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L'élève Et La Maîtresse
L'élève Et La Maîtresse
ressentait des émotions nouvelles sous mes doigts, pourtant pas encore
experts…Je la sentais se tortiller sur le banc, me coincer les doigts
volontairement dans son vagin pour bien les sentir, lorsqu’elle était au
bord de ses premières jouissances…Ses petits seins, à peine formés,
apparaissaient bien pointus et durs sous la blouse bleue qu’elle portait,
et j’aurais adorer les titiller de ma langue pour la rendre folle… Mais
notre expérience de la découverte sexuelle allait s’arrêter net, après la
fameuse mutation de mon père. Bien des regrets pour moi, et pour
elle, vous vous en doutez. Nous avions attaqué le premier trimestre de
6ième dans la même classe au collège. J’imaginais déjà plein de jeux
savoureux et délicieux que nous aurions pu partager, mais non. Céline,
épisode terminé. Même des années plus tard, je ne l’ai jamais recroisé,
ni en boite de nuit, ni ailleurs. Notre village n’était pourtant pas bien
grand et malgré le fait d’avoir déménagé, je n’étais qu’à une vingtaine
de kilomètres de là, mais plus jamais je ne la revue….
Ce fut ma chance.
Belle "plante" de 13 ans et demi, des seins déjà très bien formés et
bien tenus naturellement, pas besoin de soutien-gorge, des fesses
rebondies que n’importe quel adolescent aurait aimé travailler… Je
n’avais pas encore couché avec une fille, juste quelques petits
attouchements par ci, par-là, une ou deux fellations par les plus
courageuses, mais c’était tout. Là, j’allais passer au niveau au-
dessus…
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C’est là, que j’ai eu ma chance….à la fin d’un match, plutôt que de
rentrer dans le vestiaire avec les autres, j’ai eu besoin de satisfaire un
besoin naturel et pressant, il a donc fallu que je passe devant le
vestiaire des arbitres pour me rendre aux toilettes. Virginie était en
train de rentrer dans le vestiaire lorsque je passai juste devant.
seins, et j’avais tellement imaginé les siens que je voulais les voir en
premier.
cuisses pour glisser dans un premier temps quelques doigts dans son
vagin tout ouvert pour moi. Spontanément, elle se caressa les seins, en
commençant à pousser de plus en plus de gémissements. Mon visage
se rapprocha de cet antre surchauffé et je sentais monter en elle, le
désir de se faire pénétrer profondément par ma bite. Je voulu d’abord
goutter à ce fruit si jeune et si attirant…ma langue se glissa donc
doucement, entre ses lèvres, insistant ensuite sur son clitoris, tellement
gonflé qu’il en était proche de l’explosion…J’accéléra un peu la
cadence pour voir ce qu’elle avait sous le moteur… Mes doigts en
même temps se perdaient dans son vagin, ma main était toute trempée
de sa mouille et je décidai de me sécher un peu en reprenant en main
ses seins. « Prends-moi, vite » me dit-elle. Alors elle se retourna pour
m’offrir un point de vue absolument superbe sur ses fesses, les reins
cambrés, les fesses écartées pour bien me montrer le chemin à suivre,
elle n’a pas eu à le dire deux fois, mon sexe à la main, je m’engageai
dans cette voix accueillante et chaude sans trop réfléchir. Je ne pus
retenir un soupir en rentrant, tellement ce fut bon pour moi et elle
aussi, me sentant si dur en elle, lâcha un soupir profond. Sa chatte était
tellement mouillée que je sentais à peine mon sexe glisser en elle, je
commençai à multiplier les venues dans son vagin lorsqu’elle me dit :
« je veux que je tu jouisses dans ma bouche, c’est un truc que
j’adore »…Je ne l’avais jamais fait, forcément, les quelques filles qui
m’avaient déjà sucé n’avaient pas avaler, finissant le travail
manuellement… « ok, je connais pas, je veux bien essayer »….elle se
remit donc devant moi, reprenant mon sexe en pleine bouche,
continuant de se caresser le sexe de sa main droite et tenant mon sexe
de sa main gauche. Rapidement, je senti qu’une bonne giclée de
sperme allait venir et je lui dit « ça vient », mes yeux commençant à se
révulser….Elle ne prit pas la peine de me répondre et lorsque mon
sperme arriva dans sa bouche, elle ne recula pas, et avala chaque
giclée sans broncher, accélérant ses caresses sur son clito, jusqu’à ce
qu’elle aussi jouisse. On tomba tous les deux sur le sol du vestiaire,
Sali par nos chaussures pleine de terre…Du sperme coulé de sa
bouche, et elle avait totalement heureuse par ce que nous venions de
faire, et moi aussi. C’est à partir de ce moment-là, que j’ai commencé
à aimer les prolongations……