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Contextualisation, Histoire de La Ville.

Tout d’abord plongeons nous dans une ambiance un peu floue. Comme dans un rêve, les visages, les
noms et les souvenir sont vagues. Le reflet de ce que l’on perçoit nous projette d’abord dans une
ambiance, un mood, avec tout ce que l’on peut y rattacher (comme des couleurs, des odeurs, des
sensations etc.).

Le monde dans lequel on se trouve est une ville composée de 8 Quartiers bien distinct, divisé en 2
parties : les 4 quartiers nord et les 4 quartiers sud de la ville. Eux-mêmes divisible en 2 zones interne
à ce schéma : on y retrouve la zone froide, constituée des résidences/logements de la ville
(logements sociaux et autres biens immobilier), ainsi que la zone chaude, elle constituée du centre-
ville, cœur de toute activités liée à la population et épicentre d’une société de surconsommation, on
y retrouve donc les plus grand et plus modernes gratte-ciel, siège d’une entreprise dominante dans
lesquels on trouve toute l’administration et les bureaux la concernant, ainsi que tous les commerces
possible et imaginable aux pieds de ceux-ci.

La Ville, est une ville moderne, très moderne dans laquelle la population a su s’épanouir. Elle est
cosmopolite, multigénérationnelle et plongée dans un bain culturel venant de tous les milieux.

Cependant cela fait maintenant 50 ans que le réchauffement climatique augmente petit à petit la
température du monde entier, et donc fatalement de notre ville, le réchauffement était progressif et
lent mais a fini par devenir de plus en plus drastique depuis ces 20 dernières années, et cela ne vas
pas en s’arrangeant.

Nous sommes donc plongés dans un monde de technologie et de bitume brulant, d’une chaleur
étouffante et pesante tout au long de l’année. Désert aride de béton dans la ville, et terrain vague de
verdures calcinée dans les campagnes.

Peu à peu, la végétation à fini par bruler, les terres ont fini par s’assécher, les rendant infertiles et les
espèces animales que nous connaissions à l’époque ont fini par disparaitre, ne pouvant plus se
nourrir d’une nature agonisante.

Nous sommes donc en 2050, les moyens de se nourrir sont de plus en plus rares, les métiers issu de
l’agriculture et de tout ce qui se trouve en périphérie ou en lien avec la vie végétale et animale sont
en train de disparaitre, la populations perd petit a petit son travail, elle a de moins en moins de
sources d’alimentation et de ressources pour vivre, en conséquence elle perd donc de son pouvoir
d’achats puisque le marché du travail possède de plus en plus de demande et de moins en moins
d’offre, certains segments du marché étaient pourtant prometteur mais ils portent tous vers les
ressources humaines, ce qui ne produit donc pas de bien matériel ayant un intérêt à la carence que
subit la population.

En parallèle à cette misère dans laquelle notre ville si moderne et vivante se plonge peu à peu, une
entreprise d’un nom qu’on ne retient pas se mit à posséder au fur et a mesure des années tous les
segments du marché, cela ne s’est pas fait du jour au lendemain mais elle a su surpasser chaque
concurrent de chaque domaine, nul ne connait concrètement la raison de cette réussite si
prometteuse mais tout le monde constate. Dans La Ville, en 2050, cette entreprise s’est imposée et
est présente dans toute La Ville, en fait, elle est même le cœur du système économique et possède la
main mise sur tout ce que l’on peut être tenté d’acheter, du produit le plus banal au plus sophistiqué.
Pour tout le monde cela s’est fait naturellement et cette entreprise fait partie du quotidien de
chaque habitant.

Avec la crise qui s’installe et tous les secteurs de l’industrie alimentaire qui disparaisse, l’Entreprise à
pu d’une manière encore non révélée à l’heure actuelle, posséder les 100% du secteur alimentaire,
toutes les autres entreprises se sont éteintes en voyant leur production annihiler au fur et à mesure
que les degrés Celsius augmentaient.

Aujourd’hui, l’Entreprise communique peu, à l’échelle du monde entier on ne connaît pas l’étendu de
sa présence étant donné sa discrétion, pas de gros logo, pas d’appartenance, seulement des actions
dans l’espace et le temps qui définissent son champ d’actions. Par contre, dans la ville tout le monde
sait que l’Entreprise est partout, tout le monde à vue les commerçants se faire racheter par la même
identité, et pour les plus tenaces, ils ont coulé, ne pouvant pas faire face au pouvoir que celle-ci
possède, tout le monde à vue les usines changer et ne faire plus qu’une image commune.

Cette entreprise cache quelque chose, elle est un visage qu’on n’a jamais reconnu, elle est un nom
qu’on n’avait jamais entendu auparavant et dont on ne souvient pas vraiment, elle représente un
pouvoir si puissant qu’elle domine notre état, n’étant plus qu’une démocratie en apparence, c’est
elle qui tire les ficelles. Cependant, tout ça, on ne sait pas si tout le peuple en es conscient, à vrai dire
la vie n’as pas tant changer dans le fond, c’est toujours la même société, aujourd’hui en 2050 on peut
même dire société de surconsommation, s’étant enliser dans une soif maladive de consommation et
de nouveaux besoins annexe que l’on prend pour des priorités, la plupart du temps au détriments de
nos besoins primaires.

De plus, en s’immisçant, et en devenant l’économie de la ville, l’Entreprise a donc pris possession de


toutes les usines, et en construit de plus en plus, de plus en plus proche de la ville. Elle est donc la
seule source de travail du peuple, étant donné que les entreprises indépendantes se meure face à
celle-ci. Bien ou mal ? Mystérieusement trop intrusive ou protectrice et soucieuse de l’avenir
professionnel des habitants ainsi que de l’économie de La Ville ?

Avec le contexte actuel, nous sommes donc désormais plongés dans une ville en crise, dominé par
une unique entreprise possédant bien et production, rependant vie et mort dans le même panier
d’article et continuant d’enrôler la population dans cette corruption de nos réels besoins, aujourd’hui
c’est elle qui possède les seules sources d’alimentation et d’addiction des habitants.

En surface de La Ville, on n’aperçoit aucun système sortant de l’ordinaire, mais en creusant, on se


rend compte qu’il n’y a que 2 actionnaires, L’entreprise et le peuple.

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