Vous êtes sur la page 1sur 25

République Tunisienne

Ministère de l’Enseignement Supérieur


et de la Recherche Scientifique ECOLE NATIONAL SUPERIEUR
D’INGENIEUR DE TUNIS
Direction Générale des Etudes
Technologiques

Département : Génie Civil

PROJET BE

Cycle Ingénieur

Intitulé
ETUDE ET CONCEPTION DE STRUCTURE EN BETON ARME DE
DEUX VILLAS
Elaboré par :

HAFIDHOU SAID

Année Universitaire 2023-2024


Chapitre I :
Présentation Générale

I. Présentation de l’ouvrage
Dans notre travail nous avons à faire à deux structures différentes avec des manières
d’approches qui peuvent être différentes.
Notre premier projet consiste à faire l’étude et la conception d’une structure
composée d’un RDC et 2 étages.
Le deuxième projet quant à lui est composée d’un sous-sol, RDC et un étage.
Chapitre II :
Conception de l’ouvrage

I. Introduction
Concevoir une structure est une démarche complexe, itérative qui fait appel à de
nombreux champs disciplinaires du génie civil, ainsi qu’à une certaine culture
constructive. C’est un acte de compromis entre une intention structurelle, un concept
porteur et des contraintes spécifiques de lieu, de programme ou de fabrication. Dans
ce projet il sera question de jouer le rôle d’un ingénieur concepteur. Ce dernier a
pour but, la conception et le dimensionnement de la structure d’un ouvrage tout en
restant borné sous des conditions architecturales, sécuritaires et économiques. Pour
cela, l’étude de l’architecture en question dans sa globalité parait indispensable. Elle
comporte les difficultés majeures de l’étude, car on doit tenir compte de tous les
critères qui assurent :
➢ La stabilité de la structure ;
➢ La durabilité et l’exploitation souhaitée du bâtiment ;
➢ L’esthétique de l’architecture ;
➢ Le coût d’exécution minimal

II. Description du projet


Durant la période de conception, nous avons essayé de comprendre et de faire la
lecture détaillée de chaque plan architectural, l’objectif est d’avoir la meilleure
compréhension des composantes de notre projet et d’assimiler le fonctionnement de
ces espaces et de faire les choix suivants :
➢ Choix du système porteur :
Comme le système poteaux-poutres est connu par sa facilité d’exécution et par son
aspect économique, on a donc choisi de l’utiliser dans notre projet. Il faut donc éviter
de placer les poteaux dans les places parkings pour la bonne circulation des
véhicules et d’éviter de les mettre devant les ouvertures.

➢ Choix du type de plancher :


Pour le plancher haut du sous-sol nous avons opté pour une dalle pleine à cause de
la sécurité incendiaire et à ce niveau nous n’avons pas besoin du confort thermique
et acoustique. Pour les planchés haut du RDC nous avons utilisé des planchers en
corps creux (16+5)

➢ Choix de la disposition des nervures :


Les nervures sont placées dans le sens du plus petit porté des poutres.
➢ Choix des voiles :
Les voiles sont disposés dans le contour du sous-sol, les case d’ascenseurs et pour
le contreventement de la structure.
➢ Maçonnerie :
Les murs extérieurs sont faits en doubles cloisons de 35cm en briques creuses de
(15cm, 10cm) séparés par un vide de 5cm. Les murs intérieurs sont faits en simple
cloison de 10cm et de 25cm d’épaisseur.
➢ Revêtements :
Enduit en plâtre pour les plafonds. Enduit en ciment pour les murs extérieurs et les
cloisons. Revêtement en carrelage pour les planchers. Le plancher terrasse sera
recouvert par une étanchéité multicouche imperméable évitant la pénétration des
eaux pluviales.
➢ Isolation :
• L’Isolation acoustique est assurée par la masse du plancher et par le vide d’air des
murs extérieurs.
• L’Isolation thermique est assurée par les couches de lièges ou polystyrène pour le
plancher terrasse.
➢ Escaliers :
Le bâtiment est muni d’une cage d’escalier, composée d’un palier et de paillasse,
réalisé en béton armé coulé sur place.
III. Conception structurale
Effectuer la conception structurale d’un bâtiment revient principalement à :
▪ Choisir le matériau structural en fonction des exigences architecturaux (béton
armé, acier, bois …)
▪ Se fixer d’une norme relative au matériau choisi (BAEL, EC1 …)
▪ Proposer le type de plancher, système porteur ainsi que la fondation
adéquate
▪ Modéliser et pré dimensionner la structure conformément à la norme fixée
▪ Etudier le comportement mécanique et statique de la structure vis-à-vis des
actions agissantes
▪ Dimensionner une structure suffisamment résistante aux sollicitations
▪ Documenter l’ensemble des résultats sur des plans de coffrage et des
rapports.

IV. Choix de la norme


Paradoxalement aux matériaux structuraux, le choix de la norme reste une décision
du concepteur. En TUNISIE la gestion de l’ossature en béton est généralement
traitée par la norme BAEL 91 mod 99. Cette dernière sera alors employée pour la
modélisation et le dimensionnement de ce projet.

V. Etapes de la conception structurale


La conception se base sur les plans d’architecture, ces plans sont donnés ou
reproduits sur AUTOCAD pour faciliter la manipulation. En général, les étapes à
suivre dans cette phase sont :
▪ Vérifier la faisabilité du projet ;
▪ S’assurer que les plans respectent les fonctions prévues pour la construction
▪ Respecter les normes et les règles qui régissent une telle construction ;
▪ Vérifier la conformité entre les niveaux de la structure ;
▪ Chaîner les poteaux ;
▪ S’assurer que les dalles et les poutres sont bien appuyées ;
▪ Pré-dimensionner les éléments (dalles, poutres, poteaux et voiles) ;
▪ Renommer les niveaux ainsi que leurs éléments ;
▪ Définir les dalles et indiquer leur sens de portée ;
▪ Tracer les axes verticaux et horizontaux des poteaux et donner la cotation
entre axes ;
▪ Dessiner le plan de coffrage.
Chapitre III :
Caractéristiques des matériaux
et évaluations des charges

I. Caractéristiques mécaniques des matériaux


• Caractéristiques du bêton
La résistance caractéristique du béton à 28 jours : ƒc28 = 25 MPa
La résistance à la traction du béton à 28 jours : ƒt28 = 0.6 + 0.06 ƒc28 = 2.1 MPa
Le coefficient partiel de sécurité du béton :  b = 1.5
𝑓
La résistance de calcul de béton :𝑓𝑏𝑢 = 0.85 × 𝜃𝑐28 = 14.17 𝑀𝑃𝑎
𝛾𝑏

La contrainte limite de compression du béton 𝜎̅𝑏𝑐 = 0.6 𝑓𝑐28 = 0.6 × 22 = 15 𝑀𝑃𝑎


Le poids volumique du béton armé : 𝛾 = 25𝐾𝑁/𝑚3
Le module de déformation longitudinale instantanée du béton à 28 jours :
𝐸𝐼 = 11000 3√𝑓𝑐28 = 32164.2MPa

• Caractéristiques de l’acier
Les armatures longitudinales sont des aciers à haute adhérence de nuance FeE400 de limite
d’élasticité garantie Fe et de module d’élasticité longitudinale Es tels que :

• Fe = 400 MPa et Es = 2.105MPa.


• Coefficient de fissuration :  = 1.6

• Coefficient de scellement : s = 1.5

Les armatures transversales sont des aciers doux de nuance FeE215 de limite d’élasticité
garantie fet :
• Fet = 215 MPa.
• Coefficient de fissuration :  = 1.0
• Coefficient de scellement s = 1.0

• Coefficient de sécurité : γ = 1.15


f
La résistance de calcul : σs = fsu = δe = 266.7 𝑀𝑃𝑎
s

• L’enrobage est : 2 cm pour le béton armé en élévation


5cm pour le béton armé en fondation

• Méthodes de calcul
❖ Les états limites
Les états limites ultimes (ELU)

Ils assurent la sécurité des biens et des personnes. Ils correspondent à l’atteinte du maximum
de la capacité portante de l’ouvrage ou l’un de ses éléments, y compris éventuellement un
effondrement structural. On distingue :

– ELU d’équilibre statique : qui concerne la stabilité de l’ouvrage (basculement,


glissement)
– ELU de résistance : qui concerne la non rupture de l’ouvrage.
– ELU de stabilité de forme : concerne les pièces élancées soumises à un effort de
compression axial.
Les états limites de service (ELS) :

Ils sont basés aux conditions normales d’exploitation et de durabilité. Ils correspondent aux
états limites suivantes :

– ELS d’ouverture excessive des fissures


– ELS vis-à-vis de la compression excessive du béton
– ELS de déformation excessive des éléments porteur
Le calcul est fait suivant les règles de BAEL 91 :
- Charge à l’état limite ultime : 𝑃𝑢 = 1.35 × 𝐺 + 1.5 × 𝑄.
- Charge à l’état limite de service : 𝑃𝑠 = 𝐺 + 𝑄
- Fissuration peu préjudiciable et sans reprise de bétonnage pour les éléments de la
superstructure et préjudiciable pour les éléments de la fondation.
- Contrainte du sol :𝜎̅𝑠 = 0.25 MPa
❖ Les actions
On distingue alors 3 classes d’action :

– Les actions permanentes G


– Les actions variables Q
– Les actions accidentelles AC

❖ Les sollicitations
Ce sont les efforts et les moments produits par les actions.

– Effort normal N
– Effort tranchant V
– Moment fléchissant M

II. Evaluations des charges :


a) Charges permanentes :
Les charges permanentes sont obtenues à partir des dimensions géométriques des éléments et
des ouvrages déduits des plans, et des poids volumiques des matériaux qui les constituent.
❖ Données :
• Poids volumique du béton armé : 𝛾 = 25 𝐾𝑁/𝑚3
• Poids volumique de l’enduit et de mortier : 𝛾 = 22 𝐾𝑁/𝑚3

• Poids volumique du sable : 𝛾 = 18 𝐾𝑁/𝑚3


Poids volumique du carrelage : 𝛾 = 22 𝐾𝑁/𝑚3

PLANCHER INTERMEDIAIRE EN CORPS CREUX

➢ Plancher terrasse non accessible en corps creux :


PLANCHER TERRASSE EN CORPS CREUX

➢ Plancher en dalle pleine

PLANCHER EN DALLE PLEINE

b) Charges linéaires :
Dans notre projet, on a des cloisons de 10cm d’épaisseur, des cloisons de 25 cm d’épaisseur et
des murs en double cloison de 35 cm d’épaisseur.

➢ Mur de 35 cm :

Il s’agit de 15 pièces de briques de 12 trous posés sur chant, 15 pièces de briques de 8 trous
mises sur chant , une lame d’air de 5 cm d’épisseur, une couche d’enduit en ciment de 2,5 cm
de la face éxtérieure et une couche de 1.5 cm d’enduit en plâtre sur la face intérieure.

– Brique de 12 trous g = 0,067 KN/U  G = 1,005 KN/m²


– Brique de 8 trous g = 0,042 KN/U  G = 0,63 KN/m²
– Enduit de ciment (γ = 22 KN/m3)  G = 22 x 0.025 = 0.55 KN/m²
– Enduit en plâtre (γ = 10 KN/m3)  G = 10 x 0.015 = 0.15 KN/m²
TOTAL : G= 2.34 KN/m²
➢ Mur de 25 cm :
Il s’agit de 21 pièces de briques de 12 trous posés à plat, une couche d’enduit en ciment
de 2,5 cm de la face éxtérieure et une couche de 1.5 cm d’enduit en plâtre sur la face intérieur.

– Brique de 12 trous g = 0,067 KN/U  G = 1,407 KN/m²


– Enduit de ciment (γ = 22 KN/m3)  G = 22 x 0.025 = 0.55 KN/m²
– Enduit en plâtre (γ = 10 KN/m3)  G = 10 x 0.015 = 0.15 KN/m²

TOTAL : G= 2.11 KN/m²


Chapitre IV :
Prédimensionnement des
élément structuraux

I. Prédimensionnement
Le bâtiment est muni de deux ascenseurs qui assurent le déplacement vertical. Le pré
dimensionnement des éléments sollicités en flexion simple (poutre, nervure, dalle pleine)
est dicté principalement par la condition de limitation de flèche. Celui des poteaux est
dicté par la condition de limitation du risque de flambement.

• Prédimensionnement des poteaux


Les poteaux sont des éléments en béton armé dont la forme est généralement carrée,
rectangulaire ou circulaire. Le pré dimensionnement des poteaux se fait à l’ELU et en
compression simple.

• Prédimensionnement des poutres


Les poutres sont des éléments en béton armé coulé sur place dont le rôle est l’acheminement
des charges et surcharges émanant des planchers aux éléments verticaux (poteaux, voiles).
On distingue : les poutres principales qui constituent des appuis aux poutrelles et des dalles et
les poutres secondaires qui assurent le chaînage.
Poutres principales
L max L
La hauteur ht : la hauteur ht est donnée par :  h t  max Avec Lmax : longueur libre
15 10
entre nus d’appuis et ht : hauteur totale de la poutre.
La largeur b : la largeur est donnée par 0,4 ht  b  0,7 ht
Poutres secondaires (Raidisseur)
La hauteur ht : Hauteur maximales du plancher voisin.
La largeur b : Largeur du poteau ou Largeur de la cloison au-dessus.
• Prédimensionnement des planchers
C’est l’ensemble des éléments horizontaux de la structure d’un bâtiment destinés à rependre
les charges d’exploitation, les charges permanentes (cloisons, chapes, revêtement …), et les
transmettre sur des éléments porteurs verticaux (poteaux, voiles, murs…).

Dans ce projet on utilise deux catégorie corps creux ;

- Planchers à corps creux.


- Planchers à dalle pleines.

➢ Plancher à corps creux :


Les corps creux n’interviennent pas dans la résistance de l’ouvrage sauf qu’ils offrent un
élément infiniment rigide dans le plan de la structure.

Les épaisseurs des planchers dépendent le plus souvent des conditions d’utilisation et de
résistance.

𝐋
- L’épaisseur de plancher est conditionnée par : h= 𝟐𝟐.𝟓

- Avec L : longueur entre nus d’appuis et ht : hauteur totale du plancher.


Chapitre V :
Modélisation numérique de la
structure

La modélisation des structures est au cœur de l’exercice, car elle parle de la compréhension, de
l’appréhension que l’on a du comportement de l’objet projeté, car elle est auto-réalisatrice, dans
le sens où l’objet conçu en accord avec son modèle se comportera comme celui-ci. Concevoir
est une histoire de choix et d’arbitraire de sorte que tout l’enjeu des modèles n’est pas
simplement de pouvoir calculer mais de pouvoir fournir des données objectives qui permettent
la comparaison entre diverses solutions, qui permettent de questionner le compromis qui
s’établit au fil des semaines entre une géométrie/forme, une topologie/structure, des
forces/chargements et des solutions matérielles et technologiques

En l’occurrence la modélisation de notre structure a été effectué sur 5 diffèrent types de


logiciels à savoir :
➢ AUTOCAD
➢ ARCHE
I. Présentation des logiciels
• Arche
Crée en 1993, ARCHE un logiciel de référence pour la conception et l’exécution de bâtiments
en béton armé
Il se distingue par les innovations techniques qu’il met en œuvre : pré dimensionnement des
éléments, descente de charges et étude du contreventement mixant méthode traditionnelle et
modélisations numériques sophistiquées, production automatique des plans de ferraillage des
éléments de structures suivant différentes normes (BAEL, EC)

• AUTOCAD
Le logiciel AutoCAD, créé par la société AUTODESK basée à San Raphael en
Californie existe depuis 1982. Les mises à jour se sont rapidement succédées, si bien que depuis
2004, Autodesk lance une nouvelle version de son logiciel tous les ans. Il est à noter que le
format natif des fichiers AutoCAD, le DWG est régulièrement modifié et offre une
compatibilité uniquement ascendante. C'est-à-dire qu'il n'est pas possible d'éditer un fichier
DWG créé sous une version actuelle dans une version antérieure du programme

II. Etapes de la modélisation


a. Réalisation des fichiers DXF

La manipulation est menée par un logiciel CAO en l’occurrence AUTOCAD. Dans un fichier
DWG, les plans conceptifs sont repris en transformant les poutres par des lignes simples et les
poteaux par des points. Ensuite, les calques de ces derniers sont renommés analogiquement
comme dans arche ossature, puis le fichier est enregistré sous DXF.

La même procédure est appliquée sur la totalité des étages.

b. Importation des fichiers DXF vers arche ossature

Les fichiers sont importés étage par étage, soit par :

– La récupération directe des poutres et des poteaux de dimensions nulles ; C’est une
méthode rapide, mais avec plus d’incohérences analytiques et d’erreurs comme le sens
d’orientation des poutres.
La récupération de simple file d’aide, qu’il faudra ensuite générer manuellement les
poteaux et les poutres ; C’est une méthode lente mais efficace
a. Hypothèse et méthodes de calcul

Hypothèse des matériaux

C’est l’ajout d’un matériau existant dans le catalogue des matériaux ou la création d’un, en cas
d’absence. Le matériau une fois crée ou ajouté, il est affecté aux éléments correspondants.

La création d’un matériau s’effectue en imposant les caractéristiques générales et les


caractéristiques mécanique qui sont plusieurs, mais seules les suivantes sont prises en compte
par arche ossature :

Exemple du béton B25 et de l’acier Fe 400

Densité béton armé : = 25 KN/m3

La résistance à la compression du béton à 28 jours : fc28 = 25 MPa

La résistance limite élastique de l’acier : Fe = 400 MPa

Module d’élasticité : E = 32164 MPa

Coefficient de poisson : v = 0.2

Coefficient d’amortissement : 0.04


a. Vérification

Le logiciel arche offre une possibilité de vérification permanente et durant toutes les
étapes de travail. En effet, il est toujours conseillé de vérifier l’équilibre des charges. Cette
opération indispensable s’effectue avant la modélisation. Elle permet de cerner rapidement les
erreurs liées à la saisie. Cette vérification génère des avertissements et des erreurs.
Chapitre VI :
Descente des charges de
quelques éléments

Poutre A1 :

Poids propre de la poutre :

𝑃𝑃 = 25 × 0.22 × 0.35
𝑃𝑃 = 1.925 𝑘𝑁/𝑚𝑙
Poids propre cloison :
𝑃𝑃 = 9.8 𝑘𝑁/𝑚𝑙

Poutre A2 :

Poids propre de la poutre :

𝑃𝑃 = 25 × 0.22 × 0.45
𝑃𝑃 = 2.48 𝑘𝑁/𝑚
Charges transmises par le plancher courant (16+5) :
4.81
𝑔 = 5.68 × ( − 0.44) = 11.161 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
4.81
𝑞 = 1.5 × ( − 0.44) = 2.95 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
Charge transmise par le raidisseur R2 :

𝑃𝑃 = 25 × 0.22 × 0.21
𝑃𝑃 = 1.155 𝑘𝑁/𝑚𝑙
4.81
𝑔𝑟 = 1.155 × ( − 0.44) = 𝟏𝟏. 𝟏𝟔𝟏 𝒌𝑵
2
Charge transmise par le raidisseur RC1 :

𝑃𝑃 = 25 × 0.22 × 0.21
𝑃𝑃 = 1.155 𝑘𝑁/𝑚𝑙
0.97
𝑔𝑟 = 1.155 × ( − 0.22) = 𝟎. 𝟐𝟗𝟔 𝒌𝑵
2
Poids propre cloison :
𝑃𝑃 = 9.8 𝑘𝑁/𝑚𝑙

I. Charge permanente linéaire totale sur la poutre A2 au niveau PH 1er étage


𝒈 = 𝟐. 𝟒𝟖 + 𝟗. 𝟖 = 𝟏𝟐. 𝟐𝟖 𝒌𝑵/𝒎𝒍

II. Charge exploitation linéaire totale sur la poutre A2 au niveau PH 1er étage
𝒒 = 𝟐. 𝟗𝟓 𝒌𝑵/𝒎𝒍

Poutre A3 :

Travée A3.1:

Poids propre de la poutre :

𝑃𝑃 = 25 × 0.3 × 0.65
𝑃𝑃 = 4.875 𝑘𝑁/𝑚𝑙

Charges transmises par le plancher courant (16+5) x 2 :


1.03
𝑔 = 5.68 × ( − 0.22) = 1.68 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
1.03
𝑞 = 1.5 × ( − 0.22) = 0.442 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
Charge transmise par le raidisseur R3 :

𝑃𝑃 = 25 × 0.22 × 0.21
𝑃𝑃 = 1.155 𝑘𝑁/𝑚𝑙
4.8
𝑔𝑟 = 1.155 × ( − 0.44) = 𝟐. 𝟐𝟔 𝑘𝑁
2
III. Charge permanente linéaire totale sur la travée A3.1 au niveau PH 1er étage
𝒈 = 𝟒. 𝟖𝟕𝟓 + 𝟏. 𝟔𝟖 = 𝟏𝟐. 𝟐𝟖 𝒌𝑵/𝒎𝒍

IV. Charge exploitation linéaire totale sur la travée A3.1 au niveau PH 1er étage
𝒒 = 𝟎. 𝟒𝟒𝟐 𝒌𝑵/𝒎𝒍

Travée A3.2:

Poids propre de la poutre :

𝑃𝑃 = 25 × 0.3 × 0.65
𝑃𝑃 = 4.875 𝑘𝑁/𝑚𝑙
Charges transmises par le plancher courant (16+5) x 2 :
4.8
𝑔 = 5.68 × ( − 0.44) = 11.133 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
4.8
𝑞 = 1.5 × ( − 0.44) = 2.94 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
4.81
𝑔 = 5.68 × ( − 0.44) = 11.161 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
4.81
𝑞 = 1.5 × ( − 0.44) = 2.95 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
Charge transmise par le raidisseur R2 x 2:

𝑃𝑃 = 25 × 0.22 × 0.21
𝑃𝑃 = 1.155 𝑘𝑁/𝑚𝑙
4.8
𝑔𝑟 = 1.155 × ( − 0.44) = 2.26 𝑘𝑁
2
4.81
𝑔𝑟 = 1.155 × ( − 0.44) = 2.27 𝑘𝑁
2
Charge transmise par le raidisseur R3 :

𝑃𝑃 = 25 × 0.22 × 0.21
𝑃𝑃 = 1.155 𝑘𝑁/𝑚𝑙
4.8
𝑔𝑟 = 1.155 × ( − 0.44) = 2.26 𝑘𝑁
2

V. Charge permanente linéaire totale sur la poutre A3.2 au niveau PH 1er


étage
𝒈 = 𝟏𝟏. 𝟏𝟑𝟑 + 𝟏𝟏. 𝟏𝟔𝟏 = 𝟐𝟐. 𝟐𝟔𝟒 𝒌𝑵/𝒎𝒍
VI. Charge exploitation linéaire totale sur la poutre A3.2 au niveau PH 1er étage
𝒒 = 𝟐. 𝟗𝟒 + 𝟐. 𝟗𝟓 = 𝟓. 𝟖𝟗 𝒌𝑵/𝒎𝒍

Poutre A4 :

Travée A4.1:

Poids propre de la poutre :

𝑃𝑃 = 25 × 0.22 × 0.3
𝑃𝑃 = 1.65 𝑘𝑁/𝑚𝑙
Charges transmises par le plancher courant (16+5) :
4.8
𝑔 = 5.68 × ( − 0.11 − 0.15) = 12.16 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
4.8
𝑞 = 1.5 × ( − 0.11 − 0.15) = 3.21 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
Charge transmise par le raidisseur R3 :

𝑃𝑃 = 25 × 0.35 × 0.21
𝑃𝑃 = 1.84 𝑘𝑁/𝑚𝑙
4.8
𝑔𝑟 = 1.84 × ( − 0.11 − 0.15) = 𝟑. 𝟗𝟒 𝑘𝑁
2

VII. Charge permanente linéaire totale sur la travée A4.1 au niveau PH 1er étage
𝒈 = 𝟏. 𝟔𝟓 + 𝟏𝟐. 𝟏𝟔 = 𝟏𝟑. 𝟖𝟏𝒌𝑵/𝒎𝒍

VIII. Charge exploitation linéaire totale sur la travée A4.1 au niveau PH 1er étage
𝒒 = 𝟑. 𝟐𝟏 𝒌𝑵/𝒎𝒍

Travée A4.2:

Poids propre de la poutre :

𝑃𝑃 = 25 × 0.22 × 0.45
𝑃𝑃 = 2.48 𝑘𝑁/𝑚𝑙
Charges transmises par le plancher courant (16+5) :
4.8
𝑔 = 5.68 × ( − 0.11 − 0.15) = 12.16 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
4.8
𝑞 = 1.5 × ( − 0.11 − 0.15) = 3.21 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2

IX. Charge permanente linéaire totale sur la poutre A4.2 au niveau PH 1er
étage
𝒈 = 𝟐. 𝟒𝟖 + 𝟏𝟐. 𝟏𝟔 = 𝟏𝟒. 𝟔𝟒 𝒌𝑵/𝒎𝒍

X. Charge exploitation linéaire totale sur la poutre A4.2 au niveau PH 1er étage
𝒒 = 𝟑. 𝟐𝟏 𝒌𝑵/𝒎𝒍

Travée A4.3 :

Poids propre de la poutre :

𝑃𝑃 = 25 × 0.22 × 0.45
𝑃𝑃 = 2.48 𝑘𝑁/𝑚𝑙
Charges transmises par le plancher courant (16+5) :
4.8
𝑔 = 5.68 × ( − 0.11 − 0.15) = 12.16 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2
4.8
𝑞 = 1.5 × ( − 0.11 − 0.15) = 3.21 𝑘𝑁/𝑚𝑙
2

XI. Charge permanente linéaire totale sur la poutre A4.3 au niveau PH 1er
étage
𝒈 = 𝟐. 𝟒𝟖 + 𝟏𝟐. 𝟏𝟔 = 𝟏𝟒. 𝟔𝟒 𝒌𝑵/𝒎𝒍

XII. Charge exploitation linéaire totale sur la poutre A4.3 au niveau PH 1er étage
𝒒 = 𝟑. 𝟐𝟏 𝒌𝑵/𝒎𝒍
Chapitre VII :
Calcul Escalier sur le
logiciel magic escalier

Vous aimerez peut-être aussi