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Ce rapport présente un projet de stage ingénieur effectué dans le Bureau d’étude en Génie
Civil ALL-ENGINEERING.
L'objectif visé par ce projet est de concevoir et dimensionner, en béton armé, un immeuble
R+6. En effet, à travers ce stage j’ai essayé de maitriser au mieux le calcul du Béton Armé :
calcul de certains éléments de l’ossature portante ; le dimensionnement des poteaux, des
poutres voile, des dalles et la détermination de leurs sections d’armatures.
Les règles techniques de conception et de calcul des ouvrages et constructions en béton armé
aux états limites (Eurocode 2) sont utilisées dans ce projet . Les états limites ultimes dont le
dépassement équivaut à la ruine de la structure et les états limites de service dont le non
respect compromet la durabilité de l'ouvrage ou contrarie les conditions d'exploitation
habituelles.
1
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET
Description architecturale :
Voir annexes.
2
CHAPITRE II : ÉTUDE STRUCTURALE
I. Conception
La phase de conception est la plus délicate dans l’étude d’une construction d’un ouvrage. En
effet, c’est tout l’esprit d’ingénierie qui entre en jeu afin de fixer la structure la plus adéquate,
le premier pas consiste donc à trouver une conception simple et réalisable tout en respectant
les détails et les contraintes architecturales. Pour cela, le dimensionnement des éléments
porteurs et le choix de la structure optimale dépendront de plusieurs facteurs, tels que :
C’est un plan contrairement de l’architecture ou on projette de bas vers le haut pour voir les
composants des structures et les empreintes des charges qui sont sur le plancher. Il doit être
propre des calques inutiles et des dessins de menuiseries de sanitaires il ne doit pas être
encombrant pour établir un principe de structure correcte Pour dessiner le fond de plan on doit
suivre ces recommandations suivantes :
-On dessine le système porteur : les voiles, les linteaux et les limites des planchers y compris
les terrasses et les balcons pour chaque étage.
- On superpose les voiles supérieurs des étages successifs en se basant sur l’angle intérieur de
la cage d’ascenseur. Puis, on vérifie la superposition des voiles intérieurs /façades et on
dessine le tracé sup des porteurs verticaux de l’étage supérieur.
-On indique les épaisseurs de dalles et les niveaux bruts/finis des planchers.
-On réalise un plan des charges : localiser les charges (logements, terrasses, balcons,) par des
hachures et on indique dans un tableau les valeurs de ces charges
3
4
Figure 2: Exemple de fond de plan de RDC
IL s’agit de placer nos poutres et poteaux qui transmettent les charges des planchers jusqu’aux
fondations. Les résultats définitifs d’une étude de conception prennent la forme des plans et
de devis dûment scellés et signés par l’ingénieur et émis aux fins de la construction.
Généralement cette phase se fait à la main en traçant les poutres sur un plan en papier tout en
respectant l’aspect architecturale du bâtiment car notre rôle est de donner une solution
réalisable pour concrétiser ce défi architectural et d’augmenter le plafond des défis.
Voir Annexe..
Tous les planchers sont des dalles pleines qui sont caractérisés par les avantages suivants :
20 cm entre appartements.
23 cm entre parking et appartements.
Parfois, les exigences architecturales imposent la non utilisation des retombées par endroit.
Pour cela on adopte la mise en place des bandes noyées dont la hauteur ne dépasse pas
l’épaisseur de la dalle
Tous les murs en étages courants sont des murs porteurs. Le système établi est un système
voiles et non poteau-poutres. Ce choix est imposé par le bureau d’études et les plans
architecturaux comme le type de construction le plus connue en France est le système voiles.
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Dans les bâtiments courants l’épaisseur d’un voile varie de 16 cm à 30 cm pour des raisons
acoustiques.
L’utilisation du système constructif à voile peut apporter aussi des avantages économiques :
-saisie
-modélisation
-calcul DDC
1. Saisie
Une fois la conception structurale déterminée au niveau du logiciel de numérisation des plans
AutoCAD, on commence à tracer les axes des éléments de structure (voiles, poutres, poteaux)
par des lignes dans un calque qui sera nommée 01 pour les voiles et un autre calque nommé
02 pour les poutres et des points dans un calque 03 pour les poteaux. Ensuite ce fichier sera
enregistré sous format DXF pour pouvoir l’exporter vers le programme GRAITEC.
2. Modélisation
Dans cette phase le logiciel va détecter les anomalies de structure dues à la mauvaise saisie
(éléments des structures superposer) ces anomalies sont des erreurs qui vont apparaitre en
rouge et se sont des défauts à réparer impérativement si non on ne peut pas passer à la DDC et
des avertissements qui vont apparaitre en vert que l’on peut ignorer.
3. Calcul DDC
Une fois le modèle est bien fait on peut passer à la descente des charges pour pouvoir
l’exploiter par la suite dans le calcul des éléments à travers les différents modules de
ferraillage (arche poutre, voile, dalle...).
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Figure 3: Vue en perspective de la structure extraite de l’ARCHE-OSSATURE.
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CHAPITRE III : CARACTÉRISTIQUES DES MATÉRIAUX ET
HYPOTHESES DE CALCUL
I. Béton
L’EC2 permet d’utiliser des bétons de 12 à 90 MPa de résistance sur cylindres. Le béton
couramment utilisé en bâtiment a une résistance de 25 MPa, rarement 40, voire 50 pour
certains éléments très sollicités tel que poteau ou voile de contreventement. Cette
valeur notée fck , correspond à une valeur caractéristique de la résistance à 28 jours. Elle
permet de déterminer les autres caractéristiques mécaniques des bétons
fck=25 MPa
γ c= {1.21.5cascasaccidentelle
générale
25
fcd=1× =16.7 MPa
1.5
3. Résistance à la traction
La résistance moyenne à la traction du béton à 28 jours fctm est donnée par :
8
*fctk,0.05 : pour calculer les effets des actions indirectes avant fissuration (par exemple
Pourcentage minimal d’armatures).
Pour une contrainte de courte durée d’application (t < 24 h) on adopte dans les calculs un
( )
0.3
fcm
Ecm =22000
10
f cm=f ck +8 MPa
Les aciers retenus sont conformes à la norme EN 10080. Ce sont les B500A ou les B500B à
500 MPa de limite élastique ; la limite élastique est notée :
9
2. Contrainte de calcul
L’Eurocode 2 retient pour la justification des sections une résistance de calcul égale à :
f yk
f yd =
γs
{
γ s = 1.15 cas générale
1 cas accidentelle
f yd =435 MPa
3. Module d’élasticité
Pour éviter une ouverture de fissures excessive, on limite la contrainte de traction sous la
combinaison caractéristique des charges dans les aciers σst à :
¯
σ s=K 3 × f yk
10
IV. Evaluation des charges (NF-EN 1991-1-1)
1. Charges permanentes
2. Charge d’exploitation
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CHAPITRE IV : ÉTUDE D’UNE DALLE PLEINE
I. Introduction
Une dalle est un élément porteur, généralement horizontal, dont une dimension faible que l’on
appelle épaisseur vis à vis les deux autres (dimensions en plan). Ceci permet de rester dans le
cadre de la théorie des plaques minces faiblement fléchies.
Dans notre cas, on va étudier un panneau de dalle rectangulaire situé au plancher haut du
RDC.
1. Portée de calcul
Leff =ln+a1+a2
ai=ti/2
12
ti=largeur de l’appui
18 18
L x eff =440+
+ =458 cm
2 2
18 18
L y eff =618+ + =636 cm
2 2
Lxeff 458
α= = =0.72> 0.5
Ly eff 636
Dalle porte dans les deux sens.
2. L’épaisseur de la dalle :
En règles générales, ces dalles ont une épaisseur comprise entre 8 et 20 cm. Si l’épaisseur n’a
pas été déterminée par le calcul, on choisira une épaisseur satisfaisante à :
*Charge permanente
Il s'agit d'une dalle d'épaisseur 20cm avec un revêtement de 1cm tel que :
G=Pp + Gsup =25×0.25+1.5=7.75 KN/m²
*Charge d’exploitation
Pu=1.35G+1.5Q
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Figure 5: Moments dans la dalle
α > 0.5
Mox(sens lx) μx pulx²
Moy(sens ly) μy Mox
14
Le calcul des moments de chaque panneau est représenté dans les tableaux suivants :
μx μy Mox (T.m/m) Moy (T.m/m)
Sollicitations ELU 0.0683 0.4388 1.82 0.8
ELS - - 1.32 0.58
Tableau 4: Les moments à l'ELU et à l'ELS de la dalle
V. Armatures longitudinales
Le calcul des armatures longitudinales est réalisé pour une section rectangulaire de largeur
unitaire, travaillant à la flexion simple. Dans l'autre direction, il faut assurer le ferraillage
minimum de flexion.
0,15 MO dans le cas d'un encastrement faible, c'est-à-dire pour une dalle
Simplement appuyée (cas d'un panneau de rive de dalle sur une poutre).
0,30 MO dans le cas d'un encastrement partiel (cas d'un panneau de rive de
dalle sur un voile béton).
0,50 MO dans le cas d'une dalle continue (cas d'un panneau intermédiaire de
dalle sur une poutre ou sur un mur).
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Le calcul des sections d’acier est représenté dans le tableau suivant :
μcu < μlu= 0.372 Asc=0 Asc=0 Asc=0 Asc=0 Asc=0 Asc=0
Mw+ Me
Mt+ ≥1.25 M x
2
0.91+0.91
Suivant lx : 1.365+ ≥ 1.25 ×1.82
2
0.24 +0.4
Suivant ly : 0.68+ ≥1.25 × 0.8
2
1 ≥1 Condition vérifiée
16
Pour chaque panneau de dalle on vérifie la section minimale de non fragilité dans les deux
directions.
{
fctm
A s , m i n=M a x (0.26 × × bt × d ; 0.0013 × bt × d)
fyk
2.56
A s , m i n=M a x (0.26 × ×1 ×0.22 ; 0.0013 ×1 × 0.22)
500
Dalle : Ay (D) = 0.71 cm²/ml <As,min = 2.93 cm²/ml Ay (D) =2.93 cm²/ml
Dalle : A x (D) =0.1.43 cm²/ml < As,min = 2.93 cm²/ml. Ax (D) =2.93 cm²/ml
Toute section d’armature calculée à l’ELU doit être supérieure à la section
minimale correspondante.
D’après le tableau annexe ADETS On choisit treillis soudé ST40C (Atx= 3.85
cm²/ml ; Aty=3.85 cm²/ml) avec un espacement de 10cm pour les deux directions.
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Dans notre panneaux on a une seul réservation tel qui : a= 35 cm ; b=73cm
1. Dans le sens x
a 2
S(ST40C)=3.85 cm²/ml section choisie : s × =0.67 cm /ml → soit 1 HA 10
2
a
Longueur de la barre : b+ 2× +2 ×50 Φ=208 cm=2.08 m
2
2. Dans le sens y
b 2
S(ST40C)=3.85 cm²/ml section choisie : s × =1.4 cm /ml → soit 1 HA 14
2
a
Longueur de la barre :b+ 2× +2 ×50 Φ=248 cm=2.48 m
2
VII. Vérification de l’effort tranchant
1. Sollicitations
Les dalles sont en général dimensionnées sans que les armatures transversales ne
soient nécessaires ce qui explique par VED <VRD Charge uniformément repartie
et α > 0.5.
}
Pu∗Lx 1.271∗4.58
VED , x= → VED , x= =2.14 T =0.0214 MN
2+ α 2+0.72
Pu∗Lx 1.271∗4.58
VED , y= →VED , y= =1.94 T =0.0194 MN
3 3
2. Vérification
VRd est l’effort tranchant résistant cela se traduit par : VRd =Max (vrd, c1 ; vrd, c2)
V rd ,c 1=[ C Rd ,c k ( 100 ρ f ck ) 1/ 3+ k 1 σ cp ] b w d
18
As 1 0.000385
ρ= = =0.00175 ≤ 0.02
bw∗d 1∗0.22
σ cp=0 (flexion simple)
( ( ) ; 2)=1.95
0.5
200
K=min 1+
d (mm)
0.22 0.22
C Rd ,c = = =0.146
γc 1.5
D’où
¿
2. Limitation de la flèche
Pour une dalle qui porte sur ces 4 côtés ou sur 2 côtés, il n’est pas nécessaire de
vérifier la condition de la flèche si la condition suivante est vérifiée :
l
f ≤ flim⇔ ≤
d d
l
()
lim ¿
Avec La valeur limite du rapport (portée utile / hauteur utile) : (l/d) Lim peut être
obtenue à l'aide de tableau suivantes :
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Tableau 6: Valeurs de base du rapport portée/hauteur utile pour les éléments en béton
armé, en l'absence de l'effort normal de compression. (Tableau-7.4 NF EN 1992-1-1)
( dl )
max
=30
l 4.58
=
d 0.22
=20.82<
l
d () max
=30
La condition de flèche est vérifiée.
1. Aciers inferieurs
En admettant une contrainte d’adhérence constante égale à fbd ,la longueur d’ancrage de
référence lb,rqd nécessaire pour ancrer l’effort Asσsd qui règne dans une barre droite vaut :
Φ osd
1b , rqd=
4 fbd
avec :σ sd=contrainte effective de la barre ancré=f yd ( As , calcul
)
As ,mis en place
=f yd =435 MPa
f bd=2.25 η1 η2 f ctd
20
f ctd : Résistance de calcul en traction du béton.
αct × fctk , 0.05
f ctd=
γc
αct=1 ;
f ctd=1.19 MPa
fbd=2.25η1 η2 fctd =2×1×1×1.19=2.68 MPa
lbd=α1α2α3α4α5lb,rqd
α1 = 1 si droit
α1 : coefficient prenant en compte la forme de l’ancrage :
α1 = 0.7 si Cd > 3Φ
21
Tableau 7: Valeur des coefficients α1 α2 α3 α4 α5.
α 1=1
α 2=1−0.15 ( cd−Φ
Φ )
cd = 30 mm
3−0.7
α 2=1−0.15 =0.51
0.7
α3=α4=α5=1 (Pas d'armatures d'effort tranchant)
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lbd=0.51×28.4=14.48 cm
On doit vérifier la valeur de lb,d avec une valeur minimale lb,min
{
0.3 Lb , rqd=0.3 ×28.4=8.52cm
1b , min=max 10 Φ=10 ×0.7=7 cm
10 cm
l b ,min =10 cm
l bd=14.48> l b ,min =10
⇒ 1 ld=14.48 cm
23
CHAPITRE V : POUTRE VOILE
I. Introduction
Les poutres-voiles constituent des éléments de parois fléchies dans leur plan moyen, de portée
inférieure à deux fois la hauteur, pour lesquels la méthode des bielles et tirants (B-T) selon
l’Eurocode 2 est applicable pour leur justification, la différence entre une poutre ordinaire et
une poutre voile(PV), c'est que la dernière est plus rigide, elle ne fléchie pas comme l'autre.
Les efforts sont transmis par bielles et tirants au bas de PV, la disposition du ferraillage est
plutôt différente.
24
IV. Caractéristiques de la poutre voile
L 3.07
= =0.88
h 3.5
Z=0.6 L=0.53 m
z
tan θ= × 4=0.74
L−a
→θ=36.5∘
La position e du tirant inférieur T est : e =0.075 × h = 0.26 m
25
Figure 11: Modélisation de la poutre voile.
V. Tirant principal
1. Effort de traction
R AD
T=
tan θ
La réaction au niveau de l’appui droit est :
L+ a
R AD =PED =26.68 t
2
26.68
T= =36.05 t
0.74
T 36.05 −2 2 2
A5 = = ×10 =0.000829 m =8.29 cm
fyd 435
Soit : 6 HA14 (As réelle =9.24 cm²) repartis sur une hauteur h’=0.525m
26
VI. Bielles primaires
T=36.05 t
2. Effort de compression dans la bielle inclinée
R AD
C 1= =44.85 t
sin θ
3. Vérification des contraintes dans le nœud d'appui
v’=1-(fck/250)=0.9
k2=0.85
27
S2=a2*b
a=0.2 m b=b’=0.2 m
S2= 0.11 m²
0.4485
σ Rd 2= =4.077 MPa<σ Rd , max=12.775 MPa
0.11
1. Effort de traction
En considérant une demi-bielle (de longueur h’) a l’appui, placée dans une région de
discontinuité totale car :
' z
h= =0.891m
sin θ
L’effort de traction donc vaut :
T=
1
4 (
1−0.7
a2
hr
F )
h’=0.891m ; a2=0.547 m
T = 0.064 MN
h=0.8Z=0.8×0.53 = 0.424 m
3. Armatures verticales
28
Tcos θ 0.064 cos 36.5 2
At = = =1.18 cm
fyd 435
Figure 14 : ferraillage de PV
29
CHAPITRE VII : ETUDE D’UN POTEAU
I. Introduction
Les poteaux sont les éléments verticaux de la structure permettant la transmission des charges
à la fondation. Ils sont dimensionnés à la compression simple, en appliquant les majorations
nécessaires. On se propose d’étudier un poteau isolé rectangulaire P03 de section imposée par
l’architecte (0.6*0.18) implanté au niveau du sous-sol tout en explicitant les différentes étapes
de calcul.
30
Figure 16: Longueurs de flambement
L b h
Poteau calculé 3.5 0.6 0.18
Poteau 1 - - -
Poteau 2 - - -
Poutre w1 1.02 0.18 1.39
Poutre e1 1.02 0.18 1.39
Tableau 8: Dimensions des poutres et du poteau.
k1=0.0004
L0=0.544
31
V. Choix Armatures longitudinales
1. Élancement
L0 : longueur de flambement
L0
λ=
i
i=
√ I
Ac
i=
√
0.6∗0.18 3
12∗0.6∗0.18
= 0.052 m
λ=36 . 61
lim
3. Vérification de l’état limite de stabilité de forme
λ 20∗A∗B∗C
lim ¿= ¿
√n
1
A= =0 ,7 si Φ eff est inconnu
1+0.2∗Φeff
B=√ (1¿+ 2 w)=1 ,1 si w est inconnu ¿
C=1.7−rm=0 , 7 sirm est inconnu
Ned 30.58 −2
n= = ∗10 =0.17
fcd∗Ac 0.6∗0.18∗16.67
¿
¿
¿
32
> lim nécessité de prendre en compte les effets du second ordre.
La section la plus sollicitée est vérifiée en supposant, à l’ELU, une excentricité totale égale
à:
Les imperfections sont représentées par une inclinaison globale d’un angle
défini par : θi = θ0αhαm
ei = θi L0/2
θ0=1/200 valeur de base recommandée et à utiliser pour l'annexe nationale française
2
α h= Coefficient de réduction relatif a la longueur = 1 car 2/3≤ αh ≤1
√L
√
α m= 0.5 1+ ( 1
m )
=1 Coefficient de réduction relatif au nombre des éléments (m=1)
θi = 0.005
ei =0.0048 m
1 ¿ K ∅∗1
La courbure est obtenue par la formule suivante : = Kr
r r0
33
fyd −3
ε yd = =435/200000=2.175∗10
Es
or d=0 ,5 h+ i s
1 ε yd 0.002175 −1
= = =0.0345 m
r 0 0.45 d 0.45∗0.14
[
Ned
n= =0.17
k r=min ( nu−n ¿¿¿ nu−nbal ; 1 ) fcd∗Ac
nbal=0.4 ; nu=1 → K 1=1
KФ=max ( 1+ β × ϕ ef ; 1 ) ; Avec :
fck λ 25 36.61
β=0.35+ − =0.35+ − =0.72
200 150 200 150
M oEqp N oqp ⋅ e1
ϕ ef =ϕ ( ∞ , t 0 ) × = × ϕ ( ∞ , t 0)
M oEd N oEd ⋅ e1
2 × A c 2 ×600 ×180
Rayon moyen de l’élément : h 0= = =138.5 mm
u 2 ×(600+180)
34
Classe du béton : C25/30
ϕ ( ∞ , t 0 ) =3
N oqp⋅ e 30.58
D ' autre part , 1
= =1.36 ⇒ ϕ ef =4.08
N oBd ⋅ e 1
22.4
Courbure:
1 1 ¿ −1
=k r KΦ =1 3.94 0.0345=0.136 m
r r0
5. Armatures longitudinales
35
M0Ed= NEd e1 =30.58 x 0.0248 x 10-² = 0.0076 MN.m
En tenant compte des effets de second ordre le moment ultime pour la combinaison
fondamentale devient :
M ed 0.0226
μ= = =0.07
b w∗h ∗f cd 0.6∗0.182∗16.67
2
M
e 0= ed =0.0739 m
N ed
( ) h
e A=e0 + d− =0.1339 m
2
M edA=N ed∗e A=0.0409 MN
μ BC =
0.8∗h
d
∗ 1−( 0.4∗h
d
=0.5 )
M edA
μ Cu= 2
=0.181
b∗d ∗f cd
N ed
A S 2 C = A S 2 S et A S 1 C = A S 1 S−
fyd
M θd 0.0226
μ= 2
= 2
=0.1< μ1=0.37
b w∗d ∗f cu 0.6∗0.14 ∗16.67
A S 2 C = A S 2 S =0
A smin=max ( 0.1∗Ned
fyd
;
0.2∗Ac
100 )=max (0.1
.3058
434.78
¿
∗10 ; 0.2
0.25∗0.45
100
∗10 )=2.16 cm
4 4 2
36
7. Pourcentage maximale d’armatures
4∗Ac 2
A smax = =43.2 cm
100
2
En respectant A smin < A s < A smax on prend As=2.16 cm donc un ferraillage 6 HA 8
= min(160;180 ;400)
Sc1,tmax = 160mm
Фl = 10 mm < 32 mm η2=1
f ct ko .05 α ct
f ctd = avec α ct=1
δc
f ctk 0.05=0.7 f ctm=0.7× 2.56=1.79 MPa
donc fctd=1.79 /1.5=1.19 MPa → f b d =2.25 ×1.19=2.68 MPa
3. Longueur de recouvrement
Φfyk
Lr= =25.6 cm
4 fbd
Soit Lr=26 cm
37
VII. Schéma de ferraillage
Figure 18: Plan du ferraillage du poteau étudié
38
CONCLUSION GENERALE
39
BIBLIOGRAPHIE
40
ANNEXES
41