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2200 Finale 1
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1959-1961?
2. Étude historique
2.1 Intro
2.4 Les coups d’états sur le cuba par les États Unis
2.5 Conclusion
3. Réflexion
Le 16 février 1959, à la fin de la révolution Cubaine, Fidel Castro remplace Fulgencio
Batista comme premier ministre du Cuba. Après ce remplacement, la relation entre Cuba et les
États-Unis est devenue rapidement inamicale, ce qui a éventuellement mené à la baie de cochon
de 1961. À travers cet essai, nous tenterons d’expliquer pourquoi cette relation amicale a pris fin
en observant divers actions prises par les gouvernements de ces deux pays entre 1959 et 1961.
Relations Since 1957 a été en 1988 par Wayne S. Smith, un ancien diplomate des États-Unis qui a
aussi servi dans l’Union soviétique, l’Argentine et Cuba. En 1985, il est devenu Adjunct
Professor of Latin American studies à Johns Hopkins University. L’objectif de ce livre est de
raconter ses connaissances sur les changements des relations Américano-Cubaines après 1957
basées sur ses expériences comme diplomate à Cuba pendant ce temps. Wayne S. Smith
accompagne son livre avec un grand nombre de sources premières qui confirment ses annoncés.
pour montrer les différentes perspectives qui se présentâmes pendant cette période à Cuba. La
position de ce livre est que la guerre froide, et la chute des relations entre les États-Unis et le
Cuba a été causé par la politique Américaine, et non les actions du Cuba. Dans cette analyse, je
me concentre sur les premiers deux chapitres du livre, qui regardent les relations Américano-
Cubaines entre 1953 et 1961 (La révolution cubaine à la Baie des cochons). Ce livre regarde
avec bonnes profondeurs les événements qui ont conduit à la chute des relations américano-
cubaines et les relations qui l’ont précédé, ce qui sera utilisé pendant mon analyse. Par contre,
comme ce livre est un rapportage d’expériences vécues par Wayne S. Smith, il y a des
potentiel biais. Néanmoins, le livre présente beaucoup d’informations utilisables par son
excellente analyse des événements et changement politique, ce qui est de grande valeur pour cet
essai.
Cuba and the United States. Long-Range Perspectives fut édité en 1967 par John plank,
professeur et historien Américain, spécialisé sur les affaires latino-américaines. Dans ce livre, il
cherche à considérer plusieurs aspects de la situation cubaine afin d’apporter une base plus solide
pour réfléchir à la future politique des États-Unis envers le Cuba. Ce livre se positionne du côté
des États-Unis, en disant que les événements qu’y ont eu lieu a été causé par Cuba. Pour mon
analyse, je me concentre sur deux chapitres. Premièrement, A Historical Perspective écrit par
Henry Wriston, un historien américain. Dans cet essai, l’objectif de Wriston est de présenté les
utilise plusieurs sources primaires et donne un grand nombre d’information sur l’Amérique
latine. Par contre, cet essai présente de nombreuses informations et événements en dehors du
sujet, qui sont non pertinents à ma question. Le deuxième essai, The Cold War in Latin America
a été écrit par Raymond Carr, un historien et hispaniste britannique contemporain. Dans cet
essai, Carr présente les événements en Amérique Latin pendant la guerre froide qui ont été
important ou ont affecté les États-Unis. L’auteur a été le Directeur du centre Amérique latine à
Oxford, ce qu’y lui donne de la crédibilité en tant qu’expert sur le sujet. Dans son essai, Carr
regarde avec profondeurs les événements et les positions des États Unis. Il cite également
plusieurs sources primaires. Cependant, les deux essais ont été écrit en 1967, encore pendant la
seront divulgués plus tard. Ce livre présente également une l’idéologie anti-communiste
orthodoxe présente dans ces années , ce qui me servira pour parler de la perspective des États-
Unis.
2. Étude historique
2.1 Intro
de Castro dans la chute des relations Américano-Cubaine. Les années 1959 à 1961 ont marqué
un moment important dans les relations Américano-Cubaines. Pendant cette période, une
détérioration rapide des liens autrefois amicaux entre les deux nations est arrivée, ce qui a
finalement fini par une rupture totale des relations diplomatiques, et a causé le Baie des cochons
de 1961. En observant cette extrême chute des relations pendant ces années, nous pouvons
commencer à nous demander si cela fut causé par les actions de l’administration Eisenhower du
US, ou du gouvernement de Fidel Castro. Dans une perspective, les vues anti-communiste de
l’administration Eisenhower et du peuple des États-Unis ont causé cette rupture des relations.
Cependant, en analysant les actions de Castro, un mauvais leadership de sa part pourrait être
plutôt la cause de cette chute. Par contre, en analysant les actions de l’administration
Eisenhower, on peut conclure qu’un sentiment contre Castro et son gouvernement a existé, ce qui
les ai menés à mettre en place plusieurs coups d ’états contre Cuba. Est-ce que cette tension entre
les deux pays a été créé par une différence d’idéologie et des menaces des États-Unis contre
Cuba, ou plutôt la mauvaise gouvernance de Fidel Castro lorsqu’il pris le pouvoir après la
révolution Cubaine ?
des plus importants aspects de la chute des relations Américano-Cubaine, à cause de leur
vaincre les intrigues du communisme international... ».1 La position adoptée à l'égard de Cuba
était une défense contre le communisme. Cuba était intentifié comme un outil d'agression et
d'expansionnisme soviétique.2 L’état de pensée des États Unis leur à causé de ce méfier et douter
de tout ce qui pourrait être relié au communisme. 3 Comme exemple, le directeur du FBI, J.
Edgar Hoover, a dit qu’il y avait 540 000 communistes aux États Unis et a demandé des
1
Lester D. Langley, United States, Cuba, and the Cold War, American Failure or Communist
Conspiracy? (Massachusetts: D.C. Heath, 1970), 33.
2
Noam Chomsky, et.al, Superpower Principles, U.S. Terrorism Against Cuba (Maine : Common
Courage Press, 2005), 68.
3
Wayne Smith, The closest of enemies: a personal and diplomatic account of U.S.-Cuban
relations since 1957 (New York: W.W. Norton, 1987), _
renforcements et du financement pour se débarrasser d’eux. 4 Cette façon de penser à mener les
Cette méfiance est devenue évidente lors de son voyage aux États Unis en 1959. 6 Pendant
ce voyage, Fidel Castro a rencontré le Vice-Président Richard Nixon 7 et a été très clair qu’il
n’avait aucune intention de rendre Cuba communiste. Par contre, Nixon à conclut que Castro
Eisenhower pour lui assurer que Castro était confirmé comme communiste et qu’il fallait lui
retirer de pouvoir.9 Cette conclusion abrupte est en parti à cause d’une différence culturelle entre
les deux hommes. « C'est cette soumission presque esclavagiste à l'opinion majoritaire
dominante - la voix de la foule. ... qui m'a le plus préoccupé dans l'évaluation du genre de leader
qu'il pourrait éventuellement devenir... » a dit Nixon à propos du sujet. Le voyage lui-même a
très probablement joué un rôle dans le durcissement des deux parties, car il a révélé des points de
4
Larry Ceplair, Anti communism in 20th-century América, A Critical History (California:
Praeger Publishers, 2011), 92.
5
Wayne Smith, The closest of enemies: a personal and diplomatic account of U.S.-Cuban
relations since 1957 (New York: W.W. Norton, 1987), _
6
Wayne Smith, The closest of enemies: a personal and diplomatic account of U.S.-Cuban
relations since 1957 (New York: W.W. Norton, 1987), 47
7
Maurice Zeitlin & Robert Scheer, Cuba: Tragedy in Our Hemisphere (New York: Grove Press,
Inc, 1963), 81
8
Alan McPherson, “The Limits of Populist Diplomacy: Fidel Castro's April 1959 Trip to North
America, Diplomacy & Statecraft”, 18:1, (2007): 237, DOI: 10.1080/09592290601163159.
9
Fabián Escalante, The Cuba Project: CIA Covert Operations (New York: Ocean Press :
Distributor for United States and Canada, Consortium Book Sales and Distribution, 2004), 23.
vue divergents sur les relations entre les gouvernements. 10 À cause de ce voyage inamicale,
Castro a rejeté l'Amérique comme alliée et amie et a dû s'associer à la Russie pour l’aide
économique, ce qui a confirmé pour les États-Unis que Cuba était un pays communiste
Dans une autre vue, la chute des relations Américano-Cubaine était causé par le mauvais
d’accomplir beaucoup de ces promesses en tant que leader de Cuba. Par exemple, il a échoué de
Le public américain a aussi reçu une image effrayante du Cuba lors d'une série
d'exécutions qui ont eu lieu, après que Castro ait signé une loi qui encourageait l'exécution de
10
Alan McPherson, “The Limits of Populist Diplomacy: Fidel Castro's April 1959 Trip to North
America, Diplomacy & Statecraft”, 18:1, (2007): 261, DOI: 10.1080/09592290601163159.
11
Wayne Smith, The closest of enemies: a personal and diplomatic account of U.S.-Cuban
relations since 1957 (New York: W.W. Norton, 1987), _
12
John Plank, Cuba and the United States. Long-Range Perspectives (Washington, EU:
Brookings Institution, 1967), 31.
personnes au service du régime de Batista. Par contre, un malentendu s'est formé entre ces deux
pays, le peuple cubain considérant les hommes de Batista comme indiscutablement coupables de
crimes horribles, alors que les Etats-Unis ont été très critique à l’égard de la façon de rendre
justice à Cuba.13
De plus les leaders cubains ont fait preuve dans leur communication d’un anti-
impérialisme qui s’adressait bien évidemment aux États Unis, la plus grande puissance militaire
et économique de la planète et cette stratégie n’a fait qu’envenimer les relations avec leur voisin,
ruinant la relation. Alors que le gouverneur américain cherchait des améliorations, Cuba ne
En réponse, Cuba a coupé ces liens avec les États Unis. Cuba a ensuite développé des
liens avec l’Union Soviétique, qui était en conflit avec les États Unis. Ce changement d’allié fut
perçu par les États-Unis comme une trahison contre leur relation d’avant.
protection militaire vis à vis des États-Unis, et de l'aide économique pour commencer à
13
Maurice Zeitlin & Robert Scheer, Cuba: Tragedy in Our Hemisphere (New York: Grove Press,
Inc, 1963), 66.
14
John Plank, Cuba and the United States. Long-Range Perspectives (Washington, EU:
Brookings Institution, 1967), 32.
démanteler la dépendance économique de Cuba vis-à-vis les États-Unis et des entreprises
américaines sur l’île.15 En addition, Castro nationalise tous les actifs étrangers à Cuba et
C’est la goutte qui fait déborder le vase, ces nationalisations imposées sans contre parti
financière sont insupportables pour les États Unis. Cela est évident quand Eisenhower répond en
réduisant le quota d'importation de sucre cubain et en gelant les avoirs cubains aux États-Unis et
imposant un embargo commercial.17 Ces menaces économique par Cuba a aggravé la situation
avec les États-Unis, et donc à affaibli la relations entre ces deux pays.
consulat américain à La Havane à seulement onze personnes. Aux yeux des États-Unis, il
s'agissait d'une action inhabituelle qui ne pouvait avoir d'autre but que de rendre impossible la
conduite normale des relations diplomatiques avec Cuba. Tout cela a conduit à la terminaison
15
Lawrence Goldman, An Analysis of the Relationship between Cuba and the Soviet Union:
1959-1990 (Thèse de master, College of William & Mary, 1991), 25.
16
Martin Domke & Hans W. Baade, Nationalization of Foreign Owned Property and the Act of
State Doctrine—Two Speeches (North Carolina: Duke Law Journal, 1963), 281.
17
Fabián Escalante, The Cuba Project: CIA Covert Operations (New York: Ocean Press :
Distributor for United States and Canada, Consortium Book Sales and Distribution, 2004), 10.
Lester D. Langley, United States, Cuba, and the Cold War, American Failure or Communist
18
Eisenhower a une certaine responsabilité pour la chute des relations Américano-Cubaine à cause
de ses intentions corrompue envers Cuba, démontrées par de nombreuses tentatives de coups
d’États imposés sur Cuba dans le but d’assassiner Castro et de prendre plus de pouvoir sur Cuba.
nouveau à la domination politique, militaire et économique à laquelle elle était soumise depuis la
fin du XIXe siècle en commettant des actes de sabotage et en tentant d'assassiner Fidel Castro. 19
Pour accomplir cela, les États-Unis ont utilisé de nombreuses méthodes, qui varient des
campagnes de terrorisme à des invasions directes. 20 Par exemple, en 1959, le CIA a commencé à
armer des Cubains exilés pour instaurer le changement du régime. 21 Aussi, en 1960, Maheu, ex-
agent du FBI, a dit à John Rosselli qu'un haut fonctionnaire avait besoin de lui pour éliminer
19
Fabián Escalante, The Cuba Project: CIA Covert Operations (New York: Ocean Press:
Distributor for United States and Canada, Consortium Book Sales and Distribution, 2004) 1.
20
Noam Chomsky, et.al, Superpower Principles, U.S. Terrorism Against Cuba (Maine: Common
Courage Press, 2005), 27.
21
Noam Chomsky, et.al, Superpower Principles, U.S. Terrorism Against Cuba (Maine:
Common Courage Press, 2005), 29.
Fidel Castro. Il y avait également le « Trujillo conspiracy » de 1959. Ce plan consistait à ce que
Trujillo fasse de fausses accusations contre Cuba, disant que le gouvernent révolutionnaire
interférait dans les affaires internes de la République Dominicaine, pour donner une excuse aux
Bien que sans succès, ces tentatives montrent que les États Unis avait des intentions de
mettre fin au régime de Castro. On peut supposer que cela est à l’origine de l'abandon par Cuba
d'un système de marché libre au profit d'une économie socialiste à but non lucratif. Pour protéger
le capitalisme Global, les États Unis ont cherché à éliminer le problème. 23 Par ailleurs, les États
Unis ont aussi fait des efforts pour dissimuler ce qui se passait à Cuba et se présenter sous un
jour plus favorable en accusant Cuba d'être hostile envers les États-Unis, alors que le
Tous ces exemples montre que les États Unis ont eu des intentions de défère le régime de
Castro pour mettre en place un régime plus proche du régime précédent de Batista qui
22
Fabián Escalante, The Cuba Project: CIA Covert Operations (New York: Ocean Press:
Distributor for United States and Canada, Consortium Book Sales and Distribution, 2004), 22.
23
Noam Chomsky, et.al, Superpower Principles, U.S. Terrorism Against Cuba (Maine: Common
Courage Press, 2005), 66.
24
Noam Chomsky, et.al, Superpower Principles, U.S. Terrorism Against Cuba (Maine: Common
Courage Press, 2005), 67.
2.5 Conclusion
En conclusion, la chute des relations entre les États-Unis et Cuba a été un évènement
dominante aux États-Unis de Cuba comme une menace communiste potentielle, combinée au
contexte plus large de la guerre froide, a alimenté la suspicion et la méfiance, rendant difficile
leadership et les politiques de Fidel Castro, et en particulier son incapacité à restaurer les
institutions démocratiques et l'ampleur alarmante des exécutions, en plus que les efforts de Cuba
pour s'aligner sur l'Union soviétique, ont contribué à donner une mauvaise image de Cuba et à
accroître les tensions entre les deux pays. Finalement, les tentatives du gouvernement américain
de saper le gouvernement cubain par divers moyens, des opérations secrètes aux complots
d'assassinat, révèlent une intention délibérée d'exercer un contrôle sur les affaires cubaines, ce
qui souligne un désir profond de faire reculer la révolution et de réintroduire un régime plus
favorable aux intérêts américains. Il est difficile d'attribuer la responsabilité principale à l'une ou
l'autre des pays parce que l’administration Eisenhower et le gouvernement de Castro ont tous
3. Réflexion
Pour ma recherche j’ai dû préciser mon sujet de recherche, la chute des relations entre les
États Unis et Cuba, en analysant le rôle de plusieurs facteurs qui ont influencé cette chute, le
facteur que j’ai choisi étant les vues des Etats-Unis et le Cuba envers l’un et l’autre. Ce que j’ai
appris pendant cette recherche est qu’il est important d’analyser plusieurs perspectives pendant
une recherche, plus spécifiquement de noter la différence des perspectives d’auteurs qui ont écrit
pendant les dates des evenements. Pendant la recherche, j’ai découvert qu’il y a un grand
contraste et discorde entre les historien et auteurs du 20ème siècle par rapport à ceux du 21ème
siècle sur la baie des cochons et ce qui a causé cet évènement. J’ai décidé de comparer ces deux
Cuba comme une dictature dans les yeux des États-Unis, ainsi que les nombreux coups d’États
mise en place par l’administration Eisenhower. Cependant Il y avait plusieurs autres perspectives
que j’aurais pu aborder, notablement en utilisant une source par un auteur non-nord-américain.
Cependant, comme ceci est un travail avec une contrainte sur le nombre de mots, en ajoutant plus
d’exemples avec plus d’auteurs, le travail risquait de devenir trop narratif et moins approfondi,