme la plante spécifique du
traitement des brûlures et des affections de la peau. Ils l’appelaient
« remède d’harmonie ».
Dans l’Égypte ancienne, l’aloès fut la plante dont le « sang »
donnait la beauté, la santé et l’éternité. On dit que les yeux de
Cléopâtre devaient beaucoup de leur légendaire éclat à un collyre à
base d’aloès, et que le secret de la beauté de la peau de Néfertiti
résidait dans ses bains quotidiens de lait d’ânesse et de pulpe
d’aloès.
Superplante guérisseuse de toutes les traditions, l’aloe vera fut
utilisé par Hippocrate, Aristote, Pline l’Ancien et bien d’autres,
pour soigner les blessures, soulager les tumeurs, traiter les
furoncles, les maux d’estomac, ou encore contre la chute des
cheveux.
Christophe Colomb faisait amener l’aloès sur la Santa Maria pour
guérir et préserver les marins des maladies, plus spécialement du
scorbut et des suites de la malnutrition (on l’appelait « docteur en
pot »).
Quelques précisions
L’aloès, communément appelé « lys du désert », pousse
naturellement dans toutes les régions chaudes du globe. Environ
quinze espèces d’aloès possèdent des propriétés médicinales.

Nota Au Brésil, les propriétés sont entourées de haies


serrées d’aloe vera géants de 1,50 m à 1,70 m de hauteur.
Ils sont taillés et découpés en petits morceaux en tant que
fourrage dont le bétail bovin se régale. Je suppose même
que les éleveurs maintiennent ainsi leurs troupeaux en
santé maximum avec ce superaliment.

En revanche :
• L’Aloe succotrina, l’aloe curaçao, l’Aloe capensis et l’Aloe ferox,
servent pour la fabrication des extraits à base de latex.
Le gel d’aloe vera, composé d’un mucilage clair se trouvant au
cœur des grosses feuilles, a des propriétés fortement
émollientes et constitue une substance largement utilisée en
cosmétologie et en dermatologie. On peut également prendre le
gel par voie interne, sous forme de gélules ou de jus (boisson
comprenant au moins 50 % de gel).

INDICATIONS DE L’ALOE VERA


Utilisation par voie locale externe
(c’est son mode d’action le plus connu)
• Ampoules, érythèmes
• Arthrite
• Brûlures à tous les degrés, 1, 2 et 3
• Brûlures et cartonnage suite irradiation
• Cellulite
• Cicatrisations lentes et difficiles
• Coups de soleil
• Dermatoses
• Écorchures, coupures
• Engelures, gerçures, crevasses
• Entorse, foulure
• Érythème fessier du nourrisson
• Escarres
• Extractions dentaires (suites)
• Fibromyalgie
• Gingivites, glossites et stomatites
• Herpès buccal et génital
• Infection plaies
• Inflammations ou traumatismes articulaires
• Irritations cutanées
• Lupus érythémateux
• Piqûres d’insectes, d’orties, de méduses
• Plaies chirurgicales
• Psoriasis
• Radiothérapie (brûlures cartonnage tissus)
• Rhumatismes
• Teigne
• Tendinite
• Ulcérations cutanées et buccales
• Ulcères variqueux

Utilisation par voie interne


• Acidité gastrique
• Aphtes
• Arthrose
• Asthme
• Ballonnements et flatulences
• Carences en éléments vitaux
• Cellulite
• Cheveux (pellicules)
• Cholestérolémie triglycérides et phospholipides
• Circulation lymphatique
• Circulation sanguine (stases)
• Constipation fonctionnelle
• Convalescence
• Déshydratation organique
• Diabète 2 (équilibre la glycémie)
• Digestion difficile
• Douleurs intestinales
• Estomac (brûlures, acidité)
• Fatigue physique et/ou intellectuelle
• Fibromyalgie
• Haleine mauvaise d’origine digestive, colite ;
• Hémorroïdes
• Hépatique et biliaire (paresse)
• Herpès labial et génital
• Infections
• Inflammations
• Maladies auto-immunes
• Maladies de vieillesse
• Maladies virales et bactériennes
• Mémoire défaillante
• Mycoses, surtout vaginales
• Régénérescence tissulaire
• Rénale (insuffisance)
• Sénescence
• Stress entretenu
• Surmenage
• Ulcère gastrique
• Vitalité (baisse)

POSOLOGIE
Par voie orale : suivre les indications du flacon.
On peut doubler cette posologie dans les situations difficiles.
L’utilisation de l’aloe vera peut être ponctuelle dans les troubles
digestifs ou stomatologiques.
En local : utiliser une compresse afin de laisser le gel en place sur la
zone à traiter. Renouveler l’application deux à trois fois par jour dans
les cas chroniques, et toutes les heures si nécessaire, dans les cas
aigus comme les brûlures.

UNE PHARMACIE DANS VOTRE JARDIN


Je ne saurais trop recommander à tous ceux qui vivent dans des
zones tempérées à tendance chaude de planter dans leur pelouse,
s’ils en ont une, un ou des pieds d’aloe vera que vous placerez à un
endroit bien ensoleillé.
Il est aussi possible de la mettre en pot en appartement, toujours
dans un coin le plus ensoleillé possible – de plus, c’est très
décoratif !

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23

BAINS HYPERTHERMIQUES
Guérir avec simplement de l’eau chaude

Une majorité de personnes pensent que les moyens les plus sûrs
pour lutter contre les maladies sont les médicaments que nous
avalons. Pourtant, il existe depuis la nuit des temps des moyens
efficaces très simples et peu coûteux qui ne passent pas par le tube
digestif.
Dans son ouvrage Les Mille Chemins de la guérison, le Dr Salmanoff
a écrit :
« L’hydrothérapie qui devrait être appliquée systématiquement
n’existe nulle part, bien que la plupart des maladies infectieuses
et tous les troubles de dégénérescence chronique soient
améliorés et guéris, sans exception, par l’hydrothérapie. »
La simple et modeste hydrothérapie hyperthermique, en évitant les
piqûres intraveineuses, en rejetant l’artériographie et de multiples
investigations mutilantes – les biopsies des organes,
l’encéphalogramme gazeux – améliore toujours, guérit
souvent directement de nombreuses maladies.
L’important travail du foie
Le volume du sang est de cinq litres, de la lymphe, deux litres.
Chaque systole cardiaque d’un cœur normal jette dans le courant
sanguin 80-100 cm3. Par minute, le volume du sang circulant serait
de sept litres, soit de quatre cent vingt litres par heure. Le foie reçoit
chaque heure cent litres de sang et quarante litres de lymphe.
Quand vous mettez une bouillotte sur la région du foie pendant une
heure, vous réchauffez cent litres de sang et quarante litres de
lymphe. C’est une stimulation énorme pour le courant sanguin et
lymphatique dans tout le réseau de la veine porte et une facilitation
des excursions du diaphragme.
L’important travail des reins
Les reins reçoivent pendant vingt-quatre heures deux cents litres de
sang et quatre-vingts litres de lymphe, qui parcourent les glomérules
des reins. Les deux cents litres de sang et les quatre-vingts litres de
lymphe sont réabsorbés par les tubes contournés des reins, et le
filtrat sanguino-lymphatique à travers les tubes contournés ne
dépasse pas chez un homme normal 1,5 litre d’urine.
Quand vous êtes fatigué après un travail physique ou intellectuel,
quand vos pieds sont froids, mettez une bouillotte aux pieds et
l’autre sur le foie. Vous serez défatigué après une demi-heure.
Quand vous prenez un bain de foin, un bain aux feuilles de noyer, un
bain d’alun-bicarbonate, vous provoquez non seulement un
réchauffement des capillaires de la peau, vous stimulez aussi
soixante-dix hormones fabriquées par le derme et vous vivifiez
deux millions de glandes sudoripares et deux cent
cinquante mille glandes sébacées.

Nota N’oubliez pas que la peau, avec sa surface de 2,6 m²,


doit être considérée comme un prolongement du cerveau.

LES TRAVAUX DU PR WALINSKY


Le frisson paludéen, dans les cas de traitement de la paralysie
générale, provoqué par inoculation de plasmodies, s’accompagne de
contractions musculaires massives, avec un bilan énergétique
négatif et l’irruption de la myoglobine dans le sang. La mortalité
parmi les malades atteints de paralysie générale et impaludés est de
35 %. Les Drs Lampert et Walinsky, qui ont traité la paralysie
générale par les bains hyperthermiques, n’ont perdu aucun de leurs
malades.
• Une température de 42°, au cours d’une maladie infectieuse,
est un arrêt de mort.
• Une température de 42°, après un bain hyperthermique, ne
présente aucun danger.

Quand on aborde le problème de l’application des bains


hyperthermiques, il est impossible de ne pas mentionner les travaux
du Pr Walinsky (mort en 1946), qui fut le pionnier de cette méthode
thérapeutique. Il commença à étudier cette méthode en 1925 à la
clinique médicale de la faculté de Berlin, sous la direction de
Pr Goldscheider. Il expliqua dans sa thèse d’agrégation comment
l’organisme réagit contre l’invasion par les substrats morbides, en
activant ses forces de défense par la fièvre.
En produisant de la chaleur en excès pendant la fièvre
infectieuse, l’organisme dépense ses forces de réserve. Les
bains hyperthermiques apportent une chaleur exogène
complémentaire – de la fièvre stérile sans dépense de la part de
l’organisme.
L’apport de la chaleur par les bains hyperthermiques est facilement
réglable, et les doses peuvent être modifiées selon la fragilité du
malade.
En 1928, le Pr Walinsky fut nommé chef de service à l’hôpital Saint-
Joseph à Berlin-Tempelhof. Dans sa première période, qui va de
1928 à 1937, on administra dans son service treize mille bains
hyperthermiques. Avant tout, on soigna avec eux des cas de
syphilis nerveuse (paralysie générale, Tabes dorsalis), toujours
après constatation de la réaction B. W. positive dans le liquide
céphalo-rachidien. On arrivait à élever la température chez les
malades, au premier bain à 39,5° et au deuxième bain à 41,5°. Le
nombre de bains pour chaque malade variait de huit à vingt-
quatre. On donnait des bains tous les deux jours.
Des résultats plus que remarquables furent observés dans les crises
gastriques chez les tabétiques (relatif au Tabes) et dans
l’impuissance sexuelle. On n’enregistra ni accident ni mort
(contrairement à ce qui est observé quelquefois après impaludation
chez les paralytiques généraux).

SUEUR ET TRANSPIRATION
Les glandes sudoripares présentent une partie du mécanisme qui
régit l’équilibre métabolique. La transpiration est une régulation non
spécifique, comme la fièvre et l’inflammation. La transpiration est un
symptôme clinique de grande importance. Son rôle est d’éliminer
les substances qui s’accumulent dans les vaisseaux et dans les
liquides extracellulaires en quantité excessive (après un travail
musculaire, après un grand apport de chaleur, après une intoxication
ou après une émotion).
Les malades avec un métabolisme troublé éliminent en une heure,
après un bain hyperthermique, plus de substances acides que les
reins pendant vingt-quatre heures. La sueur post-opératoire est
remarquablement acide (pH3 à pH6). La sueur d’une personne saine
a un pH de 6 à 7. La sueur et la fièvre sont les deux moyens de
défense de l’organisme. Par la fièvre, les métabolites excessifs sont
brûlés. Par la sueur, ils sont éliminés. Les graves troubles
respiratoires (pneumothorax, pneumonie, agonie) sont accompagnés
de transpiration alcaline.
Le degré d’acidité de la sueur pendant les crises morbides est
un signe de premier ordre pour le pronostic. Si la sueur est
acide, le pronostic est favorable. Si la sueur est alcaline, le
pronostic est très grave.
La sueur alcaline collante de l’agonie indique un déséquilibre acido-
basique très dangereux, la désagrégation des cellules. Quand la
peau, les poumons, les reins ne peuvent plus régler l’équilibre acido-
basique, la transpiration reste la dernière possibilité d’élimination
des substances nocives. La dérivation continuelle vers la peau
présente une grande diminution du travail pour les organes de la
circulation (capillaires, artères, cœur). La peau malade est toujours
pleine des débris des métabolites : elle accumule et garde le
chlorure de sodium (sel de cuisine), l’acide urique, des molécules
protidiques pour soulager les organes intérieurs. Il faut nettoyer
l’homme en totalité (remarquez que les dermatologues soignent
seulement l’enveloppe cutanée…).

INDICATIONS DES BAINS


HYPERTHERMIQUES
• Angoisse
• Ankylose post-traumatique
• Annexites
• Anthrax (sans incision)
• Artérite
• Atrophie musculaire
• Cancer du poumon (début)
• Cancer du sein
• Dépression
• Eczéma rebelle
• Enfants retardés
• Épilepsie
• Érésipèle
• Furonculose rebelle
• Glaucome
• Hémiplégie (séquelles)
• Hydrocéphalie
• Hypertension
• Infarctus du myocarde (séquelles)
• Maladie de Basedow
• Maladie de Paget
• Mongolisme
• Œdème cérébral
• Ostéomalacie
• Pemphigus
• Phlegmon
• Rachitisme
• Rétinite (au commencement des troubles) ;
• Rhumatisme déformant
• Salpingite
• Séquelles d’hématomes et œdème cérébral
• Spondylose rhizomélique
Liste non exhaustive…

PRÉCISIONS
La température des bains doit partir de 35/36° et être élevée
progressivement en veillant à ce qu’il n’y ait pas de malaise ou de
grosse accélération cardiaque. Le temps de vingt minutes doit se
compter à partir de la température atteinte (39, 40°).
À la sortie du bain il est très bénéfique de se coucher dans un
enveloppement pendant trente, quarante-cinq ou soixante minutes,
pour suer, d’autant plus si l’on est un peu obèse.
24

NACRE D’HUÎTRE
Réfection des os, tendons, et cartilages

Pour rappel, la nacre est le joli revêtement intérieur du coquillage de


certains mollusques qui en outre la fabriquent tout au long de leur
vie pour en renforcer leurs parois. Les dames savent que les perles
sont élaborées par des huîtres dites perlières dans lesquelles on a
introduit un petit corps étranger pendant leur ouverture et qu’elles
vont s’appliquer à neutraliser en l’enrobant dans de la nacre en
multicouches. En fait, depuis toujours, de nombreuses civilisations
antiques tels les Mayas, les Chinois, les Aztèques ou les Égyptiens
ont été fascinées par la beauté lumineuse de ce matériau noble due
à la liaison de cristaux d’aragonite avec une protéine
appelée conchyoline, et dont ils faisaient non seulement des bijoux
mais aussi des produits cosmétiques pour les soins du corps.

LES DÉCOUVERTES ACTUELLES


Deux chercheurs français, les Drs Serge et Georges Camprasse,
ont mis en évidence les implications de la nacre sur l’os. Aussi, ils
ont présenté en 1994, devant l’Académie des sciences de New York,
une étude démontrant l’implication de la nacre dans la création des
tissus osseux, grâce à la présence de glycosaminoglycanes et de
glycoprotéines.
Par ailleurs, les observations cliniques des CHU Béclère et Côte de
Nacre de Caen ont mis en évidence les effets bénéfiques de la nacre
dans la cicatrisation, la protection et la régénération de tous les
types de tissus, qu’ils soient durs comme l’os ou cartilagineux
ou mous comme les muscles, les muqueuses, les tendons et le
derme.
Mais il y a un autre chercheur, le Dr Richard Haas, auteur de
plusieurs ouvrages sur l’eau dite potable, qui, lui-même atteint d’une
sévère arthrose de l’épaule, a cherché un moyen naturel pour se
soigner. Or il a découvert, en Allemagne, une méthode totalement
inédite, celle du Pr Lothar Wendt. Celui-ci a observé que
l’arthrose est due à un colmatage du réseau capillaire
alimentant l’articulation, privant de l’apport de nutriments et
d’oxygène le liquide synovial et le cartilage, et empêchant
l’élimination des déchets métaboliques – l’articulation n’est donc
pas usée mais en décomposition par asphyxie.
Il prône que la meilleure façon d’inverser ce processus morbide est
de déboucher les capillaires locaux autour du site atteint. Mais
comment faire ? Et là, à part une révision des habitudes alimentaires
que recommande le Pr Wendt, je reviens comme par hasard à la
technique la plus directe que je promotionne depuis des années, la
méthode unique de René Quinton : « l’hydrotomie percutanée
au Quinton isotonique » – voir tous les détails utiles sur mon site
www.micheldogna.fr.
L’arthrose est guérissable dans la plupart des cas, la relance du
réseau capillaire périarticulaire permettant le libre accès au
travail de la nacre.
Le Dr Richard Haas signale qu’une association d’anciens
malades fait connaître la méthode du Pr Wendt ayant déjà aidé
environ vingt mille arthrosiques.

COMPOSITION DE LA NACRE
SÉLECTIONNÉE
La nacre utilisée à visée thérapeutique est extraite d’une huître
géante, la Pinctada maxima, qui vit dans l’océan Pacifique. Cette
nacre est destinée à une micronisation en poudre très fine. Ce qui la
caractérise est que le calcium qu’elle contient, dit « naissant », est
directement biodisponible sans avoir besoin de vitamine D pour être
intégré dans la trame osseuse.
Cette nacre contient aussi des glycosaminoglycanes, des
protéoglycanes et surtout des glycoprotéines tels que la décorine,
qui stimulent l’activité des ostéoblastes et inhibent celle des
ostéoclastes.
La nacre contient :
• 17 acides aminés, dont 7 essentiels.
• 13 minéraux et oligo-éléments.
• 38,8 % de calcium sous forme d’aragonite marine.
• Des caroténoïdes, précurseurs de la vitamine A.
• Pratiquement toutes les protéines.
• Des protéines ayant une action sur la maturation des lymphocytes.
• Des collagènes qui constituent 90 % de la trame de l’os.
• Des glycosaminoglycanes, macromolécules à la base des
composants formant les tissus conjonctifs qui attachent et
soutiennent les structures anatomiques.

Nota Le pH de ce remède pour l’arthrose est le seul à être


légèrement alcalin, donc dans le sens de la santé parfaite.
Par ailleurs, la nacre est appréciée des sportifs de haut
niveau car elle aide à développer du muscle sec, de la force
et de la résistance, et elle protège leurs articulations.

INDICATIONS
• Algo-neuro-dystrophie
• Arthrite et polyarthrite
• Arthrose
• Cartilages dégénérés
• Déminéralisation osseuse
• Fractures et fêlures osseuses
• Muqueuses abîmées
• Ostéoporose
• Peau accidentée
• Récupération chirurgicale
• Tendinite
• Tendons ostéoarticulaires endommagés
• Vieillissement cutané

CONTRE-INDICATIONS
Insuffisance rénale – calculs rénaux – valve cardiaque métallique
– stents.

COMPOSITION PAR GÉLULE


• Poudre de nacre 800 mg
• Hypromellose 95 mg

PROCESS DE FABRICATION
Cette nacre est élevée dans des sites qui sont exempts de toute
pollution pour obéir aux critères de pureté et de qualité les plus
élevés. De plus, différents paramètres sont respectés tout au long
de la vie de l’huître pour optimiser la composition de sa coquille :
une certaine température, une certaine profondeur, et enfin un type
de broyage particulier pour ne pas détruire ses principes actifs.
POSOLOGIE
1 gélule le matin. Boîtes de trente gélules.
Les bienfaits sont perceptibles à partir de trois semaines, ou plus
pour certaines personnes très atteintes.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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25

SIBERIA GINSENG
Tonique naturel no 1

Le ginseng sauvage de Sibérie (Eleutherococcus senticosus), qui


s’est montré capable de s’adapter aux conditions climatiques
extrêmes de cette immense région de la planète, doit sa résistance
exceptionnelle à ses racines qui produisent une molécule active que
l’on a baptisée éleuthéroside. Cela fait que le ginseng sauvage de
Sibérie remporte le palmarès de la plante adaptogène la plus
puissante connue dans le monde.
Ses extraordinaires effets sur l’homme ont été découverts par les
Russes au XIXe siècle et ont été largement utilisés en Union
soviétique pour les cosmonautes, les troupes militaires d’élite et les
athlètes de haut niveau afin d’augmenter leurs performances et leur
résistance à la fatigue. Ce n’est que dans les années 1950 que les
scientifiques soviétiques ont mené des recherches approfondies
pour identifier toutes les propriétés de la racine de cet épineux des
pays froids qui depuis est toujours très utilisée aujourd’hui en
Russie.
En Occident, et particulièrement en France, nous nous contentons
depuis des années d’un ginseng cultivé, de loin beaucoup moins
efficace en dépit de la publicité tapageuse que l’on en fait.

INDICATIONS DE SIBERIA GINSENG


Les nombreuses études effectuées ont pu montrer que les
éleuthérosides de la racine du ginseng sauvage sibérien
transmettent à l’humain qui les consomme les mêmes capacités
adaptatives à des conditions extrêmes que la plante elle-même. En
particulier, on note leur action immédiate dans les problèmes
suivants :
• Appétit (insuffisant)
• Asthénie
• Chocs climatiques
• Concentration (difficulté)
• Convalescence
• Dépression
• Douleurs articulaires
• Efforts physiques violents
• Énergie (perte)
• Fatigue chronique
• Glandes surrénales et séminales
(en hypo)
• Hypotension
• Immunité déficiente
• Inflammations
• Intellect (baisse de capacité)
• Intoxication au cuivre
et au cadmium
• Libido (baisse)
• Maladies virales
• Mémoire défaillante
• Performances sportives insuffisantes
• Récupération après l’effort (lente)
• Règles irrégulières
• Stress
• Surmenage physique et intellectuel
• Système nerveux central (inhibé)

Ajoutons que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la


Commission européenne reconnaissent l’éleuthérocoque « comme
un tonique qui peut soutenir et stimuler l’organisme en cas de
fatigue et de faiblesse ».

Contre-indications En raison de son influence hypertonique


et sur le regain énergétique qu’elle apporte, la plante est
déconseillée en cas de pathologies cardiovasculaires. Elle
est également déconseillée aux femmes enceintes et aux
enfants de moins de 12 ans.

LA FORMULE SPÉCIALE
DU LABORATOIRE PHYTONIKA
Il existait déjà en France des préparations à base de ginseng de
Sibérie (éleuthérocoque) mais elles n’étaient pas satisfaisantes au
niveau de la concentration ou de la qualité. En effet, la poudre
disponible sur le marché français vient de Chine et se trouve déjà
toute préparée, sans aucune garantie sur la qualité des procédés
utilisés.

Exigences de qualité
Le laboratoire Phytonika fabrique lui-même un extrait à partir de
racines entières fraîches provenant directement de Russie où
l’arbuste pousse à l’état sauvage. Sur ses racines, grâce à son
savoir-faire, Phytonika utilise son fameux procédé d’extraction par
pression à froid (déjà connu concernant la silice de prêle), celui-ci
permettant d’extraire les principes actifs de la plante sans dénaturer
le produit. De plus, au niveau des additifs, fidèle à sa philosophie
holistique consistant à privilégier l’harmonie naturelle, Phytonika
n’ajoute aucun conservateur toxique.

Concentration en plantes
L’autre particularité de Phytonika est de toujours proposer des
produits de très forte concentration en plantes. C’est le cas avec le
ginseng sauvage, qui est un concentré à 250 g/litre d’extrait de
racines, proposant 10 g d’extrait par jour (la plus grande
concentration actuelle sur le marché). Les autres produits du marché
ne proposent généralement que des concentrations entre trois et
vingt fois inférieures.
Cependant, le prix reste très raisonnable (20 € le flacon de 500 ml,
ou 40 € le litre), cela étant possible car le laboratoire assure une
vente directe.

POSOLOGIE
1 bouchon de 20 ml matin et soir.
Ne prendre que 1 demi-bouchon (10 ml) le matin et le soir les deux
premiers jours afin de permettre à l’organisme de s’habituer à ce
coup de fouet inhabituel.
Durée des prises : elle est variable selon l’usage, s’il est ponctuel ou
curatif d’un terrain affaibli, même si les résultats sont rapides, il faut
ensuite consolider. Un flacon de 500 ml est théoriquement prévu
pour 6 semaines. Donc, c’est à chacun de voir.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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26

L-GASSERI + BROMÉLAÏNE GAMMA


Pour poids excessif

Je n’aime pas beaucoup m’occuper des problèmes de surpoids et


d’obésité pour la simple raison que c’est le « sujet bateau » de la
plupart des magazines santé des kiosques. Depuis des décennies
on voit défiler des dizaines – pour ne pas dire des centaines – de
panacées toutes plus performantes les unes que les autres, le plus
souvent issues de laboratoires étrangers prestigieux et présentées
par de vrais ou faux médecins en blouse blanche (pour gagner la
confiance) avec des noms à coucher dehors. Les discours
promettent des pertes de poids spectaculaires en un temps record,
souvent en continuant à manger ce qu’on appelle
« normalement »…
D’abord, j’ai toujours déclaré que les pertes de poids rapides sont
dangereuses ; pourquoi ? Si vous observez des légumes – surtout
racines – poussés aux engrais et aux pesticides, ils sont toujours
gros et gorgés d’eau – même chose pour la viande d’élevage
industriel. Tout organisme vivant confronté à des poisons
chimiques a le sage réflexe de les diluer en retenant l’eau, afin
de ne pas atteindre des niveaux circulants trop dangereux, voire
mortels. Par ailleurs, il stocke au maximum ces poisons dans les
endroits tranquilles et neutres que sont les graisses.
Il est clair qu’un relargage trop brutal dans le sang et la lymphe n’est
pas une opération sans risques plus ou moins graves. Je n’en dis
pas plus !
Nota On a pu observer depuis les États-Unis qui nous ont
toujours précédés et ouvert le chemin de la dégénérescence
et de la maladie, l’explosion d’obésité – même chez les
enfants, cela étant en rapport direct avec une alimentation
moderne de la facilité. Cette alimentation majoritairement
industrielle, déséquilibrée, riche en graisses saturées,
pauvre en fibres et en aliments lactofermentés, est de plus
bourrée d’additifs chimiques plus ou moins toxiques, dont
ceux pour exalter l’appétence (business is business !) et de
perturbateurs endocriniens, une alimentation carencée en
vitamines et en sels minéraux qui ne nourrit pas vraiment,
générant des fringales à toute heure – d’où un grignotage
systématique inter-repas – sans compter la catastrophe des
boissons supersucrées devenues une référence mondiale,
Coca en tête !

UNE TROUVAILLE À PART


C’est par hasard que j’ai eu connaissance d’un mélange de deux
produits naturels dont la synergie, qui semble être particulièrement
efficace, m’a convaincu. Il s’agit d’un probiotique de la famille des
Lactobacillus, le L-gasseri, associé à de la bromélaïne gamma. Le
problème réside dans le fait que le L-gasseri qui fait partie de la flore
intestinale est raréfié, car malmené par la « bouffe » industrielle et la
consommation démentielle de sucre raffiné, qui est passée de 1 à
2 kg par an au début du XXe siècle, jusqu’à 30 à 50 kg de nos jours.
Pourquoi cette association avec la bromélaïne gamma est
géniale ? Tout simplement parce que pendant que le L-gasseri
détruit les kilos en excédent, la bromélaïne fait le ménage des
résidus, ce qui évite les encombrements du foie, du sang et de
la lymphe. Mais nous allons voir tout cela en détail…

FAISONS CONNAISSANCE
AVEC LES LACTOBACILLUS
Les Lactobacillus sont des bactéries de la muqueuse buccale,
vaginale et intestinale qui sont précieux pour le maintien de notre
santé et font partie de ce qu’on appelle le microbiote. Ils travaillent à
l’assimilation des nutriments et assurent la défense contre les
bactéries indésirables qui essaient de s’installer dans l’intestin, et
sont générateurs de putréfactions. À noter pour rappel, que
l’ensemble des charmantes petites bêtes du microbiote
compose la première ligne de défense de notre immunité.
En référence à ce que j’ai mentionné plus haut, un ou une obèse est
toujours un organisme intoxiqué. Or différentes études ont montré
que plus une personne est en surpoids, moins les L-gasseri sont
présents dans son microbiote ; et c’est pour cela qu’il est difficile de
sortir de cette dérive puisque les L-gasseri mangeurs de graisse sont
de plus en plus absents, d’où la nécessité de ramener de l’extérieur
des troupes fraîches de ces précieux serviteurs.
En général, les probiotiques sous la forme de compléments
alimentaires n’arrivent pas indemnes dans l’intestin qui est leur
milieu naturel, car sur leur chemin, ils sont attaqués par les sucs
gastriques qui sont très acides. La plupart sont donc détruits et ceux
qui ont survécu sont alors trop peu nombreux pour reformer une
colonie efficace. C’est pourquoi il fallait trouver un moyen pour
contourner ce problème. La solution a été trouvée avec une formule
baptisée L-gasseri.

QU’EST-CE QUE LE L-GASSERI ?


L-gasseri est majoritairement une souche de L-gasseri d’origine
humaine, donc très bien tolérée et qui est certifiée QPS (Qualified
Presumption of Safety). Cette souche résiste parfaitement à l’acidité
des enzymes de la salive et de l’estomac, elle est également
tolérante aux sels biliaires et à l’oxygène ; enfin elle survit très bien
aux conditions de la fabrication du produit, de son transport et de
son stockage. Ce complément alimentaire est conditionné en
poudre qui apporte de par son contenu une protection
supplémentaire à l’acidité stomacale.
L-gasseri contient des ferments lactiques de Lactobacillus
gasseri dosés à dix milliards d’UFC (unité formant colonie) par
dosette. Il contient également de la vitamine D3 qui contribue au
bon fonctionnement du système immunitaire.
Il répond aux normes de qualité et de tolérance alimentaire les plus
exigeantes : c’est un produit sans lactose, sans gluten, sans
fructose, sans caséine, sans colorant, sans OGM, sans
nanoparticules et sans arôme artificiel.

QU’EST-CE QUE LA
BROMÉLAÏNE GAMMA ?
La bromélaïne aussi appelée bromélase est tirée de la tige d’ananas.
Elle a acquis la réputation de dissoudre les formations kystiques et
les tumeurs, qu’elles soient cancéreuses ou pas, surtout en
association à de la vitamine C.
Pourquoi gamma ? C’est une appellation qui lui a été donnée pour la
différencier de la bromélaïne enrobée dans une gélule gastro-
résistante, suite à deux informations techniques importantes :
• L’une disant que la bromélaïne purifiée n’est guère attaquée par les
sucs gastriques – l’autre faisant valoir une certaine toxicité du
vernis de protection des gélules gastro- résistantes.
• La formule « gamma » se différencie de plus par la grande qualité
de la bromélase utilisée, ce qui lui confère la plus haute activité
enzymatique.

FONCTIONS EN BREF DE L-GASSERI


ET DE LA BROMÉLAÏNE L-GASSERI
• Dissout les graisses excessives.
• Élimine le lactose.
• Fait fondre le tour de taille
(dit « le pneu » chez les hommes).
• Chasse la rétention d’eau cellulaire (action diurétique).
• Réduit la résistance à l’insuline.
• Soulage les ballonnements.
• Résout les constipations tenaces.
• Compense les digestions capricieuses.

Nota On s’est aperçu à l’usage que le L-gasseri se conserve


mal à température ambiante – il se transforme en une
masse solide. Donc, il est indispensable de le conserver au
réfrigérateur ou congélateur.

BROMÉLAÏNE GAMMA
• Hydrolyse les protéines résiduelles.
• Favorise la circulation des liquides organiques.
• Dissout les formations kystiques et les tumeurs.

INDICATIONS DE L-GASSERI
+ BROMÉLAÏNE GAMMA
• Ballonnements
• Constipation tenace
• Digestion capricieuse
• Embonpoint
• Graisses excessives
• Kystes
• Obésité
• Rétention d’eau
• Stases circulatoires
• Tumeurs

POSOLOGIES
• L-gasseri : une dosette à jeun au lever ou au coucher, avec un verre
d’eau à température ambiante.
• Bromélaïne gamma : quatre gélules par jour en deux prises, une
heure avant ou deux heures après un repas. Les deux produits
peuvent aussi se prendre au même moment.

Nota La diversité bactérienne des personnes prenant ce


Lactobacillus gasseri, à raison de dix milliards d’UFC, est
fortement améliorée.
• Chaque boîte de L-gasseri contient 15 g pour un mois de
traitement.
• Chaque boîte de bromélaïne gamma contient 120 gélules,
également pour un mois de traitement.

REMARQUE
En cas d’addiction au sucre, chocolat, desserts, etc., il est conseillé
de compléter ce protocole par du TCM (triglycérides à chaînes
moyennes) issu de l’huile de noix de coco. Le cerveau est le plus
gros consommateur d’énergie que l’on retrouve dans les sucreries,
sous l’effet de l’anxiété et du stress et il en redemande toujours
davantage. Le fait d’ingérer les TCM apporte des corps cétoniques,
carburant alternatif qui nourrit le cerveau.
Posologie du TCM
Une cuillère à soupe par jour avec ou en dehors des repas, bouteille
de 500 ml pour un mois.

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HYDRAPHYT
Traite la sécheresse des muqueuses

Le syndrome de Sjögren est aussi appelé « syndrome sec » parce


qu’il se manifeste par une sécheresse des muqueuses, notamment
au niveau de la bouche et des yeux, mais aussi du vagin, du tractus
respiratoire… Il peut être primaire (c’est alors une maladie auto-
immune spécifique) ou secondaire, notamment associé à d’autres
maladies auto-immunes bien identifiées à des infections virales
chroniques (hépatites, sida). Sa forme primaire touche
essentiellement les femmes, plus particulièrement après la
cinquantaine. Elle se manifeste par une sécheresse de toutes les
muqueuses, notamment par anomalie de fonctionnement des
glandes exocrines.

FONCTIONNEMENT
DE LA MEMBRANE CELLULAIRE
Notre organisme est limité par deux types de barrières qui le
séparent du monde extérieur : la peau et les muqueuses. Les deux
sont constituées de cellules qui ont la même origine (cellules
épithéliales), la différence majeure venant de la présence de kératine
dans la peau, qui lui donne un aspect plus rigide et plus résistant.
Elles ont en commun le besoin d’une hydratation suffisante pour
maintenir leur structure et leurs fonctions. Or cette hydratation est
directement liée au bon fonctionnement de la membrane cellulaire
qui est constituée essentiellement de phospholipides dans lesquels
une ossature de phosphore fixe des acides gras.
C’est la qualité de ces acides gras qui conditionne le bon
fonctionnement de la membrane cellulaire, et donc le maintien
de l’hydratation adéquate.

Nota Ceux qui font leur pain eux-mêmes savent que pour
que le pain ne se dessèche pas et se garde au moins une
semaine, il faut ajouter un peu d’huile à la pâte.

LA DÉSHYDRATATION DES
MUQUEUSES
Une muqueuse ne fonctionne bien que si elle est suffisamment
humidifiée. Le liquide nécessaire à cette humidification provient de
glandes exocrines (par exemple les glandes salivaires pour la
muqueuse de la bouche) et se maintient grâce à la qualité propre de
la muqueuse.
Une muqueuse qui se dessèche provoque des sensations
désagréables au niveau de la bouche et de la conjonctive. Elle
compromet la sexualité lorsqu’elle touche le vagin.
Dans tous les cas, elle devient plus fragile et a tendance à s’irriter et
devenir le siège d’inflammations.

L’ARGOUSIER ET SON HUILE


Les traces les plus lointaines de l’usage traditionnel de l’argousier
remontent à la Grèce (il servait notamment à lustrer le poil des
chevaux, d’où le nom latin Hippophae) et au Tibet où il était utilisé
pour diverses affections de la peau, des muqueuses, du système
cardiovasculaire et de la sphère génitale chez la femme.
Ce sont les Soviétiques qui les premiers se sont intéressés de
manière scientifique à cette plante. Les cosmonautes utilisaient les
baies comme aliment et l’huile sous forme de crème pour se
protéger des rayonnements cosmiques.
Son huile est particulièrement riche en acides gras essentiels
oméga-3 et oméga-6, et en substances antioxydantes (vitamine E,
caroténoïdes), mais sa spécificité vient d’une présence abondante
d’acides gras mono-insaturés oméga-7.

L’huile d’argousier est la source végétale la plus riche de toutes


en oméga-7.

Nous savions jusqu’ici que les complémentations en oméga-6 de


haute qualité (bourrache-onagre) améliorent les fonctions de la peau.
Plus récemment, il a été montré que la complémentation en oméga-
7 de qualité (huile d’argousier) rétablit non seulement l’hydratation
de la peau, mais surtout celle des muqueuses.
Au niveau des membranes cellulaires, les acides gras oméga-7 ont
une qualité particulière : ils ont la souplesse d’un acide gras poly-
insaturés (et donc les mêmes propriétés fonctionnelles) sans en
avoir la fragilité vis-à-vis de l’oxydation. En effet, plus un acide gras
est insaturé, plus il est sensible à l’attaque oxydative. Les acides
gras mono-insaturés des oméga-7 sont donc plus résistants à
l’oxydation.
Deux acides majeurs composent l’huile d’argousier :
• L’acide palmitoléique, chef de file de la lignée oméga-7.
• L’acide vaccénique, autre acide gras mono-insaturé de la lignée.

Actions de l’huile d’argousier


• Action antioxydante protectrice des membranes cellulaires et du
foie.
• Augmentation des capacités de régénération de la peau et des
muqueuses.
• Accroissement de l’immunité spécifique et non spécifique.
• Diminution de l’inflammation par un meilleur équilibre des
prostaglandines.
• Protection cardiovasculaire en associant trois types d’action
synergiques : sur l’équilibre lipidique, sur la tension et sur
l’agrégation plaquettaire.

COMPOSITION DE L’HYDRAPHYT
Huile de pulpe d’argousier bio et huile de graines d’argousier bio.

1 000 mg de produit contiennent aussi :


• Acide palmitique (oméga-7)
• Acide palmitoléique (oméga-7)
• Acide stéarique (max.)
• Acide oléique (oméga-9)
• Acide alpha linolénique (oméga-3)
• Tocophérol (vitamine E)
• Caroténoïdes

INDICATIONS DE L’HYDRAPHYT
• Brûlures
• Dermatites, dermatoses
• Faiblesse immunitaire
• Inflammation chronique
• Protection cardiovasculaire
• Sécheresse de la bouche
• Sécheresse de la peau
• Sécheresse du nez
• Sécheresse du tractus pulmonaire
• Sécheresse vaginale
• Séquelles de radiothérapie
• Syndrome sec des yeux
• Toux sèche d’irritation
• Ulcères gastriques et duodénaux

MODE D’EMPLOI
Cinq pressions de pompe au milieu des repas midi et soir
jusqu’à guérison complète.
• La prise d’Hydraphyt au moment du repas permet une meilleure
assimilation. C’est une huile qui nécessite la sécrétion de sels
biliaires pour être assimilée et c’est le repas qui déclenche cette
sécrétion.
• L’expérience a montré que les effets pouvaient être observés
rapidement (en moins de deux semaines, mais dans d’autres cas,
ce peut être huit à dix semaines.

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CALMOPHYT
Tranquillisant et somnifère naturel

COMPOSITION DU CALMOPHYT
• GABA, 50 %
• 5 HTP (précurseur de la mélatonine), 40 %
• L-théanine, 10 %

LE GABA : NEUROTRANSMETTEUR
DE LA DÉTENTE
Il est obtenu par une fermentation de maïs par le Lactobacillus
hilgardii.
GABA est l’abréviation d’acide gamma-aminobutyrique.C’est notre
anxiolytique naturel qui est produit au niveau des synapses de notre
cerveau. Ses effets principaux :
• Il permet de se calmer et de s’endormir.
• Il assure la détente musculaire.
• Il contrôle la peur et l’anxiété.
• Il aide à maîtriser les idées noires et les ressentiments.
Nota Il est remarquable que le GABA se fixe sur les mêmes
récepteurs neuroniques de tranquillisants que le Valium, le
Librium, le Lexomyl, le Séresta, les benzodiazépines et
barbituriques en général qui sont des molécules chimiques
présentant les inconvénients collatéraux que l’on connaît.

Critères de carence en GABA


Un indice classique de manque de GABA est l’envie d’alcool en fin
de journée pour se détendre ; en fait l’alcool mime les effets du
GABA en anesthésiant la vigilance, le stress et la contraction
musculaire résiduelle.
Le GABA est indiqué dans les cas suivants
• Incapacité à se détendre.
• Sentiment d’être submergé par l’anxiété, incapable de prendre de
la distance face aux événements qui surviennent.
• Difficultés d’endormissement (favorise un sommeil profond et
réparateur, et contrairement aux somnifères ne va entraîner ni
somnolence le jour ni risque d’accoutumance).
• Troubles du comportement et de l’humeur dus au stress.

Nota N’a aucun effet secondaire.

Le GABA est parfait pour le sevrage des anxiolytiques et


somnifères courants.

LE 5-HTP (5-HYDROXYTRYPTOPHANE)
Il est extrait des graines du Griffonia simplicifolia, un arbuste
africain qui pousse au Ghana et en Côte d’Ivoire.
Le 5-HTP est un acide aminé que notre organisme produit à partir du
tryptophane, un autre acide aminé présent dans les aliments
protéinés, en particulier les légumineuses, et les noix. Une fois
absorbé, le 5-HTP se transforme en sérotonine, un
neurotransmetteur qui remplit un rôle essentiel dans la régulation
de l’humeur, de l’appétit et du sommeil.

Puisqu’il agit sur la production de sérotonine, d’aucuns considèrent


le 5-HTP comme une solution de rechange aux antidépresseurs
classiques, mais sans les inconvénients. On lui attribue donc les
mêmes usages au naturel :
• Il traite la dépression.
• Il soulage les symptômes de la fibromyalgie.
• Il inhibe l’appétit chez les personnes en surpoids.
• Il combat l’anxiété.
• Il traite la migraine et les maux de tête chroniques.

LA L-THÉANINE
C’est un acide aminé non essentiel relaxant que l’on trouve
majoritairement dans le thé vert et dont la formule chimique est
cousine de celle du GABA.
En gros, elle tempère le système nerveux orthosympathique.

En détail
• Elle inhibe le stress, l’anxiété et calme le mental.
• Elle baisse le rythme cardiaque.
• Elle abaisse la pression artérielle.
• Elle améliore l’attention et la mémoire.
• Elle améliore la qualité du sommeil (sans effets secondaires).
INDICATIONS DU CALMOPHYT
• Agitation mentale
• Anxiété
• Appétit excessif
• Céphalées chroniques
• Cœur nerveux
• Déprime
• Fibromyalgie
• Hypertension artérielle
• Idées noires
• Insomnies
• Migraine
• Rumination
• Sommeil non réparateur
• Stress
• Surpoids
• Sympathicotonie nerveuse
• Tensions musculaires

POSOLOGIE
1 à 3 gélules avant le coucher.

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DIGILANCE
Pour une paroi intestinale toute neuve

LA MUQUEUSE INTESTINALE VUE DE


PRÈS
C’est la barrière qui sépare notre milieu intérieur du milieu extérieur
de l’intestin. Elle se constitue de microvillosités qui sont des
membranes très finement plissées. Sa capacité d’absorption est
énorme, elle représente 400 à 600 m2, soit pour nos lecteurs
sportifs un court de tennis. C’est en fait un épithélium constitué
d’entérocytes (intestin grêle) et de colonocytes (côlon), de cellules à
mucus et de lymphocytes.
• Les entérocytes étant soudés les uns aux autres forment les
jonctions serrées. À l’état normal, ils forment une muqueuse
étanche qui ne laisse passer que des molécules de petites tailles
(nutriments essentiels, minéraux) mais s’opposent au passage des
macromolécules, composés toxiques, micro-organismes.
• Les lymphocytes macrophages tapissant toute la muqueuse
intestinale en font la barrière immunitaire la plus importante de
l’organisme, soit 70 % de notre immunité générale.
• Les anticorps immunoglobulines A (IgA) défendent l’organisme
des germes pathogènes ou opportunistes et contrôlent la
prolifération des bactéries en général.

Lorsque la muqueuse est altérée, elle s’enflamme, se déforme


(diverticules), les jonctions se distendent et la barrière intestinale
devient poreuse. Alors les grosses molécules, les toxines, les
agents pathogènes pénètrent la lymphe puis le sang, occasionnant
une forte réponse immunitaire. Celle-ci peut se traduire par :
• soit des allergies ;
• soit des maladies auto-immunes (sclérose en plaques [SEP],
thyroïdite d’Hashimoto, maladie de Basedow, polyarthrite
rhumatoïde, maladie de Crohn, rectocolite hémorragique, lupus
érythémateux, diabète insulino-dépendant de type 1, syndrome de
Gougerot-Sjögren, périartérite noueuse, maladie de Behçet,
sclérodermie, spondylarthrite ankylosante, maladie de Still,
myasthénie…).

À ce moment-là, l’intoxination sanguine épuise le foie qui va être


débordé dans son tri et c’est un sang pollué qui va nourrir nos
tissus. Les molécules toxiques s’accumulent ici et là, favorisant
diverses maladies. Une fois la fonction hépatique épuisée, les
toxines pénètrent les cellules et peuvent aller jusqu’à altérer l’ADN –
et c’est la porte ouverte au cancer !

Imaginez la catastrophe sur l’équivalent d’un terrain de tennis :


des virus et des bactéries parasites, ainsi que le Candida
albicans qui ne sont plus arrêtés, ni par la barrière intestinale ni
ensuite par le filtre hépatique. Or ce sont eux qui provoquent au
départ des troubles psychiques tels que la dépression
nerveuse, la schizophrénie, l’autisme, l’hyperactivité.
Nota On a vu des rémissions de dépression après la prise
d’antibiotiques ; ainsi, on retrouve automatiquement de graves
désordres intestinaux chez tous les schizophrènes.

Quand la capacité toxinique est vraiment dépassée, les


symptômes physiques s’installent : douleurs osseuses,
articulaires, musculaires, des infections à répétition, des
nausées, des céphalées, des problèmes cutanés.
CONSÉQUENCES POSSIBLES
DE LA POROSITÉ INTESTINALE
• Acide urique : élevé.
• Anémie (par défaut d’absorption de ferritine).
• Aphtes : à répétition.
• Concentration en nitrates (lorsqu’ils sont mal éliminés et en
excès, ils se lient avec les protéines pour former les nitrosamines
qui, rappelons-le, sont cancérigènes).
• Déchaussements dentaires.
• Diabète (une muqueuse duodénale détériorée produira moins de
cholécystokinine dont le rôle est d’actionner les contractions du
pancréas et de la vésicule biliaire, ce qui induira moins d’insuline,
moins d’enzymes digestifs).
• Fibrome, kystes, syndrome prémenstruel : l’œstrogène n’ayant
plus son antagoniste et se retrouvant en excès.
• Infections urinaires (passage des bactéries pathogènes vers le
système urinaire : cystite, infection prostatique). Le pire, c’est
lorsque les hormones ayant joué leur rôle sont mal évacuées et
repassent dans l’organisme…
• Maladie de Behçet (inflammation des vaisseaux et des
muqueuses).
• Œdèmes : excessif (l’intoxication est due à la dilatation des
hématies entoxinées).
• Poids (un intestin en bon état de marche produit un peptide YY qui
freine l’appétit, les obèses en sont très peu pourvus. Nous avons
également un autre peptide, l’oxyntomoduline, dont l’action est
tournée vers la satiété).
• Règles : douloureuses, abondantes par déséquilibre hormonal,
l’épuisement du foie diminue la synthèse de la progestérone.
• Varices.

On comprend aisément ici l’intérêt d’avoir, ou de restaurer, une


bonne barrière intestinale. À savoir que les traitements lourds, le
stress, l’acidose ainsi que l’intolérance aux laitages et au gluten sont
des facteurs de détérioration.

POUR REFAIRE LA BARRIÈRE


INTESTINALE
Voici les ingrédients de Digilance capables de refaire la barrière
intestinale :
La glutamine
C’est l’élément clé permettant de restaurer la barrière
intestinale. La glutamine est le plus abondant des acides aminés de
notre organisme. Elle joue non seulement un rôle dans le maintien
de l’intégrité de la paroi intestinale, mais aussi dans la
protection immunitaire, l’équilibre acido-basique et la synthèse
des protéines. Elle favorise la réparation des cartilages et des
tendons, via son rôle dans la fabrication de la glucosamine.
La glutamine est fabriquée par l’organisme à partir des aliments.
Aussi, en cas de maladie, de grand stress, de brûlure,
d’intervention chirurgicale, l’organisme en manque. Si un exercice
physique modéré augmente le taux de glutamine dans le sang,
l’effort extrême le diminue. L’un de ses principaux sites de stockage
est la musculature. On ajoute souvent de la glutamine en
alimentation entérale (ou parentérale) aux patients hospitalisés en
soins intensifs.

Dans le cas d’une maigreur extrême, une perte de l’appétit et


des troubles d’absorption, la glutamine est incontournable.

Quand on sait que les culturistes et les athlètes se complémentent


en glutamine afin d’améliorer le travail musculaire, on en mesure
toute l’utilité pour le dénutri. La glutamine est un carburant, une
source d’azote pour les cellules se divisant rapidement comme
celles qui tapissent les voies gastro-intestinales (c’est d’ailleurs
l’intestin grêle qui est le lieu principal de la consommation de
glutamine de notre organisme), mais elle facilite également une
production rapide de globules blancs.
Notre organisme est obligé de passer par une absorption constante
de glutamine car elle lui est véritablement nécessaire et elle est le
ciment des jonctions serrées de la barrière intestinale.
• Elle permet de maintenir des niveaux adéquats de glutathion
(antioxydant majeur) en tant que précurseur.
• Elle rétablit la fonction des cellules tueuses NK (Natural Killers).
• Elle favorise un bon fonctionnement des reins.
• Elle assure l’élimination des acides contenus dans le sang.
• Elle améliore la flore intestinale.
• Elle réduit l’état inflammatoire de l’intestin.
• En bref, la glutamine est le ciment des jonctions serrées de la
barrière intestinale.
• Elle est également le précurseur du neurotransmetteur GABA dont
le rôle est de ralentir la multitude d’informations qui arrive au
cerveau ; manquer de GABA, c’est le « pétage de plombs », les
angoisses, le mauvais sommeil par pensées parasites.

La carence en glutamine est une quadruple punition


• Porosité intestinale.
• Baisse immunitaire.
• Acidose.
• Angoisses.

Enfin, la prise de glutamine est métabolisée en d’autres acides


aminés et il faut environ quatre heures après l’administration d’une
dose pour que la teneur du sang en acides aminés augmente.
Dans la formule de Digilance, il a été jugé utile de lui adjoindre des
petits amis pour compléter son action :

La spiruline
Son effet cicatrisant sur la muqueuse intestinale, lié à sa grande
teneur en chlorophylle, n’est plus à démontrer.
• Elle est un excellent assainissant de la digestion qu’elle stimule.
• Elle favorise également l’élimination.
• Elle supprime les indésirables (E. coli, Candida…) tout en stimulant
les bonnes bactéries (lactobacilles, bifidobactéries).
• Elle augmente la production de lactobacilles dans l’intestin.
• Elle améliore l’absorption de la nourriture et des vitamines.
• Elle apporte ici les cofacteurs indispensables à l’assimilation de la
glutamine (zinc, bêta-carotène, B9).
• Elle permet sa transformation en GABA.

Le curcuma
On utilise ici ses effets antibactériens ainsi que sa puissante action
anti-inflammatoire, les intestins étant souvent le siège de
l’inflammation. Il est utile dans les affections suivantes :
• Antiviral.
• Dyspepsies.
• Stimulation hépatique.
• Syndrome du côlon irritable.
• Ulcères gastriques.

La myrtille
Elle est capable de se fixer aux bactéries pathogènes pour
empêcher leur adhésion aux muqueuses. Elle est donc d’un grand
secours et d’une efficacité majeure.
• Anticolibacillaire.
• Diarrhées infectieuses.
• Gastro-entérites.
• Vomissements.

Une étude récente démontre une diminution du risque de


métastase. Cette étude démontre également que des régimes
contenant 5 et 10 % de myrtilles sont associés à des réductions
de taille des tumeurs de 60 et 75 %.
L’aloe vera
• Il est un bon anti-inflammatoire.
• Il est un excellent cicatrisant.
• Il s’oppose aux bactéries et champignons pathogènes.

L’acémannane présent dans l’aloe vera facilite la désagrégation des


protéines étrangères qui sont à l’origine d’allergies et de complexes
auto-immuns dans l’intestin.

INDICATIONS DE DIGILANCE
• Acide urique
• Acidose
• Anémie
• Angoisse
• Aphtose
• Appétit (manque)
• Céphalées chroniques
• Côlon irritable
• Dents (déchaussement)
• Dermatoses
• Diabète type 2
• Diarrhées infectieuses
• Douleurs musculaires, osseuses, articulaires
• Infections à répétition
• Fibrome
• Foie paresseux
• Gastro-entérite
• Hormones (déséquilibre)
• Immunité faible
• Infection urinaire
• Intestin poreux
• Kystes
• Maigreur extrême
• Maladie de Behçet
• Maladies auto-immunes
• Maladies psychiques
• Nausées chroniques
• Nitrate dans le sang
• Œdèmes
• Parkinson
• Règles douloureuses ou abondantes
• Sommeil (mauvais)
• Syndrome prémenstruel

EN CONCLUSION
Il faut en moyenne six mois pour refaire une barrière intestinale (s’il
n’y a pas de stress entre-temps) : comme par hasard, c’est le temps
qu’il faut pour faire disparaître des problèmes de peau
récalcitrants… trouvant justement leur genèse dans un intestin
poreux.

Il faut aussi penser à Digilance dans le cadre des maladies auto-


immunes, car tout ce qui passe « illégalement » une frontière
poreuse provoque des réactions auto-immunes. Votre bien-être
psychique dépend aussi de vos intestins. Toute maladie
psychique a besoin de Digilance, les intestins sont le deuxième
cerveau, il faut en premier lieu reconstruire la barrière.
Nota Nous avons vu, même si cela n’a rien de systématique,
des parkinsoniens remarcher normalement après la prise
régulière de Digilance.
Digilance régule aussi le transit, dans un sens comme dans l’autre.
Jadis, avant l’avènement de la médecine, on demandait : « comment
ça va ? », ce qui sous-entendait : « comment allez-vous… à la
selle ? » car cela servait de moyen de diagnostic. Aussi, si votre
transit n’est pas régulier, posez-vous des questions…
Digilance aide aussi à mieux dormir et apaise celui qui le consomme.
Ne faites pas l’erreur commune de prendre des probiotiques sur
un intestin poreux ; ceux-ci passent la barrière intestinale et
agressent l’organisme.
Savez-vous par ailleurs que dans la flore des peuples chasseurs-
cueilleurs, il n’y a aucun des probiotiques vendus dans le
commerce ?… Que dans ces tribus, hommes et femmes n’ont pas
la même flore ?…

Refaites votre barrière intestinale, et tout rentrera dans l’ordre !

POSOLOGIE
1 cuillère à café avant les 2 repas principaux.

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GRAVIOLA COROSSOL
Panacée amazonienne

Voici encore un remède naturel ayant entre autres multiples


applications le pouvoir de contribuer à guérir le cancer, ce qui a été
scientifiquement prouvé, mais caché. Pourquoi ? Parce qu’étant
simplement une plante, elle ne peut être brevetée. Il s’agit du
graviola (nom latin : Annona muricata) qui se nomme guanabara au
Brésil et corossol aux États-Unis. C’est un arbre toujours vert, de 6 à
15 m de hauteur, qui pousse dans les forêts tropicales. Son fruit de
20 à 40 cm de diamètre a la forme d’un cœur avec une sorte de
peau ressemblant à un grand cactus. Sa chair blanche est succulente
et les gens peuvent l’acheter sur les marchés locaux.

LES TRIBUS INDIENNES UTILISENT LE


GRAVIOLA
DEPUIS DES SIÈCLES
Toutes les parties de l’arbre (feuilles, racines, tronc, écorce, graines)
contiennent chacune des principes de guérison spécifiques
concernant différentes maladies et déséquilibres de santé.
Selon les traditions du Brésil, les racines, le tronc et les feuilles sont
utilisés comme sédatif – la nervosité, les catarrhes, les parasites – et
comme galactogène des nouvelles accouchées. Dans d’autres pays
d’Amérique latine, ils sont aussi utilisés comme tonicardiaque moyen
et pour le diabète. Au Brésil, on prépare un mélange à partir d’un
fruit immature mélangé avec de l’huile d’olive en tant que
traitement externe pour l’arthrite et les rhumatismes.

Après avoir étudié la médecine ethnologique des indigènes de


l’Amazonie et leur connaissance de la nature, nous devons nous
demander concernant la vie et la santé, qui est le plus avancé ?

Ils n’ont pas d’hôpitaux, mais ils n’ont pas de cancers. Ils
n’ont pas non plus de laboratoires pour transformer une plante
en pilules, mais ils savent guérir sans ces artifices. Ces
indigènes nous montrent comment vivre avec la nature et
comment la nature offre tout ce dont nous avons besoin pour
une vie saine.

LE POINT DES RECHERCHES EN


CANCÉROLOGIE
En 1976, des recherches approfondies, de « l’Institut national du
cancer » des États-Unis, sur le corossol ont abouti à la guérison
rapide d’un « adénocarcinome » du gros intestin. Les composants
actifs qui ont permis cela ont été isolés par le chercheur allemand et
oncologue Helmut Keller et trois scientifiques associés ; il s’agit des
acétogénines qui ont été confirmées très efficaces pour tuer de
nombreux types de cellules tumorales, sans pour autant toucher aux
cellules saines. Plusieurs résultats de l’étude ont été publiés, mais
ont été suivis d’un silence fracassant… De guerre lasse, les
chercheurs ont abandonné et laissé les résultats miraculeux dans les
tiroirs de leur institut.
La même année, un médecin de l’université de Purdue en Indiana,
le Dr Jerry McLaughlin, a découvert les acétogénines du graviola
corossol (il y en a 82) qui sont considérées comme des substances
anticancers naturelles des plus puissantes.
À la fin des années 1990, l’un des scientifiques qui faisaient partie
de l’une des équipes de recherche a rompu le silence pour des
raisons de conscience et quelques-uns des rapports sont devenus
accessibles pour le monde de la médecine. Simultanément, des
chercheurs brésiliens sont allés en Amazonie pour étudier les
plantes de la forêt tropicale. Ils se sont intégrés au sein des
populations autochtones afin d’apprendre leurs connaissances
ancestrales sur la guérison par les plantes locales.
Dès 1996, toutes les études des différents laboratoires ont conduit à
la même conclusion, que les acétogénines du graviola ont une
composante leur permettant de reconnaître les cellules malades
et de les isoler afin de les priver des nutriments manquants, cela
entraînant ainsi leur mort. Leurs résultats ont été publiés dans
huit études cliniques.
En 1997, un petit groupe de scientifiques a découvert que le graviola
contient également des alcaloïdes qui ont un effet antidépressif.
Dans la même année, l’université a publié une nouvelle information
exceptionnelle démontrant encore plus de pouvoirs au sujet du
graviola. En effet, les études cliniques ont confirmé que les
« acétogénines Annonaceae » du graviola ne tuent pas seulement
les cellules cancéreuses courantes, mais qu’elles sont également
très efficaces pour tuer les cellules cancéreuses résistantes sur la
chimiothérapie. Cette enquête explique comment cela est possible :
les cellules cancéreuses qui survivent à la chimiothérapie ont
développé une résistance contre de nombreux autres types de
médicaments, appelée Multi-Drug-Resistant, ce qui les
immunise contre tout traitement ; et cela conduit à 100 % les
patients « chimiqués » à la mort !
Selon Jerry McLaughlin, scientifique à Purdue, le graviola semble
stopper l’approvisionnement en énergie des cellules cancéreuses.
Nota Depuis vingt ans, l’industrie pharma essaie de
transformer les principes actifs de la plante en un remède
(brevetable !) qui marche contre le cancer. Mais le graviola
ne permet pas les dérivés chimiques. Jusqu’ici, il est
confirmé que le graviola ne fonctionne que s’il est naturel.
De nombreux groupes de scientifiques sont toujours en
recherche pour créer un produit similaire à l’annonacine qui
fonctionne si bien – mais il est très difficile de recopier
intégralement les subtilités que la nature a élaborées en
plusieurs millions d’années…

Actuellement, douze types de cancer ont été validés : cancer du


sein, cancer de l’abdomen, cancer de l’ovaire, cancer de l’utérus,
cancer du poumon, cancer de la prostate, cancer des os, cancer du
pancréas, cancer de la peau, cancer du sang (leucémie), cancer de la
vessie, cancer du foie.

UN PUISSANT NETTOYEUR
ORGANIQUE
Le graviola n’est pas seulement un miracle contre les cellules
cancéreuses, mais il a également des composants (résultats de
recherches) qui permettent d’éliminer toutes sortes de substances
chimiques comme la cortisone, les médicaments toxiques et les
poisons en tous genres de notre corps. Le graviola est aussi d’une
puissance incroyable pour régénérer les cellules. Cette plante est
véritablement un don de la Terre-Mère.
Les feuilles, bourgeons et fleurs sont pectoraux et fébrifuges.
La poudre de fruit vert est antidiarrhéique. La racine est parasiticide
(vers intestinaux) et antispasmodique.
INDICATIONS DE GRAVIOLA
COROSSOL
• Arthrite
• Asthme
• Cancers (adjuvant)
• Dépressions légères
• Diarrhée
• Diabètes
• Dysenterie
• Éruptions
• Fièvre
• Foie (troubles)
• Grippe
• Hypertension
• Insomnies
• Intoxication médicamenteuse
• Leucémie lymphoïde chronique
• Leucémie myéloïde chronique
• Lymphome
• Malaria
• Myélome
• Nervosité
• Névralgies
• Paludisme
• Parasites divers
• Rhumatismes
• Scorbut
• Spasmes musculaires
• Teigne
• Tumeurs en tous genres
• Vers intestinaux
TÉMOIGNAGES
Un jus de graviola permet depuis neuf ans de sauver des milliers de
vies en Amérique latine et dans cinq autres pays – mais pas aux
États-Unis ni en France, bien sûr !

Nota Les dernières études menées au Brésil ont confirmé


que la combinaison de certains produits avec le graviola
réussit à tuer invariablement un virus hospitalier de cette
région qui est à 100 % mortel. Ce virus était sans remède
jusqu’à aujourd’hui et les résultats sont stupéfiants.

Aussi sur les animaux


Une femme raconte : « J’ai déjeuné avec une amie qui m’a parlé du
graviola. Son chat était condamné par le VIH félin prétendument
foudroyant… mon amie a trouvé du graviola en poudre et son chat –
que le vétérinaire condamnait – a été guéri, et a repris du poids… »

POSOLOGIE
Le dosage recommandé de la feuille de graviola en poudre est de
trois caps par jour.

LE THÉ DE GRAVIOLA COROSSOL


Pour une aide à la guérison du cancer, le thé de graviola corossol
fait à partir de feuilles de graviola corossol doit être consommé
quotidiennement. Cela est un des avantages de la feuille de graviola
corossol qui est un traitement d’une grande simplicité. Vous pouvez
faire votre propre thé comme suit :
• Faire bouillir un litre d’eau, puis prendre quinze feuilles fraîches ou
sèches de graviola corossol, ou de la poudre de graviola corossol
que vous jetez dans un litre d’eau bouillante. Ne fermez pas le
récipient et continuez de faire bouillir l’eau sur le petit feu pendant
trente minutes, jusqu’à évaporation de l’eau à 500 ml.
• Le thé de graviola corossol est prêt à boire. Buvez une tasse
(165 ml) de thé de graviola corossol filtré, trois fois par jour, le
matin, l’après-midi et le soir. Pour un meilleur goût, vous pouvez
ajouter ½ cuillère à café de jus de citron, et ajouter un peu de miel
(pas de sucre). Prenez le thé corossol trente minutes avant les
repas pour plus d’efficacité.

Après avoir bu, votre corps peut ressentir de la chaleur. En deux


semaines, vous pourrez ressentir les bienfaits du graviola corossol et
après quatre semaines, les améliorations peuvent être clairement
ressenties.

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31

FLORACOR GI
Flore intestinale et candidose

PETITS RAPPELS ET DÉFINITIONS


Prébiotique
Signifie : « Qui précède l’apparition de la vie sur la Terre. »
C’est une substance non digestible qui sert de substrat à la flore du
côlon.

Un aliment présente un effet prébiotique s’il favorise la croissance


ou l’activité des bactéries intestinales bénéfiques à notre santé. Ces
substances sont présentes dans les fruits et légumes, ainsi que
dans le lait maternel. Deux prébiotiques courants sont l’inuline, que
l’on trouve dans les racines de chicorée, et les fructo-
oligosaccharides (FOS) présents entre autres dans l’ail, l’oignon et la
banane.

Probiotique
Signifie : « Qui contient un organisme. »
Les probiotiques sont des bactéries ou des levures naturellement
présentes dans l’organisme.

Ces micro-organismes vivants aident à la digestion et aux défenses


immunitaires. Certains probiotiques peuvent être pris sous forme de
compléments alimentaires. Les plus connus sont ceux de la levure
de bière et des yoghourts. Ils peuvent améliorer la digestion et
lutter contre la diarrhée ou certaines infections de système digestif.
Ces bactéries viennent s’ajouter à celles, extrêmement
nombreuses, de l’intestin (le chiffre habituellement cité est de
100 000 milliards pour l’humain).
La flore intestinale, surtout installée dans le côlon, aide à terminer la
digestion et à empêcher le développement de colonies de bactéries
pathogènes. D’autres rôles exacts restent mal compris.

Nota Il ne sert à rien de consommer des bactéries


probiotiques laitières s’il n’y a pas la présence de
prébiotiques fibreux pour les accueillir et assurer leur
développement.

ANTIBIOTIQUES : UN MASSACRE
À LA TRONÇONNEUSE
Notre corps est rempli de bactéries dont certaines sont essentielles
à la vie alors que d’autres provoquent des maladies. Le tractus
digestif humain contient plus de quatre cents sortes différentes de
micro-organismes. Le nombre de micro-organismes dans le corps
dépasse de loin le nombre de cellules tissulaires ; cela représente
environ 1,8 kg de masse corporelle.
En cas de pathologies, le protocole « médical-parapluie » conduit les
médecins à prescrire une antibiothérapie presque systématique,
même à titre préventif dans les affections virales ! On sait pourtant
que les antibiotiques (signifiant « contre la vie ») ne font pas la
différence entre les bactéries indispensables à la vie et les bactéries
infectieuses. Il s’ensuit toujours que notre corps doit faire face à un
énorme travail pour tenter de reconstituer en urgence notre flore
intestinale, première ligne de défense et élément essentiel au bon
équilibre physiologique – y compris de notre moral (voir l’expression
populaire « n’avoir rien dans le ventre »).
Mais le pire est l’exposition passive et continue aux antibiotiques
invisibles de l’alimentation industrielle de la grande distribution,
venant principalement des animaux producteurs de viande ou de
leur lait, qui sont exposés à trente sortes d’antibiotiques, bien sûr
toutes approuvées par les autorités dites compétentes. À cela
s’ajoutent une multitude de poisons chimiques légalisés de
l’alimentation agro-industrielle non bio, sans compter le stress
quotidien croissant qui collabore à la ruine de notre flore
intestinale… et de notre joie de vivre !

PROBLÈMES DES PROBIOTIQUES


CLASSIQUES
Les formules de probiotiques classiques contiennent des souches
de bactéries qui sont en compétition pour les mêmes nutriments. Le
fait de rajouter de nouvelles souches de bactéries à un probiotique
ne le rend pas pour autant plus efficace et peut même produire
l’effet inverse. Floracor GI contient une microflore dont les éléments
complètent à 100 % ceux de la flore endogène.
Les probiotiques classiques sont vendus en comprimés qui sont
plus faciles à fabriquer pour un coût moindre, mais sont moins
faciles à absorber que la poudre encapsulée, et dans certains cas
exigent la réfrigération pour survivre.

TECHNOLOGIE SPÉCIALE
POUR LES PROBIOTIQUES
Le Floracor GI utilise un processus nouveau d’ensemencement des
bonnes bactéries dans leur forme embryonnaire, sortes de
graines que l’on appelle « spores ». L’avantage de cet acheminement
gastrique par spores est qu’ils résistent à l’acidité des sucs digestifs,
ce qui n’est pas le cas des bactéries probiotiques. Ceux-ci vont ainsi
pouvoir nidifier sur la muqueuse intestinale et germer pour donner
les bactéries probiotiques.

UNE FORMULE SYMBIOTIQUE


AVEC LES PRÉBIOTIQUES
C’est la combinaison de prébiotiques et de probiotiques. Dans le
Floracor GI, il y a des fructo-oligosaccharides (FOS) comme
prébiotiques. Ces FOS sont eux aussi totalement résistants aux
mécanismes de digestion. Ils passent donc sans encombre au
travers de l’estomac et de l’intestin grêle et arrivent 100 %
disponibles dans le gros intestin pour stimuler la croissance et
l’action des probiotiques.

CANDIDOSE ET PERMÉABILITÉ
INTESTINALE
Certains thérapeutes affirment que 60 à 80 % de la population
pourraient être affectés par une croissance excessive de la levure
Candida albicans (candidose). L’excès d’antibiotiques
médicamenteux ou invisibles dans l’alimentation courante en est la
cause majeure. En l’absence de traitement, la levure peut former un
champignon qui développe ses rhizomes à l’intérieur de la paroi
intestinale : ceux-ci y pénètrent et s’y attachent. Ces racines peuvent
creuser assez profondément pour créer une perméabilité dans le
tractus intestinal ; les toxines et les déchets peuvent alors passer
dans le sang. C’est le syndrome de perméabilité intestinale.
Bactéries « amies », « ennemies » et Candida cherchent tous à
s’accrocher quelque part le long de la paroi intestinale. Lorsqu’une
quantité suffisante de probiotiques bénéfiques sont introduits dans
le tractus intestinal, les Candida sont débordés et la flore intestinale
normale peut se réapproprier la place qu’elle doit occuper, cela
permettant de réparer et nettoyer la muqueuse au lieu de la détruire.
Par ailleurs, les levures se développent dans des conditions
anaérobies (sans oxygène). Or le Floracor GI favorise un
environnement extrêmement oxygéné qui prévient la croissance de
colonies de levures supplémentaires et fournit les conditions idéales
pour la croissance des bactéries indigènes amies.

COMMENT LE FLORACOR GI
DÉTRUIT LES CANDIDA
Le Candida albicans est entouré d’une coque protéique. Sous cette
coque, le Candida est principalement composé de cellulose (parois
cellulaires) et de N-acétyl-glucosamine (chitine). Le Floracor GI
possède un mélange d’enzymes protéases (qui digèrent les
protéines), de cellulases (qui digèrent la cellulose) et de
chitosanases (qui digèrent la chitine). Ces enzymes après avoir
éliminé la coque protéique qui protège le Candida digèrent son
infrastructure cellulaire.
Enfin, le Floracor GI contient un dépuratif intestinal très puissant qui
aide à éliminer les débris de levures et les autres bactéries du corps.
Cela permet de prévenir les symptômes de détoxification causés par
les toxines dégagées lors du traitement des levures.

INDICATIONS DU FLORACOR
• Acidose et tous ses effets annexes
• Anxiété
• Aphtose chronique
• Ballonnements
• Colite
• Constipation chronique
• Déprime
• Diarrhée chronique
• flatulences, gaz
• Intestin poreux
• Intestin (tous ses problèmes)
• Intolérances
• Pessimisme
• Polypes intestinaux

POSOLOGIE
2 gélules loin des repas le matin et l’après-midi.

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SACHA INCHI – HUILE


Remède de santé totale de trois mille ans d’âge

QU’EST-CE QUE LE SACHA INCHI ?


Le sacha inchi (Plukenetia volubilis) est une plante originaire de
l’Amérique du Sud, mais qui est maintenant aussi très cultivée en
Asie du Sud-Est. Également connue sous le nom d’« arachide inca »
ou encore d’« arachide des montagnes », cette plante produit des
gousses de forme étoilée qui contiennent des graines. Les
populations indigènes de la forêt tropicale amazonienne utilisent le
sacha inchi depuis plus de trois mille ans pour ses bienfaits sur la
santé, qui découlent de toute évidence de son extraordinaire
contenu nutritionnel.

Les graines décortiquées sont généralement consommées grillées à


sec ou elles peuvent aussi être moulues pour être utilisées comme
source de protéines. L’huile pressée à froid, extraite des graines
brutes, est une autre façon populaire et plus saine d’utiliser le sacha
inchi.

UN NUTRIMENT COMPLET
• Il contient un plus haut taux d’oméga-3 de source végétale que la
plupart des noix ou graines. Riche en acides gras oméga-3
(presque 50 % de la totalité de l’huile est sous cette forme), acides
gras oméga-6 (35 %) et huile oméga-9 (9 %).
• Il contient neuf acides aminés essentiels que votre corps est
incapable de produire par lui-même, ce qui en fait une source
complète de protéines.
• Il contient du tryptophane, un acide aminé qui aide le corps à
produire de la sérotonine, une hormone de « la joie de vivre » et
qui participe également à la régulation de l’appétit.
• C’est une importante source de substances phyto-chimiquées
antioxydantes : phytostérols, tocophérols (vitamine E) et
caroténoïdes (vitamine A).
• C’est une bonne source de vitamine C, de fer, de potassium, de
calcium et de magnésium.
• Ses graines sont une importante source de fibres alimentaires.
• Il est facile à digérer contrairement à d’autres sources de
protéines.
• Il n’est pas une cause connue d’allergie ou d’irritation.

Si vous êtes végétarien et ne voulez pas dépendre des huiles


oméga dérivées du poisson, incorporez le sacha inchi à votre
alimentation, car il s’agit de la meilleure manière d’obtenir ces
acides gras (ainsi que des éléments nutritionnels essentiels) de
source végétale.

BIENFAITS POUR LA SANTÉ


DE L’HUILE DE SACHA INCHI
1. Elle combat les terrains inflammatoires
Les huiles oméga-3 atténuent les inflammations. Or un terrain
inflammatoire entretenu et établi dans le corps peut entraîner :
• Arthrite.
• Articulations douloureuses.
• Cancer.
• Diabète de type 2.
• Maladie d’Alzheimer.
• Maladies cardiaques.
• Maladies chroniques diverses.
• Vieillissement prématuré.

2. Elle assure une santé cardiovasculaire


• Elle réduit l’inflammation dans les artères – une étape clé dans la
formation de plaque, ce qui contracte les artères et augmente le
risque de maladies cardiaques et d’AVC.
• Elle réduit la tension artérielle.
• Elle réduit le taux de cholestérol et augmente le bon cholestérol
(HDL) chez les personnes ayant un haut taux de cholestérol.

3. Elle prévient la formation de caillots de sang


• C’est un fluidifiant du sang.

4. Elle alimente les fonctions cérébrales et la santé


émotionnelle
• Les oméga-3 nourrissent le système nerveux. Votre cerveau a
besoin de bons acides gras pour fonctionner adéquatement, pour
construire les membranes cellulaires et pour réparer les cellules
nerveuses endommagées.
Les acides gras n-3 réduisent aussi l’inflammation dans le cerveau,
une cause connue des maladies neurodégénératives. Ce
mécanisme anti-inflammatoire peut ainsi réduire le déclin cognitif,
la perte de mémoire, la dépression et même la démence.
• Le tryptophane, un acide aminé qui est converti en sérotonine, un
neurotransmetteur qu’on appelle aussi « l’hormone du
bonheur ». La sérotonine suscite des sentiments positifs, régule
l’humeur et calme la nervosité, ce qui vous aide à sortir de
l’anxiété et de la dépression.

5. Poids excessif et santé digestive


Vous essayez de perdre du poids ? Le sacha inchi pourrait être un
supplément très efficace à vos efforts de perte de poids.
• Un taux sain de sérotonine (dû à la haute teneur en tryptophane
du sacha inchi) aide à réguler l’appétit et à éviter les fringales – en
vous gardant rassasié pendant de plus longues périodes. Cela
prévient la suralimentation sans pour autant nuire à votre apport en
nutriments essentiels, ce qui est indispensable au corps
performant et actif.
• Les graines sont bourrées de fibres alimentaires, qui sont
nécessaires à la santé du système digestif. Les fibres ajoutent du
volume aux selles et favorisent la régularité de l’évacuation – ce qui
prévient la constipation et permet aux intestins de se débarrasser
des toxines.

6. Elle soutient la santé osseuse


• Les acides gras oméga-3 aident le corps à absorber le calcium.
• Elle augmente la densité minérale osseuse.
• Elle minimise la perte osseuse due au vieillissement.
7. Elle améliore la santé des yeux, de la peau et des cheveux
L’huile de sacha inchi est riche en oméga-3 et en substances
antioxydantes (composés phénoliques, vitamine E et vitamine A).
Tous ces ingrédients travaillent de concert pour nourrir la peau ainsi
que pour protéger les yeux et la peau des dommages oxydatifs et de
l’inflammation.
• Elle hydrate la peau, maintient son élasticité et prévient la
formation de rides et ridules.
• Elle ralentit le développement de la dégénérescence maculaire et
la cataracte.
• Elle favorise la croissance capillaire.
• Elle réduit les dommages dus aux UV.
Nota Les capsules de sacha inchi contiennent une huile
vierge pressée à froid de haute qualité extraite de graines
brutes et non traitées. Elles ne contiennent aucun produit
chimique ni aucun additif.

COMPOSITION EN ACIDES GRAS DE


L’HUILE
DE SACHA INCHI
• 92 % en acides gras insaturés (c’est celle qui contient la plus haute
concentration connue).
• 47 % d’oméga-3 (acide linoléique).
• 35 % d’oméga-6 (acide linoléique).
• 10 % d’oméga-9 (acide oléique).

Très haute teneur en vitamine E qui lui confère une stabilité


importante.

UN ÉQUILIBRE IDÉAL ENTRE LES


OMÉGA-3
ET LES OMÉGA-6
L’huile de sacha inchi contient des acides gras oméga-3 et oméga-6
en proportions saines. Alors que l’oméga-6 favorise l’inflammation,
l’oméga-3 aide le corps à produire des substances anti-
inflammatoires. Or étant donné l’usage accru des huiles végétales
courantes du commerce, notre régime alimentaire comprend trop
d’oméga-6 et pas assez d’oméga-3.
INDICATIONS DU SACHA INCHI
• Artères durcies
• Arthrite
• Articulations douloureuses
• Cancers (adjuvant)
• Cataracte
• Cérébrales (fonctions défaillantes)
• Cheveux (manque de croissance)
• Cholestérol élevé
• Cœur (maladies)
• Constipation
• Diabète type 2
• DMLA
• Fringales
• Immunité faible
• Inflammations (terrain)
• Maladies chroniques diverses
• Ongles mous, cassants, dédoublés
• Os (affections)
• Ostéoporose
• Peau vieillie
• Peau (affections)
• Sang (taux de coagulation élevé)
• Tension artérielle (hyper)
• Tissus nerveux et myélinisation (dégénérescence)
• Vieillissement prématuré
• Yeux (dégénérescence)

Nota En cuisine, les graines du sacha inchi servent à


rehausser le goût des plats dans la gastronomie américano-
latine.
CONSERVATION
L’huile de sacha inchi possède une teneur élevée en vitamine E,
puissant antioxydant, qui la rend remarquablement stable, bien plus
stable que ce que sa composition en acide gras pourrait laisser
croire.

Conditions de conservation des huiles végétales en général


De manière générale, pour ne pas perdre une partie de leurs
propriétés les huiles végétales doivent être conservées à l’abri de la
lumière et de la chaleur, dans un endroit frais, sec et bien aéré.

POSOLOGIE EN UTILISATION INTERNE


1 capsule matin et soir.

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REISHI (CHAMPIGNON)
ADN endommagé par irradiations

Depuis plus de deux mille ans, la médecine traditionnelle chinoise


utilise le champignon reishi pour un incroyable panel d’applications
médicinales ainsi que pour la longévité – on l’appelle aussi « lingzhi »
ou « The God of Fungi ».

INDICATIONS DU REISHI
• ADN endommagé par irradiations
• Algies
• Angiomes
• Athérosclérose
• Diabète type 2
• Fibroses
• Herpès
• Infections bactériennes
• Inflammations
• Radicaux libres
• Irradiations ionisantes
• Stress oxydatif
• Tumeurs
• Ulcères
• Vieillissement : ralentit
Mais surtout, nous allons voir comment ce champignon peut fournir
une protection incroyable contre les effets des radiations ionisantes
(UV, rayons X, rayonnements alpha, bêta, gamma…).

QUELS SONT LES EFFETS


DES RAYONNEMENTS IONISANTS ?
Les radiations ionisantes provoquent des dommages oxydatifs
générant des radicaux libres. Ces espèces réactives de l’oxygène
altèrent les composants cellulaires tels que les protéines, les lipides
et l’ADN – cela provoquant des dérives dans la fonction cellulaire.
Les dommages sur l’ADN sont les plus graves. Une exposition
continue, même à faibles doses de radiations ionisantes, peut
dégrader petit à petit l’ADN, provoquant des cassures soit sur un
seul brin, soit, plus grave, sur les deux brins.

En effet, tandis que notre corps est naturellement équipé pour


réparer les cassures « simple brin », ce sont les cassures « double
brin » qui sont les plus courantes, posant une difficulté de
réparation. Cela provoque alors des mutations génétiques pouvant
faire que les cellules se divisent de façon incontrôlable (mécanisme
du cancer) ou causer des anomalies chromosomiques pouvant être
transmises aux générations suivantes.
S’il y a des dommages massifs de l’ADN, la cellule peut déclencher
sa propre mort pour éviter la mutation.

Il est clair que l’effet combiné des dommages à l’ADN et de


l’oxydation des lipides, des protéines et des mitochondries
augmente notablement le risque de développer un cancer, ou des
maladies cardiovasculaires, ou encore de la cataracte, de l’infertilité,
une mauvaise immunité et divers autres problèmes.
Par ailleurs, des niveaux élevés de radiation provoquent souvent
immédiatement après l’exposition des symptômes tels que la perte
de cheveux, des saignements internes et des nausées ; mais le
cancer et les maladies cardiovasculaires peuvent prendre plusieurs
années à se manifester. En fait, le stress oxydatif chronique et
l’inflammation qui en résulte sont principalement responsables de
ces effets post-radiations tardifs.

Les effets négatifs à long terme des radiations à faible dose peuvent
être observés dans le cas de Tchernobyl et de la récente catastrophe
nucléaire de Fukushima au Japon. Il est donc important de faire face
efficacement à l’excès de production et d’activation des radicaux
libres qui causent un stress oxydatif majeur sur le long terme.

COMMENT LE REISHI
PROTÈGE DES RADIATIONS
Action des polysaccharides et des triterpènes
Les corps fructifères du champignon contiennent de nombreux
composés phytochimiques. Parmi ceux-ci, les polysaccharides et les
triterpènes ont été reconnus comme les principaux composés
bioactifs responsables des avantages antioxydants du champignon.
Action des peptides antioxydants
La composition antioxydante du champignon reishi est incroyable car
votre corps peut rapidement absorber ces substances, augmentant
ainsi l’activité antioxydante totale du plasma. En outre, les
polysaccharides trouvés dans le reishi peuvent également
augmenter l’activité des enzymes antioxydantes, dont vous avez
besoin pour lutter efficacement contre le stress oxydatif causé par
les radicaux libres.
POSOLOGIE
2 à 3 gélules le matin à jeun et le soir avant ou après le repas.

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SERRACOR NK
Fibrinolytique et thrombolytique

COMPOSITION
Serracor NK est composé à 100 % d’enzymes extraites selon un
procédé naturel, à partir :
• De la bactérie intestinale Serratia du ver à soie.
• De la papaye.
• De l’ananas.
• De fromage fermenté de nattô : d’origine japonaise, il est obtenu à
partir de graines de soja, de même que le miso.

Et les deux composants majoritaires :


• La nattokinase.
C’est une enzyme naturellement présente dans le nattô, un
aliment traditionnel du Japon consommé depuis plus de mille ans.
Ce nattô est produit par la fermentation de graines de soja sous
l’action d’une souche particulière de bactérie, Bacillus subtilis var.
natto. En 1907, un chercheur japonais a découvert une activité
d’enzyme protéase dans le nattô. En 1925, il fut démontré que
cette protéase dégradait la fibrine, qui est la trame fibreuse des
caillots sanguins, et la gélatine. En 1956, l’activité fibrinolytique et
thrombolytique de la nattokinase fut confirmée.
Un rapport réalisé par une équipe de chercheurs de Harvard a
montré que lorsque la concentration de fibrinogène devient trop
élevée en vieillissant, cela représente un risque cardiovasculaire.
Or l’équipe ayant prescrit quotidiennement deux gélules de
nattokinase (2 000 FU par gélule) sur trois groupes de femmes à
risques pendant deux mois a constaté que le taux de fibrinogène
avait nettement diminué dans les trois groupes.
• La coenzyme Q10 :
– Remède roi de l’insuffisance cardiaque.
– Catalyseur indispensable au fonctionnement des enzymes.
– Équilibre le métabolisme enzyme/coenzyme.

ÉTUDE DU DR LAURENT BANNOCK


AU CENTRE DE MÉDECINE
NUTRITIONNELLE
DE SANTA FE, ÉTATS-UNIS
L’importance des enzymes doit être sérieusement prise en compte,
en ces temps où l’alimentation est raffinée et souvent cuite à haute
température. Le Dr Bannock a sélectionné pour cette étude des
sujets dont l’examen clinique laissait penser que leur alimentation
était carencée en enzymes. Serracor a été donné comme unique
traitement à l’ensemble des sujets en expérimentation.
Deux domaines d’analyse ont été abordés : la protéine C réactive et
la vitesse de sédimentation. La mesure de la protéine C réactive
représente un signe d’inflammation. Des niveaux élevés de
protéine C réactive indiquent généralement un risque accru
d’arthrose, de diabète ou encore de maladie cardiovasculaire.
Dès le début de l’étude, il a pu être mis en évidence par les tests de
protéine que les gens à partir de 40 ans émettent de moins en
moins d’enzymes. Les conséquences sont multiples :
• Le mécanisme de réparation des tissus du corps se trouve
déséquilibré et perd de sa capacité à digérer les quantités de
fibrine déposées un peu partout, depuis les simples coupures
jusqu’à l’intérieur des organes internes et des vaisseaux sanguins
(plaques sclérotiques artérielles).
• Les femmes peuvent développer le syndrome fibrokystique du
sein, des fibromes utérins, de l’endométriose.
• Avec l’âge, les blessures donnent des cicatrices plus visibles.

En remplaçant les enzymes perdues, la quantité de tissus cicatriciel


et fibreux peut être contrôlée. Même les cicatrices anciennes et
chéloïdes peuvent être éliminées des années après leur formation.

Au niveau du sang
Les enzymes améliorent la circulation sanguine en absorbant la
fibrine en excès, ce qui cause l’épaississement du sang et la
possibilité de formation de caillots. Normalement, le sang est purifié
dans le foie, mais bien souvent il présente un état d’intoxication qui
l’empêche de travailler correctement. Le processus de nettoyage
prend alors du retard et les déchets tendent à s’accumuler.
L’absorption des enzymes du Serracor NK, permettant d’éliminer la
fibrine en excès dans le sang, réduit la tendance des cellules
sanguines à s’agglutiner et à former des thromboses. Par ailleurs,
les enzymes réduisant la taille des déchets, ceux-ci peuvent passer
directement dans les intestins.

Nota Les personnes hémophiles ou qui utilisent des


anticoagulants ne doivent prendre des enzymes
systémiques qu’avec précaution et sous supervision
médicale.

INDICATIONS DU SERRACOR NK
• Acné
• Angine de poitrine
• Artériosclérose
• Arthrose
• Articulations raides (soulage)
• Cardiovasculaires (tous les problèmes)
• Cicatrices chéloïdes
• Cœur (insuffisance)
• Déséquilibre métabolique enzyme/coenzyme
• Diabète type 2
• Douleurs inflammatoires diverses
• Embolie pulmonaire
• Endométriose
• Fibrine en dépôts
• Fibromes utérins
• Hémorroïdes
• Insuffisance cardiaque
• Phlébites
• Sang vicié et trop épais
• Seins fibrokystiques

POSOLOGIE
• Action curative courante : 2 gélules 30 min avant les 3 repas –
pause les week-ends.
• Action curative lourde : 4 gélules 30 min avant les 3 repas –
pause les week-ends.
• Action entretien : 2 gélules par jour, 30 min avant un repas.

Nota 1 Serracor NK peut être avantageusement associé à la


Serrapeptase dans des cas urgents ou difficiles.
Nota 2 Serracor NK présente un mauvais goût dû à la
nattokinase que certains ne supportent pas. Il est possible
de le remplacer par l’association : bromélaïne gamma
+ Neurophyt.

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EXTRA LIFE VISION


Dégénérescences organiques et problèmes d’yeux

Voilà un complément alimentaire intéressant qui peut venir combler


une insuffisance thérapeutique face à deux fléaux répandus
concernant les yeux parmi les gens du 2e et 3e âge : la cataracte et la
DMLA (dégénérescence maculaire). La médecine orthodoxe ne
propose qu’un seul moyen pour la cataracte, qui est l’implant
chirurgical d’un cristallin artificiel ; et pour la DMLA, elle propose
souvent des injections intraoculaires plus ou moins douloureuses et
à l’efficacité incertaine.
Parmi les remèdes alternatifs naturels, concernant la cataracte, j’ai
déjà signalé le DMSO à 25 % en goutte dans l’œil ; et pour la
DMLA, je proposais jusqu’alors Neurophyt + TCM, ou vitamine C
liposomale, ou huile de sacha inchi, ou Naturastem + AFA.
« Extra Life Vision » vient donc enrichir notre boîte à outils pour les
yeux, en outre polyvalent pour les deux syndromes cités, et
particulièrement adapté pour remédier aux agressions oxydatives
des rayons UV du soleil engendrant des vieillissements organiques
prématurés.
Extra Life Vision est composé de trois éléments actifs que je vais
présenter ensuite : l’astaxanthine (majoritaire), l’extrait de
myrtille fermentée, et la lutéine.

L’ASTAXANTHINE :
UNE CURIOSITÉ TRÈS PERFORMANTE
L’astaxanthine est une molécule fabriquée par de l’algue
Haematococcus pluvialis. C’est un pigment naturel de couleur rose
ou rougeâtre qui appartient à la famille des caroténoïdes. Pour
rappel, les caroténoïdes sont les grands protecteurs contre les
attaques des radicaux libres toxiques. À noter la couleur rose de
certains gros consommateurs de zooplancton, comme les flamants
roses, les saumons, les crevettes.
Mais l’apport de l’astaxanthine ne s’arrête pas à la coloration. En
plus, il donne aux grands consommateurs une énergie
exceptionnelle. À titre d’exemple celui des saumons sauvages
capables de remonter des rivières pendant plus d’une semaine pour
aller se reproduire ; idem pour certains esturgeons. De fait, cela a
été confirmé par les scientifiques qui se sont penchés sur ce cas
d’espèce en constatant que les saumons sauvages stockent une
concentration hors norme d’astaxanthine dans leurs muscles.
Dans l’Extra Life Vision, l’astaxanthine est sous la forme liposomale,
un liposome étant pour mémoire une microbulle phospholipidique
de transport, capable de passer au travers des membranes
cellulaires puisqu’elles sont de la même composition graisseuse.

PROCESSUS DE LA DÉGÉNÉRESCENCE
DES YEUX
Chez certaines personnes, les défenses immunitaires des yeux
présentent une forme d’allergie aux rayonnements du soleil en
déclenchant une attaque destructive contre ce qu’elles considèrent
être un ennemi extérieur. Pour cela, les cellules NK sécrètent un
superoxydant, en l’occurrence de l’eau oxygénée, qui, en l’absence
ou insuffisance d’un antioxydant naturel de nettoyage (ex. : L-
glutathion endogène), brûle petit à petit les tissus environnants –
d’où vieillissement accéléré de l’organe. C’est en fait une réaction
auto-immune, donc d’autodestruction locale. C’est le cas de la
DMLA et de la cataracte. Ainsi, l’astaxanthine protégeant les yeux
des réactions allergiques à la lumière peut résoudre ces problèmes
graves de vision : la DMLA et la cataracte.

L’ASTAXANTHINE
NE S’APPLIQUE PAS QU’AUX YEUX
Son utilisation clinique avec un recul de plus de dix années a montré
qu’elle :
• Accélère la combustion des graisses.
• Améliore la fertilité chez l’homme.
• Améliore les performances physiques et combat les courbatures.
• Maintient les capacités du cerveau.
• Protège aussi la peau des rayonnements ultraviolets : préparation
au bronzage.
• Protège de l’artériosclérose.
• Protège des maladies dégénératives liées à la superoxydation.
• Réduit les rides et les taches de vieillesse.
• Règle les problèmes inflammatoires (arthrite, tendinite, gastrite…).

GARANTIE QUALITÉ DE
L’ASTAXANTHINE
Il se vend de tout sur le marché qui est proposé par les labos, dont
le prix est tiré vers le bas, mais dont la qualité laisse à désirer.
Concernant « Extra Life Vision », c’est le totum d’une microalgue
pure qui est cultivée naturellement en eau douce dans le bassin
méditerranéen au sud de la France.
La production se fait dans un milieu naturellement ensoleillé mais
fermé par un procédé breveté et unique permettant de contrôler et
de garantir une production à basse température, non contaminée par
d’autres espèces, et sans métaux lourds (suivi rigoureux d’analyses
par le producteur lui-même), ce qui n’est pas forcément le cas
lorsque la production se fait en bassin ouvert où les risques de
contamination sont possibles.

L’EXTRACYAN® (MYRTILLE
FERMENTÉE)
C’est le seul extrait de myrtille fermentée d’un complexe très stable
de deux tannins avec les proanthocyanidines et les anthocyanidines.
C’est un ingrédient entièrement naturel unique sur le marché,
produit par la société française Ferlux située en Auvergne ; il est
doté d’un statut API (ingrédient pharmaceutique actif).
Il réduit aussi l’oxydation dans les troubles oculaires et les
problèmes de la vision. Les études cliniques confirment
qu’Extracyan possède un effet bénéfique sur la circulation sanguine
et capillaire, la santé cardiovasculaire et cognitive.

LA LUTÉINE
C’est l’un des pigments caroténoïdes qui se trouve en très forte
concentration dans la rétine de l’œil, plus précisément dans la
macula (tache jaune d’environ 2 mm de diamètre). Ce caroténoïde
n’est pas synthétisé par l’homme et doit donc être apporté par
l’alimentation végétale. La lutéine filtre la lumière bleue et a aussi un
effet antioxydant, deux actions majeures qui contribuent, selon les
chercheurs, à prévenir la dégénérescence de la rétine. À la
différence du bêta-carotène, la lutéine ne joue aucun rôle dans le
métabolisme de la vitamine A et ne peut donc être considérée
comme une provitamine.
Comme tous les caroténoïdes, la lutéine est mieux absorbée en
présence de matière grasse, car elle est liposoluble. Au cours des
études épidémiologiques, il a été démontré que les apports
quotidiens protecteurs se situent entre 6 mg et 10 mg.

INDICATIONS DE « EXTRA LIFE


VISION »
• Artériosclérose
• Arthrite
• Cataracte
• Cœur fatigué
• Courbatures après efforts
• Dégénérescence de certains organes
• DMLA (dégénérescence maculaire)
• Force physique en baisse
• Gastrite
• Inflammations diverses
• Mémoire défaillante et concentration difficile
• Peau (rides et taches de vieillesse)
• Stases sanguines et capillaires
• Stérilité masculine
• Tendinite
• Vision trouble

POSOLOGIE
1 gélule par jour.

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36

MRE
Améliore la vision, amplificateur d’Extra Life Vision

COMPOSITION DU MRE
• Extrait de Vitis vinifera (exGrape®) standardisé à 70 % en
polyphénols, 5 % en procyanidines et 15 % en anthocyanines.
• Extrait de Vaccinium myrtillus fermenté (Extracyan®) standardisé à
25 % d’anthocyanosides.
• Extrait de Vitis vinifera + extrait d’Olea Europaea OleoGrape®,
95 % en polyphénols, 15 % en procyanidines et 6 % en
hydroxytyrosol.

Nota L’huile d’olive permet d’éviter d’ajouter de la


maltodextrine dans la formule.

POURQUOI DES EXTRAITS DE PÉPIN


DE RAISIN ET D’OLIVE ?
Il est acquis qu’il y a deux régimes alimentaires ayant fait leurs
preuves pour accéder à une vieillesse en meilleure santé, échappant
majoritairement aux calamités de la vie moderne (artériosclérose,
maladies cardiovasculaires, arthrose, cancers) : c’est la diète
méditerranéenne et le french paradox.

À remarquer que le régime méditerranéen qui est à base d’une


consommation importante d’huile d’olive, et le french paradox
qui repose sur une consommation (modérée) régulière de vins
rouges à tannin, sont tous deux pourvoyeurs de polyphénols.

Or, parmi ces polyphénols, il y a l’hydroxytyrosol et les


procyanidines, qui présentent des effets anti-inflammatoires,
anticancer et antivieillissement. Ils stoppent également le
développement des bactéries pathogènes par un soutien su
système immunitaire.

OleoGrape® (extrait de pépins de raisin et d’huile d’olive) offre


justement les bénéfices combinés des deux régimes susdits. Il est
fabriqué par Grap’Sud avec des pépins de raisin collectés en
Champagne et des olives récoltées dans le Languedoc-Roussillon.

RAPPELS SUR LA MYRTILLE


FERMENTÉE
(EXTRACYAN®)
C’est le seul extrait de myrtille fermentée hautement purifié qui soit
un complexe très stable de deux tannins : les proanthocyanidines et
les anthocyanidines. Nous avons ainsi un ingrédient entièrement
naturel unique sur le marché, produit par la société française Ferlux
en Auvergne – il est doté d’un statut API (ingrédient pharmaceutique
actif).

Propriétés de l’Extracyan
Il réduit le phénomène oxydatif dans les troubles oculaires et les
problèmes de vision.
Nota Beaucoup d’anciens se rappellent que pendant la
guerre de 1939-1945, on faisait consommer aux pilotes de
chasse de la confiture de myrtille pour améliorer leur acuité
visuelle.

Par ailleurs, les études cliniques montrent qu’il possède un effet


bénéfique sur la circulation sanguine et capillaire, ainsi que sur la
santé cardiovasculaire et la performance cognitive.

Les anthocyanines (exGrape®)


Les anthocyanines sont des colorants naturels à l’origine des
couleurs rouge, rose, bleu et violet de beaucoup de fleurs, fruits et
légumes. Aujourd’hui plus de deux cents anthocyanes différents ont
été identifiées et caractérisées dans le monde végétal. Elles
appartiennent à un groupe de composés de plantes appelés
flavonoïdes, sous-groupe des polyphénols. Chaque fruit ou plante a
son propre profil d’anthocyanes et dans des proportions variées, les
raisins rouges et noirs contiennent une quinzaine d’anthocyanes.
Cet extrait naturel, issu de marcs de raisin d’une qualité
exceptionnelle, présente une riche activité antiradicaux libres, ce qui
explique ses effets contre le vieillissement prématuré et les
phénomènes de dégénérescence.
Il est fabriqué par le producteur français Grap’Sud, en
Languedoc-Roussillon, qui figure parmi les plus grands
spécialistes mondiaux de polyphénols de raisin. Il a sélectionné
et testé plus de dix combinaisons de raisins rouges français
(syrah, cabernet, merlot, carignan) afin de trouver le mélange le
plus efficace d’anthocyanes.

TEST ORAC DE L’OLÉOGRAPE®SEED


L’ORAC (acronyme pour Oxygen Radical Absorbance Capacity
signifiant en français : capacité d’absorption des radicaux oxygénés)
est une méthode de mesure des capacités antioxydantes dans les
échantillons biologiques.

L’Oléogrape seed a une valeur supérieure d’absorption des radicaux


oxygénés, beaucoup plus importante que le pycnogénol®, les
extraits de romarin, le thé ainsi et la vitamine C. Il inhibe également
sept fois plus que la vitamine E la production d’anion superoxyde.

INDICATIONS DU MRE
• Artériosclérose
• Arthrite, arthrose
• Cataracte
• Cœur fatigué
• Concentration difficile
• Courbatures après efforts
• Dégénérescence d’organes
• DMLA (dégénérescence maculaire)
• Force physique en baisse
• Gastrite
• Immunité insuffisante
• Inflammations diverses
• Mémoire défaillante
• Peau (rides et taches de vieillesse)
• Stases sanguines et capillaires
• Stérilité masculine
• Tendinite
• Vision trouble

PRÉCISION SUR LE MRE


• Complément amplificateur d’Extra Life Vision.

Nota Les contenances des gélules se limitant à 450 mg, les


ingrédients de MRE ne pouvaient prendre place dans celles
d’Extra Life Vision au regard de la quantité de produit
nécessaire à une efficacité maximale – d’où le couplage
recommandé de ces deux formules, en fonction des
désordres à régler.

POSOLOGIE
1 gélule par jour.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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37

MACA (POUDRE DE RACINE)


Pour la vitalité et la libido

Originaire du Pérou, la maca est une plante à racine pivotante


apparentée au navet. Elle pousse sur les hauteurs des Andes entre
4 100-4 500 m d’altitude, et sa maturation prend huit à neuf mois
nécessaires pour récolter sa racine.
La maca bio est cultivée sur un sol rocheux andin, avec des vents
forts et une température allant de + 20° à -15°. Ces conditions
climatiques extrêmes obligent la plante à des qualités de grande
résistance qu’elle est capable de transmettre à ceux qui la
consomment.

Des fouilles archéologiques ont démontré que la culture de la maca


remonte à 1600 avant J.-C., au temps des peuplades indiennes des
Andes. Considérée comme étant une plante sacrée, la Maca a été
longtemps consommée par les classes supérieures incas. Les
guerriers les plus distingués en étaient également pourvus lors des
batailles pour leur permettre de toujours exceller.

Les Incas connaissaient bien les vertus énergétiques et fortifiantes


de cette plante. Celle-ci était alors consommée comme de la patate
douce, réduite en poudre pour préparer des galettes ou concoctée
sous forme de crèmes sucrées. La civilisation inca utilisait
également ses vertus aphrodisiaques et l’utilisait pour activer la
virilité masculine.
Nota Elle a été longtemps utilisée comme monnaie
d’échange contre d’autres denrées alimentaires.

PROPRIÉTÉS
• Aide à perdre du poids.
• Améliore l’endurance physique.
• Aphrodisiaque naturel pour l’homme et la femme.
• Augmente la vitalité et la libido par voie de conséquence.
• Combat l’acidité et l’indigestion.
• Favorise la concentration et la clarté mentale.
• Harmonise la santé menstruelle et ménopausique.
• Réduit le stress et la fatigue accumulée.
• Revitalise les cellules cérébrales.

INDICATIONS
• Acidité gastrique
• Aphrodisiaque
• Asthénie
• Bouffées de chaleur
• Digestion paresseuse
• Érection difficile ou incomplète
• Fatigue persistante
• Frigidité
• Frilosité
• Impuissance
• Libido déficiente (hommes et femmes)
• Ménopause
• Ostéoporose
• Stérilité
• Stress
• Vitalité (en baisse)

CONTRE-INDICATIONS
• Hypertension.
• Problèmes cardiaques.

POSOLOGIE
1 à 2 cuillères à café (= 5 à 10 g) par jour, 20 min avant les repas, à
diluer dans une boisson froide. La maca bio peut se saupoudrer avec
parcimonie dans le bol de céréales du petit déjeuner, dans les
soupes, les sauces, les jus, les salades de fruits, les compotes, les
yaourts…

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


Poudre de racine biologique en sachet de 100 g
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38

DIGEST-GI
Digestion paresseuse

Le concept de la formule traditionnelle « bon appétit » est une


civilité étonnante qui ne correspond à rien de logique. Serait-ce un
encouragement à manger beaucoup, alors que la propagande
diététique est unanime pour dire que nous mangeons généralement
trop et mal ? Alors, serait-ce pour nous inviter à avaler des choses
qui ne sont pas très goûtues ? Aussi, lorsque l’on me souhaite selon
la bonne coutume de convivialité « bon appétit », je me retiens pour
ajouter au « merci » obligé, « pourquoi, ça ne va pas être très
bon ? » ou bien « pourquoi, le plat est-il raté ? ».
En fait, pendant qu’un milliard d’humains meurent de faim,
consommer même si l’on n’a pas faim est une sorte d’acte
anticivique propre aux pays riches – d’où l’invention des apéritifs
pour ouvrir l’appétit et des digestifs en sortie de repas pour digérer
parce qu’on a trop mangé !
Voici un moyen simple, non seulement pour assumer les tentations
de la gourmandise ou les obligations de la politesse élémentaire,
mais aussi et surtout de pallier un système digestif paresseux voire
carrément défectueux – c’est le Digest-GI, une véritable béquille
d’appoint à toujours avoir avec soi en cas de besoin.

LE DIGEST-GI, UN ASSISTANT
ALTERNATIF
DU PANCRÉAS
Le suc pancréatique est la partie exocrine de la glande pancréatique
qui se déverse dans la lumière digestive. Ce suc est composé de
deux constituants principaux : les bicarbonates et les enzymes
digestives.
Les bicarbonates alcalinisent le bol alimentaire acide au passage du
duodénum pour ne pas brûler l’intestin.

Trois enzymes digestives spécialisées :


• Les enzymes protéolytiques (trypsine, chymotrypsine,
carboxypeptidases) qui hydrolysent les protéines.
• Les enzymes glycolytiques (α-amylase) qui découpent l’amidon
des végétaux et hydrolysent les sucres.
• Les enzymes lipolytiques (lipase) qui hydrolysent les triglycérides,
les diglycérides et les monoglycérides.

Tout cela entre justement dans la composition du Digest-GI pour


venir au secours d’un pancréas fatigué.
Y sont ajoutées :
• De la lactase qui améliore la digestion des produits laitiers.
• De l’alpha-galactosidase qui permet la meilleure digestion de
certains légumes dont le chou-fleur et les légumineuses.

Mais aussi :
• De la maltase.
• De l’invertase.
• De la cellulase.
• De la serrapeptase.
• De la papaïne.

Le tout sur une base de cellulose microcristalline.

INDICATIONS DE DIGEST-GI
• Allergies alimentaires
• Appétit (perte)
• Assimilation déficiente
• Ballonnements
• Brûlures d’estomac
• Cancer colorectal (adjuvant)
• Cancer estomac (adjuvant)
• Cancer pancréas (adjuvant)
• Chirurgie gastrique (suite)
• Chirurgie pancréas (suite)
• Colite ulcéreuse
• Côlon irritable ou entoxiné
• Diarrhées récurrentes
• Digestion difficile
• Douleurs abdominales
• Éructations
• Estomac (brûlures)
• Fibrose kystique
• Flatulences
• Intolérances alimentaires
• Maladie de Crohn
• Pancréas (insuffisances)
• Ulcère de l’estomac

TÉMOIGNAGE PERSONNEL
Depuis des années, j’ai des digestions capricieuses avec souvent
des accélérations cardiaques en liaison avec des intolérances. Dès la
première prise avant les repas principaux, je n’ai plus jamais eu
d’ennuis digestifs – un vrai bonheur !

POSOLOGIE
1 gélule avant chaque repas.
2 gélules avant un repas copieux.
Reprendre 1 gélule en cours de repas en cas de problème digestif
important.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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39

JUS DE POMME DE TERRE CRUE


Remède des gastralgies et de l’acidose,
facile, économique, très efficace !

J’ai reçu différentes protestations me disant que la pomme de terre


crue est toxique et que mon conseil est irresponsable. Ces gens se
contentent de croire et colportent des « on-dit » sans aucun
fondement. Je n’ai pas recopié des commérages. Je pratique ce
remède quasi magique dès que je suis dérangé depuis des années
et j’en fais profiter mon entourage qui est chaque fois enchanté du
résultat presque immédiat.
Un ami a même stoppé net un grave ulcère gastrique hémorragique
en vingt-quatre heures. Ni moi ni personne n’avons jamais été
incommodés et encore moins empoisonnés. Simplement, je
conseille d’utiliser des pommes de terre de culture au moins
traditionnelle ou mieux, bio.

Nota Il faut les éplucher.

PROPRIÉTÉS THÉRAPEUTIQUES
1.C’est un excellent anti-inflammatoire.
Il a un effet analgésique contre les douleurs musculaires et
articulaires, donc l’arthrite et les rhumatismes.
2
. C’est un désintoxiquant général.
Il stimule l’élimination des déchets accumulés dans le foie, le côlon
et les reins ainsi que les toxines qui voyagent dans le sang.

3
. Il renforce le système immunitaire.
Les composés du jus de pomme de terre crue sont alcalinisants ;
ils réduisent l’acidité éventuelle du sang. Cela optimise le pH
naturel de tout l’organisme diminuant du coup l’acidose tant
répandue actuellement et ses multiples affections corollaires.
Enfin, ils offrent même un apport de vitamine C qui renforce les
défenses immunitaires.

4
. Il combat la goutte.
Consommer deux verres de jus de pomme de terre crue tous les
jours est un superremède pour les gens victimes d’une
accumulation de cristaux d’acide urique dans leurs articulations.
Par ailleurs, ceux qui sont coutumiers des calculs rénaux s’en
trouvent prémunis ou libérés.

5
. Il règle l’indigestion et les reflux gastriques.
Il suffit d’en boire quelques cuillères à soupe après chaque repas
pour libérer la sensation de lourdeur et neutraliser l’acidité
excessive.

6
. C’est le remède roi des gastralgies.
Avec deux à trois verres dans la journée, flatulences, gastrites et
même les ulcères de l’estomac sont résolus pratiquement sur-le-
champ.

7.Il calme la colite.


Ses propriétés anti-inflammatoires et alcalinisantes rééquilibrent
rapidement le microbiote intestinal.

8
. Il combat les pellicules.
L’application directe de jus de pomme de terre sur le cuir chevelu
est une solution efficace contre les mycoses qui génèrent les
pellicules. De plus, les cheveux deviennent plus beaux et plus
brillants.

Comment préparer du jus de pomme de terre crue


Vous aurez besoin d’une à trois pommes de terre selon leur
grosseur, sans protubérances ou points noirs qui sont possiblement
toxiques. Le mieux est qu’elles soient bio.
Préparation avec un mixeur :
• Épluchez les pommes de terre, coupez-les en morceaux et mettez-
les dans le mixeur ou l’extracteur.
• Ajoutez-y un verre d’eau (200 ml).
• Buvez tout de suite après avoir obtenu une boisson homogène.

Préparation avec un extracteur de jus :


Si vous avez la chance d’avoir pu acquérir cet appareil, c’est encore
mieux, et vous n’aurez pas besoin d’ajouter d’eau, mais mélangez
bien le dépôt au fond.

Nota Cette boisson au peu de goût n’est pas désagréable,


au contraire, et elle soulage immédiatement l’estomac en
cas de douleur.

INDICATIONS DU JUS DE POMME DE


TERRE CRUE
• Acidité gastrique (hyper)
• Acidose
• Arthrite
• Calculs rénaux chroniques
• Colite
• Douleurs inflammatoires
• Encombrement des organes filtres
• Flatulences
• Gastralgies
• Gastrite
• Goutte
• Immunodéficience
• Indigestion
• Inflammations
• Pellicules (en externe)
• Reflux gastriques
• Rhumatismes
• Sang : nettoie
• Toxémie générale
• Ulcère de l’estomac

REMARQUES POUR LES GASTRALGIES


1.Laissez tomber les Helicobacter dont la médecine nous rebat les
oreilles ; ils ne sont pas la cause mais la conséquence des
pathologies gastriques.
2
. L’estomac est en relation ortho-sympathique avec le disque
vertébral D6-D7, qui mémorise et stocke des stress non digérés.
Le stress dessèche les muqueuses. Or, particularité de
l’estomac : il digère la viande, en partie grâce à son acide
chlorhydrique sans s’autodigérer alors qu’il est fait aussi de
viande… Le secret réside dans son mucus protecteur que le
stress peut assécher en partie, je vous laisse imaginer la suite…

POSOLOGIE
État de crise : 3 demi-verres à moutarde par jour. Bien mélanger la
pulpe.
Entretien : 1 demi-verre à moutarde par jour.
40

OSTÉORENOV
La solution de l’ostéoporose

Selon l’OMS, « l’ostéoporose est une maladie caractérisée par une


faible masse osseuse et la détérioration microarchitecturale du tissu
osseux, une fragilité osseuse et, par la suite, une augmentation du
risque de fracture ». L’ostéoporose est donc une pathologie
dégénérative du tissu osseux étroitement liée au cycle de vie du
squelette. Elle touche surtout les femmes et dans une moindre
mesure, les hommes. Chez les femmes, la fréquence de
l’ostéoporose est d’environ 10 % à 60 ans, de 20 % à 65 ans et de
40 % à 75 ans.
• L’ostéoporose de type 1 ou post-ménopausique se manifeste cinq
à quinze ans après la ménopause et elle est classiquement liée à
l’arrêt de la fonction ovarienne. Elle entraîne une perte osseuse
prédominante à l’os trabéculaire ou spongieux. Cela n’est pas une
maladie mais une évolution normale.
• L’ostéoporose de type 2 entraîne une perte osseuse globale et
survient chez l’homme comme chez la femme, principalement
après l’âge de 70 ans.

Il faut noter qu’une mauvaise calcification au cours de l’enfance


(déficit alimentaire en minéraux et pendant l’hiver, déficit en
vitamines liposolubles) accentue le risque d’ostéoporose à l’âge
adulte.

LE CYCLE DE VIE DU SQUELETTE


On distingue trois phases principales du remodelage osseux au
cours de la vie :
• La phase de croissance est celle de l’acquisition progressive du
« pic de masse osseuse » vers l’âge de 18 ans ; toutefois, chez
certaines personnes la croissance peut se poursuivre au-delà de
20 ans. À noter que le pic de densité osseuse est plus élevé chez
la femme que chez l’homme.
• La phase d’équilibre, jusqu’à 30-35 ans environ, où la synthèse
osseuse est en équilibre avec la résorption osseuse.
• La phase de dégénérescence, au cours de laquelle la masse
osseuse diminue lentement chez les hommes ; par contre, chez
les femmes, en raison de la diminution des œstrogènes, la masse
osseuse baisse brutalement les premières années de la
ménopause puis diminue plus lentement, si bien qu’à 80 ans, elles
ont perdu environ 40 % de leur pic de masse osseuse, alors que
chez les hommes cette perte est d’environ 25 %.

En cas d’ostéoporose, les cellules qui fabriquent la matrice osseuse


(les ostéoblastes) diminuent et la synthèse osseuse est ralentie. À
l’inverse, les cellules responsables de la destruction osseuse (les
ostéoclastes) tendent à augmenter. La résorption osseuse est alors
fortement stimulée car la suractivité des ostéoclastes induit une
décalcification. Celle-ci aboutit non seulement à une perte de masse
osseuse, mais aussi à une fragilisation du squelette.
Des traumatismes même légers peuvent provoquer des fractures
(col du fémur, vertèbres, membres) dont les conséquences peuvent
mettre en danger la vie des personnes âgées.

Selon Thierry Souccar, la plupart des produits recalcifiants


conseillés par la médecine officielle ont tendance à bloquer les
ostéoclastes (destructeurs des vieux tissus osseux), si bien que les
ostéoblastes (qui refabriquent du tissu neuf) restent en attente. Le
résultat est que les personnes se retrouvent avec des os morts au
lieu de tissus osseux vivants. La densitométrie osseuse donnant
dans ce cas des valeurs normales rassure faussement tout le
monde, ce qui n’empêche pas les os (qui sont morts) de casser
facilement…

CONSEILS NUTRITIONNELS
Contrairement aux idées reçues, les viandes, les céréales, et surtout
les produits laitiers tant conseillés par la médecine officielle
n’apportent rien au maintien d’une bonne santé des os. En excès, ils
sont responsables d’un déséquilibre acido-basique, et carrément
d’une fuite minérale plus ou moins importante.
À noter que dans les pays où les produits laitiers sont absents, on ne
trouve pratiquement pas de troubles du calcium, et que les pays les
plus gros consommateurs connaissent les plus gros dégâts osseux.
Au contraire, les fruits et légumes frais ou secs riches en minéraux
(algues, choux, sésame, amandes, noisettes, noix, pois chiches,
haricots, lentilles, etc.) et les poissons gras riches en acides gras
poly-insaturés (sardine, maquereau, hareng, saumon bio, flétan,
etc.), les graines germées ou non (alfalfa, millet, sésame, soja,
amarante, quinoa, fenouil, etc.) sont nécessaires car ils permettent
de couvrir les besoins métaboliques réels.
Comme l’iode stimule la thyroïde dont la calcitonine agit avec la
parathormone sur la régulation du métabolisme calcique, il ne faut
pas négliger son apport alimentaire (algues marines, fruits de mer,
poissons, sel marin, etc.), en particulier chez les hypothyroïdiens.

Remarque Il ne faut pas oublier un phénomène connu qui


est la piézoélectricité des os longs qui autorise et génère le
métabolisme du calcium. Ainsi, il est bien connu que les
malades longtemps alités sont victimes de décalcification –
par ailleurs, les cosmonautes en séjour prolongé en
apesanteur connaissent le même problème.
QUELS REMÈDES NATURELS ?
Les mauvais remèdes sont les produits pharmaceutiques
couramment proposés par la médecine orthodoxe, qui d’une part
sont très peu métabolisables, ce qui signifie qu’ils peuvent se
déposer au gré des champs électriques internes de l’organisme sur
des sites osseux articulaires sous forme d’exostoses (becs-de-
perroquet).
Par ailleurs, il y a deux éléments du tableau de Mendeleïev – le
magnésium et le silicium – qui sont capables par mutation à basse
énergie de se transformer en calcium. C’est parfaitement connu
mais caché depuis plus d’un demi-siècle, car dérangeant
énormément le grand business de l’industrie laitière et de la
pharmacie. Je me dois de citer (encore et encore) :
1.Les expériences du Dr Pierre Delbet (1861-1957), grand
promoteur du chlorure de magnésium et qui inventa, avec le
Dr Philippe Chapelle, la delbiase. Ses recherches et
expérimentations dans le domaine vétérinaire jouèrent un rôle
notable dans le développement des applications thérapeutiques.
En particulier, il fit élever des veaux avec une alimentation
exclusivement riche en calcium – les veaux devinrent rachitiques.
Par ailleurs, il fit élever des veaux avec une alimentation
exclusivement riche en magnésium – les veaux étaient en
parfaite santé avec une calcification et un développement osseux
optimum. Cela prouve qu’ils ont transformé le magnésium en
calcium. À noter que l’opération inverse n’est pas possible.
2
. Les célèbres expériences sauvagement contestées de
Corentin Louis Kervran (1901-1983) sont pourtant claires : alors
qu’il vit sur le sol granitique breton, Kervran a élevé des poules
en les privant soigneusement de tout apport de calcium. Leur
seul apport minéral était de la silice. Ces poules n’avaient aucun
problème osseux et faisaient des œufs avec une belle coquille de
calcaire, et cela sur une longue période de temps. À noter que
pour effectuer de telles mutations, il est normalement nécessaire
d’utiliser un cyclotron consommant des mégawatts d’électricité…

Est-ce là une attitude scientifique, qui n’a jamais daigné essayer de


reproduire officiellement cette expérience, même surprenante ?…
des fois que ça marcherait !

OSTÉORENOV,
FRUIT DE MULTIPLES RECHERCHES
OstéoRenov est particulièrement riche en nutriments entrant
dans la synthèse des os et empêchant leur résorption. De plus,
ces nutriments sont en équilibre physiologique et agissent en
synergie grâce à leur complémentarité fonctionnelle :
• Les sels organiques de calcium et de magnésium
(glycérophosphate, gluconate, citrate, carbonate et hydroxyapatite)
sont graduellement biodisponibles, ce qui entraîne un processus
modulé de minéralisation des os.
• Les oligosaccharides, le magnésium, le manganèse, les
vitamines du groupe B et la lactoferrine stimulent la microflore
de protection intestinale qui favorise l’assimilation des nutriments
contenus dans OstéoRenov.
• Les oligo-éléments (Zn, Mn, Cu, Se, Cr), les vitamines
liposolubles et hydrosolubles interviennent, en tant que
catalyseurs biologiques, dans de très nombreux processus
métaboliques, dans la formation du collagène et dans la
minéralisation des os, tout en s’opposant au vieillissement
prématuré de l’organisme.
• L’hydrolysat de protéines marines, la L-arginine, la L-lysine et la
taurine participent à la synthèse de la matrice protéique de l’os
tout en diminuant sa résorption. De plus la L-lysine favorise
l’assimilation du calcium.
• Le méthyl-sulfonyl-méthane (MSM) et la taurine sont des
sources naturelles de soufre qui entrent dans la formation du
collagène et dans la synthèse des cartilages. De plus, la taurine
améliore l’incorporation des minéraux (Ca, Mg, Zn) dans les
cellules par fixation sur des sites membranaires spécifiques.
• L’acide linoléique conjugué (CLA) réduit la synthèse des
prostaglandines pro-inflammatoires PGE2 et empêche la résorption
osseuse en stimulant la phosphatase alcaline.
• La lactoferrine stimule la différenciation et la prolifération des
ostéoblastes (formation osseuse) et réduit l’apoptose
ostéoblastique. De même, la lactoferrine stimule la prolifération
des chondrocytes primaires dans la synthèse des cartilages. Elle
affecte également les ostéoclastes (résorption osseuse) en
inhibant leur formation.
• La vitamine D est indispensable à l’assimilation du calcium et du
phosphore. Dans l’os, elle mobilise le calcium et le phosphore et
participe à la minéralisation du tissu ostéide.
• La vitamine A intervient dans la différenciation et la croissance
cellulaire, participe à la synthèse des glycoprotéines entrant dans la
composition de la matrice collagénique.
• La vitamine K permet la fixation des ions Ca++ sur l’ostéocalcine
(K-dépendante), protéine impliquée dans la minéralisation osseuse.
• Les vitamines E, C et le carotène permettent de lutter contre le
stress oxydatif qui détruit le tissu osseux.

COMPOSITION D’OSTÉORENOV
OstéoRenov est une préparation en poudre formée des ingrédients
suivants (tous garantis sans OGM) : gluconolactate de calcium,
fructose, hydroxyapatite marine (extraits d’arêtes de poisson),
oligosaccharides prébiotiques, glycérophosphate de calcium et de
magnésium, carbonate de magnésium, méthyl-sulfonyl-méthane
(MSM), isomalt, L-lysine, extrait d’acérola (17 % vitamine C),
hydrolysat de protéine de poisson (Micromesistius poutassou), L-
arginine, maltodextrine, taurine, citrate de potassium, lactoferrine
(protéines de lait) ; manganèse, cuivre, chrome et sélénium liés à
des protéines de levure ; acide linoléique conjugué (CLA), gluconate
de zinc ;
+ vitamines E, A, D et K naturelles ; vitamines B1, B2, B3, B5, B6, B8,
B9, B12 ; arôme naturel de citron ;
+ adjuvant de fabrication : dioxyde de silicium.

Boîte de 450 g de poudre pour une cure nutritionnelle de 30 à


60 jours.

INDICATIONS DE L’OSTÉORENOV
• Calcification de l’adolescence
• Calcium (malabsorption)
• Cartilages (dégénérescence)
• Collagène (carence)
• Déminéralisation
• Ostéoporose de la ménopause
• Ostéoporose des plus de 70 ans
• Vieillissement organique prématuré

CONSEILS D’UTILISATION
Pendant 4 à 6 mois : 1 mesure dans un verre d’eau tiède le matin
et le midi.
Puis en entretien : 1 mesure dans un verre d’eau tiède le matin ou
le midi.
Nota Éviter impérativement de prendre tout autre
supplément en vitamine A et D.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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41

SECONDE JEUNESSE
Séquelles de chimiothérapie et de radiothérapie

Nous allons voir ici une maladie qui fait des ravages parmi les
seniors du 3e âge : c’est l’hellépathie. Eh oui ! « Hellépathie ta
jeunesse ! » « Seconde jeunesse » est une formulation (pour
hommes et femmes) qui vise quatre actions :
• Lutter contre la fonte musculaire liée à l’âge (sarcopénie).
• Rajeunir les mitochondries (microcentrales d’énergie au sein de
nos milliards de cellules).
• Augmenter le taux de testostérone (tout en restant dans les
limites physiologiques raisonnables).
• Remodeler doucement votre silhouette.

FONTE MUSCULAIRE LIÉE À L’ÂGE


Faute d’entretien minimum, notre force musculaire diminue
d’environ 15 % par décennie entre 30 et 80 ans. Alors qu’à 30 ans
notre masse musculaire représente 45 % du poids corporel, à
70 ans elle n’est plus que de 27 %. L’étude Framingham a montré
que 65 % des femmes âgées de plus de 75 ans sont incapables de
soulever une charge de 4,5 kg !
C’est autant un problème de masse musculaire que de force
musculaire. Les muscles des membres inférieurs sont en général
plus touchés que ceux des membres supérieurs. Entre 70 et 90 ans,
la force des muscles fléchisseurs du genou décroît selon les cas de
25 % à 80 %. C’est autant un relâchement des muscles qu’une
diminution de la vitesse de contraction.
Par ailleurs, avec l’âge, les seniors assimilent moins bien les
protéines et la capacité de l’organisme à les synthétiser diminue. La
masse musculaire est un indicateur des capacités d’autonomie.
Différentes études montrent que la dénutrition multiplie jusqu’à
quatre fois le risque de mortalité. Le premier but de Seconde
Jeunesse est de tenter de pallier cette carence d’assimilation.
Pour tout cela, il a été introduit dans sa composition des trésors
antiâge dont certains très peu connus :
De la citrulline
Il s’agit d’un acide aminé qui n’entre pas dans la composition des
protéines mais qui agit sur le métabolisme protéique (catalyseur).
Elle est également le seul acide aminé à ne pas être capté par le
foie. Elle échappe donc à l’extraction des acides aminés alimentaires
par l’intestin et le foie pour leurs besoins propres. Normalement, la
citrulline est fabriquée par l’organisme, mais avec l’âge le corps en
produit de moins en moins.
La synthèse protéique musculaire s’accompagne normalement
d’une fonte de la masse grasse abdominale. De nombreuses études
démontrent l’intérêt d’un apport de citrulline dans le cadre de la
fonte musculaire. Son action rend service aussi dans le cadre de
l’asthénie. Au cours d’un exercice physique, elle augmente la
formation de l’ATP, diminue la concentration sanguine de l’ammoniac,
diminue la sensation de fatigue et améliore donc la performance.
Chez l’être humain, la moyenne des études cliniques s’accorde sur
une augmentation de 25 % de la synthèse protéique musculaire.
L’apport de citrulline s’associe bien sûr avec une activité physique
régulière : trente minutes à une heure chaque jour (marche, vélo,
etc.), légèrement tonique et sans forcer.

De l’acide ursolique
Il s’agit d’un acide présent dans les feuilles de néflier, qui est une
petite merveille de la nature ; voyons d’abord ce que nous pouvons
espérer de ce bienfaiteur. C’est un anti-inflammatoire et un
anticancéreux. Ainsi :
• Il bloque la production de COX-2 (pro-inflammatoire) par les cellules
cancéreuses (rappelons que le cancer a besoin d’inflammation
pour se multiplier).
• Il induit l’apoptose (mort cellulaire programmée) des cellules
cancéreuses, il déclenche la mort des cellules tumorales ou
participe à leur destruction au premier stade du cancer.
• Il protège des effets secondaires liés aux chimiothérapies et
radiothérapies.
• Il a une activité antivirale, antimicrobienne et immunostimulante.
• Il a un effet protecteur vis-à-vis de la maladie d’Alzheimer en
inhibant l’enzyme qui détruit l’acétylcholine.
• Enfin, il protège la peau du photo-vieillissement et inhibe
puissamment l’élastase, enzyme qui attaque les protéines
structurelles de l’assise cutanée.
Vous l’aurez compris après ce tour d’horizon, l’acide ursolique est le
meilleur compagnon des retraités ! Mais si nous revenons à notre
premier objectif, c’est aussi un grand ami des muscles : l’acide
ursolique est un acide gras qui augmente la synthèse musculaire au
détriment des dépôts de graisse dans les adipocytes (super !). C’est
en fait un agent de recomposition. Il permet de brûler des graisses
(hanches, abdomen, fessier…) tout en stimulant la synthèse de
nouveaux tissus musculaires et en préservant la masse musculaire
maigre.

C’est un antiaromatase léger qui préserve donc un tant soit peu la


testostérone et permettra un contrôle des œstrogènes. Noter que
ces résultats sont obtenus sans changer de régime alimentaire.

Il régularise les taux sanguins de glucose, de cholestérol et de


triglycérides.

Il stimule aussi la concentration d’irisine qui est une molécule


hormonale induite par l’exercice et le métabolisme. Celle-ci joue un
rôle d’intermédiaire entre le tissu adipeux et le tissu musculaire.
L’irisine permet d’augmenter les dépenses énergétiques et de
diminuer l’obésité et la glycémie.

Les centenaires en bonne santé sont caractérisés par des taux


sanguins d’irisine supérieurs à la moyenne.

Nota L’acide ursolique contenu dans « Seconde Jeunesse »


est sous forme d’un Eriobotrya japonica dosé à 90 %.

De la vitamine D
Lorsque la vitamine D arrive aux muscles, elle en augmente la
puissance et le bon fonctionnement. Des études ont montré que
des apports de 1 000 UI par jour augmentent le volume des muscles
mais aussi leur tonicité. Ainsi, il a été prouvé chez les plus de 60 ans
que les chutes diminuaient de 20 % avec un taux adéquat de
vitamine D.
Cependant, il existe encore une autre cause considérée comme un
facteur important de l’atrophie musculaire : le dysfonctionnement
mitochondrial.

RAJEUNIR LES MITOCHONDRIES


Plus que l’âge de nos artères, nous avons l’âge de nos
mitochondries. Ce sont des microchaudières au sein de nos cellules,
qui convertissent les nutriments en énergie. Leur défaillance peut
provoquer la fatigue chronique, l’asthénie musculaire, la
fibromyalgie, la maladie d’Alzheimer et d’autres pathologies
neurodégénératives, le cancer.
Nous possédons dix mille milliards de mitochondries qui chaque jour
produisent 40 kg d’ATP (adénosine triphosphate molécule
d’énergie). Mais avec l’âge, l’oxydation augmente, mettant à mal les
mitochondries. Ainsi, selon les études, jusqu’à la moitié des plus de
35 ans ont une baisse progressive d’ATP dans les mitochondries.
Les causes en sont multifactorielles. Ainsi, au fil du temps, les
mitochondries produisent moins d’énergie et sont de plus en plus
attaquées par les radicaux libres. C’est pourquoi à 80 ans
on se fatigue bien plus vite qu’à 20 ans et les muscles
sont amoindris.

Pour remettre du feu dans les chaudières mitochondriales, trois


outils pertinents ont été sélectionnés : la coenzyme Q10,
l’alpha R-lipoïque et la carnitine.

AUGMENTER LE TAUX DE
TESTOSTÉRONE
Aujourd’hui de nombreuses études démontrent qu’un taux élevé de
testostérone, contrairement aux idées antécédentes reçues, est
bénéfique pour la prostate. Morgentaler et Rhoden, chercheurs,
ont conclu que le risque de cancer de la prostate est doublé si la
testostérone est à faible taux. Mieux, de récentes preuves
suggèrent que les hommes à faible testostérone risquent de
développer un cancer de la prostate plus agressif.

Symptômes d’un manque de testostérone


• Prise de poids : naissance de la bedaine, par stockage de graisses,
qui génèrent de l’inflammation.
• Fonte musculaire : dans la mesure où l’on se bouge, c’est la
testostérone qui permet de donner de la masse et de la force aux
muscles. Pour tout dire, elle leur est indispensable. Cette hormone
agit aussi sur la production de globules rouges (qui transportent
l’oxygène aux muscles – y compris au muscle
cardiaque qui bénéficie aussi de la testostérone).
• Baisse de la libido : la testostérone est aussi appelée hormone du
désir – sa diminution favorise donc aussi une dysfonction érectile.
• Augmentation du risque cardiovasculaire : toutes les études
récentes en témoignent avec une augmentation du risque
cardiovasculaire, et ce d’autant plus qu’il y a prise de poids…
comme quoi tout est lié.

La testostérone est un régénérant des parois artérielles. Sans


elle, la paroi se rigidifie, il y a donc perte d’élasticité des
vaisseaux doublée alors d’un muscle cardiaque moins puissant.
La baisse de testostérone entraînant une augmentation du
mauvais cholestérol (LDL), des triglycérides, de la pression
artérielle, ainsi que du dépôt de lipides, les plaques d’athérome
trouveront alors là un terrain de jeu idéal pour prospérer. Il sera
plus difficile encore de régénérer les parois artérielles. Attention
alors à l’infarctus !

• Mauvais sommeil : notre organisme produit davantage de


testostérone lorsque nous dormons. Mieux nous dormons, plus
nous augmentons nos niveaux de testostérone. Un mauvais
sommeil est donc révélateur d’un problème de testostérone.
• Irritabilité, nervosité et baisse cognitive : notre cerveau est riche
en récepteurs d’androgènes, ainsi une baisse de testostérone
agira sur notre comportement. Comme notre hormone du désir
diminue, il se développe un manque d’intérêt pour les choses
nouvelles. Un manque de testostérone peut favoriser la perte
d’estime de soi, le manque de motivation, l’irritabilité. La chute de
testostérone agit également sur la baisse des performances
cognitives (lien indirect avec l’acétylcholine, neurotransmetteur de
la mémoire).
• Perte de cheveux et peau sèche : ceux concernés connaissent
sûrement le terme « alopécie androgénique » (perte de cheveux au
sommet du crâne), en lien avec l’excès de DHT. Donc, plus il y a de
DHT, moins il y a de cheveux. Un manque de testostérone donne
aussi une peau plus sèche, plus plissée. À l’inverse, un excès
donne une peau grasse et plus ou moins d’acné, comme on peut
l’observer chez les adolescents dont les niveaux de testostérone
sont au plus haut.
• Risque osseux : la testostérone augmente la densité osseuse car
elle stimule les ostéoblastes qui génèrent la trame des os. Elle agit
aussi sur la pénétration du calcium dans l’os. Enfin, elle agit aussi
de manière préventive sur la perte des dents.

À noter que les femmes ménopausées ont tout intérêt comme les
hommes vieillissants à générer naturellement de la testostérone…
car celle produite par les ovaires cesse à la ménopause (il reste celle
produite par les surrénales et le tissu adipeux). Tout comme les
hommes, la carence en testostérone génère surpoids, fonte
musculaire, baisse du désir, de l’orgasme et de la libido, risque
cardiovasculaire, déclin cognitif, risque osseux (ostéoporose),
instabilité, nervosité, peau flasque, paresse.
Que ce soit pour l’homme ou la femme, même combat, mêmes
bénéfices. Il n’y a pas de danger pour la femme de masculinisation à
prendre des précurseurs de la testostérone tel le trigonella
(composant de Seconde Jeunesse). C’est un stimulant naturel de la
testostérone qui ne créera pas de dérèglement hormonal et ne
stoppera pas le rétrocontrôle hormonal. À l’inverse, la testostérone
injectable obtenue par prescription médicale (ne respectant pas et
court-circuitant le système endocrinien) peut avoir des effets
secondaires.
Si le Trigonella foenum-graecum est aussi intéressant, c’est parce
qu’il contient des stéroïdes saponines telles la dioscine, la
diosgénine et surtout la protodioscine. Cette dernière est la plus
active pour augmenter les niveaux de testostérone et améliorer la
fertilité.
LA PROTODIOSCINE
Elle augmente indirectement le niveau de testostérone en élevant
ceux d’une autre hormone, l’hormone lutéinisante. Cette dernière
est produite par la glande pituitaire et régule la production de
testostérone.
Noter que la supplémentation en protodioscine ne perturbe pas le
mécanisme normal de régulation hormonale, c’est-à-dire que les
hormones en question ne dépasseront pas les niveaux
physiologiques. L’augmentation de testostérone améliore alors la
masse musculaire, la perte de graisse, l’endurance, les fonctions
sexuelles.
Protodioscine et libido
Une étude confirme l’activité proérectile de la protodioscine. C’est
aussi valable pour l’homme (verge) que pour la femme (clitoris).
À noter que la protodioscine est un stimulant général, elle restaure
vigueur et vitalité. Elle favorise l’activité motrice et le tonus
musculaire, intensifie la synthèse des protéines.

Protodioscine et fertilité
• Chez l’homme : la protodioscine augmente de façon significative
la mobilité des spermatozoïdes ainsi que leur nombre, mais
également leur morphologie (diminution de leur anormalité).
« Seconde jeunesse » est donc aussi très utile aux jeunes dont la
qualité du sperme et la fertilité sont en baisse continue. À forte
dose, elle augmente aussi le volume de l’éjaculation.
• Chez la femme : la protodioscine améliore l’ovulation chez deux
tiers d’entre elles.

Protodioscine et troubles féminins


Le protodioscine est un remède majeur de la ménopause, mais
aussi celui des règles douloureuses. Son efficacité est redoutable
dans ce domaine. Prendre alors « Seconde Jeunesse » un peu
avant, pendant et un peu après les règles. Concernant les bouffées
de chaleur, faire des cures préventives. À noter que la protodioscine
est une réponse adaptée au syndrome des ovaires polykystiques.
C’est donc un fait que la protodioscine nous donne accès à une
seconde jeunesse, autant chez l’homme que chez la femme en
accompagnement de l’andropause ou de la ménopause. Chacun y
gagne en vigueur à tous les niveaux. À noter que la protodioscine a
d’autres atouts dans sa manche :
• Anti-inflammatoire.
• Antioxydante.
• Antidiabétique.
• Anticholestérol.
• Ulcère gastrique.
• Cardiovasculaire.
• Vigilance mentale.

COMPOSITION DE SECONDE
JEUNESSE
• Malate de citrulline ;
• Trigonella foenum-graecum (20 % de protodioscine) ;
• Néflier du Japon, Eriobotrya japonica (90 % d’acide ursolique ) ;
• Coenzyme Q10 ;
• R-alpha-lipoïque ;
• Carnitine ;
• Stéarate de magnésium ;
• Vitamine D3 soit 990 UI.

INDICATIONS DE SECONDE JEUNESSE


• Artères : parois rigidifiées
• Asthénie musculaire
• Athéromes artériels
• Bouffées de chaleur
• Cardiovasculaire (déficience)
• Cheveux (alopécie androgénique)
• Chimiothérapie (séquelles)
• Cholestérolémie LDL et triglycérides (hyper)
• Cognitif (déclin)
• Diabètes
• Fatigue chronique
• Femmes (ostéoporose, instabilité, nervosité, peau flasque,
paresse)
• Fibromyalgie
• Glycémie (hyper)
• Hypertension artérielle
• Immunodépression
• Inflammations
• Insomnies
• Irritabilité femmes
• Libido : baisse
• Maladie d’Alzheimer
• Ménopause (troubles)
• Mitochondries (faiblissantes)
• Musculature (fonte)
• Nervosité féminine
• Obésité
• Ostéoporose féminine
• Ovaires polykystiques
• Peau (vieillissement par trop d’UV)
• Peau sèche, plissée
• Radiothérapie (séquelles)
• Règles douloureuses
• Terrain cancer
• Testostérone (carence)
• Ulcère gastrique
POSOLOGIE
3 gélules le matin ou le soir.

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SILICE DE PRÊLE OU D’ORTIE


Recharge aux effets multiples, antidote de l’aluminium

TOUTE LA CHAÎNE ALIMENTAIRE


EST CARENCÉE EN SILICE
L’explication est simple : toute la grande culture est soumise aux
engrais chimiques qui brûlent les vers de terre ainsi que tous les
micro-organismes aérobies et anaérobies du sol. Or savez-vous que
la silice ne peut être absorbée par les radicelles des plantes qu’avec
l’assistance intermédiaire de ces milliards de micro-organismes qui
prédigèrent les minéraux, et en dégorgent un miellat biodisponible,
un peu à la manière des abeilles avec le miel ? L’on comprend alors
pourquoi les blés qui faisaient 1,50 m de hauteur il y a cinquante ans
ont été génétiquement raccourcis à 50 cm maximum, afin de
pouvoir tenir debout en cas d’intempéries. Or, nous qui sommes au
bout de la chaîne alimentaire et qui consommons ces légumes et
ces céréales carencés en silicium (ainsi qu’en magnésium), nous ne
pouvons qu’être pareillement carencés. Sauf… si l’on consomme du
bio (sans engrais chimique) !

PROCESSUS DE RESTAURATION
DES VAISSEAUX… ET DES
ARTICULATIONS
Les parois des vaisseaux sanguins sont constituées principalement
de collagène donnant la résistance, et d’élastine donnant la
souplesse. Le silicium est indispensable à la synthèse de ces deux
constituants. Or la perte d’élastine induit une rigidité des artères, ce
qui favorise les dépôts de plaques d’athérome. De son côté, le
collagène maintient sa cohésion grâce aux propriétés électriques de
la silice.
Même en présence d’un taux élevé de cholestérol sanguin, les
plaques d’athérome ne se forment que si les parois sont rigides.

Il apparaît donc clairement que c’est la carence de silice qui


induit le durcissement et la fragilité des vaisseaux sanguins.

D’IMPORTANTS TRAVAUX DE
RECHERCHE
E. Carlisle a produit un abondant travail sur les effets multiples du
silicium, publié entre autres dans la prestigieuse revue Science.
L’auteur rappelle le fait que le silicium est essentiel pour le
fonctionnement du cerveau et que celui-ci est l’un de ses principaux
composants. Cela avait déjà été affirmé par Rudolf Steiner et le
Pr Rocard. Le cerveau étant un ordinateur, il est normal que la
silice soit l’élément de base pour son fonctionnement, comme
pour tous les ordinateurs !

DE CURIEUSES MUTATIONS
AU NIVEAU ATOMIQUE (POURTANT
DIFFICILEMENT
ADMISES PAR LA SCIENCE OFFICIELLE)
Il y a une possibilité aussi étonnante peu connue de la silice, qu’elle
soit d’ortie ou de prêle, c’est de recharger les organismes en
calcium par « transmutation à basse énergie ». Les expériences de
Kervran (Bretagne) ont prouvé que des poules ne pouvant picorer
que du sol granitique (silice) donnaient sans limite des œufs… avec
une belle coquille en calcaire, alors qu’il faut de puissants cyclotrons
pour réaliser la même chose techniquement.

Conclusion
• Le calcium seul ne sert à rien.
• Sans apport de calcium, les organismes savent en faire la
synthèse.

UNE ÉNORME DÉCOUVERTE


Carlisle a pu mettre en évidence que la supplémentation en silicium
permet une régression des effets de l’aluminium sur le cerveau.
Aussi, il déclare :
« … La découverte dont curieusement on ne parle jamais, c’est que
la silice présente une attirance électrique pour l’aluminium, ce qui lui
confère la propriété de le piéger où qu’il se trouve, même dans le
cerveau, et de l’évacuer vers les voies rénales. »
De son côté, Birchall a montré que :
• Le silicium s’agrège à l’aluminium, créant des précipités
d’aluminosilicates peu solubles et donc moins toxiques que
l’aluminium.
• Les eaux acides riches en silicium éliminaient chez le poisson les
effets toxiques de l’aluminium.
Bellia et Birchall concluent : le silicium est un véritable chélateur de
l’aluminium. Il agit comme un puissant neutralisant, il freine son
absorption intestinale, annule ses effets toxiques et augmente son
élimination rénale.
Cela n’est-il pas la réponse possible à la maladie d’Alzheimer ?

De trois cent mille cas en 1994 en France, on en compte environ un


million aujourd’hui.
Et curieusement, de plus en plus de jeunes sont maintenant
touchés…

L’aluminium des vaccins, c’est l’arbre qui cache la forêt, car


il se dissimule partout, dans des endroits que l’on ne
soupçonne pas, discrètement, et souvent sans être mentionné.
Il s’est glissé (légalement) dans de nombreux produits courants
des supermarchés : brioches, fromages, lait en poudre,
saucisses, et même cosmétiques.

POURQUOI CERTAINS SONT TOUCHÉS


ET PAS D’AUTRES ?
Or, si l’on admet que l’aluminium est un facteur déterminant de la
maladie d’Alzheimer, il est une question dérangeante qui se pose :
comment se fait-il que la génération de nos parents, qui ont
largement cuisiné et mangé toute leur vie dans de l’aluminium
(bidons, casseroles, cocottes-minute, etc.), n’en ait pas
spécialement subi de conséquences ?
J’ai moi-même mangé quotidiennement durant des années de
pensionnat, puis durant mon service militaire, puis dans les cantines
d’entreprise, du cuisiné dans de l’alu, et même à la maison dans ces
fameuses cocottes-minute en aluminium, longtemps restées à la
mode avant de passer à la version plus coûteuse en inox… et alors ?
Alors RIEN, aucun cas d’Alzheimer dans ma famille proche, même
après des décennies de recul.
La seule réponse plausible : nous avons vécu à une époque où
les aliments n’étaient pas encore gravement carencés en silice…
ce qui nous a permis d’éliminer naturellement l’aluminium au
fur et à mesure.

SILICE ET MALADIES
CARDIOVASCULAIRES…
ENCORE DES DÉCOUVERTES !
Un élément qui interpelle l’attention est que l’on a remarqué qu’il y a
une diminution des cas d’accidents cardiaques et des maladies
cardiovasculaires au sein des populations résidant… dans les
régions où les eaux de boisson sont riches en silicium !
Or des études entreprises ensuite concernant ce phénomène ont
permis de constater que chez les personnes atteintes de maladies
cardiovasculaires, les artères atteintes de plaques d’athérome
contiennent quatorze fois moins de silicium que la normalité ; cela a
amené les chercheurs à essayer d’administrer des suppléments de
silice végétale à ces patients et ils constatèrent alors que leurs
plaques diminuaient rapidement.

PROCESSUS DE RESTAURATION
DES VAISSEAUX
Les parois des vaisseaux sanguins sont constituées principalement
de collagène donnant la résistance, et d’élastine donnant la
souplesse. Le silicium est indispensable à la synthèse de ces deux
constituants. Or la perte d’élastine induit une rigidité des artères, ce
qui favorise les dépôts de plaques d’athérome. De son côté, le
collagène maintient sa cohésion grâce aux propriétés électriques de
la silice.

En définitive, il apparaît clairement que c’est la carence de silice


qui induit le durcissement et la fragilité des vaisseaux sanguins.
1.Même en présence d’un taux élevé de cholestérol sanguin, les
plaques d’athérome ne se forment que si les parois sont rigides.
2
. En outre, la fragilité des parois vasculaires peut entraîner des
ruptures locales tels des AVC ou des varices au niveau veineux.
3
. Une bonne souplesse des artères leur permet de moduler leur
diamètre et donc le débit sanguin et la pression artérielle. Voilà
pourquoi la sclérose artérielle favorise l’hypertension lorsqu’elle
n’est pas d’origine nerveuse.

AUTRES ACTIONS CONNUES DE LA


SILICE
Il est intéressant de remarquer que les personnes ayant des
problèmes cardiovasculaires ont très souvent de l’arthrose et/ou de
l’ostéoporose, ce sont les symptômes d’une carence en silicium
qu’on attribue à tort à la vieillesse. Vieillir n’est pas une maladie et le
seul tort de l’âge est de révéler les problèmes accumulés par des
années de carences ou de mauvaise hygiène de vie.
Une action anti-inflammatoire générale
Les maladies cardiovasculaires sont très souvent associées à de
l’inflammation. La silice végétale travaille en association avec la
vitamine C pour combattre les foyers inflammatoires.
Une restauration ostéoarticulaire et cutanée
Nous avons vu plus haut que le collagène et l’élastine nécessitent
du silicium pour leur formation. Or ils sont les principaux
constituants du cartilage, de l’os et de la peau. C’est pourquoi une
cure de silice est particulièrement indiquée dans le cas d’arthrose
(atteinte du cartilage), d’ostéoporose (chute de la densité osseuse)
et de problèmes de vieillissement de la peau (rides, peau flasque,
vergetures, etc.).
Une action énergétique dont on ne parle jamais
La silice nourrit les mitochondries (microcentrales d’énergie au
sein de chaque cellule). Le résultat général se vérifie en particulier
chez les sportifs qui voient leurs performances augmenter après une
cure de silice végétale. Même chose chez les personnes âgées qui
retrouvent un regain de force souvent spectaculaire.

CONSIDÉRATIONS MÉTAPHYSIQUES
Si l’on observe le tableau des éléments chimiques de Mendeleïev,
on peut observer que le silicium est juste au-dessous du carbone. À
savoir que tous deux sont tétravalents, c’est-à-dire qu’ils ont tous
deux quatre crochets magnétiques pour se marier avec d’autres
éléments ou radicaux ; toute la chimie organique est celle du
carbone. Or il se dit dans la recherche prédictive que la structure de
l’homme du futur va muter vers une chimie organique de la silice au
lieu de celle actuelle du carbone.
On remarquera aussi que l’ensemble de l’informatique fonctionne
par la silice et qu’il est logique que la silice moléculaire soit le
support organique de l’intelligence ; cette approche est aussi
évidente en homéopathie avec Silicea. Je ne pense donc pas
prendre de risque en affirmant que la prise de silice, si indispensable
pour les tempéraments phosphoriques, est néanmoins bénéfique
pour tous, car elle facilite et stimule l’évolution physique,
intellectuelle et spirituelle.
QUELLE FORME DE SILICE PRENDRE ?
Peu de formes minérales sont directement assimilables par notre
organisme ; il faut passer par un intermédiaire végétal ou animal
pour les rendre biocompatibles. Par exemple, manger du sable (silice
pure) ne vous apporterait rien. Même les plantes ont besoin d’une
collaboration microbienne dans le sol, qui prédigère les
éléments minéraux et sécrète une forme de miellat dont se
régalent les radicelles des plantes.
Rudolf Steiner, père de la médecine anthroposophique, avait déjà
compris cela en son temps, puisqu’il donnait Silicea per urtica
(homéopathie d’ortie poussée sur terrain sableux).

Nota L’utilisation massive des engrais chimiques brûle cette


précieuse flore bactérienne souterraine ; il s’ensuit que les
plantes se retrouvent carencées, fragiles, voire malades,
ainsi que les animaux et les humains qui s’en nourrissent.

PRÊLE DES CHAMPS ET SOUPES


D’ORTIES
La prêle des champs est la seule variété bénéfique. Elle contient
néanmoins du quercétol toxique, mais seulement en usage
prolongé. C’est pourquoi les extraits produits par extraction à chaud
(décoction) ou en milieu alcoolisé, ou encore les totum de la plante
(poudres, gélules), bien qu’efficaces, ne doivent être utilisés que
par périodes de trois semaines.
L’ortie piquante, elle, a été recommandée depuis l’Antiquité sous
forme de soupes. Maria Treben les conseillait contre l’anémie, la
carence en fer, l’épuisement, les troubles du foie et de la rate, etc.,
la liste est longue ; mais le problème de la durée limitée du
traitement reste le même en raison de l’acide formique présent.

L’EURÊKA POUR UNE UTILISATION


CONTINUE,
SANS INCONVÉNIENT
Depuis quelques années, Phytonika (maison Baccichetti) avait mis au
point un procédé de fabrication de silicium organique permettant de
produire le premier concentré 100 % naturel totalement dépourvu
de quercétol, de conservateurs et d’additifs à partir de la prêle.
Pour l’ortie c’était plus compliqué, mais à la fin 2013, deux
biochimistes de Phytonika ont réussi à trouver le procédé doux
permettant d’éliminer à froid les composés toxiques de l’ortie, tout
en conservant les principes actifs intacts, la rendant à la fois efficace
et inoffensive pour une prise régulière sur le long terme.
Le silicium est encore plus efficace lorsqu’il est extrait par le
glycérol végétal fabriqué à base de plantes, car le glycérol est une
molécule organique présente naturellement dans l’organisme et elle
est donc reconnue par les cellules du corps. Elle passe
naturellement la barrière intestinale par les transporteurs des
cellules de l’intestin grêle, favorisant avec elle le passage du silicium.
C’est la meilleure forme de silicium organique d’origine naturelle.
Alors, silice de prêle ou d’ortie ?

INDICATIONS PRÉFÉRENTIELLES DE LA
PRÊLE
• Acné
• Albuminurie
• Aluminium cérébral (piège et évacue)
• Artériosclérose (durcissement des artères)
• Athéromes artériels (plaques)
• Bronchite
• Calculs rénaux
• Céphalées
• Cicatrisation
• Collagène (déficit)
• Crampes d’estomac
• Dartres
• Diarrhée
• Eczéma
• Élastine (déficit)
• Épuisement physique
• Estomac (crampes, ulcère)
• Foie et rate (troubles)
• Gastrite
• Glaires gastriques ou pulmonaires
• Goutte
• Hémoptysie
• Hémorragies
• Hémorroïdes
• Incontinence
• Inflammations urinaires
• Mycose des ongles
• Œdème généralisé
• Ostéoporose
• Peau vieillie, ridée, ou flasque
• Pipi au lit
• Prurit intense
• Pulmonaires (maladies)
• Rétention d’eau (diurétique)
• Rétention d’urine
• Rhumatismes
• Saignement du nez (poudre narine)
• Sang vicié (dépuratif)
• Ulcères gastriques et intestinaux
• Ulcère variqueux (compresse de décoction)
• Vergetures

INDICATIONS PRÉFÉRENTIELLES DE
L’ORTIE
• Anémie
• Anémie des jeunes filles
• Arthrite
• Articulations dégradées
• Crampes d’estomac
• Diabète type 2
• Diarrhée
• Digestions laborieuses
• Draineur général
• Estomac (lourdeurs)
• Fortifiant
• Gastro-entérite
• Hémorragies
• Œdèmes
• Rétention d’eau (diurétique)
• Rhumatismes
• Sang vicié
• Urticaire

POSOLOGIE COMMUNE PRÊLE OU


ORTIE
1 bouchon matin et soir.
POUR TOUT RENSEIGNEMENT
http://www.phytonika.com
43

FERALIM
Anémie ferriprive

Avoir une « santé de fer » est une expression populaire qui est en
fait très réaliste concernant votre état général. Tout le monde a
entendu parler de l’anémie ferriprive ; c’est souvent le cas de
femmes jeunes ou moins jeunes ayant des hyperménorrhées –
règles trop abondantes voire presque hémorragiques – pouvant être
dues à :
• Un déséquilibre œstrogène/progestérone.
• L’incapacité du foie à fixer le fer.
• L’utilisation du stérilet.
• La présence d’un polype, d’un fibrome ou d’une endométriose.

Cela peut aussi concerner les femmes enceintes et allaitantes. Il


s’ensuit un état de fatigue et même d’essoufflements au moindre
effort par manque d’oxygène, vu que c’est le fer de l’hémoglobine
qui participe à son transport.
Il y a un moyen très simple que tout médecin doit connaître pour
dépister une carence en fer : c’est tirer sur la paupière inférieure afin
d’en observer la couleur interne qui doit être d’un rose vif – idem sur
la partie interne de la lèvre inférieure – si c’est très pâle voire
blanchâtre, on peut suspecter une carence en fer. Une analyse de
sang pourra ensuite donner une mesure quantitative précise du
déficit.

DES ÉPINARDS BOURRÉS DE FER ?


Tout le monde a connu la légende des bandes dessinées d’avant la
guerre de 1940 avec Popeye dont la force herculéenne était tirée
des boîtes de spinach qu’il avalait d’un trait ; car les épinards avaient
acquis la réputation du légume champion du monde de la teneur en
fer.
Or, dans les années 1950-1960, un chercheur du CNRS, un peu en
panne d’études et afin de justifier sa paye, se lança dans des
vérifications de composition de diverses plantes – et surprise, il
constata à l’analyse quantitative que les épinards affichaient
exactement dix fois moins de fer que les données officielles, cela les
ramenant au niveau de vulgaires salades. Il changea d’épinards
plusieurs fois et fit confirmer par des collègues, mais le résultat était
toujours le même.
Une enquête fut alors lancée pour trouver l’origine de ce chiffre
erroné, et le rapport du chercheur de l’époque des années 1930
coïncidait bien avec les nouvelles analyses – seulement, c’est la
secrétaire qui en recopiant à la machine avait fait une erreur de
virgule donc de décimale… Personne ne s’en est inquiété, ni n’a eu
l’idée de vérifier.
C’est donc grâce à cette erreur qu’est né Popeye ! Mais ce qui est le
plus étonnant, c’est que plus d’un demi-siècle après, tout le monde,
et même la plupart des médecins, croit toujours aux épinards de
Popeye – ce qui confirme le théorème de Coluche comme quoi
« une erreur et/ou un mensonge répétés suffisamment longtemps
deviennent une vérité ».

LE FER SOUS FORME MINÉRALE


N’EST GUÈRE ASSIMILABLE
Nos grands-parents utilisaient une recette très rustique pour
l’anémie qui consistait à faire tremper des clous pendant une nuit et
boire l’eau. Le résultat ne devait pas être miraculeux, d’autant plus
qu’ils n’employaient pas de l’eau distillée dont le pouvoir solvant
universel est bien connu. Il y avait aussi les eaux ferrugineuses qui
ont en outre donné lieu au célèbre sketch de Bourvil « L’eau ferru –
ferru – ferru – gérugineuse, hic, oui ! » mais encore une fois, la
biodisponibilité du fer était quasi nulle.
Comme pour la plupart des minéraux, il est nécessaire qu’ils
transitent par des intermédiaires pour devenir assimilables. Dans la
terre, ce sont des bactéries qui effectuent la prédigestion
indispensable. La médecine anthroposophique de Rudolf Steiner
l’avait bien compris ; ainsi y trouve-t-on le remède Ferrum per urtica
(fer végétabilisé par l’ortie). Les animaux végétariens (ainsi que
l’animal humain) peuvent alors l’intégrer via les plantes ; les
carnivores, toutes espèces confondues, utilisent la conversion la
plus facile (animal à animal) sauf que l’humain n’a pas le tube digestif
vraiment adapté.

UNE PETITE ANECDOTE


Il y a une vingtaine d’années, ma fille aînée avait choisi d’accoucher
à la maison avec l’aide d’une sage-femme ; or, trois semaines avant
la date prévue, lors de la visite préparatoire, la sage-femme la trouva
dans un état d’anémie avancé et la prévint que si elle ne remontait
pas son fer d’ici là, elle ne prendrait pas le risque de l’accoucher. La
procédure d’urgence proposée à ma fille a été de lui faire avaler du
foie de poulet (bio) à tous les repas… elle qui était végétarienne ! Eh
bien, les paramètres ont été normalisés juste à temps et tout s’est
bien passé.
Nous ne connaissions pas à l’époque un produit avéré très
performant du laboratoire Lorica, nommé Feralim.
LACTOFERRINE
ET OLIGOSACCHARIDES
PRÉBIOTIQUES
La lactoferrine a la capacité de lier le fer avec une grande avidité et
de résister à l’hydrolyse acide et enzymatique de l’estomac. Elle est
donc retrouvée dans l’intestin, où elle possède encore la capacité de
« piéger » le fer (Kuwata H. et al., 2001 ; Kuwata H. et al., 1998).
Cette propriété lui permet, en séquestrant le fer ionisé, de protéger
la paroi intestinale de l’action oxydante de ce dernier et de priver
certaines bactéries pathogènes du fer nécessaire à leur croissance
(Baker H. M., 2004 ; Bullen J. J. et al., 2006 ; Dial E. J. et al., 2002 ;
Weinberg E. D., 2003).
Les oligosaccharides prébiotiques de leur côté stimulent
l’absorption du fer dans l’intestin grêle (communication personnelle
de chercheurs japonais). La gomme d’acacia a notamment la
propriété de stimuler la microflore de protection intestinale et
contribue à préserver l’aptitude de l’épithélium intestinal à
l’assimilation des cations contenus dans Feralim.

COMPOSITION DU FERALIM
Feralim apporte du fer, sous une forme liée à des acides aminés.
• Le bisglycinate de fer, hautement assimilable et tous les
cofacteurs connus à ce jour nécessaires à sa métabolisation
(vitamines B6, B9, B12, cuivre, manganèse, molybdène, taurine),
ainsi que des éléments favorisant son absorption intestinale et
l’innocuité des résidus de fer non absorbé (sélénium, vitamine C,
lactoferrine, caroténoïdes et oligosaccharides prébiotiques).
• Le cuivre qui constitue notamment le site actif de la
céruléoplasmine, enzyme qui catalyse l’oxydation du fer ferreux
en fer ferrique dans le plasma, permettant ainsi sa fixation sur
l’apotransferrine et son utilisation pour la synthèse de
l’hémoglobine ;
• Le manganèse qui est quant à lui un élément constitutif du site
catalytique d’enzymes intervenant dans la chaîne de synthèse de
l’hémoglobine et dans la coagulation du sang (Marieb E. N.,1993 ;
Wakabayashi H. et al., 2003).
• Le molybdène qui favorise indirectement la résistance osmotique
des globules rouges (lener J., bibr. B., 1984). Son implication en
tant que cofacteur enzymatique lui confère un rôle dans la fixation
du fer sur l’apotransferrine et dans la mobilisation du fer à partir
des tissus de stockage (Deville M. et Deville F., crao).
• Les vitamines B6, B9 et B12 participent, quant à elles,
respectivement à la biosynthèse de l’hémoglobine, à la
multiplication cellulaire et à la multiplication et maturation des
globules rouges.
• La vitamine B6 qui contribue d’autre part à l’absorption de la
vitamine B12 par l’organisme et à la production d’acide
chlorhydrique.
• La vitamine B9 qui joue un rôle essentiel dans la production du
matériel génétique et des acides aminés nécessaires à la
croissance cellulaire ; ce qui la rend particulièrement importante
durant les périodes de croissance rapide comme l’enfance,
l’adolescence, la grossesse (développement du fœtus), mais
également primordiale pour les cellules à renouvellement constant
comme les entérocytes, les cellules immunitaires et les globules
rouges.
• La vitamine B12 qui est essentielle à la croissance, à la division
cellulaire, au fonctionnement adéquat de toutes les cellules du
corps et à l’équilibre du système nerveux. Elle intervient plus
précisément dans la synthèse de l’ADN dans la moelle osseuse.
Elle est donc indispensable à la formation et au renouvellement
constant des globules rouges (Marieb E. N., 1993). D’autre part, la
vitamine B12 en tant que cofacteur enzymatique de la méthionine
synthase participe au métabolisme des folates. Une carence en
vitamine B12 peut être responsable d’un déficit en acide folique
(Le Grusse J. et Watier B., 1993).
• La vitamine C qui est un puissant facilitateur de l’absorption
intestinale du fer non héminique.
• Les caroténoïdes qui sont précurseurs de la vitamine A ou rétinol,
qui joue un rôle indirect dans la différenciation et la croissance
cellulaire (Le Grusse J. et Watier B., 1993). Cela explique son rôle
dans la multiplication des globules rouges. Les caroténoïdes ont
d’autre part, comme la vitamine C, un caractère antioxydant
permettant de protéger la muqueuse intestinale contre les radicaux
libres résultant du fer résiduel non assimilé dans l’intestin grêle.
• La taurine qui favorise l’assimilation du fer et protège la paroi des
érythrocytes contre les dommages générés par les radicaux libres.
• Sans ces cofacteurs, le métabolisme du fer est ralenti voire
interrompu. C’est surtout le cas par exemple lors d’une carence
en cuivre ou en vitamine B6, B9 et B12 qui peuvent être
responsables d’anémies.

INDICATIONS
• Anémie ferriprive
• Endométriose (compensation fer)
• Essoufflement au moindre effort
• Fer (carence)
• Fibrome saignant
• Hémorragies (suites)
• Pâleur
• Règles trop abondantes

POSOLOGIE
• Dans le cas d’un déficit modéré en fer, hors grossesse, 3
comprimés par jour suffisent à rétablir des taux hématologiques
normaux.
• Dans le cas d’un déficit important ou d’un déficit modéré en fer
en fin de grossesse, 6 comprimés par jour deviennent
nécessaires.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


Boîte de 180 comprimés
Laboratoires Lorica
44

OREGARESP
Coupe court aux rhumes qui démarrent

COMPOSITION
• Oreganol (origan HE + huile d’olive).
• Cumin noir : huile.
• Sauge : huile.
• Gingembre : racine.
• Cannelle (CO2 supercritique).

Le tout dans une gélule cellulose. Antiagglomérant : fibre d’avoine et


silice. Les boîtes sont de 90 gélules.

PROPRIÉTÉS SPÉCIFIQUES DES


COMPOSANTS
Oreganol
Mélange d’huile d’origan sauvage (forte teneur en carvacrol) + huile
d’olive.
Il ne s’agit pas d’une huile essentielle au sens classique, du fait,
entre autres, de l’émulsion dans l’huile d’olive, donc le produit ne
présente aucune toxicité pris en interne, même sur des hautes
doses (jusqu’à 25 gouttes par jour) et sur du long terme (plusieurs
mois). Il est néanmoins conseillé de faire une pause de deux jours
par semaine.
• Affection des voies respiratoires supérieures – ORL
• Affection pulmonaire
• Asthme
• Allergies respiratoires
• Anti-inflammatoire puissant
• Antiparasite bactérien et viral
Cumin sauvage
Épice traditionnelle indienne de la médecine ayurvédique – sa graine
est utilisée en cuisine comme condiment digestif et
antiballonnements.
• Antirhume.
• Antigrippe.
• Elle limite les fièvres excessives (plus de 40°).

Sauge sauvage
Selon un dicton, « sauge au jardin éloigne le médecin », ce qui
signifie que la sauge à elle seule résout de très nombreux
problèmes courants de santé. Ce qui nous intéresse ici, c’est son
action en cas d’angine.

Nota Peu de gens savent que l’infusion de sauge contient


certains produits toxiques à long terme d’utilisation qu’il
convient de faire évaporer. Donc, toujours faire bouillir (une
pincée par tasse) pendant trois minutes.

Gingembre racines
• Stimulant général
• Sudorifique
• Bronchite
• Toux
Nota En cas de bronchite on remplace avantageusement les
célèbres enveloppements du thorax à la farine de moutarde
qui faisait hurler les petits, par un linge trempé dans une
infusion chaude de gingembre râpé.

Cannelle
• Spasmolytique
• Sonique général
• Bactéricide
• Sudorifique

INDICATIONS DE L’OREGARESP
• Allergies respiratoires
• Bronchite
• Grippe
• Rhume
• Toux

POSOLOGIE (À TOUJOURS AVOIR


CHEZ SOI)
1 à 2 gélules matin et soir.

AJOUTS RECOMMANDÉS
+ homéoplasmine en pharmacie
• Dans les deux narines matin midi et soir. C’est une pommade au
souci anti-inflammatoire multiples usages qui se vend en
pharmacie – à toujours avoir aussi chez soi.
• Peut se faire en préventif en période d’épidémie.

Conseil annexe
• Brumiser dans l’appartement ou le bureau des huiles essentielles
telles que : tea tree – pin sylvestre – eucalyptus globuleux.

Nota Si vous n’avez jamais de rhume, c’est soit que vous


vous portez très bien, soit que vous vous portez très mal –
ce qui signifierait dans ce dernier cas que votre organisme
est trop faible pour se permettre le luxe salutaire d’un
rhume, ce que P.-V. Marchesseau, père de la naturopathie,
appelait élégamment « une tempête neurohormonale », en
termes simples « un grand ménage »

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


www.apoticaria.com
45

BAUME DE RUSSIE SALMANOFF


Efface les douleurs courantes en quelques minutes

Voilà un tube utile que tous les foyers devraient avoir dans leur
pharmacie familiale. C’est l’analgésique local le plus immédiat et le
plus agréable d’odeur que je connaisse. Sa pénétration est
exceptionnelle et il ne laisse pas la peau grasse après application.
Nous l’utilisons régulièrement pour toutes nos douleurs.
Les personnes âgées en sont toutes enchantées. Le baume de
Russie Salmanoff s’utilise aussi bien sur les enfants, à condition qu’il
ne s’agisse pas de blessures ouvertes.

HISTORIQUE DU BAUME
En fait, nous l’avons baptisé Salmanoff en hommage aux travaux
majeurs de ce clinicien novateur russe, médecin particulier de
Lénine, qui fut le père de la médecine des capillaires, une approche
totalement nouvelle de la santé et de la maladie. Bien qu’il fût
célèbre en son temps (mort en 1964 à l’âge de 89 ans), la médecine
officielle prisonnière du lobby pharmaceutique ignore toujours cette
réalité physiologique qui est la source première de la plupart des
syndromes dégénératifs.
Or c’est une étudiante de l’université à Irkoutsk, Nona Tukavkina,
qui a repris sans le savoir dans les années 1950 les travaux du
Dr Salmanoff, dont en outre elle n’avait jamais entendu parler. La
jeune collaboratrice à l’Institut de la chimie organique à Irkoutsk
s’intéressait aux plantes thérapeutiques et à la chimie des
substances naturelles. Cela lui a ensuite apporté un grand succès,
elle est devenue professeure et finalement doyenne de la faculté de
médecine de l’université d’État de médecine à Moscou.

La préparation médicale à la dihydroquercétine (molécule active de


la térébenthine de mélèze sibérien) de Nona Tukavkina a fait l’objet
des tests cliniques à l’université d’État de médecine à Moscou, à
l’Institut des plantes médicinales, aux hôpitaux de Moscou et aux
hôpitaux militaires. Ainsi, en raison de l’exil politique de Salmanoff,
c’est cinquante ans après la création en France et en Italie de ses
bains à la térébenthine que ses travaux ont fini par entrer dans le
domaine public russe par le biais de Nona Tukavkina.

COMPOSITION DU BAUME
Sous les directives de Nona Tukavkina, les nouvelles technologies
ont permis à ses équipes de scientifiques de conditionner la DHQ
de Sibérie sous forme d’un baume en tube à appliquer sur la peau.
Comme composants complémentaires de ce baume, ont été
introduits :
• Du camphre.
• De l’huile de menthe.
• De l’huile de pin.

Le baume de Russie se classe comme l’un des meilleurs


stimulateurs locaux du système capillaire. Grâce à son coefficient de
pénétration exceptionnel, il entre profondément dans la peau et
normalise immédiatement le fonctionnement des microvaisseaux,
en augmentant leur diamètre et en renforçant la résistance de leurs
parois.
D’autres études ont aussi montré que le baume Salmanoff contribue
à l’élimination des produits métaboliques et qu’il améliore la nutrition
des tissus environnants.
Et surtout, ce baume exceptionnel a un effet analgésique local
immédiat, même anesthésique, ainsi qu’un effet anti-
inflammatoire, antiœdémateux, et bactéricide.

MODES D’UTILISATION
Le baume s’applique à la demande sur les membres, dans la région
face aux organes internes à traiter, ainsi qu’autour des vertèbres
associées. Masser jusqu’à pénétration du produit, c’est-à-dire quand
les doigts cessent de glisser.
Dans les cas de douleurs chroniques, pour obtenir des résultats
durables, il est recommandé d’appliquer le baume pendant deux à
trois semaines.
Attention ! Ne pas appliquer de la crème-baume « capillaire » sur la
peau endommagée, les muqueuses, les eczémas et les ulcères
ouverts. En cas de contact avec les yeux, rincer abondamment à
l’eau.

AVIS DES UTILISATEURS


Cas des douleurs musculaires
En application locale sur des douleurs musculaires soit post-
traumatiques, soit annonçant les changements de temps. L’effet est
extraordinaire : le soulagement est obtenu dans les deux à
trois minutes qui suivent et perdure souvent toute la journée.
Cas de lumbago chronique
Moi qui suis sujet à cela, je bloque régulièrement le problème au
départ par une onction au baume Salmanoff sur la région lombaire
accompagnée d’un Aspégic 500, matin et soir.
Le soulagement se manifeste systématiquement dans les
dix minutes qui suivent.

Pour la peau flétrie du visage


L’application du baume Salmanoff est très agréable non seulement
en raison de son délicat parfum de pinède, mais aussi de son
extrême ductilité lui conférant une pénétration presque immédiate
qui ne laisse aucune trace de « gras mouillé » si désagréable (et
propre à décourager l’entourage de vous faire la bise…). Une
sensation de fraîcheur s’ensuit aussitôt en raison de la menthe et
votre peau prend rapidement une apparence veloutée.

En fait, il se produit un afflux soudain dans le réseau capillaire cutané


qui réhydrate spontanément toute peau partiellement desséchée,
estompant du même coup les ridules. C’est un véritable « coup de
jeune » de votre visage ! Hélas, l’enchantement ne dure que vingt-
quatre heures. Alors il faudra recommencer le lendemain matin…
mais heureusement il suffit de très peu de baume. À noter tout de
même que selon notre propre expérience, avec le temps, la texture
de la peau se stabilise petit à petit dans sa réhydratation.

INDICATIONS DU BAUME DE RUSSIE


SALMANOFF
• Algies aiguës ou chroniques
• Algodystrophie post-traumatique
• Dorsalgies
• Douleurs articulaires et musculaires
• Douleurs inflammatoires
• Engelures
• Lumbago
• Névrites et névralgies diverses
• Œdème inflammatoire local
• Peau du visage flétrie
• Stases sanguines locales

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46

ZÉOLITE CLINOPTILOLITE SURFINE


(0,5 MICRON)
Remède multi-usage

Tout le monde connaît les propriétés thérapeutiques incontestables


de l’argile, que cela soit par voie interne ou par voie externe. Il est
vrai que c’est le remède de la dernière chance quand tout a échoué,
y compris dans les maladies lourdes. Seul reproche : c’est souvent
long, il faut donc être patient.
Les zéolites se trouvent au niveau de formations volcaniques ayant
sédimenté lentement en présence de gaz et de vapeur d’eau. Toutes
les indications de l’argile concernent la zéolite, en interne comme en
externe, avec l’avantage que cette dernière est beaucoup plus
puissante.
Il existe 106 types de zéolite naturelle sous forme feuilletée,
cristalline ou fibreuse. La variété retenue, en raison de ses
propriétés thérapeutiques supérieures, a été la « zéolite
clinoptilolite », dont les gisements actuellement connus se trouvent
au sud-est des Balkans (à la frontière serbo-bulgare), en France
(Nantes), à Cuba et aux États-Unis (Oklahoma, Californie). La
clinoptilolite (ou klinoptilolite) diffusée est issue des Balkans, dans
la région de Kozak.
Ses composants majoritaires sont la silice SiO2 (62 %) et l’alumine
Al2O3 (12,5 %), suivies de l’oxyde de calcium CaO (3 %) et de
l’oxyde de magnésium MgO (1,3 %)…
TRIBOMÉCANIQUE :
PROCÉDÉ TECHNOLOGIQUE
EXCEPTIONNEL
Après trente ans de recherches sur l’activation des minéraux, le
Pr Lelas a mis au point un procédé révolutionnaire nommé
« activation tribomécanique (TMA) », utilisant l’entraînement par
flux d’air. Il en résulta la création d’un cabinet d’ingénierie alsacien,
Tribo Technologies, qui a décidé de se lancer dans le
développement de solutions techniques dans le domaine de
l’agriculture durable. Les microparticules obtenues par Tribo
Technologies, « TMAZ » (Tribo Mechanically Activated Zeolite,
distribuées sous le nom commercial Nanofeed), ont fait l’objet d’un
programme de recherches biologiques et médicales, mené par des
équipes de différents pays de la Communauté européenne.
Les résultats de ces recherches ont montré l’action des particules
micronisées par cette technologie en utilisation pharmacologique ou
nutritionnelle dans les domaines suivants.

Par voie interne


• Stimulation immunitaire.
• Amélioration du métabolisme digestif et de l’état général.
• Absorption de toxines.
Par voie externe
• Cicatrisation des blessures : accélère.
• Brûlures : effet antiseptique et cicatrisant.

Les particules minérales sont réduites à des dimensions allant du


micron à quelques nanomètres, par des dizaines de milliers de
collisions à haute vitesse avec d’autres particules, formant une
poudre minérale d’une surface active démultipliée – lorsque la taille
des particules est divisée par dix, la surface active est multipliée par
mille, ainsi que la capacité d’échange et d’absorption de la zéolite.
Cette technologie est aujourd’hui la seule au monde permettant
d’obtenir des nanoparticules sans recourir aux méthodes
électrochimiques et porte l’activité de la zéolite à un niveau jamais
atteint jusque-là dans le domaine du vivant.
La zéolite micronisée est connue pour ses propriétés absorbantes
exceptionnelles et son pouvoir d’échanges ioniques. Au cours du
processus d’activation TMA, les électrons composant les liaisons
chimiques disjointes par les collisions adoptent une distribution
décrite comme un état de semi-disponibilité, c’est-à-dire pouvant
être libéré à la suite d’une sollicitation venant du milieu environnant,
et en particulier au contact des radicaux libres.

EXPÉRIMENTATIONS
DANS DIVERSES PATHOLOGIES
Les premiers résultats scientifiques ont été présentés au Ruder
Boskovic Institute de Zagreb le 30 octobre 1998.

Traitement des pathologies hépatiques


Avec de petites doses de six capsules par jour, on a déjà pu
observer chez vingt patients atteints d’hépatite virale chronique
une diminution de la fatigue et des flatuosités au bout de
deux semaines. Et au bout d’un mois, il y avait une réduction des
transaminases dans le sang (ASAT, ALAT, gamma GT et PAL), ainsi
que de la bilirubine. Les marqueurs de l’hépatite n’étaient plus
retrouvés dans l’ADN ni dans l’ARN de la majorité des patients.
Dans la cirrhose décompensée, on a observé une amélioration de
l’état général et une diminution des ascites après seulement
sept jours de traitement.

Traitement des blessures et ulcères cutanés


La zéolite fut appliquée directement sur les plaies une à deux fois
par jour.
Dans tous les cas de maladies de la peau cités ci-dessous, les plaies
ont totalement disparu après une période de cinq à quinze jours.
Des ulcères de la zone sacrée et au niveau du talon de trois patients
ont guéri en quinze à vingt jours. Par ailleurs, des patients atteints
d’escarres profondes ont guéri en quatre mois. Des ulcères cruraux
chroniques qui duraient depuis deux à trois ans ont été soignés en
deux mois et demi à quatre mois. En six mois, chez des patients
atteints d’ulcères circulatoires chroniques des jambes qui duraient
depuis quinze ans, on a pu observer un rétrécissement de la plaie de
plus de 50 %, ainsi qu’une surface d’épithélium neuf augmentée et
une diminution de la profondeur de la plaie.
Traitement de l’hépatite C
À la clinique Humanomed 2 à Villach, on a pu observer une réduction
du titre viral sanguin dans 70 % des pathologies virales, au bout de
trois à cinq jours, et en particulier une régénération hépatique
progressive dans les cas d’hépatite C, sans présence ultérieure de
virus détectables.
Études sur la leucémie
Les recherches sur les effets de la zéolite dans les pathologies
hématologiques, notamment sur la leucémie, sont actuellement
réalisées. Elles ont commencé en mai 2001 et ont lieu à l’Institute
for Ecological Illness à Rostock (Allemagne), sous la direction du
Dr Bleier et du Dr Kuklinski. On y étudie également la corrélation
entre la valeur du TAS et l’évolution de la maladie. Les premiers
résultats obtenus sont très intéressants, puisqu’un certain nombre
de patients atteints de leucémie sont totalement guéris.

Résultats en gynécologie
De nombreux gynécologues croates, suisses, allemands et
autrichiens qui utilisent une solution aqueuse de zéolite pour
application locale en complément d’une administration orale,
pour traiter le papillomavirus et d’autres infections vaginales,
obtiennent de très bons résultats.
UTILISATION EN COSMÉTOLOGIE
La zéolite, lorsqu’elle est utilisée dans les préparations cosmétiques,
a montré des propriétés particulières :
• Une application directe de poudre pure sur la peau apaise l’urticaire
et les réactions allergiques.
• Une application directe sur les cheveux avant lavage ou un
mélange avec le shampooing permet l’élimination des pellicules.
• Elle trouve son usage aussi dans les peelings (gommages), seule
ou mélangée avec des crèmes.
• Une application du produit seul ou mélangé avec des crèmes
permet une diminution des rides.

APPLICATIONS THÉRAPEUTIQUES
EXPÉRIMENTÉES
Il a été prouvé que la zéolite microbroyée est très utile dans le
traitement des pathologies suivantes (basé sur des cas vécus) :
Pathologies cancéreuses (adjuvant)
• Cancers de la peau, du col de l’utérus, du sein, des ovaires, de la
prostate, du foie ou de la rate, du gros intestin ou de l’intestin
grêle, du poumon, des os, de l’estomac, de la vessie, de la langue,
de la glande thyroïde.
Système circulatoire, avec optimisation et stabilisation
• Diminution des varicosités veineuses.
• Disparition des élargissements des capillaires sanguins.
• Pression artérielle (optimise).
• Réduction et récupération totale des œdèmes.
• Renforcement du muscle cardiaque.
Formule sanguine
• Correction des valeurs surévaluées comme le cholestérol, les
triglycérides ou l’hémoglobine.
Système digestif
• Élimination et meilleure récupération des brûlures digestives et
stomacales ainsi que des ulcères duodénaux.
• Stabilisation et régulation optimale du système.
Rhumatismes
• Arthrite.
• Discopathies.
• Sciatique.
• Spondylarthrite.
Fonctions rénales
• Effet diurétique et influence positive permettant une amélioration
des fonctions rénales.
• Traitement des infections rénales.

Pathologies dermatologiques
• Pathologies dermatologiques comme la séborrhée, les dermatites,
l’herpès (les deux types hsv1 et hsv2), le psoriasis… par voie orale
(per os) ou par application externe de poudre.

Diabètes
• Dans la plupart des cas étudiés, on a pu observer une stabilisation
et une diminution nettes de la quantité de sucre dans le sang.

Glandes endocrines
• Optimisation de l’activité des glandes endocrines, notamment des
nœuds lymphatiques.
Blessures et brûlures
• Accélération de la guérison des brûlures avec application directe de
la poudre.
• Une application de la poudre sur des brûlures légères soulage
temporairement la douleur et réduit les dégâts au niveau de la
peau.
Périodontosis
• Le traitement du périodontosis – ou l’élimination des micro-
organismes dans la bouche – est fait à l’aide de la poudre
appliquée directement sur des gommes à mâcher ou utilisée
comme additif dans les dentifrices.
Amélioration de la qualité de la peau
• Permet une amélioration de l’hydratation de la peau ainsi qu’une
résistance accrue à différents facteurs extérieurs, comme les
rayons UV.

Effets neuropsychiatriques
• Traitement efficace de l’insomnie, de la névrose, de la dépression.
• Adjuvant du traitement de l’épilepsie, de la schizophrénie, de la
maladie d’Alzheimer et de la maladie de Parkinson.
Augmentation de l’endurance
• Permet une amélioration de l’endurance lors d’efforts physiques
intenses.
• Permet une diminution, voire une élimination des douleurs après
un exercice intense.
Mycoses
• Élimination complète et rapide de nombreuses infections de la
peau (Candida et autres) ou des muqueuses avec une application
directe de la poudre.
• Élimination des mycoses plantaires.
• Traitement des mycoses au niveau des organes internes (qui
peuvent être le résultat de procédés radiologiques en combinaison
avec des antibiotiques).
C’est un antioxydant majeur
Les radicaux libres sont ces molécules auxquelles il manque un
électron et qui le tirent des protéines constituant la membrane ou le
noyau des cellules, causant ainsi des réactions en chaîne
destructrices qui mènent au développement de toutes sortes de
pathologies (cancérisation, diabète, maladies dégénératives et
cardiovasculaires, etc.), ainsi que dans le processus de
vieillissement organique des cellules.

INDICATIONS DE LA ZÉOLITE SURFINE


• Arthrite
• Blessures (en externe)
• Brûlures (en application externe)
• Cancers (adjuvant)
• Capillaires sanguins élargis
• Cholestérol et triglycérides (hyper)
• Circulation sanguine (optimise)
• Cœur (renforcement du muscle)
• Courbatures toxiniques après efforts
• Dépression
• Dermatites
• Diabètes (améliore)
• Discopathies
• Endocriniens (dérèglements)
• Estomac (brûlures)
• Herpès (HSV1 et HSV2)
• Infarctus (récupération)
• Insomnies
• Mycose plantaire (en externe)
• Mycoses internes
• Névrose
• Œdèmes
• Parodontose (ajout au dentifrice)
• Peau : infections parasitaires (mycoses…)
• Peau fragile, déshydratée
• Peau (séborrhée)
• Psychiatrie (adjuvant)
• Rénales (infections et insuffisance)
• Rhumatismes
• Sang (régule la formule)
• Sciatique
• Spondylarthrite
• Tension (hyper)
• Ulcère duodénal
• Varicosités veineuses

Nota Le grand pouvoir absorbant de la zéolite K porte à


prendre en compte son incompatibilité probable avec des
traitements médicamenteux au long cours qui, comme en
présence d’argile ou de charbon activé, risquent d’être
neutralisés.

POSOLOGIE
1 cuillère-dose (non métallique) dans de l’eau, 2 fois par jour, loin
des repas.
Cure standard de 3 mois.

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47

TCM DE COCO
Sauveur des cerveaux carencés en glucose et en oxygène

Tout le monde connaît les merveilleux usages de l’huile de coco


vierge en externe (peau, cheveux, protection solaire). Mais peu de
gens connaissent les vieilles coutumes dans les îles tropicales de
faire la cuisine à l’huile de coco (vierge). Parmi ces anciens, on
trouve de nombreux centenaires, surtout chez les femmes – peut-
être parce que les hommes buvaient trop de rhum…

Par ailleurs, il paraît que c’est au Kerala (la plus magnifique province
des Indes) que l’on trouve les autochtones présentant la santé la
plus florissante, avec le moins de maladies et la meilleure longévité.

Corrélation Ces gens font leur cuisine 100 % à l’huile de


coco.

Ce que je ne savais pas, c’est que depuis, de nombreuses études


scientifiques ont été effectuées autour de la consommation
régulière d’huile de coco ; et là, SURPRISE : ce remède simple et peu
coûteux présente une action de régénération sur les cerveaux
endommagés et les dégénérescences neurologiques lourdes.
Aussi, nous allons voir cela de près.

L’EXCEPTION DES HUILES SATURÉES


Il y a au sein du corps médical une polémique accusant l’huile de
coco de faire partie des huiles saturées, dangereuses pour le
système vasculaire (artériosclérose). Mais c’est sans tenir compte
que l’huile de coco contient entre 57 et 60 % d’acides gras à
chaîne moyenne (qui ont moins de quinze atomes de carbone),
contrairement aux autres graisses saturées animales qui sont des
acides gras à longue chaîne (avec plus de quinze atomes de
carbone). L’huile de coco ne contient aucun cholestérol ni acide gras
trans (à condition de n’avoir pas été hydrogénée).

Un avantage des graisses saturées, c’est qu’il n’y a nulle part sur la
molécule où s’accrocher pour les radicaux libres ou les oxydants.
L’huile de coco est constituée seulement de 6 % de graisses mono-
insaturées (avec une seule valence libre pour accrocher un radical
ionique extérieur) et de 2 % de graisses poly-insaturées (plusieurs
valences libres pour accrocher des ions étrangers).

Nota Les huiles riches en graisses saturées, comme l’huile


de coco, sont plus stables que les autres à température
ambiante et résistent souvent plusieurs années au
rancissement. De plus, réchauffer l’huile de coco à feu
moyen (jusqu’à 180°) n’altère pas sa structure.

QU’EST-CE QUE LES TCM ?


Dans l’huile de noix de coco, il y a des triglycérides à chaîne courte,
moyenne et longue. C’est le mélange des trois qui fait que l’huile
fige (elle devient liquide à partir de 25 °C). Le but est d’isoler les
triglycérides à chaîne moyenne (TCM) du reste (par un processus
breveté sans solvant et qui respecte toute l’intégrité du produit), car
seuls les TCM sont 100 % assimilables par l’organisme et sont à
l’origine de la production de cétones. Or l’huile de coco contient
près de 60 % de triglycérides à chaîne moyenne (TCM).

Nota L’huile de coco est assez lourde à digérer, ce qui peut


en décourager la consommation. Ce n’est pas le cas de
l’extrait TCM.

PARCOURS MÉTABOLIQUE DES TCM


Les TCM sont des acides gras dont la métabolisation est
particulière : ils sont traités par le foie sans avoir besoin d’être
auparavant émulsionnés par la bile ou oxydés par la carnitine dans
les mitochondries du sang, comme le sont les autres corps gras.
Arrivés dans le foie, ils sont rapidement transformés en cétones,
puis déversés dans la circulation sanguine sous forme d’acides
caprylique et caprique. Enfin, ils sont dirigés vers les cellules qui en
ont besoin et, une fois oxydés, ils y produisent une énergie
disponible quatre fois plus rapidement que les TCL (triglycérides à
chaîne longue).

Au départ, il faut prendre conscience que le cerveau est un


consommateur d’oxygène très important (certains plus que
d’autres… !). Le fait que les cétones soient le carburant de secours
du cerveau a été découvert en 1967 par un article (en anglais) de la
revue d’investigation clinique intitulé « Métabolisme du cerveau
durant le jeûne ». Le Dr Olivier E. Owen y explique pourquoi des
êtres humains sont parvenus à survivre soixante jours et plus sans
aucune nourriture ; leur cerveau obtenait des corps cétoniques, ce
carburant issu de nos réserves de graisses, la plupart de ses besoins
en énergie.
Les TCM sont une source d’énergie organique exceptionnelle
pour le cœur, les muscles et en particulier le cerveau.
Ils sont très digestes et rapidement efficaces.

En fait, il y a trois moyens d’amener des cétones à l’organisme :


• Le jeûne à partir de trois jours – ces trois premiers jours ne servant
qu’au grand nettoyage interne.
• L’exercice physique soutenu. Mais attention, trop de cétones est
toxique (ex. : crise d’acétonémie des hépatiques ou pire,
cétoacidose des diabétiques).
• La consommation quotidienne d’huile de coco ou mieux de TCM,
c’est la méthode la plus simple surtout au long cours.

MALADIES PRÉSENTANT UNE


CARENCE
SOUTENUE DE GLUCOSE DANS LE
CERVEAU
• Accident vasculaire cérébral (AVC).
• Asphyxie à la naissance.
• Ataxie de Friedreich.
• Autisme (certains types).
• Dystrophie musculaire.
• Maladie de Cushing.
• Maladie de Huntington (chorée).
• Myasthénia gravis.
• Myopathies mitochondriales.
• Asphyxie (séquelles).
• Sclérose en plaques (SEP).
• Sclérose latérale amyotrophique (SLA).
• Mémoire : défaillances liées au vieillissement.
Toutes les personnes atteintes d’une maladie dégénérative ont
toujours une assimilation réduite du glucose dans leurs neurones. À
ces maladies citées plus haut s’ajoutent la maladie d’Alzheimer et
autres démences.

Par ailleurs, j’ai appris par un lecteur que les TCM apportent des
bienfaits aux personnes électrosensibles, qui sont en fait en
souffrance cérébrale par manque d’oxygénation de leur cerveau.

Nota Il faut un minimum de trois heures pour que les TCM


soient convertis en cétones et atteignent le cerveau.

INDICATIONS DES TCM DE COCO


Les corps cétoniques issus du TCM sont une source d’énergie
idéale dans diverses situations qui épuisent le corps et finissent par
provoquer des pathologies invalidantes. Par exemple :
• Accident vasculaire cérébral (AVC)
• Alzheimer (améliore la lucidité)
• Asphyxie à la naissance
• Ataxie de Friedreich
• Autisme (certains types)
• Bébés sous-oxygénés à l’accouchement
• Bébés prématurés
• Diabètes 1 et 2
• Diarrhée chronique
• Digestion paresseuse
• Dystrophie musculaire
• Électrosensibilité
• Épilepsie
• Lésions traumatiques cérébrales
• Malabsorption des graisses
• Maladie de Crohn
• Maladie de Cushing
• Maladie de Huntington (chorée)
• Maladie de Parkinson
• Maladies neurodégénératives
• Mémoire (perte liée à l’âge)
• Myasthénie grave
• Myopathies mitochondriales
• Pancréatite chronique
• Parkinson
• Performances physiques et intellectuelles faibles
• Poids excessif
• Récupération post-opératoire
• Sclérose en plaques (SEP)
• Sclérose latérale amyotrophique (SLA)
• Tremblements
• Troubles cognitifs légers

POSOLOGIE
1 cuillère à soupe par jour, soit 15 ml.
Pour les enfants, faire une règle de 3 pondérale.

Nota 1 cuillère de TCM équivaut à 3 cuillères d’huile de


coco.

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GINKGO BILOBA
Vieil ami de la circulation sanguine

LE GINKGO BILOBA DANS L’HISTOIRE


Nommé « l’arbre aux mille écus » à cause de ses jolies feuilles qui
deviennent dorées à l’automne, cet arbre conifère pouvant atteindre
quarante mètres de hauteur appartient à l’une des plus anciennes
espèces arboricoles que l’on connaisse puisqu’il est antérieur aux
dinosaures. Les fruits de cet arbre originaire d’Asie sont utilisés en
Chine et au Japon comme médicament depuis la nuit des temps.
D’une extrême longévité (plus de mille ans – certains ginkgos ont
deux mille cinq cents ans !), le ginkgo est d’une remarquable
résistance, aussi il fut le seul spécimen végétal à survivre aux
radiations de la bombe d’Hiroshima.
Aujourd’hui, il est surtout cultivé en Asie, aux États-Unis et dans le
sud-ouest de la France. Il entre dans de nombreuses formules phyto
sous forme de gélules, capsules, comprimés, ampoules, teintures-
mères, extraits liquides et tisanes. Les Occidentaux privilégient
surtout les feuilles (fraîches ou séchées) qui concentrent le plus de
principes actifs. De leur côté, les Chinois utilisent aussi les graines.
Le ginkgo biloba améliore la circulation sanguine artérielle, veineuse
et capillaire. Il optimise l’oxygénation du cerveau, ralentit le
vieillissement cellulaire et permet de lutter contre les troubles de la
mémoire. Ce remède est un précieux soutien pour les personnes
âgées.
PROPRIÉTÉS MÉDICINALES
Utilisation interne
• Par ses propriétés anticoagulantes et antiagrégantes, le ginkgo
empêche la formation de thromboses et de caillots.
• C’est un vasodilatateur des vaisseaux sanguins.
• Il renforce les fonctions cérébrales, même en cas de démence
sénile : il stimule la mémoire, aide à la concentration et au
raisonnement.

En Asie, les feuilles de ginkgo sont utilisées en décoctions pour


soulager les affections respiratoires comme l’asthme ou la
bronchite (effets expectorants et sédatifs), mais aussi en tant que
vermifuge. Quant aux graines, elles servent à préparer des
remèdes contre les troubles urinaires.

Nota Il arrive (rarement) que des personnes soient


allergiques à cette plante. Ne pas insister dans ce cas.

Utilisation externe
• En onguent pour cicatriser les ulcères.
• En cataplasmes de feuilles broyées sur les ecchymoses et les
brûlures.
• De nombreux soins cosmétiques antiâge (crèmes) utilisent le
ginkgo comme base, pour ses propriétés protectrices et
réparatrices sur la peau (effets antioxydants, anti-inflammatoires et
stimulants), notamment en cas de couperose.
• En Asie, les feuilles servent aussi en cataplasmes pour guérir les
engelures.
INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES
Par voie interne
• Acouphènes
• Artérite entraînant la claudication intermittente
• Audition (baisse)
• Bourdonnements d’oreilles
• Capillaires (fragilité)
• Céphalées
• Circulation périphérique artérielle, veineuse ou capillaire ralentie
• Concentration difficile
• Couperose
• Dégénérescence (combat)
• Démence sénile
• Fibromyalgie (associé avec la coenzyme Q10)
• Hémorroïdes
• Irradiations (séquelles)
• Irrigation cérébrale insuffisante
• Jambes lourdes
• Maladie de Raynaud (extrémités froides)
• Mémoire défaillante
• Microcirculation cérébrale (ralentie)
• Œdèmes des membres inférieurs
• Peau sensible, irritable
• Syndrome prémenstruel
• Vertiges
• Vision (améliore)

Par voie externe


• Brûlures
• Couperose
• Ecchymoses
• Engelures
• Ulcères
POSOLOGIES
• Teintures-mères gemmo : prendre de 20 à 40 gouttes dans de
l’eau, trois fois par jour.
• Tisanes : utiliser de 20 à 40 g de fleurs fraîches ou encore deux ou
trois cuillères à café de fleurs séchées par litre d’eau. Boire une
tasse deux à trois fois par jour en cas de problèmes circulatoires.

Nota Si on augmente la dose à une cuillère à café par tasse,


le breuvage devient vermifuge.

Pour être efficaces, les remèdes à base de ginkgo doivent être pris
en cures d’au moins trois mois. Des effets positifs doivent apparaître
dès le douzième jour. Si au début du traitement certains effets
secondaires légers se manifestent (maux de tête, troubles digestifs
ou cutanés), réduire les prises. Après stabilisation, augmenter
progressivement les doses jusqu’à retrouver la posologie normale.
Sinon, arrêter le traitement.

INTERACTIONS
Afin d’éviter un effet cumulatif pouvant être dangereux, ne pas
associer le ginkgo à des remèdes ou médicaments anticoagulants
ou antiagrégants, comme l’aspirine ou les anti-inflammatoires tels
ibuprofène, arnica, ginseng, sauge, mélilot, etc.

CONTRE-INDICATIONS
• Femmes enceintes.
• Hémophiles.

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BAINS SALMANOFF
Capillothérapie par voie externe

Selon le Dr Salmanoff, la vitesse de vieillissement d’un individu est


en rapport direct avec l’assèchement de son réseau capillaire, celui-
ci étant le moyen logistique d’alimentation, d’oxygénation et
d’épuration des milliards de nos cellules, et donc de leur vitalité.
Entre 50 et 70 ans, 40 % des capillaires sont inactivés chez la
plupart des gens. À la suite des travaux innovants de Salmanoff,
deux moyens de restauration de cette microcirculation sont offerts
depuis des années en dépit de l’ignorance volontaire du système
médico-pharmaceutique qui préfère vendre ses molécules à visée
uniquement symptomatique.
• la voie externe : bains à la térébenthine, jaune (pour l’obstruction)
et blanc (pour la stase). À noter qu’ils apportent des résolutions
dans différentes maladies pour lesquelles la médecine officielle
n’obtient souvent que des résultats décevants ;
• la voie interne : Capillar à la dihydroquercétine est exclusivement
extraite de l’écorce des mélèzes de Sibérie.

À noter que ce produit est issu de la médecine populaire sibérienne


qui garantit la résistance climatique et la longévité des populations.

LA VOIE CAPILLAIRE
POUR LA PLUPART DES MALADIES
Plus de six cents études sur les bains à la térébenthine Salmanoff
ont été réalisées en Russie depuis trente ans. Il existe trois sortes
de bains : jaune, blanc et mixte. Ces bains appartiennent aux
thérapies naturelles classées dans les produits cosmétiques.
La térébenthine est la principale composante des huiles essentielles
de pin, qui pénètre par la peau et stimule les milliards de récepteurs
reliés à nos organes internes. L’influence des bains à la térébenthine
sur la peau provoque l’ouverture et la dilatation des capillaires
périphériques, puis des capillaires plus profonds, ainsi que des
vaisseaux sanguins, augmentant ainsi le débit coronaire, cérébral et
rénal.

ACTIONS EN PROFONDEUR
DES BAINS SALMANOFF
Bain jaune
• Fait baisser la tension artérielle.
• Effets très mitigés de la fièvre artificielle générale (et non locale,
partielle, comme il est observé pendant l’application des ondes
courtes de la diathermie).
• Fonte des dépôts, des précipitations, des molécules géantes (c’est
ce que A. Lumière appelle les colloïdes morbides fatigués).
• Transpiration avec élimination du sel (NaCl) par la peau, et de
l’urée. Pas d’augmentation de la fréquence respiratoire, pas de
tachycardie.

« Grâce à la couche de ricinate de soude et d’oléine qui couvre toute


la surface de l’eau dans la baignoire, la perte de chaleur animale est
considérablement diminuée. Il se produit une accumulation de
chaleur, une combustion accélérée des substances morbides dans le
sang, dans la lymphe, dans les liquides extracellulaires. Les dépôts
dans les cavités articulaires, dans les tissus péri-articulaires, dans les
endonervium, commencent à fondre.
Les capillaires deviennent très dilatés comme dans les bains de
boue (Dax, Pystian…). Mais il y a une grande différence dans les
bains de boue, c’est seulement l’anse veineuse des capillaires qui
est dilatée mais les anses artérielles restent longtemps en état de
constriction. Une grande fatigue s’ensuit donc. Par contre dans les
bains jaunes, l’essence de térébenthine stimule l’activité de ces
anses artérielles des capillaires » (sic, Dr Salmanoff).

Composition
• Essence de térébenthine – huile de ricin – acide oléique – soude
caustique – eau.

Nota Le bain jaune peut être utilisé avec succès comme un


outil pour la perte de poids durable et l’élimination de la
cellulite.

Bain blanc
• Fait monter la tension artérielle.
• Apport d’oxygène très augmenté.
• Approfondissement de la respiration.
• Combustion moins violente.
• Contractions rythmiques des capillaires, gymnastique des
vaisseaux.
• Diminution de la rigidité musculaire et ligamentaire.
• Pas de rétention calorifique.
• Phénomène de picotements, de fourmillements dans les capillaires
de la peau, ouverture des anses artérielles et veineuses des
capillaires.
• Il réalise une gymnastique capillaire au niveau de la peau et de
l’ensemble des organes.
Composition
• Térébenthine – eau – savon pour bébés – acide salicylique – alcool
de camphre – extrait d’écorce de saule.
Nota Les deux bains présentent une action analgésique de
premier ordre.

Bain mixte
50 % blanc/50 % jaune (25 ml de chaque extrait) :
• Lorsque la tension est normale (entre 11 et 16).
• Intègre les indications des deux bains précédents. Les bains
mixtes – grâce à la composition diverse des deux liquides (jaune et
blanc) – donnent un clavier très large qui s’adapte bien à l’état
général de chaque malade.

Pour en savoir plus, je vous recommande de vous procurer mon


petit ouvrage L’Hydrothérapie chez soi (Éd. Guy Trédaniel) qui est
redondant en recettes simples pour de nombreux problèmes de
santé.
Pour accéder à l’ensemble de l’œuvre du Dr Salmanoff, il y a deux
ouvrages clés actuels qui ont été reconditionnés par moi-même et
mon épouse Anne-Françoise L’Hôte : Les Mille Chemins de la
guérison (Éd. Medavi), Secrets et sagesse du corps (Éd. Medavi).
Ces ouvrages sont disponibles chez Valemis.

INDICATIONS DES BAINS MIXTES


• Angine de poitrine
• Ankylose post-traumatique
• Artérite
• Artérite des jambes
• Arthrose
• Calcification hypo ou hyper
• Cicatrices et adhérences post-opératoires
• Diabète : évite les problèmes annexes (cécité, gangrène)
• Discopathies vertébrales (disques desséchés)
• Polyarthrite rhumatoïde (douleurs)
• Becs-de-perroquet (exostoses)
• Hémiplégie
• Tension artérielle hyper (bain jaune)
• Tension artérielle hypo (bain blanc)
• Myélopathie chronique
• Névrite
• Infarctus du myocarde (récupération)
• Polio (séquelles)
• Traumatismes (séquelles)
• Spondylose rhizomélique
• Poids excessif
• Thromboses
• Ovarite
• Sciatique
• AVC (séquelles)
• Polynévrites

FACILITÉS DANS L’UTILISATION


DES NOUVEAUX BAINS
La première chose intéressante est qu’il n’y a plus besoin de monter
en température à 40-41°, ce qui pouvait causer des palpitations chez
certaines personnes. Il suffit maintenant de se caler autour de 37-
38°.
La durée du bain est de quinze à vingt minutes.
Les messieurs n’ont plus besoin de se protéger les testicules avec
de la vaseline, par contre :
• afin de ne pas glisser dans le fond de la baignoire, il est toujours
nécessaire d’introduire le produit dans une bouteille avec de l’eau
très chaude (50-60°), de la secouer énergiquement avant de verser
dans le bain à 37 °C ;
• la quantité standard de produit pour un bain standard est toujours
de 50 ml (jaune ou blanc, ou mélange jaune + blanc).

Sortir du bain sans se rincer et s’essuyer.


• enfiler un peignoir et se mettre sous la couette pendant
trente minutes – il va se produire une sudation plus ou moins
importante. Les gens maigres ne sont pas obligés de faire cela ;
• se rincer sous la douche.

La fréquence des bains est toujours de deux bains par semaine


et trois pour des cas lourds.

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50

OREGANOL P73
Pour éliminer les parasites les plus dangereux

Extrait de la passionnante interview avec le Dr Ingram, auteur de


The Cure is in the Cupboard (le remède est dans le placard).
Judy Gray : Comment en êtes-vous venu à vous intéresser à l’origan
et à écrire à son sujet ?
Dr Ingram : Cela s’est fait à cause d’un accident qui a failli me
coûter la vie. Dans ma clinique, un technicien de laboratoire a laissé
traîner une aiguille dans une pile de papiers destinés au rebut. Cette
aiguille a été utilisée pour une injection intraveineuse sur un patient
très malade. On doit normalement mettre les aiguilles dans un
conteneur rouge spécial prévu à cet effet. Ne m’y attendant pas, j’ai
pris toute la pile de papiers pour les jeter. L’aiguille s’est plantée
profondément dans ma main.

Peu de temps après je suis tombé malade. Ma peau a développé un


psoriasis important. Je suis devenu si faible que je ne pouvais plus
travailler ou penser efficacement. À la suite de nombreux tests,
cette maladie a été diagnostiquée comme étant un cas sérieux de
mycose systémique (champignon) qui me dévorait vivant. Penser et
effectuer les actions les plus simples devenait de plus en plus
difficile. À ce stade, j’ai été obligé de fermer ma clinique.

Un médecin que je connais m’a suggéré de passer un test


immunitaire spécial. Étant au bord du désespoir le plus total, j’ai
essayé tout ce que mes collègues, mes amis ainsi que des
médecins purent me conseiller. Ce docteur dit à un de mes
collègues qu’elle n’avait jamais vu personne survivre avec des
résultats de ce test supérieurs à 12. Les miens s’élevaient à 13
avec une température de 34,8 °C. Ma faible température corporelle
était le signe d’une réponse immunitaire trop faible ou inexistante.
Ayant peu ou pas d’appétit mais continuant à lutter pour survivre, je
commençais à manger des herbes sauvages trouvées dans mon
placard.
Une de ces herbes était une sorte particulière d’origan sauvage
méditerranéen. Il me semblait que cela me redonnait de la force,
donc j’ai commencé à en manger tous les jours. Je redevins plus
fort, mais ce n’était pas encore assez. J’ai alors commencé à suer la
nuit – le signe certain que mon corps commençait à combattre
l’infection qui l’avait débordé. Comme ma santé continuait à
s’améliorer, je savais que cet origan sauvage des montagnes
mériterait de plus amples recherches. Cette épice naturelle dans le
placard m’a redonné vie.

Nous nous sommes mis à chercher de l’huile de cet origan


sauvage et pûmes nous en procurer huit litres chez l’habitant d’un
village de montagne. C’est alors que le miracle de la santé s’est
produit pour moi. Cela a demandé beaucoup de travail afin de
rechercher le dosage approprié et la bonne préparation pour
l’utilisation externe et interne. Mais c’était la réponse ! Ça a
marché !

Après avoir utilisé l’herbe brute d’origan et l’huile pendant plusieurs


mois, je fus finalement assez solide pour voyager en Méditerranée.
Depuis les herboristes de village (aktar) jusqu’aux scientifiques les
plus reconnus et admirés dans les universités, tous étaient d’accord
pour dire que l’origan était responsable de l’amélioration de
nombreuses maladies, depuis l’estomac dérangé et les parasitoses
jusqu’aux infections pulmonaires sévères et beaucoup plus.

Mais il faut savoir que sur le marché, il est pratiquement impossible


de trouver de l’origan sauvage authentique. Le peu que vous
pourriez trouver venant de l’étranger a perdu tous ses composants
actifs à cause des traitements chimiques, de l’irradiation pour soi-
disant le désinfecter, de la perte d’huiles essentielles due au
stockage défectueux. Il m’a fallu plusieurs années pour déterminer la
combinaison correcte des huiles de la plante, lequel mélange fut
établi par l’université Georgetown à Washington, D.C., sous le
nom de P73 blend. Les études ont démontré que ce mélange
spécial d’origan était capable d’éliminer de nombreux germes.

La production d’huiles médicinales pures exige beaucoup d’efforts.


Cette sorte d’origan ne pousse qu’en hauteur sur les montagnes aux
roches riches en calcium où il n’y a ni routes ni commodités pour
transporter des tonnes de plantes sauvages. Les villageois la
cueillent à la main et la transportent eux-mêmes ou à dos d’âne
jusqu’au pied de la montagne.
Il faut des tonnes de cette plante précieuse pour produire quelques
litres de l’huile médicinale. C’est la raison pour laquelle nous avons
établi un programme de conservation afin que la cueillette intensive
ne puisse pas arriver. On laisse pousser les plantes librement
pendant deux ans, et pendant cette période les villageois sont
payés. D’autres plantes de la région sont également utilisées afin
que les villageois continuent à avoir une vie productive.

Bien que les machines soient reluisantes, propres et neuves,


l’ancienne méthode de distillation à la vapeur reste la méthode
d’extraction que nous préférons. L’eau utilisée pour la distillation
provient d’une source souterraine qui se trouve à 90 mètres sous la
terre. Celle-ci est également pure et riche en minéraux.

J. G. : Récemment, on a beaucoup parlé de l’action bénéfique des


antioxydants. Quels en sont les effets et est-ce qu’Oreganol
possède des propriétés antioxydantes ?
Dr I. : Une substance est un antioxydant si elle est capable de
protéger le produit ou de le conserver dans son état d’origine. Dans
notre cas, le produit ce sont les cellules du corps humain ou les
aliments que nous consommons. Oreganol P73 a été testé à
plusieurs reprises sur différents produits périssables, et les résultats
ont montré qu’Oreganol était particulièrement efficace pour leur
conservation. Le test ORAC (Oxygen Radical Absorbance Capacity –
un test mis au point pour mesurer le pouvoir antioxydant des
substances sur les plantes et l’alimentation – NdT) a également
démontré que l’huile d’origan sauvage P73 était l’un des
antioxydants les plus efficaces. Lorsque auparavant les résultats du
test pour les fruits et légumes circulaient autour de cent, le résultat
pour Oreganol P73 a atteint plus de trois mille. Cela indique qu’il
s’agit d’une forme très supérieure de protection antioxydante.

L’université du Tennessee a effectué des tests pour la FDA (Food and


Drug Administration – l’équivalent de la DGCCRF – NdT). Ceux-ci ont
prouvé que l’huile d’origan sauvage était efficace pour combattre et
éliminer neuf bactéries et moisissures dangereuses. Les
pathogènes concernés incluent E. coli, Staphylococcus aureus,
Listeria monocytogenes, Pseudomonas aeruginosa, Lactobacillus
plantarum, Aspergillus niger et d’autres encore que l’on mentionne
souvent à la télévision. Ces germes sont responsables des
intoxications alimentaires, de l’empoisonnement de l’eau et d’autres
maladies communes. Oreganol P73 les neutralise facilement.

J. G. : pourquoi le public est-il si peu au courant des effets


d’Oreganol sur les germes et dans le traitement des infections, en
particulier pour les infections mycosiques ?
Dr I. : Les infections mycosiques sont une cause majeure d’infection
en Occident. Le rôle pathogénique des champignons devient de
plus en plus manifeste. Le monde médical a ignoré cette relation
pendant de nombreuses décennies et les champignons ont fait leur
entrée en tant que maladie seulement lorsqu’un médicament avec
une longue liste d’effets secondaires fut développé pour la traiter.

Les infections fongiques ont fortement augmenté – de 25 % dans


les dernières années. Les personnes âgées, les personnes au
système immunitaire affaibli, les patients hospitalisés et les enfants
sont les plus exposés. Les champignons sont des saprophytes, en
d’autres termes ce sont des entités qui vivent sur des cellules
mortes ou en train de mourir. La peau a constamment une couche
de cellules mortes, si bien qu’elle est particulièrement vulnérable
face aux infections fongiques. Des micro-organismes, y compris des
champignons, vivent sur la peau, dans la bouche, dans les intestins
et dans le tractus urinaire.
Si l’équilibre entre l’organisme et les bactéries n’est pas compromis,
il n’y a ni maladie ni dommage. Au contraire, ils aident à la digestion
et à l’échange de cellules mortes avec de nouvelles cellules. Lorsque
les champignons se nourrissent sur des cellules mortes, cela signifie
que le système immunitaire est compromis. Il se peut que les
champignons soient une infection secondaire. Pour le moins, le
corps est en état de déséquilibre.

Le sucre est le principal coupable. Les champignons adorent le


sucre. Le sucre détruit les tissus physiologiques et cela permet aux
champignons de proliférer. Malheureusement, le régime américain
est rempli de sucre. Même si nous essayons de l’éviter, il se cache
dans toute l’alimentation transformée.

L’alcool est l’autre grand coupable de la destruction de la santé. Il


affaiblit le corps en abîmant des organes digestifs de première
importance tels que le foie ou le pancréas, ainsi que la rate et la
moelle des os, et il détruit des millions de cellules cérébrales. La
mauvaise absorption de nutriments tels que vitamines, minéraux,
acides aminés, ou le manque de ces nutriments dû à la
consommation d’alcool compromet d’autant plus le corps. Le
résultat est qu’il y a moins de globules blancs pour activer et
protéger la fonction immunitaire.

De nombreux médicaments sont responsables de la création des


conditions favorables au développement des champignons. Ceux-ci
incluent les antibiotiques, les contraceptifs, les analgésiques, les
stéroïdes, la chimiothérapie et les rayons.
Malheureusement, les antibiotiques et les stéroïdes sont ajoutés à
certains aliments supposément pour conserver leur fraîcheur. J’ai
déjà mentionné que la viande, le poisson congelé, le lait et même
les œufs contiennent des traces d’antibiotiques. Lorsque les
champignons prospèrent, il devient très difficile de les combattre.
Dans des conditions favorables, les champignons pourraient attaquer
chaque organe, voire chaque cellule du corps.

INDICATIONS DE L’OREGANOL
• Affections cutanées
• Affections respiratoires (en synergie avec Oregaresp)
• Anti-inflammatoire puissant
• Articulations et muscles contracturés (en externe)
• Bronchite
• Candidose
• Eczéma
• Infections par levures
• Infection urinaire (en complément du D-mannose)
• Maladie de Lyme en alternance avec le chlorite de sodium
(Sanchlor)
• Système immunitaire (stimulant puissant)

POSOLOGIES
• En curatif : 8 gouttes 3 fois par jour pendant un maximum de
10 jours consécutifs, après quoi il convient de faire une pause d’au
moins 10 jours avant de recommencer si nécessaire.
• Prévention et recommandation générale : 3 gouttes dans un
verre d’eau au petit déjeuner et au déjeuner, 5 jours par semaine
(faire une pause le week-end). Ce dosage peut se prendre au long
cours sur plusieurs mois.

POSOLOGIES SPÉCIFIQUES
Usage interne
• Allergies respiratoires : 2 à 3 gouttes lorsque le besoin se fait
sentir + 1 cuillère à café de MSM 2 fois par jour.
• Asthme : 3 à 5 gouttes trois fois par jour + 1 cuillère à café de
MSM 2 fois par jour.
• Constipation/diarrhée : 5 gouttes dans un verre d’eau 3 fois par
jour + 1 cuillère à café de MSM 2 fois par jour + Trinkmoor.
• Gastralgie : 2 à 5 gouttes 2 fois par jour.
• Hypotension : 2 à 3 gouttes 2 fois par jour + D-ribose.
• Psoriasis, eczéma : chez l’adulte, 8 gouttes 3 fois par jour pendant
un maximum de 10 jours consécutifs, après quoi il convient de
faire une pause d’au moins 10 jours avant de recommencer si
nécessaire.
• Syndrome du côlon irritable : 3 à 5 gouttes dans 1 verre d’eau 2
à 3 fois par jour + 3 gélules de Floracor GI par jour (si candidose)
ou Trinkmoor (si inflammation).
• Voies respiratoires inférieures et des poumons : 3 à 5 gouttes
dans un verre d’eau 3 fois par jour. Masser avec 2 ou 3 gouttes sur
la poitrine, dans le haut du dos à hauteur des poumons et sur la
plante des pieds. Prendre également une gélule d’Oregaresp 3 fois
par jour.
• Voies respiratoires supérieures : 2 à 3 gouttes dans 1 verre d’eau
3 fois par jour. Prendre également une gélule d’Oregaresp 3 fois
par jour.
Usage externe
Appliquer directement sur la peau (sensation de chaleur), éviter les
muqueuses. Ou mélanger à de l’huile d’olive (ou mieux, de l’huile de
noix de coco) et appliquer en massage.
• Douleurs des dents, lésions dans la bouche : appliquer
directement sur les parties concernées aussi souvent que
nécessaire. En complément : MSM pour les gencives.
• Pied d’athlète, champignons au pied : appliquer localement
2 fois par jour. Utiliser en complément du Super PAV.

COMPOSITION GLOBALE
• Mélange d’huile d’origan sauvage (forte teneur en carvacrol et
autres ingrédients actifs).
• Huile d’olive.

Il ne s’agit pas d’une huile essentielle au sens classique, du fait,


entre autres, de l’émulsion dans l’huile d’olive, donc le produit ne
présente aucune toxicité pris en interne, même sur des hautes
doses (jusqu’à vingt-cinq gouttes par jour) et sur du long terme
(plusieurs mois). Il est néanmoins conseillé de faire une pause de
deux jours par semaine.

Conditionnement
Flacons de 30 ml en verre teinté avec pipette.

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51

COENZYME Q10
Le remède roi de l’insuffisance cardiaque

Couramment appelée CoQ10 ou ubiquinone, c’est une substance


similaire à une vitamine, qui est vitale pour la production de l’énergie
corporelle. Elle est en partie fabriquée par notre corps (qui en
fabrique de moins en moins avec les années) et complémentée par
la nourriture, le cas échéant. Les organes nécessitant le plus
d’énergie – tels que le cœur, les poumons et le foie – sont les
premiers consommateurs de cette CoQ10 qui ne peut être
remplacée par aucune autre substance. On imagine que les
cardiologues devraient la prescrire à tous leurs patients, mais ils ne
le font pas.

La CoQ10 fut découverte par le chercheur britannique Peter Mitchell,


qui, à la suite de la découverte de son rôle prépondérant dans la
production de l’énergie du corps, a reçu le prix Nobel de chimie en
1978. La CoQ10 intervient dans la chaîne respiratoire, qui assure la
production d’énergie utilisable par les cellules sous forme d’ATP.
Concernant les sportifs, il aurait montré que si on apporte de 60 à
100 mg/jour de CoQ10 pendant quatre à huit semaines, la capacité de
performance est augmentée.

Par ailleurs, la fréquence cardiaque est améliorée chez les


insuffisants cardiaques, la consommation maximale d’oxygène et le
temps à l’effort sur tapis roulant sont augmentés. En fait, notre
alimentation nous fournit un apport journalier d’environ 3 à 10 mg de
CoQ10. Cependant, il se peut qu’un régime normal ne suffise pas ou
plus pour répondre aux besoins corporels en CoQ10.
À noter que le traitement par statines bloque la synthèse de la
coenzyme Q10, ce qui pourrait expliquer les myopathies observées
chez certaines personnes prenant ces médicaments contre le
cholestérol.

UNE RÉFÉRENCE REMARQUABLE


Thierry Souccar a écrit en 2006 : « La première fois que
Léon Mader m’a écrit, c’était il y a trois ans, pour me remercier
d’avoir parlé de la coenzyme Q10 dans Sciences et Avenir, et des
expériences qui en faisaient un espoir pour les insuffisants
cardiaques. Léon souffrait d’insuffisance cardiaque avec rétention
d’eau dans les bronches. Au début de l’année 1999, il venait de faire
quatre œdèmes pulmonaires. C’est en mars de cette année-là que
parut cet article sur la coenzyme Q10. Les pharmaciens français ne
connaissaient pas, alors Léon Mader en acheta à l’étranger par
correspondance. Il a commencé à en prendre 100 mg par jour, pour
voir : “Mon rendement cardiaque, dit-il, était de 30 % au départ ;
après trois mois de prise de coenzyme Q10 mon rendement
cardiaque est passé à 48 %. C’est seulement après ce contrôle
que j’ai informé mon cardiologue, qui m’a conseillé de
continuer.” »

700 000 INSUFFISANTS CARDIAQUES


EN FRANCE
Quelque cent vingt mille nouveaux cas sont recensés chaque année.
L’insuffisance cardiaque peut faire suite à un infarctus, en raison
d’une nécrose résiduelle du muscle cardiaque, mais dans de
nombreux cas elle apparaît aussi chez des personnes qui n’ont pas
eu d’infarctus. On trouve alors souvent un mauvais fonctionnement
des valvules, une hypertension ou des troubles du rythme.

L’insuffisance cardiaque se manifeste par un essoufflement, de


l’épuisement, et à l’extrême – comme c’était le cas pour
Léon Mader – des œdèmes. Cette maladie est un casse-tête pour
les cardiologues qui n’avaient, jusqu’à une date récente, à leur
disposition aucun traitement vraiment efficace (hormis la greffe). Ils
prescrivaient des diurétiques pour tenter d’évacuer l’eau qui
s’accumule parce que le cœur ne pompe plus suffisamment. Depuis
sont apparus notamment des inhibiteurs de l’enzyme de conversion
de l’angiotensine, qui font baisser la tension artérielle, et des
bêtabloquants qui régulent le rythme cardiaque. Ils apportent des
bénéfices incontestables, mais cela n’empêche pas les patients de
continuer de s’affaiblir avec les années, et la mortalité reste élevée.

Après quatre ans de merveilleux résultats sous CoQ10, Léon Mader,


stupéfait que les cardiologues ne connaissent toujours pas cette
substance et ne s’y intéressent pas, a écrit aux laboratoires
pharmaceutiques et à la Fédération française de cardiologie, mais
aucune réponse n’est revenue. Outré, il déclare : « J’en ai assez de
cette inertie. Tout le monde s’en fiche ! »

D’ILLUSTRES CHERCHEURS
Les coenzymes Q ont été baptisées ubiquinones en 1955 par
R. A. Morton, professeur de biochimie à l’université de Liverpool,
alors qu’il venait de les découvrir dans la graisse animale. Avec ce
nom, Morton voulait faire comprendre que ces substances existent
chez tous les êtres vivants, animaux, végétaux ou micro-organismes.
En 1957, Frederick Crane, un chercheur de l’université du Wisconsin
(Madison), a isolé la CoQ10 dans des mitochondries de cœur de
bœuf.
L’année d’après, le biochimiste Karl Folkers, qui travaillait alors chez
le géant de la pharmacie Merck, a déterminé sa formule exacte. Si
vous vous intéressez à la nutrition, ayez s’il vous plaît une pensée
pour Karl Folkers, disparu en 1997 à l’âge de 91 ans. On lui doit non
seulement ces découvertes sur la coenzyme Q10, mais aussi des
travaux majeurs sur les vitamines B6 et B12.

DES ÉTUDES CONVAINCANTES


La CoQ10 a été donnée depuis 1973 à des insuffisants cardiaques
dans des études cliniques qui visaient à évaluer ses effets réels. Les
premières études ont montré que les suppléments de CoQ10
améliorent le rendement cardiaque et la mortalité. Bien que les
études n’aient pas été effectuées en double aveugle, l’une des plus
impressionnantes a duré huit ans et inclus cent quatre-
vingts patients dont une partie a pris 100 mg de CoQ10 chaque jour
en plus de leur traitement conventionnel.

Le résultat comparatif de survie entre le groupe 1 qui prenait la


CoQ10 et le groupe 2 qui n’en prenait pas a été le suivant :
• Sur un an : groupe 1 = 75 % ; groupe 2 = 54 %.
• Sur deux ans : groupe 1 = 65 % ; groupe 2 = 26 %.
• Sur trois ans : groupe 1 = 47 % ; groupe 2 = 1%.

À partir de 1985, des études contre placebo en double aveugle ont


été mises sur pied. Langsjoen a montré que la CoQ10 améliore le
rendement cardiaque sur un petit nombre de patients. D’autres
études conduites par Poggesi, puis Morisco sur des groupes de
vingt malades ont elles aussi trouvé une grande amélioration du
rendement cardiaque.
Une étude conduite par Judy sur quatorze malades a elle aussi
conclu à une amélioration du rendement cardiaque après un
traitement de cent quatre-vingts jours avec de la CoQ10.

Par ailleurs, Franklin Rosenfeldt, un chercheur australien, a montré


qu’en donnant un supplément de CoQ10 à des patients avant une
intervention chirurgicale cardiaque, on améliore la fonction cardiaque
post-chirurgicale, on réduit les dommages au myocarde et on
diminue la durée d’hospitalisation.

Aucun effet indésirable du CoQ10 n’a été relevé. C’est loin d’être le
cas de la pharmacopée officielle prescrite contre l’insuffisance
cardiaque, il suffit de voir la liste effrayante (marquée en tout petit)
des effets indésirables possibles.

L’ARNAQUE DES STATINES


Sept millions de Français ont été mis à vie sous statines alors que
les scientifiques indépendants du plus haut niveau, tels les Prs Even
et de Lorgeril, entre autres, dénoncent leurs effets désastreux sur
les chaînes musculaires pouvant amener à la chaise roulante, sur le
cerveau, la peau, et sur un vieillissement prématuré. Les statistiques
prouvent même que la mortalité est légèrement plus forte chez les
gens atteints de maladie coronarienne sous statine.

De plus, les mêmes scientifiques indépendants contestent la


relation d’une soi-disant hypercholestérolémie (dont on a abaissé les
curseurs afin d’inventer des malades), avec les athéromes et
l’artériosclérose. Mais les trusts de la maladie font la sourde oreille à
cela afin de préserver la manne pharaonique de revenus à long
terme que représente cette imposture. Mieux encore, on sait que
l’hypocholestérolémie est, elle, bien plus dangereuse et qu’elle
mène au terrain cancérinique.
Or le but des statines étant justement de maintenir des taux de
cholestérol très bas, par quel moyen agissent-elles ? Tout
simplement en bloquant l’enzyme contrôlant la synthèse du
cholestérol, mais aussi celle de la coenzyme Q10, ainsi que celle de
la vitamine D, d’hormones du stress, et d’hormones sexuelles.
C’est une catastrophe lente mais sûre !

EFFET DE LA CARENCE DE LA COQ10


AU NIVEAU DU CŒUR
Le cœur est l’organe du corps qui consomme le plus d’énergie et il a
besoin en permanence pour cela d’un taux adéquat de CoQ10.
Lorsque le muscle cardiaque est privé de CoQ10 pendant une longue
période, il finit par s’affaiblir, donnant ainsi lieu à ce qu’on appelle de
l’insuffisance cardiaque. Or nous comprenons maintenant pourquoi
les statines sont totalement inefficaces pour la réduction du risque
de crises cardiaques. Outre cela, ces médicaments, par leurs effets
inhibiteurs sur la synthèse de diverses molécules importantes,
contribuent à des effets secondaires tels que la perte de mémoire,
le déclin cognitif, le diabète ou les cataractes.

Hélas, on peut constater d’une façon générale que la médecine n’a


pratiquement pas de liaison avec la vraie science médicale
indépendante ; et c’est pourquoi, plutôt que d’obéir passivement
aux directives des médecins limités par les œillères de l’Ordre qui
veille, il est plus raisonnable d’opter pour la coenzyme Q10 à partir
d’un certain âge, surtout lorsque l’on a eu une ou des alertes au
niveau cardiovasculaire, hypertension, angine de poitrine ou autres.
INDICATIONS COENZYME Q10
• Angine de poitrine
• Antioxydant puissant
• Athéromes (dissout)
• AVC (suite)
• Cœur (nécroses)
• Diabètes
• Dystrophie musculaire
• Énergie (manque)
• Fatigue chronique (syndrome)
• Gencives (affections)
• Hyperglycémie
• Hypertension
• Immunité (augmente)
• Infarctus du myocarde (suite)
• Insuffisance cardiaque
• Longévité (augmente)
• Maladie de Hutchinson
• Maladie de Lyme
• Obésité
• Parkinson

POSOLOGIE
Flacon de 180 ml.
1 cuillère à café rase (5 ml) par jour, ¼ d’heure avant un repas.

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52

VITAMINES D3 + K2 LIPOSOMALES
Pour une gestion efficace du calcium

TOUT SUR LA VITAMINE D3


Lorsque j’étais gamin, c’était la mode dans le Nord de donner aux
enfants chaque hiver du Sterogyl pour prendre le relais du soleil et
assurer la construction osseuse. Je ne sais pas quelle en était
exactement l’efficacité mais ce n’était pas dangereux. Cela n’a pas
été le cas de la dernière invention de Big Pharma avec de
l’Uvestérol, qui a dû être retiré précipitamment du marché en raison
d’accidents graves et même mortels.
Et puis il y a maintenant les écrans solaires qui bloquent la synthèse
de la vitamine D au niveau cutané, en plus de la stupidité de se
savonner après les bains de soleil, qui font que les estivants
reviennent de vacances en ayant fabriqué zéro vitamine D (de plus
gratuite).
Du coup, il faut payer ce qui est un cadeau de la nature… en
espérant en trouver de bonne qualité.
Plus que la simple santé des os
On sait que la vitamine D favorise l’absorption du calcium et du
phosphore – qui jouent un rôle important dans le maintien de la
santé des os. Mais les recherches démontrent que la vitamine D :
• Régule plus de deux cents gènes et affecte CHAQUE cellule du
corps.
• Contribue au bon fonctionnement de pratiquement tous les tissus
et organes, dont le cerveau, le cœur, les muscles, les glandes
endocrines et le système immunitaire.

De plus, la vitamine D agit de concert avec l’hormone parathyroïde


afin de réguler le taux de calcium dans le corps. Ainsi :
• Elle prévient l’ostéoporose.
• Elle réduit le risque de fractures par chutes.
• Elle soutient les fonctions musculaires saines.
• Elle améliore la douleur musculo-squelettique chronique, ainsi que
les symptômes de fatigue associés à la fibromyalgie.
Un soutien précieux pour le système cardiovasculaire
De faibles taux de vitamine D augmentent les facteurs de risque
cardiovasculaire tels que l’hypertension artérielle, la rigidité
vasculaire, l’inflammation, une accumulation accrue de calcium dans
les artères coronariennes, la résistance à l’insuline et le diabète. Il
n’est donc pas surprenant que la carence en vitamine D augmente le
risque de crise cardiaque, d’insuffisance cardiaque congestive et
d’AVC. La vitamine D aide en particulier à :
• Réguler la tension artérielle.
• Réduire l’inflammation, diminuer le risque d’athérosclérose
(formation de plaque).
• Améliorer les fonctions cardiaques chez les personnes souffrant
d’insuffisance cardiaque.
• Améliorer la sensibilité à l’insuline dans les cellules.
Indications carence chronique de vitamine D3
• Accouchement (prématuré)
• Asthme et maladies asthmatiformes
• Autisme ;
• Cancers (adjuvant)
• Complications de grossesse (travail prématuré, accouchement
prématuré, pré-éclampsie)
• Covid
• Dégénérescence maculaire, sécheresse oculaire
• Démence et déclin cognitif
• Dépression
• Diabètes
• Douleur chronique, fibromyalgie
• Immunité affaiblie
• Maladies auto-immunes
• Maladies cardiaques et hypertension artérielle
• Mauvaises fonctions musculaires
• Ostéoporose (os fragiles)
• Rhume, grippe et infections des voies respiratoires supérieures

Certains aliments, tels que le poisson, les œufs et les champignons,


contiennent de la vitamine D, mais ce n’est pas suffisant. À défaut
d’un ensoleillement intelligent, un supplément de vitamine D3 de
haute qualité est la meilleure solution pour renverser la carence.

TOUT SUR LA VITAMINE K2


Faisant partie des vitamines moins connues, la vitamine K2 est un
puissant antioxydant qui réalise plusieurs fonctions dans le corps. Sa
fonction la plus importante (ironiquement, inconnue) est la
prévention de l’accumulation du calcium sauvage non métabolisé
dans des endroits problématiques, tels que dans les artères et sur
les articulations.

La vitamine K2 contribue à la santé cardiovasculaire


La vitamine K2 active l’ostéocalcine, une protéine produite par les
ostéoblastes (cellules chargées de la formation du squelette).
L’ostéocalcine fixe le calcium et le transporte jusqu’aux tissus
osseux.
La vitamine K2 active également la protéine matricielle GLA (PMG),
une protéine sécrétée par les cellules musculaires lisses des
vaisseaux. La PMG fixe et retire le calcium présent dans les
vaisseaux sanguins, prévenant ainsi la calcification artérielle.
Prendre du calcium et de la vitamine D pour avoir des os en
bonne santé est inutile si vous avez une carence en vitamine K2.

Une supplémentation en vitamine K2 peut être nécessaire


La vitamine K2 est produite par les bactéries dans les intestins et
elle se trouve surtout dans les aliments fermentés tels que le nattô,
la choucroute et le fromage, en particulier le gouda et le brie. Elle
est également présente dans les produits animaux biologiques et
nourris à l’herbe, tels que le foie, le jaune d’œuf et le beurre.
Contrairement à la vitamine K1, qui se trouve dans les légumes verts
à feuilles, la vitamine K2 est généralement difficile à obtenir à partir
de l’alimentation.

POURQUOI L’ASSOCIATION
VITAMINE K2-VITAMINE D3 ?
L’association des vitamines D3 et K2 assure la capacité du corps à
utiliser efficacement le calcium. La vitamine D3 contribue à
l’absorption du calcium et du phosphore. Mais c’est la vitamine K2
qui régule la destination de ce calcium dans le corps.

La vitamine K2 guide le calcium absorbé à travers la matrice osseuse


et l’éloigne des autres tissus et organes. Cela non seulement
favorise la minéralisation et la croissance osseuses, mais stoppe
également l’accumulation du calcium dans des endroits non désirés,
tels que dans les artères, où il peut contribuer à la formation de
plaques (athérosclérose) et au durcissement artériel. La calcification
dans les artères augmente votre risque de maladies
cardiovasculaires, comme les crises cardiaques, l’insuffisance
cardiaque et les AVC.
INDICATIONS SPÉCIFIQUES DE
VITAMINE D3 + K2
• Calcémie (hyper)
• Calcifications sauvages
• Fractures

POURQUOI LA FORMULE
LIPOSOMALE ?
Notre supplément de haute qualité s’administre par une technologie
liposomique unique. Les liposomes sont de petites particules qui
aident à livrer les molécules de vitamine D3 et de vitamine K2
directement aux cellules et tissus – il en résulte une meilleure
absorption ainsi qu’une plus grande biodisponibilité.

POSOLOGIE DU MÉLANGE
LIPOSOMAL VITAMINE D3 + K2
2 ml par jour.

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53

PHYCOCYANINE
Pour reprogrammer et réparer tout l’organisme

La phycocyanine est issue de la fraction hydrosoluble de la


spiruline. Cette fraction est un phytopigment protéique fluorescent
bleu qui absorbe et capture les photons. Cette énergie lumineuse
est ensuite transformée en énergie électrobiochimique qui contient
des sels minéraux, des acides aminés, des protéines, des sucres,
des vitamines hydrosolubles et des enzymes.

PROPRIÉTÉS GÉNÉRALES
• ADN (répare).
• Antianémique.
• Anti-inflammatoire.
• Cellules souches (active la production).
• Foie (détoxifie et restaure).
• Sang (régénère).
• Système immunitaire (stimule).

RÉFECTION DE L’ADN ENDOMMAGÉ


D’après de nombreuses expériences réalisées in vitro, on a conclu
que diverses formes de cancer sont le résultat de la dégradation des
enzymes dites endonucléases qui réparent l’ADN cellulaire lorsqu’il
est endommagé. Or ces expériences ont montré que les
polysaccharides contenus dans l’extrait de spiruline fraîche
(phycocyanine) permettent d’améliorer l’activité enzymatique du
noyau cellulaire et d’entamer ainsi un processus de réparation de
l’ADN.

Par ailleurs, la phycocyanine a la faculté de neutraliser les radicaux


libres qui, en trop grand nombre, peuvent créer des lésions au
niveau de l’ADN.

RÉGÉNÉRATION DU SANG
ET TRAITEMENT DE LA LEUCÉMIE
Les globules blancs
Dans leurs recherches sur la leucémie, les scientifiques et
chercheurs chinois ont montré que la phycocyanine agissait sur la
production des cellules souches situées dans la moelle osseuse qui
est à la base de la formation sanguine. En l’occurrence, elle permet
de normaliser le nombre de globules blancs, renforçant le système
immunitaire et d’empêcher l’évolution d’une leucémie.
À noter que la médecine a souvent recours à la greffe de moelle
pour normaliser cette production de globules blancs dans les cas de
leucémies. Dès lors, on sait que la phycocyanine peut agir en amont
et éviter des interventions lourdes et – en outre – sans garantie.

Les globules rouges


La phycocyanine, par le biais des cellules souches, renforce aussi la
production des globules rouges, ce qui augmente la capacité
d’oxygénation de l’organisme. C’est d’autant plus intéressant quand
on sait que la cancérisation est toujours associée à une hypoxie
cellulaire.
En particulier, les scientifiques chinois ont prouvé que la
phycocyanine, en stimulant l’hématopoïèse, reproduisait l’effet de
l’hormone EPO. C’est cette hormone qui, produite par les reins,
règle par les cellules souches, la production des globules rouges
dans la moelle osseuse. L’érythropoïétine, plus connue sous le
nom d’EPO, est l’hormone responsable de la différenciation et de la
prolifération des globules rouges. En cas de diminution de ces
globules rouges, la médecine a donc recours à l’EPO afin de
récupérer la capacité du sang à transporter l’oxygène. D’ailleurs,
dans le milieu sportif, c’est une pratique illégale bien connue en tant
que doping.

REFAIRE DES GLOBULES BLANCS


SUITE À DES IRRADIATIONS
Les scientifiques affirment également que la phycocyanine règle la
production de globules blancs, même quand les cellules souches
dans la moelle osseuse se trouvent endommagées sous l’effet de
produits chimiques toxiques et surtout de radioactivité.

EXPÉRIENCE SUR DES ENFANTS


IRRADIÉS
DE TCHERNOBYL
Après l’accident de Tchernobyl, deux cent soixante-dix enfants
irradiés ont été traités à la phycocyanine. Leurs globules blancs
étaient au plus bas et leur organisme ne se défendait plus contre les
maladies. Les cellules souches de leur organisme, endommagées
par l’effet toxique de l’irradiation, ont pu être ainsi restaurées après
six semaines de traitement.
La phycocyanine a pu corriger les effets de l’exposition aux rayons X,
normaliser les lymphocytes T et réduire le taux de radioactivité des
jeunes malades. Quatre-vingts pour cent des enfants traités pendant
trois à six mois n’ont pas fait de cancer de la thyroïde par la suite,
alors que la majorité des enfants non traités l’ont développé.

UNE PUISSANTE ACTIVITÉ ANTIVIRALE


La faculté de médecine de l’université Harvard à Boston a démontré
la capacité de la phycocyanine à inhiber des virus tels que ceux de la
grippe A, des oreillons, de la rougeole, de l’herpès simplex et du
cytomégalovirus, et ce, sans aucun danger. Ces études ont
démontré l’aptitude de la phycocyanine à protéger les cellules en
empêchant la pénétration des virus pathogènes à travers leur
membrane. Ces virus ne pouvant plus se multiplier finissent par être
éliminés.

RÉGÉNÉRATION DU FOIE
La phycocyanine ressemble à une structure protéique proche des
pigments biliaires de l’homme, ce qui pourrait expliquer son fort
potentiel de détoxication et son effet hépato-protecteur. La fibrose
du foie est une maladie chronique du foie qui peut dégénérer en
cirrhose à cause de la prolifération des cellules de Kupffer. Or des
études ont pu mettre en évidence que la phycocyanine apporte des
effets antiprolifératifs sur ces cellules après seulement douze heures
de traitement.

INDICATIONS DE LA PHYCOCYANINE
• ADN endommagé
• Anémie
• Cancers (adjuvant)
• Cellules souches (active la production)
• Cirrhose
• Foie engorgé et intoxiqué
• Hépatites
• Immunodéficience
• Inflammations (toutes)
• Leucémie
• Maladies épidémiques
• Maladies virales
• Sang (régénère la formule)

CONCLUSION
On nous rebat les oreilles depuis des années avec les bienfaits de la
spiruline, mais on comprend que le véritable trésor se trouve dans
sa phyto-protéine bleue : la phycocyanine. La teneur en
phycocyanine d’une spiruline est d’ailleurs le critère le plus
révélateur de son efficacité.
À noter que la phycocyanine est dépourvue d’effets secondaires et
elle est parfaitement compatible avec les protocoles conventionnels.

POSOLOGIE
1 ampoule par jour au lever.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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TYRO+
Nouvelle phyto-assistance thyroïdienne

Actuellement près de trois millions de personnes en France sont


sous Lévothyrox, soit à la suite d’une ablation totale de la thyroïde,
soit pour aider la thyroïde, soit pour mettre la glande au repos. Dans
un précédent article j’avais, en outre, dénoncé les abus opératoires
visant le dopage du volume de tutelle à vie de gens privés de
thyroïde pour présence de nodules.
En fait, le nuage radioactif de Tchernobyl en 1986, qui a été suivi à
l’époque d’un déferlement de cancers de la thyroïde en Europe – et
même de leucémies dans les régions les plus touchées – a été une
formidable opportunité pour lancer le Lévothyrox. Les cabinets
d’endocrinologie se sont multipliés pour le dépistage, et cela a
entraîné un déferlement d’ablations de la thyroïde, accompagnées
de prise de Lévothyrox à vie.

Nota nodule chaud = bénin ; nodule froid = suspect.


Mais, 10 % seulement des nodules froids sont réellement
cancéreux.

Finalement, sur cent nodules thyroïdiens détectés, seuls quatre sont


réellement cancéreux, et ils évoluent extrêmement lentement, ce
qui signifie que beaucoup de personnes ont perdu leur thyroïde pour
rien.
COUPS BAS DE BIG PHARMA
Il existait sur le marché depuis 1850 un produit très simple nommé
Thyroïdine à base de thyroïde de porc (bio) séchée et réduite en
poudre. Pourquoi le porc ? Parce que, comme nous le savons, c’est
l’animal qui biologiquement est le plus proche de l’homme, et en
particulier sa thyroïde. Bien que je n’aime guère l’utilisation médicale
des produits animaux, vu les millions de cochons qui sont sacrifiés
pour l’alimentation humaine mondiale, cela ne change rien à la triste
condition porcine.
Le problème était que ce vieux produit non chimique et pas très cher
était en concurrence avec le Lévothyrox de Merck, d’autant plus qu’il
ne présente pas certains inconvénients de la thyroxine de synthèse
qui peut augmenter les risques cardiaques et entraîner des
carences en fer et calcium.

Or, en 2006, un médecin et un pharmacien parisiens se sont


associés pour lancer sur le marché des pilules amaigrissantes, dans
lesquelles ils avaient introduit huit cents fois la dose admissible de
Lévothyrox par cachet ! Bien sûr, une partie des patients
« cobayes » se sont retrouvés à l’hôpital. Les deux compères mis en
examen ont juré qu’il s’agissait de thyroïde naturelle (type
Thyroïdine). Avant qu’une vérification de l’allégation soit effectuée,
l’ANSM (l’Agence nationale de sécurité du médicament) fit
préventivement retirer ce produit de la vente sur deux mois.
Curieusement, cette suspension n’a jamais été levée et elle est
devenue définitive bien que l’enquête ait abouti à une supercherie
mensongère.

Cette affaire paraissant tellement grosse et cousue de fil blanc, mon


ressenti intime est le suivant : Merck désirant éliminer un vieux
produit concurrent, meilleur que son Lévothyrox, a dû nommer (et
probablement rétribuer) deux « taupes » pour monter un scandale
afin de disqualifier la Thyroïdine (en dépit d’un siècle et demi sans
problème particulier), cela suivi d’un gel des conclusions de
l’enquête judiciaire – ensuite, le temps passant et la mémoire courte
des gens aidant, le tour fut joué ! Pourtant cet « oubli » n’a pas été
appliqué à l’étranger.

Cette imposture a rebondi sur un médecin non aligné renommé


depuis longtemps dans l’obésité d’origine hormonale, le
Dr Didier Panizza, créateur d’un centre spécialisé à Paris. Comble
de culot, il lui a été reproché de prescrire à ses malades de la
Thyroïdine que l’on trouve sans problème en Belgique, en
Allemagne, aux États-Unis, au Canada, etc. À savoir que le
8 décembre 2017, le Dr Panizza devait comparaître devant la cour
d’appel après les péripéties de procédures sans fin. Qu’en est-il
advenu avec cet appareil judiciaire politiquement soumis à la
dictature française de Big Pharma ? Silence radio et mystère !

NOUVELLE IMPOSTURE
ENVERS LES THYROÏDO-DÉPENDANTS
Non encore satisfait du marché juteux de son Lévothyrox, Merck
adepte du « toujours plus » a encore tiré sur la corde en simplifiant
la composition du produit à des fins d’économie accrue (peut-être
même sans reposer d’AMM). Mais là, la corde a cassé à la suite
d’une levée générale de plaintes pour effets collatéraux plus ou
moins graves parmi les prisonniers de ce traitement monopole pour
leur survie.

Je n’entrerai même pas dans les péripéties de ce nouveau scandale,


et je suis toujours étonné par le seul réflexe instinctif des gens
lorsqu’ils sont confrontés à une injustice : la pétition adressée aux
autorités – d’autant plus qu’encore une fois, la malveillance a l’air de
ne s’appliquer qu’à la France. Cela fait des années que je répète
que les pétitions vont… à la poubelle ! Guère mieux sont les
démarches juridiques qui traînent, coûtent cher, et ne sont pas
forcément appliquées après gain de cause. Chers amis, il faut
comprendre que vos bourreaux administratifs sont des valets et
qu’ils ne sont pas là pour défendre vos intérêts (votre santé), mais
ceux de leurs maîtres.

POURQUOI FAIRE SIMPLE


QUAND ON PEUT FAIRE COMPLIQUÉ ?
Au lieu de perdre son temps avec des procédures en règle que l’on
vous impose, pourquoi ne pas sortir de l’épure qui présente au
départ trois solutions faciles au choix :
1. Hors frontières
• Se procurer le Lévothyrox original dans un pays limitrophe.
• Se procurer la Thyroïdine classique en Belgique ou en Allemagne
(sauf si l’on est végétarien intégriste ou musulman…).
2. Dans l’Hexagone
Vous pouvez opter pour la phyto des médecines naturelles. Il existe
différents produits sur le marché qui sont d’une plus ou moins
grande efficacité concernant la régulation thyroïdienne en hypo ou/et
en hyper. J’en ai sélectionné plusieurs, successivement de mieux en
mieux, avant d’en arriver à celui que je pense être le plus
performant : le Tyro+ d’Apoticaria.

LES MÉCANISMES THYROÏDIENS


D’abord c’est la TSH du sang qui transmet les ordres de l’hypophyse
à la thyroïde – d’où l’utilité d’effectuer son dosage : moins de
0,5 mU/l = hyperthyroïdie / plus de 4,5 mU/l = hypothyroïdie.
Rappel : la thyroïde, petit nœud papillon situé à la base du larynx,
est composée de cellules folliculaires qui produisent quatre
hormones : la T1, la T2, la T3, et la T4 (thyroxine), et de cellules C
parafolliculaires qui contrôlent la régulation du calcium et du
phosphore.

Or il se fait que la thyroïde fabrique surtout de l’hormone T4 mais


peu d’hormone T3 qui est indispensable pour faire fonctionner
l’ensemble du système endocrinien. Fort heureusement, la T4 peut
être transformée grâce à une enzyme spéciale en T3 (hormone
active) mais aussi en RT3 (hormone inactive). Si cette dernière est
prépondérante, la thyroïde ralentit ou s’arrête.

Tout cela laisse voir que les problèmes thyroïdiens demandent une
grande finesse d’analyse. Par exemple en cas de carence en T3, le
Lévothyrox qui est pourvoyeur de T4 est inutile. Idem pour les
patients qui ne peuvent faire la transformation de T4 en T3. Toutes
ces subtilités de fonctionnement n’ont plus à être prises en compte
lorsqu’on utilise la thyroïdine ou Tyro +.

TROUBLES POSSIBLES PAR


HYPOTHYROÏDIE – INDICATIONS
TYRO+
• Constipation
• Crampes musculaires
• Déprime
• Difficultés de concentration
• Éclaircissement des sourcils
• Faiblesse immunitaire
• Fatigue constante
• Fourmillement des extrémités
• Infections récurrentes
• Insomnies
• Lombalgie
• Migraines
• Mouvements lents
• Pâleur
• Paumes et plantes jaunes
• Perte de cheveux ou cheveux cassants
• Perte de la libido
• Problèmes menstruels
• Raisonnement lent
• Réflexe achilléen lent
• Sécheresse ou épaississement cutané
• Tendinite résistante
• Troubles de l’audition
• Troubles de la mémoire
• Vertiges
• Visage bouffi
• Vision floue
• Voix rauque

CAUSES SIMPLES DES DÉRÈGLEMENTS


Les métaux lourds
Ils sont sans conteste la cause principale des dérèglements
hormonaux. La thyroïde est la glande qui capte le plus d’éléments
de notre environnement, en particulier les métaux lourds. Le corps
déclenche alors une réaction immunitaire dirigée contre sa propre
thyroïde afin d’atteindre ces métaux qui y sont cachés. C’est la
raison pour laquelle, en plus de la très fréquente carence en iode,
beaucoup d’entre nous présentent une hypothyroïdie larvée non
détectée par les dosages classiques de TSH. Le dosage de la TSH
nous renseigne sur l’efficacité du travail de la glande mais seule la
mesure des anticorps antithyroïdiens nous permet de déterminer la
présence de métaux lourds, ou une carence en iode.
La simple carence en iode
Si vous n’avez pas d’iode, vous ne fabriquez pas d’hormones
thyroïdiennes. Les carences en iode proviennent d’une alimentation
trop pauvre en calcium d’origine marine (sardines, algues) mais
aussi de la consommation excessive d’aliments goitrigènes
inhibiteurs de la glande comme le chou, le chou-fleur, le rutabaga
ou le navet.

UN APPORT D’IODE TRÈS SIMPLE


CONTRÔLÉ PAR LA PEAU
À défaut d’un test d’iodurie urinaire, vous pouvez effectuer un apport
d’iode facile qui sert aussi de test. Il suffit de badigeonner de la
teinture d’iode de pharmacie sur les parties discrètes tel l’intérieur
des cuisses ou des bras si vous portez des manches.
• Si la couleur marron disparaît en vingt-quatre heures ou
moins, vous êtes carencé, alors continuez.
• Si la couleur marron persiste plusieurs jours, c’est que votre
organisme est saturé.

Nota La réduction d’accès à la teinture d’iode en pharmacie,


comme si c’était dangereux, serait-elle encore une
malveillance pour saper notre autonomie ? Nos grands-
mères en mettaient une goutte dans les biberons pour
activer l’intelligence des bébés…
COMPOSITION DU TYRO+
• Tyrosine.
• Spiruline.
• Maca.
• Levure enrichie en sélénium.
• Fucus vesiculosus.
• Stéarate de magnésium (antiagglomérant).

POSOLOGIE
1 gélule matin et soir.

PROCÉDURE DE TRANFERT
LÉVOTHYROX/TYRO+
Attention : le transfert doit se faire progressivement – le problème
est qu’il faut dix jours pour que le nouvel équilibre hormonal
s’établisse –, il faut donc refaire trois ou quatre fois le dosage TSH
(thyréostimuline du sang). Ainsi, il peut se produire que l’on passe
de hypo- à hyperthyroïdie, dont les symptômes peuvent être les
suivants :
• Agitation.
• Amaigrissement.
• Augmentation des glandes mammaires.
• Boit et urine en grande quantité.
• Coups de chaud ou coups de froid sans raison.
• Crampes d’estomac ou douleurs abdominales.
• Diarrhées.
• Douleurs abdominales.
• Douleurs et fatigue musculaires.
• Éréthisme cardiovasculaire.
• Flatulences – gaz.
• Hypersudation (mains moites, transpiration).
• Intolérance aux températures élevées.
• Mange en quantité excessive avec perte de poids.
• Maux de tête.
• Nervosité ou irritabilité.
• Ostéoporose.
• Règles (troubles du cycle menstruel).
• Perte de cheveux.
• Tachycardie.
• Tremblements.
• Troubles de l’humeur (irritabilité).
• Troubles du cycle menstruel.
• Troubles du sommeil.

Donc, on fait demi-dose de Lévothyrox et demi-dose de Tyro+ ; si


l’équilibre est correct on fait ¼ de dose, puis ¼ de dose un jour sur
deux pendant que l’on augmente le Tyro+. Si l’on part en hypo ou
en hyper on fait marche arrière, ou on corrige.

MAIS L’AFFAIRE PEUT ÊTRE PLUS


COMPLIQUÉE
Ce qui suit s’inspire des études du Dr Michael Lam, expert en
médecine nutritionnelle et en médecine antivieillissement
(Californie, États-Unis). Ses travaux ont mis en évidence que
l’hypothyroïdie peut être primaire ou secondaire, et que la fatigue
surrénale est très souvent la cause primitive de l’insuffisance
thyroïdienne. Cette éventualité est pourtant négligée ou ignorée
des médecins car ils sont peu formés à faire cette relation.
À titre de rappel, les deux glandes surrénales siégeant au sommet
des reins sécrètent des hormones – comme le cortisol, l’adrénaline
et la noradrénaline qui réagissent aux stress. On peut dire que ce
sont, entre autres, « les glandes coup de feu ». Lorsque celles-ci
sont affaiblies ou épuisées, leur capacité à gérer – en particulier le
stress – se trouve compromise. Mais il faut assurer la survie, alors
les glandes surrénales envoient des ordres pour mettre l’organisme
en économie énergétique, en ralentissant son métabolisme général.
Or c’est la glande thyroïde qui a la charge de contrôler ce
métabolisme, et qui va pour ce faire réduire sa production des
hormones T4 et T3.
Le problème est que dans des situations de stress récurrents, les
boosters thyroïdiens ou même les traitements de substitution
classiques vont à l’encontre des ordres des surrénales à ralentir le
métabolisme, ce qui aboutit à un résultat contre-productif. Le
Dr Lam écrit : « Ce que le corps veut ralentir et ce que la thérapie
thyroïdienne veut accélérer sont diamétralement opposés. Aussi
dans de nombreux cas, traiter l’hypothyroïdie sans renforcer au
préalable les glandes surrénales, c’est comme mettre de l’huile sur
le feu. Un système surrénal déjà faible, en manque d’énergie, peut
ne pas être capable de supporter la charge d’une dépense
énergétique supplémentaire. Les glandes surrénales ont besoin de
repos, pas d’un surcroît de travail. »

BILAN DE L’ÉTAT DES SURRÉNALES


PAR LE TEST DE LA SALIVE
La meilleure façon de tester l’état des glandes surrénales est de
mesurer la fraction libre des hormones surrénales clés. La salive est
un outil de choix reconnu, dans la mesure où y est dosée la fraction
libre des hormones circulantes au lieu des hormones liées à leurs
protéines porteuses habituellement dosées dans le sang. La salive
est un ultrafiltre naturel du sang. La fraction libre des stéroïdes non
liés à leurs protéines porteuses y diffuse librement (alors que les
protéines porteuses sont de trop grosses molécules pour y
pénétrer). L’analyse hormonale de la salive est donc plus fiable que
le dosage des hormones circulantes sanguines liées aux protéines.

LE BON CHOIX
D’UNE ASSOCIATION PRÉVENTIVE
Pour faire simple, nous avons choisi d’apporter un soutien
systématique des surrénales, ce qui ne peut aller que dans le bon
sens – à moins que l’on décide d’effectuer le test salivaire. Il y a
différentes façons de soutenir les glandes surrénales d’une façon
naturelle et respectueuse de l’intégrité organique, comme
l’homéopathie, la phyto-aromathérapie, etc., mais j’ai préféré une
formule plus simple qui est le bisglycinate de magnésium. Cela
fait l’objet d’un autre article qui est l’Alcaphyt.
En fait, nous avons pu constater que les résultats associés au
Tyro+ étaient bien souvent plus performants avec l’association du
magnésium – ce qui semble signifier qu’il y a beaucoup plus de gens
que l’on pense qui sont en état de fatigue, voire d’épuisement de
leurs surrénales.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


Tyro+
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Alcaphyt www.apoticaria.com
55

DÉTOX
Empoisonnement profond

Voici un complexe d’extraits concentrés de trois plantes offrant une


synergie d’une exceptionnelle efficacité. Détox permet :
• Un désempoisonnement rapide de l’organisme.
• Un puissant nettoyage et une stimulation du foie.
• Un bon équilibre de tout l’appareil digestif.

Voici un exemple concret :


En cas d’intoxication aux champignons, par exemple le plus terrible,
à l’amanite phalloïde, les symptômes apparaissent de douze à vingt-
quatre heures après l’ingestion. Le premier réflexe doit être
d’ingérer à haute dose du charbon activé dans de l’eau – c’est ce
que l’on donne systématiquement dans tout centre antipoison en
raison de son pouvoir absorbant exceptionnel connu.
Mais une fois que le foie est atteint, le charbon n’agit plus, et la
médecine moderne ne connaît pas d’antidote ; seule la
transplantation de foie est proposée pour éviter la mort. Or de
nombreux essais cliniques ont montré que des patients intoxiqués
aux champignons ont été sauvés par du chardon-marie. C’est en fait
la silymarine qu’il contient qui diminue la mortalité de 50 % dans
les cas d’intoxication les plus extrêmes aux champignons.
Dans le Détox, l’action du chardon-marie est encore renforcée par
l’adjonction de deux plantes :
• L’artichaut feuille.
• Le radis noir.
LE FOIE, ORGANE CLÉ DE LA SANTÉ
Le foie est un organe peu innervé, c’est pourquoi son mauvais
fonctionnement n’est pas douloureux et passe souvent inaperçu.
C’est la station d’épuration du corps et le lieu de synthèse de
nombreuses molécules indispensables de l’organisme (hormones,
enzymes, protéines, acides gras, etc.). Lorsque le foie fonctionne
mal, le corps s’intoxique et les métabolismes ne se font plus
correctement, il y a perte de vitalité et de tonus. Aussi, l’importance
du foie est tenue pour capitale en naturopathie. C’est pourquoi une
cure de détoxification est recommandée aux changements de
saison, de même que l’on doit impérativement effectuer la vidange
d’huile et le changement de filtre des moteurs de voiture si l’on veut
qu’ils durent.

Nous rejoignons ici complètement le très célèbre en son temps


Dr Alexandre Salmanoff, père de la « capillarothérapie », dont j’ai
exhumé et réactualisé les deux ouvrages magistraux, que tous les
médecins devraient lire afin de placer leur esprit au-dessus du
formatage de Big Pharma : Les Mille Chemins de la guérison et
Secrets et sagesse du corps aux éditions Medavi, dont j’ai extrait un
petit manuel pratique : L’Hydrothérapie chez soi aux éditions Guy
Trédaniel.
Alexandre Salmanoff écrit : « Il faut laver et chauffer le foie. »
« En chauffant le foie, en augmentant la température du sang dans
les lacs sanguins du foie et de la rate, nous activons la circulation
dans les capillaires hépatiques et spléniques et nous arrivons à
augmenter le volume de sang circulant. »

Nota L’apport de l’énergie thermique, calorifique, diminue


les besoins alimentaires.
Il ajoute : « Cette opération simple, si peu coûteuse, appliquée
systématiquement pendant des mois, des années, est d’une valeur
préventive inestimable. Après deux, trois, voire quatre semaines de
cette simple thérapeutique, le diaphragme commence à être
débloqué, ses mouvements deviennent plus amples, plus forts. La
respiration, la circulation, la nutrition générale sont améliorées au
profit de l’organisme. Je ne connais pas une médication plus simple,
plus profonde et plus efficace que l’application de la bouillotte sur la
région du foie. On lave tous les jours son visage, ses mains, il faut
aussi, tous les jours, laver le foie. Chauffez le foie, si vous voulez
vivre plus longtemps et être moins souvent malade. »
Oui, mais laver le foie, ça, c’est aussi l’affaire du Détox, et nous
allons l’examiner en détail.

ANALYSE DES PRINCIPES ACTIFS


Le chardon-marie (240 g/l)
C’est la plante du foie par excellence. Grâce à son principe actif, la
silymarine (flavonoïdes extraits du chardon-marie dont le plus actif
est la silybine), elle assure la protection du foie, organe
indispensable pour détoxifier l’organisme, en l’aidant à stimuler ses
métabolismes et à régénérer ses cellules (hépatocytes). En
stimulant le foie, le chardon-marie l’aide à contrôler le taux de
cholestérol sanguin et à métaboliser les produits toxiques présents
dans l’organisme.
La silymarine a été démontrée comme étant la molécule la plus
efficace pour protéger le foie en cas d’intoxication aiguë comme
celle aux champignons, à l’alcool, aux médicaments ou encore en
cas d’hépatite virale ou de cirrhose du foie.
Il y a plus de cinq cents références scientifiques montrant ses effets
protecteurs sur le foie.

L’artichaut feuille (120 g/l)


Il soulage les troubles digestifs et hépatiques. La cynarine qu’il
contient est reconnue pour stimuler la production de bile, la vitalité
du foie et atténuer les lourdeurs digestives.
De nombreuses études ont démontré que l’artichaut, principalement
par sa haute teneur en cynarine, protège les cellules du foie du
stress oxydant et diminue la synthèse de « mauvais » cholestérol.
Il est regrettable que la médecine ne mette pas en application le
résultat de ces recherches.
La conclusion des études est que l’artichaut permet au foie de lutter
contre les radicaux libres (qui sont responsables du stress oxydant)
et de protéger les hépatocytes. En cas d’intoxication, le mécanisme
biochimique est le suivant : les toxiques créent des radicaux libres
qui vont agresser les cellules et détruire leur membrane. Lutter
contre le stress oxydant revient à protéger l’organisme face au
poison.

Le poison peut consister aussi bien en une dose massive de


toxiques dont les dommages seront tels que les cellules vont
mourir : c’est le principe de l’intoxication aiguë. Mais il peut prendre
une autre forme chronique qui nous touche tous, à savoir de petites
doses quotidiennes de poison tels les conservateurs alimentaires et
toutes les molécules chimiques avec lesquelles nous sommes en
contact. Ainsi, le stress oxydant étant régulier et modéré va
lentement dégrader les cellules et leur potentiel génétique, causant
sur le long terme des cancers et des vieillissements prématurés.
La lutte contre le stress oxydatif est la clé de la défense de
l’organisme pour assurer sa longévité.
Le radis noir (140 g/l)
Il est reconnu pour stimuler la production de bile et aider ainsi à
éliminer les toxines du corps. Il favorise la bonne digestion, il
prévient et dissout la formation des calculs tout en tonifiant le foie. Il
est particulièrement indiqué pour les problèmes de digestion et de
transit.
Le radis noir est riche en isothiocyanates dont les glucosinolates.
Ces molécules ont un effet antioxydant et hépatoprotecteur. Elles
aident même à prévenir le cancer du foie.

PROCÉDÉ DE FABRICATION
Le glycérol végétal est utilisé pour mener une extraction par
pression à froid. Il en résulte ainsi un produit ultraconcentré en
plantes. Cette extraction est plus efficace que l’extraction aqueuse
simple car les propriétés chimiques du glycérol (hydrophile, mais
plus lipophile que l’eau) lui permettent d’extraire plus efficacement
les principes actifs des plantes peu solubles dans l’eau.
Par ailleurs, la forme glycérinée permet une assimilation très
supérieure par rapport aux gélules ou ampoules aqueuses qui sont
beaucoup moins biodisponibles.
Détox est 100 % naturel et sans conservateurs.

PRÉCISION
D’aucuns s’étonnent de l’arrière-goût sucré même un peu écœurant
du Détox ; or il n’y a pas de sucre dans le produit et aucun additif. Ce
qui donne ce goût, c’est le glycérol végétal qui active les mêmes
récepteurs que le sucre sur la langue. Mais il n’augmente pas la
glycémie, et même les diabétiques peuvent le prendre.

C’est en outre ce même glycérol qui permet l’extraction la plus


efficace et la suppression de tous les conservateurs, donc on ne
peut pas s’en passer puisque c’est la base du produit ; si on le
supprimait, il faudrait alors mettre de l’acide citrique et du sorbate à
très haute dose car étant donné la concentration, les bactéries ont
de quoi se nourrir pour se développer.
La solution revient à diluer le Détox dans un grand verre d’eau (ou un
jus, ou une tisane non bouillante) comme indiqué sur l’étiquette.
Normalement, dans ce cas, cela passe tout seul.

INDICATIONS
• Acné
• Cholestérol (hyper)
• Cirrhose
• Diabète type 2
• Digestion (restaure)
• Eczéma
• Empoisonnement organique général
• Foie engorgé et intoxiqué
• Foie et vésicule biliaire (paresse)
• Hépatite virale
• Intoxication alimentaire
• Intoxication médicamenteuse
• Toxémie cellulaire profonde
• Transit paresseux
• Vue (baisse)

En outre, son association à la silice de prêle ou d’ortie rend ces


remèdes encore plus efficaces.

Nota La plupart des maladies étant dues à une intoxication


lente de l’organisme qui a dégradé certains grands
métabolismes, il est toujours bénéfique d’accompagner les
traitements spécifiques avec Détox. C’est le Dr Gerson qui a
dit : « En nettoyant votre organisme par le drainage du foie,
vous lui rendez tous ses pouvoirs d’autoguérison. »
POSOLOGIES
Pour une intoxication sévère : 10 cuillères à soupe par jour
jusqu’à soulagement de l’état.
En particulier, dans un cas d’empoisonnement qui n’a pas été barré
dans la foulée avec le classique charbon activé (à toujours avoir chez
soi), il convient d’utiliser Détox qui travaille plus en profondeur.

Pour un foie encombré : 1 cuillère à soupe matin et soir.


En cure saisonnière : 1 cuillère à soupe par jour.
Conditionnement
Flacons de 250 ml (pour deux semaines).

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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56

CHLORURE MAGNÉSIUM
Fossile de la mer de Zechstein

LE DÉFICIT GÉNÉRAL EN MAGNÉSIUM


En 1997, La National Academy of Sciences avait déjà estimé que
plus de 70 % des Américains accusaient un déficit en magnésium
(ce doit être pire maintenant). Il y a un bon nombre de raisons à ce
fait :
1.La fameuse formule magique NPK des engrais chimiques utilisés
massivement pour les hauts rendements néglige le magnésium
et brûle une majorité de la vie bactériologique qui sert de relais
aux radicelles pour assimiler les minéraux. Le magnésium
intervenant dans de multiples métabolismes de transformation,
les plantes se trouvent fragilisées voire malades ; leurs carences
et leur fragilité se transmettent aux animaux et jusqu’à l’homme,
bien sûr hors circuits bio.
2
. Le raffinage des aliments aggrave le problème en réduisant
encore l’apport en magnésium. Quand le blé est raffiné en farine
blanche, 80 % du magnésium du grain sont perdus ; 98% sont
perdus quand la mélasse est séparée du sucre. De même, le
magnésium est éliminé des légumes qui sont bouillis…
3
. De nombreux médicaments, y compris les pilules contraceptives,
les produits contre l’asthme, les antibiotiques, la cortisone, les
phosphates des boissons gazeuses et les édulcorants comme
l’aspartame, piègent le magnésium dans l’organisme, entraînant
une carence.

LE RAPPORT INDISPENSABLE
MAGNÉSIUM-CALCIUM
Le magnésium et le calcium sont faits pour travailler ensemble.
Sans une quantité adéquate de magnésium (également bloqueur
naturel des canaux calciques) trop de calcium pénètre dans les
cellules, ce qui résulte en crampes musculaires, constriction des
vaisseaux sanguins, céphalées migraineuses et même sensations
d’angoisse.

Le magnésium maintient le calcium dissous dans la circulation du


sang. Trop peu de magnésium laisse le calcium s’échapper des os et
s’introduire dans les tissus mous, ce qui calcifie peu à peu notre
corps. Prendre du calcium sans magnésium pour l’ostéoporose peut
en fait favoriser la formation de calculs rénaux. Trop de calcium dans
le sang favorise également les spasmes musculaires, la fibromyalgie
et l’endurcissement des artères.

UNE EXPÉRIENCE MAGISTRALE DU


DR DELBET
Dans une ferme d’élevage, il fit deux lots de jeunes veaux, le
premier recevant des apports massifs de phoshates de calcium mais
sans aucun apport de magnésium, le second recevant
quotidiennement un apport de chlorure de magnésium. Les veaux
du premier lot devinrent rapidement rachitiques et déminéralisés,
alors que ceux du second groupe se portaient à merveille.
DEUX FORMES DISPONIBLES
DE CHLORURE DE MAGNÉSIUM
Chlorure de magnésium chimique (en sachets de 20 g)
C’est celui qui est connu et utilisé depuis plus de cent ans, vendu
dans toutes les pharmacies en sachets de 20 g à diluer dans un litre
d’eau. Toujours avoir quelques sachets en réserve chez soi.

Chlorure de magnésium fossile cristallisé


Voilà une forme peu connue de chlorure de magnésium naturel qui
est celle extraite à environ 1,5 km sous terre, dans des dépôts
marins vieux de plus de 250 millions d’années de l’ancienne mer de
Zechstein, au nord de l’Europe. Ce chlorure de magnésium naturel
exempt de mercure, de plomb, d’arsenic et de fluorure, est plus
facilement absorbable, donc plus puissant. Enfin, il se vend par pots
de 1 kg qui offrent un produit dix fois moins cher pour une
meilleure qualité.

ADMINISTRATION D’ATTAQUE PAR


VOIE ORALE
Le magnésium naturel des aliments n’est absorbé qu’à environ 30 %
par l’organisme.
En effet, dans le cadre d’une supplémentation par voie digestive,
une grande partie du magnésium ingéré est éliminée par le système
gastro-intestinal avant que l’organisme n’ait eu le temps d’en
bénéficier.
Sauf pour les personnes atteintes d’une insuffisance rénale, il
convient de l’utiliser massivement dans toutes les maladies
infectieuses aiguës ou subaiguës telles que :
• Angine : écourte et met à l’abri d’un éventuel danger polio en
quarante-huit heures.
• Défenses immunitaires : immunostimulant général. Les travaux
du Dr Delbet ont démontré que le pouvoir phagocytaire des
leucocytes activés par le chlorure de magnésium était en moyenne
augmenté jusqu’à 300 %.
• Fièvre : contient la fièvre à 38,5-39° sans empêcher l’organisme de
brûler les toxines et les parasites, cela apportant une vraie
guérison, contrairement aux antibiotiques qui bloquent ce travail.
• Grippe : amortit les symptômes, écourte la maladie et évite
les complications.
• Infections diverses : générateur d’un anticorps non spécifique, la
properdine (protide magnésien) qui est un bactéricide très
puissant.
• Maladies infantiles (oreillons, rougeole, rubéole, varicelle…) :
amortit grandement les symptômes, écourte la maladie (48 h) sans
nuire à l’immunisation postérieure.
• Maladies tropicales : (chikungunya, dengue, malaria…) soulagées
en 24-48 h.

POSOLOGIE STANDARD PRÉCISE


40 ml toutes les 2 à 3 heures pour un adulte, et 25 ml toutes les
2 à 3 heures pour un enfant.
À ne pas faire plus de 3 jours pour ne pas fatiguer les reins, mais ces
3 jours suffisent très souvent. Le goût très amer est un peu rebutant
surtout chez les enfants – pour « tuer le goût », stocker la bouteille
au frigo, ou rediluer plus, ou ajouter un peu de jus de fruit.

Nota Crée souvent une courte diarrhée réactive au début –


ce n’est pas grave.
ADMINISTRATION PAR VOIE EXTERNE
En compresses locales (20 g/l)
On aura intérêt à utiliser le magnésium fossile pour raison
économique, mais le magnésium chimique de la pharmacie convient
aussi en urgence pour les cas suivants :
• Brûlures (stoppe la douleur en une minute) – réimbiber la
compresse dès qu’elle sèche et que la douleur revient.
• Blessures (désinfection systématique, à préférer à l’alcool qui brûle
les tissus).
• Dermatoses (verrues, formations kystiques, polypes, papillomes).
• Cicatrisations difficiles.
• Plaies infectées. Toute plaie devrait être systématiquement traitée
avec du chlorure de magnésium qui est un désinfectant universel.
Sur une blessure externe, le magnésium provoque une production
importante de leucocytes (globules blancs), ce qui crée une
protection contre les infections et accélère la guérison. En plus, il
diminue la douleur, et même l’annule en une minute en cas de
brûlure.
En bains (à condition bien sûr d’avoir une baignoire)
Concernant les problèmes d’ordre métabolique, la prise de
magnésium par la voie transcutanée, en se plongeant dans un bain
chaud additionné de poudre de chlorure de magnésium, permet une
distribution plus rapide et plus efficace des substances actives
magnésiennes dans l’organisme évitant éventuellement certains
effets secondaires indésirables.
L’absorption est entièrement contrôlée par la peau qui obéit à
l’intelligence du corps. Ainsi, il se produit :
• Une recharge des niveaux de magnésium par diffusion
transcutanée.
• Un soulagement des douleurs musculaires.
• Un apaisement nerveux et une amélioration de l’humeur.
• Une augmentation de la capacité de l’organisme à se détoxifier.
Mode d’emploi
2 à 3 cuillères à soupe à dissoudre dans le bain.
Il est aussi possible de pratiquer des bains de pieds avec adjonction
d’une cuillère à soupe du produit.

ANECDOTES
1. J’ai raconté il y a quelques années le témoignage d’un pharmacien
volontaire qui avait fait partie des équipes sanitaires à Sarajevo à
l’époque de la guerre en Yougoslavie. Il me disait qu’ils étaient
tellement démunis que les blessés ne pouvaient avoir leurs plaies
lavées qu’avec des chiffons trempés dans l’eau des caniveaux.
Beaucoup mouraient d’infections.
Un jour, il reçut un fax d’un laboratoire demandant s’ils étaient
intéressés par une palette d’un lot de chlorure de magnésium avec
une date de péremption dépassée. Sans demander l’avis de
personne, il répondit aussitôt : envoyez vite ! Lorsque la palette
arriva, notre ami pharmacien fabriqua des dizaines de litres de
solution avec toujours la même eau des caniveaux. Et ce fut le
miracle… Toutes les plaies guérissaient. Les infections se
résorbaient, et… les médecins n’y comprenaient rien. Ils n’avaient
jamais entendu parler du chlorure de magnésium, surtout en usage
externe.

2. Autre histoire : les lecteurs de Vérités Santé et de Soignez-vous


se rappellent probablement l’affaire de l’épidémie de fièvre aphteuse
qui a aussi donné lieu à une scandaleuse hécatombe de troupeaux
entiers de vaches, alors qu’il suffisait de faire avaler à la bouteille
quelques litres de la potion au chlorure de magnésium à 20 g/l aux
bêtes. Les vieux paysans connaissaient cela. Mon article est même
sorti des frontières à l’époque, mais les vétérinaires pour la plupart
ont préféré nier l’évidence, cela probablement pour ne pas avouer
leur inculture et… ne pas nuire à leur chiffre d’affaires…
3. Tout le monde se rappelle l’épidémie de chikungunya à la Réunion
qui a un peu débordé sur Maurice. Marie Billy, une militante de
longue date du chlorure de magnésium, qui va régulièrement en
Afrique pour soigner des villages entiers de maladies endémiques, a
proposé à l’époque expérimentalement aux personnes atteintes de
l’épidémie 40 ml de la solution à 20 g/l. Les gens guérissaient en
vingt-quatre à trente-six heures. La médecine officielle n’avait pas de
solution, mais personne n’a parlé de cela.

Je vous conseille vivement de vous procurer l’excellent ouvrage de


Marie-France Muller Le Chlorure de magnésium qui parle beaucoup
des extraordinaires découvertes et travaux du Dr Delbet (chirurgien
des Hôpitaux de Paris et de son associé le Dr Neveu).

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SERRAPEPTASE
Enzyme du ver à soie qui dissout les tissus morts

Les vers à soie entretiennent dans leurs intestins une culture de


bactéries, les Serratia 15. Ce sont ces dernières qui sécrètent en fait
la serrapeptase. Et c’est précisément cette enzyme qui permet au
ver, une fois métamorphosé en chrysalide puis en papillon, d’ouvrir
par dissolution une brèche dans le cocon. Cette enzyme
protéolytique est produite par la bactérie Serratia qui vit dans
l’intestin du ver à soie.

SES PERFORMANCES SONT


ÉTONNANTES
• Il suffit de quantités minimes pour ouvrir le cocon.
• Elle reste active plusieurs jours.
• Elle ne s’épuise par usure que très lentement.
• Fait important, elle n’attaque que les tissus morts à l’exclusion
de tous tissus vivants ; aussi les vers sont-ils totalement
épargnés alors que les fibres de la soie sont dissoutes.

SES QUALITÉS THÉRAPEUTIQUES


SONT UTILISÉES DEPUIS
QUARANTE ANS
C’est surtout en Asie que la serrapeptase est largement utilisée.
Mais elle est utilisée aussi en Espagne depuis des années à des fins
médicales ; les vers à soie sont retirés des cocons avant
métamorphose et transformés en pâte. Par ailleurs, la société
Takeda qui depuis longtemps a mis la serrapeptase sur le marché
en Allemagne a fourni, en tant qu’indication première du produit, les
tuméfactions inflammatoires. En réalité ces indications dépassent
largement ce cadre, car elle possède la particularité de détruire et
d’éliminer tous les vieux dépôts fibrinoïdes ainsi que les dépôts
lipidiques ou calciques qu’ils retiennent.
En particulier, les nombreuses études effectuées ont montré son
efficacité dans de nombreuses pathologies :
• Son activité anti-inflammatoire et antiœdémateuse induit en plus
une action fibrinolytique.
• Elle engendre une réduction de la viscosité des exsudats, facilitant
ainsi le drainage de ces produits, et favorisant ainsi la réparation
des tissus.
• Elle est particulièrement efficace pour soulager le nez, les oreilles
et la gorge lors d’inflammations ORL chroniques, avec une
réduction significative de la sévérité de la douleur, de la quantité et
de la purulence des sécrétions, des difficultés à avaler, de la
dysphonie et de l’obstruction nasale. Des études ont aussi
souligné son intérêt dans le rééquilibrage des mucosités broncho-
pulmonaires.
• Elle est utilisée avantageusement pour limiter les obstructions
artérielles (plaques d’athérome), facilitant ainsi la circulation
sanguine.
• Elle s’attaque à la résistance des bactéries en neutralisant leur
coque protectrice.
• Elle inhibe les toxines dans l’intestin ainsi que les réactions
excessives aux organismes étrangers.
Nota Comme toutes les enzymes, la serrapeptase est
sensible aux acides de l’estomac. C’est pour cela qu’elle est
présentée sous forme gastro-résistante, permettant la
libération du produit seulement au niveau de l’intestin
grêle.

PRÉCISIONS PRATIQUES
• Parfois, après quelques semaines, mais plus généralement après
huit mois, on observe une libération des artères plus ou moins
obstruées, et cela se vérifie autant pour les coronaires que pour les
artères de l’aine et même du cou (carotides).
• Chez des personnes qui fumaient beaucoup, et avaient des dépôts
dans l’aorte et les coronaires, ou encore des gens âgés avec de
sévères désordres circulatoires dans les jambes, et qui auraient
normalement dû subir une amputation, on a pu observer des
améliorations jusqu’ici impossibles à obtenir par la médecine
conventionnelle.
• Il existe toutefois un problème : il arrive (rarement) que la
serrapeptase, même en dosage faible, se montre agressive chez
certaines personnes, et provoque des irritations intestinales
pouvant exiger l’interruption du traitement.

Nota La pharmacie française a longtemps vendu la


serrapeptase sous la dénomination de Dazen. Mais ce
produit de qualité médiocre a été supprimé depuis
quelques années. Je n’avais pas trouvé d’autres
fournisseurs. C’est fait ! Le produit est issu de la culture du
ver à soie en Inde.
RÉCAPITULATIF DES INDICATIONS
AVÉRÉES EFFICACES
• Acné
• Adhérences
• Angine
• Athéromes artériels
• Cholestérol
• Cœur (problèmes physio)
• Dépôts lipidiques et fibrinoïdes
• Diabète type 2
• Hémorroïdes
• Inflammations diverses
• Intestins (désordres)
• Kystes
• Maladie de Lyme
• Oreilles (pathologies)
• Pulmonaires (pathologies)
• Seins (engorgement)
• Tissus morts (dissout)
• Ulcères
• Varices

À noter que la serrapeptase :


• n’a pas d’effets secondaires connus ;
• est compatible avec les autres médicaments ;
• peut s’utiliser sur les animaux (chiens, chats, etc.).

CONDITIONNEMENT
Flacons de 90 gélules gastro-résistantes, qui libèrent 130 000 UI de
serrapeptase active.
POSOLOGIE
2 gélules avant 3 repas.

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ARTEMISIA ANNUA
Remède millénaire du paludisme

LE LARIAM : DROGUE OFFICIELLE


DE PRÉVENTION MALARIA
Si vous partez en voyage dans des pays chauds et humides riches en
moustiques (ex. : Afrique), les médecins vous recommanderont avec
insistance de vous protéger du paludisme avec ce médicament à la
méfloquine de la firme Roche. Mais sachez que cette drogue
recommandée par l’OMS est un poison d’une effroyable toxicité
qui au moins rend malade pendant tout votre voyage, et qui au
plus vous renvoie en rapatriement sanitaire au pays. Mieux,
cette saloperie provoquerait une fois sur cinq de graves troubles
psychiatriques pouvant rendre littéralement fou et donner des envies
de suicide. Cela n’empêche pas les services « de santé » aveugles
et irresponsables de continuer allègrement depuis des années à
appliquer ce protocole criminel.
À quoi joue-t-on alors que l’on connaît une plante chinoise s’avérant
être la parade absolue de la malaria (paludisme) à la fois à titre
préventif et curatif ? Cette plante, Artemisia annua, est utilisée par la
médecine chinoise en tant que puissant remède du paludisme,
maladie qui, en dépit des statistiques officielles, reste la plus
ravageuse de la planète.
Nota En cas de difficulté d’approvisionnement, il est
possible de se rabattre sur un puissant booster des
défenses immunitaires à large spectre qu’est
l’Echinacea TM (en pharmacie), en préventif uniquement à
raison de quarante gouttes avant les deux repas principaux.

LES DÉCOUVERTES
D’UNE PHARMACIENNE CHINOISE
C’est à la suite des ravages du paludisme dans les rangs de l’armée
nord-vietnamienne que Mao Tsé-toung a mis en route en 1967, en
pleine révolution culturelle, le projet « 523 » (ainsi nommé parce qu’il
a été lancé le 23 mai 1967). C’était un programme secret de
recherche sur le traitement du paludisme, basé sur l’étude des
traitements de la médecine traditionnelle chinoise.

L’Académie de médecine traditionnelle chinoise a confié cette


recherche à l’un de ses membres, Youyou Tu, jeune pharmacienne
âgée de 36 ans, dont le nom est resté totalement ignoré jusque
dans les années récentes. Ce n’est qu’en 2005 que le nom de
Youyou Tu a été associé à la découverte de l’artémisine, et qu’elle
est devenue célèbre. En 2011, Youyou Tu a reçu le prestigieux prix
Lasker DeBakey Clinical Research. Elle a rassemblé plusieurs
milliers de recettes à base d’herbe ; elle a évalué 380 extraits de
différentes plantes, parmi lesquelles Artemisia annua (ou qinghao),
qui était connue depuis très longtemps pour son efficacité pour
traiter la fièvre récurrente.
Les premiers résultats obtenus par Youyou Tu ont été assez
décevants, car les extraits étaient préparés avec de l’eau bouillante
qui détruisait les composants actifs.
C’est en 1971, en réalisant une extraction par de l’éther à basse
température, qu’elle a obtenu des extraits qu’elle a testés en
laboratoire sur des souris et des singes infectés par le parasite, avec
une efficacité pratiquement de 100 % (92). Après avoir vérifié sur
elle-même l’innocuité de l’extrait, elle l’a testé « sur l’humain » au
travers de vingt et un patients impaludés, qui ont été guéris à 90 %.
En 1972, elle a isolé une substance considérée comme l’élément
actif d’Artemisia annua, et lui a donné le nom d’artémisine (ou
qinghaosu, le suffixe su signifiant « la substance active »). Mais on
peut encore noter que les premiers essais positifs avaient été faits
avec Artemisia annua produite dans la région de Pékin, contenant
peu d’artémisine. Comme Youyou Tu désirait disposer de beaucoup
d’artémisine, elle a ensuite utilisé de l’Artemisia annua provenant de
la région du Sichuan, très riche en artémisine, avec des résultats
cliniques identiques, ce qui suggère encore que la concentration
optimale en artémisine n’est pas nécessairement la concentration
maximale…
En 1975, Youyou Tu a déterminé la structure de la molécule
d’artémisine (sesquiterpène lactone).
En 1979, la publication d’un article dans le Chinese Medical Journal
fit connaître l’artémisine.
En 1981, le quatrième congrès du Groupe de travail scientifique sur
la chimiothérapie du paludisme, sponsorisé par le PNUD, la Banque
mondiale et l’OMS, se tint à Pékin. L’artémisine devint connue dans
le monde entier, et elle souleva l’intérêt des grandes firmes
pharmaceutiques, qui produisirent les dérivés semi-synthétiques
que l’on connaît (artésunate hydrosoluble, artéméther liposoluble…),
aboutissant en 1986 à la mise sur le marché des premiers
médicaments à base d’artémisine. Devant l’efficacité du produit, en
2004 l’OMS en fit la promotion à grande échelle, et recommanda
son utilisation en association avec d’autres molécules « classiques »
(les ACT, ou Artemisinin Combined Therapy).
Enfin, en 2011, l’OMS recommanda l’utilisation de l’artésunate en
monothérapie par voie intraveineuse, au lieu de sels de quinine dans
le traitement du paludisme grave de l’enfant.
L’ARTÉMISINE : UN TERMINATOR
SÉLECTIF
La Revue des sciences de la vie (USA) a pourtant présenté une
vaste étude de l’université de Washington, menée par les
Drs Narenda Singh et Henry Lai sur l’artémisine, molécule active
de l’Artemisia annua. Elle a en outre découvert que l’artémisine
pouvait détruire rapidement près de 30 % des cellules cancéreuses
du poumon – mais en la combinant avec du fer, elle éradique jusqu’à
98 % des cellules cancéreuses, en seulement seize heures. En plus,
la consommation de cette plante n’a aucun impact sur les cellules
pulmonaires saines en raison du fer qui se colle sélectivement aux
tissus cancérisés, cela favorisant l’attaque ciblée de l’artémisine.
Une autre étude a été menée sur des échantillons de tumeurs
mammaires cancéreuses in vitro. Vu que ces cellules ont aussi une
forte propension à accumuler le fer, il a aussi été associé du fer à
l’artémisine. Il a ainsi été obtenu un taux de 75 % de destruction du
cancer après seulement huit heures et presque 100 % en
seulement vingt-quatre heures. Depuis, de nombreuses expériences
ont été menées sur différents cancers (prostate, intestins…), et
jusqu’à présent, elles ont toutes prouvé que l’artémisine combinée
au fer détruisait sélectivement les tumeurs cancéreuses, ce qui a fait
définir l’artémisine par le Dr Len Saputo comme « une bombe
intelligente anticancer ».

FORMES GALÉNIQUES ET MODE


D’UTILISATION
L’artémisine est présente surtout dans les feuilles, mais les
flavonoïdes sont présents surtout dans les tiges d’Artemisia annua ;
il est donc préférable de prélever non seulement les feuilles mais
aussi les tigelles de la plante pour faire la poudre ou la tisane. Les
feuilles d’armoise annuelle devraient pouvoir se trouver en
herboristerie – mais ATTENTION, ne vous laissez pas vendre de
l’armoise vulgaire (très courante) pour de l’annuelle, elle ne
marchera pas !
En l’occurrence, il existe autour de cinquante variétés d’armoise,
dont certaines sont dangereuses.
• Artemisia annua en poudre est nettement plus efficace que la
tisane ; c’est pour cela que je ne m’étendrai pas sur la formule
infusion.
• Les feuilles avec leur tigelle doivent être séchées à l’ombre dans
un endroit aéré pendant au moins cinq jours. On les réduit ensuite
en poudre fine avec un blender.

INDICATIONS D’ARTEMISIA ANNUA


• Bilharziose
• Covid (remède efficace utilisé dans toute l’Afrique et Madagascar…
mais interdit en France parce que trop efficace)
• Immunodéficience
• Maladie de Lyme
• Paludisme (remède millénaire)
• Toxoplasmose

POSOLOGIE
Entre 500 et 1 000 mg par jour, ce qui fait 2 à 4 gélules de 250 mg
par jour.
Attention : ne pas prendre de vitamine C en même temps.
Nota Il est possible de trouver facilement de l’armoise en
gélules de 250 mg, mais c’est toujours de la vulgaris et non
de l’annua. Celle-là ne vaut rien !

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VITAMINE C
Liposomale – haute dose – avec lysine

Tout le monde connaît de réputation la vitamine C naturelle, mais à


part les défenses immunitaires, peu connaissent ses multiples
fonctions, et les effets précis de sa carence. En fait, nous, humains,
n’avons pas de chance car nous ferions partie, paraît-il, d’une
minorité d’animaux incapables de la fabriquer à partir du glucose,
tels le singe, le cochon d’Inde, la chauve-souris frugivore, quelques
poissons et de nombreux insectes. Bien sûr, nous trouvons la
vitamine C dans les fruits et légumes frais et les viandes non cuites,
car étant hydrosoluble, elle est décomposée à 70°.

LA PATERNITÉ DE LINUS PAULING


Chercheur hors normes, Linus Pauling a reçu deux prix Nobel dont
l’un de chimie en 1954. On lui doit (entre autres) :
• La découverte du principe des liaisons ioniques intermoléculaires.
• La description de la structure en hélice des protéines.
• Ses travaux sur des substituts de plasma sanguin dans l’anémie.
• La fondation de la médecine orthomoléculaire.
• La découverte de l’efficacité de la vitamine c contre de
nombreuses maladies – dont le cancer.
Anecdote Cette découverte est peut-être la plus importante
de toutes, mais à l’époque, elle n’a pas suscité un grand
intérêt, car elle bousculait déjà des dogmes et des intérêts
établis. Cet état de choses a persisté dans le temps puisque
dans les années 2000, alors que j’étais rédacteur du journal
Soignez-vous, ma publication sur la vitamine C est passée
au Conseil d’État, et mon éditeur Alain Dumait m’a rapporté
qu’une femme médecin a brandi l’exemplaire et l’a jeté
rageusement au sol en s’écriant : « C’est une honte qu’un
tel journal soit diffusé ! »

CHAQUE JOUR, NOUS RISQUONS


LA PANNE DE VITAMINE C
Les substances toxiques, le stress intense, une petite chirurgie ou
une anesthésie dentaire, la consommation de tabac, de
médicaments comme l’aspirine, les antibiotiques, les antalgiques,
les tranquillisants, un effort sportif intense, un effort intellectuel
soutenu, une pollution environnante importante, etc., sont de grands
consommateurs de vitamine C par notre organisme.
Les fumeurs, les cancéreux et les schizophrènes n’en rejettent
pratiquement pas dans les urines, quelle que soit la quantité qui
leur est fournie, tant leur état de carence est important.
Curieusement, on retrouve les mêmes symptômes dans le diabète
et le scorbut :
• Dépression.
• Baisse immunitaire.
• Hémorragies.
• Fatigue.
• Ruptures cellulaires.
• Délais de cicatrisation.
• Athéromes.

Par exemple, lorsque le cochon d’Inde est soumis à une alimentation


carencée en vitamine C, il devient diabétique en un mois.
La cécité diabétique est en outre souvent récupérée en un mois
avec des prises de 5 g de vitamine C naturelle par jour.

UN CATALYSEUR
DE NOMBREUX MÉTABOLISMES
VITAUX
La vitamine C naturelle :
• lutte contre une production anarchique de radicaux libres ;
• est une des plus performantes substances antioxydantes ;
• agit comme transporteur d’hydrogène dans les phénomènes
d’oxydoréduction cellulaire ;
• ralentit le vieillissement cellulaire ;
• stimule les fonctions cérébrales ;
• a un important pouvoir antifatigue ;
• est un puissant facteur de surpassement ;
• augmente la résistance de l’organisme aux chocs anaphylactiques
et aux allergies ;
• joue un rôle anti-infectieux très important en renforçant nos
défenses immunitaires ;
• a une action antitumorale ;
• augmente le tonus des parois capillaires et améliore la
microcirculation cellulaire ;
• contribue à la production des globules rouges ;
• stimule la formation des substances osseuses en cas de fracture ;
• joue un rôle favorable dans le métabolisme phosphocalcique ;
• potentialise l’action des autres vitamines dont elle est le starter.
Nota La vitamine C a regagné en popularité récemment
pour son effet protecteur sur les dommages causés par les
radicaux libres sur l’ADN chez les travailleurs sévèrement
exposés aux rayonnements de la centrale nucléaire à
Fukushima, où ceux qui ont pris de la vitamine C n’ont eu
aucun changement significatif à la fois de l’ADN libre et du
risque global de cancer.

Attention : il y a plusieurs sortes de vitamine C. Il se dit qu’elle


empêche de dormir. Or on constate que les troubles du sommeil
fréquemment décrits n’apparaissent que chez les consommateurs
de vitamine C de synthèse de pharmacie, souvent très peu dosée
puisque réglementée à 120 mg maxi par jour, et à laquelle ont été
ajoutées diverses autres substances comme des conservateurs, des
édulcorants, des colorants, et de la caféine ! La vitamine C naturelle
au contraire n’excite pas et favorise le bon sommeil.

PAS DE COLLAGÈNE
SANS VITAMINE C
Le collagène c’est quoi ?
Le collagène est de loin la protéine la plus abondante dans notre
organisme. Elle est formée de solides fibres blanches, plus
résistantes qu’un fil d’acier à section égale. Ces fibres combinées
avec les fibres élastiques (élastine) constituent le tissu conjonctif qui
sert à la cohésion des différentes parties du corps. Les plus grandes
concentrations en collagène se trouvent principalement dans la
peau, les os, mais aussi dans la dentine des dents, dans les
vaisseaux sanguins, les yeux, et le cœur, et tous les tissus
conjonctifs.
C’est le collagène qui donne à la peau sa résistance et sa texture, et
qui joue un rôle majeur dans le remplacement des cellules mortes.
Dans les couches profondes de la peau qui est le derme, le
collagène forme un réseau fibreux, sur lequel les nouvelles cellules
peuvent croître.
Le collagène sert aussi de revêtement protecteur pour les organes
délicats du corps, tels que les reins.
Après l’exercice physique, nos tissus musculaires réparent de
nombreuses lésions microscopiques causées dans le muscle, le
faisant ainsi grossir. Par ailleurs, la production de collagène décline
naturellement avec l’âge, entamant le schéma structurel de la peau
par des affaissements et des rides. Mais le plus handicapant est
l’affaiblissement du cartilage dans les articulations.

Ce qu’apporte le collagène
1.Il améliore la texture de la peau et des cheveux.
2
. Il bloque la dégénérescence articulaire et réduit les douleurs
associées.
3
. Il régule l’hyperperméabilité intestinale.
4
. Il renforce le métabolisme général, la masse musculaire.
5
. Il renforce les phanères (ongles, cheveux, dents).
6
. Il renforce la vitalité du foie.
7.Il protège le système cardiovasculaire.
8
. Il augmente la production d’énergie.
La vitamine C et le collagène
Linus Pauling, prix Nobel de chimie et de médecine, a montré que
la synthèse du collagène se réalise au travers d’une réaction
chimique échangeant un ion H+ contre un ion OH–, et détruisant par
ce fait la molécule de vitamine C ; une réaction chimique similaire se
reproduit lors de l’assemblage du collagène dans les tissus, ce qui
démonte l’hypothèse que la vitamine C soit un simple catalyseur
(définition : qui favorise la réaction par sa simple présence sans y
participer). Notre reconstruction étant continue, voilà qui justifie la
nécessité d’un apport constant de vitamine C dans notre nourriture
quotidienne, sachant que nous ne la stockons pas.
Le scorbut des anciens marins au long cours était justement le fait
d’une carence en vitamine C. Leur production de collagène étant
insuffisante, leur organisme se décomposait littéralement au niveau
des vaisseaux sanguins, des os, des articulations, de la peau et
finalement du système immunitaire et du cœur ; et ils allaient
jusqu’à en mourir ! Cela a duré jusqu’à ce qu’on découvre qu’il fallait
embarquer une cargaison de citrons verts à adjoindre à leur
alimentation quotidienne.

Selon Pauling et Rath, la cause fondamentale des maladies


cardiaques actuelles est la carence en vitamine C, qui limite la
production de collagène. En effet, lorsque l’apport alimentaire en
vitamine C est trop faible, les parois des artères s’amincissent, se
fragilisent, et se fissurent, d’où la formation logique de plaques
d’athérome (que le Dr Rath désigne comme un « plâtre naturel »)
pour les renforcer. La Fondation pour la vitamine C (Vitamin C
Foundation) a confirmé que c’est le manque de collagène qui
provoque la rupture des vaisseaux sanguins, ce qui aboutit à des
hémorragies internes.

La thèse du Pr Pauling soutenue par un brevet aux États-Unis a


montré que des doses importantes de vitamine C (maximum 5 g par
jour en vitamine naturelle) plus de lysine (6 g par jour) prises par voie
orale peuvent prévenir et aussi dissoudre les plaques
athéroscléreuses existantes.

LE SCORBUT, L’ÉTAT TERMINAL


DE L’HYPOASCORBÉMIE
« Même si aucun symptôme extérieur n’indique de problème, une
personne peut être dans un état de carence en vitamine C, état plus
dangereux que le scorbut lui-même. Lorsque cet état n’est pas
détecté, et persiste sans être corrigé, les dents et les os seront
endommagés, et plus grave encore, le flux sanguin peut s’affaiblir
jusqu’à ne plus pouvoir résister ou combattre des infections
difficilement guérissables comme le scorbut » (Food and Life
Yearbook, 1939, département de l’agriculture des États-Unis).
En fait, le scorbut peut présenter différentes formes causales :
• Le scorbut alimentaire.
• Le scorbut de famine.
• Le scorbut du fumeur.
• Le scorbut de pollution (mercure).
• Le scorbut de la pilule.
• Le scorbut des antibiotiques.
• Le scorbut chirurgical.

Dans ces états de carence énorme, il y a souvent dégradations de


l’organisme, saignement des gencives, hématomes spontanés ou
au moindre coup, dégénérescence maculaire de la rétine.

LES DIFFÉRENTES FORMES DE


VITAMINE C
La vitamine C naturelle classique
Pour commencer une détoxification profonde, en période de stress
ou de grande fatigue, il faut monter progressivement à 5 g par jour
de bonne vitamine C d’acérola (sans additifs), cela pour ne pas
déclencher soudainement une débâcle toxinique. Des doses plus
élevées peuvent provoquer des ballonnements, des coliques ou de
la diarrhée, car lorsque la vitamine C excède les besoins du corps,
elle n’est pas absorbée.
Achat dans les boutiques de diététique.

La vitamine C de synthèse
Le procédé de fabrication est très simple à partir de glucose, comme
font les animaux. Si elle est purifiée, tamponnée à pH7 et associée à
de la lysine, il y a cette fois une excellente tolérance qui paraît-il peut
permettre de monter les doses à 50 g par jour. Mais je n’ai pas
vérifié personnellement si cela marche sur tout le monde.
www.vitaminecn.com

La vitamine C liposomale
Un liposome est comme un microsac qui transporte une substance
dans votre corps jusqu’à vos cellules. Il est incroyablement efficace
pour accomplir cette tâche, car il est fait d’une graisse du même
type que celle qui constitue les membranes cellulaires, ce qui lui
permet de traverser cette barrière très facilement. Ces liposomes
sont si minuscules qu’ils peuvent passer par les fissures les plus
infimes de nos barrières cellulaires. Cette formule de vitamine C
microenrobée par ultrasons dans de l’huile lui confère donc un
rendement et une pénétration cellulaire exceptionnels.

Selon les rapports que j’ai reçus, 1 g de vitamine C liposomale


par voie orale équivaut au niveau cellulaire à 5 g de vitamine C
naturelle. Il n’y a aucun inconvénient digestif – nous avons
essayé sur nous-mêmes jusqu’à 5 g de liposomale par jour
(= 25 g de vitamine C naturelle), soit une cuillère à café,
sans aucun problème.

INDICATIONS DE LA VITAMINE C
• Affections cardiovasculaires
• Alcoolisme
• Allergies
• Anémie
• Arthrose
• Cancers (adjuvant)
• Capillaires fragiles, purpura
• Chirurgie (préparation, convalescence)
• Cholestérolémie
• Coagulation sanguine déficiente
• Constipation
• Coryza
• Douleurs diverses
• Fatigue chronique
• Goutte
• Grossesse
• Hématome au moindre coup
• Infections
• Insomnies
• Intoxication, antipoison
• Œdèmes
• Peau (purpura)
• Retard scolaire – QI insuffisant
• Saignement des gencives
• Scorbut alimentaire
• Scorbut antibiotique
• Scorbut chirurgical (stress)
• Scorbut de la pilule
• Scorbut du fumeur
• Scorbut du mercure
• Séquelles d’accidents vasculaires cérébraux
• Stérilité masculine et féminine
• Stress
• Tabagisme
• Toxicomanie (tabac, drogues)
• Varices et affections veineuses
• Voyage dans les pays chauds
• Yeux : DMLA (dégénérescence maculaire)
POUR TUER LES CELLULES
TUMORALES
La logique est que dans les pathologies tumorales, il y a toutes les
chances d’être en état de grave ascorbémie, à un moment où il
faudrait disposer d’un maximum de ressources immunitaires et
métaboliques. Pour un dosage efficace, il faut atteindre un taux de
vitamine C normale naturelle dans le sang d’environ 250-350 mg/dl.
Une personne moyenne a généralement environ 1 mg/dl avec un
régime alimentaire correct. Après une prise de 50 g de vitamine C
de synthèse sur une période d’environ quatre-vingt-dix minutes, le
taux sanguin avoisinera 300 mg/dl.

LES INDISPENSABLES HAUTES DOSES


DE VITAMINE C DANS L’AIDE AU
TRAITEMENT DES CANCERS
Haute dose signifie entre 50 et 100 g de vitamine C par jour.
L’une des propriétés étonnantes de la vitamine C massive est qu’elle
tue sélectivement les cellules cancéreuses pendant qu’elle renforce
les cellules saines. Voici les deux raisons découvertes qui rendent
les seules cellules cancéreuses vulnérables :
1.ainsi que de nombreux agents pathogènes, elles accumulent des
niveaux très élevés de fer libre ;
2
. elles ne produisent pratiquement pas de catalase (une enzyme
protectrice), ce qui entraîne une accumulation intracellulaire de
peroxyde d’hydrogène (eau oxygénée).
Explication
En présence de la vitamine C, le fer libre produit en présence de
peroxyde d’hydrogène, une réaction chimique dite de Fenton – d’où
la synthèse d’une substance nommée « radical hydroxyle ». Ce
peroxydant très agressif détruit toute molécule non conforme en sa
présence. Fort heureusement, dans les cellules saines, l’absence de
fer libre et la présence de catalase empêchent la réaction de
Fenton, et il ne se passe rien.
En résumé
1.La vitamine C pénétrant les cellules cancéreuses déjà affaiblies
active leur mort par la réaction de Fenton.
2
. La vitamine C aidant les cellules saines affaiblies – y compris
celles du système immunitaire – répare les dommages causés
par les thérapies agressives officielles.

Nota Jusqu’ici l’application de telles doses ne pouvait


s’effectuer que par perfusion intraveineuse avec bien sûr
des professionnels de médecine qui veulent bien le faire.

Par ailleurs, il est évident que la pose d’un cathéter s’avère dans
ce cas indispensable si l’on ne veut pas massacrer les veines
des patients par des IV quotidiennes.
Fort heureusement, la nouvelle formule liposomale par voie
orale permet d’échapper à cela qui est loin d’être de la médecine
douce.

RAPPELS POSOLOGIES MAXIMUM


• Vitamine C naturelle : 5 g par jour maxi.
• Vitamine de synthèse : 50 g maxi.
• Vitamine C liposomale : 25 g maxi.

REMARQUE
La vitamine C à haute dose a non seulement sa propre capacité à
tuer les cellules cancéreuses, mais aussi celle d’améliorer l’efficacité
des chimiothérapies et radiothérapies, et d’en supprimer les
dommages collatéraux. Pourtant la plupart des cancérologues sont
réticents car ils pensent que la vitamine C étant un antioxydant
puissant est incompatible avec la radiothérapie et la chimiothérapie
qui, elles, sont très oxydantes. En fait, ce n’est que de la théorie,
que la pratique met en défaut. Aussi, ils ne veulent même pas
essayer… PROTOCOLE !

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


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60

BROMÉLAÏNE GAMMA (2 500 GDU)


Pour dissoudre kystes, fibromes et tumeurs

HISTORIQUE DE MES DÉCOUVERTES


Depuis 1973, je connaissais et préconisais avec succès pour les
cancers un produit allemand, le Carzodélan, qui était un extrait
protéolytique de pancréas injectable par voie intramusculaire. J’avais
découvert ce merveilleux remède dans le tome 1 de Tous les
espoirs de guérir de Jean Palaiseul, paru en 1970 aux éditions
Robert Laffont. Ce produit inconnu des médecins « lambda » qui a
sauvé clandestinement de nombreux cancéreux pendant quelques
décennies m’a personnellement permis d’effectuer de nombreux
« exercices illégaux de la guérison » (sic Sylvie Simon), dont deux
dans ma propre famille.

Et puis ce qui devait arriver arriva, le petit labo fournisseur s’est vu


subitement sommé par les instances pharmaceutiques de déposer
une AMM (autorisation de mise sur le marché). Cette procédure trop
lourde en moyens et en argent pour ce modeste labo, qui arrivait en
outre trop tard, vu que la preuve d’innocuité était faite depuis
longtemps, avait pour but de bloquer au moins pour dix ans la
fabrication. C’était donc une mise à mort déguisée de la dangereuse
concurrence du Carzodélan face à la médiocrité de la chimio
officielle… et tant pis pour les malades !

Ensuite, un ami médecin et (bon) cancérologue, le Dr L. G., dont je


ne dévoile pas ici le nom vu les ennuis qu’il a déjà essuyés (comme
tous les bons), et à qui je parlais du scandale du Carzodélan, me dit :
« Pourquoi t’embêtes-tu avec ces piqûres (non remboursées), alors
qu’il existe en pharmacie l’Extranase, qui est aussi de l’extrait
pancréatique par voie orale, pas cher et même remboursé ? »
Immédiatement, je me mis donc en devoir de parler de l’Extranase
du journal de l’époque Vérités Santé pratique dont j’étais rédacteur
en chef. Hélas, le premier retour que j’ai eu a été une lettre d’une
abonnée pas contente, car allergique à l’ananas : elle avait eu des
réactions très violentes. J’en ai conclu que c’était une piste minée et
j’ai laissé tomber.
Le temps passa, et un jour, je reçus un coup de téléphone d’un
certain M. Pierre L. de Bretagne, qui me dit : « M. Dogna, grâce à
vous, je fais de véritables miracles » (étonnement)… Il poursuivit :
« Il y a un an, je suis tombé sur un de vos journaux qui parlait de
l’Extranase et voilà ce qui est arrivé : Christelle, une petite cousine,
est venue passer quelques jours chez nous. Elle avait un gros
chagrin car sa petite chatte allait être opérée de deux tumeurs
cancéreuses, une moyenne et une très grosse. Je lui dis d’appeler
sa maman, de lui demander d’acheter une boîte d’Extranase à la
pharmacie, ainsi que de calculer la dose à donner en fonction du
poids de la chatte, sachant que pour un homme la posologie était
officiellement de trois comprimés trois fois par jour. La maman ne se
cassa pas la tête : elle acheta l’Extranase sans trop y croire et donna
trois comprimés à la chatte. C’était vingt-quatre heures avant
l’opération. Rosie avait en fait ingurgité dix fois la dose en rapport
avec son poids. À l’opération, le lendemain, il apparut que la tumeur
moyenne avait complètement disparu et que dans la grosse tumeur,
il n’y avait plus que de l’eau. Depuis, Rosie est en très bonne
santé. »

Autre cas étonnant : le vieux chien des voisins


« La pauvre bête avait une tumeur de 7 cm d’épaisseur et ses
maîtres ne voulaient pas la soigner vu son âge. M. Pierre parvint à
les convaincre de lui donner de l’Extranase ainsi qu’indiqué plus
haut. Dix jours après, les grosseurs avaient totalement disparu. Le
chien mordillait la peau détendue et il en sortait de l’eau. Depuis,
aucune trace de tumeur n’est réapparue. »

UNE ASTUCIEUSE DÉDUCTION


À la suite de ces expériences, M. Pierre L. en vint à penser que si
l’Extranase n’avait pas habituellement d’effets plus déterminants sur
le cancer, c’est qu’elle était très sous-dosée.
Il en est de même par exemple pour la vitamine C qui a été limitée à
quelque 400 mg par jour, alors que l’on peut monter à 5-6 g avec la
vitamine C naturelle, et à 50 g par jour avec la vitamine C de
synthèse mélangée à de la lysine.

À cette époque, nous avons donc calculé que la dose d’attaque


d’Extranase pouvait être sans risque (sauf allergie connue)
d’un comprimé par kilo, qu’il s’agisse d’un humain ou d’un animal.
Cette dose était appliquée environ une semaine, mais, il fallait
quelquefois continuer plusieurs jours à demi-dose (soit un comprimé
pour 2 kg) le temps nécessaire pour que la tumeur disparaisse
complètement, cancéreuse ou non.
À noter que des études effectuées sur des rats ont montré qu’il
fallait atteindre 5 g par kg pour que les reins donnent des signes de
fatigue, ce qui représente, pour un humain de 60 kg, 300 g de
bromélaïne.

L’ORGANISATION-DÉFENSE
DES CELLULES CANCÉRISÉES
Parmi les globules blancs, il existe une sorte de leucocytes tueurs
nommés les NK (Natural Killers) qui ont pour mission d’injecter dans
les cellules cancéreuses une substance toxique mortelle : la
tumostérone – un dérivé de la vitamine D2. Afin de se protéger de
ces attaques, les cellules cancéreuses s’entourent d’une
substance mucoïde spéciale. Pour pouvoir rendre l’accès libre aux
NK, il faut d’abord dissoudre ce mucus. C’est justement ce qu’est
capable d’effectuer la bromélaïne de l’Extranase. Le résultat est
tellement rapide lorsque les doses sont suffisantes que l’on peut
penser à un miracle.
Attention aux produits laitiers ! Ils contrarient l’effet de la
bromélaïne pour deux raisons : ils renforcent la couche mucoïde
des cellules cancéreuses et ils contiennent des hormones de
croissance cellulaire rapide (le lait est fait pour les bébés qui
doivent grandir vite).

Nota Lorsque l’on parle de produits laitiers, il s’agit de tous


les produits laitiers sans exception, y compris tout aliment
confectionné avec l’un quelconque des dérivés de laitages
(et ce n’est pas facile d’y échapper). À savoir que 95 % des
desserts sont à base de produits laitiers.

L’ÉVOLUTION GALÉNIQUE DE LA
BROMÉLAÏNE
Au départ, la bromélaïne est une enzyme active aussi nommée
bromélase, que l’on tire de la tige d’ananas. Le fruit en contient
aussi en quantité mais elle est surtout logée dans le cœur et la peau
du fruit. Bien évidemment, j’ai parlé de ses applications dans mes
journaux, en particulier dans les nos 27, 38 et 41 du Journal de Michel
Dogna ; et nombreux sont ceux qui ont tenté leur chance avec ce
remède qui semblait néanmoins avoir des limites car il ne marchait
pas sur tout le monde.
Une chose dérangeante est que l’Extranase contient du dioxyde de
titane nanométrique qui est connu pour sa toxicité. Par ailleurs,
nous avons appris que ces comprimés qui sont officiellement prévus
pour les œdèmes post-opératoires et qui étaient en vente libre ont
été récemment réglementés sur ordonnance. Bizarre ! Qu’importe,
la bromélaïne se trouve facilement sur Internet.
Et puis est tombée l’information que la bromélaïne présente une
efficacité décuplée lorsqu’elle est associée à une dose journalière
maximum vitamine C naturelle couramment supportée qui est de 5
à 6 g. Évidemment la vitamine C liposomale est encore beaucoup
mieux puisque 1 g de liposomale équivaut en efficacité à 5 g de
vitamine naturelle. C’est pour cela que je l’avais présentée sous
cette formule combinée dans mon e-book Cancers, guérir hors
protocoles, sachant que la dose journalière classique de bromélaïne
est de 1 000 mg. Mais il s’avère que ce n’était pas encore suffisant
pour atteindre des pourcentages de réussite vraiment attractifs.
Finalement, nous avons abandonné la formule GR (gastro-
résistante) de la bromélaïne à la suite de deux infos techniques :
• L’une disant que la bromélaïne purifiée n’est guère attaquée par les
sucs gastriques.
• L’autre faisant valoir une certaine toxicité du vernis de protection
des gélules, d’où la formule « Gamma » la différenciant par la
grande qualité de la bromélase utilisée, ce qui lui confère la plus
haute activité enzymatique.

UN TÉMOIGNAGE RÉCENT QUI


DÉCOIFFE
Un client de la société Apoticaria atteint de deux tumeurs
inopérables entre la colonne vertébrale et l’œsophage a pris jusqu’à
trente gélules de bromélaïne par jour pendant plusieurs
semaines, cela couplé à 5 g de vitamine C liposomale. Les deux
tumeurs ont complètement disparu.
Commentaire : il apparaît qu’à moins que d’être allergique à la
bromélaïne, nous avons une seconde fois manqué de hardiesse à
oser augmenter les dosages vu qu’il ne s’agit pas d’un médicament
chimique mais d’un alicament – trente gélules de 500 mg
représentent en fait 15 g, ce qui est encore très loin des 300 g
évoqués plus haut.

APPLICATIONS DIRECTES SANS


RISQUE
Selon la posologie plus haut (rappel : attention aux allergiques).
Bromélaïne gamma à 500 mg : 10 gélules matin, midi et soir
+ vitamine C liposomale : 1 petite cuillère à soupe le matin.

INDICATIONS DE LA BROMÉLAÏNE
• Cancers : de la prostate, du col de l’utérus, du cerveau, de la
sphère ORL, lymphome, métastases
• Fibrome
• Kystes

Nota Danger concernant le cartilage de requin.

Il est connu que les cellules cancéreuses sont des cellules


déprogrammées et réinitialisées à l’état de cellules embryonnaires à
reproduction rapide. Elles ont donc besoin d’un réseau capillaire
important pour acheminer les « vivres ». Cela s’appelle des
formations angiogéniques. Les chercheurs, en fins stratèges, ont
cherché des moyens pour justement couper ces ponts spéciaux de
ravitaillement en introduisant des substances antiangiogéniques qui
les dessèchent en quelque sorte. C’est exactement ce que fait le
cartilage de requin, mais aussi ce que visent certaines « chimio »
dans la composition de leurs cocktails. Le problème dramatique est
que, une fois ces angiomes tumoraux desséchés, il n’y a plus de
voie d’accès pour agir sur les cellules cancéreuses.
Pour cette raison, hélas, la thérapie par la bromélaïne risque fort
d’aboutir à un échec si l’on n’attend pas huit semaines après une
prise de cartilage de requin ou d’une chimiothérapie
antiangiogénique. Encore faut-il avoir le temps d’attendre dans la
course à la maladie. Ainsi, M. Pierre, ayant voulu prendre en compte
un chien nommé Tagadou atteint d’un cancer avancé, n’a pu le
sauver malgré une prise de bromélaïne à haute dose. Trois semaines
plus tôt, Tagadou avait été traité à l’extrait de cartilage de requin.
Depuis, j’ai appris par trois dames dont le mari est mort d’un cancer
malgré tous les traitements tentés, qu’ils avaient tous été traités, à
un moment donné, avec du cartilage de requin.

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Bromélaïne gamma : www.apoticaria
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61

NEUROPHYT
Pour booster le cerveau

COMPOSITION GLOBALE DU
NEUROPHYT

• DHQ (dihydroquercétine) ou taxifoline.


• AFA (algue bleu-vert).
• Ginkgo biloba.

LA DIHYDROQUERCÉTINE (DHQ)
Cette substance qui est extraite d’un bois de mélèze sibérien
écologiquement pur est un puissant bioflavonoïde dont la structure
moléculaire ressemble à celle de la quercétine. Près de
six cents études sur plusieurs décennies, réalisées en Russie pour la
plupart, ont été publiées sur son efficacité, ainsi que sur l’absence
d’effets secondaires. Récemment la société Blogovitol Limited a
commencé une enquête scientifique en coopération avec le
département de recherche médicale à l’hôpital de l’université de
Mayence en Allemagne. Jusqu’à présent, toutes les enquêtes
confirment que la dihydroquercétine possède en plus des propriétés
antioxydantes sur le processus métabolique d’importants effets de
protection du système cardiovasculaire. C’est ainsi que depuis
nombre d’années la dihydroquercétine connaît un important succès
en tant que complément alimentaire sur le marché russe.
Les conclusions convergentes des études ont montré que la
dihydroquercétine (taxifolin) :
• Effet antiœdémateux.
• Abaisse une pression sanguine ;
• Agit en synergie avec la vitamine C dont elle renforce les effets.
• Améliore la microcirculation sanguine dans tout l’organisme.
• Antioxydant plus puissant que la vitamine E, la rutine et le bêta-
carotène.
• Augmente la concentration et l’activité intellectuelle dans 60 %
des cas.
• Diminue les niveaux du cholestérol.
• Empêche l’athérosclérose.
• Exerce des activités anti-inflammatoires et hépatoprotectrices.
• Inhibe l’apolipoprotéine B, un des premiers composants des LDL.
• Inhibe la peroxydation lipidique.
• Inhibe le vieillissement prématuré des cellules.
• Normalise l’impulsion électrique qui active les ventricules du cœur.
• Normalise le cholestérol et les triglycérides du sang.
• Normalise le métabolisme au niveau cellulaire.
• Prévient la formation de la cataracte en inhibant une enzyme du
cristallin.
• Protège les membranes cellulaires.
• Réduit la formation de caillots et la viscosité sanguine.
• Réduit le risque d’AVC.
• Réduit le risque de crise cardiaque.
• Renforce le flux sanguin dans la rétine, protège contre la DMLA.
• Renforce les parois des vaisseaux et des capillaires.

INDICATIONS GÉNÉRALES DE LA DHQ


• Allergies.
• Arythmie cardiaque.
• Athérosclérose.
• Baisse de mémoire.
• Cardiopathies ischémiques.
• Cataracte.
• Diabète type 2.
• DMLA.
• Fonction cérébrale défectueuse.
• Hypertension.
• Hyperviscosité sanguine.
• Immunodéficience.
• Inflammations.
• Membres et extrémités froides.
• Obstructions capillaires du cerveau.
• Stase capillaire périphérique.
• Système cardiovasculaire délabré.
• Vieillissement de la peau.

L’ALGUE BLEU-VERT (AFA)


L’algue bleu-vert (Aphanizomenon) croît dans un biotope
exceptionnel dans le centre sud de l’Oregon. Loin de toute pollution
industrielle, à une altitude de 1 300 mètres, le lac Klamath réunit
toutes les conditions pour la photosynthèse ; avec une profondeur
de 110 à 120 cm et un ensoleillement idéal, l’eau chauffe
rapidement. Protégé au nord par le mont Mazama et au sud par le
mont Shasta, ce bassin de 320 km² est alimenté en permanence par
une eau de pH neutre d’une grande pureté. Les rivières, torrents et
cascades proviennent essentiellement de la fonte des neiges et des
glaciers des sommets environnants, les montagnes de la chaîne
volcanique Cascada, mais cette eau est enrichie par un système de
percolation unique au monde, provenant du lac Crater. Formé il y a
sept mille ans par les éruptions volcaniques du mont Mazama, le lac
Crater est le plus profond du continent nord-américain (1 km) et le
plus pur de tout l’hémisphère Nord.
Quittant le lac Crater à travers les différentes strates des montagnes
Cascada, l’eau emporte une quantité de minéraux et de sels
inorganiques que l’algue absorbe et transforme en composés
organiques d’une exceptionnelle richesse.
Un complément alimentaire total - nutriment de l’avenir
L’algue bleu-vert remonte aux origines de la vie végétale sur la
planète. Avec plus de 60 % de son poids, l’algue bleu-vert présente
un taux protéique des plus élevés du règne végétal. C’est une
protéine exceptionnelle, complète, de faible poids moléculaire, donc
facilement assimilable.
Indications de l’AFA
L’algue bleu-vert, selon les études américaines et japonaises
effectuées depuis près trente années, agit efficacement contre :
• Carences alimentaires.
• Dépression.
• Fatigue chronique.
• Humeur chagrine.
• Mémoire défaillante.
• Phanères (peau, cheveux, ongles) : problèmes.
• Séquelles des chocs chirurgicaux (récupération rapide).
• Stress.
• Surpoids et l’obésité (contrôle la sensation de satiété).
• Vieillissement prématuré et problèmes dégénératifs.
• Vision (baisse chez les gens âgés).

De plus, elle stimule la mobilisation des cellules souches de la


moelle osseuse (CSMO).

LE GINKGO BILOBA
C’est un arbre originaire d’Extrême-Orient que l’on trouve
abondamment en Chine, au Japon, et en Corée. Sa hauteur peut
atteindre quarante mètres et il peut vivre mille ans. Cet arbre très
rustique est particulièrement résistant aux maladies, aux pollutions,
au froid, au feu, au manque d’ensoleillement et même à l’irradiation.
C’est le premier végétal qui a repoussé après les bombes atomiques
de Nagasaki et de Hiroshima.
Indications du ginkgo biloba
L’extrait normalisé de feuilles de ginkgo est reconnu par la
Commission européenne, et par l’OMS, Organisation mondiale de la
santé, comme traitement adjuvant des troubles suivants :
• Démence (d’origine vasculaire ou dégénérative).
• Dépression.
• Pertes de mémoire.
• Troubles de l’attention.

INDICATIONS DU NEUROPHYT
• Mémoire défaillante
• Diabète type 2
• Fonction cérébrale défectueuse
• Stase capillaire périphérique

POSOLOGIE DU NEUROPHYT
1 gélule 3 fois par jour.

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62

EM-X GOLD
Empoisonnement cellulaire – irradiation –
supermarché d’enzymes

L’HISTOIRE DE TERUO HIGA


Teruo Higa fut longtemps professeur d’horticulture, au département
d’agriculture de l’université Ryukyu d’Okinawa, dans le Japon
méridional. Main verte depuis son enfance, lassé de la théorie
universitaire sans pratique et soucieux de pratique sans théorie, déjà
connu pour avoir implanté avec succès des mandarines très
précoces qui ont trouvé un marché à Tokyo, il se tourna, à l’âge de
40 ans, vers l’usage des micro-organismes utiles à l’agriculture.
Formé à l’agrochimie, il avait empoisonné son sol et les terres des
paysans voisins, qui furent peu à peu stérilisés. La terre, sa terre
insulaire devait disposer d’une alternative !
Une soirée d’automne 1981, comme d’habitude, il rassembla les
solutions de souches inoffensives – pour la plupart des bactéries et
des levures alimentaires – utilisées dans la journée, pour les
déverser dans l’évier du laboratoire. Malgré l’échec de cette énième
combinaison, quelque chose l’empêcha de faire ce geste.

« Je ne sais pas pourquoi je pensais alors qu’elles étaient trop


précieuses et coûteuses pour simplement les vider dans le conduit
d’écoulement. Je les déversai sur le gazon devant le labo. Une
semaine plus tard, j’observai une différence évidente dans la qualité
de pousse de l’herbe à cet endroit, plus luxuriante et prospère
qu’ailleurs… Soudain, la lumière se fit et je compris ce qui était
arrivé. C’était le mélange ! Ce qui était unique, c’était qu’elles
étaient une combinaison de différents types de micro-organismes.
C’était ça la raison. L’agent actif, comme on dit, se trouvait dans la
mixture elle-même ! Or il est d’usage, lors de recherches sur les
micro-organismes, de toujours travailler sur une seule souche à la
fois. Il était inconcevable de faire autrement : des souches
différentes auraient combattu entre elles si on les avait mises
ensemble. Ce préjugé me semblait erroné. Qui était ami ou ennemi
dans ce mélange n’avait pas d’importance pour moi ! Tout ce qui
m’intéressait était ce qui semblait agir, donner des résultats
positifs. »

PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT DES


EM
Le Pr Teruo Higa a donc montré que des bactéries, des levures, et
des actinomycètes communs inoffensifs peuvent cohabiter
harmonieusement. Utiles les uns aux autres, ils sont capables de
vivre en présence ou en absence d’oxygène. Que survienne alors
une espèce étrangère, et de surcroît pathogène, ceux-ci l’étouffent
ou la combattent. Teruo Higa conclut, émerveillé : « Tout est dans le
mélange ! »
Dès lors, il s’employa méthodiquement à combiner diverses souches
microbiennes, a priori non pathogènes (racines d’arbre,
photosynthèse, compost, ferments alimentaires à l’œuvre dans le
miso, le soja, le pain, la choucroute, la bière et le vin…), et à tester
leurs aptitudes dans des essais en laboratoire, ainsi que dans les
conditions de vie sur le terrain en agronomie. De temps à autre, la
dernière souche ajoutée était impitoyablement écartée, attaquée par
les autres, car incompatible avec le milieu formé par toutes les
autres. Il conserva enfin une combinaison réussie et lui donna le
nom de « Effective Micro-organisms » ou « EM ». Cette symbiose
productive et mutuellement bénéfique sécrète en outre des
substances naturelles antioxydantes très puissantes.

De nombreuses observations cliniques dans le monde attestent


désormais de la puissance des substances microbiologiques
contenues dans la solution EM-X, commercialisée depuis 1994
comme « boisson tropicale rafraîchissante » !… Celle-ci résulte de la
filtration d’une population complexe de micro-organismes, mise à
fermenter sur un milieu composé de son de riz, de fruits tropicaux et
de goémon. C’est un liquide doré et transparent, sans goût
particulier, contenant un mélange hautement actif d’antioxydants
aussi bien hydrosolubles que liposolubles. Ont été identifiés : des
flavonoïdes, du gamma-oryzanol, de l’ubiquinone, du lycopène,
de l’alpha-tocophérol, entre autres. Il renferme aussi une
quarantaine de minéraux.

« LE TERRAIN EST TOUT »


Oui, on reconnaît la fameuse formule de Claude Bernard.
Sous nos pieds règne un micromonde bactérien gigantesque
indispensable à la vie végétale et par voie de conséquence à la vie
animale. Si nous essayons d’analyser la composition générale de
cette invisible population, nous pouvons constater qu’elle se divise
en trois groupes :
1.Les bactéries de fermentation qui génèrent la vie.
2
. Les bactéries de putréfaction gèrent la mort et le recyclage.
3
. Les bactéries opportunistes (moutons) qui se rangent du côté
des plus forts et se mettent à leur service – elles représentent
80 % de cette micropopulation.
(À remarquer que c’est le même schéma dans notre société !…)
Dans une terre saine et bien équilibrée, les bactéries de
fermentation sont largement les plus importantes en nombre. Hélas,
dans notre monde artificiel chimiquement pollué, les valeurs sont
inversées : c’est la prépondérance de la putréfaction et de la
morbidité. Seule la culture bio préserve le bon équilibre bactérien du
sol.
La « population florale » de notre intestin fonctionne
exactement de la même façon que celle du sol.
Lorsque les souches de putréfaction prennent le dessus, les 80 %
d’opportunistes suivent, et c’est la maladie. Et c’est là que l’EM-X,
arrivant en sauveur, débarque en masse des EM de fermentation qui
vont se reproduire rapidement et faire basculer la majorité (comme
au Parlement), avec bien sûr les opportunistes qui suivent. Le
processus est simple et universel.

STUPÉFIANT ! LES EM
ABSORBENT LA RADIOACTIVITÉ !
Des fruits à radioactivité 0 dans la zone de Fukushima
À Fukushima City, la contamination des sols dans la zone est de
2 000 becquerels par kilo, et les fruits des agriculteurs testés
rayonnent 40-80 Bq/kg. Pourtant, la Fukushima Makuta Takehiro
produit des fruits bio (pêches, poires, raisins et pommes) qui bien
que cultivés dans les zones contaminées ne montrent aucun
rayonnement détectable.
Des chercheurs ont levé le mystère au niveau de la présence de
certaines bactéries et champignons dans les sols organiques
locaux, ce qui empêcherait les cultures d’absorber le césium
radioactif, et le transmuterait en baryum non radioactif.

Un documentaire nommé Uncanny Terrain a été publié pour les


agriculteurs bio, face à la crise nucléaire, avec une communauté en
ligne pour favoriser le dialogue sur la sécurité alimentaire,
l’agriculture durable, l’énergie alternative en cas de catastrophe.
Comme quoi la transmutation à basse énergie, c’est du
conventionnel chez les micro-organismes qui savent transformer de
l’uranium en élément non radioactif.
Nous avons ici la preuve que les fruits poussant sur des sols
contaminés ne sont pas radioactifs quand ils sont cultivés avec
les EM !

CONCLUSION
J’ai été interpellé par le fait que l’EM-X sort presque
systématiquement au biotest ou en kinésiologie dans la plupart des
cas de maladies lourdes, dont le cancer. Par ailleurs, différents
témoignages me sont revenus, de cas désespérés qui se sont sortis
d’affaire grâce à l’EM-X. Il est clair que cette mixture représente
l’équilibre parfait des métabolismes de vie et qu’elle est capable de
réensemencer les terrains très déséquilibrés – ce qui est une
condition sine qua none de toute guérison.

INDICATIONS DE L’EM-X GOLD


• Adénite (inflammation ganglions)
• Allergies
• Alzheimer (améliore)
• Asthme
• Bouche (affections diverses)
• Cancer (adjuvant majeur)
• Chimiothérapie (décontamine)
• Crevasses
• Diabète type 2
• Eczéma
• Empoisonnement cellulaire
• Enzymes (carence)
• Flore intestinale déséquilibrée
• Gastrite
• Hépatites
• Herpès
• Infections nosocomiales
• Intestins (troubles)
• Intoxication médicamenteuse
• Irradiation radioactive
• Maladie de Crohn
• Métabolisme perturbé
• Micro-organismes de fermentation minoritaires
• Micro-organismes de putréfaction majoritaires
• Mycose des pieds
• Neurodermite
• Parkinson (améliore)
• Pollution générale du corps
• Radiothérapie (séquelles)
• Toxoplasmose
• Verrues
• Vieillissement organique précoce

POSOLOGIE
1 cuillère à soupe matin et soir.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


www.apoticaria.com
63

QUINTON
Du sang marin à l’origine de toute vie

La médecine française a une prodigieuse capacité d’oubli vis-à-vis de


ses plus grands précurseurs, ceux qui ont laissé à l’humanité des
thérapeutiques simples fondées sur des découvertes
révolutionnaires. Qui se souvient aujourd’hui de René Quinton, mort
le 13 juillet 1926 avec tous les honneurs de la nation ? Il fut pourtant
chercheur officiel au Collège de France. Ses travaux, qui ne
méritaient pas un tel oubli, auraient dû reprendre le dessus de
l’actualité à la suite des problèmes de contamination du sang
transfusé.

« L’organisme est l’aquarium vivant originel dans lequel les


cellules ont maintenu les conditions de vie de leur origine. »
(Pr Aubert)

La composition de l’eau de mer, c’est :


• 84 % de chlorure de sodium (sel).
• 14 % de soufre, magnésium, potassium et calcium.
• 2 % d’oligo-éléments.
En cas de déficience du plasma sanguin, l’eau de mer
isotonique est capable de prendre la relève et de relancer les
échanges immédiatement.

NAISSANCE DES DISPENSAIRES


DE CURE MARINE
En 1904, René Quinton publia son ouvrage L’Eau de mer, un lieu
organique, qui connut, dans les mois qui suivirent, un
retentissement mondial grâce à des articles fort élogieux où l’on
comparait les découvertes de son auteur à celles de Darwin.
Quelques mois plus tard, Quinton fut confronté à des événements
d’appel l’obligeant à concrétiser ses découvertes. Des médecins et
des hôpitaux l’appelèrent d’urgence pour des cas de mort
imminente (typhoïde en état de coma dépassé, de cirrhose du foie
évoluant en érysipèle…) qui furent réglés en quelques jours par des
injections d’eau de mer purifiée.

Au cours des années 1897 à 1904, René Quinton appliqua son


traitement d’eau de mer dans plusieurs hôpitaux parisiens : Saint-
Louis, Beaujon, Hôtel-Dieu, Tenon, la Pitié, et accumula les
guérisons. Les grands patrons des services hospitaliers de son
époque collaborèrent avec lui, signèrent en commun une
cinquantaine d’articles et présidèrent au jury de cinq thèses
consacrées à la thérapeutique marine.

En 1905, à l’Académie de médecine, le Pr Porak présenta un travail


effectué dans son service de débiles de la maternité. Cette étude
menée sur quarante enfants montra que des injections d’eau de mer
isotonique avaient permis de les faire grossir de près de 10 g par
jour au lieu de 1,64 g en moyenne, soit six fois plus.

En juillet 1906, une épidémie de choléra infantile frappa une


pouponnière de Rueil. Dix-huit enfants furent touchés, quatre
décédèrent en quelques heures. Sur les quatorze qui restaient, trois
étaient déjà en état de cyanose. La directrice de l’établissement
demanda conseil à René Quinton. Avec les injections d’eau de mer,
au bout de quelques jours, tous les enfants restants furent sauvés.

En 1907 s’ouvrit à Paris le premier dispensaire marin, rue de


l’Arrivée, près de la gare Montparnasse. Il connut immédiatement
une grande affluence. Du coup, un second dispensaire ouvrit ses
portes rue d’Ouessant. Cinq cents malades, enfants et adultes,
furent soignés chaque jour dans ces deux dispensaires. D’autres
dispensaires marins fleurirent alors à Toulouse, Lyon, Nancy,
Dunkerque, Rennes, Brest, Saint-Denis, Creil. L’engouement était
extrême.

Mais la Première Guerre arriva et l’on oublia tous ces succès


merveilleux remportés par la méthode Quinton. Les dispensaires
furent fermés les uns après les autres. On en ignore encore les
raisons. Il nous reste de René Quinton quelques publications et
brochures qui relatent les guérisons spectaculaires enregistrées
après les injections d’eau de mer, rassemblées dans un ouvrage
édité par Le Courrier du Livre : Le Secret de nos origines révélé par
René Quinton.

TRANSFUSIONS AVEC DU SÉRUM DE


QUINTON
Pour mieux frapper les esprits et convaincre définitivement les
scientifiques, René Quinton fit publiquement une première
expérience qui, à l’époque, fut célèbre dans le monde entier : il
saigna un chien à blanc en le vidant de son sang qu’il remplaça par
une quantité équivalente d’eau de mer ramenée à l’isotonie, c’est-à-
dire la concentration en sels minéraux correspondant à celle du sang
(que l’on nomme maintenant Quinton Isotonique).

Après une période de grand abattement par manque de globules


rouges pour transporter l’oxygène, suivie d’une poussée de fièvre
due à la carence de globules blancs, ce chien sortit de sa léthargie,
et en fin du quatrième jour il se remit à manger (400 g de viande). À
partir de là, il se rétablit rapidement. Le huitième jour, il était d’une
folle exubérance… Cinq ans plus tard, en 1902, ce chien appelé
Sodium vivait encore.
Déclaration de Madeleine Héry – ancienne infirmière
Il y a moins de 10 % de transfusions indispensables. Puisque l’on
sait que le sang injecté n’est pas utilisé tel quel, que le foie se
fatigue à le « débobiner » pour se servir de ses constituants,
pourquoi ne pas le remplacer par du sérum de Quinton ou similaire ?
Le maçon qui dispose de briques neuves construit une maison plus
vite que s’il ne dispose que de matériaux de démolition.
Dans les années 1934-38, c’était les laboratoires d’analyses qui
faisaient les transfusions, directement du donneur au malade.
Lorsque nous n’avions pas de donneur du groupe indiqué, avec
l’assentiment du médecin traitant, nous fîmes plusieurs fois du
Quinton qui contient tout ce qu’il faut dont l’organisme a besoin
pour refaire du sang. Et les malades s’en trouvaient fort bien. Mais
c’était aller à contre-courant de ceux qui venaient de découvrir quelle
mine d’or était à la portée de leurs mains.
Extrait d’article écrit par le Dr Albert Poret, paru dans Vie et
Action
« … J’estime qu’aujourd’hui où l’on fait des abus dangereux de
transfusions sanguines, particulièrement dans les services
chirurgicaux, il y aurait le plus grand intérêt de les remplacer par des
injections de Plasma de Quinton. On éviterait ainsi les méfaits et les
drames si fréquents qui suivent les transfusions de sang. Et je
n’envisage pas seulement les accidents brutaux mais aussi tous les
désordres qu’entraînent le rejet des cellules étrangères, les
intoxications par impuretés des humeurs des donneurs, et aussi les
perturbations du psychisme et du caractère déterminées par
l’introduction d’éléments hétérogènes dans un milieu vital.
Multiplication aussi des cas d’embolies postopératoires. Mais l’idée
est trop simple et trop économique, et aussi c’est une découverte
qui a le tort d’être française. Nos maîtres attendront probablement –
pour l’adopter – qu’elle revienne d’Amérique ! »
INDICATIONS DU QUINTON
HYPERTONIQUE
(PAR VOIE ORALE)
• Anémie
• Allaitement
• Asthénie
• Carences
• Croissance (retard)
• Dépression
• Déséquilibres ioniques
• Dévitalisation
• Entraînement sportif intense
• Épuisement physique et psychique
• Fracture
• Grossesse
• Hypertension
• Hypotension
• Ménopause
• Ostéoporose
• Retard pondéral
• Revitalisant puissant
• Spasmophilie
• Syncope orthostatique
• Trouble des phanères
• Tuberculose

POSOLOGIE
Curatif : 2 ampoules le matin et le soir.
Entretien : 1 ampoule le matin et le soir.
Observations : le temps de latence des micronutriments cellulaires
infinitésimaux peut varier de une à trois semaines selon la réactivité
du terrain. On notera un effet euphorisant et une augmentation de la
résistance physique.

PROPRIÉTÉS DU QUINTON
ISOTONIQUE
(PAR VOIE ORALE)
L’isotonique est de l’hypertonique dilué avec de l’eau de source
(Mont-Roucous) à raison de 1/5.
C’est l’ancien plasma de Quinton. Sa concentration est ramenée à
l’isotonie physiologique (sans désodation électrolytique). La
concentration à 9°/oo en sels totaux (pas seulement en chlorure de
sodium) est identique à celle du plasma sanguin. Le Quinton
isotonique est préparé sans aucune élévation de température,
ce qui laisse les micro-organismes vivants.
• Désintoxiquant énergique général de l’organisme.
• Désintoxiquant rapide des produits anesthésiques après opération.
• Équilibrant de la nutrition cellulaire (anémie).
• Grand solvant des résidus médicamenteux et antibiotiques.
• Rééquilibrant de la formule sanguine.
• Régulateur général du terrain.
• Stabilise les paramètres organiques instables (homéostasie).

INDICATIONS DU QUINTON
ISOTONIQUE
(PAR VOIE ORALE)
• Alimentation artificielle
• Allergies
• Anémie
• Anesthésiques (solvant rapide)
• Antibiotiques (solvant rapide)
• Asthénie
• Colibacillose
• Constipation
• Coryza
• Dermites infectées
• Désintoxiquant médicamenteux
• Dysenterie
• Eczéma
• Gastro-entérite
• Homéostasie faible
• Infection et congestion utéro-vaginale
• Lichen
• Masse sanguine (reconstitue)
• Nutrition cellulaire (déséquilibre)
• Prurigo
• Psoriasis
• Régulateur général du terrain
• Rhinite
• Sang (formule altérée);
• Sclérose en plaques (SEP)
• Sénescence
• Sinusite
• Surmenage
• Terrain minéral déséquilibré
• Tuberculose
• Urticaire
• Vomissements de la grossesse

POSOLOGIE
La posologie per lingue est la même que pour l’hypertonique.

Nota Jusqu’en 1982, le laboratoire Quinton était installé à


Parsac en Gironde. Les produits Quinton bénéficiaient alors
d’AMM (autorisation de mise sur le marché) permettant
d’être remboursés par la Sécurité sociale. Depuis 1995, le
laboratoire Quinton s’est installé en Espagne où il peut
fonctionner légalement en conformité avec les lois
européennes.

INDICATIONS DU QUINTON
ISOTONIQUE
(EN TRANSCUTANÉ)
L’hydrotomie percutanée est une technique remarquable de
régénération des disques vertébraux et des articulations
arthrosiques. Les effets sont si puissants qu’il suffit souvent de
quelques jours après la seconde séance pour noter une sédation des
douleurs.
• Arthrose de la hanche.
• Arthrose des coudes.
• Arthrose des genoux.
• Cruralgie.
• Discopathies installées.
• Hernies discales.
• Lumbagos chroniques.
• Sciatique.

Mon expérience personnelle


Ainsi que beaucoup de personnes entre deuxième et troisième âge,
j’étais atteint de discopathies qui, tout comme les fuites d’eau, ne
vont pas en s’arrangeant avec le temps.
C’est ainsi qu’en 1991, j’ai pu expérimenter ce qu’est une crise
monstre de sciatique avec douleurs insoutenables aboutissant à une
insensibilité dermique de la jambe gauche et à la perte de contrôle
partiel de motricité de la jambe pendant plusieurs semaines.

En 1997, j’ai changé de registre avec cette fois les disques L1-L2, par
une crise de cruralgie droite, plus violente encore qui m’a cloué,
pour ne pas dire vissé, au lit pendant plus de huit jours. Depuis, les
sensations de coups dans les reins allaient et venaient au gré de
mes activités. J’avais de plus en plus peur de soulever des choses
lourdes. Même une heure ou deux de ski tranquille me laissaient
une sensation d’irritation au niveau lombaire.

Puis j’ai effectué cette hydrotomie percutanée avec de l’eau de


mer. Alors que le protocole standard est de sept séances au total, je
dois dire qu’après la deuxième séance, tout allait déjà beaucoup
mieux. Depuis, il s’est écoulé une vingtaine d’années, et j’ai dû
refaire quelques petites « piqûres de rappel » anticipées car, comme
dit le dicton, « le naturel revient au galop ».
Mais pourquoi cela ?

LE MICROMÉCANISME
D’HYDRATATION
DES DISQUES VERTÉBRAUX
Contrairement à ce que l’on nous affirme, un disque ne s’use
pas au départ, il se déshydrate d’abord ; la meilleure preuve, c’est
que l’on trouve des individus relativement jeunes, même
sédentaires dans leur profession, qui traînent des lumbagos,
dégénérant en sciatique, cruralgie, voire hernies discales. Or il faut
comprendre que tout organe est alimenté par un système de
microcirculation capillaire. Concernant les vertèbres, il se produit
pour des raisons énergétiques une stase du réseau capillaire
bilatéral qui doit les irriguer.
L’hydrotomie au Quinton iso in situ est une opération d’urgence qui
crée littéralement une noyade du site, permettant une réhydratation
rapide avec le seul produit reconnu par l’organisme : l’eau de mer
vivante, bain primordial de la vie (à condition qu’elle n’ait pas été
dénaturée). Les disques se regonflent comme des éponges, les
nerfs coincés se dégagent et les douleurs cessent. Le Quinton
iso, par sa biodisponibilité, se comporte tel un réservoir de
micronutriments cellulaires, véritable manne de régénération pour
les tissus environnants. Avec cette réhydratation massive, la
dégénérescence s’arrête et le processus morbide s’inverse.

Nota Cette technique est aussi applicable pour les hernies


discales.

Mais ce ne sera qu’un dépannage à moyen terme (un an ou deux), si


le réseau capillaire n’est pas restauré. Deux solutions – pour
restaurer une irrigation définitive – sont proposées dans cet
ouvrage : les bains Salmanoff et le Capillar.

PROCESSUS
DES DÉGÉNÉRESCENCES
DOULOUREUSES
Tout organe est concerné par l’enregistrement somatique réflexe
d’un stress émotif qui lui est spécifique, même s’il est
subconscient ; il mémorise celui-ci sous la forme d’un spasme, qui
entraîne la constriction de toute une microcirculation, asphyxiant en
quelque sorte la région concernée. Le sang oxygéné arrive mal, le
sang chargé en toxines et en gaz carbonique reste coincé, la lymphe
stagne. Un plan de nettoyage par le feu s’organise sous forme d’un
processus inflammatoire. Pour éteindre le feu, il faudrait de l’eau,
mais, en raison du blocage circulatoire, l’organisme ne peut
effectuer l’œdème salutaire et le syndrome en « ite » perdurera
jusqu’à ce que le plan « Orsec » démissionne et laisse la place au
processus « ose », de pourrissement et de dégénérescence.
Au niveau des vertèbres, on assiste à une ostéo-condensation
périphérique, créant une souffrance du disque intervertébral par
compression mécanique due à une calcification et prise en étau de
la racine des nerfs réflexes (becs-de-perroquet).

COMMENT SE PRATIQUE
L’HYDROTOMIE PARAVERTÉBRALE ?
1. Procédure d’urgence
• Se procurer une ou deux boîtes de Quinton isotonique à Source
Claire, sur Internet ou en boutique diététique (mais attention : du
vrai, pas du faux, dit « méthode Quinton »), et des seringues de
10 ml avec aiguilles pour sous-cutanées (vente libre en
pharmacie).
• Repérer la vertèbre en défaut par tapotement et piquer aux
quatre coins d’un carré à 2 ou 3 cm de la vertèbre (haut – bas –
gauche – droite), vider lentement les 10 ml à chacun des quatre
points.
• Recommencer tous les deux jours.

Il arrive qu’il se produise un petit œdème inflammatoire qui dure un


à deux jours ; ce n’est pas grave, c’est une réaction de nettoyage.
Nota Ne cherchez pas une infirmière pour faire cela, elles
n’ont pas le droit. Sachez par contre que tout le monde a le
droit de pratiquer des injections intramusculaires et sous-
cutanées.

2. Procédure durable

Se procurer sept bouteilles de 250 ml de Quinton isotonique (pour


animaux, toujours aux mêmes sources) et sept pieuvres à huit
branches à Mésalyse.
Aller dans une boutique de matériel médical pour acheter une
potence (pour pendre la bouteille).
• Pendre la bouteille renversée à la potence et piquer la plume
d’entrée de la pieuvre dans l’opercule en caoutchouc.
• Visser à fond les huit petites aiguilles en bout de tuyaux et faites-
les aboutir dans un saladier (propre).
• Ouvrir le robinet d’entrée puis la mollette de réglage débit – l’eau
doit descendre jusque dans le plat sans bulles –, donner des
pichenettes sur les bulles pour les évacuer. Faire cela rapidement
pour ne pas gâcher trop d’eau – on en perd en moyenne 50 ml –
les 200 ml restants sont très suffisants. Fermer la mollette.
• Passer la région à piquer à l’alcool ou à la teinture de calendula.
• Placer quatre aiguilles de part et d’autre à deux doigts de la
vertèbre sensible à 3 cm l’une de l’autre – pour cela pincer
légèrement la peau, poser l’aiguille et enfoncer d’un coup sec
(indolore quand c’est bien fait).
• Régler la mollette à trois gouttes à la seconde (il faudra souvent
reprendre le réglage au fur et à mesure que la bouteille se vide).
L’opération doit être terminée en vingt-cinq minutes.
• Enlever les aiguilles. C’est fini – une pieuvre ne peut servir qu’une
fois.

Les séances seront réparties comme suit :


Deux séances par semaine sur quinze jours – puis une séance
par semaine sur quinze jours – dernière séance quinze jours
après. Dans des cas lourds, peut-être faudra-t-il rajouter
quelques séances.

Nota Il peut se produire, après la deuxième ou la troisième


séance, quelques petites douleurs fulgurantes, qui
correspondent tout simplement à la remise en place de
certains nerfs qui se décoincent.

POUR L’ARTHROSE ARTICULAIRE


Il est possible de régénérer aussi les dégénérescences
articulaires telles que celles des genoux, des hanches, des
épaules, des coudes et des poignets. La mauvaise irrigation
sanguine des têtes osseuses entraîne une anoxie locale allant de la
périphérie vers le centre. Un véritable capitonnage de l’os s’effectue
en périphérie. Il se manifeste par une hyperostose exubérante
compensée par une ostéonécrose cryptique centrale. Tout se passe
comme si les cellules, pour survivre, migraient anarchiquement vers
la périphérie de l’os, là où passe encore un peu de sang.
Au niveau vertébral, on assiste à une ostéo-condensation
périphérique, créant une souffrance du disque intervertébral par
compression mécanique due à une calcification et prise en étau de
la racine des nerfs réflexes (becs-de-perroquet).
Dans ce cas, on n’utilise pas la pieuvre, sauf pour les hanches, mais
on procède avec une seringue comme dans la procédure d’urgence
dans la périphérie des têtes osseuses.

ATTENTION AUX IMITATIONS


DITES « MÉTHODE QUINTON »
L’eau de mer est prélevée à dix mètres du fond et trente mètres de
la surface, sur le lieu précis d’un vortex garantissant la pureté locale
de l’eau (voir les travaux de Schauberger sur les vortex).
Je rappelle ici que le vrai Quinton est un produit contenant des
micro-organismes vivants dont on a sélectivement épuré par
microfiltration à 0,22 micron à froid les gros pyrogènes
responsables des putréfactions, leur taille étant supérieure à
0,4 micron. Cela nécessite d’énormes installations en milieu stérile
pour traiter les milliers de litres d’eau de mer. À noter que le
procédé de stérilisation par la chauffe délivre à bas prix un
produit mort et même toxique en injection par le fait de la
présence résiduelle des cadavres de TOUS les micro-organismes
(bons et mauvais). En outre, on notera qu’aucune marque
concurrente ne parle de possibilité d’injection de leur produit
« méthode Quinton », même en sous-cutané, prétextant que de
toute manière c’est maintenant illégal.
Pour conclure, je ne résiste pas à narrer une histoire récente d’un
ami qui après un accident de moto, et fracture ouverte d’une jambe,
avait été mis sous plusieurs thrombolytiques paraissant
particulièrement iatrogènes, puisque sa formule sanguine fut
complètement démontée. De fait, j’ai retrouvé cet homme
normalement très dynamique devenu tout gris et se traînant comme
un vieillard. Je lui ai conseillé immédiatement de prendre deux
ampoules de Quinton isotonique matin et soir pour le nettoyer
rapidement de ses poisons dits « thérapeutiques ». Il en acheta une
boîte « méthode Quinton » dans une boutique diététique, mais
après une semaine aucun résultat apparent ne survint. C’est alors
que, découvrant l’erreur fatale, je me suis procuré une boîte de vrai
Quinton isotonique pour la lui donner. En quelques jours, ses
couleurs sont revenues ainsi que son énergie… Une nouvelle
analyse de son sang était inutile !

Moralité : meilleur marché, c’est encore trop cher !

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


Source Claire (importateur exclusif France)
www.source-claire.com
64

CHLOROPHYT
(CHLOROPHYLLE CONCENTRÉE)
Grand oxygénant cellulaire

La chlorophylle est responsable de la fameuse photosynthèse


permettant aux plantes de fabriquer de jour de l’oxygène et du sucre
(fructose), à partir du gaz carbonique atmosphérique et de l’eau.
La molécule de chlorophylle ressemble à un anneau dont le centre
est composé de magnésium pendant que l’hémoglobine du sang
(en particulier l’hémine) avec une structure moléculaire identique
présente un noyau de fer. Curieusement, la couleur verte de la
chlorophylle est la couleur complémentaire du rouge du sang.

UN GRAND RÉGÉNÉRATEUR DU SANG


Une fois avalée, la chlorophylle passe rapidement dans le sang.
Aussi est-elle la source immédiate et naturelle de minéraux la plus
élevée et la plus efficace. Ces minéraux très ionisés par
certaines enzymes créent des liaisons privilégiées avec les
vitamines et les acides aminés de l’organisme. C’est le cas en
particulier des ions de calcium Ca++ et de magnésium Mg++,
indispensables à la plupart des métabolismes.

Hélas, la chlorophylle absorbée sous forme de légumes verts,


d’algues, etc., est assez inefficace car elle reste enfermée la plupart
du temps dans les parois cellulosiques des plantes, par ailleurs,
fortement liées aux protéines. Même sous forme de suc végétal pur,
elle reste encore peu active. Par contre, absorbée pure, elle se
comporte comme un puissant générateur sanguin favorisant
notamment la formulation de l’hémoglobine. C’est une sorte de
transfusion végétale avec conversion d’un sang vert en sang
rouge, accompagnée d’un apport d’énergie vitale universelle.

Cela explique en partie son pouvoir singulier de régénération, en


particulier dans l’anémie, en plus de son apport énergétique
considérable. D’autre part, la chlorophylle ayant, nous l’avons vu, la
capacité de convertir le gaz carbonique en oxygène, amène ainsi une
oxygénation supplémentaire à l’état ionique au niveau des tissus. Il
s’ensuit alors une augmentation du rendement énergétique global
de tous les métabolismes, une stimulation de toutes les guérisons
et en particulier une activation des cicatrisations. Enfin, elle
intervient dans la synthèse de la vitamine A, dont on connaît le
rôle antioxydant et antiradicalaire.

APPLICATIONS EN USAGE INTERNE


Gaz et mauvaises odeurs
La chlorophylle réduit la production des gaz et des toxines d’origine
digestive, ce qui est très utile dans les cas d’haleine forte, de
relents alimentaires (ail) et même d’odeurs menstruelles. En outre,
on a introduit depuis fort longtemps de la chlorophylle dans les
désodorisants corporels ainsi que pour les hyperhidroses axillaires
et plantaires.
Fermentations intestinales
Dans notre société où l’on utilise largement les antibiotiques, les
hormones, les corticoïdes et les immunodépresseurs, les
fermentations mycosiques (Candida albicans) sont très
fréquentes. Ces infections sont très résistantes et difficiles à traiter.
Dans la nature, la chlorophylle est l’arme principale qu’utilisent les
plantes vertes pour se défendre contre les moisissures. La
chlorophylle par voie interne produit les mêmes effets chez l’homme
aussi ; elle est particulièrement indiquée pour le muguet (de la
bouche), les mycoses vaginales, en relation avec le Candida
albicans, et de source digestive.
Neutralisation des toxines
La chlorophylle neutralise les toxines bactériennes, même celles
des staphylocoques dorés ou du Clostridium perfringens qui
retardent les processus de cicatrisation.
Une étude de quatre cents cas de plaies infectées traitées par la
chlorophylle a montré la stimulation de régénération par un
bourgeonnement actif et une épithélialisation de façon bien
meilleure qu’avec tous les autres agents essayés. Toutes les études
chimiques ont montré que la chlorophylle s’adaptait à toutes les
formes de lésions dermatologiques, y compris les lésions gingivales.

Le retour à l’équilibre de la bouche au rectum


Une des principales propriétés de la chlorophylle est de rétablir
l’équilibre acido-basique. Or une acidité tissulaire importante est
souvent la cause principale des échecs des traitements, en
particulier homéopathiques et phytothérapiques.
La chlorophylle améliore le péristaltisme de l’estomac et de
l’intestin, augmente la lubrification des valves œsophagiennes,
pylorique et iléo-cæcale, pour un meilleur passage du bol
alimentaire en réduisant les gaz et les acides. Par ce fait, elle fait
disparaître les distensions abdominales digestives après repas,
cicatrise les ulcères gastriques et duodénaux, réduit les
formations ulcératives, les hémorroïdes, les irritations rectales,
et protège le foie.

L’augmentation des défenses


La chlorophylle protège l’organisme contre la pollution. Elle
augmente la résistance cellulaire contre différents germes
(staphylocoques, streptocoques).
On peut l’utiliser contre la conjonctivite, les otites chroniques, la
pyorrhée alvéolaire, suite aux extractions dentaires, dans les
rhumes, sinusites, angines, bronchites, abcès, vaginites, et
toutes inflammations infectieuses.

Études sur l’action antianémique


Les animaux rendus anémiques (réf. : Recherches sur l’anémie
provoquée, essais de thérapeutique expérimentale de Binet et
Stunza, 1937). Par exemple, des lapins anémiques dont
l’alimentation est suppléée en chlorophylle récupèrent totalement
en quatorze jours contre vingt-trois jours dans les contrôles de base.
D’autres études chez les animaux anémiques traités par la
chlorophylle (0,05 g/kg) montrent 70 à 83 % d’augmentation des
globules rouges, avec normalisation du taux d’hémoglobine en dix à
seize jours. Tous les types d’extraits de chlorophylle pure non
cuprique ont montré ces effets antianémiques. Le fait d’ajouter du
fer biodisponible augmente encore la rapidité de cet effet. Ces
expériences ont été confirmées par plusieurs chercheurs (Bereskov,
Petrvas, Isotfva en 1980, Levshin en 1958, Kelentri, Fekete Kun
en 1958, Borisenko, Sofonova en 1965).

Incontinence fécale ou urinaire


Il suffit de 200 mg par jour de chlorophylle pour faire disparaître
les mauvaises odeurs chez les personnes ayant eu une
colostomie, cela sans aucun effet secondaire. Les mêmes
posologies sont efficaces pour contrôler les odeurs liées à
l’incontinence urinaire ou fécale. Ces odeurs disparaissent en une
semaine de traitement, et le maintien du traitement permet de
maintenir cet effet à long terme. La chlorophylle a été reconnue sans
danger et efficace par la US Food and Drug Administration (FDA).
Nouvelles applications
En 1980, le Dr Yoshida a publié au Japon une étude sur le
traitement de la pancréatite chronique par la chlorophylle. Les
lésions étant liées à des modifications induites par des enzymes, la
chlorophylle s’avère capable de modifier différentes réactions
enzymatiques. Statistiquement, la douleur disparaît dans plus de
80 % des cas.
Les effets antimutagènes de la chlorophylle ont aussi été étudiés.
Elle s’est révélée très active contre de nombreux carcinogènes
lors des tests.

La prise orale de chlorophylle augmente le nombre de


leucocytes chez les enfants souffrant de leucopénie. Dans
certains cas, la chlorophylle peut prévenir la chute des leucocytes,
mais aussi, combinée avec des traitements traditionnels, améliorer
les résultats du traitement des thrombocytopénies. Aussi, la
chlorophylle a été utilisée pour prévenir et traiter la leucopénie
liée à une chimiothérapie ou une radiothérapie.

APPLICATIONS EN USAGE EXTERNE


C’est un des agents naturels les plus efficaces pour nettoyer et
désodoriser les plaies nécrotiques (tissus gangreneux, brûlés,
etc.).
La chlorophylle accélère la régénération des tissus conjonctifs, par
exemple dans le cas d’ulcère diabétique des jambes. De plus, elle
absorbe les toxines et les odeurs.
On peut l’utiliser aussi dans les dermatites séborrhéiques, les
neurodermatites, l’eczéma suintant, l’impétigo contagieux, les
parasites fongiques, les champignons pyogéniques, les
infections vaginales à Candida albicans, les brûlures, ulcères et
plaies en tous genres, et le psoriasis.

INDICATIONS DE CHLOROPHYT
En usage interne
• Abcès
• Acidité gastrique
• Acido-basique (déséquilibre)
• Anémie
• Bactéries (dissout la protection de fibrine)
• Bartholinite vaginale
• Colite ulcérative
• Colostomie (anus artificiel) : odeurs
• Constipation (relance le péristaltisme intestinal)
• Dermatite séborrhéique
• Digestion (problèmes)
• Distension digestive de l’abdomen
• Foie (insuffisance)
• Haleine fétide
• Hémoglobine et globules rouges (stimule la production)
• Mauvaises odeurs corporelles
• Muguet (champignons dans la bouche)
• Mycoses externes et internes
• Mycose vaginale
• Oxygénation cellulaire (dans les cancers, sida, arthrose)
• Plaies (neutralise la fibrine de protection des bactéries)
• Plaies nécrotiques (gangrène, brûlures, ulcères…) : désodorise
• Toxines bactériennes (neutralise)
• Toxines des staphylocoques dorés, streptocoques, clostridium
(neutralise)
• Valves œsophage, pylore,
et iléo-cæcale (lubrifie)
• Urinaires (fuites malodorantes)

En usage externe
• Champignons pyogéniques ;
• Cicatrisation (active) ;
• Circulation locale (accélère) ;
• Dermatite séborrhéique ;
• Parasites anaérobies ;
• Plaies nécrotiques (gangrène, brûlures, ulcères…) : nettoie ;
• Plaies (neutralise la fibrine de protection des bactéries) ;
• Plaies nécrotiques (désodorise).
Mode d’emploi
• Plaies : ouvrir une gélule de Chlorophyt, saupoudrer la chlorophylle
sur la plaie, deux fois par jour et mettre un pansement dessus.
• Dermatoses : ouvrir une gélule dans un peu de vaseline et enduire
la zone atteinte une fois par jour.

Nota L’efficacité est augmentée en adjoignant le traitement


interne.

COMPOSITION DES GÉLULES


• Concentré de chlorophylle de mûrier blanc 250 mg par gélule.
• Dolomite.

POSOLOGIE
1 à 2 gélules par jour selon la pathologie.

En interne
• Action antiodeur : deux gélules le soir.
• Fatigue et anémies rebelles : deux gélules matin et soir.
• Dermatoses : deux gélules matin et soir pendant cinq semaines,
puis deux gélules le soir pendant deux mois.

En externe
• Ouvrir une gélule dans de la vaseline et appliquer (très actif dans
les eczémas).
• Deux fois par semaine, ouvrir deux à trois gélules dans un bain de
vingt minutes.

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65

SOUFRE ORGANIQUE (MSM)


Purifié et cristallisé

UNE ÉTUDE CLÉ SUR LE CYCLE


BIOLOGIQUE
DU SOUFRE
En 1999, c’est en effectuant des recherches sur le cancer du sein
aux États-Unis que l’équipe de Patrick McGean a mis en évidence le
cycle du soufre en tant qu’élément clé de la régénération de nos
cellules. En l’occurrence, il fut observé que le type de cellules-
germes à l’origine du cancer était sensible au soufre organique.

Par ailleurs, cette étude a également permis de constater que


l’utilisation massive d’engrais chimiques a cassé le cycle du soufre
pour les populations en contact physique et alimentaire avec ces
engrais, et des maladies inconnues auparavant sont nées.
Depuis 1954, le nombre de maladies aux États-Unis a augmenté de
400 %. Justement, c’est en 1954 que le gouvernement américain a
autorisé l’utilisation d’engrais chimiques.
On sait maintenant que des engrais tels que le nitrate
d’ammonium et les sulfates tendent à détruire le cycle du soufre,
et qu’il y a une relation directe entre le manque de soufre dans
l’organisme et l’inaptitude des cellules à s’oxygéner et à se
régénérer sainement.
Beaucoup de chercheurs sont de l’avis que le soufre constitue l’un
des cinq ou six minéraux les plus importants pour le vivant, tout
simplement parce qu’il permet le transport de l’oxygène à
travers la membrane cellulaire. À l’opposé des plantes qui ont
besoin de CO2 pour la régénération de leurs cellules, chez les
mammifères, c’est l’oxygène qui prévaut au renouvellement
cellulaire. L’humain élimine du CO2 pendant que la plante élimine de
l’oxygène.

Dès 1920, Otto Warburg avait effectué des études comparatives sur
le cancer à la fois chez les plantes et chez l’être humain, ce qui lui
valut le prix Nobel en 1931 pour l’ensemble de ses recherches. Il
avait déjà démontré à l’époque que chez l’être humain, le cancer
est anaérobique (sans oxygène), alors que, chez les plantes, le
cancer est lié à un excès d’oxygène intracellulaire. Intéressant,
non ?
Mais un autre aspect fondamental, à la différence de la plante qui
peut stocker le soufre, l’humain en est fonctionnellement incapable.
Ce soufre symbiotiquement indispensable à notre vie n’est
disponible que dans notre alimentation VÉGÉTALE. Mais c’était vrai
jusqu’à ce que l’on change les méthodes de production de notre
nourriture… D’où la nécessité impérative de manger bio !

LES DÉCOUVERTES DU DR STANLEY


JACOB
Dans les années 1960, le Dr Stanley Jacob, chirurgien et
professeur à l’université d’État de l’Oregon (USA), étudia sous quelle
forme le soufre venu de l’alimentation est métabolisé par l’être
humain. C’est ainsi qu’il découvrit que le composant actif est le
méthyl-sulfonyl-méthane (MSM), une molécule que l’on retrouve
dans les cartilages et dans la peau. Par la suite, il trouva comment
obtenir cette molécule naturellement, par cristallisation, en chauffant
du diméthyl-sulfoxyde issu des troncs de pin maritime.

LES RÉSULTATS DE L’ÉTUDE


AMERICAINE
DE MCGEAN
L’équipe de Patrick McGean entreprit donc de chercher un soufre
organique sous la forme méthyl-sulfonyl-méthane, non contaminé et
de grande biodisponibilité. Cette source fut trouvée sous la forme de
cristaux bruts n’ayant subi aucun traitement. Et cela change tout par
rapport aux formules précédemment employées !

De fait, il a été constaté que les deux handicaps majeurs du


soufre organique, qui lui font perdre 80 % de son efficacité,
sont :
1.de le pulvériser pour pouvoir le mettre en gélules ;
2
. de le mélanger à d’autres produits.

Voici les conclusions expérimentales officielles menées depuis 1999


sur 1 100 participants à cette étude, largement confirmées par
médecins et thérapeutes.

Sphère articulaire
En comparaison avec le MSM courant du commerce, le soufre
organique pur cristallisé se révèle être un remède très supérieur
pour les douleurs arthritiques. Cela paraît logique dans la mesure où
les phénomènes arthritiques semblent résulter d’un métabolisme
d’hypoxie cellulaire (manque d’oxygène). Les personnes prenant de
ce soufre organique témoignent d’une diminution importante et
rapide de la douleur et d’une mobilité accrue des articulations.
Sphère digestive
Les problèmes gastro-intestinaux incluant l’acidité et l’indigestion, le
syndrome du côlon irritable, le syndrome de perméabilité du côlon et
la constipation chronique ont pu être améliorés. Par contre, les
autres maladies digestives telles que les colites ulcératives ou la
maladie de Crohn n’ont pas encore été observées.

Sphère cutanée
Les problèmes de peau tels que acné, psoriasis, eczéma,
champignon au pied, brûlure, et les symptômes liés au lupus
érythémateux ont été éliminés. Le soufre peut être utilisé à la fois
en interne et en externe, mais les cellules à l’origine du problème
concernent l’endothélium.

Nota Notre peau est l’organe le plus grand, comparable à


un énorme rein ou à un énorme poumon. Lorsque les
cellules ont la capacité de se régénérer, la peau devient plus
belle. Elle est l’émonctoire de secours du foie et des filtres
organiques en général quand ils n’arrivent plus à faire leur
travail. Le soufre est connu pour être le minéral de la
beauté, l’aspect de la peau étant le révélateur de notre
santé intérieure.

Sphère cardiaque
Les résultats les plus impressionnants sont relatifs au nombre
d’opérations à cœur ouvert programmées et finalement annulées
lorsque les résultats de l’électrocardiogramme se sont révélés à
nouveau normaux. Cela s’est produit en un délai court (six semaines
de cure de soufre organique cristallisé). Cinquante-quatre cas
semblables ont été observés. Nos vaisseaux sanguins se régénèrent
et les interventions chirurgicales annulées sont un exemple d’une
telle régénération. Le groupe d’étude a également observé la
réduction des tissus cicatriciels, de la tension élevée, et la
dissolution des plaques de calcium dans les artères. Dans ce cadre,
le soufre organique pourrait être utile aux personnes sujettes à la
maladie d’Alzheimer.

Sphère osseuse
L’ostéo-arthrite réagit positivement au soufre organique cristallisé.
L’ostéoporose a également été traitée mais le nombre de cas est
trop petit pour être signifiant. Les tests de densité osseuse
démontrent pourtant un renversement du processus de perte de
densité de l’os.

Sphère pulmonaire
Une grande amélioration a également été observée chez les
participants ayant des problèmes liés aux poumons tels que les
allergies, l’asthme et l’emphysème. Des cas des plus sérieux
n’avaient plus besoin de l’oxygène en bouteille dont ils dépendaient
malgré le fait que ces personnes continuaient à fumer.
Sphère pancréatique
Le soufre organique aide les diabétiques car le soufre est nécessaire
à la production de l’insuline, de même que certains acides aminés
ayant pour base le soufre sont nécessaires au métabolisme des
glucides.
Sphère psy
Les déficits de l’attention, l’hyperactivité mentale, la dépression et
les changements d’humeur sont grandement soulagés avec
l’utilisation du soufre organique cristallisé. Celui-ci améliore l’humeur
et détend le système nerveux. Certaines personnes ont arrêté les
antidépresseurs et le Ritalin après seulement trois jours de soufre
organique cristallisé. Celles qui étaient sous antidépresseurs depuis
une longue période ont mis plus de temps. La raison de ces
améliorations semble être la capacité du corps à produire son propre
glutathion.
Sphère capillaire (cheveux)
Les personnes aux cheveux gris ou blancs ont vu leur couleur de
cheveux naturelle réapparaître. La couleur naturelle d’abord à la base
de la nuque, le mécanisme concerne la régénération des glandes
situées à la base du cheveu et qui lui donnent sa couleur.

Sphère oculaire
Le problème du glaucome a été apporté par le Dr Eldon Haus et
par quelques participants à l’étude. La régénération du système de
drainage que constitue le réseau trabéculaire à la base de l’iris a été
observée. Les sujets souffrant d’une pression intra-occulaire
élevée trouvent que les gouttes utilisées pour réduire la pression
entraînent souvent une diminution dans leur capacité à conduire ou à
lire, ce qui n’a pas été le cas avec le soufre organique cristallisé.

Sphère buccale
L’action de l’oxygène est remarquable pour éradiquer les problèmes
de gencives. Le soufre organique cristallisé a été utilisé comme un
dentifrice pour éliminer la plaque dentaire, et la régénération des
gencives ainsi que le meilleur maintien de dents mal tenues ont été
observés.

Sphère crânienne
Les céphalées et les migraines ont également été soulagées ; les
migraines prennent davantage de temps. Il est parfois utile
d’augmenter le dosage de soufre organique cristallisé pour soulager
les migraines dues à un effet détoxifiant du produit. Rappelons
que le soufre n’est pas stocké dans le corps et ne peut être
considéré comme étant toxique. Des prises de 200 g de soufre
organique par jour n’ont démontré aucune toxicité sur des
prisonniers de la prison d’État de l’Oregon.

Sphère hépatique
L’un des participants a régénéré son foie après vingt-cinq ans
d’hépatite C avec le soufre organique cristallisé simplement avec
deux cuillères à café par jour, mais pendant quinze mois. Le cancer
est une maladie anaérobie par définition.

AUTRES APPLICATIONS
1.Les membres de l’étude qui avaient un cancer et faisaient de la
chimiothérapie n’ont eu aucun effet secondaire en prenant 30 g
de soufre organique par jour. Ils n’ont pas eu de chute de
cheveux, pas de nausées, pas de diarrhées. De plus, les
oncologues ont observé une diminution du nombre de cellules
cancéreuses. Les lymphomes ont bien réagi au soufre organique
à la fois au niveau des douleurs et dans la diminution de la taille
des tumeurs.

2
. Il a aussi été démontré que le soufre organique purifié, en plus
de permettre le transport de l’oxygène à travers la membrane
cellulaire, est capable d’éliminer les métaux lourds.

3
. Le soufre est également un précurseur pour l’utilisation des
acides aminés qui représentent les briques servant à la
construction de l’organisme. Soixante-dix pour cent des acides
aminés sont issus du soufre.

Mais rappelons-le, tout cela est impossible avec le MSM


courant emballé avec des agents antimottants car ces
derniers bloquent sa biodisponibilité pour la cellule. La
même chose se produit lorsque le soufre est « accroché »
par les engrais chimiques comme les sulfites et sulfates.
ATTENTION : L’EAU TRAITÉE
TUE LE SOUFRE
La régénération cellulaire paraît être très intimement liée à notre
capacité à transporter l’oxygène à travers la membrane de nos
cellules, et comme cela a été indiqué plus haut, telle est la fonction
première du soufre. L’étude de la table périodique des éléments
montre que le soufre, le sélénium et le tellurium sont les trois
seuls minéraux capables de transporter l’oxygène. Pendant ce
temps, d’autres études montrent que le chlore et le fluor empêchent
le transport de l’oxygène ; et malgré tout, ces éléments ont été
ajoutés pour « améliorer » la santé de nos dents et la qualité de
notre eau. Ces éléments sont toxiques en concentration élevée et ils
contrecarrent l’action du soufre et le fonctionnement de l’oxygène.
Pour cette raison, l’étude recommande de ne pas boire l’eau du
robinet.

INDICATIONS DU MSM
• Acidité gastrique
• Acné
• Allergies pulmonaires
• Arthrite et arthrose (calme la douleur inflammatoire)
• Asthme
• Athéromes artériels (plaques)
• Céphalées et migraine
• Cheveux gris ou blancs
• Cœur (réduction des cicatrices)
• Côlon irritable
• Côlon (syndrome de la perméabilité)
• Constipation chronique
• Déficit de l’attention
• Dégénérescences organiques
• Dépression
• Eczéma
• Emphysème
• Gencives (assainit et régénère)
• Humeur instable
• Hyperactivité mentale
• Indigestion
• Lupus érythémateux
• Métaux lourds (toxiques : Al, Hg, Pb, Cd…) : aide à éliminer
• Mycose aux pieds
• Peau (assainit)
• Plaque dentaire (élimine)
• Tension (hyper)

CONSTATS ET RÉFLEXIONS
La Finlande, alarmée par la croissance des maladies au sein de sa
population et ayant peur des niveaux de cadmium, a pris une
position forte en bannissant totalement les engrais chimiques de
son agriculture. Ils ne connaissaient probablement pas l’importance
du soufre ou du cycle de Krebbs. En tout cas, ils sont depuis lors
des leaders dans la production d’aliments totalement biologiques en
Europe. Ils ont également vu le nombre de maladies tomber à 1/100
des niveaux observés en 1985. Justement, les États-Unis qui étaient
en 1985 au même niveau que la Finlande pour le taux de maladie
ont, eux, continué à utiliser massivement les engrais chimiques. Il
apparaît que les pays qui continuent à utiliser les engrais
connaissent une croissance constante des maladies, contrairement
à ceux qui utilisent des méthodes de fertilisation biologiques.

Depuis 1954, notre apport nutritionnel a manqué de soufre à cause


de l’utilisation d’engrais chimiques et du raffinage des aliments.
Comme ces substances chimiques profitent à l’agrobusiness, à la
médecine, aux assurances ainsi qu’aux décideurs de notre
alimentation, nous ne sommes pas près d’en finir avec elles.
Cependant, nous pouvons régénérer notre cycle du soufre avec le
méthyl-sulfonyl-méthane pur cristallisé, en nous assurant que ce
soufre n’a pas subi le même traitement que notre alimentation.

POSOLOGIE
1 cuillère à café rase 2 fois par jour.
À prendre au lever et au coucher ou entre les repas (cure de
cinq semaines).

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66

MENOPHYT
Une hormonothérapie naturelle de la femme

L’équilibre hormonal de la femme présente une incidence


déterminante sur deux axes de sa santé : le syndrome prémenstruel
et la ménopause.
Le syndrome prémenstruel se déroule dans les dix jours qui
précèdent les règles et peut donner lieu à divers gonflements,
prise de poids, maux de tête, mal au dos, irritabilité, dépression,
gonflement et sensibilité des seins, fatigue, perte de libido (par
drôle, hein ?). Ces signes d’une dominance œstrogène peuvent
évoluer en dépôts graisseux sur les hanches et les cuisses (aïe !),
prise de poids croissante (aïe, aïe !), fibromes utérins, seins
fibrokystiques (aïe, aïe, aïe !) – et précipitation du processus par
une envie constante de sucreries !
La préménopause et la ménopause présentent aussi des
symptômes bien connus de beaucoup de femmes, du genre
bouffées de chaleur, irritabilité ou fatigue chronique,
décalcification, formations kystiques, fibrome utérin,
endométriose, sécheresse vaginale, développement pileux, mais
tout cela n’est pas un passage obligé comme le laissent à penser les
dogmes médicaux officiels.

PETITS RAPPELS SUR LE CYCLE


MENSTRUEL
Les œstrogènes, du latin œstru qui signifie « fertilité », sont
sécrétés pendant la première semaine qui suit les règles. Ils
commandent la prolifération de la muqueuse vaginale et augmentent
la sécrétion des mucus en vue de recevoir l’œuf. D’une façon
générale, les œstrogènes définissent tous les aspects de la
féminité.
Au bout de douze jours, le corps jaune des follicules ovariens se
met à sécréter de la progestérone avec un pic de 20 mg par jour.
C’est la deuxième partie du cycle. S’il y a grossesse, le placenta
reprendra la production de progestérone et les quantités pourront
aller jusqu’à 400 mg par jour pendant le premier trimestre.

L’INDISPENSABLE ÉQUILIBRE
ŒSTROGÈNE/PROGESTÉRONE
Une connaissance approfondie de ce sujet a permis de définir que
les œstrogènes doivent toujours être compensés par des apports de
progestérone naturelle, car, pendant qu’elle augmente la sensibilité
des récepteurs d’œstrogène, elle en annule les effets indésirables.
Or il se produit que notre alimentation plus ou moins dénaturée de
l’agriculture moderne prive la femme de la progestérone naturelle
contenue dans plus de cinq mille plantes connues. Aussi, chez les
peuples dont le mode alimentaire est riche en légumes frais de
qualité (bio), il n’existe pas de troubles dus aux déficiences en
progestérone.

Effets des œstrogènes


• Ils permettent l’afflux d’eau et de sodium mais peuvent, par excès,
provoquer hypertension et rétention d’eau.
• Ils entraînent une hypoxie cellulaire.
• Ils s’opposent à l’action de la thyroïde.
• Ils favorisent la libération des histamines.
• Ils favorisent la coagulation du sang, augmentant le risque
d’embolie (pulmonaire par exemple).
• Ils épaississent la bile.
• Ils causent une rétention de cuivre et une perte de zinc.

Non contrecarrés par la progestérone


• Ils diminuent la libido.
• Ils favorisent les kystes aux seins (mastoses).
• Ils favorisent les fibromes de l’utérus.
• Ils favorisent le cancer du sein et de l’utérus.

Par contre, côté progestérone


• Elle maintient la phase sécrétoire de l’endomètre.
• Elle protège contre les kystes fibromateux des seins.
• Elle aide à l’utilisation de la graisse.
• C’est un diurétique naturel.
• C’est un antidépresseur naturel.
• Elle facilite l’action de l’hormone thyroïdienne.
• Elle normalise la coagulation sanguine.
• Elle rétablit la libido.
• Elle normalise le sucre sanguin.
• Elle normalise le cuivre et le zinc.
• Elle assure une bonne oxygénation cellulaire.
• Elle prévient contre le cancer de l’utérus.
• Elle stimule les ostéoblastes qui commandent l’ossification.
• Elle est nécessaire à la survie de l’embryon.
• Elle est précurseur de la production au niveau des surrénales.

Nota Chez l’homme, la testostérone remplit les mêmes


fonctions que la progestérone chez la femme.
LA VICTOIRE DE LA PUBLICITÉ
SUR LA SCIENCE
La médecine contemporaine s’obstine étrangement à concentrer
tous ses efforts dans la croyance unique que les œstrogènes sont le
traitement clé de l’ostéoporose des femmes alors que ce
phénomène est multifactoriel et que les ouvrages médicaux les plus
pointus nient ce fait.
Cela n’a pas empêché l’industrie pharmaceutique d’y voir un marché
potentiel de l’ostéoporose et d’exploiter cette occasion pour vendre
ses hormones brevetées qui n’ont rien à voir avec les hormones
végétales naturelles.
Les médecins furent bombardés de campagnes publicitaires par des
symposiums promotionnels déguisés en formation médicale
continue, par des visites personnelles de vendeurs
pharmaceutiques, par des échantillons gratuits, par des références
d’études médicales subventionnées par les industries elles-mêmes.
C’est ainsi que la majorité des médecins sont convaincus et
proclament que les œstrogènes sont les seuls facteurs efficaces
dans la prévention de la perte osseuse et du cancer de l’endomètre.
Pendant ce temps, tout le monde ignore les travaux de
J. C. Prior qui a fourni, dans Spinal Bone Loss and Ovulatory
Disturbances la preuve sérieuse que la perte osseuse se produit
chez les femmes en manque de progestérone malgré des
niveaux adéquats d’œstrogènes.

LES PROGESTATIFS INDUSTRIELS


ET LEURS MISÈRES
Qu’appelle-t-on progestatifs ?
Le Dr John Lee les définit comme suit : tout composé autre que la
progestérone naturelle, capable de maintenir la phase sécrétoire de
l’endomètre humain.
Sur les sept molécules les plus couramment utilisées, le corps
central reste identique à la progestérone, mais les modifications de
radicaux du groupe acétate ou éthinyle, par exemple, changent le
message aux cellules cibles, entraînant des effets secondaires et
contre-indications multiples.
Si nous nous référons aux PDR américains (Physicians Desk
Reference), nous pouvons mesurer l’ampleur de l’imposture
avec la médroxyprogestérone acétate :
Avertissement
• Risque accru d’anomalies de naissance (cœur et membres) si la
prise a lieu pendant les quatre premiers mois de la grossesse.
• Cesser toute prise s’il y a perte de vision soudaine ou partielle.
• Ce médicament passe dans le lait maternel, les conséquences
sont inconnues.
• Peut entraîner une thrombophlébite, une embolie pulmonaire ou
une thrombose cérébrale.
Précaution d’emploi
• Peut causer rétention d’eau, épilepsie, migraine, asthme,
dysfonctionnement cardiaque ou rénal.
• Peut causer des saignements ou des irrégularités menstruelles.
• Peut contribuer à une dépression.
• Peut diminuer la tolérance au glucose. Les patients diabétiques
doivent être suivis de près.
• Peut accroître les risques de thrombose liés à la prise
d’œstrogènes.
Effets indésirables
• Peut causer une sensibilité des seins et une galactorrhée.
• Peut entraîner urticaire, prurit, œdème ou éruption cutanée.
• Peut causer de l’acné, de l’alopécie et de l’hirsutisme.
• Peut entraîner une modification de poids.
• Risque d’érosion des vertèbres cervicales.
• Risque de jaunisse due
à une cholestase.
• Risque de dépression mentale, de pyrexie, d’insomnie ou
de somnolence.
• Quelques réactions du type anaphylactique.
• Thrombophlébite et embolie pulmonaire.
• Saignement ou aménorrhée – règles modifiées.

En association avec les œstrogènes, on a pu constater


• Élévation de la pression sanguine, maux de tête, vertiges,
nervosité, fatigue.
• Modification de la libido.
• Hirsutisme.
• Diminution du taux d’hormones thyroïdiennes T3.
• Modification de l’appétit.
• Cystite.
• Érythème multiforme, érythème noueux.
• Éruptions hémorragiques, démangeaisons.

HORMONOTHÉRAPIE ET CRISE
CARDIAQUE
Deux études publiées en mars 1997 dans Nature Medecine et dans
The Journal of the American College of Cardiology ont montré que la
médroxyprogestérone acétate provoquait un spasme de l’artère
coronaire pouvant engendrer une crise cardiaque alors que la
progestérone naturelle, au contraire, prévient les spasmes
coronariens.
La source principale utilisée par les industriels est l’igname qui
contient un stérol nommé la diosgénine. Malheureusement, ce
produit est souvent transformé chimiquement pour fabriquer des
produits de synthèse (brevetables). L’idéal est d’utiliser
directement le produit, nommé Yam (que l’on trouve dans le
soja).

Nota Le placenta des femmes est une véritable usine à


progestérone. C’est une des raisons pour lesquelles on le
récupère dans les cliniques d’accouchement (alors que l’on
prétend que c’est un « déchet organique » devant être
détruit !).

J’en profite pour rappeler ici le scandale des hormones tirées de


l’urine des juments gravides au laboratoire Prémarin :
Plus de cent mille juments sont immobilisées debout pendant tout
le temps de leur gestation, c’est-à-dire onze mois, coincées dans
des box obscurs, ne pouvant ni bouger ni se coucher, avec une
sonde 24 heures sur 24 dans l’urètre et une poche pendue au
plafond pour récolter l’urine.
L’irritation de la sonde leur provoque une souffrance permanente ;
par ailleurs, en raison de leur immobilité absolue elles sont
couvertes d’escarres et elles ont des œdèmes tellement importants
aux pattes qu’elles deviennent incapables de marcher. Le
raffinement de la torture est de les maintenir en état de soif
permanente afin de récupérer une urine plus concentrée pour
faciliter l’extraction des hormones.
Ces juments, battues lorsqu’elles n’obtempèrent pas de bonne
grâce aux injonctions, sont tellement épouvantées qu’il arrive
qu’elles avortent après des mauvais traitements. Après avoir mis
bas, elles sont abattues pour la boucherie (la bonne viande que
voilà !) ou repartent pour un tour selon leur degré de dégradation.
On ne faisait pas mieux à Auschwitz.
Peu de médecins savent qu’ils collaborent par leurs inconscientes
prescriptions à cette épouvantable barbarie. Ni Brigitte Bardot ni les
différentes associations pour la défense des animaux, malgré les
multiples lettres et pétitions d’indignation envoyées au ministère de
la Santé et au laboratoire Prémarin, n’ont abouti : le marché est trop
porteur !

Nota Lorsqu’une femme laisse distiller dans l’intimité de


son corps les produits de telles souffrances physiques et
morales d’un animal noble et sensible, comment penser
qu’elle puisse, au-delà d’un bénéfice illusoire, recevoir autre
chose qu’une immonde souillure qu’elle devra digérer et
éliminer si elle en est capable. Il n’y a qu’à voir le nombre
de dépressions nerveuses parmi les femmes en cours
d’hormonothérapie.

MENOPHYT : SOLUTION NATURELLE…


ET NON CRUELLE
Composition
• Le yam est une plante grimpante cultivée dans de nombreuses
régions tropicales. Il est connu pour réduire les bouffées de chaleur
et l’irritabilité dues à la ménopause.
• Le cimicifuga est un arbre originaire du Canada. Les racines de
ces deux plantes, renfermant respectivement des glucosides et
des diosgénines, sont universellement reconnues pour leurs vertus
permettant de limiter ou supprimer les désagréments liés à la
ménopause.
• Y sont ajoutés 3 % de deux additifs indispensables non
dangereux : du stéréate de magnésium pour ne pas bloquer les
machines de fabrication, et de la gomme d’acacia.
INDICATIONS ET POSOLOGIES DE
MENOPHYT
• Troubles de la ménopause (plus de règles), 3 gélules par jour.
• Bouffées de chaleur : 3 gélules par jour pendant un mois – si les
bouffées reprennent, renouveler un mois et ainsi de suite jusqu’à
résolution complète.
• Ostéoporose : 3 gélules par jour pendant 4 mois – contrôler le
résultat par densitométrie osseuse.
• Syndrome prémenstruel : (bouffées de chaleur, agacement) : 3
gélules du 5e au 25e jour du cycle.
• Kystes ovariens : entre le 5e et le 26e jour du cycle pendant deux à
trois cycles – suffisent la plupart du temps pour faire disparaître les
kystes.
• Fibrome : entre le 12e et le 26e jour du cycle.

Nota Les fibromes se dessèchent souvent d’eux-mêmes


après la ménopause.

• Seins fibrokystiques : durant les 2 semaines précédant les règles


pendant 2 à 3 mois.

Continuer si nécessaire jusqu’à résolution (cure de cinq semaines).

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ARGENT COLLOÏDAL
Un antibiotique universel naturel

L’ARGENT ANTISEPTIQUE
À TRAVERS LES SIÈCLES
À des époques reculées de l’Antiquité où l’on n’avait aucune idée de
l’existence des bactéries et des virus, on utilisait déjà les propriétés
germicides et bactéricides de l’argent-métal.
• Grecs, Perses et Romains utilisaient des récipients en argent pour
stocker divers liquides (eau, vin, etc.) destinés aux souverains et à
l’aristocratie. Ces liquides conservaient ainsi leur fraîcheur et leurs
qualités plus longtemps que dans d’autres récipients. L’argent
servait aussi à fabriquer des ustensiles de table et de cuisine, une
tradition qui s’est perpétuée jusqu’à nos jours. Il semble qu’ingérer
ainsi régulièrement d’infimes particules d’argent contribuait à
renforcer l’immunité.
• Les Macédoniens plaçaient des plaques en argent sur les
blessures pour aider une cicatrisation saine et rapide.
• Hippocrate vers 400 av. J.-C. enseignait que la fleur d’argent, une
poudre ultrafine, cicatrisait les blessures ulcérées.
• Avicenne (980-1037), médecin et philosophe persan, utilisait
l’argent pour purifier le sang, entre autres sous forme de poudre et
de pilules argentées.
• Paracelse (1493-1541), l’un des plus célèbres alchimistes et
médecins de la Renaissance, considéré comme le père de
l’homéopathie et le précurseur de la toxicologie, enseignait l’usage
médical de l’argent.
• Les médecins chinois utilisaient l’argent dans la fabrication de
toniques à base de plantes et pour traiter les infections,
suppurations chroniques, blessures septiques, fièvres et sinusites.
• Pendant la guerre de 1914-1918, des feuilles d’argent étaient
utilisées pour combattre l’infection des blessures, ce qui renouait
avec la lointaine tradition des Macédoniens.
• En 1938, on comptait plus de quatre-vingt-dix préparations
médicales brevetées à base d’argent et parmi les fabricants, on
notait le nom de grandes entreprises pharmaceutiques comme
Merck, Schiff ou Park Davis & Co.
C’est certainement la tradition du thé britannique – de l’eau bouillie
servie dans des théières d’argent – qui a permis à la Grande-
Bretagne de survivre aux terribles miasmes de ses colonies, tant en
Inde qu’à Hong Kong et partout ailleurs.
Il était courant de placer des pièces d’argent au fond des
récipients contenant du lait ou des aliments pour en préserver la
fraîcheur, une méthode adoptée au XIXe siècle par les pionniers
américains. Enfin, qui n’a eu connaissance de la tradition de nos
grands-parents où les parrains et marraines des bébés baptisés
apportaient en cadeau pour l’enfant une petite cuillère et un gobelet
en argent ?
Le secret des lignées royales de « sang bleu »
Ce fut une croyance bien entretenue affirmant que le sang bleu était
la preuve d’un don de droit divin permettant de régner (ex. : lignée
capétienne, maison Windsor, etc.). En fait, ces lignées princières
mangeaient et buvaient dès leur naissance uniquement dans des
couverts d’argent ; or, à la longue, leur sang se chargeait en sels
d’argent, d’où sa coloration bleutée (qui n’avait rien à voir avec le
divin). En fait, ce phénomène sans conséquences s’appelle
« l’argyrisme », classant celui-ci actuellement comme une maladie
plus ou moins redoutable, afin de dissuader les gens d’utiliser
l’argent (qui entre en concurrence directe avec les antibiotiques).

Or on sait maintenant qu’aucun germe, aucune bactérie ne peut


survivre au contact de l’argent.
LA DÉCOUVERTE DE L’ARGENT
COLLOÏDAL
Le bien-fondé de ces pratiques populaires a été démontré par les
recherches modernes. On a pu déterminer que l’argent métallique
se dissout dans l’eau à un taux d’environ dix parties par milliard de
molécules d’eau (10 ppm), soit dix microgrammes par litre, et que
cette dose pourtant extrêmement faible (0,01 ppm) tue les
colibacilles et les salmonelles. C’est le principe même de l’argent
colloïdal.
• En 1893, Karl von Nägeli, un botaniste suisse, rapporta que des
bactéries mises en contact avec une solution de nitrate d’argent
titrée à 10 ppm (argent colloïdal) mouraient en trois ou
quatre minutes.
• En 1897, le Dr Benno Credé introduisit l’usage en médecine de
l’argent colloïdal, de l’argent sous forme de particules
microscopiques dispersées dans l’eau, spéculant que l’argent
colloïdal pourrait posséder les propriétés germicides des sels
d’argent sans en avoir la toxicité. Par la suite, les colloïdes d’argent
furent largement employés par voie interne pour lutter contre
diverses infections bactériennes (septicémie, fièvres
rhumatismales, arthrite blennorragique, diphtérie, méningite
cérébro-spinale, etc.).
• En 1929, le Dr Albert Schweitzer rapporta que tous les
pathogènes se trouvaient éliminés quand l’eau était traitée avec
des particules d’argent porteuses d’une charge électrique. Le
terme argent colloïdal n’était pas encore en usage, l’eau positive
non plus.

Il démontra également que ce traitement n’était pas nocif vis-à-vis


des micro-organismes bénéfiques.
• Aujourd’hui, les meilleurs filtres à eau emploient l’argent pour
éviter la contamination des bougies filtrantes et de nombreuses
compagnies aériennes utilisent ce filtre à bord de leurs avions.
• La Nasa a choisi un système de traitement de l’eau à base de
colloïdes d’argent pour ses navettes spatiales. Les Russes
utilisent également l’argent colloïdal pour stériliser l’eau à
bord des navettes spatiales.
• Aux États-Unis, certaines villes ont choisi l’argent pour le
traitement des eaux usées et des piscines. Au Nebraska, on a
démontré l’efficacité de l’argent colloïdal en décontaminant un
bassin volontairement pollué par le colibacille. Passant dans des
filtres équipés d’électrodes d’argent, cette eau a été totalement
purifiée en l’espace de trois heures.
• Des études ont révélé que les réseaux internes de distribution
d’eau dans les hôpitaux étaient les principaux responsables de la
« maladie du légionnaire », une espèce de pneumonie, acquise à
l’hôpital. La plupart des grands hôpitaux américains ont installé des
systèmes d’ionisation argent-cuivre, qui ont permis d’éradiquer la
Legionella pneumophila de leurs réseaux d’eau chaude. Ces
systèmes sont bien sûr parfaitement homologués par les autorités
concernées.

UN ANTIBIOTIQUE UNIVERSEL
En référence aux communications scientifiques médicales, l’argent
sous la forme colloïdale peut se rapprocher de l’action d’un
antibiotique à large spectre. Sa présence initie une enzyme, laquelle
agit localement envers chaque bactérie, chaque unicellulaire, chaque
champignon et chaque virus par modification de leur équilibre acido-
basique, et y installe une résistance externe.
Par cela, ces organismes deviennent inactivés dans un temps de
contact d’environ six minutes, parfois moins. Ils régressent dans
leur cyclogénie, puis meurent. Cela a été vérifié par le laboratoire
de UCLA (université d’État de Californie) et par les travaux du
Dr Robert O.Becker au centre médical universitaire de Syracuse
(New York, États-Unis).
Les microbes polymorphes, ainsi que les mutants, sont également
sensibles à ce colloïde.
La majorité des antibiotiques, sur prescription médicale, ne tue
qu’une partie des agents causant des maladies, alors que l’argent
colloïdal est efficace contre environ six cent cinquante maladies
(travaux du Dr Henri Crooks).
Les vétérinaires trouvent là une solution pour le parvovirus du
chien et d’autres maladies des petits et gros animaux. La solution
d’argent colloïdal est utilisable aussi bien comme traitement curatif
que comme prophylactique (préventif). Ce bouclier naturel renforce
les défenses de l’organisme.

L’ARGENT CHÉLATEUR DU MERCURE


Il est bien connu que l’argent et le mercure ont une grande affinité ;
d’ailleurs, les amalgames dentaires classiques (plombages) sont
composés d’alliages contenant entre autres du mercure et de
l’argent. Or on a pu constater récemment que cette affinité crée un
tropisme réciproque au niveau cellulaire ; ce qui fait que l’argent
sous forme colloïdale se comporte comme un excellent chélateur du
mercure. La preuve en est que l’on retrouve du mercure dans les
urines des personnes mercurisées qui prennent cet argent
colloïdal.

APPLICATIONS ET INDICATIONS
DE L’ARGENT COLLOÏDAL
• Amygdalite
• Angine
• Aphtes
• Conjonctivite (en externe)
• Désinfectant des ustensiles de cuisine, de chirurgie, de salle
de bains et de l’eau de boisson
• Épidémies (préventif)
• Immunité (renforce)
• Oreilles (inflammation)
• Plaies (désinfection)
• Sclérose en plaques
• Verrues (certaines)

COMMENT UTILISER L’ARGENT


COLLOÏDAL ?
En usage interne
Adultes : 1 cuillère à soupe (une cuillère = 5 ml) 3 à 4 fois par
jour, garder quelques minutes en bouche avant d’avaler.
En cas d’affection aiguë ou lourde : 1 cuillère à soupe toutes les
heures.
Enfants : 1 cuillère à café, 3 à 4 fois par jour.
En usage externe
• En application directe sur les plaies ou abrasions de la peau,
contre l’eczéma, brûlures, piqûres de moustiques, l’acné, les
verrues, les mycoses et les plaies ouvertes.
• En vaporisations, pour le nez et la gorge.
• En inhalations, pour les problèmes pulmonaires.
• En lavements intestinaux ou vaginaux : ajouter 2 cuillères à café
dans l’eau de lavement.
• En gargarismes dans les maladies septiques de la bouche
(pyorrhées, amygdalites, aphtes), et contre toutes les
inflammations de la cavité buccale.
Pour les cibles suivantes
• Yeux : 1 goutte dans chaque œil, plusieurs fois par jour contre les
états inflammatoires et irritatifs (conjonctivites). Les lentilles de
contact ne sont pas un obstacle.
• Oreilles : quelques gouttes dans les oreilles.
• Sinus infectés : vaporisation ou gouttes dans le nez.
• Purifier l’eau de boisson : mettre 1 cuillère à café d’argent
colloïdal par litre d’eau et attendre 10 minutes avant de la boire.
• Animaux : quelques gouttes sur les zones atteintes (parasites).
• Plantes : en vaporisation pour combattre les attaques de bactéries,
virus et champignons, et à ajouter en plus à l’eau d’arrosage
(1 cuillère à soupe pour 250 ml d’eau).

COMMENT OBTENIR DE L’ARGENT


COLLOÏDAL ?
Bien sûr, la solution de facilité est d’aller sur Internet pour en acheter
du tout prêt ; il y a des tas de fournisseurs qui se vantent d’avoir le
meilleur. En fait, il y a plusieurs zones d’ombre :
1.l’eau doit avoir un très léger goût métallique – il se vend de
l’argent colloïdal qui n’a pas plus de saveur que de l’eau pure ;
2
. il peut se produire le contraire avec des solutions qui affichent
avec fierté 15 ou 20 ppm (parties par milliard) alors que les
études ont montré que c’est entre 5 et 10 ppm que cela marche
le mieux ;
3
. il faut savoir que les microagglutinats colloïdaux sont d’autant
plus efficaces qu’ils sont petits, et par effet inverse, moins
efficaces s’ils sont gros. Or cette grosseur est proportionnelle au
courant affiché lors de l’électrolyse. Il est impossible de savoir
lorsqu’on achète le produit, si pour des raisons de cadence,
l’ampérage a été plus ou moins poussé ;
4
. les flacons se vident vite surtout quand plusieurs membres de la
famille piochent dedans, ce qui représente un coût
d’abonnement au produit assez conséquent.

Alors, la bonne solution est de fabriquer le produit soi-même.

Il existe en France un appareil de fabrication pour particuliers : le


Collargyr qui est automatique. Bien sûr, le prix de 325 € peut faire
hésiter certains, mais il faut comprendre que ce genre d’appareil est
conçu pour durer des dizaines d’années. Les anodes d’argent
s’usent si peu qu’il semble qu’elles sont toujours intactes après des
années d’utilisation. Vous pouvez fabriquer de « l’argent liquide »
sans limite pour vous, votre famille, vos amis. Enfin, vous pouvez
aussi vous mettre à plusieurs pour acheter un tel appareil…

LE COLLARGYR
Cet appareil utilise des courants de très basse tension de l’ordre de
quelques volts, donc inférieurs aux tensions habituelles à cet usage.
La conséquence est que la réaction est plus lente, mais génère des
particules d’argent de l’ordre de deux à trois nanomètres au lieu des
dix à cinquante habituels. Néanmoins, la tension est un peu boostée
au départ afin d’amorcer l’électrolyse.
Le Collargyr est muni d’un système de détection de haute
précision qui arrête la réaction à la concentration voulue, qui est
réglée à 5 ppm.
L’idéal est de faire l’électrolyse dans un pot à confiture standard
(500 ml). Il faut de l’eau distillée (se vend en pharmacie). Décaper
chaque fois l’oxydation des deux électrodes. L’appareil s’arrête au
bout de quinze minutes environ.
Mettre l’eau « argentée » dans un flacon propre brun ou blanc que
l’on entourera de papier alu (protection de la lumière). Dans ces
conditions, l’argent colloïdal peut se garder pendant six mois et plus.
Un jaunissement de l’eau avec le temps signifie que le produit n’est
plus bon.
L’argent utilisé pour les électrodes est d’une exceptionnelle pureté,
puisqu’il titre à 99,99 %. Il faut savoir que les électrodes des
appareils courants titrent habituellement à 99,90 %, ou au mieux
99,95. Or les 0,10 % restants sont composés d’impuretés
métalliques résiduelles telles que du cuivre, du plomb, du
bismuth et quelques produits qui sont utilisés pour l’élaboration de
l’argent. Noter que le prix de ces tiges d’argent extrapur entre
pour une bonne part dans le prix de revient de l’appareil.

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CARBOPHYT
Antidote universel de tous les poisons :
un indispensable de chaque foyer

Il est consternant de constater qu’à notre époque où le problème


crucial de la santé publique mondiale est l’intoxication, l’incroyable
efficacité du charbon activé et son mode d’utilisation, médicalement
connus et reconnus depuis plus d’un siècle, aient été occultés dans
le domaine public ainsi que dans l’information thérapeutique
générale.

PETITES HISTOIRES
DE « PRESTIDIGITATION MÉDICALE »
Cela se passe en 1813. Un certain Bertrand, chimiste français, fait
une démonstration publique. Il tient une fiole qui contient 5 g de
trioxyde d’arsenic (une cuillère à thé comble), de quoi tuer
cent cinquante hommes. Il lève le bras et porte le breuvage à ses
lèvres. Les effets inexorables de cette drogue : nausée,
vomissement, diarrhée, brûlure intense de la bouche et de la gorge,
crampes atroces dans le ventre, déshydratation rapide et mort.
Devant les yeux médusés et horrifiés de la foule, Bertrand vaque
tranquillement à ses affaires et ne présente aucun trouble.
En 1831, un pharmacien de Montpellier nommé Touéry effectue le
même tour mais, cette fois, devant l’Académie française de
médecine. Il avale 1 g de strychnine (dix fois la dose mortelle). Ce
poison foudroie un homme en dix minutes dans des convulsions
incontrôlables et un arrêt respiratoire au milieu d’un rire nerveux
effrayant, dont le spectacle ne s’oublie jamais. Pourtant, Touéry reste
calme et détendu et n’a aucun trouble, à la stupéfaction totale des
professeurs.
Le secret ? Bertrand et Touéry avaient tous deux étudié l’action du
charbon végétal sur les poisons, en particulier avec des rats – et tous
deux ont voulu démontrer qu’ils avaient découvert l’antidote
universel. Ce qui a pu être vérifié par la suite. En ce qui concerne
Touéry, celui-ci a rapporté qu’il avait préalablement enrobé la
strychnine dans 15 g de poudre fine de charbon végétal. Il continua
ses travaux de recherche jusqu’en 1940. Patience et longueur de
temps – et ce n’est qu’en 1984 que le JAMA (Journal of the
American Medical Association) publia deux articles sur l’usage du
charbon activé contre l’empoisonnement à la théophylline (broncho-
dilatateur) et au phénobarbital.

UN DÉFERLEMENT DE
CONFIRMATIONS
À TRAVERS L’HISTOIRE
• Le papyrus Ebers (1550 avant J.-C.) mentionne déjà la poudre de
charbon.
• Hippocrate (400 avant J.-C.) et Pline (50 avant J.-C.)
recommandent le charbon de bois dans le traitement de
l’épilepsie, du vertige, de la chlorose et de la « maladie du
charbon » contractée par les tanneurs.
• En 1793, D. M. Kehls conseille dans son mémoire l’usage du
charbon pour éliminer les odeurs de la gangrène, purifier l’haleine,
les fièvres putrides et tous les états bilieux.
• En 1773, Scheele explique le phénomène d’absorption des gaz par
le charbon.
• En 1785, Lowitz montre que le charbon est capable de décolorer
de nombreux liquides.
• En 1865, Hunter découvre les performances du charbon de noix
de coco pour absorber les gaz.
• En 1862, Stenhouse est le précurseur des masques à gaz (au
charbon) qui furent utilisés pendant la guerre 1914-1918.
• En 1846, Garrod publie en Angleterre un rapport sur la
neutralisation de la strychnine administrée à des chiens, des chats
et des lapins, expérimente ensuite la neutralisation de l’opium, de
la morphine, de l’aconitine, de l’ipéca, de l’émétine, de la vératrine,
de la cantharidine, de la ciguë, de la stramoine, du delphinium, du
bichlorure mercurique, du nitrate d’argent et des sels de plomb.
• En 1848, Rond reprend les expériences de Garrod sur les
humains. Il existe plus de quarante exposés sur le sujet, établis
entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle.

LES APPLICATIONS RÉCENTES


• En milieu hospitalier, les salles d’opération sont assainies par des
filtres à charbon pour neutraliser les gaz anesthésiques
(halothane, éther, cyclopropane, méthoxyflurane, propanidide,
protoxyde d’azote).
• Les produits d’assainissement de l’eau : chlore, ozone,
permanganate, bioxyde de chlore… tous toxiques, peuvent être
éliminés facilement par des filtres à charbon. On notera que le
charbon végétal est insoluble dans l’eau. Depuis dix ans, plus de
cinq cents articles médicaux (uniquement en anglais !) ont offert
plus de dix mille références scientifiques sur le sujet.
• Enfin, d’autres chercheurs ont découvert l’utilité du charbon en cas
d’insuffisance rénale sévère.

Le charbon est probablement l’agent de décontamination le plus


simple, le plus valable et le moins cher que nous connaissions.
Mais le public et les malades, et même beaucoup de médecins,
ne le savent pas.
SECRETS DE FABRICATION
DU CHARBON ACTIVÉ
Il est obtenu en deux étapes :
• La carbonisation : on calcine du bois en le chauffant à une
température variant entre 600 et 900 °C en l’absence d’air.
• L’activation : le bois est recalciné aux mêmes températures, mais
cette fois, en présence de vapeur d’eau, d’air ou de gaz oxydants.
Cela permet le développement d’un réseau de micropores qui
seront de véritables pièges à molécules indésirables. L’extrudation
de la poussière de charbon développe une surface de contact
phénoménale : 1 cm3 de charbon pulvérisé présente une surface
totale de 1 km2 et 500 g de charbon contiennent 50 000 millions
de pores.

Cela explique ses performances : il peut absorber 97 fois son


volume de gaz carbonique, 165 fois son volume d’anhydride
sulfureux et 178 fois son volume d’ammoniac…

LE TRAVAIL DANS L’INTESTIN


L’intestin étant une paroi poreuse, il s’y effectue un travail de dialyse
par le principe de l’osmose. Cela veut dire qu’il se produit un
équilibre entre les concentrations de produits solubilisés de part et
d’autre de la paroi. Donc, si l’intestin est encombré, les réseaux
lymphatiques ne peuvent dégorger dans celui-ci. Le charbon, en
libérant l’intestin, active la désintoxication de la lymphe et du
sang par le biais du pompage osmotique.
Le Dr Denis Burkitt, après avoir observé les « besoins » de milliers
d’Africains et d’Anglais, a tiré des conclusions étonnantes. L’Africain
rural élimine 80 % du bol alimentaire en 32 heures en moyenne, le
jeune Anglais en 72 heures, le vieil Anglais en 360 heures
(quinze jours !). Pourquoi ?
L’Africain mange essentiellement des aliments à fibres complètes et
ses selles pèsent entre 300 et 500 g. L’Anglais au régime raffiné a
des selles journalières de 110 g. Plus un individu est carnivore et
lactivore, plus ses selles diminuent (jusqu’à 50 g par jour).

L’Africain aux selles abondantes ne connaît pas l’obésité,


l’appendicite, les calculs biliaires, les diverticules, la hernie hiatale,
les varices, les hémorroïdes, le cancer du côlon, du rectum, la
thrombose, le diabète, l’hypoglycémie. Il faut néanmoins considérer
qu’il faut normalement cinq jours pour éliminer 100 % des résidus –
ce qui fait que des sécrétions allergiques peuvent mettre jusqu’à
six jours pour cesser, à la suite d’une seule prise d’allergène.

UNE POMPE À POISONS


QUASI UNIVERSELLE
La liste est longue. Elle concerne :
• les stupéfiants, les médicaments dangereux, les alcaloïdes, les
additifs alimentaires, les produits chimiques agricoles, les métaux
lourds, les gaz toxiques, les détergents, les solvants organiques, la
chimiothérapie.

Sont aussi concernés :


• les staphylocoques, la salmonelle, les virus de la variole, de la
fièvre aphteuse, les toxines bactériennes telles que celles de la
diphtérie, du tétanos, du botulisme, du perfringens, les amines
toxiques de décomposition.

Mais il y a encore :
• les venins de serpent, d’abeille, de guêpe, de frelon, de taon, de
scorpion, d’araignée, d’anémone de mer, de physalie, d’histamine
du thon, de coquillages, des mycotoxines que l’on trouve dans les
aliments à cause des antibiotiques, et des redoutables aflatoxines.

LE CARBOPHYT EN URGENCE
INTOXICATION
Le Carbophyt est conditionné sous forme de poudre qui n’a pas de
goût. Il est conseillé de boire abondamment car le Carbophyt est
avide d’eau et de liquides, ce qui a tendance à dessécher l’intestin.

En cas d’intoxication sévère

La dose préconisée est de 50 g pour un adulte, de 1 g/kg


pour un enfant. Répéter les prises de 20 à 50 g de Carbophyt
toutes les quatre à six heures pendant un ou deux jours selon la
sévérité de l’intoxication.

La quantité théorique de Carbophyt doit être au minimum égale


à huit fois le poids de toxique ingéré. La marge de dix fois est
souhaitable. Toutefois, dans les intoxications suicidaires, et chez les
sujets comateux, la quantité du toxique est impossible à connaître.
On administre alors entre 100 et 120 g de charbon d’office.

INDICATIONS DE CARBOPHYT
• Alcoolisme : il est intéressant de savoir que 1 g de charbon
(½ cuillère à café) neutralise 60 ml de whisky. À creuser pour les
cures de désintoxication…
• Champignons vénéneux (voir intoxications sévères).
La carbothérapie ne dispense pas de contacter un centre
antipoison
• Cholestérol et triglycérides
• Cirrhose
• Colostomie (anus artificiel)
• Diarrhée nerveuse
• Ébriété
• Empoisonnement grave
• Encéphalopathie hépatique
• Flatulences
• Insuffisance rénale (complications)
• Intestinaux (tous troubles)
• Intoxication grave
• Jaunisse et bilirubine des nouveau-nés – 4,5 g de charbon actif par
jour
• Maladie de Lyme (soulage les poussées)
• Prurit généralisé
• Selles nauséabondes
• Sels biliaires en excès
• Tourista (diarrhée des pays chauds)
• Toxicomanie (tabac, drogues)

À savoir qu’une cuillère à soupe contient en moyenne 5 g de


charbon.

Nota Carbophyt en raison de son extrême finesse est très


hydrophobe. Le mélanger vigoureusement et le laisser un
peu tremper.
Attention En raison de sa grande volatilité, ne jamais
essayer de l’avaler sec, il y a risque d’étouffement.
Le Dr Yatzidis de l’université d’Athènes a signalé en 1961 que 1 g
de charbon peut capter : 9 mg de créatinine endogène, 8 mg d’acide
urique, 1,75 mg de phénols, 0,30 mg d’indican, 1 mg de guanidine,
35 mg d’urée, 0,35 mg d’acides organiques.
Entre quatre et vingt mois de traitement en continu avec des prises
de 20 à 50 g par jour n’ont entraîné aucun inconvénient.

CURE DE DRAINAGE
Les posologies sont évidemment modulables en fonction de chaque
cas. Danièle Starenkyj recommande de commencer par : une
cuillère à soupe aux trois repas pendant quinze jours pour un
adulte – soit 15 g par jour (personnellement je trouve que c’est
beaucoup), puis continuer à raison d’une cuillère à soupe par jour
pendant le mois qui suit, si l’on veut obtenir un drainage cellulaire
profond.
Pour un enfant, remplacer les cuillères à soupe par des cuillères à
café, et s’en tenir à quinze jours en tout pour des cas courants.

Y A-T-IL DES INCONVÉNIENTS


À UN USAGE PROLONGÉ DE
CARBOPHYT ?
Le charbon peut avoir un effet constipant, ce qui est normal vu qu’il
absorbe l’eau et a donc un effet desséchant dans l’intestin. Chacun
peut compenser le cas échéant avec un laxatif doux en fonction de
ses réactions.
De multiples expérimentations ont été réalisées sur des rats, des
moutons, et autres pour voir si le charbon absorbait les nutriments
et provoquait des carences à la longue. Pas du tout, leur sang
conservait toujours le taux adéquat de calcium, cuivre, zinc, fer,
magnésium, phosphore, vitamines… et le pH de l’urine reste
constant. Sur des humains, entre quatre et vingt mois de traitement
en continu avec des prises de 20 à 50 g par jour n’ont entraîné aucun
inconvénient.
Mais il faut savoir que le charbon peut neutraliser des
médicaments chimiques qu’il absorbe tels des poisons – en
particulier, penser aux contraceptifs oraux !
Par contre, le charbon peut être pris pendant la grossesse.

Références
Mon petit docteur de Danièle Starenkyj (auteure du best-seller Le
Mal du sucre), Éditions Orion.
Conditionnement
Le Carbophyt se présente sous forme de poudre, en pot de 200 g.

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69

SANCHLOR
Qui piège tout parasite interne

Ce n’est pas un médicament. Dans le corps humain, cet ion est


pourtant l’un des plus puissants tueurs de maladies infectieuses qui
aient jamais été connus.
Il est une réponse au sida, à l’herpès, aux hépatites, à la
tuberculose et à des dizaines d’autres maladies graves. Le
dioxyde de chlore peut vous donner l’opportunité de sauver des
vies… y compris la vôtre !

La maladie causant le plus de morts pour l’humanité est le


paludisme (malaria) ; cette maladie est habituellement guérie en
quatre heures par ce remède miracle. Cela a été prouvé par des
essais cliniques au Malawi, un pays situé à l’est de l’Afrique. En
tuant le parasite du paludisme dans le corps, il n’y a pas eu un seul
échec. Plus de 75 000 victimes du paludisme ont pris le remède de
son découvreur Jim Humble, et sont maintenant de retour à la
santé.

Après avoir pris le dioxyde de chlore, des patients atteints du sida


voient leur état de santé s’améliorer en trois jours. Si les patients
des hôpitaux africains étaient traités avec ce remède, plus de 50 %
seraient de retour à la maison en moins d’une semaine.

Depuis plus de cent ans, les cliniques et hôpitaux ont utilisé les
ingrédients actifs de ce produit pour stériliser les sols, tables,
équipements et autres objets. Maintenant, la formule adaptée de ce
puissant tueur de germes peut être utilisée pour éradiquer en toute
sécurité les agents pathogènes dans l’organisme humain.

Le dioxyde de chlore agit en quelques heures. Aussi étonnant que


cela puisse être, le système immunitaire peut utiliser ce tueur pour
attaquer les germes, bactéries et virus qui sont dangereux pour
l’organisme, mais sans affecter les bactéries utiles ni aucune cellule
en bonne santé.

QUI EST JIM HUMBLE ?


Jim Humble a fait carrière dans l’industrie aérospatiale en tant
qu’ingénieur avant de se spécialiser dans les extractions minières.
Inventeur d’un procédé permettant d’éviter l’utilisation du mercure
dans les mines, Jim Humble n’a cessé de chercher de nouvelles
méthodes pour protéger la santé des ouvriers exposés dans leur
travail (auteur de quatre livres dans ce domaine).

C’est lors d’une expédition en Amérique du Sud qu’il fut amené à


tenter le tout pour le tout avec son désinfectant favori, du chlorite
de sodium, pour sauver un coéquipier d’une crise mortelle de
malaria. Et cela a marché ! À son retour, il approfondit ses
recherches concernant ce remède pendant plusieurs années, et finit
par l’envoyer à des amis en Afrique qui pouvaient l’utiliser
directement sur le terrain. Par la suite, une mission humanitaire
l’invita en Afrique où il traita personnellement avec succès plus de
deux mille cas de malaria.

Depuis, Jim Humble a œuvré pour diffuser son traitement dans le


monde. Son livre (en anglais) donne tous les détails de son long
parcours. Un chapitre écrit par le Dr Thomas Hesselink établit une
liste de cent soixante publications scientifiques qui décrivent plus de
cent mille observations scientifiques sur une période de quinze
années, testant la formule Jim Humble.

Bien que toutes ces études cliniques aient été effectuées dans les
hôpitaux à travers le monde, les résultats n’ont jamais fait l’objet de
publicité dans la sphère publique à des fins de commercialisation et
de consommation.
• Site de Jim Humble où il est possible de commander son livre :
http://miraclemineral.org.
• Site du Dr Thomas Hesselink, donne accès aux cent soixante
publications scientifiques sur le dioxyde de chlore :
http://bioredox.mysite.com/CLOXhtml/CLOXhome.htm.

QU’EST-CE QUE LE DIOXYDE DE


CHLORE ?
Le remède de J. Humble n’est pas du dioxyde de chlore au départ
mais du chlorite de sodium (ClO2Na) à 28 % – à ne pas confondre
avec un cousin l’hypochlorite de sodium (ClOHNa) qui est tout
simplement de l’eau de Javel. Mélangé à un acide, il produit
brièvement de l’acide chloreux (ClO2 H), lequel produit l’ion
dioxyde de chlore (ClO2––).
Ses utilisations au départ concernent la purification de l’eau,
l’hygiène buccale et, depuis très récemment, certains compléments
alimentaires. Ce fut le principal agent utilisé pour la décontamination
des bâtiments aux États-Unis après les attaques à l’anthrax de 2001.
Après le passage de l’ouragan Katrina en 2005, le dioxyde de chlore
fut largement utilisé pour éliminer les levures dangereuses des
maisons ayant été fortement inondées.
Attention : les ascorbates et les antioxydants pris le même jour
neutralisent l’effet du dioxyde de chlore.
INDICATIONS DU SANCHLOR
Le dioxyde de chlore peut être utilisé pour éliminer les bactéries, les
levures, les champignons, et d’autres agents pathogènes mortels.
En particulier, il est efficace pour les affections suivantes.

Toutes pathologies d’origine virale


• Covid
• Grippe
• Mononucléose
• Hépatites…

Toutes infections d’origine bactérienne


• Infection urinaire
• Infection à salmonella
• Helicobacter pylori
• Staphylocoque
• Streptocoque
• Entérocoque
• Abcès
• Parodontite…

Toutes pathologies d’origine parasitaire


• Graphène (élimination du sang)
• Protozoaires Giardia intestinalis
• Cryptosporidium
• Candida albicans…

Et c’est aussi un traitement efficace pour


• Herpès
• Leucémie
• Maladie de Lyme
• Maladies nosocomiales
• Maladies tropicales
• Sida
• Staphylocoque doré

COMMENT FONCTIONNE
LE DIOXYDE DE CHLORE DANS
L’ORGANISME ?
Les globules rouges transportent l’oxygène à travers le corps et ne
peuvent faire la distinction entre le dioxyde de chlore et l’oxygène.
Après avoir ingéré la solution riche en ions dioxyde de chlore, les
globules rouges deviennent très chargés négativement. Par la suite,
lors de leur périple, ces globules rouges munis de l’ion dioxyde de
chlore rencontrent des parasites, des champignons ou des cellules
malades qui tous ont un pH bas et une charge ionique positive, ceux-
ci sont immédiatement oxydés. Si aucune rencontre de ce type ne
se produit, l’ion dioxyde de chlore sera alors transporté à un endroit
du corps où son oxygène oxydera les poisons et autres agents
pathogènes.
Si rien de tout cela ne se passe, il finira par se détériorer en perdant
un ou deux électrons. Cette perte lui permettra alors de se combiner
avec une substance que le système immunitaire utilise pour
fabriquer de l’acide hypochloreux, qui est capable d’éliminer les
agents pathogènes. L’acide hypochloreux est d’une importance telle
pour le corps qu’en cas de présence diminuée, on parle de
« déficience en myéloperoxydase ». Ce problème concerne de
nombreuses personnes. En cas de maladie, le système immunitaire
a besoin d’une quantité nettement plus importante d’acide
hypochloreux. Le dioxyde de chlore en produit une grande quantité,
tout comme le chlorure de magnésium.
À noter que le dioxyde de chlore élimine les agents pathogènes par
oxydation, une réaction chimique totalement différente de celle
causée par le chlore (chloration). De fait, contrairement à l’eau de
Javel, le chlorite de sodium est un désinfectant inoffensif qui oxyde
aussi les cellules malades sans toutefois abîmer les cellules saines,
cela en raison de leur différence de pH et de charge ionique. Ce type
d’oxydation ne produit pas d’éléments chimiques résiduels néfastes.
Aucun composant du corps humain, y compris la flore intestinale,
n’est affecté négativement par le dioxyde de chlore, à condition de
respecter scrupuleusement les dosages.

PROTOCOLE DE TRAITEMENT
STANDARD
Il faut toujours activer le chlorite de soude avec un acide. Pour cela, il
est possible d’utiliser l’un des acides suivants :
• Vinaigre de cidre.
• Jus de citron fraîchement pressé.
• Acide citrique.
• Acide chlorhydrique (fourni dans le kit Apoticaria).
Prendre un verre vide. Y mettre la première fois une goutte de
chlorite de soude et ajouter deux gouttes ou de jus de citron ou de
vinaigre de cidre. Laisser la réaction chimique s’effectuer – il faut
3 minutes – puis remplir le verre d’eau (non chlorée) et boire
aussitôt.
(Se procurer en pharmacie si besoin des flacons et une pipette pour
compter les gouttes).

Nota Il est possible de laisser activer le produit jusqu’à


dix minutes au maximum. Lorsque l’eau a été rajoutée, il
convient de boire le remède dans la demi-heure qui suit au
maximum, sinon l’efficacité sera perdue.

Déroulement de la cure
1.Toujours démarrer un traitement par une ou deux gouttes, pas
plus. Prendre le remède deux fois par jour après les repas, une
fois le matin, une fois le soir.

2
. Augmenter d’une goutte par jour jusqu’à ce qu’une légère
nausée soit ressentie après absorption du produit.
Si « overdose » prendre immédiatement ½ verre de bicarbonate
de sodium (en pharmacie) dilué à raison de 50 g/l d’eau ou
5 g/100 ml d’eau, ce qui neutralise immédiatement le dioxyde de
chlore.
Reprendre ensuite en réduisant le chlorite d’une ou deux gouttes.
Puis réessayer d’augmenter progressivement le dosage. Si la
nausée revient, réduire à nouveau le dosage et en rester là.
Attention : nombreuses sont les personnes qui, voulant aller vite,
sautent les étapes et se retrouvent vraiment malades ; le
problème, c’est qu’ensuite elles ont un rejet pour le produit et
abandonnent le traitement. Dommage !

3
. Ayant trouvé votre ratio de gouttes admissible par votre
organisme, continuer comme cela une semaine ou deux, puis
réduire à quatre à six gouttes pendant un mois pour un travail
plus en profondeur et une stabilisation. Une fois cette troisième
étape accomplie, la grande majorité des virus, bactéries,
champignons et levures indésirables aura été éliminée de votre
corps.

Enfants
Le protocole pour les enfants est à peu près le même, mais en
proportion pondérale. Commencer par une demi-goutte : pour cela,
appliquer la procédure pour constituer un verre avec une goutte et
vider la moitié du verre avant de le donner à boire à l’enfant. Puis
augmenter progressivement jusqu’à trois gouttes selon la méthode
indiquée plus haut.
Dosage maximum recommandé chez l’enfant : trois gouttes
pour 12 kg de poids corporel.

Dosage préventif en cas d’épidémies


Lorsque l’on n’a pas de pathologie particulière à traiter et que l’on
veut se maintenir au top niveau immunitaire, on peut prendre trois à
quatre gouttes, deux fois par jour (matin et soir).
Ce dosage permet de maintenir les agents pathogènes en état de
faiblesse, et d’effectuer un assainissement organique profond.

REMARQUE FINALE
Si le chlorite semble faire empirer les choses, c’est toujours bon
signe car tout changement est le signe qu’il agit en éliminant les
bactéries, virus, champignons et levures. Ces organismes sont
désintégrés et forment des poisons, lesquels sont la cause de la
réaction dite de Herxheimer. Les symptômes sont généralement :
nausée, maux de tête, fatigue, fièvre légère, diarrhée.

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70

D-MANNOSE
Remède naturel aux cystites E. coli

La cystite, qui est généralement une somatisation du stress, est


surtout un problème féminin, tout simplement en raison du fait que
l’urètre est plus court chez la femme que chez l’homme, ce qui
facilite la remontée des infections.

En fait, il s’agit souvent d’une migration colibacillaire des intestins ; il


faut savoir que ces colibacilles – qui font partie de notre flore
naturelle – sont sensibles à nos états psychiques et peuvent muter
en E. coli pathogènes dans une ambiance de stress soutenu.
Le symptôme majeur de la cystite est une sensation de brûlure en
urinant, mais cela peut être associé à des envies fréquentes, une
urine trouble voire sanguinolente, une poussée ganglionnaire
(adénite), des sueurs profuses, une mauvaise haleine, ou encore des
urines rares avec œdème des jambes.
Quelle est la prescription standard de la cystite en médecine
orthodoxe ? Le Bactrim (ou le Monuril). Et c’est quoi le
Bactrim ? Un antibiotique classique !
Et il fait quoi exactement cet antibiotique ? Il endort
provisoirement la bactérie pathogène, étant simplement
bactériostatique et non bactéricide (couic !).
Résultat : « Merci docteur, j’ai été soulagée rapidement (même
si cela a un peu détraqué mon intestin…). Malheureusement,
mon problème est réapparu au bout de trois semaines ! »
Rien de plus normal au vu ce qui est dit plus haut. Avec
Bactrim, vous avez pris un abonnement… pour le plus grand
plaisir de votre bon docteur qui vous reverra ainsi
régulièrement.
Il y a des années que je distille ce même discours dans mes
journaux, mes ouvrages, et mes conférences, et ce ne sont
pourtant pas les remèdes « qui ne frappent qu’un coup » qui
manquent, en particulier en aromathérapie et en homéopathie.

Petits inconvénients : les huiles essentielles sont assez délicates à


choisir et à utiliser ainsi que d’un coût pouvant être assez élevé.
Quant à l’homéopathie, c’est toujours un peu compliqué, ne serait-
ce qu’au niveau du choix des dilutions, sans compter que pour
échapper au « McDo » peu efficace de Boiron, il faut maintenant
chercher de rares pharmacies homéopathiques, dignes de ce nom.
Fort heureusement, nous disposons maintenant d’un remède
naturel efficace et très simple d’utilisation, spécifique de cette
affection, qui est le D-mannose. Étant donné que le D-mannose
n’est pas un poison, tel le cas des ANTI-biotiques = « contre la vie »,
mais utilise le mécanisme naturel d’attache entre la bactérie E. coli
et le mannose, il ne peut y avoir de processus de résistance qui se
mette en place.
En effet, les parois cellulaires des bactéries E. coli comprennent de
minuscules projections moléculaires (lectines) qui collent comme
une bande Velcro à la vessie et aux voies urinaires, ce qui les rend
très difficiles à éliminer par le flux de l’urine.
La structure moléculaire du D-mannose fonctionne comme l’autre
moitié de la bande Velcro.
La bactérie E. coli est biochimiquement attirée par le D-mannose et
se connecte à elle, de sorte qu’elle peut être rincée en urinant. À
noter que le D-mannose fonctionne pareillement contre le Klebsiella.

QU’EST-CE QUE LE D-MANNOSE ?


Le D-mannose est un monosaccharide en poudre, extrait du mélèze
de façon naturelle. Ses qualités uniques lui permettent de soulager
les symptômes de l’inflammation de la vessie (cystite) en éliminant
la bactérie (E. coli) qui se trouve dans les voies urinaires et dans la
vessie.
Ce remède n’a aucune contre-indication ; il convient même aux
nourrissons.

RECOMMANDATION GÉNÉRALE AU
DÉPART
Proscrire impérativement tous les acidifiants :
• Le café, le vin blanc, le champagne, les oranges, le sucre.
• Les épices chaudes (poivre, piment de cayenne).
• Les viandes rouges et les charcuteries.
• Les yaourts et tous les produits laitiers.

INDICATIONS DU D-MANNOSE
• Cystite
• Prostatite

POSOLOGIES
Crise de cystite aiguë occasionnelle
Prendre une cuillère à café bombée de D-mannose dans un
verre d’eau dès l’apparition des premiers symptômes.
Recommencer une heure après, puis toutes les deux à trois heures,
même la nuit si nécessaire. La crise est généralement jugulée dans
les vingt-quatre heures. Sinon continuer les quelques jours
nécessaires.
Une fois résolu, verrouiller le traitement par une cuillère à café
rase trois fois par jour pendant trois jours, pour stabiliser le
terrain.

Nota 1 Il se dit qu’en cas de cystite, il faut boire beaucoup


(l’eau éteint le feu) – mais avec le D-mannose, il ne faut pas
suivre ce conseil car cela diminuerait la concentration du
produit circulant, et donc son efficacité – donc, simplement
boire selon sa soif.

Nota 2 Il est recommandé de prendre le D-mannose en


dehors des repas ou ¼ d’heure avant car il est partiellement
endommagé par le bol alimentaire.

La cystite de « la jeune mariée » ou de « la lune de miel »


• Prendre une cuillère à café rase de D-mannose une heure avant
« la fête ».
• Uriner immédiatement après « la fête » et prendre une autre
cuillère à café du produit.
• Si en général vous faites une infection le lendemain de la fête (ce
qui est commun), prenez une cuillère à café rase toutes les
six heures.
• Si malgré tout vous sentez une menace de cystite qui commence,
prenez une cuillère à café bombée immédiatement puis une autre
une heure après. En général, cela est suffisant pour stopper une
attaque en cours. Sinon, passez au dosage habituel d’une cuillère à
café rase toutes les trois heures jusqu’à ce que les symptômes
s’estompent, ensuite réduisez la dose de moitié les deux jours
suivants, jusqu’à ce que vous soyez sûre d’être débarrassée de
toute bactérie pathogène.

Nota Il est rare que des hommes soient aussi victimes de


cette affection, mais par contre elle peut apparaître sous la
forme de prostatite pour laquelle le traitement fonctionne
très bien aussi.

Prévention des cystites chroniques


1 cuillère à café de D-mannose dans 1 verre d’eau 3 fois par
jour.
Il est possible d’éliminer totalement les cystites les plus rebelles en
quelques mois.
Néanmoins ne pas oublier – comme il a été dit au début – que
l’origine de la fragilité est au niveau intestinal. Il est donc opportun,
dans ce cas, de faire une petite cure avec un probiotique de votre
choix.

Posologies enfants
Il suffit de réduire les doses proportionnellement au poids en faisant
une règle de 3.

PRÉSENTATION
Les boîtes contiennent 50 g de D-mannose, ce qui représente
vingt cuillères à café rases.

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71

ARGILE
Un remède aussi vieux que le monde

Jade Allègre est un médecin hospitalier qui a fait sa thèse sur


l’argile. Elle a édité un ouvrage, L’Homme et l’Argile, et fait
constamment la promotion de ce remède aussi efficace
qu’économique. Personnellement, je l’ai toujours défini comme
solution de la dernière chance.
Le Dr Allègre a écrit : « Magique ! L’argile agit là où ça fait mal et sur
les raisons du mal : elle calme les brûlures d’estomac en régulant
l’acidité gastrique, absorbe les toxines, les microbes et les gaz.
Comme un buvard, elle “éponge” les virus et l’eau d’une diarrhée, ce
qui en diminue le volume. »

De fait, les pathogènes se trouvent attirés et collés


électriquement par les microparticules d’argile, et donc
neutralisés.

J’ai raconté son expérience sur deux personnes atteintes des


symptômes classiques du Covid dans une news : ils ont été guéris
dans les vingt-quatre heures.
Ce qui est surtout intéressant c’est la remise en ordre stable du
biote intestinal qui, du coup, évitera d’accueillir à nouveau le
Covid ou ses cousins éventuels et donc de risquer des rechutes
récurrentes, cela rendant inutiles des confinements sans fin…

L’argile a toujours été utilisée par les humains : le Dr Allègre rapporte


que les tribus de la forêt amazonienne en font des cures à raison de
700 à 800 g par jour sans problème. On raconte que des rois en
consommaient chaque jour pour pallier un empoisonnement
éventuel (très à la mode dans ces époques). Dans mes voyages en
Égypte et aux Indes où l’on nous recommandait de ne boire que de
l’eau bouillie, je me préparais des bouteilles d’eau du robinet avec
une cuillère à café bombée d’argile et cinq à dix gouttes d’HE de
citron. Les amis se moquaient de ma gadouille, mais contrairement
à eux je n’ai jamais eu de diarrhée.
Instinctivement, les animaux se roulent dans la boue pour leurs
problèmes de peau ou leurs blessures – ils aiment l’eau argileuse.
Le Dr Allègre ajoute que les éléphants savent choisir les meilleurs
sites pour consommer l’argile.

L’argile est source naturelle très riche de minéraux et d’oligo-


éléments ; elle est composée de 60 % de silicates d’aluminium,
mais aussi d’une mine d’oligo-métaux tels magnésium, calcium, fer,
phosphore, sodium, potassium, cuivre, zinc, sélénium, cobalt,
manganèse… Elle peut se présenter sous différentes couleurs selon
les métaux associés, exemples :
• Rouge quand elle est ferreuse (limonite).
• Blanche quand elle est pure (pour la poterie).
• Verte quand elle est cuprique (oxyde de cuivre).

À noter enfin que l’argile, étant légèrement radioactive, capte


les radioparticules – elle protège des rayons ionisants (rayons X,
etc.) et répare les dégâts.

INDICATIONS DE L’ARGILE VERTE FINE


• Bactéries indésirables
• Diarrhée
• Douleurs articulaires (en externe)
• Gastralgies
• Gastro-entérite
• Intestins (tous désordres)
• Intoxication organique
• Irradiation
• Muqueuses endommagées
• Ulcère de l’estomac

Enfants
• Vers parasites.

MODE D’EMPLOI
En interne
1 cuillère à soupe rase ou 1 cuillère à café bombée matin et soir,
à 2 heures ou, mieux, 3 heures minimum de toute médication –
½ dose en dessous de 8 ans.

Saupoudrer dans un verre d’eau et laisser reposer quinze minutes


minimum ou plus.
Mélanger avant d’avaler. Impératif : ne pas utiliser de contenant
ou d’ustensile en métal en raison de formation de champs
électriques qui annulent les effets de l’argile – le bois est le
mieux ; le plastique, moins bien, peut passer.

Une cure standard dure vingt et un jours.

Effet secondaire possible


Constipation passagère au départ – dans ce cas SURTOUT AUCUN
LAXATIF, car l’argile est en train de soigner vos intestins. Arrêter
simplement les prises jusqu’à ce que les selles reprennent
naturellement leur rythme.
Nota Il se dit que l’argile peut entraîner une occlusion
intestinale. C’EST FAUX !

En externe (emplâtres in situ)


Se trouvent en pharmacie.
• Douleurs inflammatoires périphériques.
Mode d’emploi
Les emplâtres s’appliquent chauds, tièdes ou froids selon le cas – le
seul critère de référence est la sensation immédiate de soulagement
ou de plaisir. Le temps d’application est défini par le moment où une
sensation désagréable arrive (glacé, brûlant ou autre).

Vente en pharmacie et en boutiques diététiques.


72

MORINGA
Nommé « l’arbre à miracles »

Le moringa est un arbuste des pays chauds originaire du nord de


l’Inde, dont les multiples applications thérapeutiques ont été
enseignées et utilisées depuis des millénaires par la médecine
ayurvédique, ce qui lui a valu la légende de guérir
trois cents maladies. Avec le temps, cet ami de l’homme a été
diffusé, particulièrement sur le continent africain et les îles
environnantes. À l’île Maurice, de nombreux autochtones en
possèdent un dans leur jardin, particulièrement pour utiliser ses
feuilles en salade qu’ils appellent bred mourom ; mais la population
boude majoritairement cette merveilleuse pharmacie cadeau de la
nature en raison d’un préjugé colporté disant que c’est de la
« pharmacie du pauvre » (ce qui sous-entend à tort : pas très
efficace). Aussi, ces gens préfèrent s’en remettre au facile assistanat
de la pharmacochimie (scientifique !) promotionné par des « vrais
médecins » formés en France et en Grande-Bretagne.
L’arbuste lui-même est très vivace et il résiste bien à la sécheresse ;
mais dans un climat tropical bien arrosé il prolifère abondamment
allant jusqu’à grandir de trois à quatre mètres dans une année. Alors
on le taille, ce qui augmente sa production de feuilles. À l’instar du
dicton français qui dit que « tout est bon dans le cochon », il est dit
de même que « tout est bon dans le moringa ».
En effet, il donne des cosses dont les graines genre petits pois
peuvent donner une excellente huile cosmétique, d’où le nom
botanique : Moringa oleifera.
Les cosses entières peuvent être cuites à la manière des haricots
verts.
L’écorce des branches, de même que les racines peuvent être
réduites en poudre à usage thérapeutique que nous verrons plus
loin.

COMPOSITION
Des analyses menées au Japon et en Thaïlande en 2007 ont
expliqué les vertus exceptionnelles du moringa. On y trouve des
quantités importantes de vitamines A, C, B1, B2, B3, E, D, K, de
protéines, de fer, de calcium, de zinc, de sélénium, et surtout fait
rare : les dix acides aminés essentiels pour l’homme.
À l’analyse minérale pour 100 g, on trouve : du fer très majoritaire :
32,30 g ; du calcium : 2,8 g ; du magnésium : 825 mg ; du
potassium : 1,16 g ; du zinc et du sélénium. Par ailleurs, le moringa
constitue une riche combinaison de zéatine, de quercétine, de β-
sitostérol, d’acide caféoylquinique et de kaempférol.

UN ALIMENT EXCEPTIONNEL
Récemment, le moringa a été identifié par le World Vegetable Center
(Taïwan) comme le légume au plus fort potentiel nutritionnel parmi
cent vingt espèces alimentaires étudiées.
Au Sahel, les feuilles de Moringa oleifera sont consommées comme
légumes et celles de Moringa stenopetala constituent le repas de
base du peuple konso en Éthiopie, originaire de la région du lac au
Kenya ainsi que d’Éthiopie. Toutes les espèces de Moringa
produisent un liquide sucré au niveau des feuilles. Celui-ci est
particulièrement abondant chez le Moringa stenopetala.
Les feuilles fraîches se servent en salade d’entrée à la vinaigrette,
comme n’importe quelle salade. Les cosses peuvent être préparées
à la manière des mange-tout, cuits à la poêle dans de l’huile avec du
sel et du poivre. L’huile est délicieuse et ne rancit pas.

Nota La tisane peut un peu rebuter par son goût âcre, et


elle est mieux supportée refroidie. Aussi, il est plus
sympathique d’ajouter une cuillérée à café de la formule
poudre dans des soupes de légumes ; on obtient ainsi de
véritables soupes thérapeutiques détox.

UN TRÉSOR DE SANTÉ
Quelles que soient les parties utilisées du moringa, elles sont :
• Antitumorales.
• Antipyrétiques.
• Antiépileptiques.
• Anti-inflammatoires.
• Antiulcéreuses.
• Antispasmodiques.
• Hypocholestérolémiantes.
• Antioxydantes.
• Stimulantes hépatiques.
• Antibactériennes.
• Antifongiques.
• Le moringa stimule la circulation sanguine, régule la glycémie,
résout les ulcères d’estomac, les douleurs gastriques, la gale, les
mycoses.
• Les feuilles du moringa reconstruisent et renforcent les os fragiles
(ostéoporose), combattent l’anémie et compensent la malnutrition
en général ; elles stoppent la dysenterie, les infections cutanées et
les coliques.
• C’est un bon laxatif et un bon purgatif, qui stimule le transit
intestinal. En outre, le moringa est un excellent diurétique.
• Il prévient les maladies cardiovasculaires et ophtalmologiques, il
combat efficacement les rhumes et la grippe, il entretient le
cerveau et les nerfs, il est un soutien de la qualité des dents, et
retarde le vieillissement.

INDICATIONS TESTÉES DU MORINGA


Les feuilles sèches pour infusions ou en poudre pour soupes et
sauces :
• Anémie ferriprive
• Arthrite
• Cystite
• Fièvre
• Hypotension artérielle
• Prostatisme (hypertrophie)
• Transit intestinal (accélère)

Racines ou écorce en poudre – par voie interne.


• Appétit (manque).

Cette liste est non exhaustive et peut être étendue à de nombreux


autres problèmes de santé.

POSOLOGIES
Poudre de feuilles sèches : 1 cuillère à café dans une grande tasse.
Infuser 10 minutes, matin et soir.
Poudre d’écorce ou de racines : 1 cuillère à café dans 1,5 l d’eau. 1
à 2 verres par jour.
SEUL EFFET INDÉSIRABLE (prudence…)
Bien que les documents Internet annoncent
« antihypertenseur » confirmé par des études, les autochtones
des îles qui utilisent abondamment le moringa disent qu’il ne
doit pas être consommé par ceux qui font de l’hypertension –
j’ai demandé l’avis de médecins locaux qui ont confirmé la
véracité de cette réputation populaire.
Cela paraît normal puisqu’il est indiqué contre l’hypotension.

POUR TOUT RENSEIGNEMENT


https://www.biologiquement.com
73

DMSO (DIMÉTHYL SULFOXYDE)


Des applications externes très variées

Le DMSO est un produit dérivé du processus de fabrication de la


pâte à papier kraft. Ce procédé se résume à un traitement des
copeaux de bois avec un mélange de soude et de sulfure de sodium,
connu sous le nom de « liqueur blanche », celle-ci permettant de
briser les liens entre la lignine et la cellulose.
Le DMSO fut isolé en 1866 par Alexander Saytzeff, un scientifique
russe. Il définit ce curieux composé chimique cristallin, inodore, non
toxique avec un goût d’ail. Il est depuis utilisé comme solvant
industriel. S’il est pur, le DMSO obtenu peut être conservé
indéfiniment.

DES DÉCOUVERTES OPPORTUNES


En 1968, une équipe de recherche dirigée par le Dr Stanley W. Jacob
(à l’Oregon Health & Science University, Medical School) s’est
intéressée à ce solvant peu connu qu’est le DMSO, pour dissoudre
une teinture spéciale (Haematoxylon) utilisée pour identifier les
cellules tumorales. Les chercheurs constatèrent que non seulement
le DMSO avait le pouvoir de pénétrer la peau et d’autres
membranes sans les endommager, mais qu’il pouvait aussi
transporter d’autres composés au sein d’un système biologique ; et
surtout, ils ont pu constater au microscope que le DMSO coloré
ciblait électivement les cellules cancéreuses. Ces chercheurs avaient
donc découvert le « missile à tête chercheuse » qui pouvait se lier à
la chimiothérapie pour cibler uniquement les cellules cancéreuses.
Hélas, depuis quarante-cinq ans, la diffusion de cette découverte ne
s’est jamais produite.
Néanmoins depuis, près de trois mille études ont été effectuées et
ont établi que le DMSO, ce diffuseur organique exceptionnel, ne se
limite pas à la chimio mais peut aussi véhiculer toutes sortes de
produits. De là est née la DPT (thérapie de potentialisation au
DMSO). À savoir que lorsqu’il n’y a pas de cellules cancéreuses, le
DMSO se diffuse sur l’ensemble des cellules.

Nota À l’époque, la FDA a pris note de l’efficacité du DMSO,


en particulier dans le traitement de la douleur, mais l’a
rendu illégal pour les utilisations médicales afin de protéger
les profits des entreprises d’aspirine qui, à l’époque, était
massivement employée pour traiter l’arthrite. Depuis, le
DMSO ne peut être vendu que comme solvant.

DE MULTIPLES ACTIONS
THÉRAPEUTIQUES
Parmi les composés soufrés, le DMSO est probablement celui qui a
la plus grande étendue et le plus grand nombre d’applications
thérapeutiques jamais montrées pour tout autre produit chimique. Il
a environ quarante propriétés pharmacologiques qui peuvent être
bénéfiques à titre de prévention, soulagement ou régression de
nombreuses maladies (Morton, 1993).
En particulier, le DMSO :
• Accroît la production de globules blancs et de macrophages.
• Augmente la perméabilité des membranes cellulaires.
• Bloque la douleur en interrompant la conduction des nerfs
périphériques.
• Calme tout le système nerveux central.
• Combat les infections bactériennes, fongiques et virales.
• Draine mercure, plomb, aluminium, cadmium, arsenic, nickel.
• Est un anti-inflammatoire puissant.
• Est un diurétique puissant.
• Est un piégeur de certains radicaux libres hydroxyles.
• Permet l’expulsion des toxines intracellulaires.
• Protège contre les effets mutagènes des rayons x.
• Protège des dégâts dus au froid.
• Ramollit le collagène.
• Réduit la charge de travail du cœur par l’inhibition du calcium.
• Réduit l’incidence des thromboses plaquettaires (caillots dans
les vaisseaux).
• Relaxe les muscles.
• Stimule la cicatrisation des plaies.
• Stimule tout le système immunitaire.
• Transporte les molécules (médicaments, etc.) à travers
les membranes cellulaires.
• Vasodilate les vaisseaux sanguins et combat l’hypertension
artérielle.

Nota Le DMSO est contre-indiqué en cas de grossesse ou


d’allaitement, même s’il est utilisé pour conserver les
embryons humains.

PROPRIÉTÉS PARTICULIÈRES
Le DMSO traverse aisément non seulement la peau mais aussi la
barrière hémato-encéphalique ; il se mêle au sang et pénètre dans
tous les tissus. De plus, il accélère la réparation des dégâts d’origine
mécanique (compression, choc…), et au fil du temps des doses de
moins en moins élevées sont nécessaires pour obtenir des
résultats, a contrario d’un grand nombre de molécules
pharmaceutiques où des doses croissantes sont nécessaires.

Le DMSO peut donc agir en tant que biotransporteur d’autres


substances et médicaments dont il accroît les effets. En fait,
certains médicaments dissous dans le DMSO, comme des
corticoïdes, des antibiotiques, de l’insuline, etc., peuvent être
utilisés à des doses plus faibles sans réduire leur efficacité
thérapeutique et en réduisant considérablement leurs effets
secondaires. De plus, ces médicaments pourront traverser la
barrière hémato-encéphalique qui est normalement difficilement
pénétrable.

Enfin, le DMSO est efficace pour traiter la dégénérescence


maculaire (DMLA) et le syndrome rétinien. Cette efficacité a été
découverte incidemment par le Dr Hill chez des patients souffrant de
Retinitis pigmentosa, une affection rétinienne alors qu’ils prenaient
du DMSO pour soigner des troubles musculo-squelettiques (Morton,
1973).

Nota Pour les claquages, le soulagement arrive en cinq à


vingt minutes avec effet durant six heures.

Troubles mentaux
Le DMSO a été testé pour le traitement de patients souffrant des
troubles suivants :
• États d’hyperexcitation (réaction schizophrénique grave, phase
maniaque de la psychose maniaco-dépressive, psychoses
alcooliques, psychoses symptomatiques).
• Psychose chronique (autisme, stéréotypie, négativisme,
comportements anormaux ou états délirants).
• Névrose grave (réactions d’angoisse, obsessions) (Ramirez, Luza,
1967).

INDICATIONS DU DMSO
CLINIQUEMENT CONSTATÉES
• AVC par thrombose : suite (fréq. 1)
• Calcifications sauvages, exostoses (fréq. 2)
• Cataracte – 1 goutte à 25 % dans l’œil (fréq. 2)
• Chéloïdes (fréq. 1)
• Cicatrices (fréq. 2)
• Claquage (fréq. 1)
• Cystite interstitielle (fréq. 1)
• DMLA – dil. 50 % autour de l’œil (fréq. 2)
• Douleurs en tous genres (fréq. 1)
• Entorse (fréq. 1)
• Épididymite aiguë (fréq. 1)
• Épine calcanéenne (fréq. 2)
• Glaucome – 1 goutte à 25 % dans l’œil (fréq. 2)
• Goutte gros orteil (fréq. 1)
• Hallux valgus (oignon) (fréq. 2)
• Herpès génital (fréq. 2)
• Maladie de Lapeyronie (fréq. 2)
• Maux de dents (fréq. 1)
• Métaux lourds : dépollue (fréq. 2)
• Orteils en marteau (fréq. 2)
• Sinusite – pulv. front. Dil. 50 %
• Zona (fréq. 1).
Liste non exhaustive.

Les fréquences standards d’application sont de : une fois toutes


les six heures (fréq. 1) ou matin et soir (fréq. 2).
GUIDE PRATIQUE D’UTILISATION
Le DMSO existe sous trois formes : gel, crème, liquide, et aussi
en spray et en roller.

Je conseille l’application cutanée plutôt que l’ingestion.

La concentration commerciale est généralement à 99,9 %.


L’utilisation courante est à 70 % ; il suffit de le diluer avec 1/3 d’eau
distillée.
L’odeur d’ail souvent perçue au niveau du corps est due au sulfure
de diméthyle, que l’on trouve dans l’ail et dans l’oignon. Cette odeur
peut durer un ou deux jours. Boire suffisamment d’eau peut aider à
la faire disparaître.

Nota L’ajout de parfum à la rose annihile cette odeur d’ail.

Certains symptômes comme le mal au ventre, les maux de tête, les


vertiges, la fatigue, sont liés à des phénomènes de détoxication,
déclenchés par le DMSO.

Test d’une éventuelle allergie au DMSO


• Mettre une petite goutte de DMSO sur votre bras et attendez
vingt-quatre heures pour voir si vous avez une réaction (c’est très
rare).
• Les personnes qui ont un foie abîmé ou affaibli, testez-le en
mettant cinq gouttes de DMSO sur un bras et frottez pour le faire
pénétrer. Attendez plusieurs heures. S’il n’y a pas de douleur au
foie, vous pouvez utiliser le DMSO en toute sécurité.

Prises par voie externe (conseils d’emploi)


D’abord, rappelez-vous que le DMSO passe à travers toutes les
barrières en emmenant non seulement des produits utiles, mais
aussi toutes les pollutions locales possibles.
1.avant une application locale de DMSO vérifiez que la zone à
traiter est très propre, sèche et qu’elle n’est pas écorchée. Les
sites d’application les plus utilisés sont la face interne des
cuisses et des bras (non exhaustifs) ;
2
. si vous utilisez les mains pour l’application, elles devront être très
propres – mais il faut savoir qu’elles peuvent se rider et rester
dans cet état pendant huit à quinze jours ;
3
. les gants ménagers ou médicaux posent un autre problème : le
DMSO étant un solvant, il peut les attaquer et emmener les
produits composants dans l’organisme ;
4
. c’est pour ces raisons qu’il est bien d’utiliser le roller on ou le
spray. La face interne des bras semble la plus pratique ;
5
. pour les applications locales où la circulation sanguine est limitée,
ne dépassez pas 70 % de concentration, qui en outre est celle
couramment utilisée ;
6
. le visage et la nuque sont plus sensibles au DMSO, utilisez du
DMSO à 50 % ;
7.laissez le DMSO sécher pendant vingt à trente minutes avant de
l’essuyer si nécessaire. Ne pas laisser de tissus en contact avec
la zone imprégnée pendant ce temps ;
8
. le DMSO ne doit pas être utilisé près de toute concentration
dense de cellules cancéreuses et jamais en contact direct avec
des cellules cancéreuses de surface ;
9
. ne pas appliquer de DMSO directement sur du psoriasis sec ;
10
. vous pouvez ressentir chaleur, rougissements, démangeaisons
et parfois des urticaires locales peuvent apparaître. Pulvérisez
simplement de l’eau sur l’éruption et elle disparaîtra. L’éruption
est provoquée par le DMSO qui déshydrate la peau. Vous pouvez
aussi appliquer de l’aloe vera en gel ou crème.

PRÉPARATION SPÉCIALE DU DMSO


25 % POUR LES YEUX
Mélanger avec précision une partie de DMSO 70 % et deux parties
de sérum phy (en pharmacie) dans un petit flacon (10 ou 15 ml) –
cela dégage de la chaleur, c’est normal. À noter que ce mélange ne
sera efficace que durant trois semaines.
Mettre 1 goutte dans l’œil matin et soir – cela va piquer pendant
5 secondes (normal).

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74

NUCLEI QUANTUM
(THYMOQUINONE)
La perle cachée de la nigelle

La nigelle (Nigella sativa, ou cumin noir oriental) est utilisée depuis


plus de cinq mille ans dans la pharmacopée traditionnelle. Elle était
très appréciée des pharaons de l’Égypte ancienne. D’ailleurs, on a
trouvé de l’huile de nigelle dans le tombeau de Toutânkhamon. Ils la
consommaient pour assurer leur immortalité et, à défaut, pour
allonger leur durée de vie dans les meilleures conditions… Plus tard,
le prophète Mahomet aurait dit que la nigelle pouvait « guérir toutes
les maladies, sauf la mort ». Elle est également citée dans la Bible.

En Orient, les graines de nigelle sont couramment utilisées en


cuisine, entières ou pressées, et servent d’antibiotique en Chine ou
de stimulant en Inde. Durant l’Antiquité gréco-romaine, Hippocrate
lui attribua une action thérapeutique sur le foie et le système
digestif. Au Moyen Âge, Avicenne, entre autres, affirma qu’elle agit
pour supprimer les ballonnements, les verrues, le vitiligo, les
ulcères, la grippe, la migraine, les congestions, la fièvre…
Aujourd’hui, dans le monde entier, de plus en plus d’études
scientifiques s’intéressent à ce remède naturel millénaire pour ses
propriétés médicinales exceptionnelles, et en particulier à son
composant le plus actif, la thymoquinone, tirée de l’huile de la graine
noire de la nigelle.
LES MULTIPLES APPLICATIONS
DE LA THYMOQUINONE
Depuis 1975 on lui a découvert de très nombreuses propriétés :
• Elle est anticonvulsive.
• Elle est antidiabétique.
• Elle est antidouleur.
• Elle est antihépatotoxique.
• Elle est anti-inflammatoire.
• Elle est antioxydante.
• Elle est antiproliférative des cellules cancéreuses (du côlon, du
pancréas, de la prostate, du sein).
• Elle est antivirale.
• Elle est immunostimulante et immunomodulatrice,
antibactérienne.
• Elle est neuroprotectrice.

Par ailleurs :
• Elle a démontré un potentiel antiviral contre un certain nombre de
virus très pathogènes, notamment le cytomégalovirus murin
(CMV), le virus d’Epstein-Barr, le virus de l’hépatite C, le VIH et
autres coronavirus.
• Elle a un effet bronchodilatateur.
• Elle atténue la toxicité des chimiothérapies et radiothérapies.
• Elle permet d’augmenter l’activité et le nombre de supresseurs de
cytokines, de lymphocytes, de cellules tueuses naturelles et de
macrophages.

LES ÉTUDES RÉCENTES


Des études menées sur la thymoquinone, en Égypte et en Iran en
2000 et en 2005, font état de ses propriétés anti-inflammatoires et
antimicrobiennes, ainsi que de sa capacité à renforcer les défenses
immunitaires, à atténuer la rhinite allergique, et même à réduire
la sévérité des crises d’asthme.
Un article de 2018 rédigé par des pharmaco-toxicologues et traitant
de médecine alternative met en avant d’autres propriétés, comme :
• Réduction du diabète (entre 1 et 3 g/jour).
• Réduction du cholestérol après trois mois de prises.

Il constate aussi des effets tels :


• Analgésiques.
• Antidépresseurs.
• Antiépileptiques.
• Antifongiques.
• Antimicrobiens pathologiques.
• Antiparasitaires généraux.
• Antiviraux pathologiques.
• Anxiolytiques.
• Dépendance aux opioïdes.
• Hypotenseurs.
• Infertilité (protection du tissu ovarien et action sur la toxicité
testiculaire).

L’étude des chercheurs Yimer, Tuem et Alii déposée en 2019 à la


Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis, un des instituts
américains de la santé (le NCBI), confirme l’ensemble de ces travaux
concernant la graine de Nigella sativa et son principal constituant
actif, la thymoquinone.

En France, une thèse soutenue en 2015 par le docteur en


pharmacie Badr-Eddine Abdesselam confirme l’effet anti-
inflammatoire de Nigella sativa via l’action de la thymoquinone sur
les médiateurs cellulaires, avec des résultats antalgiques et
antipyrétiques, une action antirhumatismale, des propriétés
antiostéoporotiques, un effet sur le système digestif et l’obésité, un
traitement de la pharyngo-amygdalite aiguë (étude clinique), une
inhibition de la prolifération cancéreuse, une action sur le système
respiratoire (protection du tissu pulmonaire, propriétés
antiasthmatiques…), la régulation de l’expression des gènes
codants…

NUCLEI QUANTUM :
UNE COMPOSITION TRÈS ACTIVE
Composants détaillés
• Extrait de Nigella sativa à 5 %.
• Thymoquinone (250 mg).
• Lithotamne.

Les graines de Nigella sativa contiennent une riche alliance d’une


huile fixe et d’une huile essentielle dont le principe actif majeur est
la molécule thymoquinone, leur principal composé terpénique.
L’extrait sec d’huile de nigelle utilisé dans le complément
alimentaire Nuclei quantum (nom latin qui signifie « force vitale »)
contient un titrage exceptionnel de thymoquinone à 5 %,
impossible à obtenir par pression à froid. Cette technique
d’extraction en fait un complément alimentaire extrêmement actif et
efficace.
Par ailleurs, les différents paramètres issus des études menées sur
Nigella sativa indiquent qu’elle n’est pas toxique, comme peuvent en
témoigner les valeurs de la dose létale médiane (DL50), qu’elle ne
perturbe pas la stabilité des enzymes hépatiques, ni l’intégrité des
organes. La marge thérapeutique de la thymoquinone est donc
large, son risque allergique faible, et son usage aux doses prescrites
est sans contre-indication.

INDICATIONS DE NUCLEI QUANTUM


La nigelle, qui a accompagné nos ancêtres au fil des générations, et
son premier principe actif retrouvé dans l’huile volatile de Nigella
sativa, la thymoquinone, sont donc étudiés avec attention par les
scientifiques, ce qui a permis de leur attribuer, en plus de leurs
vertus reconnues depuis l’Antiquité, de nouvelles propriétés
thérapeutiques dont les plus importantes sont l’hépatoprotection,
l’effet anti-inflammatoire et, en général, la lutte contre le
vieillissement. Ces découvertes confirment leur grand intérêt en tant
que compléments alimentaires.
• Allergies (antihistaminique)
• Anxiété
• Artériosclérose
• Asthme
• Cancers (adjuvant)
• Cataracte
• Cœur (myocardite)
• Cœur (péricardite)
• Cœur (toxicité de la ciclosporine)
• Cœur (troubles du rythme)
• Colite
• Dépendance aux opiacés
• Diabètes types 1 et 2
• Douleurs (analgésique)
• Douleurs (musculaires et articulaires)
• Épilepsie
• Foie engorgé
• Hépatite C
• Hypertension
• Infections bactériennes
• Infections virales (VIH, coronas)
• Inflammations
• Insecticide
• Mycoses
• Obésité
• Ostéoporose
• Parasites en tous genres
• Psoriasis
• Rétroviroses actives (TAHA)
• Rhumatismes
• Sperme peu actif
• Stress oxydatif
• Vieillissement (ralentit)
• Viroses

POSOLOGIE
3 gélules par jour.

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75

JEÛNE ET CHIMIOTHÉRAPIE
Un heureux effet inattendu

LE MANCHOT EMPEREUR,
UN JEÛNEUR PROFESSIONNEL
Lorsque le manchot mâle couve son œuf alors que sa femelle est
absente, il est capable de se passer de nourriture pendant
quatre mois.
Yvon Le Mao, chercheur au CNRS, s’est posé la question suivante :
le manchot a-t-il des mécanismes que l’homme n’a pas ? Or on
savait que le jeûne puise dans les réserves de protéines de
l’organisme, qui sont dans les muscles – dont le cœur. Quand la
moitié des protéines a disparu, c’est la mort assurée.
Yvon Le Mao projeta alors d’étudier le pourcentage de protéines
consommées pendant le jeûne du manchot. Le résultat fut que
pendant la plus grande partie du jeûne, les protéines ne fournissent
que 4 % de la dépense énergétique pendant que 96 % proviennent
des lipides (graisses). Conclusion, l’organisme économise ses
protéines. Le Mao divise donc le jeûne en trois étapes :
• Phase 1 : le corps épuise en vingt-quatre heures sa réserve de
glucose, puis il en fabrique à partir de ses réserves protéiques.
• Phase 2 : l’organisme économise ses protéines et utilise ses
lipides. Cette phase peut durer le temps de ses réserves ; chez le
manchot, cela peut aller à cent jours sans problème.
• Phase 3 : quand 80 % des lipides ont disparu, les protéines ne
sont plus économisées, et il faut absolument se réalimenter.
DU MANCHOT À L’HOMME
Il fallait savoir maintenant si le processus était identique avec les
autres animaux, dont l’homme. L’expérience fut réalisée avec des
rats, qui ne sont pas réputés être des jeûneurs. Surprise ! Les
résultats furent comparables. Alors Le Mao fut en mesure de
pressentir que le mécanisme du jeûne qui permet de tenir
longtemps à la privation de nourriture est commun à toutes les
espèces. Et en fait, le jeûne que l’on croyait être dangereux ne le
serait donc pas, puisqu’il semble qu’il y ait une adaptation
étroitement liée à l’histoire de l’évolution.
Un adulte humain de 1 m 70 et pesant 70 kilos possède en
moyenne 15 kg de réserves de graisses, de quoi tenir une
quarantaine de jours.
Il devient clair que le fait que nous ne nous arrêtions jamais de
manger n’est pas naturel, et cela nous crée des problèmes. Ainsi
notre corps serait mieux équipé pour supporter la carence de
nourriture que son excès. Or si la capacité de jeûner fait partie de
notre évolution, Valter Longo pense qu’elle doit pouvoir être
observée dans notre code génétique.

LES DÉCOUVERTES GÉNIALES


DE VALTER LONGO
Jeune chercheur à l’université de Californie, son domaine de travail
est la gérontologie. Partant de la constatation que la réduction de
l’alimentation sur une longue durée fait vivre les animaux plus
longtemps et en meilleure santé, Longo entreprend alors de tester
les effets du jeûne sur des produits très toxiques, tels que la
chimiothérapie. Il prend deux groupes de souris, l’un nourri
normalement, l’autre en jeûne. Il leur injecte simultanément des
doses pondérales de chimiothérapie très supérieures à celles
autorisées chez l’homme.
Le résultat est incroyable : les souris qui ont mangé sont mortes
ou en piteux état dans les jours qui suivent, pendant que celles
qui ont jeûné sont en bonne forme !
L’expérience est répétée plusieurs fois avec les mêmes résultats.
La nouvelle fait l’effet d’une bombe, mais il faut vaincre des dogmes
tels que celui de gaver les gens de protéines avant les
chimiothérapies. Néanmoins, on va tester tout de suite sur des
volontaires.
Une femme avec un cancer du sein veut faire l’essai ; alors qu’elle
doit recevoir cinq séances de chimiothérapie, elle jeûne cinq jours
avant la première séance – ça se passe formidablement bien !
Son oncologue la convainc de ne pas renouveler le jeûne pour la
seconde séance : résultat, elle est très malade. Elle fera les autres
séances sous jeûne et son état de santé s’améliorera.
On a pu ensuite confirmer que le jeûne préalable réduit de 80 à
90 % de la série classique de troubles pénibles (fatigue,
nausées, vomissements, troubles cognitifs, etc.).
Mais il restait à savoir si le jeûne aide réellement le travail positif de
la chimiothérapie ou pas. Aussi Longo se posa la question : est-ce
que le jeûne provoque un changement de l’expression des gènes ?
Il sélectionne alors des cellules de foie, de cœur, de muscles, et il
déroule leur profil ADN tout au long d’un jeûne.
Partant d’un profil normal au départ, après deux jours de jeûne, cette
expression change radicalement. Les gènes modifient le
fonctionnement des cellules qui se mettent en mode protection –
comme si cette capacité provenait d’une mémoire profonde.
La question restait aussi de savoir s’il se passe la même chose dans
les cellules cancéreuses, ce qui aboutirait à une démarche nulle.
Mais ce qui se passe en réalité après les deux jours de jeûne
est que les gènes des cellules cancéreuses s’expriment d’une
façon diamétralement opposée à celle des cellules saines. Elles
ont donc perdu la mémoire de l’évolution. Leurs
mécanismes de protection ne marchent plus !
De plus, elles se retrouvent encore plus sensibles au poison de
la chimiothérapie, ce qui est une bonne chose, et elles meurent
ou sont au moins très ralenties.
De surcroît, on constate que le jeûne peut ralentir leur
croissance même sans intervention de la chimiothérapie. En
bref, pour les cellules cancéreuses, le jeûne est un
cauchemar !

Le tout est de savoir si nous sommes prêts à rejeter les


croyances acquises et tout remettre en jeu.

MODUS OPERANDI DU JEÛNE


HYDRIQUE
Dans le jeûne hydrique, on boit de l’eau froide quand on a soif
et de l’eau chaude légèrement salée lorsqu’on a faim.
L’eau chaude calme l’estomac un peu comme de la soupe dans
laquelle on aurait oublié de mettre des légumes. Il faut avoir essayé
pour se rendre compte que cela n’est pas mauvais du tout. En cas
de troubles importants d’hypoglycémie (souvent vers 19 h),
incorporer une cuillère à café de miel dans de l’eau chaude.
En général, même si l’on a faim le soir, cette faim aura disparu le
lendemain au réveil.
En profiter pour ne pas déjeuner. En récompense, l’on se sent léger,
le ventre libre, les idées claires et un moral très optimiste.
Pour nettoyer le corps en profondeur, il faut jeûner au moins
trois jours.

Pour un jeûne standard de trois jours ou plus, il y a quelques règles


afin de limiter les désagréments dus aux éliminations massives.
1.La première règle est d’abord de programmer le jeûne au moins
la veille – c’est indispensable pour préparer l’organisme, sinon on
ne tient pas une journée. Pendant cette journée de préparation, il
convient de manger léger et de se purger. Cela évite les coliques
et les maux de tête par réinjection de toxines intestinales.
2
. Éviter de pratiquer un jeûne quand on est trop fatigué.
L’élimination demande de l’énergie comme tous travaux de
réfection ou de nettoyage.
3
. Ne pas pratiquer des activités trop violentes pendant ce temps,
quoique bouger soit nécessaire.
4
. La sortie de jeûne est une phase importante car il faut se
réalimenter progressivement avec des fruits et des crudités… et
non pas avec des steak frites ou du cassoulet. En naturopathie,
on conseille aussi de se purger une nouvelle fois afin de bien
éliminer les déchets extirpés.
5
. En fait, un jeûne de trois jours représente une démarche réelle de
cinq jours en comptant la préparation et la sortie. À noter que
moins de trois jours n’est pas un jeûne mais un simple repos
organique.

Nota Le jeûne résout la plupart des problèmes de santé


courants.
Mais il peut se produire des boutons sur la peau, de mauvaises
odeurs, une mauvaise haleine, diverses sécrétions d’élimination,
divers troubles de résolution, des douleurs articulaires… Ne pas
s’inquiéter. Accompagner ces manifestations salutaires d’épuration
au grand air, de respirations profondes, de la marche, des bains
chauds, d’huiles essentielles si l’on aime, et de pauses méditatives
générant des imageries mentales encourageant votre organisme à
ce puissant nettoyage interne.
INDEX ALPHABÉTIQUE GÉNÉRAL
PAR MALADIES
No
Maladie Produit
Produit

Abcès Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Abcès Sanchlor 69

Accident vasculaire cérébral (AVC) TCM de coco 47

Accouchement : prématuré Vitamines D3 + K2 liposomales 52

Acide urique Digilance 29

Acidité gastrique Bilior 7 9

Acidité gastrique Maca (racine) 37

Acidité gastrique Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Acidité gastrique Soufre organique MSM 65

Acidité gastrique Aloe vera (en oral) 22

Acidité gastrique : hyper Jus de pomme de terre crue 39

Acido-basique : déséquilibre Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Acidose Zinc + sélénium 21

Acidose Digilance 29

Acidose Jus de pomme de terre crue 39

Acidose Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Acidose et tous effets annexes Floracor 31


No
Maladie Produit
Produit

Acné CBD 25 mg 11

Acné Serracor NK 34

Acné Silice de prêle 42

Acné Détox 55

Acné Serrapeptase 57

Acné Soufre organique MSM 65

Acné et cicatrices conséquentes Baobab : huile de graines (en ext.) 6

Acouphènes Ginkgo biloba 48

Addiction aux sucreries Bilior 7 9

Adénite (inflammation Iodine (sol. de Lugol) 15


des glandes)

Adénite (inflammation ganglions) EM-X Gold 62

Adénome prostatique Prostaphyt 17

Adhérences Serrapeptase 57

ADN : altérations du génome ADN téloméractives 1

ADN endommagé Phycocyanine 53

ADN endommagé par irradiations Reishi (champignon) 33

Affections cardiovasculaires Vit. C liposomale 59

Affections cutanées Oreganol 50

Affections respiratoires Oreganol 50


(+ Oregaresp)

Agitation Tyro+ – Troubles hyper 54

Agitation mentale Calmophyt 28

Albuminurie Silice de prêle 42


No
Maladie Produit
Produit

Alcoolisme Vit. C liposomale 59

Alcoolisme Carbophyt 68

Algies Reishi (champignon) 33

Algies aiguës ou chroniques Baume de Russie 45

Algodystrophie post-traumatique Baume de Russie 45

Algo-neuro-dystrophie Nacre d’huître 24

Alimentation artificielle Quinton isotonique (oral) 63

Allaitement (pendant) Quinton hypertonique 63

Allaitement : lactation faible Baobab : feuilles séchées poudre 6

Allergies Iodine (sol. de Lugol) 15

Allergies Quercévital 18

Allergies Vit. C liposomale 59

Allergies Neurophyt + TCM 61

Allergies EM-X Gold 62

Allergies Quinton isotonique (oral) 63

Allergies (antihistaminique) Nuclei quantum 73

Allergies alimentaires Digest-GI 38

Allergies pulmonaires Soufre organique MSM 65

Allergies respiratoires Air des montagnes 3

Allergies respiratoires Oregaresp 44

Aluminium cérébral : piège Silice de prêle 42


et évacue

Alzheimer CBD 50 mg 11

Alzheimer L-Glutathion réduit liposomal 16


No
Maladie Produit
Produit

Alzheimer : améliore EM-X Gold 62

Alzheimer : améliore la lucidité TCM d’huile de coco 47

Amaigrissement Tyro+ – Troubles hyper 54

Ampoules, érythèmes Aloe Vera (en ext.) 22

Amygdalite (en ext.) Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67

Analgésique puissant CBD 50 mg et + 11

Anémie ADN téloméractives 1

Anémie Baobab : feuilles séchées poudre 6

Anémie Glutyl 2 13

Anémie Digilance 29

Anémie Phycocyanine 53

Anémie Vit. C liposomale 59

Anémie Quinton isotonique (oral) 63

Anémie Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Anémie Silice d’ortie 42

Anémie Quinton hypertonique 63

Anémie des jeunes filles Silice d’ortie 42

Anémie ferriprive Feralim 43

Anémie ferriprive Moringa (poudre feuilles sèches) 72

Anesthésiques : solvant rapide Quinton isotonique (oral) 63

Angine Chlorure de Mg fossile 56

Angine Serrapeptase 57
No
Maladie Produit
Produit

Angine – aphonie 20 min Compresse très froide autour 0


du cou

Angine (en ext.) Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67

Angine de poitrine Aubépine forte 5

Angine de poitrine Quercévital 18

Angine de poitrine Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Angine de poitrine Coenzyme Q10 51

Angine de poitrine Tibétane 20


(coronaires réduites)

Angine de poitrine Serracor NK 34


(coronaires réduites)

Angiomes Reishi (champignon) 33

Angoisse Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Angoisse Digilance 29

Angoisse précordiale Aubépine forte 5

Ankylose post-traumatique Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Ankylose post-traumatique Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Annexite Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Anorexie bébés enfants Quinton iso bébés (oral) 63

Anthrax (sans incision) Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Antibiotiques : solvant rapide Quinton isotonique (oral) 63

Antidote du graphène Aiguilles de pin sylvestre gemmo 2


D1
No
Maladie Produit
Produit

Anti-inflammatoire broncho- Aiguilles de pin sylvestre gemmo 2


pulmonaire D1

Anti-inflammatoire puissant Oreganol 50

Antioxydant des plus puissants Capillar Plus 10

Antioxydant puissant Coenzyme Q10 51

Antioxydant puissant Aiguilles de pin sylvestre gemmo 2


(étude sud-coréenne 2011) D1

Antiseptique pulmonaire Aiguilles de pin sylvestre gemmo 2


D1

Anxiété CBD 15 mg 11

Anxiété Calmophyt 28

Anxiété Floracor 31

Anxiété Nuclei quantum 74

Aphrodisiaque Maca (racine) 37

Aphtes Aloe vera (en oral) 22

Aphtes Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67

Aphtose Digilance 29

Aphtose chronique Floracor 31

Apnée du sommeil CBD 15 mg 11

Appétit excessif Tyro+ – Troubles hyper 54


avec perte de poids

Appétit : excès Calmophyt 28

Appétit : insuffisant Siberia ginseng 25

Appétit : manque Digilance 29


No
Maladie Produit
Produit

Appétit : manque Moringa (racine ou écorce 72


en poudre)

Appétit : perte Digest-GI 38

Apprentissage laborieux Zinc + sélénium 21

Artères : parois rigidifiées Seconde Jeunesse 41

Artères durcies Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Artériosclérose Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Artériosclérose Tibétane 20

Artériosclérose Extra Life Vision 35

Artériosclérose Nuclei quantum 74

Artériosclérose Serracor NK 34
(durcissement des artères)

Artériosclérose MRE 36
(durcissement des artères)

Artériosclérose Silice de prêle 42


(durcissement des artères)

Artérite Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Artérite des jambes Tibétane 20

Artérite des jambes Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Artérites Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Arthrite Baobab : feuilles séchées poudre 6

Arthrite Aloe Vera (en ext.) 22

Arthrite Graviola 30

Arthrite Sacha inchi (capsules d’huile) 32


No
Maladie Produit
Produit

Arthrite Extra Life Vision 35

Arthrite Jus de pomme de terre crue 39

Arthrite Silice d’ortie 42

Arthrite Zéolite clinoptilolite surfine 46

Arthrite Moringa (poudre feuilles sèches) 72

Arthrite – arthrose MRE 36

Arthrite et arthrose : cale Soufre organique MSM 65


la douleur inflammatoire

Arthrite et polyarthrite Nacre d’huître 24

Arthrose Aloe vera (en oral) 22

Arthrose Nacre d’huître 24

Arthrose Serracor NK 34

Arthrose Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Arthrose Vit. C liposomale 59

Arthrose articulaire (hanche, Hydrotomie au Quinton iso 63


genoux, etc.)

Articulations dégradées Silice d’ortie 42

Articulations douloureuses Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Articulations et muscles Oreganol 50


contracturés (en ext.)

Articulations raides : soulage Serracor NK 34

Arythmie cardiaque Iodine (sol. de Lugol) 15

Arythmie cardiaque Neurophyt + TCM 61

Asphyxie à la naissance TCM d’huile de coco 47


No
Maladie Produit
Produit

Assimilation déficiente Digest-GI 38

Asthénie Siberia ginseng 25

Asthénie Maca (racine) 37

Asthénie Quinton hypertonique 63

Asthénie Quinton isotonique (oral) 63

Asthénie musculaire Seconde Jeunesse 41

Asthme Aloe vera (en oral) 22

Asthme Graviola 30

Asthme EM-X Gold 62

Asthme Soufre organique MSM 65

Asthme Nuclei quantum 74

Asthme Baobab : feuilles séchées poudre 6

Asthme Iodine (sol. de Lugol) 15

Asthme et maladies Vit. D3 + K2 liposomales 52


asthmatiformes

Ataxie de Friedreich TCM d’huile de coco 47

Artérites et claudication Ginkgo biloba 48


intermittente

Athéromes : dissout Coenzyme Q10 51

Athéromes artériels Aubépine forte 5

Athéromes artériels Quercévital 18

Athéromes artériels Seconde Jeunesse 41

Athéromes artériels (plaques) Silice de prêle 42

Athéromes artériels (plaques) Serrapeptase 57


No
Maladie Produit
Produit

Athéromes artériels (plaques) Soufre organique MSM 65

Athéromes en tous genres Tibétane 20

Athérosclérose Reishi (champignon) 33

Athérosclérose Neurophyt + TCM 61

Athérosclérose Capillar Plus 10

Athrepsie bébés Quinton iso bébés (oral) 63

Atrophie musculaire Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Audition : baisse Iodine (sol. de Lugol) 15

Audition : baisse Ginkgo biloba 48

Autisme Vit. D3 + K2 liposomales 52

Autisme (certains types) TCM d’huile de coco 47

AVC : récupération Quercévital 18

AVC : suite Coenzyme Q10 51

AVC par thrombose (fréq. 1) DMSO (en ext.) 73

AVC : risque Capillar Plus 10

AVC : séquelles Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Bactéries : dissout la protection Chlorophyt (chlorophylle 64


de fibrine concentrée)

Bactéries indésirables Argile verte 71

Baisse de mémoire Neurophyt + TCM 61

Ballonnements Floracor 31

Ballonnements L-gasseri + bromélaïne gamma 26

Ballonnements Digest-GI 38
No
Maladie Produit
Produit

Ballonnements et flatulences Aloe vera (en oral) 22

Bartholinite vaginale Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Bébé sous-oxygénés TCM d’huile de coco 47


à l’accouchement

Bébés prématurés TCM d’huile de coco 47

Becs-de-perroquet Cure d’eau distillée 10 l en 8 jours 0

Becs-de-perroquet (exostoses) Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Bilharziose (ver des marais Artemisia annua 58


africains)

Blessures (en application externe) Zéolite clinoptilolite surfine 46

Blessures : puissant désinfectant Chlorure de Mg fossile 56


(en ext.)

Boit et urine en grande quantité Tyro+ – Troubles hyper 54

Booster de l’état général Aiguilles de pin sylvestre gemmo 2


D1

Bouche : affections diverses EM-X Gold 62

Bouffées de chaleur Maca (racine) 37

Bouffées de chaleur Seconde Jeunesse 41

Bouffées de chaleur Menophyt 66

Bourdonnements d’oreilles Aubépine forte 5

Bourdonnements d’oreilles Ginkgo biloba 48

Boutons cutanés en externe Iodine (sol. de Lugol) 15

Bronchite Air des montagnes 3

Bronchite BerriMax 7
No
Maladie Produit
Produit

Bronchite Silice de prêle 42

Bronchite Oregaresp 44

Bronchite Oreganol 50

Broncho-pneumopathies Iodine (sol. de Lugol) 15


obstructives

Brûlures Hydraphyt 27

Brûlures Ginkgo biloba (en ext.) 48

Brûlures (en application externe) Zéolite clinoptilolite surfine 46

Brûlures : stoppe la douleur Chlorure de Mg fossile 56


en 1 minute (en ext.)

Brûlures à tous les degrés, 1, 2 et Aloe vera (en ext.) 22


3

Brûlures d’estomac Digest-GI 38

Brûlures d’estomac Bilior 7 9

Brûlures et cartonnage Aloe vera (en ext.) 22


suite irradiation

Calcémie : hyper Vit. D3 + K2 liposomales 52

Calcification de l’adolescence OstéoRenov 40

Calcification hypo ou hyper Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Calcifications articulaires Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14


et musculaires

Calcifications sauvages Vit. D3 + K2 liposomales 52

Calcifications sauvages (fréq. 2) DMSO (en ext.) 73

Calcium : malabsorption OstéoRenov 40


No
Maladie Produit
Produit

Calculs biliaires Bilior 7 9

Calculs rénaux Silice de prêle 42

Calculs rénaux chroniques Jus de pomme de terre crue 39

Calmant nerveux Aubépine forte 5

Cancer : adjuvant majeur EM-X Gold 62

Cancer colorectal : adjuvant Digest GI 38

Cancer du poumon (début) Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Cancer du sein Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Cancer estomac : adjuvant Digest-GI 38

Cancer pancréas : adjuvant Digest-GI 38

Cancers ADN téloméractives 1

Cancers (adjuvant) CBD 50 mg 11

Cancers (adjuvant) L-Glutathion réduit liposomal 16

Cancers (adjuvant) Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Cancers (adjuvant) Vit. D3 + K2 liposomales 52

Cancers (adjuvant) Phycocyanine 53

Cancers (adjuvant) Vit. C liposomale 59

Cancers : adjuvant Zéolite clinoptilolite surfine 46

Cancers de la peau Iodine (sol. de Lugol) 15

Cancers (adjuvant) Graviola 30

Cancers : adjuvant Nuclei quantum 74

Candida albicans Sanchlor 69

Candidose Bilior 7 9
No
Maladie Produit
Produit

Candidose Iodine (sol. de Lugol) 15

Candidose Oreganol 50

Capillaires fragiles – purpura Vit. C liposomale 59

Capillaires sanguins élargis Zéolite clinoptilolite surfine 46

Capillaires : fragilité Ginkgo biloba 48

Cardiovasculaire : déficience Seconde Jeunesse 41

Cardiovasculaire délabré Capillar Plus 10

Cardiopathies ischémiques Neurophyt + TCM 61

Cardiovasculaires : maladies CBD 25 mg 11

Cardiovasculaires : tous problèmes Serracor NK 34

Carences Quinton hypertonique 63

Carences en éléments vitaux Aloe vera (en oral) 22

Cartilages dégénérés Nacre d’huître 24

Cartilages : dégénérescence OstéoRenov 40

Cataracte Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Cataracte Extra Life Vision 35

Cataracte MRE 36

Cataracte Neurophyt + TCM 61

Cataracte Nuclei quantum 74

Cataracte – 1 goutte à 25 % ds DMSO (en ext.) 73


l’œil (fréq. 2)

Cataracte (entre 2 et 12 mois Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4


selon l’ancienneté)

Cataracte : prévient la formation Capillar Plus 10


No
Maladie Produit
Produit

Cécité diabétique Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4

Cellules souches : active Phycocyanine 53


la production

Cellulite Aloe vera (en ext.) 22

Cellulite Aloe vera (en oral) 22

Céphalées chroniques Calmophyt 28

Céphalées Silice de prêle 42

Céphalées Ginkgo biloba 48

Céphalées Tyro+ – Troubles hyper 54

Céphalées chroniques Digilance 29

Céphalées et migraines Soufre organique MSM 65

Céphalées récurrentes Capillar Plus 10

Céphalées CBD 50 mg 11

Cérébrales : baisse de Capillar Plus 10


performances

Cérébrales : fonctions défaillantes Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Champignons vénéneux Carbophyt 68

Chaud ou froid sans raisons Tyro+ – Troubles hyper 54

Chéloïdes (fréq. 1) DMSO (en ext.) 73

Cheveux : pellicules (en ext.) Jus de pomme de terre crue 39

Cheveux : perte Tyro+ – Troubles hyper 54

Cheveux gris ou blancs Soufre organique MSM 65

Cheveux secs Baobab : huile de graines (en ext.) 6

Cheveux : alopécie androgénique Seconde Jeunesse 41


No
Maladie Produit
Produit

Cheveux : manque de croissance Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Cheveux : pellicules Baobab : huile de graines (en ext.) 6

Cheveux : pellicules Aloe vera (en oral) 22

Chimiothérapie : effets Jeûne de 4 jours préalable 75


indésirables

Chimiothérapie : séquelles Seconde Jeunesse 41

Chimiothérapie : décontamine EM-X Gold 62

Chirurgie (préparation – Vit. C liposomale 59


convalescence)

Chirurgie gastrique : suite Digest-GI 38

Chirurgie pancréas : suite Digest-GI 38

Chocs climatiques Siberia ginseng 25

Cholestérol : hyper Détox 55

Cholestérol Iodine (sol. de Lugol) 15

Cholestérol élevé Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Cholestérol et triglycérides Carbophyt 68

Cholestérol et triglycérides : hyper Zéolite clinoptilolite surfine 46

Cholestérol LDL hyper Aubépine forte 5

Cholestérolémie Serrapeptase 57

Cholestérolémie Vit. C liposomale 59

Cholestérolémie Capillar Plus 10

Cholestérolémie triglycérides Aloe vera (en oral) 22


et phospholipides

Cholestérolémie LDL Seconde Jeunesse 41


et triglycérides : hyper
No
Maladie Produit
Produit

Cicatrices Baobab : huile de graines (en ext.) 6

Cicatrices (fréq. 2) DMSO (en ext.) 73

Cicatrices chéloïdes Serracor NK 34

Cicatrices et adhérences post- Bains Salmanoff mixtes 49


opératoires (jaune + blanc)

Cicatrisation : lente Silice de prêle 42

Cicatrisation difficile Chlorure de Mg fossile 56


(en compresse permanente)

Cicatrisation lente et difficile Aloe vera (en ext.) 22

Circulation capillaire détériorée due BerriMax 7


à l’âge

Circulation capillaire : stase Capillar Plus 10


ou obstruction

Circulation lymphatique Aloe vera (en oral) 22

Circulation périphérique artérielle Ginkgo biloba 48

Circulation périphérique capillaire Ginkgo biloba 48

Circulation périphérique veineuse Ginkgo biloba 48

Circulation sanguine : optimise Zéolite clinoptilolite surfine 46

Circulation sanguine : stases Aloe vera (en oral) 22

Cirrhose Bilior 7 9

Cirrhose Phycocyanine 53

Cirrhose Détox 55

Cirrhose Carbophyt 68

Claquage (fréq. 1) DMSO (en ext.) 73

Coagulation sanguine déficiente Vit. C liposomale 59


No
Maladie Produit
Produit

Cœur : problèmes physiologiques Serrapeptase 57

Cœur : éréthisme Vagostim 19

Cœur : insuffisance Serracor NK 34

Cœur : maladies Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Cœur : myocardite Nuclei quantum 74

Cœur : nécrosé ADN téloméractives 1

Cœur : nécroses Quercévital 18

Cœur : nécroses Coenzyme Q10 51

Cœur : péricardite Nuclei quantum 74

Cœur : réduction des cicatrices Soufre organique MSM 65

Cœur : renforce le muscle Zéolite clinoptilolite surfine 46

Cœur : toxicité de la ciclosporine Nuclei quantum 74

Cœur fatigué Extra Life Vision 35

Cœur fatigué MRE 36

Cœur nerveux Calmophyt 28

Cœur : arythmies Iodine (sol. de Lugol) 15

Cœur : arythmies par Capillar Plus 10


disfonctionnement électrique

Cœur : douleurs crampoïdes Aubépine forte 5

Cœur : faiblesse avec dyspnée Aubépine forte 5

Cœur : lésions valvulaires Aubépine forte 5

Cœur : troubles du rythme Aubépine forte 5

Cœur : troubles du rythme Nuclei quantum 74


No
Maladie Produit
Produit

Cognitif : déclin Seconde Jeunesse 41

Colibacillose Quinton isotonique (oral) 63

Coliques Baobab : feuilles séchées poudre 6

Colite Eau chaude compr. sur le ventre 0


20 min

Colite CBD 50 mg 11

Colite Floracor 31

Colite Jus de pomme de terre crue 39

Colite Nuclei quantum 74

Colite ulcérative Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Colite ulcéreuse Digest-GI 38

Collagène : carence OstéoRenov 40

Collagène : déficit Silice de prêle 42

Côlon : syndrome Soufre organique MSM 65


de la perméabilité

Côlon irritable Soufre organique MSM 65

Côlon irritable CBD 25 mg 11

Côlon irritable Digilance 29

Côlon irritable ou entoxiné Digest-GI 38

Colostomie Carbophyt 68

Colostomie (anus artificiel) : Chlorophyt (chlorophylle 64


désodorise concentrée)

Concentration difficile Iodine (sol. de Lugol) 15

Concentration difficile MRE 36


No
Maladie Produit
Produit

Concentration difficile Ginkgo biloba 48

Concentration : difficulté Siberia ginseng 25

Concrétions calciques Cure d’eau distillée 10 l en 8 jours 0

Conjonctivite (en ext.) Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67

Conjonctivite aiguë Iodine (sol. de Lugol) 15

Constipation Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Constipation Vit. C liposomale 59

Constipation Quinton isotonique (oral) 63

Constipation (relance Chlorophyt (chlorophylle 64


le péristaltisme intestinal) concentrée)

Constipation chronique Bilior 7 9

Constipation chronique Vagostim 19

Constipation chronique Floracor 31

Constipation chronique Soufre organique MSM 65

Constipation fonctionnelle Aloe vera (en oral) 22

Constipation tenace L-gasseri + bromélaïne gamma 26

Convalescence Aloe vera (en oral) 22

Convalescence Siberia ginseng 25

Coronarite Quercévital 18

Coronas V Air des montagnes 3

Corticosurrénales déficientes Air des montagnes 3

Corticosurrénales déficientes Aiguilles de pin sylvestre gemmo 2


D1

Coryza Vit. C liposomale 59


No
Maladie Produit
Produit

Coryza Quinton isotonique (oral) 63

Coup de soleil (ext.) Chlorure de Mg fossile 56

Couperose Ginkgo biloba 48

Couperose Ginkgo biloba (en ext.) 48

Coups de soleil Aloe vera (en ext.) 22

Courbatures après efforts Extra Life Vision 35

Courbatures après efforts MRE 36

Courbatures après le sport BerriMax 7


ou l’effort

Courbatures toxiniques Zéolite clinoptilolite surfine 46


après efforts

Covid Vit. D3 + K2 liposomales 52

Covid Artemisia annua 58

Covid Sanchlor 69

Covid : prévention CBD 25 mg + vit. D 11

Crampes CBD 25 mg + vit. D 11

Crampes Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Crampes aux mollets Tibétane 20

Crampes aux mollets Chlorure de Mg fossile 56

Crampes d’estomac Silice de prêle 42

Crampes d’estomac Tyro+ – Troubles hyper 54

Crampes d’estomac Silice d’ortie 42

Crevasses EM-X Gold 62

Crise de foie 20 min Compresse chaude in situ foie 0


No
Maladie Produit
Produit

Crohn (maladie de) TCM d’huile de coco 47

Crohn : maladie de EM-X Gold 62

Croissance : retard Quinton hypertonique 63

Cruralgie Hydrotomie au Quinton iso 63

Cryptosporidium Sanchlor 69

Cushing (maladie de) TCM d’huile de coco 47

Cycle menstruel : dérèglements Tyro+ – Troubles hyper 54

Cystite BerriMax 7

Cystite Moringa (poudre feuilles sèches) 72

Cystite chronique D-mannose 70

Cystite interstitielle (fréq. 1) DMSO (en ext.) 73

Cystites des jeunes mariées D-mannose 70

Dartres Silice de prêle 42

Déclin cognitif Vit. D3 + K2 liposomales 52

Déficit de l’attention Soufre organique MSM 65

Dégénérescence d’organes MRE 36

Dégénérescence de certains Extra Life Vision 35


organes

Dégénérescence : combat Ginkgo biloba 48

Dégénérescences organiques Soufre organique MSM 65

Démangeaisons CBD 25 mg 11

Démence Vit. D3 + K2 liposomales 52

Démence sénile Ginkgo biloba 48


No
Maladie Produit
Produit

Déminéralisation Zinc + sélénium 21

Déminéralisation OstéoRenov 40

Déminéralisation osseuse Nacre d’huître 24

Dengue Chlorure de Mg fossile 56

Dents : déchaussement Digilance 29

Dépendance aux opiacés Nuclei quantum 74

Dépression CBD 15 mg 11

Dépôts lipidiques et fibrinoïdes Serrapeptase 57

Dépression Iodine (sol. de Lugol) 15

Dépression Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Dépression Siberia ginseng 25

Dépression Calmophyt 28

Dépression Zéolite clinoptilolite surfine 46

Dépression Vit. D3 + K2 liposomales 52

Dépression Quinton hypertonique 63

Dépression Soufre organique MSM 65

Dépressions légères Graviola 30

Déprime Floracor 31

Déprime CBD 25 mg + vit. D 11

Dermatite séborrhéique (en ext.) Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Dermatites Zéolite clinoptilolite surfine 46

Dermatites inflammatoires Iodine (sol. de Lugol) 15

Dermatites, dermatoses Hydraphyt 27


No
Maladie Produit
Produit

Dermatoses Aloe vera (en ext.) 22

Dermatoses Digilance 29

Dermatoses Chlorure de Mg fossile 56

Dermites infectées Quinton isotonique (oral) 63

Déséquilibre métabolique Serracor NK 34


enzyme/coenzyme

Déséquilibres ioniques Quinton hypertonique 63

Déshydratation organique Aloe vera (en oral) 22

Désinfection de l’eau, ustensiles Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67


cuisine, chirurgie, salle de bains

Désinfection nasale Bétadine spray nasal 8

Désintoxiquant médicamenteux Quinton isotonique (oral) 63

Dévitalisation Quinton hypertonique 63

Diabète Seconde Jeunesse 41

Diabète Coenzyme Q10 51

Diabète Graviola 30

Diabètes 1 et 2 TCM d’huile de coco 47

Diabète 2 : équilibre la glycémie Aloe vera (en oral) 22

Diabète de type 2 Iodine (sol. de Lugol) 15

Diabète type 1 CBD 25 mg 11

Diabète type 2 Digilance 29

Diabète type 2 Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Diabète type 2 Reishi (champignon) 33

Diabète type 2 Serracor NK 34


No
Maladie Produit
Produit

Diabète type 2 Silice d’ortie 42

Diabète type 2 Vit. D3 + K2 liposomales 52

Diabète type 2 Détox 55

Diabète type 2 Serrapeptase 57

Diabète type 2 Neurophyt + TCM 61

Diabète type 2 EM-X Gold 62

Diabète type 2 : améliore Zéolite clinoptilolite surfine 46

Diabète : effets collatéraux (yeux, Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4


nerfs, cœur)

Diabète : évite les pb annexes Bains Salmanoff mixtes 49


(cécité – gangrène) (jaune + blanc)

Diabète : mange la glycation Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4


excessive

Diabète : prévient Capillar Plus 10


les complications du

Diabètes types 1 et 2 Nuclei quantum 74

Diarrhée Baobab : feuilles séchées poudre 6

Diarrhée Argile verte 71

Diarrhée Silice de prêle 42

Diarrhée Silice d’ortie 42

Diarrhée chronique Floracor 31

Diarrhée chronique TCM d’huile de coco 47

Diarrhées Graviola 30

Diarrhées Tyro+ – Troubles hyper 54

Diarrhées infectieuses Digilance 29


No
Maladie Produit
Produit

Diarrhées nerveuses Carbophyt 68

Diarrhées récurrentes Digest-GI 38

Digestion : problèmes Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Digestion : restaure Détox 55

Digestion capricieuse L-gasseri + bromélaïne gamma 26

Digestion difficile Aloe vera (en oral) 22

Digestion difficile Digest-GI 38

Digestion paresseuse Maca (racine) 37

Digestion : problèmes Baobab : feuilles séchées poudre 6

Digestions laborieuses Silice d’ortie 42

Digestions laborieuses TCM d’huile de coco 47

Digestions : lourdeurs Bilior 7 9


et douleurs chroniques

Dioxines : absorbe Bicarbonate de sodium 0

Discopathies Zéolite clinoptilolite surfine 46

Discopathies installées Hydrotomie au Quinton iso 63

Discopathies vertébrales (disques Bains Salmanoff mixtes 49


desséchés) (jaune + blanc)

Distension digestive de l’abdomen Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Diurèse : insuffisante Aiguilles de pin sylvestre gemmo 2


D1

DMLA Sacha inchi (capsules d’huile) 32

DMLA Neurophyt + TCM 61


No
Maladie Produit
Produit

DMLA – dil. 50 % autour œil DMSO (en ext.) 73


(fréq. 2)

DMLA (dégénérescence Extra Life Vision 35


maculaire)

DMLA (stabilisation) Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4

DMLA : risque Capillar Plus 10

Dorsalgies Baume de Russie 45

Douleurs diverses Vit. C liposomale 59

Douleurs (analgésique) Nuclei quantum 74

Douleurs abdominales Digest-GI 38

Douleurs abdominales Tyro+ – Troubles hyper 54

Douleurs arthritiques Baobab : huile de graines (en ext.) 6

Douleurs articulaires CBD 50 mg 11

Douleurs articulaires Siberia ginseng 25

Douleurs articulaires (en ext.) Argile verte 71

Douleurs articulaires Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14


et musculaires

Douleurs articulaires Baume de Russie 45


et musculaires

Douleurs chroniques Vit. D3 + K2 liposomales 52

Douleurs diverses (fréq. 1) DMSO (en ext.) 73

Douleurs en tous genres CBD 50 mg 11

Douleurs et fatigue musculaires Tyro+ – Troubles hyper 54

Douleurs extrêmes CBD 50 mg 11

Douleurs inflammatoires Jus de pomme de terre crue 39


No
Maladie Produit
Produit

Douleurs inflammatoires Baume de Russie 45

Douleurs inflammatoires diverses Serracor NK 34

Douleurs inflammatoires Argile verte 71


périphériques

Douleurs intestinales Aloe vera (en oral) 22

Douleurs musculaires, osseuses, Digilance 29


articulaires

Douleurs : musculaires Nuclei quantum 74


et articulaires

Draineur général Silice d’ortie 42

Dysenterie Baobab : feuilles séchées poudre 6

Dysenterie Graviola 30

Dysenterie Quinton isotonique (oral) 63

Dystrophie musculaire TCM d’huile de coco 47

Dystrophie musculaire Coenzyme Q10 51

Ébriété Carbophyt 68

Ecchymoses Ginkgo biloba (en ext.) 48

Éclampsie (HTA de grossesse) Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Écorchures, coupures Aloe vera (en ext.) 22

Eczéma Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Eczéma Iodine (sol. de Lugol) 15

Eczéma Oreganol 50

Eczéma Détox 55

Eczéma EM-X Gold 62


No
Maladie Produit
Produit

Eczéma Quinton isotonique (oral) 63

Eczéma Soufre organique MSM 65

Eczéma Baobab : huile de graines (en ext.) 6

Eczéma Silice de prêle 42

Eczéma bébés Quinton iso bébés (oral) 63

Eczéma rebelle Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Efforts physiques violents Siberia ginseng 25

Élastine : déficit Silice de prêle 42

Électrosensibilité TCM d’huile de coco 47

Électrosensibilité Iodine (sol. de Lugol) 15

Embolie pulmonaire Serracor NK 34

Embonpoint L-gasseri + bromélaïne gamma 26

Emphysème Soufre organique MSM 65

Empoisonnement cellulaire EM-X Gold 62

Empoisonnement grave Carbophyt 68

Empoisonnement organique Détox 55


général

Encéphalopathie hépatique Carbophyt 68

Encéphalopathies CBD 25 mg 11

Encombrement des organes filtres Jus de pomme de terre crue 39

Endocardite virale Feralen 12

Endocriniens : dérèglements Zéolite clinoptilolite surfine 46

Endométriose CBD 25 mg 11

Endométriose Serracor NK 34
No
Maladie Produit
Produit

Endométriose Feralim 43

Endurance physique : manque BerriMax 7

Énergie : manque Coenzyme Q10 51

Énergie : perte Siberia ginseng 25

Enfants retardés Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Engelures Ginkgo biloba (en ext.) 48

Engelures Baume de Russie 45

Engelures, gerçures, crevasses Aloe vera (en ext.) 22

Engourdissements des mains Tibétane 20


et des pieds

Entérocoque Sanchlor 69

Entorse (fréq. 1) DMSO (en ext.) 73

Entorse, foulure Aloe vera (en ext.) 22

Entraînement sportif intense Quinton hypertonique 63

Enzymes : carence EM-X Gold 62

Enzymes : carence Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Épidémies : préventif Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67

Épididymite aiguë (fréq. 1) DMSO (en ext.) 73

Épilepsie Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Épilepsies ADN téloméractives 1

Épilepsies TCM d’huile de coco 47

Épilepsies Nuclei quantum 74

Épilepsies + crise CBD 15 mg 11

Épine calcanéenne (fréq. 2) DMSO (en ext.) 73


No
Maladie Produit
Produit

Épuisement physique Silice de prêle 42

Épuisement physique et psychique Quinton hypertonique 63

Équilibre acido-basique Zinc + sélénium 21

Érection : difficile ou incomplète Maca (racine) 37

Érection : troubles Iodine (sol. de Lugol) 15

Érésipèle Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Éréthisme cardiovasculaire Tyro+ – Troubles hyper 54

Éructations Digest-GI 38

Éruptions Graviola 30

Érythème fessier du nourrisson Aloe vera (en ext.) 22

Escarres Aloe vera (en ext.) 22

Essoufflée au moindre effort Feralim 43

Estomac : brûlures Zéolite clinoptilolite surfine 46

Estomac : brûlures – acidité Aloe vera (en oral) 22

Estomac : crampes ulcère Silice de prêle 42

Estomac : lourdeurs Silice d’ortie 42

Estomac : brûlures Digest-GI 38

Excès alimentaire, alcoolique Bilior 7 9


ou médicamenteux

Expectorant Aiguilles de pin sylvestre gemmo 2


D1

Extractions dentaires : suite Aloe vera (en ext.) 22

Faiblesse immunitaire Hydraphyt 27

Faiblesse musculaire CBD 25 mg + vit. D 11


No
Maladie Produit
Produit

Fatigue Capillar Plus 10

Fatigue – épuisement CBD 25 mg + vit. D 11

Fatigue chronique CBD 50 mg 11

Fatigue chronique Iodine (sol. de Lugol) 15

Fatigue chronique Siberia ginseng 25

Fatigue chronique Seconde Jeunesse 41

Fatigue chronique Vit. C liposomale 59

Fatigue chronique : syndrome Coenzyme Q10 51

Fatigue persistante Maca (racine) 37

Fatigue physique Aloe vera (en oral) 22


et/ou intellectuelle

Femme : instabilité, nervosité, Seconde Jeunesse 41


paresse

Fer : carence Feralim 43

Fibrine en dépôts Serracor NK 34

Fibrome Bromélaïne gamma 60

Fibrome Menophyt 66

Fibrome saignant Feralim 43

Fibromes Digilance 29

Fibromes utérins Iodine (sol. de Lugol) 15

Fibromes utérins Serracor NK 34

Fibromyalgie CBD 50 mg 11

Fibromyalgie Aloe vera (en ext.) 22

Fibromyalgie Aloe vera (en oral) 22


No
Maladie Produit
Produit

Fibromyalgie Calmophyt 28

Fibromyalgie Vit. D3 + K2 liposomales 52

Fibromyalgie Seconde Jeunesse 41

Fibromyalgie (associé avec Co Ginkgo biloba 48


enzyme Q10)

Fibrose kystique Digest-GI 38

Fibroses Reishi (champignon) 33

Fièvre Baobab : feuilles séchées poudre 6

Fièvre Graviola 30

Fièvre : bloque à 38,5° Chlorure de Mg fossile 56

Fièvres Moringa (poudre feuilles sèches) 72

Fiévreux : état Air des montagnes 3

Flatulences – gaz Floracor 31

Flatulences Jus de pomme de terre crue 39

Flatulences Digest-GI 38

Flatulences Carbophyt 68

Flatulences – gaz Tyro+ – Troubles hyper 54

Flore intestinale déséquilibrée Baobab : feuilles séchées poudre 6

Flore intestinale déséquilibrée EM-X Gold 62

Fluor : intoxication Iodine (sol. de Lugol) 15

Foie : insuffisance ADN téloméractives 1

Foie : insuffisance Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Foie : insuffisance Chlorure de Mg fossile 56


No
Maladie Produit
Produit

Foie : insuffisance Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Foie déficient Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4

Foie engorgé Nuclei quantum 74

Foie engorgé et intoxiqué Phycocyanine 53

Foie engorgé et intoxiqué Détox 55

Foie et rate : troubles Silice de prêle 42

Foie et VB : paresse Détox 55

Foie fragile Capillar Plus 10

Foie intoxiqué Glutyl 2 13

Foie paresseux Digilance 29

Foie : insuffisance ou congestion Bilior 7 9

Foie : intoxication alcoolique L-Glutathion réduit liposomal 16

Foie : troubles Graviola 30

Fonction cérébrale défectueuse Neurophyt + TCM 61

Force physique : en baisse Extra Life Vision 35

Force physique déclinante MRE 36

Fortifiant Silice d’ortie 42

Fourmillements, picotements Tibétane 20


des membres

Fractures Vit. D3 + K2 liposomales 52

Fractures Quinton hypertonique 63

Fractures et fêlures osseuses Nacre d’huître 24

Frigidité Maca (racine) 37


No
Maladie Produit
Produit

Frilosité Iodine (sol. de Lugol) 15

Frilosité Maca (racine) 37

Fringales Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Fuites urinaires hommes Prostaphyt 17

Furanes : absorbe Bicarbonate de sodium 0

Furonculose rebelle Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Gangrène Iodine (sol. de Lugol) 15

Gangrène diabétique (+ méthode Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4


Gardelle)

Gastralgies Jus de pomme de terre crue 39

Gastralgies Argile verte 71

Gastralgies 20 min Compresse chaude in situ 0


estomac

Gastrite Extra Life Vision 35

Gastrite MRE 36

Gastrite Jus de pomme de terre crue 39

Gastrite Silice de prêle 42

Gastrite EM-X Gold 62

Gastrite Baobab : feuilles séchées poudre 6

Gastro-entérite Argile verte 71

Gastro-entérite (en 24 heures) Feralen 12

Gastro-entérite Digilance 29

Gastro-entérite Quinton isotonique (oral) 63

Gastro-entérite Silice d’ortie 42


No
Maladie Produit
Produit

Gastro-entérite bébés Quinton iso bébés (oral) 63

Gencives : affections Coenzyme Q10 51

Gencives : assainit et régénère Soufre organique MSM 65

Génotoxiques vaccinaux ADN téloméractives 1

Gingivites, glossites et stomatites Aloe vera (en ext.) 22

Glaires gastriques ou pulmonaires Silice de prêle 42

Glande pinéale : faible Iodine (sol. de Lugol) 15

Glandes surrénales et séminales : Siberia ginseng 25


en hypo

Glaucome CBD 25 mg 11

Glaucome Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Glaucome (en 2 mois) Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4

Glaucome –1 goutte à 25 % ds DMSO (en ext.) 73


l’œil (fréq. 2)

Glutathion usé : régénère Glutyl 2 13

Glycémie : hyper Seconde Jeunesse 41

Glycémie : hyper Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4

Glycémie : hypo Bilior 7 9

Glycémie : hypo Iodine (sol. de Lugol) 15

Goitre Iodine (sol. de Lugol) 15

Goutte Jus de pomme de terre crue 39

Goutte Silice de prêle 42

Goutte Vit. C liposomale 59

Goutte Iodine (sol. de Lugol) 15


No
Maladie Produit
Produit

Goutte 12 ml par jour Iodine (sol. de Lugol) 15

Goutte gros orteil (fréq. 1) DMSO ( en ext) 73

Grains de beauté Iodine (sol. de Lugol) 15

Graisses excessives L-gasseri + bromélaïne gamma 26

Graphène : élimination du sang Sanchlor 69

Graphène : antidote Aiguilles de pin sylvestre gemmo 2


D1

Grippe Air des montagnes 3

Grippe Oregaresp 44

Grippe Graviola 30

Grippe Vit. D3 + K2 liposomales 52

Grippe Chlorure de Mg fossile 56

Grippe Sanchlor 69

Grippe (en 2 jours) Feralen 12

Grossesse Vit. C liposomale 59

Grossesse Quinton hypertonique 63

Grossesse Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Grossesse : complications Vit. D3 + K2 liposomales 52

Grossesse : pré-éclampsie Vit. D3 + K2 liposomales 52

Grossesse : soutient – évite Chlorure de Mg fossile 56


l’éclampsie

Grossesse : travail ou Vit. D3 + K2 liposomales 52


accouchement prématurés

Haleine : mauvaise d’origine Aloe vera (en oral) 22


digestive – colite
No
Maladie Produit
Produit

Haleine fétide Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Hallux valgus (fréq. 2) DMSO (en ext.) 73

Helicobacter pylori Sanchlor 69

Hématome au moindre coup Vit. C liposomale 59

Hémiplégie Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Hémiplégies : séquelles Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Hémochromatose Saignées 0

Hémoglobine – globules rouges : Chlorophyt (chlorophylle 64


stimule la production concentrée)

Hémoptysie Silice de prêle 42

Hémorragies Silice de prêle 42

Hémorragies : suites Feralim 43

Hémorroïdes Aloe vera (en oral) 22

Hémorroïdes Serracor NK 34

Hémorroïdes Silice de prêle 42

Hémorroïdes Serrapeptase 57

Hémorroïdes Ginkgo biloba 48

Hépatique et biliaire : paresse Aloe vera (en oral) 22

Hépatite Capillar Plus 10

Hépatite EM-X Gold 62

Hépatite C Bilior 7 9

Hépatite virale Détox 55


No
Maladie Produit
Produit

Hépatite C Nuclei quantum 74

Hépatites ADN téloméractives 1

Hépatites Phycocyanine 53

Hépatites Sanchlor 69

Hernies discales Hydrotomie au Quinton iso 63

Herpès Reishi (champignon) 33

Herpès EM-X Gold 62

Herpès Sanchlor 69

Herpès buccal et génital Aloe vera (en ext.) 22

Herpès génital (fréq. 2) DMSO (en ext.) 73

Herpès génital, fibromyalgie Iodine (sol. de Lugol) 15

Herpès HSV1 et HSV2 Zéolite clinoptilolite surfine 46

Herpès labial et génital Aloe vera (en oral) 22

Herpès zoster : varicelle Feralen 12

Homéostasie (instabilité des CBD 25 mg 11


paramètres)

Homéostasie faible Quinton isotonique (oral) 63

Hormones : déséquilibre Digilance 29

Humeur instable Zinc + sélénium 21

Humeur instable Soufre organique MSM 65

Humeur maussade Iodine (sol. de Lugol) 15

Hydrocéphalie Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Hyperactivité mentale Soufre organique MSM 65

Hyperglycémie Coenzyme Q10 51


No
Maladie Produit
Produit

Hypertension Capillar Plus 10

Hypertension CBD 25 mg 11

Hypertension Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Hypertension Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Hypertension Coenzyme Q10 51

Hypertension Chlorure de Mg fossile 56

Hypertension Neurophyt + TCM 61

Hypertension Nuclei quantum 74

Hypertension Graviola 30

Hypertension 12 ml par jour Iodine (sol. de Lugol) 15

Hypertension artérielle Seconde Jeunesse 41

Hypertension artérielle Vit. D3 + K2 liposomales 52

Hypertension artérielle Calmophyt 28

Hypertension artérielle Quinton hypertonique 63

Hypertension nerveuse Quercévital 18

Hyperthyroïdie Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Hyperviscosité sanguine Neurophyt + TCM 61

Hypoglycémie CBD 15 mg 11

Hypophyse : hypo Iodine (sol. de Lugol) 15

Hypotension Siberia ginseng 25

Hypotension artérielle Quinton hypertonique 63

Hypotension artérielle Moringa (poudre feuilles sèches) 72

Hypoxie cellulaire Feralen 12


No
Maladie Produit
Produit

Hypoxie cellulaire Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Idées noires Calmophyt 28

Immunitaire système : Oreganol 50


puissant stimulant

Immunité : augmente Coenzyme Q10 51

Immunité : renforce Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67

Immunité déficiente Siberia ginseng 25

Immunité faible Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Immunité insuffisante Quercévital 18

Immunité faible Digilance 29

Immunodéficience Zinc + sélénium 21

Immunodéficience MRE 36

Immunodéficience Jus de pomme de terre crue 39

Immunodéficience Vit. D3 + K2 liposomales 52

Immunodéficience Artemisia annua 58

Immunodéficience ADN téloméractives 1

Immunodéficience Capillar Plus 10

Immunodéficience Feralen 12

Immunodéficience Neurophyt + TCM 61

Immunodéficience Phycocyanine 53

Immunodépession L-Glutathion réduit liposomal 16

Immunodépression Seconde Jeunesse 41

Immunodépression Air des montagnes 3


No
Maladie Produit
Produit

Impuissance Maca (racine) 37

Incontinence Silice de prêle 42

Indigestion Jus de pomme de terre crue 39

Indigestion Soufre organique MSM 65

Infarctus : récupération Zéolite clinoptilolite surfine 46

Infarctus : risque Capillar Plus 10

Infarctus du myocarde : Quercévital 18


récupération

Infarctus du myocarde : Bains Salmanoff mixtes 49


récupération (jaune + blanc)

Infarctus du myocarde : séquelles Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Infarctus du myocarde: suite Coenzyme Q10 51

Infection à Salmonelle Sanchlor 69

Infection de la vessie Iodine (sol. de Lugol) 15

Infection des gencives Iodine (sol. de Lugol) 15

Infection et congestion utéro- Quinton isotonique (oral) 63


vaginale

Infection plaies Aloe vera (en ext.) 22

Infection urinaire Baobab : feuilles séchées poudre 6

Infection urinaire Sanchlor 69

Infection urinaire (+ D-mannose) Oreganol 50

Infection vaginale à levures Iodine (sol. de Lugol) 15

Infection virale foie Feralen 12


et voies aériennes

Infection voie resp. sup. Vit. D3 + K2 liposomales 52


No
Maladie Produit
Produit

Infections Capillar Plus 10

Infections Iodine (sol. de Lugol) 15

Infections Aloe vera (en oral) 22

Infections : toutes Chlorure de Mg fossile 56

Infections à répétition Digilance 29

Infections bactériennes Reishi (champignon) 33

Infections bactériennes Nuclei quantum 74

Infections bactériennes Sanchlor 69

Infections diverses Feralen 12

Infections diverses Zinc + sélénium 21

Infections diverses Vit. C liposomale 59

Infections mycosiques Iodine (sol. de Lugol) 15

Infections nosocomiales EM-X Gold 62

Infections ORL Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67

Infections par bactérie Influenzae Feralen 12

Infections par levures Oreganol 50

Infections urinaires Digilance 29

Infections virales (VIH, Coronas) Nuclei quantum 74

Inflammation chronique CBD 25 mg 11

Inflammation chronique CBD 50 mg 11

Inflammation chronique Hydraphyt 27

Inflammation urinaire Silice de prêle 42

Inflammations Aloe vera (en oral) 22


No
Maladie Produit
Produit

Inflammations Reishi (champignon) 33

Inflammations Jus de pomme de terre crue 39

Inflammations Seconde Jeunesse 41

Inflammations Neurophyt + TCM 61

Inflammations Nuclei quantum 74

Inflammations Capillar Plus 10

Inflammations : toutes Chlorure de Mg fossile 56

Inflammations chroniques : toutes Quercévital 18

Inflammations diverses Zinc + sélénium 21

Inflammations diverses Extra Life Vision 35

Inflammations diverses MRE 36

Inflammations diverses Phycocyanine 53

Inflammations diverses Serrapeptase 57

Inflammations internes Baobab : feuilles séchées poudre 6

Inflammations intestinales Bilior 7 9

Inflammations ou traumatismes Aloe vera (en ext.) 22


articulaires

Inflammations pulmonaires Glutyl 2 13


et digestives

Inflammations Siberia ginseng 25

Inflammations : terrain Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Insecticide Nuclei quantum 74

Insomnies Aubépine forte 5

Insomnies CBD 25 mg 11
No
Maladie Produit
Produit

Insomnies CBD 10 mg spécial sommeil 11

Insomnies Seconde Jeunesse 41

Insomnies Zéolite clinoptilolite surfine 46

Insomnies Vit. C liposomale 59

Insomnies Calmophyt 28

Insomnies Graviola 30

Insuffisance cardiaque Quercévital 18

Insuffisance cardiaque Serracor NK 34

Insuffisance cardiaque Coenzyme Q10 51

Insuffisance rénale : complications Carbophyt 68

Intellect : baisse de capacité Siberia ginseng 25

Intestin poreux Digilance 29

Intestin poreux Floracor 31

Intestin : inflammation Baobab : feuilles séchées poudre 6

Intestin : tous problèmes Floracor 31

Intestinaux : problèmes Serrapeptase 57

Intestinaux : tous troubles Carbophyt 68

Intestins : crampes, douleurs, BerriMax 7


transit

Intestins : troubles EM-X Gold 62

Intestins : tous désordres Argile verte 71

Intolérance aux températures Tyro+ – Troubles hyper 54


élevées

Intolérances Floracor 31
No
Maladie Produit
Produit

Intolérances alimentaires Digest-GI 38

Intoxication – antipoison Vit. C liposomale 59

Intoxication alimentaire Détox 55

Intoxication au brome Iodine (sol. de Lugol) 15

Intoxication au cuivre Siberia ginseng 25


et au cadmium

Intoxication au fluor Iodine (sol. de Lugol) 15

Intoxication au mercure L-Glutathion réduit liposomal 16

Intoxication aux métaux Iodine (sol. de Lugol) 15

Intoxication grave Carbophyt 68

Intoxication médicamenteuse Détox 55

Intoxication médicamenteuse EM-X Gold 62

Intoxication organique Argile verte 71

Intoxication organique par radicaux Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4


libres

Intoxications médicamenteuses Graviola 30

Irradiation Argile verte 71

Irradiation : séquelles Chlorure de Mg fossile 56

Irradiation radioactive EM-X Gold 62

Irradiation : radioactivité, rayons X Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Irradiations ionisantes Reishi (champignon) 33

Irradiations : séquelles Ginkgo biloba 48

Irrigation cérébrale insuffisante Ginkgo biloba 48

Irritabilité Aubépine forte 5


No
Maladie Produit
Produit

Irritabilité Tyro+ – Troubles hyper 54

Irritabilité femmes Seconde jeunesse 41

Irritations cutanées Aloe vera (en ext.) 22

Jambes lourdes Tibétane 20

Jambes lourdes Ginkgo biloba 48

Jaunisse (ictère) Bilior 7 9

Jaunisse et bilirubine des nouveau- Carbophyt 68


nés

Jet urinaire faiblissant Prostaphyt 17

Kystes CBD 50 mg 11

Kystes L-gasseri + bromélaïne gamma 26

Kystes Digilance 29

Kystes Serrapeptase 57

Kystes Bromélaïne gamma 60

Kystes (en compresse Chlorure de Mg fossile 56


permanente)

Kystes aux seins Iodine (sol. de Lugol) 15

Kystes divers Iodine (sol. de Lugol) 15

Kystes ovariens Iodine (sol. de Lugol) 15

Kystes ovariens Menophyt 66

Lésions traumatiques cérébrales TCM d’huile de coco 47

Leucémie Phycocyanine 53

Leucémie Sanchlor 69

Leucémie lymphoïde chronique Graviola 30


No
Maladie Produit
Produit

Leucémie myéloïde chronique Graviola 30

Libido : baisse Siberia ginseng 25

Libido déficiente (hommes, Maca (racine) 37


femmes)

Libido : baisse Seconde Jeunesse 41

Lichen Quinton isotonique (oral) 63

Longévité : augmente Coenzyme Q10 51

Lumbago Baobab : feuilles séchées poudre 6

Lumbago Baume de Russie 45

Lumbagos chroniques Hydrotomie au Quinton iso 63

Lupus érythémateux Aloe vera (en ext.) 22

Lupus érythémateux Soufre organique MSM 65

Lymphocytes insuffisants Glutyl 2 13

Lymphome Graviola 30

Lymphome Bromélaïne gamma 60

Maigreur extrême Digilance 29

Malabsorption des graisses TCM d’huile de coco 47

Maladie d’Alzheimer Seconde Jeunesse 41

Maladie de Basedow Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Maladie de Basedow Iodine (sol. de Lugol) 15

Maladie de Behçet Digilance 29

Maladie de Crohn CBD 50 mg 11

Maladie de Crohn Digest-GI 38

Maladie de Crohn TCM d’huile de coco 47


No
Maladie Produit
Produit

Maladie de Crohn EM-X Gold 62

Maladie de Cushing TCM d’huile de coco 47

Maladie de Huntington (chorée) TCM d’huile de coco 47

Maladie de Hutchinson Coenzyme Q10 51

Maladie de la hanche Iodine (sol. de Lugol) 15

Maladie de Lapeyronie (fréq. 2) DMSO ( en ext) 73

Maladie de Lyme Coenzyme Q10 51

Maladie de Lyme Serrapeptase 57

Maladie de Lyme Artemisia annua 58

Maladie de Lyme Sanchlor 69

Maladie de Lyme (grand CBD 25 mg 11


soulagement)

Maladie de Lyme (alterner Oreganol 50


avec Sanchlor)

Maladie de Lyme : soulage Carbophyt 68


les poussées

Maladie de Paget Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Maladie de Parkinson TCM d’huile de coco 47

Maladie de Raynaud Ginkgo biloba 48


(extrémités froides)

Maladies auto-immunes Aloe vera (en oral) 22

Maladies auto-immunes Vit. D3 + K2 liposomales 52

Maladies auto-immunes ADN téloméractives 1

Maladies auto-immunes Digilance 29


No
Maladie Produit
Produit

Maladies cardiaques Vit. D3 + K2 liposomales 52

Maladies chroniques diverses Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Maladies de la peau CBD 25 mg + vit. D 11

Maladies de la vieillesse Aloe vera (en oral) 22

Maladies dégénératives ADN téloméractives 1

Maladies dégénératives Iodine (sol. de Lugol) 15

Maladies épidémiques Phycocyanine 53

Maladies épidémiques Chlorure de Mg fossile 56

Maladies infantiles Chlorure de Mg fossile 56

Maladies infectieuses Chlorure de Mg fossile 56

Maladies mentales ADN téloméractives 1

Maladies neurodégénératives Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4

Maladies neurodégénératives Glutyl 2 13

Maladies neurodégénératives TCM d’huile de coco 47

Maladies nosocomiales Sanchlor 69

Maladies nosocomiales : Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14


préventif et curatif

Maladies psychiques Digilance 29

Maladies tropicales Chlorure de Mg fossile 56

Maladies tropicales Sanchlor 69

Maladies virales ADN téloméractives 1

Maladies virales Zinc + sélénium 21

Maladies virales Siberia ginseng 25

Maladies virales Phycocyanine 53


No
Maladie Produit
Produit

Maladies virales et bactériennes Aloe vera (en oral) 22

Malaria Iodine (sol. de Lugol) 15

Malaria Graviola 30

Malaria (paludisme) Chlorure de Mg fossile 56

Masse sanguine : reconstitue Quinton isotonique (oral) 63

Mastoses fibrokystiques Iodine (sol. de Lugol) 15

Mauvaises odeurs corporelles Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Maux de dents (fréq. 1) DMSO (en ext.) 73

Membranes cellulaires abîmées Glutyl 2 13

Membres et extrémités froides Capillar Plus 10

Membres et extrémités froides Neurophyt + TCM 61

Mémoire (perte de) BerriMax 7

Mémoire : perte liée à l’âge TCM d’huile de coco 47

Mémoire défaillante ADN téloméractives 1

Mémoire défaillante Capillar Plus 10

Mémoire défaillante CBD 25 mg 11

Mémoire défaillante Siberia ginseng 25

Mémoire défaillante Ginkgo biloba 48

Mémoire défaillante Aloe vera (en oral) 22

Mémoire défaillante MRE 36

Mémoire défaillante Extra Life Vision 35


et concentration difficile

Ménopause Maca (racine) 37


No
Maladie Produit
Produit

Ménopause : troubles associés Quinton hypertonique 63

Ménopause : bouffées de chaleur Aubépine forte 5

Ménopause : troubles Seconde Jeunesse 41

Ménopause : troubles congestifs Aubépine forte 5

Métabolismes perturbés EM-X Gold 62

Métastases Bromélaïne gamma 60

Métaux en excès (fer cuivre) Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4

Métaux lourds (Al, Hg, Pb, Cd…) Feralen 12

Métaux lourds Glutyl 2 13


(mercure, arsenic, cadmium)

Métaux lourds : (toxiques – Al, Hg, Soufre organique MSM 65


Pb, Cd…) : aide à éliminer

Métaux lourds : absorbe Bicarbonate de sodium 0

Métaux lourds : dépollue (fréq. 2) DMSO (en ext.) 73

Métaux toxiques (As, Cd, Hg, Pb) Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4

Métaux toxiques Iodine (sol. de Lugol) 15


(Pb, Cd, As, Aal, Hg)

Micro-circulation cérébrale : Ginkgo biloba 48


déficiente

Micro-organismes de fermentation EM-X Gold 62


minoritaires

Micro-organismes de putréfaction EM-X Gold 62


majoritaires

Mictions : débuts et fins en goutte Prostaphyt 17


à goutte

Mictions : faibles, surtout la nuit Prostaphyt 17


No
Maladie Produit
Produit

Migraine CBD 50 mg 11

Migraine Calmophyt 28

Minéralisation : ostéoporose, Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14


fractures

Mitochondries : faiblissantes Seconde Jeunesse 41

Mongolisme Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Mononucléose Sanchlor 69

Mononucléose infectieuse Feralen 12

Mucolytique Aiguilles de pin sylvestre gemmo 2


D1

Muguet (champignons Chlorophyt (chlorophylle 64


dans la bouche) concentrée)

Muqueuses abîmées Nacre d’huître 24

Muqueuses endommagées Argile verte 71

Muqueuses respiratoires BerriMax 7


enflammés

Musculaires : défaillances Vit. D3 + K2 liposomales 52

Musculature : fonte Seconde Jeunesse 41

Myasthénie grave TCM d’huile de coco 47

Mycose des pieds Soufre organique MSM 65

Mycose des pieds EM-X Gold 62

Mycose ongles Silice de prêle 42

Mycose plantaire (en externe) Zéolite clinoptilolite surfine 46

Mycoses Bicarbonate de sodium 0

Mycoses Nuclei quantum 74


No
Maladie Produit
Produit

Mycoses externes et internes Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Mycoses internes Zéolite clinoptilolite surfine 46

Mycoses vaginales Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Mycoses, surtout vaginale Aloe vera (en oral) 22

Myélome Graviola 30

Myélopathie chronique Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Myocardite Nuclei quantum 74

Myopathies mitochondriales TCM d’huile de coco 47

Nausées chroniques Digilance 29

Nerveux : équilibrant Chlorure de Mg fossile 56

Nerveux : déséquilibres et chocs Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Nervosité Vagostim 19

Nervosité Graviola 30

Nervosité Tyro+ – Troubles hyper 54

Nervosité féminine Seconde Jeunesse 41

Neurodermite EM-X Gold 62

Neuromusculaires : BerriMax 7
fonctions affaiblies

Neuropathies diabétiques Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4

Névralgies Graviola 30

Névrite Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)
No
Maladie Produit
Produit

Névrites et névralgies diverses Baume de Russie 45

Névrose Zéolite clinoptilolite surfine 46

Nez bouché Air des montagnes 3

Nitrate dans le sang Digilance 29

Nodules Iodine (sol. de Lugol) 15

Nutrition cellulaire : déséquilibre Quinton isotonique (oral) 63

Obésité L-gasseri + bromélaïne gamma 26

Obésité Seconde Jeunesse 41

Obésité Coenzyme Q10 51

Obésité Nuclei quantum 74

Obstructions capillaires du cerveau Neurophyt + TCM 61

Œdème cérébral Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Œdème généralisé Silice de prêle 42

Œdème inflammatoire local Baume de Russie 45

Œdèmes Capillar Plus 10

Œdèmes Iodine (sol. de Lugol) 15

Œdèmes Digilance 29

Œdèmes Silice d’ortie 42

Œdèmes Zéolite clinoptilolite surfine 46

Œdèmes Vit. C liposomale 59

Œdèmes des membres inférieurs Ginkgo biloba 48

Oligurie Glutyl 2 13

Ongles fragiles Baobab : huile de graines (en ext.) 6


No
Maladie Produit
Produit

Ongles mous, cassants, dédoublés Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Oreilles : inflammation Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67

Oreilles : problèmes divers Serrapeptase 57

Organisme entoxiné Bilior 7 9

ORL : affections Bromélaïne gamma 60

Orteils en marteau (fréq. 2) DMSO (en ext.) 73

Os fragiles CBD 25 mg + vit. D 11

Os : affections Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Ostéomalacie Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Ostéoporose Nacre d’huître 24

Ostéoporose Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Ostéoporose Maca (racine) 37

Ostéoporose Silice de prêle 42

Ostéoporose Quinton hypertonique 63

Ostéoporose Nuclei quantum 74

Ostéoporose Vit. D3 + K2 liposomales 52

Ostéoporose Tyro+ – Troubles hyper 54

Ostéoporose de la ménopause Menophyt 66

Ostéoporose de la ménopause OstéoRenov 40

Ostéoporose des plus de 70 ans OstéoRenov 40

Ostéoporose féminine Seconde Jeunesse 41

Otite 20 min Compresses, chaude oreille 0


+ froide cou

Ovaires polykystiques Seconde Jeunesse 41


No
Maladie Produit
Produit

Ovarite Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Oxyde de graphène : présence L-Glutathion réduit liposomal 16


dans le sang

Oxygénant cellulaire Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Oxygénant puissant Feralen 12

Oxygénant puissant : dans cancer Chlorure de Mg fossile 56


et tétanos

Oxygénation cellulaire : Chlorophyt (chlorophylle 64


dans les cancers, sida, arthrose concentrée)

Pâleur Feralim 43

Palpitations Aubépine forte 5

Palpitations cardiaques Vagostim 19

Paludisme Baobab : feuilles séchées poudre 6

Paludisme Graviola 30

Paludisme (malaria) Chlorure de Mg fossile 56

Paludisme (remède exceptionnel) Artemisia annua 58

Panaris Iodine (sol. de Lugol) 15

Pancréas : insuffisances Digest-GI 38

Pancréatite chronique TCM d’huile de coco 47

Papillomes (en compresse Chlorure de Mg fossile 56


permanente)

Parasites divers Graviola 30

Parasites en tous genres Nuclei quantum 74

Parkinson CBD 25 mg 11
No
Maladie Produit
Produit

Parkinson L-Glutathion réduit liposomal 16

Parkinson Digilance 29

Parkinson Coenzyme Q10 51

Parkinson : améliore EM-X Gold 62

Parodontite Sanchlor 69

Parodontose (ajout au dentifrice) Zéolite clinoptilolite surfine 46

Pathologies inflammatoires Tibétane 20


(toutes)

Pathologies parasitaires Sanchlor 69

Pathologies virales Sanchlor 69

Peau : assainit Soufre organique MSM 65

Peau : infections parasitaires Zéolite clinoptilolite surfine 46


(mycoses…)

Peau : perte d’élasticité BerriMax 7

Peau : protège des dégâts des UV ADN téloméractives 1

Peau : Purpura Vit. C liposomale 59

Peau : séborrhée Zéolite clinoptilolite surfine 46

Peau : vieillissement par trop d’UV Seconde Jeunesse 41

Peau accidentée Nacre d’huître 24

Peau du visage flétrie Baume de Russie 45

Peau fragile – déshydratée Zéolite clinoptilolite surfine 46

Peau sèche Baobab : huile de graines (en ext.) 6

Peau sèche CBD 25 mg + vit. D 11

Peau sèche Iodine (sol. de Lugol) 15


No
Maladie Produit
Produit

Peau sèche, plissée Seconde Jeunesse 41

Peau sensible, irritable Ginkgo biloba 48

Peau vieillie ADN téloméractives 1

Peau vieillie Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Peau vieillie, ridée, ou flasque Silice de prêle 42

Peau : affections Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Peau : imperfections Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Peau : rides et taches de vieillesse Extra Life Vision 35

Peau : rides et taches de vieillesse MRE 36

Peau : vieillissement Capillar Plus 10

Peau flasque Baobab : huile de graines (en ext.) 6

Performances intellectuelles : TCM d’huile de coco 47


insuffisantes

Performances physiques : TCM d’huile de coco 47


insuffisantes

Performances sportives Siberia ginseng 25


insuffisantes

Péricardite Nuclei quantum 74

Peroxydes résiduels Feralen 12


(ex : eau oxygénée)

Perte de cheveux CBD 25 mg + vit. D 11

Pessimisme Floracor 31

Phlébite Serracor NK 34

Phlegmon Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Pipi au lit Silice de prêle 42


No
Maladie Produit
Produit

Piqûres d’insectes, d’orties, Aloe vera (en ext.) 22


de méduses

Plaies : désinfection Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67

Plaies : neutralise la fibrine de Chlorophyt (chlorophylle 64


protection des bactéries (en ext.) concentrée)

Plaies chirurgicales Aloe vera (en ext.) 22

Plaies infectées Chlorure de Mg fossile 56

Plaies infectées (en compresse Chlorure de Mg fossile 56


permanente)

Plaies nécrotiques (gangrènes, Chlorophyt (chlorophylle 64


brûlures, ulcères…) : désodorise concentrée)
(en ext.)

Plaque dentaire : élimine Soufre organique MSM 65

Pneumonie Sanchlor 69

Poids excessif Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Poids excessif TCM d’huile de coco 47

Polio : séquelles Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Pollution générale du corps EM-X Gold 62

Polyarthrite rhumatoïde : douleurs Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Polynévrites Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Polypes (en compresse Chlorure de Mg fossile 56


permanente)

Polypes intestinaux Floracor 31


No
Maladie Produit
Produit

Prostate : adénome Iodine (sol. de Lugol) 15

Prostatisme (hypertrophie) Moringa (poudre feuilles sèches) 72

Prostatite Quercévital 18

Prostatite D-mannose 70

Prostatite : PSA élevés Prostaphyt 17

Protection cardiovasculaire Hydraphyt 27

Protéines : synthèse déficiente Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Protozoaires Sanchlor 69

Protozoaires Giardia intestinalis Sanchlor 69

Prurigo Quinton isotonique (oral) 63

Prurit généralisé Carbophyt 68

Prurit intense Silice de prêle 42

Psoriasis Quinton isotonique (oral) 63

Psoriasis Nuclei quantum 74

Psoriasis Iodine (sol. de Lugol) 15

Psoriasis Aloe vera (en ext.) 22

Psychiatrie : adjuvant Zéolite clinoptilolite surfine 46

Pulmonaires : maladies Silice de prêle 42

Pulmonaires : pathologies Serrapeptase 57

Rachitisme Baobab : feuilles séchées poudre 6

Rachitisme Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Rachitisme Chlorure de Mg fossile 56

Rachitisme Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14


No
Maladie Produit
Produit

Radicaux libres Reishi (champignon) 33

Radicaux libres pathogènes Feralen 12

Radicaux libres toxiques ADN téloméractives 1

Radicaux libres toxiques Glutyl 2 13

Radicaux libres toxiques : excès Quercévital 18

Radioactivité ambiante Iodine (sol. de Lugol) 15

Radiothérapie : séquelles EM-X Gold 62

Radiothérapie : séquelles Seconde Jeunesse 41

Radiothérapie : brûlures Aloe vera (en ext.) 22


cartonnage tissus

Récupération après l’effort : lente Siberia ginseng 25

Récupération chirurgicale Nacre d’huître 24

Récupération post-opératoire TCM d’huile de coco 47

Reflux gastriques Jus de pomme de terre crue 39

Régénérescence tissulaire Aloe vera (en oral) 22

Règles : troubles du cycle Tyro+ – Troubles hyper 54


menstruel

Règles douloreuses Eau chaude compr. sur le ventre 0


20 min

Règles douloureuses CBD 50 mg 11

Règles douloureuses Seconde Jeunesse 41

Règles douloureuses 20 min Compresse chaude bas-ventre 0

Règles douloureuses Digilance 29


ou abondantes

Règles irrégulières Iodine (sol. de Lugol) 15


No
Maladie Produit
Produit

Règles irrégulières Siberia ginseng 25

Règles trop abondantes Feralim 43

Règles : aménorrhée Baobab : feuilles séchées poudre 6

Régulateur général du terrain Quinton isotonique (oral) 63

Reins : congestion Bilior 7 9

Reminéralisation Chlorure de Mg fossile 56

Rénal : infections et insuffisance Zéolite clinoptilolite surfine 46

Rénale : insuffisance Aloe vera (en oral) 22

Repas trop copieux Bilior 7 9

Retard pondéral Quinton hypertonique 63

Retard scolaire – QI insuffisant Vit C. liposomale 59

Rétention d’eau Bilior 7 9

Rétention d’eau L-gasseri + bromélaïne gamma 26

Rétention d’eau (diurétique) Silice de prêle 42

Rétention d’eau (diurétique) Silice d’ortie 42

Rétention d’urine Silice de prêle 42

Rétinite (au début des troubles) Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Rétroviroses actives (TAHA) Nuclei quantum 74

Rhinite Quinton isotonique (oral) 63

Rhumatisme déformant Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Rhumatismes Aloe vera (en ext.) 22

Rhumatismes Graviola 30

Rhumatismes Jus de pomme de terre crue 39


No
Maladie Produit
Produit

Rhumatismes Silice de prêle 42

Rhumatismes Zéolite clinoptilolite surfine 46

Rhumatismes Nuclei quantum 74

Rhumatismes Baobab : feuilles séchées poudre 6

Rhumatismes Iodine (sol. de Lugol) 15

Rhumatismes Silice d’ortie 42

Rhume Air des montagnes 3

Rhume Oregaresp 44

Rhume Vit. D3 + K2 liposomales 52

Rhume des foins Quercévital 18

Rhume influenza Feralen 12

Rides Baobab : huile de graines (en ext.) 6

Ruminations Calmophyt 28

Saignement des gencives Vit. C liposomale 59

Saignement du nez Silice de prêle 42


(poudre narine)

Salpingite Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Sang : formule altérée Quinton isotonique (oral) 63

Sang : nettoie Jus de pomme de terre crue 39

Sang : nitrate circulant Digilance 29

Sang : régénère la formule Phycocyanine 53

Sang : régule la formule Zéolite clinoptilolite surfine 46

Sang : taux de coagulation élevé Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Sang et lymphe pollués Bilior 7 9


No
Maladie Produit
Produit

Sang trop épais – pour éviter Serracor NK 34


les caillots

Sang vicié Silice d’ortie 42

Sang vicié : dépuratif Silice de prêle 42

Sang : trop épais Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Sang : viscosité excessive Capillar Plus 10


(risque de caillots)

Scarlatine Iodine (sol. de Lugol) 15

Schizophrénie CBD 15 mg 11

Sciatique CBD 50 mg 11

Sciatique Zéolite clinoptilolite surfine 46

Sciatique Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Sciatique Hydrotomie au Quinton iso 63

Sclérose cérébrale en plaques Feralen 12

Sclérose en plaques (SEP) TCM d’huile de coco 47

Sclérose en plaques (SEP) Quinton isotonique (oral) 63

Sclérose en plaques (SEP) CBD 50 mg 11

Sclérose en plaques (SEP) L-Glutathion + régime Kousmine 16

Sclérose en plaques (SEP) Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67

Sclérose latérale amyotrophique TCM d’huile de coco 47


(SLA)

Scorbut Graviola 30

Scorbut alimentaire Vit. C liposomale 59

Scorbut antibiotiques Vit. C liposomale 59


No
Maladie Produit
Produit

Scorbut chirurgical (stress) Vit. C liposomale 59

Scorbut fumeur Vit. C liposomale 59

Scorbut mercure Vit. C liposomale 59

Scorbut pilule Vit. C liposomale 59

Sécheresse de la bouche Hydraphyt 27

Sécheresse de la peau Hydraphyt 27

Sécheresse du nez Hydraphyt 27

Sécheresse du tractus pulmonaire Hydraphyt 27

Sécheresse vaginale Hydraphyt 27

Seins : engorgement Serrapeptase 57

Seins fibrokystiques Serracor NK 34

Seins fibrokystiques Menophyt 66

Seins hypertrophiés Tyro+ – Troubles hyper 54

Seins : douleurs Iodine (sol. de Lugol) 15

Selles nauséabondes Carbophyt 68

Sels biliaires en excès Carbophyt 68

Sénescence Aloe vera (en oral) 22

Sénescence Quinton isotonique (oral) 63

Sénilité Vit. D3 + K2 liposomales 52

Sénilité précoce L-Glutathion réduit liposomal 16

Séquelles d’accidents vasculaires Vit. C liposomale 59


cérébraux

Séquelles d’hématomes Bains hyperthermiques (39/41°) 23

Séquelles de radiothérapie Hydraphyt 27


No
Maladie Produit
Produit

Séquelles vaccinales L-Glutathion réduit liposomal 16


+ vit. C

Sida ADN téloméractives 1

Sida Sanchlor 69

Sida des chats BerriMax 7

Sinusite BerriMax 7

Sinusite Quinton isotonique (oral) 63

Sinusite : 1 goutte dans l’eau Iodine (sol. de Lugol) 15


de lavage du nez (neti)

Sinusite : pulv. front. dil. 50 % DMSO (en ext.) 73

Sommeil : troubles Vagostim 19

Sommeil : troubles Tyro+ – Troubles hyper 54

Sommeil non réparateur Calmophyt 28

Sommeil : mauvais Digilance 29

Spasmes musculaires Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Spasmes musculaires Graviola 30

Spasmophilie Vagostim 19

Spasmophilie Quinton hypertonique 63

Spasmophilie : même tétanie Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Sperme peu actif Nuclei quantum 74

Spondylarthrite Zéolite clinoptilolite surfine 46

Spondylose rhizomélique Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Spondylose rhizomélique Bains hyperthermiques (39/41°) 23


No
Maladie Produit
Produit

Staphylocoque doré CBD 50 mg 11

Staphylocoque doré Sanchlor 69

Staphylocoques Sanchlor 69

Stase capillaire périphérique Capillar Plus 10

Stase capillaire périphérique Neurophyt + TCM 61

Stase circulation capillaire Vagostim 19

Stase lymphatique Vagostim 19

Stases circulatoires L-gasseri + bromélaïne gamma 26

Stases lymphatiques Air des montagnes 3

Stases sanguines et capillaires MRE 36

Stases sanguines Air des montagnes 3

Stases sanguines et capillaires Extra Life Vision 35

Stases sanguines locales Baume de Russie 45

Stéato-hépatite non alcoolique Bilior 7 9

Stérilité Iodine (sol. de Lugol) 15

Stérilité Maca (racine) 37

Stérilité masculine Extra Life Vision 35

Stérilité masculine MRE 36

Stérilité masculine et féminine Vit. C liposomale 59

Streptocoques Sanchlor 69

Stress Air des montagnes 3

Stress CBD 15 mg 11

Stress Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14


No
Maladie Produit
Produit

Stress Calmophyt 28

Stress Maca (racine) 37

Stress Vit. C liposomale 59

Stress entretenus Aloe vera (en oral) 22

Stress oxydatif Reishi (champignon) 33

Stress oxydatif Nuclei quantum 74

Stress Siberia ginseng 25

Sueurs Tyro+ – Troubles hyper 54


(mains moites, transpiration)

Suite AVC Tibétane 20

Suite infarctus du myocarde Tibétane 20

Surmenage Aloe vera (en oral) 22

Surmenage Quinton isotonique (oral) 63

Surmenage physique Siberia ginseng 25


et intellectuel

Surpoids Calmophyt 28

Surrénales faibles Iodine (sol. de Lugol) 15

Sympathicotonie nerveuse Calmophyt 28

Syncope orthostatique Quinton hypertonique 63

Syndrome prémenstruel Digilance 29

Syndrome prémenstruel Ginkgo biloba 48

Syndrome prémenstruel Menophyt 66

Syndrome sec des yeux Hydraphyt 27

Syphilis Iodine (sol. de Lugol) 15


No
Maladie Produit
Produit

Système cardiovasculaire délabré Neurophyt + TCM 61

Système nerveux autonome : Vagostim 19


neurotonie

Système nerveux autonome : Vagostim 19


sautes brutales d’adaptation

Système nerveux central : inhibé Siberia ginseng 25

Système nerveux fragile Capillar Plus 10

Système nerveux Vagostim 19


parasympathique : stase

Tabac : dépendance CBD 50 mg 11

Tabagisme Vit. C liposomale 59

Tachycardie Aubépine forte 5

Tachycardies Tyro+ – Troubles hyperR 54

Teigne Graviola 30

Teigne Aloe vera (en ext.) 22

Tendinite Aloe vera (en ext.) 22

Tendinite Extra Life Vision 35

Tendinite MRE 36

Tendinite Nacre d’huître 24

Tendons ostéoarticulaires Nacre d’huître 24


endommagés

Tension : hyper Zéolite clinoptilolite surfine 46

Tension : hyper Soufre organique MSM 65

Tension artérielle hyper (b. jaune) Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)
No
Maladie Produit
Produit

Tension artérielle hypo (b. blanc) Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Tension artérielle : hyper Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Tensions musculaires Calmophyt 28

Terrain cancer Seconde Jeunesse 41

Terrain minéral déséquilibré Quinton isotonique (oral) 63

Testostérone : carence Seconde Jeunesse 41

Tétanos : évite Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Thromboses Chlorure de Mg fossile 56

Thromboses Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Thromboses Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Thyroïde : hyper Chlorure de Mg fossile 56

Thyroïde : en hypo et en hyper Iodine (sol. de Lugol) 15


(régulateur)

Thyroïdite de Hashimoto Iodine (sol. de Lugol) 15

Tissus cancéreux Bicarbonate de sodium 0

Tissus morts : dissout Serrapeptase 57

Tissus nerveux et myélinisation : Sacha inchi (capsules d’huile) 32


dégénérescence

Tourista (diarrhée des pays chauds) Carbophyt 68

Toux Oregaresp 44

Toux sèche Air des montagnes 3

Toux sèche Baobab : feuilles séchées poudre 6

Toux sèche d’irritation Hydraphyt 27


No
Maladie Produit
Produit

Toxémie cellulaire profonde Détox 55

Toxémie générale Jus de pomme de terre crue 39

Toxémie organique Glutyl 2 13

Toxémies médicamenteuses ADN téloméractives 1

Toxicomanie (tabac, drogues) Vit. C liposomale 59

Toxicomanie (tabac, drogues) Carbophyt 68

Toxines (foie, reins, intestins) BerriMax 7

Toxines bactériennes : neutralise Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Toxines des staphyl. dorés, Chlorophyt (chlorophylle 64


streptocoques, clostridium : concentrée)
neutralise

Toxoplasmose Artemisia annua 58

Toxoplasmose EM-X Gold 62

Trachéite Air des montagnes 3

Transit intestinal : accélère Moringa (poudre feuilles sèches) 72

Transit paresseux Détox 55

Traumatismes crâniens CBD 25 mg 11

Traumatismes : séquelles Bains Salmanoff mixtes 49


(jaune + blanc)

Tremblements TCM d’huile de coco 47

Tremblements Tyro+ – Troubles hyper 54

Triglycérides du sang : hyper Capillar Plus 10

Trouble phanères Quinton hypertonique 63

Troubles cognitifs légers TCM d’huile de coco 47


No
Maladie Produit
Produit

Tuberculose Quinton hypertonique 63

Tuberculose Quinton isotonique (oral) 63

Tumeur au cerveau Bromélaïne gamma 60

Tumeur col de l’utérus Bromélaïne gamma 60

Tumeur prostate Bromélaïne gamma 60

Tumeurs CBD 25 mg 11

Tumeurs L-gasseri + bromélaïne gamma 26

Tumeurs Reishi (champignon) 33

Tumeurs cancéreuses ou pas Bromélaïne gamma 60

Tumeurs cérébrales CBD 15 mg 11

Tumeurs en tous genres Graviola 30

Ulcérations cutanées et buccales Aloe vera (en ext.) 22

Ulcère de l’estomac Digest-GI 38

Ulcère de l’estomac Jus de pomme de terre crue 39

Ulcère duodénal Zéolite clinoptilolite surfine 46

Ulcère gastrique Silice de prêle 42

Ulcère variqueux Silice de prêle 42


(compresse de décoction) (compr. de décoction)

Ulcères Iodine (sol. de Lugol) 15

Ulcères Reishi (champignon) 33

Ulcères Ginkgo biloba (en ext.) 48

Ulcères Serrapeptase 57

Ulcères de l’estomac Argile verte 71

Ulcère gastrique Aloe vera (en oral) 22


No
Maladie Produit
Produit

Ulcère gastrique Seconde Jeunesse 41

Ulcères gastriques et duodénaux Hydraphyt 27

Ulcères gastriques et intestinaux Silice de prêle 42

Ulcères variqueux Aloe vera (en ext.) 22

Urinaire : envies impérieuses Prostaphyt 17


difficiles à contrôler

Urinaire : fuites odorantes Chlorophyt (chlorophylle 64


concentrée)

Urinaire : mictions incomplètes Prostaphyt 17

Urinaire : pollakiurie Prostaphyt 17

Urinaire : polyurie (surtout la nuit) Prostaphyt 17

Urinaire : trop de levers nocturnes Prostaphyt 17

Urticaire Silice d’ortie 42

Urticaire Quinton isotonique (oral) 63

Vaccins ARNm L-Glutathion réduit liposomal 16


+ vit. C

Vaccins ROR : séquelles Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Vaisseaux capillaires fragiles Capillar Plus 10

Vaisseaux sanguins : sclérose Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14


et athéromes

Valves œsophage, pylore, iléo- Chlorophyt (chlorophylle 64


cæcale : lubrifie concentrée)

Varices Serrapeptase 57

Varices et affections veineuses Vit. C liposomale 59

Varicosités veineuses Zéolite clinoptilolite surfine 46


No
Maladie Produit
Produit

Vaxx ARNm : séquelles ADN téloméractives 1

Vergetures Silice de prêle 42

Vergetures : guérit les cicatrices Baobab : huile de graines (en ext.) 6

Verminoses chats et chiens : Iodine (sol. de Lugol) 15


1 goutte dans la pâtée

Verrues EM-X Gold 62

Verrues (certaines) Argent colloïdal 5 à 10 ppm maxi 67

Verrues (en compresse Chlorure de Mg fossile 56


permanente)

Vers intestinaux Graviola 30

Vers parasites enfants Argile verte – en ext., in situ 71

Vertiges Ginkgo biloba 48

Vésicule biliaire : embourbée Bilior 7 9


ou enflammée

Vessie : inflammation Prostaphyt 17

Vessie : érectilité Prostaphyt 17


aux changements de position

Vessie : manque de souplesse Prostaphyt 17

Vieillissement biologique Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Vieillissement cellulaire Glutyl 2 13

Vieillissement cellulaire accéléré Chlorure de Mg fossile 56

Vieillissement cérébral Alphaphyt (acide alpha R-lipoïque) 4

Vieillissement cutané Nacre d’huître 24

Vieillissement de la peau Neurophyt + TCM 61


No
Maladie Produit
Produit

Vieillissement organique ADN téloméractives 1


prématuré

Vieillissement organique Capillar Plus 10


prématuré

Vieillissement organique OstéoRenov 40


prématuré

Vieillissement peau et cerveau Quercévital 18

Vieillissement précoce Zinc + sélénium 21

Vieillissement précoce Reishi (champignon) 33

Vieillissement précoce EM-X Gold 62

Vieillissement prématuré Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Vieillissement : ralentit Nuclei quantum 74

Vieillissement : réduit les signes Baobab : huile de graines (en ext.) 6

Virale : charge élevée Feralen 12

Viroses Nuclei quantum 74

Vision : baisse ADN téloméractives 1

Vision : baisse Zinc + sélénium 21

Vision trouble Extra Life Vision 35

Vision trouble MRE 36

Vision : améliore Ginkgo biloba 48

Vitalité : en baisse Maca (racine) 37

Vitalité faible Aiguilles de pin sylvestre gemmo 2


D2

Vitalité : baisse Aloe vera (en oral) 22

Vitamine C : métabolise Chlorure de Mg fossile 56


No
Maladie Produit
Produit

Vitamine C : insuffisante Alcaphyt (bisglycinate de Mg) 14

Vitamines C et E usées : recycle Glutyl 2 13

Vitesse de sédimentation élevée Chlorure de Mg fossile 56

Vomissements de la grossesse Quinton isotonique (oral) 63

Voyage dans les pays chauds Vit. C liposomale 59

Vue : baisse Détox 55

Vue déficiente Iodine (sol. de Lugol) 15

Yeux : cataracte ADN téloméractives 1

Yeux : congestion allergique Quercévital 18

Yeux : DMLA ADN téloméractives 1

Yeux : DMLA (dégénérescence MRE 36


maculaire)

Yeux : DMLA (dégénérescence Vit. C liposomale 59


maculaire)

Yeux : DMLA liée à la sclérotique Vit. D3 + K2 liposomales 52

Yeux : sécheresse Vit. D3 + K2 liposomales 52

Yeux : dégénérescence Sacha inchi (capsules d’huile) 32

Yeux : mauvaise irrigation Capillar Plus 10


de la rétine

Yeux : ophtalmies Baobab : feuilles séchées poudre 6

Zona Feralen 12

Zona (fréq. 1) DMSO (en ext.) 73


INDEX
A
Abcès
Chlorophyt 294
Sanchlor 325
Accident vasculaire cérébral (AVC)
TCM de coco 205
Accouchement (prématuré)
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Acide urique
Digilance 125
Acidité
Soufre organique (MSM) 298
Acidité gastrique
Aloe vera 97
Bilior 7 44
Chlorophyt 294
Jus de pomme de terre crue 161
Maca (poudre de racine) 155
Soufre organique (MSM) 302
Acido-basique (déséquilibre)
Chlorophyt 294
Acidose
Alcaphyt 66
Digilance 125
Floracor GI 135
Jus de pomme de terre crue 161
Zinc + sélénium 94
Acné
CBD 25 mg 52
Détox 245
Serracor NK 146
Serrapeptase 253
Silice de prêle ou d’ortie 182
Soufre organique (MSM) 298, 302
Acné et cicatrices importantes
Baobab 36
Acouphènes
Ginkgo biloba 208
Addiction aux sucreries
Bilior 7 44
Adénite
EM-X Gold 279
Iodine solution de Lugol 70
Adénome prostatique 78
Prostaphyt 79
Adhérences
Serrapeptase 253
ADN
Altérations du génome
ADN téloméractives 20
ADN endommagé
Phycocyanine 232
ADN endommagé par irradiations
Reishi (champignon) 141
ADN téloméractives 17
Affection pulmonaire
Oreganol 189
Affections cardiovasculaires
Vitamine C 264
Affections cutanées
Oreganol P73 218
Affections des voies respiratoires supérieures
Oreganol 189
Affections grippales
Glutyl 2 60
Affections respiratoires
Oreganol P73 218
Affections veineuses
Vitamine C 264
Agitation mentale
Calmophyt 120
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 21
Air des montagnes 24
Albuminurie
Silice de prêle ou d’ortie 182
Alcaphyt 62
Alcoolisme
Carbophyt 321
Vitamine C 264
Algies
Reishi (champignon) 141
Algies aiguës ou chroniques
Baume de Russie Salmanoff 194
Algodystrophie post-traumatique
Baume de Russie Salmanoff 194
Algo-neuro-dystrophie
Nacre d’huître 104
Alimentation artificielle
Quinton 284
Allaitement
Quinton 283
Allaitement (lactation faible)
Baobab 35
Allergies
EM-X Gold 279
Iodine solution de Lugol 70
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Quercévital 82
Quinton 284
Soufre organique (MSM) 299
Vitamine C 264
Allergies alimentaires
Digest-GI 158
Allergies pulmonaires
Soufre organique (MSM) 302
Allergies respiratoires
Air des montagnes 27
Oreganol 189
Oregaresp 190
Aloe vera 95
Alphaphyt 27
Aluminium cérébral (piège et évacue)
Silice de prêle ou d’ortie 182
Alzheimer
CBD 50 mg 52
EM-X Gold 279
L-glutathion réduit liposomal 74
Seconde Jeunesse 175
Soufre organique (MSM) 299
TCM de coco 205
Ampoules
Aloe vera 96
Amygdalite
Argent colloïdal 313
Analgésique
Vagostim 86
Analgésique puissant
CBD 50 mg et + 52
Anémie
ADN téloméractives 18, 20
Baobab 35
Chlorophyt 294
Digilance 125
Glutyl 2 60
Phycocyanine 232
Quinton 283, 284
Silice de prêle ou d’ortie 183
Vitamine C 264
Anémie des jeunes filles
Silice de prêle ou d’ortie 183
Anémie ferriprive
Feralim 187
Moringa 338
Anesthésiques
Quinton 284
Angine
Argent colloïdal 313
Chlorure magnésium 248
Serrapeptase 253
Angine de poitrine
ADN téloméractives 18
Aubépine forte 33
Bains Salmanoff 212
Coenzyme Q10 224
Quercévital 82
Serracor NK 146
Angine de poitrine (coronaires réduites)
Tibétane (nouveau Padma) 90
Angiomes
Reishi (champignon) 141
Angoisse
Bains hyperthermiques 101
Digilance 125
Angoisse précordiale
Aubépine forte 33
Ankylose post-traumatique
Bains hyperthermiques 101
Bains Salmanoff 212
Annexites
Bains hyperthermiques 101
Antalgique
Vagostim 86
Anthrax (sans incision)
Bains hyperthermiques 101
Antibiotiques
Quinton 284
Anticonvulsif
Vagostim 86
Antidote électrique du graphène
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 22
Anti-infectieux
Glutyl 2 60
Anti-inflammatoire
Glutyl 2 60
Anti-inflammatoire puissant
Oreganol P73 218
Antioxydant des plus puissants
Capillar Plus 47
Antioxydant puissant
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 22
Coenzyme Q10 224
Antiseptique pulmonaire général
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 22
Antispasmodique
Aubépine forte 32
Vagostim 86
Antispasmodique musculaire
Vagostim 86
Anxiété
Calmophyt 120
CBD 15 mg 52
Floracor GI 135
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Vagostim 86
Anxiolytique
Vagostim 86
Aphrodisiaque
Maca (poudre de racine) 155
Aphtes
Aloe vera 97
Argent colloïdal 313
Aphtose
Digilance 125
Aphtose chronique
Floracor GI 135
Apnée du sommeil
CBD 15 mg 52
Appétit
Siberia ginseng 106
Appétit excessif
Calmophyt 120
Appétit (manque)
Digilance 125
Apprentissage laborieux
Zinc + sélénium 94
Argent colloïdal 310
Argile 333
Artemisia annua 254
Artères durcies
Sacha inchi 140
Artères (parois rigidifiées)
Seconde Jeunesse 174
Artériosclérose
Alcaphyt 66
Extra Life Vision 150
MRE 153
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Serracor NK 146
Silice de prêle ou d’ortie 182
Tibétane (nouveau Padma) 90
Artérite
Bains hyperthermiques 101
Bains Salmanoff 212
Ginkgo biloba 208
Artérite des jambes
Bains Salmanoff 212
Tibétane (nouveau Padma) 90
Arthrite
Aloe vera 96
Baobab 35
Extra Life Vision 150
Graviola corossol 130
Jus de pomme de terre crue 161
Moringa 338
Sacha inchi 140
Silice de prêle ou d’ortie 183
Soufre organique (MSM) 298, 299, 302
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Arthrite, arthrose
MRE 153
Arthrite et polyarthrite
Nacre d’huître 104
Arthrite rhumatoïde
CBD 50 mg 52
Arthrose
Aloe vera 97
Bains Salmanoff 212
Nacre d’huître 104
Quinton 289
Serracor NK 146
Soufre organique (MSM) 302
Vitamine C 264
Articulations dégradées
Silice de prêle ou d’ortie 183
Articulations douloureuses
Sacha inchi 140
Articulations et muscles contracturés
Oreganol P73 218
Articulations raides
Serracor NK 146
Arythmie cardiaque
Iodine solution de Lugol 70
Asphyxie à la naissance
TCM de coco 205
Assimilation déficiente
Digest-GI 158
Asthénie
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 22
Baobab 35
Maca (poudre de racine) 155
Quinton 283, 284
Siberia ginseng 106
Asthénie musculaire
Seconde Jeunesse 174
Asthme
Aloe vera 97
Baobab 35
EM-X Gold 279
Graviola corossol 130
Iodine solution de Lugol 70
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Oreganol 189
Soufre organique (MSM) 299, 302
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Ataxie de Friedriech
TCM de coco 205
Athéromes
Coenzyme Q10 224
Athéromes artériels
Aubépine forte 33
Quercévital 82
Seconde Jeunesse 174
Serrapeptase 253
Soufre organique (MSM) 302
Athéromes artériels (plaques)
Silice de prêle ou d’ortie 182
Athéromes en tous genres
Tibétane (nouveau Padma) 90
Athérosclérose
Capillar Plus 47
Reishi (champignon) 141
Atrophie musculaire
Bains hyperthermiques 101
Aubépine forte 30
Audition (baisse)
Ginkgo biloba 208
Iodine solution de Lugol 70
Autisme
TCM de coco 205
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
AVC par thrombose
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
AVC (récupération)
Quercévital 82
AVC (risque)
Capillar Plus 47
AVC (séquelles)
Bains Salmanoff 213
Vitamine C 264
AVC (suite)
Coenzyme Q10 224

B
Bactéries
Chlorophyt 294
Bactéries indésirables
Argile 334
Bains hyperthermiques 98
Bains Salmanoff 210
Ballonnements
Digest-GI 158
Floracor GI 135
L-gasseri + bromélaïne gamma 112
Ballonnements et flatulences
Aloe vera 97
Baobab 34
Bartholinite vaginale
Chlorophyt 294
Baume de Russie Salmanoff 191
Bébés prématurés
TCM de coco 205
Bébés sous-oxygénés à la naissance
TCM de coco 205
Becs-de-perroquet (exostoses)
Bains Salmanoff 212
BerriMax 36
Bétadine spray nasal 39
Bilharziose
Artemisia annua 257
Bilior 7 42
Blessure (en externe)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Blessures
Chlorure magnésium 249
Bouche (affections diverses)
EM-X Gold 279
Bouffées de chaleur
Maca (poudre de racine) 155
Menophyt 309
Seconde Jeunesse 174
Bourdonnements d’oreilles
Aubépine forte 33
Ginkgo biloba 208
Boutons cutanés en externe
Iodine solution de Lugol 70
Bromélaïne gamma (2 500 GDU) 267
Bronchite
Air des montagnes 27
BerriMax 38
Oreganol P73 218
Oregaresp 190
Silice de prêle ou d’ortie 182
Broncho-pneumopathies obstructives
Iodine solution de Lugol 70
Brûlures
Chlorure magnésium 249
Ginkgo biloba 208
Hydraphyt 116
Soufre organique (MSM) 298
Brûlures à tous les degrés, 1, 2 et 3
Aloe vera 96
Brûlures d’estomac
Bilior 7 44
Digest-GI 158
Brûlures (en externe)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Brûlures et cartonnage suite irradiation
Aloe vera 96

C
Calcémie (hyper)
Vitamines D3 + K2 liposomales 228
Calcification de l’adolescence
OstéoRenov 167
Calcification hypo ou hyper
Bains Salmanoff 212
Calcifications articulaires et musculaires
Alcaphyt 66
Calcifications sauvages
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Vitamines D3 + K2 liposomales 228
Calcium (malabsorption)
OstéoRenov 167
Calculs biliaires
Bilior 7 44
Calculs rénaux
Silice de prêle ou d’ortie 182
Calculs rénaux chroniques
Jus de pomme de terre crue 161
Calmant
Vagostim 86
Calmant nerveux
Aubépine forte 33
Calmophyt 117
Cancer colorectal (adjuvant)
Digest-GI 158
Cancer du poumon (début)
Bains hyperthermiques 101
Cancer du sein
Bains hyperthermiques 101
Cancer estomac (adjuvant)
Digest-GI 158
Cancer pancréas (adjuvant)
Digest-GI 158
Cancers
ADN téloméractives 20
Bromélaïne gamma (2 500 GDU) 271
Cancers (adjuvant)
ADN téloméractives 18
CBD 50 mg 52
EM-X Gold 279
Graviola corossol 130
L-glutathion réduit liposomal 74
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Phycocyanine 232
Sacha inchi 140
Vitamine C 264
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Cancers de la peau
Iodine solution de Lugol 70
Candida albicans
Sanchlor 325
Candidose
Bilior 7 44
Iodine solution de Lugol 70
Oreganol P73 218
Capillaires (fragilité)
Ginkgo biloba 208
Vitamine C 264
Capillaires sanguins élargis
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Capillar Plus 45
Carbophyt 316
Cardiovasculaire (déficience)
Seconde Jeunesse 174
Cardiovasculaire délabré
Capillar Plus 47
Cardiovasculaires (maladies)
CBD 25 mg 52
Cardiovasculaires (tous les problèmes)
Serracor NK 146
Carences
Quinton 283
Carences en éléments vitaux
Aloe vera 97
Cartilages (dégénérescence)
Nacre d’huître 104
OstéoRenov 167
Cataracte
Alphaphyt 29
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Extra Life Vision 150
MRE 153
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Sacha inchi 140
Cataracte (prévient la déformation)
Capillar Plus 47
CBD cannabidiol 49
Cécité diabétique
Alphaphyt 29
Cellules souches
Phycocyanine 232
Cellulite
Aloe vera 96, 97
Céphalées
CBD 50 mg 52
Ginkgo biloba 208
Silice de prêle ou d’ortie 182
Soufre organique (MSM) 300, 302
Céphalées chroniques
Calmophyt 120
Digilance 125
Céphalées récurrentes
Capillar Plus 47
Cérébrales
Baisse de performances
Capillar Plus 47
Cérébrales (fonctions défaillantes)
Sacha inchi 140
Champignon au pied
Soufre organique (MSM) 298
Champignons pyogéniques
Chlorophyt 295
Champignons vénéneux
Carbophyt 321
Chéloïdes
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Cheveux
Pellicules
Baobab 36
Cheveux (alopécie androgénique)
Seconde Jeunesse 174
Cheveux (cassants)
Tyro+ 236
Cheveux gris ou blancs
Soufre organique (MSM) 300, 302
Cheveux (manque de croissance)
Sacha inchi 140
Cheveux (pellicules)
Aloe vera 97
Cheveux (perte)
Tyro+ 236
Cheveux secs
Baobab 36
Chimiothérapie
EM-X Gold 279
Chimiothérapie (séquelles)
Seconde Jeunesse 174
Chirurgie
Vitamine C 264
Chirurgie gastrique (suite)
Digest-GI 158
Chirurgie pancréas (suite)
Digest-GI 158
Chlorophyt (chlorophylle concentrée) 290
Chlorure magnésium 246
Chocs climatiques
Siberia ginseng 106
Cholestérol
carbophyt 321
Iodine solution de Lugol 70
Serrapeptase 253
Cholestérol élevé
Sacha inchi 140
Cholestérolémie
Capillar Plus 47
Vitamine C 264
Cholestérolémie LDL et triglycérides (hyper)
Seconde Jeunesse 174
Cholestérolémie triglycérides et phospholipides
Aloe vera 97
Cholestérol et triglycérides (hyper)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Cholestérol (hyper)
Détox 245
Choléstérol LDL hyper
Aubépine forte 33
Cicatrices
Baobab 36
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Cicatrices chéloïdes
Serracor NK 146
Cicatrices et adhérences post-opératoires
Bains Salmanoff 212
Cicatrisation
Chlorophyt 295
Silice de prêle ou d’ortie 182
Cicatrisations difficiles
Chlorure magnésium 249
Cicatrisations lentes et difficiles
Aloe vera 96
Circulation capillaire détériorée due à l’âge
BerriMax 38
Circulation capillaire (stase ou obstruction)
Capillar Plus 47
Circulation locale
Chlorophyt 295
Circulation lymphatique
Aloe vera 97
Circulation périphérique artérielle, veineuse ou capillaire ralentie
Ginkgo biloba 208
Circulation sanguine
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Circulation sanguine (stases)
Aloe vera 97
Cirrhose
Bilior 7 44
carbophyt 321
Détox 245
Phycocyanine 232
Claquage
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Clostridium
Chlorophyt 295
Coagulation sanguine déficiente
Vitamine C 264
Coenzyme Q10 220
Cœur (arythmies)
Iodine solution de Lugol 70
Cœur (arythmies par dysfonctionnement électrique)
Capillar Plus 47
Cœur (douleurs crampoïdes)
Aubépine forte 33
Cœur (éréthisme)
Vagostim 86
Cœur (faiblesse avec dyspnée)
Aubépine forte 33
Cœur fatigué
Extra Life Vision 150
MRE 153
Cœur (insuffisance)
Serracor NK 146
Cœur (lésions valvulaires)
Aubépine forte 33
Cœur (maladies)
Sacha inchi 140
Cœur (myocardite)
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Cœur (nécrose)
ADN téloméractives 20
Coenzyme Q10 224
Quercévital 83
Cœur nerveux
Calmophyt 120
Cœur (péricardite)
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Cœur (problèmes physio)
Serrapeptase 253
Cœur (réduction des cicatrices)
Soufre organique (MSM) 302
Cœur (renforce)
ADN téloméractives 18
Cœur (renforcement du muscle)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Cœur (toxicité de la ciclosporine)
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Cœur (troubles du rythme)
Aubépine forte 33
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Cognitif (déclin)
Seconde Jeunesse 174
Colibacillose
Quinton 284
Colite
Baobab 35
CBD 50 mg 52
Floracor GI 135
Jus de pomme de terre crue 161
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Colite ulcéreuse
Chlorophyt 294
Digest-GI 158
Collagène (déficit)
OstéoRenov 167
Silice de prêle ou d’ortie 182
Côlon irritable
CBD 25 mg 52
Digilance 125
Soufre organique (MSM) 302
Côlon irritable ou entoxiné
Digest-GI 158
Côlon (syndrome de la perméabilité)
Soufre organique (MSM) 302
Colostomie
carbophyt 321
Chlorophyt 294
Complications de grossesse
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Concentration difficile
Ginkgo biloba 208
Iodine solution de Lugol 70
MRE 153
Siberia ginseng 106
Conjonctivite
Argent colloïdal 313
Conjonctivite aiguë
Iodine solution de Lugol 70
Constipation
Chlorophyt 294
Quinton 284
Sacha inchi 140
Soufre organique (MSM) 298
Tyro+ 236
Vagostim 86
Vitamine C 264
Constipation chronique
Bilior 7 44
Floracor GI 135
Soufre organique (MSM) 302
Constipation fonctionnelle
Aloe vera 97
Constipation tenace
L-gasseri + bromélaïne gamma 112
Convalescence
Aloe vera 97
Baobab 35
Siberia ginseng 106
Coronarite
Quercévital 83
Coronavirus
Air des montagnes 27
Corticosurrénales déficientes
Air des montagnes 27
Corticosurrénales fatiguées
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 22
Coryza
Quinton 284
Vitamine C 264
Couperose
Ginkgo biloba 208
Coups de soleil
Aloe vera 96
Courbatures après efforts
Extra Life Vision 150
MRE 153
Courbatures après le sport ou l’effort
BerriMax 38
Courbatures toxiniques
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Covid
Artemisia annua 257
Sanchlor 325
Covid (prévention)
CBD 25 mg + vit. D 52
Crampes
Alcaphyt 66
CBD 25 mg + vit. D 52
Crampes aux mollets
Tibétane (nouveau Padma) 90
Crampes d’estomac
Silice de prêle ou d’ortie 182, 183
Crampes musculaires
Tyro+ 236
Crevasses
EM-X Gold 279
Cryptosporidium
Sanchlor 325
Cystite
BerriMax 38
D-mannose 331
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Moringa 338

D
Dartres
Silice de prêle ou d’ortie 182
Décontractant
Vagostim 86
Défenses immunitaires
Chlorure magnésium 248
Déficit de l’attention
Soufre organique (MSM) 300, 302
Dégénérescence
Ginkgo biloba 208
Dégénérescence d’organes
Extra Life Vision 150
MRE 153
Soufre organique (MSM) 302
Dégénérescence maculaire
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Démangeaisons
CBD 25 mg 52
Démence et déclin cognitif
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Démence sénile
Ginkgo biloba 208
Déminéralisation
OstéoRenov 167
Zinc + sélénium 94
Déminéralisation osseuse
Nacre d’huître 104
Dents (déchaussement)
Digilance 126
Dépendance aux opiacés
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Dépôts lipidiques et fibrinoïdes
Serrapeptase 253
Dépression
Bains hyperthermiques 101
CBD 15 mg 52
Iodine solution de Lugol 70
Quinton 283
Siberia ginseng 106
Soufre organique (MSM) 300, 302
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Dépressions légères
Graviola corossol 130
Déprime
Calmophyt 120
CBD 25 mg + vit. D 52
Floracor GI 135
Tyro+ 236
Dermatites
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Dermatites, dermatoses
Hydraphyt 116
Dermatite séborrhéique
Chlorophyt 294, 295
Dermatites inflammatoires
Iodine solution de Lugol 70
Dermatoses
Aloe vera 96
Chlorure magnésium 249
Digilance 126
Dermites infectées
Quinton 284
Descente d’organes
ADN téloméractives 18
Déséquilibre métabolique enzyme/coenzyme
Serracor NK 146
Déséquilibres ioniques
Quinton 283
Déshydratation organique
Aloe vera 97
Désinfectant
Argent colloïdal 313
Désinfection nasale
bétadine spray nasal 40
Désinfiltrant cellulite
Glutyl 2 60
Désintoxiquant médicamenteux
Quinton 284
Détox 241
Dévitalisation
Quinton 283
Diabète (effets collatéraux)
(yeux, nerfs, cœur)
Alphaphyt 29
Diabète (mange la glycation excessive)
Alphaphyt 29
Diabète (prévient les complications)
Capillar Plus 47
Diabètes
Bains Salmanoff 212
Coenzyme Q10 224
Graviola corossol 130
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Seconde Jeunesse 174
TCM de coco 205
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Diabète type 1
CBD 25 mg 52
Diabète type 2
Détox 245
Digilance 126
EM-X Gold 279
Iodine solution de Lugol 70
Neurophyt 275
Reishi (champignon) 141
Sacha inchi 140
Serracor NK 146
Serrapeptase 253
Silice de prêle ou d’ortie 183
Diabète type 2 (équilibre la glycémie)
Aloe vera 97
Diarrhée
Argile 334
Baobab 35
Carbophyt 321
Graviola corossol 130
Silice de prêle ou d’ortie 182, 183
Diarrhée chronique
Floracor GI 135
TCM de coco 205
Diarrhées infectieuses
Digilance 126
Diarrhées récurrentes
Digest-GI 158
Difficultés de concentration
Tyro+ 236
Digest-GI 157
Digestion
Chlorophyt 294
Détox 245
lourdeurs et douleurs chroniques
Bilior 7 44
Digestion (améliore)
ADN téloméractives 18
Digestion capricieuse
L-gasseri + bromélaïne gamma 112
Digestion difficile
Aloe vera 97
Digest-GI 158
Digestion paresseuse
Maca (poudre de racine) 155
TCM de coco 205
Digestion (problèmes)
Baobab 35
Digestions laborieuses
Silice de prêle ou d’ortie 183
Digilance 121
Discopathies
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Discopathies vertébrales
Bains Salmanoff 212
Distension digestive de l’abdomen
Chlorophyt 294
Diurèse (insuffisante)
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 22
Diurétique 78
ADN téloméractives 18
D-mannose 329
DMLA
ADN téloméractives 20
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Extra Life Vision 150
MRE 153
Sacha inchi 140
Vitamine C 264
DMLA (risque)
Capillar Plus 47
DMLA (stabilisation)
Alphaphyt 29
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 339
Dorsalgies
Baume de Russie Salmanoff 194
Douleur chronique
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Douleurs abdominales
Digest-GI 158
Douleurs arthritiques
Baobab 36
Douleurs articulaires
Argile 334
CBD 50 mg 52
Siberia ginseng 106
Douleurs articulaires et musculaires
Alcaphyt 66
Baume de Russie Salmanoff 194
Douleurs en tous genres
CBD 50 mg 52
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Vitamine C 264
Douleurs extrêmes
CBD 50 mg 52
Douleurs inflammatoires
Baume de Russie Salmanoff 194
Jus de pomme de terre crue 161
Serracor NK 146
Douleurs intestinales
Aloe vera 97
Douleurs musculaires et articulaires
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Douleurs musculaires, osseuses, articulaires
Digilance 126
Dysenterie
Baobab 35
Graviola corossol 130
Quinton 284
Dystrophie musculaire
Coenzyme Q10 224
TCM de coco 205

E
Ébriété
Carbophyt 321
Ecchymoses
Ginkgo biloba 208
Éclaircissement des sourcils
Tyro+ 236
Éclampsie (HTA de grossesse)
Alcaphyt 66
Écorchures, coupures
Aloe vera 97
Eczéma
Alcaphyt 66
Baobab 36
Détox 245
EM-X Gold 279
Iodine solution de Lugol 70
Oreganol P73 218
Quinton 284
Silice de prêle ou d’ortie 182
Soufre organique (MSM) 298, 302
Eczéma rebelle
Bains hyperthermiques 101
Efforts physiques violents
Siberia ginseng 106
Élastine (déficit)
Silice de prêle ou d’ortie 182
Électrosensibilité
Iodine solution de Lugol 70
TCM de coco 205
Embolie pulmonaire
Serracor NK 146
Embonpoint
L-gasseri + bromélaïne gamma 112
Emphysème
Soufre organique (MSM) 299, 302
Empoisonnement cellulaire
EM-X Gold 279
Empoisonnement grave
carbophyt 321
Empoisonnement organique général
Détox 245
EM-X Gold 276
Encéphalopathie hépatique
Carbophyt 321
Encéphalopathies
CBD 25 mg 52
Encombrement des organes filtres
Jus de pomme de terre crue 161
Endocardite virale
Feralen 57
Endocriniens (dérèglements)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Endométriose
CBD 25 mg 52
Serracor NK 146
Endométriose (compensation fer)
Feralim 187
Endurance physique (manque)
BerriMax 38
Énergie (augmente)
ADN téloméractives 18
Énergie (manque)
Coenzyme Q10 224
Énergie (perte)
Siberia ginseng 106
Enfants retardés
Bains hyperthermiques 101
Engelures
Baume de Russie Salmanoff 194
Ginkgo biloba 208
Engelures, gerçures, crevasses
Aloe vera 97
Engourdissement des mains et des pieds
Tibétane (nouveau Padma) 90
Entérocoque
Sanchlor 325
Entorse
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Entorse, foulure
Aloe vera 97
Entraînement sportif intense
Quinton 283
Enzymes (carence)
Alcaphyt 66
EM-X Gold 279
Épidémies (préventif)
Argent colloïdal 313
Épididymite aiguë
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Épilepsie
ADN téloméractives 20
Bains hyperthermiques 101
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
TCM de coco 205
Épilepsie + crise
CBD 15 mg 53
Épine calcanéenne
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Épuisement physique
Silice de prêle ou d’ortie 182
Épuisement physique et psychique
Quinton 283
Équilibre acido-basique
Zinc + sélénium 94
Érection difficile ou incomplète
Maca (poudre de racine) 155
Érection (troubles)
Iodine solution de Lugol 70
Érésipèle
Bains hyperthermiques 101
Éructations
Digest-GI 158
Éruptions
Graviola corossol 130
Érythème fessier du nourrisson
Aloe vera 97
Érythèmes
Aloe vera 96
Escarres
Aloe vera 97
Essoufflement au moindre effort
Feralim 187
Estomac (brûlures)
Digest-GI 158
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Estomac (brûlures, acidité)
Aloe vera 97
Estomac (crampes, ulcères)
Silice de prêle ou d’ortie 182
Estomac (lourdeurs)
Silice de prêle ou d’ortie 183
Excès alimentaire, alcoolique ou médicamenteux
Bilior 7 44
Exostoses
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Expectorant
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 22
Extractions dentaires (suites)
Aloe vera 97
Extra Life Vision 147

F
Faiblesse immunitaire
Hydraphyt 116
Tyro+ 236
Faiblesse musculaire
CBD 25 mg + vit. D 53
Fatigue
Capillar Plus 47
Fatigue chronique
ADN téloméractives 18
CBD 50 mg 53
Iodine solution de Lugol 70
Seconde Jeunesse 174
Siberia ginseng 106
Vitamine C 264
Fatigue chronique (syndrome)
Coenzyme Q10 224
Fatigue constante
Tyro+ 236
Fatigue, épuisement
CBD 25 mg + vit. D 53
Fatigue persistante
Maca (poudre de racine) 155
Fatigue physique et/ou intellectuelle
Aloe vera 97
Femmes (ostéoporose, instabilité, nervosité, peau flasque, paresse)
Seconde Jeunesse 175
Feralen 54
Feralim 183
Fer (carence)
Feralim 187
Fibrine en dépôts
Serracor NK 146
Fibrome
Bromélaïne gamma (2 500 GDU) 271
Digilance 126
Menophyt 309
Fibrome saignant
Feralim 187
Fibromes utérins
Iodine solution de Lugol 70
Serracor NK 146
Fibromyalgie
ADN téloméractives 18
Aloe vera 97
Calmophyt 120
CBD 50 mg 53
Ginkgo biloba 208
Seconde Jeunesse 175
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Fibrose kystique
Digest-GI 158
Fibroses
Reishi (champignon) 141
Fièvre
Baobab 35
Chlorure magnésium 248
Graviola corossol 130
Moringa 338
Fiévreux (état)
Air des montagnes 27
Flatulences
Carbophyt 321
Digest-GI 158
Floracor GI 135
Jus de pomme de terre crue 161
Floracor GI 132
Flore intestinale déséquilibrée
Baobab 35
EM-X Gold 279
Fluor (intoxication)
Iodine solution de Lugol 70
Foie
Chlorophyt 294
Phycocyanine 232
troubles
Graviola corossol 130
Foie déficient
Alphaphyt 29
Foie engorgé
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Foie engorgé et intoxiqué
Détox 245
Foie et rate (troubles)
Silice de prêle ou d’ortie 182
Foie et vésicule biliaire (paresse)
Détox 245
Foie fragile
Capillar Plus 47
Foie (insuffisance)
ADN téloméractives 18, 20
Alcaphyt 66
Bilior 7 44
Foie (intoxication alcoolique)
L-glutathion réduit liposomal 74
Foie intoxiqué
Glutyl 2 61
Foie paresseux
Digilance 126
Foie, vésicule
congestionnés ou embourbés
Bilior 7 45
Fonction cérébrale défectueuse
Neurophyt 275
Force physique en baisse
Extra Life Vision 150
MRE 153
Fortifiant
Silice de prêle ou d’ortie 183
Fourmillement des extémités
Tyro+ 236
Fourmillements, picotements des membres
Tibétane (nouveau Padma) 90
Fractures
Quinton 283
Vitamines D3 + K2 liposomales 228
Fractures et fêlures osseuses
Nacre d’huître 104
Frigidité
Maca (poudre de racine) 155
Frilosité
Iodine solution de Lugol 70
Maca (poudre de racine) 155
Fringales
Sacha inchi 140
Fuites urinaires
Prostaphyt 79
Furonculose rebelle
Bains hyperthermiques 101

G
Gangrène
Iodine solution de Lugol 70
Gangrène diabétique (+ méthode Gardelle)
Alphaphyt 29
Gastralgies
Argile 334
Jus de pomme de terre crue 161
Gastrite
Baobab 35
EM-X Gold 279
Extra Life Vision 150
Jus de pomme de terre crue 161
MRE 153
Silice de prêle ou d’ortie 182
Gastro-entérite
Argile 334
Digilance 126
Feralen 57
Quinton 284
Silice de prêle ou d’ortie 183
Gencives
Soufre organique (MSM) 300, 302
Gencives (affections)
Coenzyme Q10 224
Génotoxiques vaccinaux
ADN téloméractives 20
Gingivites, glossites et stomatites
Aloe vera 97
Ginkgo biloba 206
Ginseng sauvage Siberia 106
Glaires gastriques ou pulmonaires
Silice de prêle ou d’ortie 182
Glande pinéale
faible
Iodine solution de Lugol 70
Glandes surrénales et séminales (en hypo)
Siberia ginseng 107
Glaucome
Alphaphyt 29
Bains hyperthermiques 102
CBD 25 mg 53
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Soufre organique (MSM) 300
Glutathion usé (régénère)
Glutyl 2 61
Glutyl 2 58
Glycémie (hyper)
Alphaphyt 29
Seconde Jeunesse 175
Glycémie (hypo)
Bilior 7 45
Iodine solution de Lugol 70
Goitre
Iodine solution de Lugol 70
Goutte
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Iodine solution de Lugol 70
Jus de pomme de terre crue 161
Silice de prêle ou d’ortie 182
Vitamine C 264
Grains de beauté
Iodine solution de Lugol 70
Graisses excessives
L-gasseri + bromélaïne gamma 112
Grand adaptogène
ADN téloméractives 18
Graphène
Sanchlor 325
Graphène (capteur électrique)
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 22
Graviola corossol 127
grippe
oregaresp 190
Grippe
ADN téloméractives 18
Air des montagnes 27
Chlorure magnésium 248
Feralen 57
Graviola corossol 130
Sanchlor 325
Vitamines D3 + K2 liposomales 227
Grossesse
Alcaphyt 66
Quinton 283
Vitamine C 264

H
Haleine fétide
Chlorophyt 294
Haleine mauvaise d’origine digestive, colite
Aloe vera 97
Hallux valgus
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Helicobacter pylori
Sanchlor 325
Hématome
Vitamine C 264
Hémiplégie
Bains Salmanoff 212
Hémiplégie (séquelles)
Bains hyperthermiques 102
Hémoglobine et globules rouges
Chlorophyt 294
Hémoptysie
Silice de prêle ou d’ortie 182
Hémorragies
Silice de prêle ou d’ortie 182, 183
Hémorragies (suites)
Feralim 187
Hémorroïdes
Aloe vera 97
Ginkgo biloba 208
Serracor NK 146
Serrapeptase 253
Silice de prêle ou d’ortie 182
Hépatique et biliaire (paresse)
Aloe vera 97
Hépatite C
Bilior 7 45
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Soufre organique (MSM) 301
Hépatites
ADN téloméractives 18, 20
Capillar Plus 47
EM-X Gold 279
Phycocyanine 232
Sanchlor 325
Hépatite virale
Détox 245
Herpès
EM-X Gold 279
Reishi (champignon) 141
Sanchlor 325
Herpès buccal et génital
Aloe vera 97
Herpès génital
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Herpès génital, fibromyalgie
Iodine solution de Lugol 70
Herpès (HSV1 et HSV2)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Herpès labial et génital
Aloe vera 97
Herpès zoster (varicelle)
Feralen 57
Homéostasie faible
Quinton 284
Homéostasie (instab. param.)
CBD 25 mg 53
Hormones (déséquilibre)
Digilance 126
Humeur instable
Soufre organique (MSM) 302
Zinc + sélénium 94
Humeur maussade
Iodine solution de Lugol 70
Hydraphyt 114
Hydrocéphalie
Bains hyperthermiques 102
Hyperactivité mentale
Soufre organique (MSM) 302
Hyperglycémie
Coenzyme Q10 224
Hypertension
Alcaphyt 66
Bains hyperthermiques 102
Capillar Plus 47
CBD 25 mg 53
Coenzyme Q10 224
Graviola corossol 130
Iodine solution de Lugol 70
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Quinton 283
Soufre organique (MSM) 302
Vitamines D3 + K2 liposomales 227
Hypertension artérielle
Calmophyt 120
Seconde Jeunesse 175
Hypertension nerveuse
ADN téloméractives 18
Quercévital 83
Hyperthyroïdie
Alcaphyt 66
Hypnotique
Vagostim 86
Hypoglycémie
CBD 15 mg 53
Hypophyse (hypo)
Iodine solution de Lugol 70
Hypotension
Moringa 338
Quinton 283
Siberia ginseng 107
Hypoxie cellulaire
Alcaphyt 66
Feralen 57

I
Idées noires
Calmophyt 120
Immunité affaiblie
Digilance 126
MRE 153
Quercévital 83
Sacha inchi 140
Siberia ginseng 107
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Immunité (augmente)
Argent colloïdal 313
Coenzyme Q10 224
Immunité (équilibre)
ADN téloméractives 18
Immunodéficience
ADN téloméractives 20
Artemisia annua 257
Capillar Plus 47
Feralen 57
Jus de pomme de terre crue 161
Phycocyanine 232
Zinc + sélénium 94
Immunodépression
Air des montagnes 27
L-glutathion réduit liposomal 74
Seconde Jeunesse 175
Impuissance
Maca (poudre de racine) 155
Incontinence
Silice de prêle ou d’ortie 182
Indigestion
Jus de pomme de terre crue 161
Soufre organique (MSM) 298, 302
Infarctus du myocarde (récupération)
Bains Salmanoff 212
Quercévital 83
Infarctus du myocarde (séquelles)
Bains hyperthermiques 102
Infarctus du myocarde (suite)
Coenzyme Q10 224
Infarctus (récupération)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Infarctus (risque)
Capillar Plus 47
Infection à salmonella
Sanchlor 325
Infection de la vessie
Iodine solution de Lugol 70
Infection des gencives
Iodine solution de Lugol 70
Infection et congestion utéro-vaginale
Quinton 284
Infection plaies
Aloe vera 97
Infections
Aloe vera 97
Capillar Plus 47
Iodine solution de Lugol 70
Vitamine C 264
Zinc + sélénium 94
Infections à répétition
Digilance 126
Infections à staphylocoques
Glutyl 2 60
Infections bactériennes
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Reishi (champignon) 141
Sanchlor 325
Infections des voies respiratoires supérieures
Vitamines D3 + K2 liposomales 227
Infections diverses
Chlorure magnésium 248
Feralen 57
Infections mycosiques
Iodine solution de Lugol 70
Infections nosocomiales
EM-X Gold 279
Infections par bactérie influenza
Feralen 57
Infections par levures
Oreganol P73 218
Infections récurrentes
Tyro+ 236
Infections virales
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Infections virales des voies aériennes et hépatiques
Feralen 57
Infection urinaire
Baobab 35
Digilance 126
Oreganol P73 218
Sanchlor 325
Infection vaginale à levures
Iodine solution de Lugol 70
Inflammation chronique
CBD 25 mg 53
Hydraphyt 116
Inflammations
Aloe vera 97
Capillar Plus 47
Jus de pomme de terre crue 161
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Reishi (champignon) 141
Seconde Jeunesse 175
Siberia ginseng 107
Zinc + sélénium 94
Inflammations broncho-pulmonaires
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 22
Inflammations chroniques (toutes)
Quercévital 83
Inflammations diverses
Extra Life Vision 150
MRE 153
Serrapeptase 253
Inflammations internes
Baobab 35
Inflammations intestinales
Bilior 7 45
Inflammations ou traumatismes articulaires
Aloe vera 97
Inflammations pulmonaires et digestives
Glutyl 2 61
Inflammations (terrain)
Sacha inchi 140
Inflammations (toutes)
Phycocyanine 232
Inflammations urinaires
Silice de prêle ou d’ortie 182
Insecticide
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Insomnies
Aubépine forte 33
Calmophyt 120
CBD 25 mg 53
Graviola corossol 130
Seconde Jeunesse 175
Tyro+ 236
Vagostim 86
Vitamine C 264
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Insuffisance cardiaque
Coenzyme Q10 224
Quercévital 83
Serracor NK 146
Insuffisance rénale
carbophyt 321
Intellect
baisse de capacité
Siberia ginseng 107
Intestin (inflammation)
Baobab 35
Intestin poreux
Digilance 126
Floracor GI 135
Intestins (crampes, douleurs, transit)
BerriMax 38
Intestins (désordres)
Serrapeptase 253
Intestins (tous désordres)
Argile 334
Floracor GI 135
Intestins (troubles)
EM-X Gold 279
Intolérances
Floracor GI 135
Intolérances alimentaires
Digest-GI 158
Intoxication alimentaire
Détox 245
Intoxication, antipoison
Vitamine C 264
Intoxication au brome
Iodine solution de Lugol 70
Intoxication au cuivre et au cadmium
Siberia ginseng 107
Intoxication au fluor
Iodine solution de Lugol 70
Intoxication au mercure
L-glutathion réduit liposomal 74
Intoxication aux métaux
Iodine solution de Lugol 70
Intoxication grave
carbophyt 321
Intoxication médicamenteuse
Détox 245
EM-X Gold 279
Graviola corossol 130
Intoxication organique
Argile 334
Intoxication organique par radicaux libres
Alphaphyt 29
Iodine solution de Lugol 67
Irradiation
Alcaphyt 66
Argile 334
EX-X Gold 279
Irradiations ionisantes
Reishi (champignon) 141
Irradiations (séquelles)
Ginkgo biloba 208
Irrigation cérébrale insuffisante
Ginkgo biloba 208
Irritabilité
Aubépine forte 33
Irritabilité femmes
Seconde Jeunesse 175
Irritations cutanées
Aloe vera 97

J
Jambes lourdes
Ginkgo biloba 208
Tibétane (nouveau Padma) 90
Jaunisse et bilirubine des nouveau-nés
Carbophyt 321
Jaunisse (ictère)
Bilior 7 45
Jeûne et chimiothérapie 349
Jus de pomme de terre crue 159
K
Kystes
Bromélaïne gamma (2 500 GDU) 271
CBD 50 mg 53
Digilance 126
L-gasseri + bromélaïne gamma 112
Serrapeptase 253
Kystes aux seins
Iodine solution de Lugol 70
Kystes divers
Iodine solution de Lugol 70
Kystes ovariens
Iodine solution de Lugol 70
Menophyt 309

L
Lésions traumatiques cérébrales
TCM de coco 205
Leucémie
Phycocyanine 232
Sanchlor 325
Leucémie lymphoïde chronique
Graviola corossol 130
Leucémie myéloïde chronique
Graviola corossol 130
L-gasseri + bromélaïne gamma 109
L-glutathion réduit liposomal 72
Libido (baisse)
Seconde Jeunesse 175
Siberia ginseng 107
Libido déficiente (hommes et femmes)
Maca (poudre de racine) 155
Libido (perte)
Tyro+ 236
Lichen
Quinton 284
Lombalgie
Tyro+ 236
Longévité (augmente)
Coenzyme Q10 224
Lumbago
Baobab 35
Baume de Russie Salmanoff 194
Lupus érythémateux
Aloe vera 97
Soufre organique (MSM) 298, 302
Lymphocytes insuffisants
Glutyl 2 61
Lymphome
Graviola corossol 130

M
Maca (poudre de racine) 154
Maigreur extrême
Digilance 126
Malabsorption des graisses
TCM de coco 205
Maladie de Basedow
Bains hyperthermiques 102
Iodine solution de Lugol 70
Maladie de Behçet
Digilance 126
Maladie de Crohn
CBD 50 mg 53
Digest-GI 158
EM-X Gold 279
Maladie de Huntington (chorée)
TCM de coco 205
Maladie de Hutchinson
Coenzyme Q10 224
Maladie de la hanche
Iodine solution de Lugol 70
Maladie de Lapeyronie
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Maladie de Lyme
Artemisia annua 257
Carbophyt 321
Coenzyme Q10 224
Oreganol P73 218
Sanchlor 325
Serrapeptase 253
Maladie de Lyme (grand soulagement)
CBD 25 mg 53
Maladie de Paget
Bains hyperthermiques 102
Maladie de Raynaud
Ginkgo biloba 208
Maladies auto-immunes
ADN téloméractives 20
Aloe vera 97
Digilance 126
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Maladies cardiaques
Vitamines D3 + K2 liposomales 227
Maladies chroniques diverses
Sacha inchi 140
Maladies dégénératives
ADN téloméractives 20
Iodine solution de Lugol 70
Maladies de la peau
CBD 25 mg + vit. D 53
Maladies de vieillesse
Aloe vera 97
Maladies épidémiques
Phycocyanine 232
Maladies infantiles
Chlorure magnésium 248
Maladies mentales
ADN téloméractives 20
Maladies neurodégénératives
Alphaphyt 29
Glutyl 2 61
TCM de coco 205
Maladies nosocomiales
Sanchlor 325
Maladies nosocomiales (préventif et curatif)
Alcaphyt 66
Maladies psychiques
Digilance 126
Maladies tropicales
Chlorure magnésium 248
Sanchlor 325
Maladies virales
ADN téloméractives 20
Phycocyanine 232
Siberia ginseng 107
Zinc + sélénium 94
Maladies virales et bactériennes
Aloe vera 97
Malaria
Graviola corossol 130
Iodine solution de Lugol 70
Masse sanguine
Quinton 284
Mastoses fibrokystiques
Iodine solution de Lugol 70
Mauvaises fonctions musculaires
Vitamines D3 + K2 liposomales 227
Mauvaises odeurs corporelles
Chlorophyt 294
Maux de dents
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Membranes cellulaires abîmées
Glutyl 2 61
Membres et extrémités froids
Capillar Plus 47
Membres faibles
ADN téloméractives 18
Mémoire défaillante
ADN téloméractives 20
Aloe vera 97
Capillar Plus 47
CBD 25 mg 53
Ginkgo biloba 208
MRE 153
Neurophyt 275
Siberia ginseng 107
Mémoire défaillante et concentration difficile
Extra Life Vision 150
Mémoire (perte de)
BerriMax 38
Digest-GI 158
TCM de coco 205
Ménopause
Maca (poudre de racine) 156
Menophyt 309
Quinton 283
Ménopause (bouffées de chaleur)
Aubépine forte 33
Ménopause (troubles)
Seconde Jeunesse 175
Ménopause (troubles congestifs)
Aubépine forte 33
Menophyt 303
Méridien rate (stimule)
ADN téloméractives 18
Métabolisme perturbé
EM-X Gold 279
Métaux en excès (fer, cuivre)
Alphaphyt 29
Métaux lourds
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
mercure, arsenic, cadmium
Glutyl 2 61
Soufre organique (MSM) 302
Métaux lourds (aluminium, mercure, plomb, cadmium)
Feralen 57
Métaux toxiques (arsenic, cadmium, mercure et plomb)
Alphaphyt 29
Métaux toxiques (Pb, Cd, As, Al, Hg)
Iodine solution de Lugol 70
Microcirculation cérébrale
Ginkgo biloba 208
Micro-organismes de fermentation majoritaires
EX-X Gold 279
Micro-organismes de fermentation minoritaires
EM-X Gold 279
Micro-organismes de putréfaction majoritaires
EM-X Gold 279
Mictions (débuts et fins en goutte à goutte)
Prostaphyt 79
Mictions (faibles surtout la nuit)
Prostaphyt 79
Migraine
Calmophyt 120
CBD 50 mg 53
Soufre organique (MSM) 300, 302
Tyro+ 236
Minéralisation (ostéoporose, fractures)
Alcaphyt 66
Mitochondries (faiblissantes)
Seconde Jeunesse 175
Mongolisme
Bains hyperthermiques 102
Mononucléose
Sanchlor 325
Mononucléose infectieuse
Feralen 57
Moringa 336
Mouvements lents
Tyro+ 236
MRE 151
Mucolytique
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 22
Muguet
Chlorophyt 294
Muqueuses abîmées
Nacre d’huître 104
Muqueuses endommagées
Argile 334
Muqueuses respiratoires enflammées
BerriMax 38
Musculature (fonte)
Seconde Jeunesse 175
Myasthénie grave
TCM de coco 205
Mycose des ongles
Silice de prêle ou d’ortie 182
Mycose des pieds
EM-X Gold 279
Soufre organique (MSM) 302
Mycose plantaire (en externe)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Mycoses
Chlorophyt 294
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Mycoses internes
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Mycoses, surtout vaginales
Aloe vera 97
Mycose vaginale
Chlorophyt 294
Myélome
Graviola corossol 130
Myélopathie chronique
Bains Salmanoff 212
Myopathies mitochondriales
TCM de coco 205

N
Nacre d’huître 102
Nausées chroniques
Digilance 126
Nerveux (déséquilibres et chocs)
Alcaphyt 66
Nervosisme
Vagostim 86
Nervosité
Graviola corossol 130
Nervosité féminine
Seconde Jeunesse 175
Neurodermite
EM-X Gold 279
Neuromusculaires (fonctions affaiblies)
BerriMax 38
Neuropathies diabétiques
Alphaphyt 29
Neurophyt 272
Névralgies
Graviola corossol 130
Névrite
Bains Salmanoff 212
Névrites et névralgies diverses
Baume de Russie Salmanoff 194
Névrose
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Nez bouché
Air des montagnes 27
Nitrate dans le sang
Digilance 126
Nodules
Iodine solution de Lugol 70
Nuclei quantum (thymoquinone) 345
Nutrition cellulaire (déséquilibre)
Quinton 284

O
Obésité
Coenzyme Q10 224
L-gasseri + bromélaïne gamma 113
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Seconde Jeunesse 175
Œdème cérébral
Bains hyperthermiques 102
Œdème généralisé
Silice de prêle ou d’ortie 182
Œdème inflammatoire local
Baume de Russie Salmanoff 194
Œdèmes
ADN téloméractives 18
Capillar Plus 47
Digilance 126
Iodine solution de Lugol 70
Silice de prêle ou d’ortie 183
Vitamine C 264
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Œdèmes des membres inférieurs
Ginkgo biloba 208
Oligurie
Glutyl 2 61
Ongles fragiles
Baobab 36
Ongles mous, cassants, dédoublés
Sacha inchi 140
Oreganol P73 214
Oregaresp 188
Oreilles (inflammation)
Argent colloïdal 313
Oreilles (pathologies)
Serrapeptase 253
Organisme entoxiné
Bilior 7 45
Orteils en marteau
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Os (affections)
Sacha inchi 140
Os fragiles
CBD 25 mg + vit. D 53
Ostéomalacie
Bains hyperthermiques 102
Ostéoporose
Maca (poudre de racine) 156
Menophyt 309
Nacre d’huître 104
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Quinton 283
Sacha inchi 140
Silice de prêle ou d’ortie 182
Soufre organique (MSM) 299
Vitamines D3 + K2 liposomales 227
Ostéoporose de la ménopause
OstéoRenov 167
Ostéoporose des plus de 70 ans
OstéoRenov 167
Ostéoporose féminine
Seconde Jeunesse 175
OstéoRenov 162
Ovaires polykystiques
Seconde Jeunesse 175
Ovarite
Bains Salmanoff 212
Oxyde de graphène (présence sanguine d’origines diverses)
L-glutathion réduit liposomal 74
Oxygénant puissant
Feralen 57
Oxygénation cellulaire
Alcaphyt 66
Chlorophyt 294

P
Pâleur
Feralim 187
Tyro+ 236
Palpitations
Aubépine forte 33
Vagostim 86
Paludisme
Artemisia annua 257
Baobab 35
Graviola corossol 130
Panaris
Iodine solution de Lugol 70
Pancréas (insuffisances)
Digest-GI 158
Pancréatite chronique
TCM de coco 205
Parasites anaérobies
Chlorophyt 295
Parasites divers
Graviola corossol 130
Parasites en tous genres
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Parkinson
CBD 25 mg 53
Coenzyme Q10 224
Digilance 126
EM-X Gold 279
L-glutathion réduit liposomal 74
TCM de coco 205
Parodontite
Sanchlor 325
Parodontose
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Pathologies parasitaires
Sanchlor 325
Pathologies virales
Sanchlor 325
Paumes et plantes jaunes
Tyro+ 236
Peau
Soufre organique (MSM) 302
Peau accidentée
Nacre d’huître 104
Peau (affections)
Sacha inchi 140
Peau du visage flétrie
Baume de Russie Salmanoff 194
Peau flasque
Baobab 36
Peau fragile, déshydratée
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Peau (imperfections)
Alcaphyt 66
Peau (infections parasitaires)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Peau (perte d’élasticité)
BerriMax 38
Peau (protège des dégâts des UV)
ADN téloméractives 20
Peau (protège des dégâts oxydatifs des UV)
ADN téloméractives 18
Peau (purpura)
Vitamine C 264
Peau (rides et taches de vieillesse)
Extra Life Vision 150
MRE 153
Peau (séborrhée)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Peau sèche
Baobab 36
CBD 25 mg + vit. D 53
Iodine solution de Lugol 70
Peau sèche, plissée
Seconde Jeunesse 175
Peau sensible, irritable
Ginkgo biloba 208
Peau vieillie
ADN téloméractives 20
Sacha inchi 140
Peau vieillie, ridée ou flasque
Silice de prêle ou d’ortie 182
Peau (vieillissement)
Capillar Plus 47
Peau (vieillissement par trop d’UV)
Seconde Jeunesse 175
Pellicules (en externe)
Jus de pomme de terre crue 161
Pemphigus
Bains hyperthermiques 102
Performances physiques et intellectuelles faibles
TCM de coco 205
Performances sportives insuffisantes
Siberia ginseng 107
Peroxydes résiduels
Feralen 57
Perte de cheveux
CBD 25 mg + vit. D 53
Pessimisme
Floracor GI 135
Phlébites
Serracor NK 146
Phlegmon
Bains hyperthermiques 102
Phycocyanine 229
Pipi au lit
Silice de prêle ou d’ortie 182
Piqûres d’insectes, d’orties, de méduses
Aloe vera 97
Plaies
Argent colloïdal 313
Chlorophyt 294, 295
Plaies chirurgicales
Aloe vera 97
Plaies infectées
Chlorure magnésium 249
Plaies nécrotiques
Chlorophyt 294, 295
Plaque dentaire
Soufre organique (MSM) 300, 302
Poids excessif
Bains Salmanoff 212
TCM de coco 205
Polio (séquelles)
Bains Salmanoff 212
Pollution générale du corps
EM-X Gold 279
Polyarthrite rhumatoïde
Bains Salmanoff 212
Polynévrites
Bains Salmanoff 213
Polypes intestinaux
Floracor GI 135
Problèmes menstruels
Tyro+ 236
Prostaphyt 76
Prostate
adénome
Iodine solution de Lugol 70
Prostatisme
Moringa 338
Prostatite (PSA élevés)
D-mannose 331
Prostaphyt 79
Quercévital 83
Protection cardiovasculaire
Hydraphyt 116
Protéines (synthèse déficiente)
Alcaphyt 66
Protozoaires Giardia intestinalis
Sanchlor 325
Prurigo
Quinton 284
Prurit généralisé
Carbophyt 321
Prurit intense
Silice de prêle ou d’ortie 182
Psoriasis
Aloe vera 97
Iodine solution de Lugol 70
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Quinton 284
Soufre organique (MSM) 298
Psychiatrie (adjuvant)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Pulmonaires (maladies)
Serrapeptase 253
Silice de prêle ou d’ortie 182
Purpura
Vitamine C 264

Q
QI insuffisant
Vitamine C 264
Quercévital 80
Quinton 280

R
Rachitisme
Alcaphyt 66
Bains hyperthermiques 102
Baobab 35
Radicaux libres
Reishi (champignon) 141
Radicaux libres engendrés par le stress
ADN téloméractives 18
Radicaux libres pathogènes
Feralen 57
Radicaux libres toxiques
ADN téloméractives 20
Glutyl 2 61
Radicaux libres toxiques (excès)
Quercévital 83
Radioactivité ambiante
Iodine solution de Lugol 70
Radiothérapie (brûlures cartonnage tissus)
Aloe vera 97
Radiothérapie (séquelles)
EM-X Gold 279
Seconde Jeunesse 175
Raisonnement lent
Tyro+ 236
Récupération après l’effort (lente)
Siberia ginseng 107
Récupération chirurgicale
Nacre d’huître 104
Récupération post-opératoire
TCM de coco 205
Réflexe achilléen lent
Tyro+ 236
Reflux gastriques
Jus de pomme de terre crue 161
Régénéscence tissulaire
Aloe vera 97
Règles (aménorrhée)
Baobab 35
Règles douloureuses
CBD 50 mg 53
Seconde Jeunesse 175
Règles douloureuses ou abondantes
Digilance 126
Règles irrégulières
Iodine solution de Lugol 70
Siberia ginseng 107
Règles trop abondantes
Feralim 187
Régulateur hépatique
Glutyl 2 60
Reins (congestion)
Bilior 7 45
Reishi (champignon) 141
Relaxant
Vagostim 86
Rénale (insuffisance)
Aloe vera 97
Rénales (infections et insuffisance)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Repas trop copieux
Bilior 7 45
Retard de croissance
Quinton 283
Retard pondéral
Quinton 283
Retard scolaire
Vitamine C 264
Rétention d’eau
ADN téloméractives 18
Bilior 7 45
L-gasseri + bromélaïne gamma 113
Rétention d’eau (diurétique)
Silice de prêle ou d’ortie 182, 183
Rétention d’urine
Silice de prêle ou d’ortie 182
Rétinite
Bains hyperthermiques 102
Rétroviroses actives (TAHA)
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Revitalisant puissant
Quinton 283
Rhinite
Quinton 284
Rhumatisme déformant
Bains hyperthermiques 102
Rhumatismes
Aloe vera 97
Baobab 35
Glutyl 2 60
Graviola corossol 130
Iodine solution de Lugol 70
Jus de pomme de terre crue 161
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Silice de prêle ou d’ortie 182, 183
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Rhume
ADN téloméractives 18
Air des montagnes 27
Oregaresp 190
Vitamines D3 + K2 liposomales 227
Rhume des foins
Quercévital 83
Rhume influenza
Feralen 57
Rides
Baobab 36
Rumination
Calmophyt 120

S
Sacha inchi – huile 136
Saignement des gencives
Vitamine C 264
Saignement du nez (poudre marine)
Silice de prêle ou d’ortie 182
Salpingite
Bains hyperthermiques 102
Sanchlor 323
Sang et lymphe pollués
Bilior 7 45
Sang (formule altérée)
Quinton 284
Sang (nettoie)
Jus de pomme de terre crue 161
Sang (régénère la formule)
Phycocyanine 232
Sang (régule la formule)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Sang (taux de coagulation élevé)
Sacha inchi 140
Sang (trop épais)
Alcaphyt 66
Sang vicié
Silice de prêle ou d’ortie 183
Sang vicié (dépuratif)
Silice de prêle ou d’ortie 182
Sang vicié et trop épais
Serracor NK 146
Sang (viscosité excessive)
Capillar Plus 47
Scarlatine
Iodine solution de Lugol 70
Schizophrénie
CBD 15 mg 53
Sciatique
Bains Salmanoff 212
CBD 50 mg 53
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Sclérose cérébrale à plaques
Feralen 57
Sclérose en plaques
Argent colloïdal 313
CBD 50 mg 53
L-glutathion réduit liposomal 74
Quinton 284
TCM de coco 205
Sclérose latérale amyotrophique
TCM de coco 205
Scorbut
Baobab 35
Graviola corossol 130
Vitamine C 264
Sécheresse de la bouche
Hydraphyt 116
Sécheresse de la peau
Hydraphyt 116
Sécheresse du nez
Hydraphyt 116
Sécheresse du tractus pulmonaire
Hydraphyt 116
Sécheresse oculaire
Vitamines D3 + K2 liposomales 226
Sécheresse ou épaississement cutané
Tyro+ 236
Sécheresse vaginale
Hydraphyt 116
Seconde Jeunesse 168
Sédatif
Vagostim 86
Sédatif cardiaque
Vagostim 86
Sédatif nerveux
Vagostim 86
Seins (douleurs)
Iodine solution de Lugol 70
Seins (engorgement)
Serrapeptase 253
Seins fibrokystiques
Menophyt 309
Serracor NK 146
Selles nauséabondes
Carbophyt 321
Sels biliaires
Carbophyt 321
Sénescence
Aloe vera 97
Quinton 284
Sénilité précoce
L-glutathion réduit liposomal 74
Séquelles de radiothérapie
Hydraphyt 116
Séquelles d’hématomes et œdème cérébral
Bains hyperthermiques 102
Séquelles vaccinales
L-glutathion réduit liposomal 74
Serracor NK 144
Serrapeptase 251
Siberia ginseng 106
Sida
ADN téloméractives 18, 20
Sanchlor 325
Sida des chats
BerriMax 38
Silice de prêle ou d’ortie 176
Sinusite
BerriMax 38
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Iodine solution de Lugol 70
Quinton 284
Sommeil (mauvais)
Digilance 126
Sommeil non réparateur
Calmophyt 120
Sommeil (troubles)
Vagostim 86
Soufre organique (MSM) 296
Spasmes musculaires
Alcaphyt 66
Graviola corossol 130
Spasmophilie
Alcaphyt 66
Quinton 283
Vagostim 86
Sperme peu actif
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Spondylarthrite
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Spondylose rhizomélique
Bains hyperthermiques 102
Bains Salmanoff 212
Staphylocoque
Sanchlor 325
Staphylocoque doré
CBD 50 mg 53
Chlorophyt 295
Sanchlor 325
Stase capillaire périphérique
Capillar Plus 47
Neurophyt 275
Stase circulation capillaire
Vagostim 86
Stase lymphatique
Vagostim 86
Stases circulatoires
L-gasseri + bromélaïne gamma 113
Stases sanguines et capillaires
Extra Life Vision 150
MRE 153
Stases sanguines et lymphatiques
Air des montagnes 27
Stases sanguines locales
Baume de Russie Salmanoff 194
Stéato-hépatite non alcoolique
Bilior 7 45
Stérilité
Iodine solution de Lugol 70
Maca (poudre de racine) 156
Vitamine C 264
Stérilité masculine
Extra Life Vision 150
MRE 153
Streptocoque
Chlorophyt 295
Sanchlor 325
Stress
Air des montagnes 27
Alcaphyt 66
Calmophyt 120
CBD 15 mg 53
Maca (poudre de racine) 156
Siberia ginseng 107
Vitamine C 264
Stress entretenu
Aloe vera 97
Stress oxydatif
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Reishi (champignon) 141
Sueurs nocturnes
ADN téloméractives 18
Suite d’AVC
Tibétane (nouveau Padma) 90
Suite d’infarctus du myocarde
Tibétane (nouveau Padma) 90
Surmenage
Aloe vera 97
Quinton 284
Surmenage physique et intellectuel
Siberia ginseng 107
Surpoids
Calmophyt 120
Surrénales épuisées
ADN téloméractives 18
Surrénales faibles
Iodine solution de Lugol 70
Sympathicotonie nerveuse
Calmophyt 120
Syncope orthostatique
Quinton 283
Syndrome côlon irritable
Soufre organique (MSM) 298
Syndrome de perméabilité du côlon
Soufre organique (MSM) 298
Syndrome prémenstruel
Digilance 126
Ginkgo biloba 208
Menophyt 309
Syndrome sec des yeux
Hydraphyt 116
Syphilis
Iodine solution de Lugol 70
Système immunitaire
Oreganol P73 218
Système nerveux autonome (neurotonie)
Vagostim 86
Système nerveux autonome (sautes brutales d’adaptation)
Vagostim 86
Système nerveux central (inhibé)
Siberia ginseng 107
Système nerveux fragile
Capillar Plus 47
Système nerveux parasympathique stase
Vagostim 87

T
Tabac (dépendance)
CBD 50 mg 53
Tabagisme
Vitamine C 264
Tachycardie
Aubépine forte 33
Vagostim 86
TCM de coco 202
Teigne
Aloe vera 97
Graviola corossol 130
Tendinite
Aloe vera 97
Extra Life Vision 150
MRE 153
Nacre d’huître 104
Tyro+ 236
Tendons ostéoarticulaires endommagés
Nacre d’huître 104
Tension artérielle (hyper)
Bains Salmanoff 212
Sacha inchi 140
Tension artérielle (hypo)
Bains Salmanoff 212
Tension (hyper)
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Tensions musculaires
Calmophyt 120
Terrain cancer
Seconde Jeunesse 175
Terrain minéral déséquilibré
Quinton 284
Testostérone (carence)
Seconde Jeunesse 175
Tétanos (évite)
Alcaphyt 66
Thromboses
Alcaphyt 66
Bains Salmanoff 212
Thyroïde (hyper)
Vagostim 86
Thyroïde (régulateur)
Iodine solution de Lugol 71
Thyroïdite de Hashimoto
Iodine solution de Lugol 71
Tibétane (nouveau Padma) 87
Tissus morts (dissout)
Serrapeptase 253
Tissus nerveux et myélinisation (dégénérescence)
Sacha inchi 140
Tourista
Carbophyt 321
Toutes pathologies inflammatoires
Tibétane (nouveau Padma) 90
Toux
Oregaresp 190
Toux sèche
Air des montagnes 27
Baobab 35
Toux sèche d’irritation
Hydraphyt 116
Toxémie cellulaire profonde
Détox 245
Toxémie générale
Jus de pomme de terre crue 161
Toxémie organique
Glutyl 2 61
Toxémies médicamenteuses
ADN téloméractives 20
Toxicomanie
Carbophyt 321
Vitamine C 264
Toxines bactériennes
Chlorophyt 294
Toxines (foie, reins, intestins)
accumulations
BerriMax 38
Toxoplasmose
Artemisia annua 257
EM-X Gold 279
Trachéite
Air des montagnes 27
Tranquillisant
Vagostim 86
Transit intestinal
Moringa 338
Transit paresseux
Détox 245
Traumatismes crâniens
CBD 25 mg 53
Traumatismes (séquelles)
Bains Salmanoff 212
Tremblements
TCM de coco 205
Triglycérides
Carbophyt 321
Triglycérides du sang (hyper)
Capillar Plus 47
Trouble des phanères
Quinton 283
Troubles cognitifs légers
TCM de coco 205
Troubles de la mémoire
Tyro+ 236
Troubles de l’audition
Tyro+ 236
Troubles du sommeil
Vagostim 86
Troubles intestinaux
Carbophyt 321
Tuberculose
Quinton 283, 284
Tumeurs
CBD 25 mg 53
L-gasseri + bromélaïne gamma 113
Reishi (champignon) 141
Tumeurs cérébrales
CBD 15 mg 53
Tumeurs en tous genres
Graviola corossol 130
Tyro+ 233

U
Ulcérations cutanées et buccales
Aloe vera 97
Ulcère de l’estomac
Argile 334
Digest-GI 158
Jus de pomme de terre crue 161
Ulcère duodénal
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Ulcère gastrique
Aloe vera 97
Seconde Jeunesse 175
Ulcères
Ginkgo biloba 208
Iodine solution de Lugol 71
Reishi (champignon) 141
Serrapeptase 253
Ulcères gastriques et duodénaux
Hydraphyt 116
Vagostim 86
Ulcères gastriques et intestinaux
Silice de prêle ou d’ortie 182
Ulcères variqueux
Aloe vera 97
Silice de prêle ou d’ortie 182
Urinaire (fuite)
Chlorophyt 295
Urinaire (jet faiblissant)
Prostaphyt 79
Urinaire (mictions incomplètes)
Prostaphyt 79
Urinaire (pollakiurie)
Prostaphyt 79
Urinaire (polyurie)
Prostaphyt 79
Urinaires (envies impérieuses difficiles à contrôler)
Prostaphyt 79
Urinaires (trop de levers nocturnes)
Prostaphyt 79
Urticaire
Quinton 284
Silice de prêle ou d’ortie 183

V
Vaccins ARNm
L-glutathion réduit liposomal 74
Vaccins ROR (thromboses)
Alcaphyt 66
Vagostim 83
Vaisseaux capillaires fragiles
Capillar Plus 47
Vaisseaux sanguins (sclérose et athéromes)
Alcaphyt 66
Valves œsophage, pylore et iléo-cæcale
Chlorophyt 295
Varices
Serrapeptase 253
Vitamine C 264
Varicosités veineuses
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 201
Vaxx ARNm (séquelles)
ADN téloméractives 20
Vergetures
Silice de prêle ou d’ortie 182
Vergetures (guérit les cicatrices)
Baobab 36
Verminoses du chat et du chien
Iodine solution de Lugol 71
Verrues
EM-X Gold 279
Verrues (certaines)
Argent colloïdal 313
Vers intestinaux
Graviola corossol 130
Vertiges
Ginkgo biloba 208
Tyro+ 236
Vessie (érectilité aux changements de position)
Prostaphyt 79
Vessie (inflammation)
Prostaphyt 79
Vessie (manque de souplesse)
Prostaphyt 79
Vieillissement
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Vieillissement biologique
Alcaphyt 66
Vieillissement cellulaire
Glutyl 2 61
Vieillissement cérébral
Alphaphyt 29
Vieillissement cutané
Nacre d’huître 104
Vieillissement organique prématuré
ADN téloméractives 20
Capillar Plus 47
EM-X Gold 279
OstéoRenov 167
Vieillissement organique (ralentit)
ADN téloméractives 18
Vieillissement peau et cerveau
Quercévital 83
Vieillissement prématuré
Sacha inchi 140
Zinc + sélénium 94
Vieillissement (ralentit)
Reishi (champignon) 141
Vieillissement (réduit les signes)
Baobab 36
Virale (charge élevée)
Feralen 57
Viroses
Nuclei quantum (thymoquinone) 348
Visage bouffi
Tyro+ 236
Vision (améliore)
Ginkgo biloba 208
Vision (baisse)
ADN téloméractives 20
Zinc + sélénium 94
Vision floue
Tyro+ 236
Vision trouble
Extra Life Vision 150
MRE 153
Vitalité (baisse)
Aloe vera 97
Maca (poudre de racine) 156
Vitalité faible
Aiguilles de pin sylvestre gemmo D1 22
Vitamine C 258
Vitamine C (insuffisante)
Alcaphyt 66
Vitamines C et E usées (recycle)
Glutyl 2 61
Vitamines D3 + K2 liposomales 225
Voix rauque
Tyro+ 236
Vomissements de la grossesse
Quinton 284
Vue (baisse)
Détox 245
Vue déficiente
Iodine solution de Lugol 71

Y
Yeux
cataracte
ADN téloméractives 20
Yeux (congestion allergique)
Quercévital 83
Yeux (dégénérescence)
Sacha inchi 140
Yeux (DMLA)
Vitamine C 264
Yeux (mauvaise irrigation de la rétine)
Capillar Plus 47
Yeux (ophtalmies)
Baobab 35

Z
Zéolite clinoptilolite surfine (0,5 micron) 195
Zinc + sélénium 92
Zona
DMSO (diméthyl sulfoxyde) 342
Feralen 57
Maquette et composition : Soft Office

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