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L’é lè ve et la maitresse de Coquin de sort

Difficile de sortir de mon esprit ces moments. Même quelques vingt


années plus tard, ce que j’ai pu partager avec cette personne, me hante,
hante mes nuits et mes jours, et me rends auprès de mes proches
quelques fois, irascibles et presque associable. Elle m’a laissé une
trace indélébile, comme un tatouage à l’intérieur de moi, un code barre
que l’on ne pourra jamais effacer.Ca n’a pas été l’amour de ma vie, ni
l’amour de ma jeune enfance, non, c’était juste une initiatrice, une
sorte de professeur privé, que pour moi. Cette femme, qui n’en était
pas encore vraiment une, a dessiné ma vie, ma vision de la relation
Homme-Femme, des plaisirs que l’on pouvait en tirer et bien sur des
douleurs. Quoi de plus normal que de vous raconter ces moments de
délices, de découverte, de chasses au trésor et bien sûr de la jouissance
partagée….

Quelque part dans le Sud Est de la France. Nous venions de


déménager dans un nouveau village suite à une énième mutation
professionnelle de mon père. A la fin du premier trimestre de classe de
6ième : autant vous dire que c’est toute votre vie qui s’écroule, les
copains que vous connaissiez depuis la maternelle, PFFF, oubliés,
disparus….. On repart à 0.J’avais 11 ans. Mes premiers souvenirs,
mes premières sensations d’attirance vers les filles (on ne peut pas
parler de femmes à cet âge-là), sont pourtant arrivés juste avant notre
départ. Je me souviens très bien de Céline, amie de toujours, qui était
toujours assise à côté de moi en classe. Moi, une main dans sa culotte
et elle, une main dans mon slip, à se caresser, presque innocemment,
comme ça, en pleine classe de CM2….on ne se parlait pas beaucoup,
peut-être que l’on n’aurait pas su quoi se dire…il y avait quelque
chose de naturel entre nous, aucune gêne, que des petits plaisirs
partagés…..et tout ça sous les yeux de notre maitresse, vieille fille, qui
ne voyait à priori rien… J’avais déjà senti par le passé, mon sexe se
gonfler naturellement, le matin, notamment, sans que j’ai besoin de le
solliciter, mais avec Céline, c’était bien diffèrent. Il était bien plus dur,
bien plus raide et surtout bien plus lubrifié… Elle aussi, je pense,
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ressentait des émotions nouvelles sous mes doigts, pourtant pas encore
experts…Je la sentais se tortiller sur le banc, me coincer les doigts
volontairement dans son vagin pour bien les sentir, lorsqu’elle était au
bord de ses premières jouissances…Ses petits seins, à peine formés,
apparaissaient bien pointus et durs sous la blouse bleue qu’elle portait,
et j’aurais adorer les titiller de ma langue pour la rendre folle… Mais
notre expérience de la découverte sexuelle allait s’arrêter net, après la
fameuse mutation de mon père. Bien des regrets pour moi, et pour
elle, vous vous en doutez. Nous avions attaqué le premier trimestre de
6ième dans la même classe au collège. J’imaginais déjà plein de jeux
savoureux et délicieux que nous aurions pu partager, mais non. Céline,
épisode terminé. Même des années plus tard, je ne l’ai jamais recroisé,
ni en boite de nuit, ni ailleurs. Notre village n’était pourtant pas bien
grand et malgré le fait d’avoir déménagé, je n’étais qu’à une vingtaine
de kilomètres de là, mais plus jamais je ne la revue….

Il fallut donc se résoudre à tout reprendre à 0 : pas seulement ma


découverte de la vie sexuelle, mais aussi, les copains tout court… Un
nouveau village, un nouveau collège, une nouvelle classe de 6ième
dont la plupart des élèves se connaissent depuis le primaire. Oui, tout
est à reprendre à 0…et ça va pas être facile, facile. Mais dans mon
malheur, tout n’est pas si sombre. J’ai la chance d’aimer le foot, de le
pratiquer et le club local a une équipe pour que je puisse y jouer et
donc m’intégrer plus facilement. Le plus de cette équipe est qu’elle a
en son sein, une fille. A ces âges-là, entre 11 et 14 ans, les filles,
même plus âgées ont le droit de jouer au foot avec les garçons.

Ce fut ma chance.

Virginie aimait le foot, mais pas que.

Belle "plante" de 13 ans et demi, des seins déjà très bien formés et
bien tenus naturellement, pas besoin de soutien-gorge, des fesses
rebondies que n’importe quel adolescent aurait aimé travailler… Je
n’avais pas encore couché avec une fille, juste quelques petits
attouchements par ci, par-là, une ou deux fellations par les plus
courageuses, mais c’était tout. Là, j’allais passer au niveau au-
dessus…
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Elle était brune, cheveux assez court, un peu à la garçonne, mais


franchement pour le reste, il ne pouvait pas y avoir le moindre doute,
c’était bien une fille, et presque une femme. Virginie et moi, on
s’entendait bien, sur le terrain comme en dehors. Nous étions tous les
deux en défense centrale, forcément ça rapproche…. Je suis sûr que
vous vous posez la question suivante : est-ce que Virginie prenait les
douches avec les autres garçons après le match ? Et bien non, elle
avait droit de squatter la douche réservée aux arbitres. A nos âges et à
notre petit niveau, nous n’avions pas d’arbitre officiel donc il était
facile pour elle, à la fin du match, de se rendre avec ses affaires dans
le vestiaire voisin…

C’est là, que j’ai eu ma chance….à la fin d’un match, plutôt que de
rentrer dans le vestiaire avec les autres, j’ai eu besoin de satisfaire un
besoin naturel et pressant, il a donc fallu que je passe devant le
vestiaire des arbitres pour me rendre aux toilettes. Virginie était en
train de rentrer dans le vestiaire lorsque je passai juste devant.

« Tu veux prendre ta douche avec moi » me demanda-t-elle ? « Heu


oui, mais j’ai pas ma serviette et mon change là », lui répondis-je.
« C’est pas grave je te prêterais ma serviette, et pour le reste on verra
après. Viens l’eau est plus chaude ici, tu vas voir… »

Je crois me souvenir qu’elle me fit un petit clin d’œil malicieux à ce


moment-là, mais étant déjà parti en orbite autour de la terre,
m’imaginant seul avec ce corps nu et offert que ma mémoire m’a peut
être joué des tours. Ce qui est sûr, c’est qu’une fois dans le vestiaire,
Virginie se déshabilla devant moi, sans la moindre retenue. D’abord,
les chaussures à crampons, puis les chaussettes, ensuite le short et le
maillot. Elle se trouvait donc devant moi, en culotte et soutien-gorge.
« Maintenant, à toi de jouer, moi, j’en peux plus, faut que tu m’aides,
j’ai tout donné sur le terrain », d’un air dégagé, distante, Virginie me
proposait donc de la dénuder entièrement. Par contre, quelle menteuse,
je vous assure qu’elle était loin d’avoir tout donné sur le terrain, vous
allez voir…. J’eu un temps d’hésitation, oui, un peu de gêne,
surement, mais ce fut vite effacer par ce que je découvris. Je dégrafai
tout d’abord son soutien-gorge : je suis depuis toujours attiré par les
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seins, et j’avais tellement imaginé les siens que je voulais les voir en
premier.

Le soutien-gorge à terre, ses seins se dressaient là, devant moi,


fièrement, l’air de dire : « ben vas-y attrape nous, prends nous dans tes
mains, caresse nous. »Les tétons étaient déjà bien durs et pointés vers
le ciel. Sans le dire, Virginie était très excitée à l’idée de sentir mes
mains posées sur elle. Elle n’a pas eu besoin de me le demander,
naturellement, mes mains se sont approchées et ont commencé à
soupeser ses mamelles fermes et dures. Le bout de mes doigts insistant
plus longuement sur les pointes de ses seins et ses premiers soupirs
arrivèrent. Autant vous dire que je n’allais pas m’arrêter en si bon
chemin….je m’approcha un peu plus d’elle pour l’embrasser
farouchement. Elle se laissa totalement faire, comme abandonnée à
moi…et totalement à moi. Quel plaisir de sentir cela, et quelle douleur
de sentir aussi dans mon bas-ventre que mon sexe allait faire exploser
mon slip si il n’y avait pas évacuation immédiate…Mais Virginie
n’était pas encore totalement déshabillée et il fallait que je finisse mon
travail… Sa petite culotte, pas forcément la plus sexy non plus, glissa
doucement le long de ses jambes. La sensation de son minou à l’air la
libera de sa nonchalance et elle prit enfin les choses en mains.
« Laisse-moi faire »me dit-elle…. » »Ben vas-y », je n’avais rien
trouvé d’autre à dire, étant toujours occupé à masser ses seins dans
tous les sens… mais je trouvai suffisamment de réflexion pour laisser
une main glissée jusqu’à sa chatte. Elle était toute chaude, toute
mouillée et bien poilue .Ce qui ne me gênait pas du tout. Pour notre
génération la mode n’était pas aux minous rasés de prêt… Virginie se
mis donc accroupie devant moi, elle baissa mon short et mon slip d’un
seul coup, pour laisser sortir mon sexe dur et droit comme jamais.
J’étais déjà bien lubrifié sous l’effet de la vision de ce corps, mais elle
crut bon de devoir me prendre en bouche, pour mon plus grand plaisir.
Elle me faisait glisser dans sa gorge avec une délicatesse et une
douceur qui aurait fait jouir en 2 secondes le premier puceau
venu…Après quelques aller et retours, non sans effet, je sentais sa
langue monter et descendre le long de ma verge et je sentais aussi tout
au fond de moi, que mon sperme se sentait déjà prêt à prendre l’air…
Je du donc freiner un peu ses ardeurs, en lui proposant d’inverser les
rôles…je la poussa doucement à s’assoir sur le banc, puis lui écarta les
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cuisses pour glisser dans un premier temps quelques doigts dans son
vagin tout ouvert pour moi. Spontanément, elle se caressa les seins, en
commençant à pousser de plus en plus de gémissements. Mon visage
se rapprocha de cet antre surchauffé et je sentais monter en elle, le
désir de se faire pénétrer profondément par ma bite. Je voulu d’abord
goutter à ce fruit si jeune et si attirant…ma langue se glissa donc
doucement, entre ses lèvres, insistant ensuite sur son clitoris, tellement
gonflé qu’il en était proche de l’explosion…J’accéléra un peu la
cadence pour voir ce qu’elle avait sous le moteur… Mes doigts en
même temps se perdaient dans son vagin, ma main était toute trempée
de sa mouille et je décidai de me sécher un peu en reprenant en main
ses seins. « Prends-moi, vite » me dit-elle. Alors elle se retourna pour
m’offrir un point de vue absolument superbe sur ses fesses, les reins
cambrés, les fesses écartées pour bien me montrer le chemin à suivre,
elle n’a pas eu à le dire deux fois, mon sexe à la main, je m’engageai
dans cette voix accueillante et chaude sans trop réfléchir. Je ne pus
retenir un soupir en rentrant, tellement ce fut bon pour moi et elle
aussi, me sentant si dur en elle, lâcha un soupir profond. Sa chatte était
tellement mouillée que je sentais à peine mon sexe glisser en elle, je
commençai à multiplier les venues dans son vagin lorsqu’elle me dit :
« je veux que je tu jouisses dans ma bouche, c’est un truc que
j’adore »…Je ne l’avais jamais fait, forcément, les quelques filles qui
m’avaient déjà sucé n’avaient pas avaler, finissant le travail
manuellement… « ok, je connais pas, je veux bien essayer »….elle se
remit donc devant moi, reprenant mon sexe en pleine bouche,
continuant de se caresser le sexe de sa main droite et tenant mon sexe
de sa main gauche. Rapidement, je senti qu’une bonne giclée de
sperme allait venir et je lui dit « ça vient », mes yeux commençant à se
révulser….Elle ne prit pas la peine de me répondre et lorsque mon
sperme arriva dans sa bouche, elle ne recula pas, et avala chaque
giclée sans broncher, accélérant ses caresses sur son clito, jusqu’à ce
qu’elle aussi jouisse. On tomba tous les deux sur le sol du vestiaire,
Sali par nos chaussures pleine de terre…Du sperme coulé de sa
bouche, et elle avait totalement heureuse par ce que nous venions de
faire, et moi aussi. C’est à partir de ce moment-là, que j’ai commencé
à aimer les prolongations……

A suivre….(prochain épisode : Les tirs au but)


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