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Geographie contrôle

Vidéo introductive – Le dessous des cartes « villes du futur », 2014 Villes du futur Le dessous des
cartes [ Arte ] - YouTube

Analyse de la séquence en relevant les principales caractéristiques des villes

1. Quelle est l’évolution mondiale du taux d’urbanisation ? Dans quelle catégorie de pays est-elle la plus forte ?
(Relevez 2 exemples)

2. Quels types de villes distingue-t-on ?

3. Quels liens ont-elles entre elles ?

Correction carte – Urbanisation et métropolisation (en PJ)

Questions a. Dans quels pays trouve-t-on le plus de villes de plus de 5 millions d’habitants ? A votre avis
comment peut-on l’expliquer ? b. Dans quelles aires régionales se trouvent les villes qui ont connu la plus forte
croissance entre 2005 et 2020 ? c. Dans quelles aires régionales sont situées les villes représentées comme des
métropoles ? Dans quelle mesure correspondent-elles avec les villes ayant connu la plus forte croissance ? d.
Qu’en concluez-vous sur les relations entre urbanisation et métropolisation ?

à a. Les pays qui comptent le plus de villes de plus de 5 millions d’habitants sont la Chine et l’Inde. Cela
s’explique par l’important poids démographique de ces deux pays (1,4 milliard d’habitants pour la Chine et
1,35 milliard pour l’Inde).

b. Les aires régionales qui ont connu la plus forte croissance de leurs villes entre 2005 et 2020 sont :

• L’aire régionale asiatique (Delhi, Beijing, Bengalore, Shanghai, Hô Chi Minh Ville, Bangkok,
Jakarta) ;
• Proche et Moyen-Orient (Ryad, Téhéran, Istanbul) ;
• Afrique (Lagos, Luanda, Kinshasa, Le Caire, Khartoum) ;
• Amérique latine dans une moindre mesure avec Bogota et São Paulo.

c. Les villes entourées d’un cercle rouge épais sont considérées comme des métropoles. Leur nombre
varie en fonction des aires régionales : un grand nombre en Amérique du Nord, en Europe et en Asie,
quelques-unes en Amérique latine et une seule en Afrique avec Johannesburg.

d. La métropolisation est un processus de concentration accrue de population. De ce fait, les métropoles


attirent les populations et cela explique qu’elles connaissent une très forte croissance démographique
mais la croissance urbaine et la taille d’une ville n’en font pas obligatoirement une métropole. La
métropolisation n’est pas forcément associée à l’urbanisation : Dhaka, Lagos, Hô Chi Minh Ville, Luanda et
Le Caire sont des mégapoles du Sud et non des métropoles. Leurs fonctions métropolitaines sont
incomplètes et elles sont mal articulées aux flux d’échanges mondiaux.

1. Un monde de plus en plus urbain

Questions a. A quoi correspondent les courbes sur le graphique ? Et les plages de couleur ? b. Montrez
l’inégale croissance du nombre d’urbains selon les régions du monde. c. Observe-t-on une différence de type
Nords/Suds ? d. Quels facteurs expliquent les différences entre les régions du monde ?

à a. Les courbes correspondent à l’évolution du nombre d’urbains en cumulé par continent et aussi à
l’évolution du nombre d’urbaines et de ruraux depuis 1950 avec une projection jusqu’en 2050. Les plages
de couleur permettent d’identifier chaque continent.
b. La croissance du nombre d’urbains est très inégale, très faible pour la première courbe (l’Europe) et de
plus en plus forte, la croissance étant la plus explosive en Afrique alors que la courbe de l’Asie s’infléchit
quelque peu. En Amérique et en Europe, le taux d’urbanisation déjà très élevé (> 75 %) explique la faible
croissance actuelle et à venir.

c. On observe une différence de type Nord/Sud dans la mesure où les pays du Nord ont une croissance
urbaine faible, mais il faut aussi noter l’hétérogénéité des Suds si on compare les trois continents concernés
(croissance plus forte en Afrique qu’en Asie et en Amérique latine et Caraïbes où elle est la plus faible).

à d. Le niveau de développement mais aussi l’histoire (la colonisation hispanique fondée sur le contrôle par
les villes explique la forte et ancienne urbanisation de l’Amérique latine) expliquent les différences entre
continents.

(Synthèse effectuée en classe)

Transition urbaine Passage d’une société majoritairement rurale à une société majoritairement
urbaine.

Mégapole Agglomération peuplée de plus de 10 millions d’habitants.

Urbanisation Augmentation de la population urbaine. Extension de l’espace urbanisé au


détriment des espaces ruraux

2. Une concentration des hommes et des activités

Rappel Mondialisation Processus d’accroissement des échanges et des flux de marchandises,


d’informations et de capitaux à l’échelle de la planète.

Question A l’aide de l’article, donnez une définition de ce qu’est une métropole aujourd’hui ?

à Une métropole aujourd’hui peut se définir comme une grande ville qui concentre la
population, les activités économiques et les fonctions de commandement et qui exerce
une influence sur le territoire qui l’entoure.

Le statut de métropole d’une grande ville repose aujourd’hui que les interactions qu’elle
offre entre plusieurs secteurs, ce qui augmente leur potentiel. Donc l’attractivité
internationales de ces métropoles repose sur les possibilité de synergie entres les fonctions de
commandement (recherche innovation et économie par exemple).

Question Dans quels domaines la ville de New York concentre-t-elle des fonctions ?

à Des fonctions politiques : siège de l’ONU.

Des fonctions économiques : quartiers des affaires, place boursière, port.

Des fonctions culturelles : sièges des médias, universités, sites touristiques.


(Synthèse effectuée en classe)

3. Des métropoles inégalement puissantes

Question Comment les documents attestent-ils du rayonnement de Tokyo à l’échelle mondiale ?

à Les doc. 1 et 2 attestent du rayonnement de Tokyo à l’échelle mondiale par plusieurs aspects : les fonctions
qui font une ville mondiale (puissance financière, économique, culturelle), la capacité d’innovation,
l’urbanisme vertical, les infrastructures qui la connectent que reste du monde.

Question Pourquoi le rayonnement de Tokyo représente-t-il une menace à l’échelle nationale ?

à Le rayonnement de Tokyo représente une menace à l’échelle nationale car la ville exerce une attraction qui
vide les autres territoires de leurs fonctions et de leurs habitants. Cette macrocéphalie est d’autant plus
paradoxale que Tokyo est intégré dans une vaste mégalopole.

Macrocéphalie Développement disproportionné de la ville la plus peuplée d’un territoire au détriment des autres
villes.

(Synthèse effectuée en classe)

Ville globale Expression proposée par la sociologue Saskia Sassen pour désigner les exemple les plus aboutis
de la métropolisation. Ces villes globales sont donc au sommet de la hiérarchie des métropoles et dirigent la
mondialisation.

Ville mondiale Vile qui concentre des fonctions de haut niveau et qui exerce une influence dans l’ensemble ou
une partie du monde. Elle rayonne aussi par ses fonctions culturelles, sans obligatoirement être un nœud
important de la mondialisation.

Correction effectuée en classe de l'étude de cas – Boswash, des synergies métropolitaines

Bilan sur la mégalopole La mégalopole nord-est américaine est un exemple de synergies métropolitaines : il y a
une synergie entre des fonctions de commandement concentrées au sein de métropoles très proches et
complémentaires. Ainsi, les universités, la recherche, l’industrie, les centres financiers et bancaires de
l’ensemble des grandes métropoles littorales est-américaines ont des relations très intenses. Toutefois, ces
synergies métropolitaines ne profitent pas à tous car la métropolisation est sélective, certaines villes sont en
déclin au coeur même de la mégalopole.

(Synthèse effectuée en classe)

Archipel métropolitain mondial Expression proposée par le géographe Olivier Dollfus désigne les métropoles
globales et mondiales connectées entre elles en réseaux concentrant les services et les richesses, et organisant
la mondialisation économique. Cet archipel est compris dans l’Archipel mégalopolitain mondial.
Correction effectuée en classe de l'étude de cas – Istanbul, urbanisation et métropolisation

Cet exemple permet de comprendre l’importance d’une métropole émergente dans la croissance et l’ouverture à
la mondialisation d’un pays. Istanbul est un carrefour qui attire les investissements en Turquie et polarise les
activités métropolitaines. Sa croissance urbaine entre l’Europe et l’Asie accompagne son ouverture au monde,
faisant d’Istanbul un exemple de métropolisation dans un pays émergent.

Bilan de l’étude effectuée en classe

Istanbul est une métropole typique des pays émergents connaissant une rapide transition urbaine. Sa croissance
démographique et territoriale contemporaine est très rapide, elle concentre une grande part des richesses du
pays (PUB d’Istanbul = 1/3 du PIB turc). Ville carrefour et attractive, elle est ouverte sur une économie
mondialisée, reliée par ses infrastructures à l’archipel métropolitain mondial et polarisant l’espace turc.

(Synthèse) Les métropoles sont inégalement attractives : les villes mondiales, très riches, sont dans les
pays développés mais certaines s’affirment dans les pays émergents (Sao Paulo, Johannesburg). Les
métropoles émergentes sont d’affirmation récente, elles jouent un rôle majeur dans la croissance et
l’ouverture à la mondialisation de leur pays (Istanbul). Fruit d’une transition urbaine accélérée, elles sont
fragmentées : les inégalités sociales y sont plus marquées que dans d’autres métropoles . Les pays
développés comptent de nombreuses métropoles secondaires : Milan, Francfort, San Francisco ou Séoul,
polarisant les flux de la mondialisation à un degré moindre que les villes globales et mondiales, et sont
souvent spécialisées. Des métropoles peuvent ponctuellement devenir répulsives comme les shrinking
cities (Détroit, Leipzig, Wittenberg).

II. Des inégalités au sein des métropoles

Objectif Comprendre pourquoi la métropolisation est source de recomposition des villes.

1. Des métropoles transformées


II. Des inégalités au sein des métropoles

Objectif Comprendre pourquoi la métropolisation est source de recomposition des villes.

1. Des métropoles transformées

Question Que cherche à dénoncer ce dessin de presse ?

à L’auteur cherche à dénoncer le phénomène d’étalement urbain. Ce terme désigne l’extension des villes aux
dépens de l’espace rural. Ce phénomène contribue à rendre la limite entre la ville et la campagne plus
floue et est associé à la périurbanisation. Il génère le plus souvent une artificialisation des sols :
transformation des sols naturels en routes, constructions, etc. afin d’accueillir les quartiers d’habitation, les
activités industrielles ou les zones commerciales.

Question Comment la situation évolue-t-elle dans l’Est londonien ?

à Dans certains cas, les quartiers périphériques délabrés connaissent de nouvelles dynamiques. C’est le
cas d’Old Street, dans l’Est londonien. Cet espace assez dégradé a attiré de nouvelles entreprises
spécialisées dans l’informatique et les télécommunications grâce à des prix de l’immobilier très bas.
Plusieurs grandes multinationales sont venues s’installer dans ce nouveau « cluster », telles Microsoft,
Facebook, Intel, Google ou encore Cisco. Les emplois créés, la rénovation architecturale et le renouveau de la
réputation du quartier le revitalisent.

Old Street devient un centre fonctionnel secondaire situé en périphérie : une edge city (« ville lisière » en
anglais). Il s’agit d’une concentration d’emploi tertiaires et industriels en périphérie d’une métropole.

(Synthèse effectuée en classe)

Zonage Spécialisation des territoires urbains en fonction des activités.

Étalement urbain Extension des villes aux dépens de l’espace rural.

Correction carte – Les bidonvilles dans le monde

Questions a. Pourquoi les pays développés se sont-ils pas représentés sur cette carte ? b. Dans quelle région
du monde la part de la population urbaine vivant dans les bidonvilles est-elle la forte ? Pourquoi selon vous ? c.
Comment expliquez-vous le plus grand nombre d’habitants vivant dans des bidonvilles en Chine et Inde ?

à a. La carte présente la part de la population urbaine d’un pays vivant dans un bidonville (figuré de
surface allant du rose clair au rose foncé). Les cercles en implantation ponctuelle représentent le nombre
de personnes habitant dans un bidonville en 2014, en millions. La part de population vivant dans un
bidonville dans les pays développés est trop faible pour être représentée ici.

b. En Afrique, la part de la population urbaine vivant dans un bidonville est la plus élevée au monde (en
Afrique sahélienne et subsaharienne, à l’exception de l’Afrique du Sud, les taux sont en moyenne compris entre
42 et 96 % de la population urbaine). Cela s’explique par les faibles niveaux de développement de ces pays
(IDH parmi les plus faibles du monde), mais surtout par la transition urbaine en cours et l’exode rural récent
qui a vu l’afflux de population rurale dans les villes sans moyen de construire un habitat légal.

c. D’après la carte et les données statistiques de la Banque mondiale, la Chine et l’Inde compte de nombreux
habitants dans les bidonvilles. Cela peut s’expliquer par le fort exode rural qui touche ces deux pays, les
populations pauvres des campagnes rejoignent les villes où elles espèrent trouver de meilleures
conditions de vie. Cela peut aussi s’expliquer par la transition urbaine qui est en cours dans ces deux
grands pays. Le passage d’une population majoritairement rurale à une population urbaine conduit à l’arrivée
massive de population dans des installations précaires.
Visionnage vidéo – Dans les bidonvilles de Bombay https://www.youtube.com/watch?v=322CXkTlKvM

Question Comment la fragmentation socio-spatiale se manifeste-t-elle à Hanoi ?

à À Hanoi, la fragmentation socio-spatiale se manifeste par la séparation de plus en plus nette entre des
quartiers riches – quartiers emmurés, constructions de luxe en banlieue, gated communities – et des quartiers
pauvres ; parmi ces derniers, certains, au centre de la ville, sont en cours de gentrification.

Question Comment ce document (paysage et texte) reflète-t-il la recherche de l’entre-soi caractéristique des
gated communities ?

à Pokrovsky Hills a le paysage typique des gated communities à l’américaine. Un espace vert boisé pour
offrir un cadre de vie agréable à ses habitants. Les maisons similaires sont disposées en cercle et se
regardent créant un espace centré sur lui-même, communautaire et coupé de l’extérieur. L’architecture
circulaire rappelle le schéma urbain des suburb américaines qui sont devenues un idéal des nouvelles
classes moyennes supérieures russes. Le nom même de « Hills » (« collines » en anglais) s’inspire du
modèle pavillonnaire nord américain. Cette photographie est le paysage typique de lotissement pavillonnaire
comme « Bervely Hills ». Le texte sous l’image permet de mieux comprendre en quoi ce lotissement est
une gated communities, c’est-à-dire un lieu de vie fermé et privilégiant les rapports entre les personnes
appartenant aux même catégories socio-professionnelles (entre-soi). Ce lotissement est « fermé 24 h sur 24
h » montrant que cet espace de vie est privatisé, il n’est pas ouvert aux autres. De plus, ce lotissement bénéficie
de services auxquels seuls les habitants du lieux ont accès comme la crèche. Ce document montre bien les
caractéristiques d’une gated community. Il est le reflet aussi d’une recomposition particulière de la ville
de Moscou.
(Synthèse)

Fragmentation socio-spatiale Division des territoires urbains en fonction des catégories sociales de population.
Elle s’oppose à la mixité sociale.

Gated community Quartier résidentiel fermé et surveillé.

Gentrification Afflux d’une population aisée dans un quartier auparavant populaire.

Ghetto Quartier marginalisé réservé à une communauté, le plus souvent ethnique.

3. Des métropoles repensées

Vidéo – Des immeubles sous terre, dernière idée en vogue des architectes - https://www.youtube.com/watch?
v=YcDplPVT90s

3. Des métropoles repensées

Visionnage vidéo – Des immeubles sous terre, dernière idée en vogue des architectes -
https://www.youtube.com/watch?v=YcDplPVT90s

A Visionner vidéo – La ville de demain, le projet Lilypad, ville flottante: https://www.youtube.com/watch?


v=6aITa_wQQok

Activité menée en classe – Songdo, un modèle de ville durable ?

1) Présentez le document (nom, source)

Le magazine s’appelle Korea magazine, il s’agit de la Une (couvertuire) du numéro d’août 2013.

2) Classez les éléments visuels de la couverture en fonction de leur plan respectif.

Des immeubles Un avion Un parc luxuriant Un planisphère Un smartphone


d’habitations

Un globe terrestre Un pétrolier Un pont moderne Un gratte-ciel vitré Une pièce d’eau

Premier plan Un parc luxuriant – un smartphone – une pièce d’eau – un pétrolier

Second plan Des immeubles d’habitation – un gratte-ciel vitré – un pont moderne – un avion
Arrière plan Un globe terrestre – un planisphère

3) Classez les éléments visuels de la couverture en fonction de l’idée à laquelle ils se rattachent.

Une ville verte Un parc luxuriant – une pièce d’eau

Une ville moderne et intelligente Des immeubles d’habitations – un gratte-ciel vitré – un pont moderne

Une ville connectée au monde Un smartphone – un avion – un planisphère – un pétrolier – un globe


terrestre

4) Que nous apprennent le titre et le sous-titre ? En quoi s’agit-il ici d’une opération de marketing territorial ?

Le titre et le sous-titre laissent penser qu’il s’agit plutôt d’un message de marketing territorial, c'est-à-dire d’une
campagne de communication visant à renforcer l’image d’un territoire pour en souligner uniquement les aspects
valorisant (modernité, durabilité, connectivité.

5) Quels sont éléments de marketing territorial associés à la couverture ?

Greenwashing – hyperconnectivité – smart city – dynamisme économique – développement durable – innovation


– qualité du cadre de vie – insertion dans la mondialisation.

(Synthèse effectuée en classe)

Écoquartier Quartier aménagé pour répondre aux objectifs du développement durable.

Smart city « Ville intelligente » tirant profit de l’innovation et des nouvelles technologies pour améliorer la qualité
des services urbains (gestion des transports, de l’énergie, des déchets).

(Conclusion)

Un processus mondial En 2018, 55% de la population mondiale est citadine, soit 4,2 milliards de personne.
L’urbanisation a profité aux mégapoles. Dans certains pays, une seule grande ville se développe, entraînant une
macrocéphalie. La mondialisation a entraîné l’apparition de la métropolisation. L’attractivité des métropoles repose sur
les synergies entre les activités et sur leur accessibilité. La métropolisation privilégie les villes au rayonnement ancien et
n’est pas forcément associée à l’urbanisation. Dans les pays émergents, le nombre de métropoles augmentent.
La hiérarchie des villes Les villes globales et mondiales dominent la hiérarchie des métropoles dans tous les domaines.
Souvent insérées dans des mégalopoles, elles dominent de puissantes régions métropolitaines. Les métropoles
secondaires sont plus modeste mais peuvent avoir un rayonnement important. L’affirmation des métropoles émergentes
est très rapide. Dans certains pays des Suds, des villes disposant de fonctions internationales sont des métropoles en
gestation.

La composition des espaces intra-métropolitains les quartiers d’affaires se concentrent dans des quartiers au paysage
vertical. Des politiques actives de rénovation et d’amélioration des infrastructures de transports accroissent l’attractivité
des espaces intra-métropolitains, surtout centraux. L’augmentation des prix immobiliers favorisent la ségrégation socio-
spatiales. Les pauvres des métropoles émergentes sont cantonnés dans des bidonvilles. De nouvelles centralités dans
des villes secondaires permettent un desserrement des populations et des fonctions.

Diaporama du Ch1 dans l'ENT

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