B.

Une planète citadine

Aujourd’hui il y a une accélération de la croissance urbaine. PlUS DE 55% de la population mondiale

vie dans un espace urbain. A comparaison en 1950 il y avait 30% de la population mondial qui vivait
en ville et en 2050 c’est 65% de la population qui vie en ville. Il y a également un triplement de la
couverture urbaine mondiale passage de 0,5% du territoire mondiale urbanisé à 1,5% du territoire
mondiale entre 2000 et 2030. L’urbanisation est en cours. On note une l’urbanisation est en cours
mais elle est différencié selon les différentes régions du monde. Cette urbanisatrion elle est très
rapide en Afrique et en Asie du Sud et de l’Est avec 2 à 4 % d’urbanisation chaque annés. Alors que
dans les pays dévellopé est a moins de 0,5 % car on a déjà fait l’urbanisation il y a 100 ans . Dans les
pays occidentau la transition urbaine est achevé on est a plus de 75% d’urbain dans ces pays. En
frnce c’est 93%. Il y a une stagnation démographique avec un phénomène de périurbanisation
(définir) mas au ralenti. En revanche en Asie et en Afrique la transition urbaine est en cours de
réalisation avec une croissance démographique forte par rapport au pays dévellopé avec une plus
grade croissance naturel (mort vivant) et donc le fait que la croissance démographie est fort on va
transformé les campagnes en ville (explication du 2 à 4 %) transformation des campagne en ville.
Pour l’Afrique on observe un phénomène de métropolisation très important qui concentre
énormément de population donc les gens vont avoir envie de se concentré dans les villes ce qui créer
une métropole qui attire encore les populations

Transition : La population mondiale est devenu masivement citadine ce qui explique la naissance de
grande métropole.

C. Vers un reigne du gigantisme urbain.

Urbain def dans le ppt

Rural def dans le ppt

Aujourd’hui ce qui est compliqué c’est de savoir si ont les uirbain ou rual donc la limite entre les deux
est paureuse

Schéma sur le ppt

A ‘échelle mondiale la ville n’est pas pareil en France c’est 2000 hab alors qu’en chine c’est un village
en plus de ce en France il y a des critère admin.

Aujourd’hui il y a une multiplication des mégapoles (agglomération de plus de 10millions d’habitant)

Une mégalopole est un ensemble de mégapoles.

On est passé de 5 mégapoles en 1980 à 29 en 2015 et il y a une nette domination de l’asie avec plein
de mégapole qui en a 18. Pour l’Europe il y en a 6 et … en Amérique et 2 en Affrique (Caire et le
Lagos). Cependant les espaces urbains de + de 10 millions d’hab n’ont pas les même modèle de
construction. En Europe c’est un modèle aréolaire du centre vers la périphérie. Il existe aussi des
agglo ajouré (notamment en Amérique): ppt

Ces différentes formes urbaine font être définie comme des métropoles (grande ville : ppt)

II) La métropolisation une « traduction locale de la mondialisation » (C.Ghorra-Gobin)

A) Etude de cas de londres

Londres est une métropole qui se compose d’un pole urbain qui compte environ 8.8 millions d’hab et
l’aire urbaine et la couronne périurbine de londres compte 14 milions d’habitants. Saskia Sassen une
=géographe américaux néerlandaise à défini pour la première fois le terme de ville mondiale en 1991
et en 1991 elle en ressence 3 NY, Tokyo et Londres. Londres est dans un premier temps une ville
ouverte sur le monde car elle est composer de 6 aéroports Londre est un hub international donc une
platforme multimodal d’échange londre se compose aussi d’une zip une zone indistrialo portuere qui
se trouve a l’embouchure de la tamise qui lui permet de faire des échanges et de se connecter a la
NorthRange (fasade nord maritime). Cette zip permet à la ville de londres de commerser avec le for
land et l’interland. La métropole londonienne est accesible notamment grâce à de nombreuse gare
comme l’Eurostar à un réseau autoroutier dense ce qui permet a la ville d’étre au cœur de la
mondialisation. Londre est relier au autre métropole et autre territoire. En outre l’attractivité de
Londres s’explique par son poids économique et financier la puissance londonienne et sa
manifestation se retrouve notamment avec ses quartier d’affaire comme la city la ville produit 20%
du PID du royaume UNI la city est le quartier historique des affaire a Londre et date du 19 e siècle
(CBD) elle se compose d’une concentration d’emploie important. Londre se compose également
d’autre quartier d’affaire qui se retrouve notamment dans les doxland (ancien port déafecté) comme
Canary Whorf (ancien port qui a été gentrifié et a été réabilité en quartier d’affaire) dans ces quartier
d’affaire on v retrouver des firmes transnational FTM comme Total et aussi de nombreuse banque
des assurances et des activités dans le secteurs médiatique comme la BBC (économie créative). Il y a
aussi les entreprises spécialiser dans le TIC mais aussi de nombreux investisement direct étranger IDE
(comme les quataris qui veulent investire dans Newcastle) Londre est la première entreprise
d’europe à attiré le plus d’IDE. Il y a aussi un nouveau cartier d’affaire le London Bridge Carter donc il
y a 3 CBD avec celui la création du truc Bridge en 2000 malgré les nous CBD La city est le poumon
économique de la Londre et notamment financier. A la City de Londres on retrouve notamment la
bource de Londres London Stock Echange. C’est la 3e bource mondiale et la 1er d’Europe. Dans la City
on retrouve la banque d’Angleterre qui est émétrice de la livre Sterling. La City créer 800 000
employe dans le domaine financier. La manifestation de la puissance Londoniainne est visible à
travers la vertiicalité du paysage. Une métropole a pour caractéristique le fait d’étre un hub avoir une
puissance économique et financière mais aussi politique. Michel Luttauh parle des Docklands comme
des hyperlieux (ils sont tous pareil) Londres cumule des fonctions de commandement de rang
mondial (politique) car Londre est la capitale du Royaume uni . Le Royaume uni est membre
permanent de ONU. A LONDRES on retrouve le sige de vie du 1er ministre et du roi et le siège du
Commonwealth. Londres et le RU font partie du G20 et du G7. En temps que membre du G20 er du
G7 elle est acteur des déscisions mondiale. En plus des fonctions politique Londres remplie des
fonctions culturel et attire 10 milions de touriste par ans pour ses lieux historique ou récréatif
notamment les JO de 2012. Londres attire aussi les gens pour étudier dans des Université. Londres
est a la première place dans les clasements du GPCI (Global Power City Index). Dans le coté culture
on retrouve aussi le pically circus. Donc Londres coche toute les fonctions métropolitaines (éco fina
poli et culturel et l’acssecibilité) Mais Londres est églement touché par des inégalités c’est la ville
dans laquel on retrouve le plus d’inégalités. La métropole de Londres et créatrice d’une ségrégation
socospaciale.

La métropole londoniaine est marquée par des inégalités croissantes dans certains quartiers
londonains le taux de pauvreté est supérieur à la moyenne nationale qui est de 21%. Les inéglités so
what.(video a regarder)

2 millions de pauvre (1/3 des londoniains) Dans le modele anglosaxon les inégalité ne choque pas
etfont parti de la vie. Les riche possaident 267 foix plus et les riches sont vennu de maniétre ledgite
et c’est mérité. Il y a une ségrégation sociospacial plus t’es dans le centre plus tu es riche plus tu vie
longtemps et tu vis avec les riches et inversement pour les pauvres. La ségrégation socio spacial se
fait a plusieurs échelle (multiscalaire) dans les immeubles dans les quartier les villes ect… La
métropole est cosmopolite avec un mélange de culture de langue avec un mélange. Les métropole
sont constitué de multimiliardaire donc concentratione de nich de pauvre et de riche. Les quartiers
les plus pauvres sont en haut de la tamise a cote de la CITY donc lis sont a proximité mais il y a un
blocage phsicologique avec aucune mixité entre les riches et les pauvres. Les inégalité sont une
question politique qui est le seul a pouvoir les enlevé. Mais pourquoi y en encore c’est a cause des
IDE qui favorise les riches plutôt que les pauvres.

Les métropoles des pays développées doivent répondre aujourd’hui a différent défis notamment
celui des inégalités et bien souvent les politiques publique (état anglais) tirallé entre l’attractivité de
la métropole (ramené les riches) et gestion de la pauvreté : Ex : Les jeux olympique de 2012 ont
accentué les inégalité avec une gentrification d’un cquartier rich et il ont tege les pauvre plus loin. Et
il y aun deuxième défis c’esr la pollution il faut des villes plus verte (construction des écocquartiers)

B. Des métropoles des points d’ancrage de la mondialisation.

Une métropole est un point d’ancrage car elle est une ville multimilionnaire cosmopolite qui s’étale
dans l’espace etunn territoire coneecte (hub zip) une concentration des fonctions économique(IDE
Firme transmationale et une ville de concentration des lieux de culture et d’innovation (smart cité
(universtité recherche edge cité) pole de conpétitivité) une concentration des fonctions politique
(local national international) et les conséqence de la métropole sont les inégalités et la ségrégamtion
sociospacial

Les métropole de rang mondiale sont des lieux les plus a même de capter les flux mondialisé grâce à
leurs équipements et infrastructures elle sont également émétrice de flux ce qui améne une
concurrence métropolitaine donc les métropole vont être hiérarchisé.

(Schéma métropolitain) : Le processus de métropolisation est un processus sélectif et évolutif : La

métropolisation est sélectif car elle préviligie les villes déjà doté en infrastructure et des villes qui
dispose déjà d’un rayonnement international mais cependant ce processus malgré la sélectivité le
prossesus est aussi évolutif car certaines métropole réussissent à participer à la mondialisation et de
rayonner. (certaine ville comme mumbail sont des mégapoles et a développé son influence politique)

C. Un réseau hiérarchisé de métropole : entre concurrence et complémentarité

Comment classés les métropoles mondiales

Doc

I.  humain/sociale
 Economique
 Accessibilité

La mondialisation et la métropolisation contribue au renforcement de la hiérarchisation des

territoires à l’échelle mondiale à travers des classements (Global power City index) basé sur des
critères (principalement : économique sociale et l’assésibilité ) mais il manque le critère politique
donc les classements sont faits sur des choix (ici il manque la politique = limite)

Donc les principales métropoles représenté par le GPCI sont celle dit du Nord (déjà dévellopé) qui
représente l’Ex triade (Amérique du Nord , Europe et Asie de l’est)
 II. Les principales sont celle de la Triade et les secondaires sont celle du sud (donc on a les
métropole alpha (principale) et béta (secondaire) change selon les critères mais la plus par
du temps alpha = nord et béta = sud
III. Il manque le critaire politique et les inégalités

Le clasement est subjectif mais on peut avoir une idé des principales métropole

Selon les classements les métropole se range en 2 catégories donc les alpha  pays du Nord = EX
Triade Paris NY et Londres et les bétas  pays du sud (métropoles secondaires : Mumbai / Sao Paulo

Cette hérrcie métropolitaine est subjectif mais montre que les métropole sont en concurrence car les
métroppole secondaire veulent devenir primaire. En effet les métropole essaye de rayonner plus que
les autre (concurrence avec éco finance culturel …)

Malgré cette concurrence, les métropoles sont complémentaire (plus que conccurente) Olivier
d’Olfuse Parle d’ailleur « Archipele métropolitain mondiale(AMM)» Il dit que les métropoles marche
en réseau. En effet les métropoles aujourd’hui sont reliées aujourd’hui par desflux majeur
(marchansise population financier (capitaux), ou encore d’information) Cette complémentarité
abouti à la formation de mégalopole c’est adire le rassemblement de plusieurs métropole dans une
région du monde aujourd’hui il ya 3 grade mégalopole (boswash (nord américaine) européaine et
japonaise) + une création de 3 autre mégalopole (cote est , cote sud, asie oriental )

Les mégalopoles sont formé par l’étalement urbain.

Conclusion : La métropolisation est un processus différencié à l’échelle mondiale car les métropoles
sont hiérarchisé et mise en concurrence les 1 avec les autres sans pour autant les empêcher d’étre
complémentaire. (Dorsale européenne = la mégalopole européenne = la banane bleu)

II. La mutation des métropoles et des métropoles inégales

Question 1 : En quoi cet extrait nous montre-t-il une double facette de la métropole ?

Bidonville = Slumdog Danger/ insécurité + Inégalité des chances (horizontal)

Mais Mumbai  Mondialisation (avec le jeu qui vient d’Amérique)

CBD  skyline (verticale)

Gentrification

Question 2 : En quoi peut-on dire que Mumbai est une métropole en développement ?

Il y a le train (montre que la ville est en mouvement et est en train de se dévellopé+ Mumbai est
l’alégorie de l’inde qui va faire entré Mumbai dans la mondialisation qui va tiré toute l’inde

Introduction :

Si les métropoles constituent des pôles de puissance, elles n’en sont pas moins touchées par des
fragilités internes. Les inégalités socio-spatiales sont fortes et tendent à s’accroître. Les métropoles
se fragmentent.( Ici c’est une métropole du sud et elles sont fragmenté avec un coté pour les riches
et un pour les pauvres  Bidonville et quartier récent et quartier récent. La fragmentation
sociospacial des espaces urbains se marque dans le paysage des métropoles et les métropoles sont
ségrégés
Intro eval type : Les métropoles, villes concentrant des fonctions et des infrastructures de
commandement à différentes échelles (nationale, régionale ou mondiale), sont des espaces
fracturés. La fracture socio-spatiale des espaces urbains se marque dans le paysage des
métropoles. Depuis 2016, plus de la moitié des 8 milliards d’hommes vit en ville : ces quelques 5
milliards d’urbains habitent dans des villes de plus en plus grandes et de plus en plus étendues. Les
métropoles sont de plus en plus ségrégées : les pauvres et les riches n’habitent plus dans les mêmes
quartiers. Ghettos de pauvres, voire de très pauvres (Bidonvilles, favelas au Brésil, barrios en
Amérique latine, slum en Inde), et gated communities (Lotissements fermés réservés aux locataires
ou aux propriétaires) se sont généralisés.

Comment expliqué et comprendre ce paradoxe (fragmentation autour des métropoles)?

A/ Etude de cas de Mumbai une métropole inégale et en mutation

Mumbai est la métropole la plus peuplé d’Inde, la ville est un ancien comptoir commercial
britannique. Mumbai se compose de 21 millions d’habitant dont 6 millions qui vivent dans des
bidonvilles. Mumbai s’est étaler (urbanisation avec Navi Mumbai (nouveau Mumbai). La ville a connu
une urbnisation massive et un étalement urbain important à la fin du 20e siècle. Mumbai est
considéré comme la porte des Indes (place stratégique pour l’inde) donc Mumbai est la vitrine de la
modernité de l’Indes ce qui lui permet d’avoir un statue de pays émergent (fait parti des BRICSAM)
Mumbai est en mutation (economique car elle est la capitail économique de l’Indes  Grande firme
indistriel (Firme transnationnal) comme TATA) Elle fait parti des 6er bource à l’echelle mondiale
(place importante) 6% d’augmentation du PIB indiens + 8-10% du PNP de l’inde vient du PUB de
l’inde. Mumbai rayonne dans plusieurs donnaine comme le cosmétique et l’informatique

10% des emploies. Mumbai est spécialisé dans la cosmétique comme Garnier qui a ses usines à
Mumbai. Mumbai se compose de 2 quartiers d’affaire (Oshiouara Center, Bandra Koarla Complex)

Mumbai est une métropole accesible (hub = ouverte sur la mer d’Oman et sur l’air avec l’aéropore
international)

Sur le plan culturel Mumbai à une concurrence avec Boulyoud qui comcurence Holyhood et elle
concentre une attractivité touristique et en plus lelle a plusieurs projet de rénovation avec la
cr »ation de quartier compétitive (smart city / edge city). La métropole de Mumbai est devenu poli
centrique avec plusieurs quartier d’affaire.

Néomoins la ville est touché par la pauvreté et de forte inégalité, Mumbai est a la fois la ville la plus
cher du monde et la plus pauvre du Monde.

Correction activité 2.1 :

On identifie deux principaux types d’espaces : au premier plan, s’étend un quartier aux habitations
jointives, de faible hauteur. La densité paraît élevée ; les voies de communication ne sont pas
visibles. On devine des matériaux de récupération (tôles, parpaings, bâches bleues). Tous ces
éléments nous permettent de penser qu’il s’agit là d’un slum. Au deuxième plan, se dressent une
vingtaine d’immeubles similaires. Chaque immeuble est organisé en carré autour d’une cour avec un
peu de végétation et est séparé des autres immeubles par des rues arborées. L’organisation
géométrique de cet espace et le soin apporté aux espaces verts nous laissent penser qu’il s’agit d’un
projet immobilier à destination des classes moyennes ou des classes supérieures de la ville de
Mumbaï. On identifie un grand contraste entre ces deux quartiers, séparés par une grande rue, ce qui
augure d’un fonctionnement bien distinct de ces deux espaces, d’une séparation forte entre leur
population : c’est le signe d’une fragmentation urbaine
prononcée à une échelle fine.

Un bidon ville est un quartier informel et précaire dépourvu d’infrastructure. Dans léespace en plus
de la séparation phsycologie ont va séparer physiquement les pauvres et les riches

Mumbai n’a pas achevé sa transition urbaine et il y a plus de gens qui viennent de la campagne et qui
vivent dns la ville.

2. Les populations des slums se concentrent dans les espaces péricentraux. Les quartiers centraux
font souvent l’objet d’une forte concurrence pour l’espace. La relégation des plus pauvres s’accentue
avec la métropolisation : des quartiers pauvres péricentraux peuvent être rejoints progressivement
par des processus de gentrification.

Les bidons villes sont au nords est et loin du centre historique plus on va vers le sud moins il y en a.
Plus l’idh est grand moins il y a de slum.

3. Grâce au document 2, on identifie deux types de slum : les quartiers reconnus par les pouvoirs
publics (municipalité de Mumbai)et ceux qui ne le sont pas. Les quartiers non reconnus cumulent les
signes de pauvreté et de discrimination : on y trouve davantage de minorités religieuses
(musulmanes ici) et l’accès aux équipements sanitaires y est très défaillant. On peut ici faire
l’hypothèse que les quartiers reconnus ont pu bénéficier de programme d’aide à l’amélioration et à
la consolidation de l’habitat. Ce type de politique est fréquent dans les grandes villes où le
phénomène des slums est très répandu. Derrière le terme « slums »,
se cache donc une grande diversité de modes de vie urbains. Tous sont précaires, mais certains le
sont plus que d’autres.

Dans les qurtier reconnus il y a plus d’infrastructure avec l’acces a l’eau et une amélioration du bâties
et dans les quarteir formel il ya des hindus et dans les informel il y a des musulmans (minorité) donc
il y a une inégalité social entre les slums. La réhabilitation permet de rayonner dans le plan
international.

4. Le changement est tout d’abord démographique, avec l’arrivée de nouvelles populations

extérieures, voire étrangères. On relève lignes 2 et 3 : « stars de Bollywood »,
« prescripteurs de tendances », « hipsters », « expatriés »). Cela fait écho à la théorie des trois T du
sociologue étatsunien Richard Florida sur les classes (et les villes) créatives : technologie, talent,
tolérance. Les services aux particuliers ont changé avec un
accroissement de l’offre pour manger et boire (cafés, bars, pubs, restaurants, etc.). La
libéralisation de l’économie, la création d’un pont, l’offre de logements, leur rénovation et
une image héritée du cinéma indien sont les critères décisifs du changement.

Certain QUARTIER DE mumbai ont été gentrifié grâce a la création d’infrastructure (pont) qui permet
à des gents qui travail dans les CBDs de vivre.

5. Les membres du projet Urbz entendent associer les habitants du quartier à la rénovation
des constructions qui tiennent compte de l’histoire et des besoins des populations qui y vivent. Ils
mettent à profit la renommée mondiale de Dharavi pour faire connaître leur projet et l’exposer dans
des grandes métropoles des Nords.

Il ya aussi le projet de réhabilitation des slum avec (Slum Rehabilitatoin Scheme) pour rédure les
inégalités.
Il ya une fragementation de Mumbail mais les slum sont aussi une solution. Un slum est un espace de
slum mais aussi un espace de création avec la création d’école de commerce.

La ville a grandi de manière anarchique en raison d’une très vive croissance urbaine. La ville s’est
souvent construte sous la forme de quartier informel ou d’habitat précaire. Dans ces quartiers on
retrouve aujourd’hui 6 millions d’habitant, ces quartiers sont peu équipé en eau. 63% des habitants
des slums on accès a une piège et en moyenne en Inde une famille c’est 5 personnes. Aujourd’hui
différents acteurs luttent contre ces inégalités et cette fragmentation sociaux spacial : la municipalité
de Mumbai et les hbitants eux même.

En conclusion la ville est aujourd’hui écartelé entre deux extrêmes : d’un coté, son ambition de
devenir une ville globale selon le modèle de Shanghai, de l’autre le poids de la pauvreté et de ses
bidonvilles à gérer.

En cherchant à devenir la vitrine de la modernité et du dynamisme indien, Mumbai connait un

processus de tertiarisation et de gentrification.

Schéma :

- Figuré de surface : Matérialisé un phénomène dans un espace étudié.

- Figuré ponctuel : Matérialise une infrastructure
- Figuré linéaire : Matérialise les flux (rouge pour dire que c’est en cours)
- Légende en noir
- Nom de ville et Pays = Noir

Le développement du littoral est la littoralisation

II. A) Des inégalités croissantes

Bidonville (dans la périphérie et déconnecté de la ville centre)

Il y a des Gated Communitis (riche avec des espaces privatisé (comme le litoral de mumbai) contre
Bidonville

(Ref Weeds : The Opening : définitoin de gated communities (Situer au USA plus dévellopé qu’en
Europe (Espace résidenciel moderne tous pareil)

Les Gated Comm sont des lieux aisé où les gens ont les même pratiques et ces qurtiers sont survailler
et sécurisé (il y a un entre sois (entre riche) il n’y a oas de mixité sociale et au USA il n’y a pas de
mixité ehetnique

Dans ces cartiques ont retrouve les même cadre sociao professioneel (cardre supérieurs) et les Gated
Comm sont intégré dans la mondialisation et c’est l’un des principales acteurs mais il se mette à
l’écard à l’inverse des Bidonvilles qui sont au cœurs de Mumai mais pas connecté à la mondialisation.

Cette entre soi engendre des dérives

b) 1e des leviers qui permet de réduire les inégalités  créaction d’infrastructure comme le Grand
paris expresse
Polycentrale = créaction d Edge City qui permet de faire profité tout le monde de la mondialisation
mais parfois c’est paradoxal car la créactio d’aménagement peuvent engendré la gentrification et
augmenté les inégalités.

Politique du Grand Ensemble  HLM qui permettent la mixité sociale mais aujourd’hui on les détruit
car gangréné par la violence donc on vamaitenent créer des éco quartier avec des logements sociaux.

Aujourd’hui les métropoles doivent géré 2 défis (sociale et environnemental) mais des fois il sont
relier.

Stockolm il y a un écoquartier qui est créer pour l’environement et récle donc un des problèmes ;
Aujourd’hui la ville peut faire appele a plusieurs acteur pour relevé les défis les acteurs politique ou
les citoyens eux-mêmes.(Exemple de Stockolm) Mias cette gentrification a augmenté les
fragmentation sociospacial.

Conclusion du chapitre : La métropolisation est transforme en profondeur l’espace des métropoles

en les rendant plus étalé et plus fragmenté. Ce qui creuse les inégalités et déteriore le vivire
ensemble (Gated Comm et Bidonville) Ce proces accentue la formation de 2 villes dans la ville (riche
et pauvre)même si des politique publique sont misent en place afin d’atenuer ou de corriger les
problème d’inagalité et environnement. Dans les métropole il y a des dynamique positive et les
dynamique négative (inégalité et environnement). En fin on peut conclure en disant que la
métropolisation reconpose l’espace des villes car c’est un phénomène puissance et nécessaire pour
que la métropole reste dans la compétition à l’échelle mondiale.